Les lecteurs de BD connaissent bien l'oeuvre de Jean-François Charles commencée il y a plus de 25 ans avec un premier album, Le Bal du rat mort, puisla saga des Pionniers du Nouveau Monde qu'il réalise avec Maryse Charles, son épouse, et que par la suite il fera poursuivre par Erwin Sels dit Ersel pour se consacrer à Fox avec Jean Dufaux.Parallèlement à plus de 20 albums de BD, il développe peu à peu une oeuvre picturale provoquée au départ par la décision de réaliser les couvertures des Pionniers à la peinture à l'huile.Les grands espaces et le monde indien l'inspirent beaucoup avant d'être tenté par l'Orient et la peinture orientaliste de la fin du XIXème siècle.Charles réalise tout au long de l'année 99 une trentaine d'aquarelles sur les Odalisques. Il réalise beaucoup d'affiches où l'on retrouve ses thèmes de prédilection : l'Egypte ancienne, l'Orient, les femmes. Ces dernières occupent en effet une large place dans l'oeuvre de Jean-François Charles, tant dans ses bandes dessinées que dans ses toiles.Dans ce livre, les dessins abondent, accolés à leurs croquis préparatoires, laissant ainsi percevoir par le lecteur une part de la création du dessinateur. A travers toutes ces illustrations, on peut également suivre la carrière de l'auteur à la fois illustrateur et peintre.La sortie de ce livre est accompagnée d'une exposition au Centre Belge de la BD à Bruxelles du 15 septembre 2001 au 15 janvier 2002.
Se taper sur le doigt en enfonçant un clou, se faire arnaquer par un garagiste peu scrupuleux, voilà le genre de situation dans laquelle bon nombre de nos contemporains peuvent se retrouver. Oui, le bricolage et la mécanique peuvent autant être une passion qu'un fléau ! Il s'agit en tout cas d'un phénomène de société à côté duquel Serre, en véritable entomologiste du savoir rire, ne pouvait pas passer à côté. Absurdes, loufoques, d'une créativité folle, les dessins qu'il nous propose ici illustrent ces travers de l'homme moderne avec une jubilation contagieuse !Après La Médecine, Le Sport et Le Bestiaire, les éditions Glénat poursuivent leur travail de remise en avant de l'oeuvre de Serre dans des intégrales de qualité. La Mécanique, nouveau volume fleurant bon l'huile de coude et la peinture fraiche, prouve une fois de plus que le talent de cet auteur et son humour n'ont pas pris une ride. Et c'est tant mieux !
Un incontournable de la bande dessinée de fantasyChevauchant une étrange créature ailée, le corps recouvert d'une solide armure, le Mercenaire est un guerrier intemporel parcourant d'hypothétiques contrées. À travers des cités fantastiques, il combat des adeptes de la magie noire et se pâme devant Nan-Tay, sa belle et courageuse compagne.Partant de ce simple postulat, Vicente Segrelles a développé dans les années 1980 probablement ce qui fut l'un des plus grands chefs-d'oeuvre de la bande dessinée de fantasy. Dans une ambiance étrange et onirique, Le Mercenaire nous fait arpenter, aux côtés d'une sorte d'alter ego de Arzak, des mondes inconnus à la découverte des méandres du Temps. Un voyage merveilleux mais surtout graphique, rendu inoubliable par un dessin époustouflant d'hyperréalisme, réalisé entièrement en couleur directe à la peinture à l'huile.Aujourd'hui introuvable et réclamé à cor et à cri, ce chef-d'oeuvre de la bande dessinée de fantasy reparait dans une nouvelle intégrale en 3 volumes, augmentée de matériel graphique inédit. L'édition ultime d'une oeuvre essentielle.
Il aime le gore. Il adore les monstres. Les tripes de blorks dégommés l'amusent. Il a enfilé son inséparable casquette verte, s'est échauffé les pouces et a huilé ses joysticks. Dans ce nouveau tome, on retrouve, avec toujours autant de plaisir, les zigouillages en règle de blorks en salle d'arcade, les séances de classes ou les explications du père ennuyeuses à mourir qui dégénèrent en vrais films de SF, les recettes spéciales de Kid pour Top Chef ou les célèbres tentatives ratées pour aller voir les films d'horreur au cinéma sur les épaules de son copain Horace.
Sur les traces d'un trésor maudit !Pour retrouver le fabuleux trésor de l'île aux diables, le stratagème élaboré par le capitaine Engoza est implacable : il a fait boire à Alban la fiole contenant l'âme de son ancien partenaire, le cruel Bone's ! Le jeune garçon, possédé par l'esprit du sanguinaire capitaine pirate, pourra désormais révéler l'information qui manque à Engoza pour atteindre le précieux coffre perdu dans cette île maudite des Caraïbes... Mais Engoza doit rester sur ses gardes, la flotte personnelle du Roi de France est à ses trousses, sans parler de la jeune Louise qui semble cacher un important secret à même de contrecarrer son plan si bien huilé...
Il y a le drame noué entre trois personnages sur un navire baleinier en 1840 : un capitaine, un curé et une jeune femme. Il y a la productivité, le capitalisme et la soif de puissance. Mais il y a surtout les effets de ce productivisme : la baleine mise en morceaux, bientôt réduite en autant de barils d'huile. Jamais on n'aura vu d'aussi près les immenses abats de l'animal, jamais il ne nous aura été donné d'assister en privé au découpage systématique d'un dieu marin anéanti.Inspiré par le grand romantisme américain (Moby Dick d'Herman Melville en tête), Michel Durand livre ici son chef-d'oeuvre, mêlant fascination et répulsion pour cette période de chasse à la baleine effrénée.
Paris, XIXe siècle. Un marchand d'art de génie part à la conquête de la ville. Son nom : Théodore Van Gogh. Son frère Vincent, futur grand nom de la peinture, est encore inconnu.En partie inspirée de faits réels, cette biographie romancée offre un vibrant portrait des liens qui unissaient les deux Van Gogh, frères que tout opposait mais aux destins inextricablement liés.
