Originaire de Copenhague, le groupe EFTERKLANG délivrent avec Tripper un premier album ambitieux, puisque en dehors des six membres permanents du groupe, 34 musiciens sont intervenus (une chorale du Groenland, des membres de SIGUR ROS et UNDER BYEN). On ne s'étonnera donc pas des similitudes avec SIGUR ROS et leurs ambiances minimalistes ou denses. C'est dans ce même esprit qu'est construit l'album, autour de chants lancinants, doux ou intimistes. Une orchestration qui impressionne par sa tenue et sa délicatesse, articulée autour d'un piano et de violons, et qui accueille aussi trompette, trombone, accordéon, flûte, orgue et beaucoup d'autres éléments. S'y mêle en parfaite symbiose, une électronica parfaitement maîtrisée qui rappelle notamment les Islandais de MUM.
Après 8 ans passés en Nouvelle Zélande en tant que leader du groupe The Mint Chicks, Kody Nielson révèle le nouveau projet Opossom avec le captivant Electric Hawaï. Electric Hawaï est présenté comme un nouveau challenge, car il a été écrit et enregistré avec très peu de collaborateurs, si ce n'est la voix de Bic Runga ou la trompette de Chris Nelson (le père de Kody). Tout le reste sort du cerveau torturé, des mains et surtout du coeur de Kody. Il a enregistré et mixé lui-même l'album en laissant tout de même Howie Windberg s'occuper du mastering. Electric Hawaï n'est pas le résultat d'un ancien membre de groupe rock qui fait son projet solo. C'est une bête unique, une exploration du voyage musicale qu'a entreprit Kody; un album qui parle d'amour, de drogues et de liberté. L'intensité des performances live ont suscité des critiques élogieuses et Opossom devrait bientôt passer en Europe...
Après 8 ans passés en Nouvelle Zélande en tant que leader du groupe The Mint Chicks, Kody Nielson révèle le nouveau projet Opossom avec le captivant Electric Hawaï. Electric Hawaï est présenté comme un nouveau challenge, car il a été écrit et enregistré avec très peu de collaborateurs, si ce n'est la voix de Bic Runga ou la trompette de Chris Nelson (le père de Kody). Tout le reste sort du cerveau torturé, des mains et surtout du coeur de Kody. Il a enregistré et mixé lui-même l'album en laissant tout de même Howie Windberg s'occuper du mastering. Electric Hawaï n'est pas le résultat d'un ancien membre de groupe rock qui fait son projet solo. C'est une bête unique, une exploration du voyage musicale qu'a entreprit Kody; un album qui parle d'amour, de drogues et de liberté. L'intensité des performances live ont suscité des critiques élogieuses et Opossom devrait bientôt passer en Europe...
The Delano Orchestra revient avec EITSOYAM, un album lumineux et percutant, empreint d'une grande sensualité. Quatrième album dans lequel guitares rageuses reprennent leurs droits dans des compositions rock brutes. Une promenade romantique, sensuelle et combative qui commence par des bruits de pas dans la neige pour s'évanouir dans un bain de soleil. Le disque a été enregistré et mixé en février 2012 au studio Black Box par Peter Deimel (Chokebore, Anna Calvi, The Last Shadow Puppets, dEUS, The Ex, The Kills). L'harmonium d'Anna Calvi souffle sur le titre «Light Games». Formé de six musiciens, de guitares puissantes, d'un violoncelle, d'une trompette, The Delano Orchestra parvient à nous emporter dans leurs mélodies pop, dans la sincérité d'une écriture folk et personnelle, dans la puissance de leurs envolées électriques. Le précédent disque du groupe Now That You Are Free My Beloved Love avait été classé parmi les meilleurs de l'année 2010 par Libération, 20 minutes et Rue89.
The Delano Orchestra revient avec EITSOYAM, un album lumineux et percutant, empreint d'une grande sensualité. Quatrième album dans lequel guitares rageuses reprennent leurs droits dans des compositions rock brutes. Une promenade romantique, sensuelle et combative qui commence par des bruits de pas dans la neige pour s'évanouir dans un bain de soleil. Le disque a été enregistré et mixé en février 2012 au studio Black Box par Peter Deimel (Chokebore, Anna Calvi, The Last Shadow Puppets, dEUS, The Ex, The Kills). L'harmonium d'Anna Calvi souffle sur le titre «Light Games». Formé de six musiciens, de guitares puissantes, d'un violoncelle, d'une trompette, The Delano Orchestra parvient à nous emporter dans leurs mélodies pop, dans la sincérité d'une écriture folk et personnelle, dans la puissance de leurs envolées électriques. Le précédent disque du groupe Now That You Are Free My Beloved Love avait été classé parmi les meilleurs de l'année 2010 par Libération, 20 minutes et Rue89.
VINCENT DUPAS joue sous le nom de MY NAME IS NOBODY depuis 2003. Vite qualifié de 'story teller' suite à la série de portraits et histoires dressés dans I hope you're well, I am & I send you my fingers (2006) dans la tradition des musiques folks, accompagné des 'Desert Foxes' (FAUSTINE SEILMAN, piano & choeurs / ERWAN FAUCHARD, basse & choeurs / FRANZL O'GAUTREAU, batterie & choeurs). En 2008, il sort un album solo, At the Wolf pit, sur lequel il aborde des sujets plus profonds comme la religion ou la vieillesse, et son jeu de guitare aux sonorités folks ne se contente plus d'Amérique mais tisse des liens avec les musiques traditionnelles écossaises ou de l'Est de l'Europe. Aujourd'hui, c'est avec BRUNO GREEN (LILIUM, HOWE GELB, MIOSSEC.) et de nouveau les DESERT FOXES qu'ils décident travailler sur la production de The Mentor, qui reçoit également les participations de JEROME LORICHON (BERG SANS NIPPLE, HERMAN DÜNE) aux percussions et à la trompette, ainsi que VASSILI CAILLOSSE (SANTA CRUZ) qui illumine les compositions de ses banjos, de la pedal steel, et autres instruments à cordes.
