Oubliez les réseaux sociaux et les collaborations marketées, Dan Owen s'est forgé une réputation à l'ancienne, en jouant dans tous les pubs qui voulaient bien de lui et en aiguisant son art aux côtés de vieux bluesmen qui lui ont donné son propre surnom. Ce jeune homme de 25 ans venu du comté anglais de Shropshire a fait le grand écart entre les performances pour des politiciens du Westminster et celles à Nashville avec Willie Nelson. Ce premier album Stay Awake With Me condense une décennie d'expériences en dix morceaux spectaculaires. Une poignée de morceaux proviennent de son EP autoproduit et ont été réenregistrées avec des cuivres et des cordes somptueuses. Il inclut également le nouveau single Icarus ainsi que son tube Made to Love You qui a déjà plus de 12 millions d'écoutes.
Presque 58 minutes de pure rare groove ! Douzième sortie du label français Broc Recordz fondé par Dipiz en 2003. C'est aussi le premier vinyle gatefold tiré à 300 exemplaires où l'on retrouve le artwork de tous les 45 tours originaux, photos en noir et blanc, blanc, tutorial de danse pour le tube Voodoo Juju Obssession et des notes de pochettes de Janko Nilovic. Dipiz continue de repousser les frontières entre le monde du hip-hop & des grands compositeurs et en particulier des compositeurs d'illustration sonore comme Janko Nilovic. Non seulement vous trouverez la collection complète de JuJju Records mais aussi en bonus d'excellents édits exclusifs de producteurs Français. Deux édits de Dipiz, un d'Alexis Hountondji aka Kofi & Renaud Lainé et un autre du fameux breakbeat duo Last Bongo In Paris (Cleon and Jazzy Pidjay) Mixé & masterisé au studio Les Murs du son, superbe artwork de Wickidz. Version vinyle 2LP.
GIZMO VARILLAS dévoile ce 25 novembre, son premier album El Dorado. Ce projet est frais ! Comment définir autrement le travail de ce jeune homme de 26 ans né à Bilbao, ancien étudiant à Cardiff et installé à Londres ? Gizmo, est bel et bien un jeune homme de sa génération. Ce guitariste autodidacte a entièrement produit et composé les 13 titres de ce projet. Dans El Dorado il propose une musique qui fait le grand écart entre plusieurs continents. Gizmo emprunte des accords à l'Amérique du Sud, lorgne vers la pop et la folk de l'Amérique du Nord et saupoudre parfois d'accents des Caraïbes comme sur le tube Give A Little Love. Associé à son filet de voix, son sens du refrain (Hold On) et ses mélodies toujours efficaces, Gizmo crée un genre qu'il définit comme Dark Tropical. GIZMO VARILLAS avec ses deux EP (The Inca's Suit et Give A Little Love) convainc les professionnels (BBC 6, Apple Music...) et grâce à ses nombreux concerts (dont les premières parties de Madison Violet et Jack Savoretti) séduit le public. Ce 25 novembre venez découvrir l' El Dorado.
Qu'on l'appelle Everlast, Whitey Ford ou Erik Francis Schrody, le chanteur, rappeur, songwriter et leader de House of Pain et La Coka Nostra n'a eu de cesse de se réinventer tout au long de sa carrière. De son premier album solo Forever Everlasting en 1989 sous les auspices du Rhyme Syndicate d'Ice-T alors qu'il sort à peine de l'adolescence au succès mondial du Jump Around avec House of Pain, de son album multi-platine Whitey Ford Sings the Blues avec son tube crossover What It's Like à sa contribution récompensée d'un Grammy Award au Put Your Lights On de Santana sur Supernatural, Everlast a fait taire ses opposants les plus farouches. En chemin il s'est forgé un son unique fusionnant hiphop, rock, folk, funk et blues qui influencera entre autres Kid Rock, Colt Ford, Yelawolf, JellyRoll ou Lil Wyte. Sortant sur son propre label Martyr-Inc le nouvel album d'Everlast, Whitey Ford's House of Pain, est son septième disque solo, le premier depuis Songs of the Ungrateful Living paru en 2011. En 12 morceaux (et 3 interludes) on retrouve avec bonheur son style éclectique piochant dans une expérience musicale d'une triple décennie. Avec la participation d'Aloe Blacc sur Slow Your Roll et de Slug sur Oooohh (I Don't Need You).