Un nouveau dyptique parfaitement huilé qui devrait captiver les amateurs de bonnes histoires a suspense...Alors que PATRICK PEREZ dépose une somme importante en grosses coupures sur le compte d'une socièté off-shore, le couple ETIENNE et RITA COMBE attend avec impatience la mort d'une riche tante. THOMAS CHARVET charge dans son coffre de voiture des lingots d'or en provenance d'Uruguay. SAMUEL FIRSSEN, ferronnier d'art livre des lingots à THOMAS CHARVET. JOHN NOE lui remet à son tour dix lingots dont il négocie la vente avec un fabricant de bijoux. Tous ces personnages ont un rapport précis avec le vol deux ans plus tôt de 7000 lingots d'or. Tous ces personnages sans liens apparents participent au blanchiment de cette fortune. L'enquête est confiée à une équipe de policiers eux aussi plus préocupés par leur propre fortune que par la justice...
Le mercenaire a-t-il une âme ? Ce guerrier aux muscles siliconés et à la morphologie qui rendrait jaloux tous les Schwarzy de la planète, va-t-il résoudre l'équation suivante : avoir du muscle ou de l'intellect ? Fort de son expérience dans le maniement de l'épée, le combat contre les dragons et le sauvetage de quelques princesses éplorées, le Mercenaire va cette fois livrer le plus terrible combat de son existence.Segrelles démontre qu'il est à l'heroic fantasy ce que Salvador Dali était à la peinture, un technicien hors-pair doublé d'un visionnaire.
Il aime le gore. Il adore les monstres. Les tripes de blorks dégommés l’amusent. Il a enfilé son inséparable casquette verte, s’est échauffé les pouces et a huilé ses joysticks… Oui, vous l’avez bien reconnu, Kid Paddle est de retour et pour la première fois chez Glénat ! Dans ce nouveau tome, on retrouve, avec toujours autant de plaisir, les zigouillages en règle de blorks en salle d’arcade, les séances de classes ou les explications du père ennuyeuses à mourir qui dégénèrent en vrais films de SF, les recettes spéciales de Kid pour Top Chef ou les célèbres tentatives ratées pour aller voir les films d’horreur au cinéma sur les épaules de son copain Horace.Voici déjà 14 tomes que Midam nous régale des aventures de Kid Paddle ! Loin de se répéter, il se renouvelle toujours aussi merveilleusement en surfant sur ces thématiques populaires chères aux jeunes (et aussi aux moins jeunes) : les jeux vidéo, le gore et la science-fiction. Preuve en est avec ce nouvel album plus abouti et plus drôle que jamais !
Deux frères peuvent-ils tomber amoureux de leur soeur en même temps ? Derrière cette épineuse question aux relents incestueux se cache en vérité une histoire d'amour d'une grande pudeur. Avant de s'affirmer comme un dessinateur d'exception avec MPD Psycho, Sho-U Tajima a écrit et dessiné cette histoire de triangle amoureux entre frères et soeur, avec beaucoup d'humour et de légèreté. Le résultat ? Un manga devenu un classique, oscillant constamment entre la comédie de moeurs et la peinture du Japon du début des années 90.
Deux frères peuvent-ils tomber amoureux de leur soeur en même temps ? Derrière cette épineuse question aux relents incestueux se cache en vérité une histoire d'amour d'une grande pudeur. Avant de s'affirmer comme un dessinateur d'exception avec MPD Psycho, Sho-U Tajima a écrit et dessiné cette histoire de triangle amoureux entre frères et soeur, avec beaucoup d'humour et de légèreté. Le résultat ? Un manga devenu un classique, oscillant constamment entre la comédie de moeurs et la peinture du Japon du début des années 90.
Sur Terre, à une époque indéterminée... À la mort de sa mère, le jeune Shichimi apprend l'existence de six demi-frères et soeurs nés du même père (inconnu), et de mères différentes ; il décide de partir à leur recherche. Mais tous sont la cible d'un mystérieux assassin, aux ordres du frère du Shôgun. Quel secret partagent donc les 7 sept « frères », qui effraie jusqu'aux plus hautes sphères du pouvoir oe... Avec un sens inouï du découpage, un graphisme d'une rare finesse et une peinture de personnages tout en humour et en délicatesse, Niji-Iro Tohgarashi est une oeuvre sublime enfin présentée au public francophone.
Sur Terre, à une époque indéterminée... À la mort de sa mère, le jeune Shichimi apprend l'existence de six demi-frères et soeurs nés du même père (inconnu), et de mères différentes ; il décide de partir à leur recherche. Mais tous sont la cible d'un mystérieux assassin, aux ordres du frère du Shôgun. Quel secret partagent donc les 7 sept « frères », qui effraie jusqu'aux plus hautes sphères du pouvoir ?... Avec un sens inouï du découpage, un graphisme d'une rare finesse et une peinture de personnages tout en humour et en délicatesse, Niji-Iro Tohgarashi est une oeuvre sublime enfin présentée au public francophone.
Sur Terre, à une époque indéterminée... À la mort de sa mère, le jeune Shichimi apprend l'existence de six demi-frères et soeurs ayant le même père (inconnu), et de mère différente ; il décide de partir à leur recherche. Mais tous sont la cible d'un mystérieux assassin, aux ordres du frère du Shôgun. Quel secret partagent donc les 7 sept frères, qui effraie jusqu'aux plus hautes sphères du pouvoir ?... Avec un sens inouï du découpage, un graphisme d'une rare finesse et une peinture de personnages tout en humour et en délicatesse, Niji-iro Tôgarashi est une oeuvre sublime enfin présentée au public francophone.
Sur Terre, à une époque indéterminée À la mort de sa mère, le jeune Shichimi apprend l'existence de six demi-frères et s ur ayant le même père (inconnu), mais de mères différentes ; il décide de partir à leur recherche. Mais tous sont la cible d'un mystérieux assassin aux ordres du frère du Shôgun. Quel secret partagent donc les sept « frères », qui effraie jusqu'aux plus hautes sphères du pouvoir ? Avec un sens aigu du découpage, un graphisme d'une rare finesse et une peinture des personnages tout en humour et en délicatesse, « Niji-iro Tohgarashi » est une uvre sublime enfin présentée au public francophone.
