Après deux albums et le succès planétaire du remix de « Prayer In C » de Robin Schluz -------------------------------------- LE NOUVEL ALBUM DU DUO POP FRANÇAIS ----------------------------------------- Shadows est le 3ème album de Lilly Wood & The Prick. Revenir sur le devant de la scène après avoir connu un tel succès international - celui de leur titre Prayer in C - est toujours un pari à relever. Le duo a donc continué d'arpenter inlassablement les routes du monde, à la recherche d'inspirations. Celles des Etats-Unis lors de leur tournée américaine, celles du Mali dans le cadre d'une résidence hors du temps, celles de l'Angleterre avec le réalisateur artistiques Dave Okumu (The Invisible, Jessie Ware). Celle, enfin, des artistes Pierre & Gilles (photographes et peintres, célèbres notamment pour leur collaboration avec Etienne Daho ou encore Stromae) qui offrent au groupe une pochette d'album aussi chamarrée que décalée.
Multi instrumentiste, auteur, compositeur, chef d'orchestre et arrangeur, Joachim Horsley est avant tout un pianiste américain hors pair qui use de son instrument de prédilection pour emmener son public hors de toutes frontières musicales. Après avoir composé les BO de Ouija, The Possession ou encore Rabbit Hole, et avoir collaboré avec des artistes tels que John Legend ou Michael Bublé, Joachim Horsley dévoile son ambitieux projet solo : arranger et réinterpréter sur des sons cubains les oeuvres des plus grands compositeurs de musique classique. Les symphonies de Beethoven et de Chostakovitch dansent sur des rythmes de rumba pendant que les oeuvres de Mahler et Rimski-Korsakov se pavanent sur des airs de latin jazz, offrant au public une rencontre avec la Havane aussi enjouée qu'inspirée. Alors que son premier EP Via Havana est déjà disponible, Joachim Horsley s'apprête à sortir son premier album début 2019.
C'est désormais une tradition, avec l'arrivée des beaux jours revient le Buddha-Bar Beach. Cette année, le petit label parisien vous emmène à la découverte DU spot estival ou tout a commencé, le mythique Saint-Tropez. La Buddha-Bar Beach St Tropez, troisième opus de la collection, prend des accents résolument néo-disco, parsemé de deep et d'electro, et vous promet de passer un été gorgé de soleil musical, aux mélodies modernes signées Buddha-Bar. Alors appelez tous vos amis, branchez vos enceintes et fêtez l'été qui ne finit jamais détendez-vous le Buddha-Bar s'occupe de tout ! Une sélection musicale toujours plus fraiche et branchée, concoctée avec passion et minutie au sein du label en association avec Radio FG. Du titre décalé qui sent bon le sable le chaud au hit electro, en passant par le petit son idéal pour s'étaler au bord de l'eau, ce nouvel opus est l'accessoire indispensable d'un été réussi!
C'est le mystère Mano Solo : voilà quinze ans, bon an, mal an, qu'il fait à peu près le même disque. Que sa voix de brasier balance avec une régularité presque métronomique entre la rage et l'apaisement; que ses musiques se teintent de tangos ardents, de valses guincheuses et de mélodies tsiganes; que ses textes se promènent dans le décor de villes plutôt amies, où la banlieue a détrôné Paris. Et chaque fois, il insuffle à son chant tellement d'intensité qu'il parvient à nous emporter. Ce huitième album studio, arraché et arrachant, gorgé des sons chauds de l'accordéon de Régis Gizavo, décoche encore ses uppercuts émotionnels. Quand il chante en douceur les enfants des autres, ou l'amour renouvelé au matin, il est tout bonnement désarmant. D'ailleurs, une chose a quand même changé dans ses mots, et pas la moindre : en 1993, il s'écriait « la vie, c'est pas du gâteau »; aujourd'hui, il remet les points sur les i : « J'ai pitié pour tous ceux qui croient que ma vie n'est pas un cadeau. » - TELERAMA
LE TRIO EXPLOSIF HOLLANDAIS EN PLEINE ACTION ! Les rebelles et intrépides bataves au fabuleux blues psychédélique reviennent en force avec un album live qui démontre toute l'étendue de leurs talents sur scène. L'album THRUST de 2018 avait consacré le groupe comme meilleur formation rock de son pays et donné lieu à une énorme tournée de 100 dates à travers l'Europe dont une belle série en France. Ce fût l'occasion pour nous de découvrir DeWolff dans leur exercice favori : le live ! La plupart des titres de Live & Outta Sight II sont tirés du dernier album THRUST. Ici les versions acquièrent une nouvelle dimension, comme si ces titres prenaient vie par eux-mêmes sur scène. On retrouve ainsi les dernières chansons phares comme Double Crossing Man, Deceit & Woo ou Big Talk mais aussi des morceaux plus anciens comme Medicine and Don't You Go Up The Sky.
