Premier album de FEINDREHSTAR sur le label MUSSIKKRAUSE pour un melting pot de jazz fusion incluant funk, hip hop, house le tout joué live par un sextet comprenant trompette, saxophone, scratch et samples, percussions, piano, batterie, claviers. Enregistré dans les studios de JAZZANOVA et mixé par MICHAEL BAUMANN (SOULPHICTION / JACKMATE), cet album se veut live et souvent proche de l'improvisation, ce qui n'est pas sans rappeler la vocation première du groupe : le live puisqu'ils tournent depuis maintenant 10 ans.
Resting Love est le premier EP d'After the Bees, une formation surprenante qui mêle guitare, chant, harpe et batterie, évoluant dans un univers folk délicat qui s'autorise quelques incartades rock. A l'origine de ce projet, Alexandra Guillot compose des chansons guitare voix, et s'est entourée ensuite de Cécile Gravot à la harpe et de Samuel Baubry à la batterie. Dans cet EP on entend aussi Benoît Gautier (guitare), Vincent Echard (trompette), Amandine Dolé (violoncelle), et Cécile Favereau (violon).
Le Très Jazz Club présente pour sa septième sortie cet éblouissant album jazz modal du Naosuke Miyamoto Sextet sorti en 1973 sur la label Three Blind Mice et réédité pour la toute première fois. Emmené par Naosuke Miyamoto à la basse, accompagné de Masayoshi Yoneda au piano et Takashi Goto au sax, Step! est une perle jazz modal. Les 12 minutes 21 de One for Trane sont un intense moment de spiritual jazz ! Produit par Takeshi Jujii et enregistré le 25 août 1973 avec Naosuke Miyamoto (lead, basse), Kunji Shigi (trompette), Takashi Furuya, Takashi Goto (saxophone), Masayoshi Yoneda (piano), Shoji Nakayama (batterie).
Artiste jazz américaine et activiste pour les droits des femmes, Karrin Allyson présente Shoulder to Shoulder, un album très spécial célébrant le centenaire du suffrage féminin aux Etats-Unis. En plus de Karrin Allyson, cinq fois nominée aux Grammy, le sextet comprend également Ingrid Jensen (trompette), Mindi Abair (saxophone alto), Helen Sung (piano), Endea Owens (basse), et Allison Miller (batterie). Shoulder to Shoulder fait figurer un grand nombre d'artistes, notamment une chorale de plus de quarante militantes des droits des femmes et reprend des discours en rapport aux débats sur le suffrage féminin. L'album est produit par les lauréats de plusieurs prix Grammy, Kabir Sehgal, John Daversa et Doug Davis.
Sur le deuxième album de Valley Maker, Rhododendron, l'auteur-compositeur Austin Crane, chante sur le mouvement - d'une croyance à une autre, d'un endroit à l'autre, et à travers le temps. ce nouvel album de Crane, musicien basé à Seattle et étudiant en doctorat en géographie humaine, reflète à la fois l'enracinement et le déracinement qui façon son songwriting. Tout comme ses inspirations les plus notables avant lui, Jason Molina, Bill Fay et Gillian Welch, Crane parle des manières étranges avec lesquelles nous marquons le temps dans nos vies. Crane a créé Valley Maker en 2010 avec un recueil de chansons éponyme écrit pour son projet de thèse de son premier cycle à l'Université de Caroline du Sud, retraçant des questions existentielles autour de récits d'origine biblique. Des thèmes similaires sont abordés dans Rhododendron, qui fait suite à When I Was a Child sorti en 2015. Les paroles prophétiques et apocalyptiques donnent vie aux chansons de Crane sans que sa perspective ne soit pour autant liée à un dogme. Il utilise les métaphores de la foi pour explorer l'ineffable et naviguer à l'intersection de la croyance, du temps, du lieu et de la politique actuelle. Une grande partie de l'album a été écrite lors des élections présidentielles américaines de 2016 et dans les mois qui ont suivi, alors que Crane voyageait pour ses recherches de doctorat sur la migration, les frontières et l'humanitaire. Nommé ainsi pour la plante qui pousse à la fois dans le sud où a grandi Crane et là où il vit à Washington, Rhododendron explique comment les lieux et les moments que nous occupons deviennent des reflets de nous-mêmes. Les chansons de Crane