Thomas Brenneck, l'ancien guitariste des Dap-kings a créé sa propre filiale Dunham Records au sein de Daptone, et son propre groupe maison le Menahan Street Band (MSB). Avec Brenneck à la guitare et d'autres pointures tels que Homer Steinweiss à la batterie, Nick Movshon à la basse, Dave Guy à la trompette et Leon Michels au sax tenor, Victor Axelrod au clavier, et Mike Deller au piano le MSB est un « super groupe » qui a su se faire remarquer par son premier album Make The Road By Walking sorti en 2008 qui fut très souvent samplé (Jay-Z pour son tube «Roc Boys (And The Winner Is)», 50 cents, etc). MSB a ensuite officié en studio et sur les scènes du monde entier auprès de Charles Bradley pour son premier album No Time For Dreaming. Avec The Crossing, Brenneck et ses acolytes font une synthèse magnifique entre James Brown et Neil Young, entre les Beatles et le Wu Tang Clan, entre RZA et Ennio Morricone, ou encore Fela et Jimi Hendrix. C'est donc une musique cinématique aux influences bien plus larges que le rayon Soul / Funk qui nous est proposé à travers ce second effort.
Thomas Brenneck, l'ancien guitariste des Dap-kings a créé sa propre filiale Dunham Records au sein de Daptone, et son propre groupe maison le Menahan Street Band (MSB). Avec Brenneck à la guitare et d'autres pointures tels que Homer Steinweiss à la batterie, Nick Movshon à la basse, Dave Guy à la trompette et Leon Michels au sax tenor, Victor Axelrod au clavier, et Mike Deller au piano le MSB est un « super groupe » qui a su se faire remarquer par son premier album Make The Road By Walking sorti en 2008 qui fut très souvent samplé (Jay-Z pour son tube «Roc Boys (And The Winner Is)», 50 cents, etc). MSB a ensuite officié en studio et sur les scènes du monde entier auprès de Charles Bradley pour son premier album No Time For Dreaming. Avec The Crossing, Brenneck et ses acolytes font une synthèse magnifique entre James Brown et Neil Young, entre les Beatles et le Wu Tang Clan, entre RZA et Ennio Morricone, ou encore Fela et Jimi Hendrix. C'est donc une musique cinématique aux influences bien plus larges que le rayon Soul / Funk qui nous est proposé à travers ce second effort.
Parfois, une toute jeune fille, un corps frêle, une voix ténue se révèlent êtres les instruments d'un souffle énorme, d'une puissance de prodige. Kyrie Kristmanson est ainsi : vingt ans et une manière unique de provoquer d'incroyables collisions entre le folk nord-américain et la musique médiévale, entre la mélodie pop et le jazz pointu, entre la chanson de tous les jours et le laboratoire des grandes révolutions musicales. Origin of Stars, son premier album sur Nø Førmat !, présente une écriture mélodique parente de ses grandes aînées en même temps qu'une audace formelle qui fait se croiser les sources, les pratiques et les esthétiques musicales. Un peu comme une rencontre acoustique de Joni Mitchell et Björk... Elle saisit les spectateurs du Printemps de Bourges 2009, elle séduit Emily Loizeau qui l'invite à assurer ses premières parties, elle se prépare à déménager à Paris pour préparer à la Sorbonne une thèse universitaire sur les trobairitz (les femmes troubadours des XIIe et XIIIe siècles). Et Kyrie Kristmanson ne cesse de tourner, avec sa guitare trois quarts à la taille d'un enfant, ses drôles de chapeaux blancs à poils, sa trompette, et ses chansons habitées par de très anciennes et très puissantes énergies.
LE NOUVEL ALBUM DU JEUNE TRIO EUROPéEN UNE INCROYABLE PALETTE SONORE TOUT EN CLAIR-OBSCUR Créé fin 2013, le Gauthier Toux Trio réunit trois jeunes musiciens de la scène jazz européenne : le pianiste français Gauthier Toux, le batteur franco-suisse Maxence Sibille et le contrebassiste danois Kenneth Dahl Knudsen. Ensemble ils sortent deux albums More than Ever (2015) et Unexpected Things (2016) et remportent le Concours National de Jazz de la Défense 2016, le Tremplin Jazz or Jazz 2016 et le RéZZo Focal Jazz à Vienne 2017. Dans ce nouvel album, Gauthier Toux a voulu mettre en lumière une vision très personnelle des couleurs. Découvrant à l'âge de quatre ans qu'il est daltonien, il s'interroge depuis sur la manière de les percevoir autrement. Titre après titre, il met en musique des anecdotes le rattachant à ces teintes et à ces lumières, des souvenirs dans lesquels les couleurs ne trouvaient pas qu'une seule interprétation, comme l'étrange sentiment de mélange de l'aube et du crépuscule, ou encore les teintes que l'on peut donner à un sentiment intérieur. Afin d'ajouter encore plus de couleurs, le trio est rejoint par trois coups de coeur : Christophe Panzani au saxophone, Zacharie Ksyk à la trompette et Erwan Valazza à la guitare. The Colours You See est l'aboutissement d'une aventure est aussi bien musicale qu'humaine d'un trio uni par un esprit de fraternité.