Les 4 garçons de Brooklyn d’origine texane avaient été très remarqués avec leur premier album « Light Up Gold », et avaient d’ailleurs reçu des chroniques élogieuses pour leur originalité et leur énergie brute. Leurs titres punks saturés offraient leur vision de la vie citadine. « Sunbathing Animals » a été créé dans une année de tournées intensives interrompues seulement par trois sessions d’enregistements qui ont permis la naissance de l’album. Ce temps passé en transit forme leurs paroles qui abordent les thèmes du déplacement, du doute et de la situation de captivité. Ce n’est pourtant pas un disque sur le désespoir mais plutôt sur la compréhension de la liberté et de tranquilité que toute captivité pose. Les Parquets Courts sont la nouvelle sensation garage-punk des US à la croisée de The Fall, Neil Young, Pavement ou même Modern Lovers. Parquet Courts est Austin Brown, A. Savage, Sean Yeaton, et M. Savage.
Jouer à l'Opera House de Sidney faisait partie de la liste des choses que Joe Bonamassa s'est donné de faire. Il lui reste encore à devenir une réponse à une question du célèbre jeu TV américain JEOPARDY ! Enregistré le 30 septembre 2016 sur la tournée Blues of Desperation, ce show comporte dans sa première partie de nombreux morceaux tirés de cet album qui a été un beau succès dans la riche discographie de Joe. Mais ce fût également l'occasion, dans un second temps, d'entendre ce merveilleux guitariste reprendre des titres de ses idoles pour notre plus grand bonheur ! Sur ce disque figure ainsi une fabuleuse reprise de Clapton. On retrouve donc notre guitariste chanteur virtuose dans son exercice favori : la scène ! Entouré d'autres musiciens hors-paire, il nous délivre une fois de plus, un set de blues rock imparable dans l'une des salles les plus emblématiques de la planète ! A noter que les versions en vinyle comportent un titre bonus.
LA SPECTACULAIRE PERFORMANCE LIVE D'ARJEN LUCASSEN POUR CéLéBRER LE 20èME ANNIVERSAIRE DU TROISIèME ALBUM D'AYREON. La sortie du live du troisième album d'Ayreon 'Into The Electric Castle' sortie en 1998 et autres histoires tirées des albums Ambeon, Stream Of Passion, Guilt Machine, The Gentle Storm, Marillion et Arjen Anthony Lucassen. Les 4 représentations d'Ayreon en septembre dernier au 013 de Tilburg en Hollande étaient sold out en une journée, les fans sont venus du monde entier. Un concert unique interprété en live par les chanteurs et musiciens originaux tels que Thijs Van Leer, Fish, Damian Wilson, Edward Reekers, Anneke van Giersbergen, et plusieurs invités spéciaux, dont Simone Simons (Epica) et John De Lancie le narrateur de Star Trek ! Près de 6 heures de contenu, dont un concert de 2,5 heures, 1,5 heure et plus en coulisses et un entretien prolongé en tant que 2 figurants.
ROCK CANDY FUNK PARTY Featuring Joe Bonamassa « We want groove » LORSQUE JOE BONAMASSA FAIT GROOVER SA GUITARE Le son de Rock Candy Funk Party (RCFP) est aussi jubilatoire que le laisse suggérer le nom du groupe. Balançant un souffle d'air frais sur les classiques funk et jazz des années 70 et 80S, RCFP est énergisé par un lineup de musiciens de classe mondiale collaborant pour la simple passion de la musique. On trouve ainsi réunis un jam band de rêves avec le producteur de l'album Tal Bergman (batterie), Joe Bonamassa (guitare), Ron DeJesus (guitare), Mike Merritt (basse) et Renato Neto (claviers). Avec neuf titres, savoureux mélange de funk, jazz et rock qui laissent libre court à la virtuosité de ses musiciens, la réponse musicale du combo dépasse largement les attentes. Si cet album est purement instrumental, la connivence artistique entre les musiciens de RCFP constitue une brillante conversation musicale à elle seule!
Actuel guitariste de Rob Zombie, John 5 est également connu pour son travail avec Marilyn Manson, David Lee Roth, Rob Halford... Ce musicien hors norme sortira, début juin, son cinquième album solo et entièrement instrumental, «The Art of Malice », digne successeur du déjà impressionnant « Requiem », paru en 2008. Avec ce nouvel enregistrement John fait preuve d'une incroyable diversité tant au niveau de son jeu, que dans sa manière de composer. Il confirme ainsi qu'il est bien un guitariste à la pointe de la technique. Les amateurs de sensations guitaristiques fortes ne vont pas être déçus... On se souvient qu'avec « Vertigo », un album considéré par de nombreux fans de 6 cordes comme « l'album de guitare du nouveau millénaire », John 5 en avait impressionnés plus d'un... Les influences éclectiques du bonhomme allant même jusqu'à établir de nouvelles normes dans le genre. John 5 offre définitivement une nouvelle approche de la musique instrumentale en général et de la de guitare électrique en particulier.