Sur Terre, à une époque indéterminée À la mort de sa mère, le jeune Shichimi apprend l'existence de six demi-frères et s ur ayant le même père (inconnu), mais de mères différentes ; il décide de partir à leur recherche. Mais tous sont la cible d'un mystérieux assassin aux ordres du frère du Shôgun. Quel secret partagent donc les sept « frères », qui effraie jusqu'aux plus hautes sphères du pouvoir ? Avec un sens aigu du découpage, un graphisme d'une rare finesse et une peinture des personnages tout en humour et en délicatesse, « Niji-iro Tohgarashi » est une uvre sublime enfin présentée au public francophone.
Sur Terre, à une époque indéterminée À la mort de sa mère, le jeune Shichimi apprend l'existence de six demi-frères et s ur ayant le même père (inconnu), mais de mères différentes ; il décide de partir à leur recherche. Mais tous sont la cible d'un mystérieux assassin aux ordres du frère du Shôgun. Quel secret partagent donc les sept « frères », qui effraie jusqu'aux plus hautes sphères du pouvoir ? Avec un sens aigu du découpage, un graphisme d'une rare finesse et une peinture des personnages tout en humour et en délicatesse, « Niji-iro Tohgarashi » est une uvre sublime enfin présentée au public francophone.
Sur Terre, à une époque indéterminée À la mort de sa mère, le jeune Shichimi apprend l'existence de six demi-frères et s ur ayant le même père (inconnu), mais de mères différentes ; il décide de partir à leur recherche. Mais tous sont la cible d'un mystérieux assassin aux ordres du frère du Shôgun. Quel secret partagent donc les sept « frères », qui effraie jusqu'aux plus hautes sphères du pouvoir ? Avec un sens aigu du découpage, un graphisme d'une rare finesse et une peinture des personnages tout en humour et en délicatesse, « Niji-iro Tohgarashi » est une uvre sublime enfin présentée au public francophone.
Sur Terre, à une époque indéterminée À la mort de sa mère, le jeune Shichimi apprend l'existence de six demi-frères et s ur ayant le même père (inconnu), mais de mères différentes ; il décide de partir à leur recherche. Mais tous sont la cible d'un mystérieux assassin aux ordres du frère du Shôgun. Quel secret partagent donc les sept « frères », qui effraie jusqu'aux plus hautes sphères du pouvoir ? Avec un sens aigu du découpage, un graphisme d'une rare finesse et une peinture des personnages tout en humour et en délicatesse, « Niji-iro Tohgarashi » est une uvre sublime enfin présentée au public francophone.
Sur Terre, à une époque indéterminée... À la mort de sa mère, le jeune Shichimi apprend l'existence de six demi-frères et soeurs ayant le même père (inconnu), et de mère différente ; il décide de partir à leur recherche. Mais tous sont la cible d'un mystérieux assassin, aux ordres du frère du Shôgun. Quel secret partagent donc les 7 sept « frères », qui effraie jusqu'aux plus hautes sphères du pouvoir ?... Avec un sens inouï du découpage, un graphisme d'une rare finesse et une peinture de personnages tout en humour et en délicatesse, Niji-iro Tohgarashi est une oeuvre sublime enfin présentée au public francophone.
Dans l’univers de Fairy Quest, le monde des fées et des contes pour enfants est huilé comme une horloge suisse. Tout est définitivement écrit, et il ne faut jamais sortir de l’histoire. Mais que se passe-t-il quand Le Petit Chapeau Rouge, épuisé(e) de réinterpréter chaque jour la même histoire, d’arpenter de façon répétitive la même route et le même chemin, de déclamer perpétuellement les mêmes discours, décide avec son complice le Loup de sortir des sentiers battus et de s’émanciper du scénario ? Et pourront-ils vraiment devenir libres, alors que l’infâme monsieur Grimm lance ses hommes de main à leurs trousses ?Dans cette aventure pour petits et grands, Paul Jenkins et Humberto Ramos nous invitent à découvrir le monde merveilleux des contes de fées de notre enfance, en les revisitant… du coté de leurs protagonistes principaux. Les auteurs nous embarquent ainsi dans un somptueux voyage où l’on croisera, sous leurs vraies personnalités, Peter Pan, la fée Clochette, Hansel, Gretel et bien d’autres encore. Fairy Quest est une saga prévue en 4 tomes.
Un troisième round tout en surprises, en humour et en castagne inattendues ! Rien ne va plus pour Kuro et ses copains ! Rentrés par jeu dans un groupe de Bao Battle, une étonnante technique de combat où tous les coups sont permis (y compris la couture, la cuisine ou la peinture !) ils sont maintenant contraints à la clandestinité depuis l´arrestation de Moko, leur mentor et maître. Pourchassés par les sbires du Gouverneur, ancien compagnon de Moko, qui en rendant le Bao Battle illégal espère rester le seul maître en activité, les trois enfants se cachent. Et commencent à avoir le mal du pays... Heureusement, lorsque on est entre copains, l´espoir n´est jamais bien loin !
À quoi ressembleraient les plus grandes oeuvres d'art du monde si elles n'avaient pas été réalisées par des êtres humains, mais par des... canards ? C'est la question à laquelle tente de répondre le groupe d'artistes interDuck dans L'Art du Canard. En peinture, photographie, gravure ou sculpture, ils réinventent notre patrimoine culturel en l'affublant de becs, de plumes et de pieds palmés. En résulte une galerie d'oeuvres symboliques et réinterprétées façon canard - des tombeaux égyptiens à la Joconde - nous plongeant dans un monde imaginaire et crédible à la fois...Cet ouvrage en trois langues (Français, Anglais et Allemand) accompagne deux expositions des pièces qu'il rassemble, se tenant en 2016 au festival d'Angoulême et au Couvent Saint-Cécile à Grenoble.
