Réédition du premier album du groupe d' indie rock US The Moldy Peaches, sorti initialement au début des années 2000. Cet opus contient le tube Anyone Else But You', qui fut utilisé en 2007 dans la bande originale du film Juno.
On ne présente plus Manu Dibango, celui qu’on surnomme le « Père de la World Music », artiste emblématique et engagé pour la paix, qu’il ne cherche pas le sans-faute et le succès à tous les coups, mais qui marqua incontestablement le 20ème siècle. À l'occasion de son soixantième anniversaire, Manu Dibango sort l’album « Wakafrica ou l'Afrique en Marche », un projet ambitieux de réunification musicale de l'Afrique, en invitant les plus grands ténors Youssou N'Dour, King Sunny Adé, Salif Keita, Angélique Kidjo, Ray Lema... Inclus le tube « Soul Makossa », qui mal accueilli au départ, le propulsa sur le devant de la scène et marqua l’histoire en lançant la « World Music ».
Admiratif de Johnny Halliday, RICARDO « GIPSY KALI » lui rend un brillant hommage en reprenant à la mode gipsy ses plus grands tubes dans l'album « JH LOVERS » Quand la Rumba Gitane rend un hommage magique au répertoire de Johnny! Il suffit d'écouter « Hoy Comienza Mi Vida » (Pour moi la vie va commencer) qui s'annonce comme le tube de cet été, mais aussi « Toda La Musica Que Amo » (Toute la musique que j'aime) ou encore « Que Te Amo » (Que je t'aime) pour apprécier l'alchimie qui s'en dégage ! GIPSY KALI nous fait redécouvrir, avec « JH LOVERS », les succès de l'idole des jeunes dans de nouvelles versions dansantes, gorgées de soleil et imprégnées de l'âme gitane. L'univers de Johnny sur des rythmes gipsy...
Les groupes qui rendent crédible et séduisante l'appellation de « rock français » sont tellement rares que le retour tout en élégance de Kaolin va marquer la rentrée. Après quatre années de break et le succès de leur disque précédent « Mélanger les couleurs » incluant le tube « Partons vite » (+ de 100 000 albums vendus), la bande de Montluçon se rappelle à notre bon souvenir avec un quatrième album prévu pour la rentrée. Car, fait rare, Kaolin reste un collectif où tous mettent la main à la pâte quand il s'agit de composer, où chacun est auteur et fait entendre sa voix. Cette alchimie qui existe entre eux, ils s'en servent justement comme d'une matière première afin de se reconstruire à chaque album. Avec ce quatrième épisode, ils ne dérogent pas à cette exigence.
Il y a quatre ans, c'est à Paris que leurs vies se croisent, dans un bar, un soir tard. Le soir même, elle au chant, lui à la guitare, ils composent spontanément dans une chambre de post-adolescent, leur première ballade, teintée de folk-blues lumineux et enivrant. En 2009, c'est sur le web que Lilly Wood and the Prick explose. Leur premier tube Down The Drain servi par un clip fantasque et décalé, rassemble par dizaines de milliers. En mai 2010, Lilly Wood and The Prick dévoile son premier album, Invincible Friends. Un album tendrement révolté, dans lequel le groupe explore tous les sons que la curiosité de la jeunesse permet : des mélodies pop mêlées à des arrangements électro, une voix blues transportée par des refrains pop. Les textes se nourrissent de tout ce que la vingtaine traverse : les amours qui passent et les amis qui restent, les idéaux qui s'échappent et les doutes qui s'installent. La voix éraillée de Nili y résonne comme un cri, celui d'une génération qui puise sa force créatrice dans le désenchantement. Deux ans après un succès magique, un disque d'or et une Victoire de la musique, Lilly Wood and The Prick remontent sur le ring avec The Fight, un deuxième album prêt à nous conquérir.
Il aura fallu seulement quelques mois au quatuor Palma Violets pour exploser sur le devant de la scène britannique. Les quatre jeunes anglais s’installent dans un sous-sol londonien qui leur sert à la fois de squat et de studio de répétition en septembre 2011. Faute de trouver des concerts, ils improvisent des soirées en invitant leurs amis au studio pour leur jouer les morceaux au fil et à mesure de leur création. Ce studio se trouve à Lambeth, quartier populaire au sud de Londres qui n’est pas, au contraire de Camden par exemple, un vivier de la culture rock de la ville. Et pourtant, avec un bouche-à-oreille exponentiel, les fans et leurs amis se déplacent en nombre croissant pour assister à ces happenings. Rapidement, plus d’une centaine de personnes s’entassent régulièrement dans le minuscule sous-sol, sans climatisation ni fenêtre, forçant certain(e)s fans à se déshabiller ! Moins d’un an plus tard, le NME, la bible du rock anglais, se rend à une de ces soirées et le groupe fait la couverture du magazine alors qu’il n’est ni signé et n’a quasiment aucun concert à son actif ! Palma Violets signe dans la foulée sur le label Rough Trade et est invité au Festival Les Inrocks en novembre dernier pour un concert à la Boule Noire mémorable et assurément l’un des moments forts de cette édition.180, leur premier album, est le nom de ce studio où tout à commencé pour Palma Violets. On y retrouve toute la spontanéité et l’énergie communicative du groupe sur scène, mais aussi ses dons de mélodiste, véritable marque de fabrique des grands groupes de rock anglo-saxons. On n’est ainsi pas prêt de se lasser de son premier single ‘Best Of Friends’, tube instantané et imparable qui ouvre l’album de la plus belle des manières. Comparé inévitablement à Libertines et The Vaccines, le groupe rappelle aussi The Clash tout en faisant preuve d’une identité et d’une maturité très forte pour un premier album.
Il aura fallu seulement quelques mois au quatuor Palma Violets pour exploser sur le devant de la scène britannique. Les quatre jeunes anglais s’installent dans un sous-sol londonien qui leur sert à la fois de squat et de studio de répétition en septembre 2011. Faute de trouver des concerts, ils improvisent des soirées en invitant leurs amis au studio pour leur jouer les morceaux au fil et à mesure de leur création. Ce studio se trouve à Lambeth, quartier populaire au sud de Londres qui n’est pas, au contraire de Camden par exemple, un vivier de la culture rock de la ville. Et pourtant, avec un bouche-à-oreille exponentiel, les fans et leurs amis se déplacent en nombre croissant pour assister à ces happenings. Rapidement, plus d’une centaine de personnes s’entassent régulièrement dans le minuscule sous-sol, sans climatisation ni fenêtre, forçant certain(e)s fans à se déshabiller ! Moins d’un an plus tard, le NME, la bible du rock anglais, se rend à une de ces soirées et le groupe fait la couverture du magazine alors qu’il n’est ni signé et n’a quasiment aucun concert à son actif ! Palma Violets signe dans la foulée sur le label Rough Trade et est invité au Festival Les Inrocks en novembre dernier pour un concert à la Boule Noire mémorable et assurément l’un des moments forts de cette édition.180, leur premier album, est le nom de ce studio où tout à commencé pour Palma Violets. On y retrouve toute la spontanéité et l’énergie communicative du groupe sur scène, mais aussi ses dons de mélodiste, véritable marque de fabrique des grands groupes de rock anglo-saxons. On n’est ainsi pas prêt de se lasser de son premier single ‘Best Of Friends’, tube instantané et imparable qui ouvre l’album de la plus belle des manières. Comparé inévitablement à Libertines et The Vaccines, le groupe rappelle aussi The Clash tout en faisant preuve d’une identité et d’une maturité très forte pour un premier album.