Les quatre londoniennes de Goat Girl sont à la tête d'un petit nombre de groupes émergents du Sud de Londres, tous inspirés par l'intensité d'une scène locale en plein essor dans cette région. Leur son furieux et leurs morceaux déchaînés représentent la façon de vivre dans le climat actuel : elles s’inspirent des manques de la soi-disant culture millenial, et la façon dont les médias et les gouvernements se jouent des opinions et des perspectives d’avenir de toute une génération. Le titreCracker Drool’, aujourd’hui disponible sur toutes les plateformes de streaming, sortira physiquement le8 décembre en édition limitée 7 avec le titreScream'en face B.Cracker Drool', produit par Dan Carey(Bat For Lashes, Kate Tempest) et enregistré dans son studio du Sud de Londres, est accompagné d' un clip menaçant est realisé par CC Wade et filmé dans le Sussex par ces frères londoniens reconnus entre autres pour leur collaboration avec King Krule. Tracklisting : Face A. Cracker Drool. Face B : Scream
Le grand retour de Jonny Lang en studio et sur scène ! Le label Mascot, via sa division Provogue, est fier de pouvoir enfin nous présenter le sixième album studio de Jonny Lang, son premier en 4 ans. En commençant son disque avec le morceau « Make It Move », Jonny Lang donne clairement le ton et la direction qu’il a choisie. L’idée est ici d’être proactif et de na pas attendre que les choses arrivent d’elles-mêmes, de fournir les efforts nécessaires. Ce disque va satisfaire l’ensemble des fans de Jonny Lang. En effet, ceux qui l’avaient découvert à travers ses titres instrumentaux endiablés, seront conquis par le son, le jeu de guitare et notamment ses solos sur « Signs ». Quant à ceux qui ont adoré le songwriter passionné, « Signs » ne les laissera pas en reste non plus ! Bien qu’ayant abandonné depuis longtemps le côté puriste du Blues, l’artiste n’en reste pas moins attaché à ses racines. « Signs » réaffirme au contraire son attachement au blues et à la guitare sans pour autant sacrifié son approche moderne qui a fait de lui un musicien à part.
Le grand retour de Jonny Lang en studio et sur scène ! Le label Mascot, via sa division Provogue, est fier de pouvoir enfin nous présenter le sixième album studio de Jonny Lang, son premier en 4 ans. En commençant son disque avec le morceau « Make It Move », Jonny Lang donne clairement le ton et la direction qu’il a choisie. L’idée est ici d’être proactif et de na pas attendre que les choses arrivent d’elles-mêmes, de fournir les efforts nécessaires. Ce disque va satisfaire l’ensemble des fans de Jonny Lang. En effet, ceux qui l’avaient découvert à travers ses titres instrumentaux endiablés, seront conquis par le son, le jeu de guitare et notamment ses solos sur « Signs ». Quant à ceux qui ont adoré le songwriter passionné, « Signs » ne les laissera pas en reste non plus ! Bien qu’ayant abandonné depuis longtemps le côté puriste du Blues, l’artiste n’en reste pas moins attaché à ses racines. « Signs » réaffirme au contraire son attachement au blues et à la guitare sans pour autant sacrifié son approche moderne qui a fait de lui un musicien à part.
Le nouvel album blues, gorgé de soul, du super champion incontesté des poids lourd du rock : Popa Chubby. Universal Breakdown Blues est une offrande moderne au blues urbain, véritable reflet de l'âme du monde dans lequel évolue Popa Chubby. 12 nouveaux titres explosifs qui capturent le feu et l'énergie de ses concerts incendiaires. On atteint ici de nouveaux sommets dans son art de manier la guitare de façon rageuse tout en gardant un côté roots et soul dont lui seul a le secret. Popa a réussi à mettre toute sa fougue habituelle dans le langage simple et universel de la musique et nous invite à le rejoindre dans cette grande fête du blues. Une super production qui constitue un véritable retour aux sources pour cette légende urbaine du blues ! En effet, voici enfin le disque que l'on était en droit d'attendre de la part de l'un des acteurs majeurs de la nouvelle scène blues, des sonorités modernes dans le plus pur esprit old school !!!