Une créature mythique. Un chef d'oeuvre de la littérature.Au tournant du XIXe siècle, au pôle Nord, un explorateur rencontre le jeune scientifique et artiste désabusé Victor von Duckenstein. Celui-ci lui révèle rapidement qu'il est à la poursuite d'un dangereux monstre qu'il a lui-même créé une construction de carton et de peinture vivante, créée par d'anciens moyens alchimiques combinés aux progrès scientifiques modernes. Victor et la créature, Growl, se relaient pour raconter leur histoire aussi effrayante qu'extraordinaire...Après Moby Dick et L'Île aux trésors, retrouvez un autre grand classique de la littérature internationale façon Disney ! Pour cette adaptation, les auteurs s'éloignent du mythe hollywoodien pour revenir aux sources du roman original de Mary Shelley.
Vous ne pourrez plus le voir en peinture !!!Tout le monde connait Dickie, le petit paysan qui sabote tout ce qu'il touche. Eh bien celui qui s'en est déjà pris à la grande Histoire, au cinéma, aux contes de fées et à la science-fiction, débarque cette fois-ci dans les musées ! Des peintures rupestres à l'art moderne, en passant par les chefs-d'oeuvre de la Renaissance et de l'Impressionnisme, redécouvrez Picasso, Van Gogh, de Vinci, Hockney ou Mondrian revisités à la sauce Dickie !Pieter de Poortere use à nouveau de son sens inégalé du trash et de l'absurde pour nous livrer une série de gags muets de son moustachu favori dans les coulisses désopilantes des plus grands chefs-d'oeuvre de l'histoire de l'art. Avec Dickie au musée, l'art devient tout sauf ennuyeux !
14 juillet 1789, prise de la Bastille. Le peintre Jacques-Louis David a 41 ans. Ami et protégé de Robespierre, il peint très peu durant les premières années de la Révolution, tout entier consacré à son engagement politique et à la transformation du palais du Louvre en musée. En juillet 1794, après deux années de terreur, la France se débarrasse de Robespierre et jette l'artiste en prison. Derrière les barreaux, David parvient à se procurer du matériel de peinture et dessine avec fébrilité un célèbre autoportrait. Par miracle, il échappe à la mort. Prenant alors conscience qu'il est un peintre avant d'être un homme politique, il se jure de ne plus jamais quitter ses pinceaux. En prison, il a d'ailleurs eu l'idée d'une toile monumentale qui prônerait la réconciliation entre les royalistes et les révolutionnaires...
Voici le grand retour du « Mercenaire », série culte qui compte un grand nombre de fans et qu'il n'est plus nécessaire de présenter... Segrelles explore, avec toujours autant de brio, le décorum de l'heroic fantasy. Les épées côtoient les vaisseaux spatiaux, les chevaliers montent des griffons et les Dieux vivent à l'égal des hommes ... Quand Conan le Barbare rencontre Gustave Moreau, la BD devient une peinture, et « Le Mercenaire » un chant baroque et sauvage. Roi de l'Heroïc Fantasy, Segrelles trace des tableaux grandioses qui font de lui le chantre des aventures de ce guerrier imperturbable au sourire de marbre... Son dessin d'un grand réalisme n'empêche pourtant pas son imagination débridée de se déployer avec éclat et de nous emmener dans des mondes légendaires tous plus fabuleux les uns que les autres. « Le Mercenaire » a marqué de son empreinte l'histoire de la bande dessinée.
Voici le grand retour du Mercenaire, série culte qui compte un grand nombre de fans et qu'il n'est plus nécessaire de présenter... Segrelles explore, avec toujours autant de brio, le décorum de l'heroic fantasy. Les épées côtoient les vaisseaux spatiaux, les chevaliers montent des griffons et les dieux vivent à l'égal des hommes... Quand Conan le Barbare rencontre Gustave Moreau, la BD devient une peinture et Le Mercenaire un chant baroque et sauvage.Roi de l'heroic fantasy, Segrelles trace des tableaux grandioses qui font de lui le chantre des aventures de ce guerrier imperturbable au sourire de marbre... Son dessin d'un grand réalisme n'empêche pourtant son imagination débridée de se déployer avec éclat et de nous emmener dans des mondes légendaires tous plus fabuleux les uns que les autres. Le Mercenaire a marqué de son empreinte l'histoire de la bande dessinée.
Antigone, fille d'Oedipe, s'apprête à braver l'interdit du roi de Thèbes en accomplissant les rites funéraires destinés à son frère, le paria Polynice. Pour ce geste, elle risque la mort. Mais c'est le prix à payer pour ce qu'elle estime être son devoir : envers l'amour qu'elle porte à son frère, envers les dieux. Son propre oncle, le roi Créon, ira-t-il jusqu'à la condamner en dépit des lois divines, non écrites et éternelles ? Antigone, son fiancé Hémon et le devin Tirésias parviendront-ils à le faire changer d'avis ?Régis Penet adapte Antigone de Sophocle restituant, dans un époustouflant travail graphique en peinture sur bois, toute la force dramatique et la puissance philosophique de ce récit fondateur. En fin d'ouvrage, un appareil critique rédigé par un spécialiste de Sophocle recontextualise l'importance et la contemporanéité de la pièce originale.
Août 1918, New York, sur «l'Île des larmes» : Ellis Island. Missak Zacharian, 15 ans, est encore poursuivi par le long cauchemar qu'il a vécu en Turquie, lorsque lui et sa famille arménienne ont été pourchassés par les Turcs. Seul lui en a réchappé par miracle. Il a enfin atterri en Amérique, terre de tous les possibles, où il doit retrouver ses grands-parents. Alors malgré les conditions difficiles d'entrée sur le territoire américain, malgré le racisme, malgré la mafia, Missak va tenter de survivre, de toutes ses forces. Même si pour cela, il doit trahir ceux qu'il a laissé derrière lui... Suite de l'arc arménien des Fleury-Nadal, préquel de la saga du Décalogue, avec un nouveau diptyque centré autour du jeune Missak. Frank Giroud réalise à nouveau une peinture admirable de l'histoire d'un pays, en posant sur ses personnages un regard profondément humanistes.
