VOYAGE SANS FRONTIèRES AUX COULEURS DES BALKANS ET DU MOYEN-ORIENT- QUINTET BUMBAC L'ORCHESTRE D'UN MUSICIEN RHAPSODE. MIROIR ORIENTAL DUN QUINTET à CORDES ! Le quintette dévoile la voix de cinq solistes qui s'unissent pour ne former plus qu'un. De nombreuses improvisations, Doina, Taksim, se glissent entre des mélodies mélodieuses et un orchestre qui accompagne telle une machine faite de rouages polyrythmiques. Notre oreille cherche d'où viennent ces mélodies, elles parlent du voyage, des racines et nous invitent à nous perdre dans un univers imaginaire. La musique de Quintet Bumbac se découvre, c'est une rencontre. Cet ensemble marque par son élégance et son expressivité, entre rhapsodie et pérégrination musicale. MIROIR ORIENTAL DUN QUINTET à CORDES ! à la croisée des danses tsiganes et méditerranéennes et de la musique de chambre, les compositions de David Brossier (violon damour) pétillent, élégantes et originales. -- TéLéRAMA ---
UN DANDY DéJANTé, TALENTUEUX ET DéCALé Europe 1 LA PLUS BELLE VOIX QUE VOUS ENTENDREZ AUJOURD'HUI. Les Inrocks Sur cet album William Z Villain produit un savant mélange entre les musiques urbaines et rurales, ainsi qu'un océan d'influences musicales qui procure à l'écoute une sensation d'entendre, comme sur le premier album éponyme, un artiste à part. Jeune américain signé en France, William Z. Villain camoufle son blues dans un mélange de styles intriguant et passionnant. Voix haut perchée, chansons en montagnes russes et truffées d'histoires à la guitare, on pense très vite à Nosfell. Cette capacité à nous plonger dans un nouveau monde, et à nous fasciner par l'étrangeté de l'expérience qu'on écoute... Ou peut-être est-ce le côté organique et les sons de la nature qui parsèment l'album ? L'univers est en tout cas décalé et pourtant porte la marque brute et intense du blues. [...] C'est complètement amoureux qu'on sort doucement du rêve en espérant déjà le prochain. Rocknfool
« Sky Dancers » est le nom que se donnent entre eux les Amérindiens du Nord-Est de l'Amérique du Nord qui grâce à leur supposée absence de vertige construisent les gratte-ciel, en particulier ceux de New-York, et qui « dansent » sur les poutrelles, là-haut dans le ciel. Aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours été concerné par les Amérindiens. Déjà gamin, je préférais me costumer en Indien. Je trouvais cela plus gai, plus beau, plus rigolo, plus inventif. Avec deux riens, une ficelle et du rouge à lèvres - emprunté en douce à ma mère pour les peintures de guerre - j'étais déjà dans les grands espaces et je me sentais libre. Et puis, très vite, je me suis rendu compte que les Indiens étaient des « vrais gens », des êtres humains. Alors j'ai lu, vu, entendu tout ce que je pouvais trouver les concernant. J'étais à l'affût du moindre détail authentique (je le suis toujours) et je n'ai plus du tout supporté de les voir ridiculisés dans ces westerns idiots. Ignorés, bafoués, récupérés, « merchandisés ». Simultanément à la découverte de la musique de jazz, j'ai ressenti l'univers poétique du monde amérindien et surtout ce qui m'a fasciné, dès que j'ai eu l'âge de comprendre, c'est le respect absolu que manifestaient les Indiens vis-à-vis de la nature. Actuellement, dans l'indifférence générale, certains Etats prétextant la « crise », maintiennent les tribus en leurs réserves dans un état de précarité inimaginable, pour certaines au bord de la famine alors que les Indiens, contraints et humiliés, ont signé des traités signifiant la donation de leurs terres contre l'assurance d'une existence digne. Afin de rendre hommage aux Amérindiens, j'ai imaginé de nouvelles musiques et de m'embarquer pour cette aventure entouré de fidèles compagnons que sont Sébastien Texier, François Corneloup et Louis Moutin. Grâce à notre complicité, nous avons toujours le désir intact d'explorer de nouveaux territoires, de raconter de nouvelles histoires. Pour ce projet, il m'a semblé évident d'aller à la