conservent leur caractère folk mais s'épanouissent avec des rythmes et des arrangements surprenants. L'album a été enregistré entre deux endroits. à Portland, dans l'Oregon, Crane a fait équipe avec le producteur et ingénieur Chaz Bear de Toro Y Moi. Anciens camarades d'université et amis de longue date, Bear et Crane ont posé les bases du disque en quatre jours. Les chansons restantes du disque ont été composées à Seattle avec le producteur et ingénieur Trevor Spencer (Father John Misty, Fleet Foxes). Ils ont fait appel au batteur James Barone (Beach House, Tennis) et au bassiste Eli Thomson (Father John Misty), ainsi qu'à Brandon Camarda à la trompette et Andrew Swanson au saxophone. De plus, Amy Fitchette a posé des harmonies vocales pour compléter le son riche mais épuré de Rhododendron. De l'indie rock épuré du premier morceau de l'album A Couple Days ax psychédélisme de Be Born Today, des cuivres de Rise Up aux touches d'ambient de River Bend My Mind, l'album montre l'approche raffinée de Crane, ses chansons solidement construites se sublimant avec des arrangements élaborés. Rhododendron est un album sur la transition, sur le départ, mais aussi sur l'arrivée.
Sur le deuxième album de Valley Maker, Rhododendron, l'auteur-compositeur Austin Crane, chante sur le mouvement - d'une croyance à une autre, d'un endroit à l'autre, et à travers le temps. ce nouvel album de Crane, musicien basé à Seattle et étudiant en doctorat en géographie humaine, reflète à la fois l'enracinement et le déracinement qui façon son songwriting. Tout comme ses inspirations les plus notables avant lui, Jason Molina, Bill Fay et Gillian Welch, Crane parle des manières étranges avec lesquelles nous marquons le temps dans nos vies. Crane a créé Valley Maker en 2010 avec un recueil de chansons éponyme écrit pour son projet de thèse de son premier cycle à l'Université de Caroline du Sud, retraçant des questions existentielles autour de récits d'origine biblique. Des thèmes similaires sont abordés dans Rhododendron, qui fait suite à When I Was a Child sorti en 2015. Les paroles prophétiques et apocalyptiques donnent vie aux chansons de Crane sans que sa perspective ne soit pour autant liée à un dogme. Il utilise les métaphores de la foi pour explorer l'ineffable et naviguer à l'intersection de la croyance, du temps, du lieu et de la politique actuelle. Une grande partie de l'album a été écrite lors des élections présidentielles américaines de 2016 et dans les mois qui ont suivi, alors que Crane voyageait pour ses recherches de doctorat sur la migration, les frontières et l'humanitaire. Nommé ainsi pour la plante qui pousse à la fois dans le sud où a grandi Crane et là où il vit à Washington, Rhododendron explique comment les lieux et les moments que nous occupons deviennent des reflets de nous-mêmes. Les chansons de Crane conservent leur caractère folk mais s'épanouissent avec des rythmes et des arrangements surprenants. L'album a été enregistré entre deux endroits. à Portland, dans l'Oregon, Crane a fait équipe avec le producteur et ingénieur Chaz Bear de Toro Y Moi. Anciens camarades d'université et amis de longue date, Bear et Crane ont posé les bases du disque en quatre jours. Les chansons restantes du disque ont été composées à Seattle avec le producteur et ingénieur Trevor Spencer (Father John Misty, Fleet Foxes). Ils ont fait appel au batteur James Barone (Beach House, Tennis) et au bassiste Eli Thomson (Father John Misty), ainsi qu'à Brandon Camarda à la trompette et Andrew Swanson au saxophone. De plus, Amy Fitchette a posé des harmonies vocales pour compléter le son riche mais épuré de Rhododendron. De l'indie rock épuré du premier morceau de l'album A Couple Days ax psychédélisme de Be Born Today, des cuivres de Rise Up aux touches d'ambient de River Bend My Mind, l'album montre l'approche raffinée de Crane, ses chansons solidement construites se sublimant avec des arrangements élaborés. Rhododendron est un album sur la transition, sur le départ, mais aussi sur l'arrivée.