En Haute-Provence, un peintre vieillissant et alcoolique est assassiné par une jeune femme aussi belle que mystérieuse...Quinze jours plus tôt, au St-James Infirmary, au Royaume-Uni, nous retrouvons la belle Ellen Oliver, héroïne des deux premiers tomes, qui reprend son poste d'infirmière après une année sabbatique durant laquelle elle s'est consacrée à la peinture. Lors du vernissage de sa première exposition, elle est approchée par Lloyd Eckelton, riche amateur d'art. Ils ne tardent pas à se découvrir un ami commun, Luke Sigourney, peintre ayant enseigné à Ellenles subtilités du pinceau.Lorsque le lecteur comprend que ce peintre est celui qui sera assassiné deux semaines plus tard et que la soeur d'Eckelton est impliquée dans la machination, un terrible suspense commence à naître, suspense qui ne lâchera pas le lecteur jusqu'à la dernière planche.
Georges de la Tour, peintre et petit bourgeois, est dans la tourmente alors que la cité de Lunéville est assiégée par les troupes de Louis XIII. La guerre de Trente Ans fait rage, aussi prend-il la décision de mettre les siens à l'abri dans la ville de Nancy. Mais plus que la situation politique, c'est sa vie de famille qui le préoccupe. Son propre fils, Étienne, semble avoir un goût modéré pour la peinture et il n'est pas sûr du tout qu'il souhaite prendre sa succession. L'héritage du peintre est incertain, surtout lorsqu'un incendie ravageur survient. La Tour imagine ses tableaux rongés les uns après les autres par le feu qui consume la ville. Que restera-t-il de son oeuvre ? Tout ou presque, car l'image des flammes dansantes fait imaginer au maître du clair-obscur de nouveaux effets de lumières pour ses prochains tableaux - La Madeleine à la veilleuse, entre autres.
Gand, le 14 septembre 1426. Hubert Van Eyck décède prématurément alors qu'il travaillait sur le Retable de l'Agneau mystique, une pièce destinée à l'église Saint-Jean. Ce travail inachevé met son commanditaire, le marchand Joost Vijdt, dans l'embarras. Mais Van Eyck avait un frère, qu'il avait initié à la peinture, et qui pourrait bien être en mesure de terminer l'oeuvre.La mort soudaine de son frère pousse Jan Van Eyck, alors au service du duc de Bourgogne comme peintre et émissaire secret, à s'interroger sur le sens de sa propre vie. Il se demande s'il ne ferait pas mieux de retourner à ses pinceaux. Magnanime, son maître l'autorise à terminer le retable, à l'aide d'un nouveau procédé pictural tenu secret, s'il accepte une dernière mission diplomatique pour Constantinople. C'est justement au cours de ce voyage que Jan Van Eyck va trouver l'inspiration et les modèles pour achever l'oeuvre de son frère...
La Pologne traverse une crise politique qui déchire ses habitants. Les rues de Varsovie s'emplissent de rumeurs et de cris contre le nouveau président élu, tandis que les révolutionnaires sont traqués...Mais Frédéric Cyprian et le couple Zinguleski traversent bien d'autres abîmes, puisque la douce Eliza, malgré elle, ne peut cacher à son mari son amour naissant pour le jeune peintre. Fuyant le foyer conjugal, on lui découvre un talent qu'elle prend grand soin de cacher. Durant ses absences, Adam, en manque d'inspiration, cherche toujours à percer le talent de Frédéric, les installant ainsi tous deux dans une relation de respect et d'amitié.Mais la passion s'accommode mal des compromis, et elle s'empare aussi bien des destins du trio amoureux que de celui de leurs proches, l'heure est aux règlements de comptes... Un récit peint à la manière des plus grands maîtres !
Kuro et ses copains sont rentrés par jeu dans un groupe de Bao Battle, une étonnante technique de combat où tous les coups sont permis (y compris la couture, la cuisine ou la peinture !). Mais le Bao Battle n'est pas un simple divertissement, c'est surtout un art où se cristallisent de dangereuses luttes de pouvoir ! Les soldats du gouverneur terrorisent toujours la population, et le gang des « Dead Zoulous » est de retour dans le village avec la ferme intention de mettre un terme à cette dictature, mais aussi de venger la mort de leur ami Djala. Avec l'appui de Moko, leur Maître, et de la guilde « Bao Justice », ils lancent avec tous les enfants du village la Grande Révolution ! Tout les éléments sont en place pour le titanesque combat final qui verra s'opposer les deux amis d'antan, Kuro et Melka, et déterminera le sort du pays.Une série au graphisme incroyable, un ton à la Titeuf et un univers à la Dragon Ball : apprenez sans tarder les règles du Bao Battle !
Une fable intime, fantastique et somptueuse.Depuis la disparition de sa femme, William vit reclus dans sa maison située entre une côte brumeuse et une forêt aux allures de conte de fées. Incapable de se reconstruire, il mène une existence solitaire et sans saveur, ne parvenant à se réfugier que dans la peinture. Ses seules visites de l'extérieur sont Victor, son ami et agent, et Rosalie, sa jeune modèle. Jusqu'au jour où William fait la rencontre d'une sirène. Une créature aussi belle que farouche pour laquelle il nourrit des sentiments contradictoires. Est-elle seulement réelle ? Ou ne s'agit-il que d'une illusion venue pour remplacer le fantôme de sa femme disparue ?Après ses adaptations remarquées de Maupassant ou Zweig, Guillaume Sorel revient à un scénario original en signant cette très belle fable fantastique au coeur de la psyché d'un artiste en plein deuil. Un sujet fort qu'il parvient à transcender avec délicatesse par son sens de l'imaginaire et ses somptueuses illustrations en couleur directe.
Depuis la disparition brutale de sa mère, la petite Elsa s'enferme dans un univers qui l'éloigne de ceux qui cherchent à communiquer avec elle. Ses seuls outils : les quelques mots quotidiens qu'elle sort avec parcimonie de son sac à mots et un don inné pour la peinture. Mais sa mère vit dans une secte où Elsa sera retenue prisonnière. Fred, le père de l'enfant, va tenter par tous les moyens d'arracher sa fille des mains de ces dangereux mystiques qui ne semblent pas vivre uniquement de préceptes religieux mais aussi de trafics et d'extorsions... Makyo et Faure nous livrent ici le troublant tableau d'une jeune fille illuminée par la poésie de l'image, abordant avec pudeur le thème de l'errance brisée et avec colère celui des sectes et de leurs dangers. Cette intégrale comprend un cahier supplémentaire où vous pourrez découvrir un nouveau texte de Makyo accompagné de nombreux dessins inédits de Faure, poursuivant la magie de cette grande histoire.