rencontre de musiciens n'ayant jamais participé à mes orchestres. Armel Dupas et Nguyên Lê sont de ceux-là. Lorsque j'ai entendu Armel Dupas pour la première fois, j'ai immédiatement été sensible à son univers, son toucher, sa pulsation. L'idée de jouer un jour avec lui s'est très vite imposée... Quant à Nguyên, il est présent à mon esprit depuis bien longtemps. Musicien d'une grande élégance, porteur d'un chant unique, il me touche profondément. Et c'est ainsi que les « Sky Dancers » sont entrés dans la lumière. « Sky Dancers » est le nom que se donnent entre eux certains Amérindiens du Nord-Est de l'Amérique du Nord qui grâce à leur présumée absence de vertige construisent les gratte-ciel, en particulier ceux de New-York, et qui « dansent » sur les poutrelles, là-haut dans le ciel. » Henri Texier
UN DISQUE DE CHEVET INDISPENSABLE, POUR TOUT AMATEUR DE SYDNEY BECHET.... -- Francis Marmande --- L'HOMMAGE SURPRENANT à SIDNEY BECHET! - ESSENTIEL ET INCONTOURNABLE - INCLUS : LIVRET 24 PAGES. Vol pour Sidney (retour) est emmené par une troupe de poètes-instrumentistes de haut vol en transes atlantiques de l'Amérique du blues profond à la France de Georges Brassens. à tout âge, on y chante, on y danse et on relève les marques d'affection qu'eurent John Coltrane ou Duke Ellington, comme les générations qui suivent, pour le très grand Sidney Bechet, figure superlative de l'histoire du jazz. Avec : Elsa Birgé, Catherine Delaunay, John Dikeman, Sophia Domancich, Robin Fincker, Simon Goubert, Nathan Hanson, Sylvaine Hélary Glowing Life (avec Antonin Rayon, Benjamin Glibert, Christophe Lavergne), Hymn for Her (Lucy Tight, Wayne Waxing), Doan Brian Roessler, Guillaume Séguron, Davu Seru, Ursus Minor, (Tony Hymas, Grego Simmons, François Corneloup, Stokley Williams), Donald Washington, Matt Wilson Quartet (avec Jeff Lederer, Kirk Knuffke, Chris Lightcap. Avec : Elsa Birgé, Catherine Delaunay, John Dikeman, Sophia Domancich, Robin Fincker, Simon Goubert, Nathan Hanson, Sylvaine Hélary Glowing Life (avec Antonin Rayon, Benjamin Glibert, Christophe Lavergne), Hymn for Her (Lucy Tight, Wayne Waxing), Doan Brian Roessler, Guillaume Séguron, Davu Seru, Ursus Minor, (Tony Hymas, Grego Simmons, François Corneloup, Stokley Williams), Donald Washington, Matt Wilson Quartet (avec Jeff Lederer, Kirk Knuffke, Chris Lightcap. Vive les albums concepts : climats variés. Vive l'humour jazziste : si rare. Vive les surprises : ça décape. -- JAZZ MAGAZINE --- TOUJOURS DISPONIBLE! VOL POUR SIDNEY (aller) éLU DISQUE de L'ANNéE par : Le journal LE MONDE et par le journal LIBéRATION. VOL POUR SIDNEY (aller) : En 1992, les disques nato publiaient Vol pour Sidney, recueil de titres composés et immortalisés par Sidney Bechet - artiste majeur du XXe siècle, instrumentiste essentiel au même titre que Louis Armstrong, Charlie Parker ou John Coltrane - et interprétés cette fois par une clique d'artistes d'univers et itinéraires fort divers, tous amoureux de la musique de Bechet : Charlie Watts, Elvin Jones, Lee Konitz, Taj Mahal, Pepsi et Urszula Dudziak aux côtés de quelques compagnons de route de nato : The Lonely Bears, British Summer Time Ends, Lol Coxhill / Pat Thomas, Steve Beresford et Michel Doneda.L'album connut alors un grand succès auprès d'une critique enthousiaste, nommé disque de l'année dans plusieurs revues : Le Monde, Libération, Jazz Magazine, VSD etc. Sidney Bechet fut un artiste immensément populaire, mais aussi un innovateur (ses duos avec Kenny Clarke par exemple), un chercheur (il fut le premier à utiliser le re-recording), un voyageur curieux des autres cultures, un bluesman profond et un des saxophonistes soprano les plus novateurs et les plus expressifs. En plus de la beauté des thèmes, ce sont ces différentes approches - richesses de ce musicien d'exception - qui ont inspiré les passagers de ce Vol pour Sidney frappés autant par l'invention, la modernité, l'humour, le sens mélodique d'un des plus grands créateurs de jazz.