Qu'on l'appelle Everlast, Whitey Ford ou Erik Francis Schrody, le chanteur, rappeur, songwriter et leader de House of Pain et La Coka Nostra n'a eu de cesse de se réinventer tout au long de sa carrière. De son premier album solo Forever Everlasting en 1989 sous les auspices du Rhyme Syndicate d'Ice-T alors qu'il sort à peine de l'adolescence au succès mondial du Jump Around avec House of Pain, de son album multi-platine Whitey Ford Sings the Blues avec son tube crossover What It's Like à sa contribution récompensée d'un Grammy Award au Put Your Lights On de Santana sur Supernatural, Everlast a fait taire ses opposants les plus farouches. En chemin il s'est forgé un son unique fusionnant hiphop, rock, folk, funk et blues qui influencera entre autres Kid Rock, Colt Ford, Yelawolf, JellyRoll ou Lil Wyte. Sortant sur son propre label Martyr-Inc le nouvel album d'Everlast, Whitey Ford's House of Pain, est son septième disque solo, le premier depuis Songs of the Ungrateful Living paru en 2011. En 12 morceaux (et 3 interludes) on retrouve avec bonheur son style éclectique piochant dans une expérience musicale d'une triple décennie. Avec la participation d'Aloe Blacc sur Slow Your Roll et de Slug sur Oooohh (I Don't Need You).
Easy est une peinture glam du garage rock du Mississippi dans ce qu’il y a de plus tapageur et bagarreur. The Weeks revient donc après leur album Dear Bo Jackson avec une double dose de groove et de guitare granuleuses. Direct et pugnace grâce à l’alchimie des membres et le travail du producteur Paul Ebersold, The Deers délivre ici un album qui va droit au but avec un pointe d’arrogance. On ne peut leur reprocher ce bombage de torse car l’assurance des membres, tous dans la vingtaine, traduit l’expérience et la maitrise qu’ils ont acquises au cours de leur carrière déjà bien remplie (certains ont passé plus de deux tiers de leur vie dans le groupe).
Easy est une peinture glam du garage rock du Mississippi dans ce qu’il y a de plus tapageur et bagarreur. The Weeks revient donc après leur album Dear Bo Jackson avec une double dose de groove et de guitare granuleuses. Direct et pugnace grâce à l’alchimie des membres et le travail du producteur Paul Ebersold, The Deers délivre ici un album qui va droit au but avec un pointe d’arrogance. On ne peut leur reprocher ce bombage de torse car l’assurance des membres, tous dans la vingtaine, traduit l’expérience et la maitrise qu’ils ont acquises au cours de leur carrière déjà bien remplie (certains ont passé plus de deux tiers de leur vie dans le groupe).
C’est à plusieurs centaines de kilomètres de l’épicentre hip hop New-Yorkais, depuis sa base de Buffalo que Westside Gunn a appris le maniement du micro et l’art du placement à la manière des Mc’s des five boroughs. Sans grand attrait pour la mélodie, mais avec un appétit démesuré pour le beat resté granuleux en sortie de MPC, le rhymes book en connexion directe avec l’asphalte et la rue. Traversant l’Atlantique, les vibrations d’Effiscienz ont serpenté entre les blocks pour aller résonner dans le casque de celui qui s’est déjà posé sur des sons d’Alchemist ou d’Apollo Brown. Déjà aux manettes des EP de Conway et du LP de Mood, Mil a pris en main les productions, s’accordant au flow encore dardé d’aspérités de Westside Gunn pour le faire rimer dans une peinture sonore sombre aux teintes cinématiques. Dans des ambiances tout juste éclairées par quelques cordes, les grosses caisses orageuses et les basses égrainant des notes noirâtres ont naturellement aimanté le rimeur de Buffalo dans le sillon de cet EP frappé du sceau du label Parisien. Six titres dont deux versions dans lesquelles Mil aura intégralement remanié bande-son et parties vocales, métamorphosant les originaux. Six titres dont deux instrumentaux pour apprécier sans lyrics les productions de Mil, mais aussi pour patienter jusqu’à la sortie de son album avec Mainflow. Une sortie qui, comme Riots On Fashion Avenue, s’inscrira dans la grande tradition hip hop dont Effiscienz porte la flamme. Avec des pressages sold-out en l'espace de quelques minutes après leur mise en vente, Westside Gunn est une success story à surveiller de près.