Des enfants vont déterminer le destin de leur pays grâce au Bao Battle ! Kuro et ses copains sont rentrés par jeu dans un groupe de Bao Battle, une étonnante technique de combat où tous les coups sont permis (y compris la couture, la cuisine ou la peinture !). Mais le Bao Battle n'est pas un simple divertissement, c'est surtout un art où se cristallisent de dangereuses luttes de pouvoir ! Les soldats du gouverneur terrorisent toujours la population, et le gang des Dead Zoulous est de retour dans le village avec la ferme intention de mettre un terme à cette dictature, mais aussi de venger la mort de leur ami Djala. Avec l'appui de Moko, leur Maître, et de la guilde Bao Justice, ils lancent avec tous les enfants du village la Grande Révolution ! Tous les éléments sont en place pour le titanesque combat final qui verra s'opposer les deux amis d'antan, Kuro et Melka, et déterminera le sort du pays... Une série au graphisme incroyable, un ton à la Titeuf et un univers à la Dragon Ball : apprenez sans tarder les règles du Bao Battle !
Paris, 1904. Eugène Pigot, jeune peintre sans le sou, essaye de vivoter en vendant une toile de ci de là. Monsieur Philippe Lechat, critique d'art avisé et acheteur attitré de la galerie Stern se rend un jour à son atelier pour lui acheter une toile. Il tombe par hasard sur une peinture curieuse qui attire toute son attention. Ne ressemblant à rien de connu, elle semble préfigurer le cubisme - que nos héros ne connaissent pas encore, pour cause - de plusieurs années. Mais le plus étrange dans cette affaire, c'est que Pigot ne se souvient absolument pas avoir peint cette toile. Et il trouve ça bien meilleur que ce qu'il fait habituellement... Et Pigot se dit alors qu'il est mûr pour l'asile... Même plus capable de se souvenir de ce qu'il a peint...C'est l'histoire de ce peintre sombrant peu à peu dans la folie, entre schizophrénie et paranoïa, que nous invite à suivre Emmanuel Moynot dans ce superbe album. Une merveille excellemment documentée, réalisée par la main d'un grand artiste de la bande dessinée.Anatomie du désordre est le premier titre de la collection Carrément 20/20, subdivision de Carrément BD qui permet à des auteurs talentueux de s'exprimer toujours au format carré, mais en format souple et sur 120 pages !
Frédéric Cyprian est peintre. Personnage froid et posé, il a l'habitude de provoquer en duel au pistolet ses confrères dont il juge l'art indigne. Il en a déjà tué plusieurs. Son ami Nicolas l'entraîne dans une réunion de son groupe occulte « les Frères Géniaux », bande d'allumés jouant à la roulette russe. Frédéric y fait preuve d'un courage incroyable, comme s'il n'avait pas peur de la mort. « Pour jouer vraiment le jeu de la vie, il faut être déjà mort », dit-il. Et justement... A son douzième duel, une balle de plomb lui a déchiré le poumon et il est resté trois mois coincé entre la vie et la mort. Depuis qu'il est revenu, il n'arrive plus à vivre. Il veux revoir la lumière qu'il a connue de l'autre côté, car il prétend avoir vu des cho ses qu'il n'aurait jamais dû voir... Son frère, prêtre, essaie de le ramener à la raison. Mais la seule chose qui le retienne à la vie est une image... un visage de femme... Sa beauté a quelque chose à voir avec ce qu'il a vécu quand il était entre la vie et la mort... Ce visage, il l'a vu sur un tableau... dont le peintre se nomme Adam... Et cette femme est sa compagne.Nouvelle série bouleversante signée Faure et Makyo, épaulé au scénario par l'écrivain Richaud.
Le roman le plus emblématique de la littérature française, majestueusement adapté en bande dessinéeL'histoire, nous la connaissons tous : dans le Paris grouillant du XVe siècle, une magnifique et jeune gitane danse sur le parvis de la cathédrale Notre Dame de Paris. La beauté d'Esmeralda est son trésor, mais elle causera aussi sa perte. En effet, l'archidiacre de Notre Dame, Claude Frollo, s'éprend éperdument de la belle, et tente de la faire capturer par son sonneur de cloche, le bossu Quasimodo. Il est mis en échec par le flamboyant capitaine Phoebus, qui lui aussi est attiré par Esmeralda, bien qu'étant déjà fiancé à la douce Fleur-de-Lys… Pris entre les désirs coupables de ces trois hommes, le destin d'Esmeralda ne peut plus désormais avoir d'issue heureuse…Robin Recht et Jean Bastide ont choisi de s'approprier ce roman universel de Victor Hugo en une série de trois tomes. Tout dans leur version fait honneur au texte immortel : la fluidité de la narration et la mise en scène, la peinture du Paris du Moyen Âge ainsi que la justesse des visages des protagonistes. Une très belle occasion de redécouvrir ce roman, par les yeux de deux jeunes auteurs éminemment talentueux.
Frédéric Cyprian est en plein duel avec la capitaine Rosier. Lors des coups de feu, personne n'est touché, Frédéric semble soulagé mais Rosier souhaite poursuivre Bien mal lui en a pris puisque Frédéric l'abat. Pour la première fois, il en souffre, il pleure même, et annonce qu'il ne se battra plus jamais en duel Qu'est qui a bien pu le faire changer comme cela ? Nous retrouvons alors le grand peintre Adam Zinguleski, affalé au fond d'un bar, en train de devenir fou. Depuis qu'il a vu la toile de Cyprian, il n'est plus le même homme. De retour chez lui, il s'en prend à Eliza, sa muse et compagne, qui a forcé la porte de l'atelier pour y découvrir ses toiles, malgré son interdiction. Adam est plus abattu que jamais. Il vient de faire unedécouverte importante : il n'a jamais été peintre Visiblement, il sombre dans la folie la plus noire. Il souhaite aller à la rencontre de Cyprian pour comprendre pourquoi, si lui court après l'inspiration, est-ce l'inspiration qui court après Frédéric ? Qu'y a-t-il de si étrange chez ce jeune homme qui en fasse quelqu'un d'hors du commun ? Voici déjà le second tome de cette bouleversante série signée Faure, Makyo et Richaud, dont le premier fut plébiscité à juste titre.
Des destins de femmes sacrifiées sur l'autel du progrès.New Jersey, 1918. Edna Bolz entre comme ouvrière à l'United State Radium Corporation, une usine qui fournit l'armée en montres. Aux côtés de Katherine, Mollie, Albina, Quinta et les autres, elle va apprendre le métier qui consiste à peindre des cadrans à l'aide de la peinture Undark (une substance luminescente très précieuse et très chère) à un rythme constant. Mais bien que la charge de travail soit soutenue, l'ambiance à l'usine est assez bonne. Les filles s'entendent bien et sortent même ensemble le soir. Elles se surnomment les « Ghost Girls » : par jeu, elles se peignent les ongles, les dents ou le visage afin d'éblouir (littéralement) les autres une fois la nuit tombée. Mais elles ignorent que, derrière ses propriétés étonnantes, le Radium, cette substance qu'elles manipulent toute la journée et avec laquelle elles jouent, est en réalité mortelle. Et alors que certaines d'entre elles commencent à souffrir d'anémie, de fractures voire de tumeur, des voix s'élèvent pour comprendre. D'autres, pour étouffer l'affaire...La dessinatrice Cy nous raconte le terrible destin des Radium Girls, ces jeunes femmes injustement sacrifiées sur l'autel du progrès technique. Un parcoursde femmes dans la turbulente Amérique des années 1920 où, derrière l'insouciance lumineuse de la jeunesse, se joue une véritable tragédie des temps modernes.
Paris, 1860. Hippolyte Beauchamp, jeune peintre doué et ambitieux, est venu conquérir Montmartre armé de ses pinceaux et de sa fougue. Il peut compter sur l'aide de son ami d'enfance et riche héritier, Maxime. Un soir, éméchés par l'absinthe, ils se font attaquer par deux voyous. À l'issue de l'affrontement, Hippolyte perd son meilleur ami et tue l'un de ses agresseurs. Le regard de cet homme mort de sa main fait naître au coeur de l'artiste une émotion si forte qu'il peint avec rage dans la nuit un tableau bouleversé et magistral. Le succès est immédiat : les critiques se précipitent et portent aux nues ce chef d'oeuvre. L'artiste pressent le piège qui est en train de se refermer sur lui. Il plonge alors dans ce qu'il appellera son « Paradis de la Terreur ». Pour chaque toile, un crime...Neuf arts. Neuf crimes. Une vie.Rikers Island. Etats-Unis. 1973. Du fond de sa cellule, un serial killer condamné à perpétuité va aller au bout d'un projet narratif unique et insensé : 9 arts, 9 crimes, 9 histoires.À travers une série de 9 albums qui explorent la fièvre créatrice quand elle devient vertige et engendre la folie meurtrière, L'Art du Crime va devenir le projet fou de cet homme, Rudi Boyd Fletcher.Chaque album nous décrit une intrigue criminelle liée à l'un des 9 arts majeurs : peinture, littérature, sculpture, cinéma, musique, architecture, théâtre, audiovisuel et, bien entendu, bande dessinée.Chaque tome, réalisé par un dessinateur différent, possède ainsi son propre univers puisqu'il se déroule dans des lieux et époques variées. Mais au fur et à mesure des albums va se dessiner une arche narrative d'ensemble - du jamais vu en bande dessinée -, qui se révèlera pleinement au tome 9 et offrira à Rudi la liberté et la rédemption, dans une ultime révélation...
Manhattan, 1972. Art Blumenfeld, un vieux milliardaire philanthrope qui a fait fortune dans le cinéma, envoie une lettre à Nora Hathaway, une jeune métisse indienne, pour la presser de venir le retrouver à New York. À l'intérieur de l'enveloppe se trouve également l'exemplaire d'une BD culte parue dans les années 1940 : La Piste de Mesa Verde, dont l'auteur Curtis Lowell est mort accidentellement. Un album inachevé qui nourrit depuis des années l'obsession de Rudi Boyd Fletcher. Lorsque Nora arrive chez Blumenfeld, le vieil homme est déjà mort, victime de la folie d'un homme et de sa quête sanglante... Arrêtée par la police et accusée du crime, Nora ne pourra compter que sur un homme : John Stoner dit Snail, un flic atypique. Il est le seul à la croire. Mais pourla sauver, Snail va devoir pourchasser Rudi et pour cela, partir lui aussi à la recherche des cinq planches manquantes. Si elles existent...Neuf arts. Neuf crimes. Une vie.Rikers Island. Etats-Unis. 1973. Du fond de sa cellule, un serial killer condamné à perpétuité va aller au bout d'un projet narratif unique et insensé : 9 arts, 9 crimes, 9 histoires.À travers une série de 9 albums qui explorent la fièvre créatrice quand elle devient vertige et engendre la folie meurtrière, L'Art du Crime va devenir le projet fou de cet homme, Rudi Boyd Fletcher.Chaque album nous décrit une intrigue criminelle liée à l'un des 9 arts majeurs : peinture, littérature, sculpture, cinéma, musique, architecture, théâtre, audiovisuel et, bien entendu, bande dessinée.Chaque tome, réalisé par un dessinateur différent, possède ainsi son propre univers puisqu'il se déroule dans des lieux et époques variées. Mais au fur et à mesure des albums va se dessiner une arche narrative d'ensemble - du jamais vu en bande dessinée -, qui se révèlera pleinement au tome 9 et offrira à Rudi la liberté et la rédemption, dans une ultime révélation...
Auteur encore injustement méconnu en France, Kazuo Umezu fait pourtant partie de la famille des très grosses pointures de la bande dessinée mondiale, aux côtés de Moebius, Alan Moore, Hergé ou Neil Gaiman. Au Japon, il porte officieusement le titre de « Dieu du manga d'horreur ». Mais pour beaucoup de nippons, dont l'enfance a été bercée par ses uvres, cet auteur mythique est tout bonnement l'égal d'Osamu Tezuka, catapulté lui « Dieu du manga » tout court.L'école emportée, son manga le plus célèbre, narre la disparition brutale d'une école primaire et de tous ses occupants, mystérieusement projetée dans un monde désertique, dépourvu de vie, où le sable dispute à un ciel aux brumes obscures les limites incertaines de l'horizon noir. Complètement dépassés par la situation, les adultes chargés de la protection des enfants vont se révéler incapables d'assurer leur rôle. Certains laisseront libre cours à leur folie naissante, d'autres préfèreront le suicide.C'est dans ce monde que les enfants, désemparés, à court de repères tant familiaux que géographiques, se devront à eux seuls de s'accorder l'espoir d'une survie improbable.Umezu est fasciné par les aspects les plus sombres de la nature humaine. Ses uvres peuvent être lues comme des cauchemars dont le lecteur, quand bien même il le voudrait,ne pourrait s'échapper. S'impliquant au même titre que ses protagonistes, l'auteur se livre à des expériences émotionnelles d'une intensité inédite en bande dessinée.L'école emportée, écrite voilà trente ans, n'a pourtant jamais été égalée dans sa tragique peinture de la condition humaine. Si l'horreur (sous toutes ses formes) et la peur semblent être les domaines de prédilection d'Umezu, elles ne sont que les éléments d'une oeuvre dont le propos est avant tout universel, libre de toute contingence morale. Ainsi, ses principaux récits se révèlent être d'incroyables histoires d'amours. Celle qui se cache dans l'école emportée est sans doute l'une des plus belles jamais écrites.Ce chef d' uvre est présenté dans un nouveau format poche dédié aux grands classiques du manga, et compte six volumes au total.
Auteur encore injustement méconnu en France, Kazuo Umezu fait pourtant partie de la famille des très grosses pointures de la bande dessinée mondiale, aux côtés de Moebius, Alan Moore, Hergé ou Neil Gaiman. Au Japon, il porte officieusement le titre de « Dieu du manga d'horreur ». Mais pour beaucoup de nippons, dont l'enfance a été bercée par ses uvres, cet auteur mythique est tout bonnement l'égal d'Osamu Tezuka, catapulté lui « Dieu du manga » tout court.L'école emportée, son manga le plus célèbre, narre la disparition brutale d'une école primaire et de tous ses occupants, mystérieusement projetée dans un monde désertique, dépourvu de vie, où le sable dispute à un ciel aux brumes obscures les limites incertaines de l'horizon noir. Complètement dépassés par la situation, les adultes chargés de la protection des enfants vont se révéler incapables d'assurer leur rôle. Certains laisseront libre cours à leur folie naissante, d'autres préfèreront le suicide.C'est dans ce monde que les enfants, désemparés, à court de repères tant familiaux que géographiques, se devront à eux seuls de s'accorder l'espoir d'une survie improbable.Umezu est fasciné par les aspects les plus sombres de la nature humaine. Ses uvres peuvent être lues comme des cauchemars dont le lecteur, quand bien même il le voudrait,ne pourrait s'échapper. S'impliquant au même titre que ses protagonistes, l'auteur se livre à des expériences émotionnelles d'une intensité inédite en bande dessinée.L'école emportée, écrite voilà trente ans, n'a pourtant jamais été égalée dans sa tragique peinture de la condition humaine. Si l'horreur (sous toutes ses formes) et la peur semblent être les domaines de prédilection d'Umezu, elles ne sont que les éléments d'une oeuvre dont le propos est avant tout universel, libre de toute contingence morale. Ainsi, ses principaux récits se révèlent être d'incroyables histoires d'amours. Celle qui se cache dans l'école emportée est sans doute l'une des plus belles jamais écrites.Ce chef d' uvre est présenté dans un nouveau format poche dédié aux grands classiques du manga, et compte six volumes au total.
Auteur encore injustement méconnu en France, Kazuo Umezu fait pourtant partie de la famille des très grosses pointures de la bande dessinée mondiale, aux côtés de Moebius, Alan Moore, Hergé ou Neil Gaiman. Au Japon, il porte officieusement le titre de « Dieu du manga d'horreur ». Mais pour beaucoup de nippons, dont l'enfance a été bercée par ses uvres, cet auteur mythique est tout bonnement l'égal d'Osamu Tezuka, catapulté lui « Dieu du manga » tout court. L'école emportée, son manga le plus célèbre, narre la disparition brutale d'une école primaire et de tous ses occupants, mystérieusement projetée dans un monde désertique, dépourvu de vie, où le sable dispute à un ciel aux brumes obscures les limites incertaines de l'horizon noir. Complètement dépassés par la situation, les adultes chargés de la protection des enfants vont se révéler incapables d'assurer leur rôle. Certains laisseront libre cours à leur folie naissante, d'autres préfèreront le suicide. C'est dans ce monde que les enfants, désemparés, à court de repères tant familiaux que géographiques, se devront à eux seuls de s'accorder l'espoir d'une survie improbable. Umezu est fasciné par les aspects les plus sombres de la nature humaine. Ses uvres peuvent être lues comme des cauchemars dont le lecteur, quand bien même il le voudrait,ne pourrait s'échapper. S'impliquant au même titre que ses protagonistes, l'auteur se livre à des expériences émotionnelles d'une intensité inédite en bande dessinée. L'école emportée, écrite voilà trente ans, n'a pourtant jamais été égalée dans sa tragique peinture de la condition humaine. Si l'horreur (sous toutes ses formes) et la peur semblent être les domaines de prédilection d'Umezu, elles ne sont que les éléments d'une oeuvre dont le propos est avant tout universel, libre de toute contingence morale. Ainsi, ses principaux récits se révèlent être d'incroyables histoires d'amours. Celle qui se cache dans l'école emportée est sans doute l'une des plus belles jamais écrites. Ce chef d' uvre est présenté dans un nouveau format poche dédié aux grands classiques du manga, et compte six volumes au total.