LE NOUVEL ALBUM DU SUPER GUITARISTE TEXAN ! Depuis quelques temps, Lance Lopez fait parler de lui en sillustrat brillamment au poste de chanteur/guitariste au sein de Supersonic Blues Machine. Mais avant de connaître le succès en rejoignant ce super groupe, ce Texan pur jus avait déjà sorti quelques albums solos qui fleuraient bon le blues rock du sud des Etats-Unis. Tell The Truth, son nouvel effort en solitaire, s'inscrit dans cette lignée mais avec l'expérience acquise au fil des années en plus. Lance n'a jamais nié sa passion pour ses premières influences telles qye Bobby Blue Bland, Buddy Miles, Johnny Taylor ou encore Lucky Peterson, avec qui il a joué lorsqu'il n'avait que 18 ans. Que de chemin parcouru depuis cette époque. Depuis ses débuts, Lopez a toujours voulu vivre sa vie de musicien à fond, et chaque composition de ce nouvel album reflète les innombrables kilomètres quil a parcouru sur la route avec sa guitare à la main.
Comme les Black Rebel Motorcycle Club, les Strokes ou les Hives, les Libertines forment un groupe de gandins au rock and roll sans fioritures qui déménage. D'aucuns disent même que ce quatuor, dont le premier single fut produit par l'ancien guitariste de Suede Bernard Butler, est la réponse britannique au buzz médiatique fait autour des Strokes en 2001. Avec comme ligne de mire dans le rétroviseur l'énergie déployée naguère par les Sex Pistols et la désinvolture affectée des Kinks, la musique des Libertines conserve à la fois le charme nostalgique des temps anciens et la saveur réjouissante de la primauté. Tour à tour, on croit entendre ici ou là la voix nasillarde de Ray Davies (Up the Bracket, I Get Along) ou la rythmique nerveuse de Johnny Marr (Death of the Stairs), mais cela serait oublier que la qualité et les superbes mélodies de leurs chansons leur appartiennent en propre. Premier album du groupe londonien, l'opus a atteint le top 50 des charts britanniques à sa sortie en 2002, marquant le début d'un revival pour toute la scène rock au Royaume-Uni.
EL-VY Return to the moon Leur collaboration porte le nom d' EL VY et ils se prénomment Matt Berninger, chanteur et parolier du groupe The National et Brent Knopf, musicien et producteur de Portland derrière les groupes Menomena et Ramona Falls, à l'état civil. Leur premier album intitulé 'Return To The Moon' est un projet mûri de longue date qui remonte à l'époque où leurs groupes respectifs partageaient l'affiche de petites salles à moitié vide de la côte ouest des Etats-Unis. Cette amitié nouée autour de fortes affinités musicales vit les deux musiciens échanger ébauches de titres, idées et paroles au fil des années pour finalement se réunir à l'hiver 2014 - 2015 afin d'enregistrer l'album. La collaboration entre les deux artistes sonne exactement comme on pouvait l'espérer : le timbre grave et lancinant et le sens de la mélodie immédiatement reconnaissables de Matt Berninger alliés aux arrangements et à la production inventive de Brent Knopf font des merveilles sur les 11 titres qui composent 'Return To The Moon'. ?
Comme les Black Rebel Motorcycle Club, les Strokes ou les Hives, les Libertines forment un groupe de gandins au rock and roll sans fioritures qui déménage. D'aucuns disent même que ce quatuor, dont le premier single fut produit par l'ancien guitariste de Suede Bernard Butler, est la réponse britannique au buzz médiatique fait autour des Strokes en 2001. Avec comme ligne de mire dans le rétroviseur l'énergie déployée naguère par les Sex Pistols et la désinvolture affectée des Kinks, la musique des Libertines conserve à la fois le charme nostalgique des temps anciens et la saveur réjouissante de la primauté. Tour à tour, on croit entendre ici ou là la voix nasillarde de Ray Davies (Up the Bracket, I Get Along) ou la rythmique nerveuse de Johnny Marr (Death of the Stairs), mais cela serait oublier que la qualité et les superbes mélodies de leurs chansons leur appartiennent en propre. Premier album du groupe londonien, l'opus a atteint le top 50 des charts britanniques à sa sortie en 2002, marquant le début d'un revival pour toute la scène rock au Royaume-Uni.
A l'aube de la sortie de son nouvel album studio « L'Enfant Sauvage » (disponible le 25 juin prochain sur Roadrunner), le n°1 des groupes de « metal » français offre à son public, un premier DVD live ! Formé en 1996, Gojira s'est forgé une solide réputation en réussissant à faire connaître sa musique audelà des frontières de l'hexagone. Leur renommée croissante leur a valu de faire une tournée aux Etats Unis en première partie de Metallica. Le 12 mai prochain, cette fois c'est la scène du Stade de France (complet !) que Gojira partagera avec les Four Horsemen. Puissance vocale et instrumentale, énergie scénique, chansons en anglais, Gojira apporte une nouvelle vision du death metal. Le groupe livre ainsi des compos fortes et très personnelles, reposant sur une complexité et une lourdeur rythmiques étonnantes. Un ensemble sonore encore plus impressionnant en concert comme le montrent les images de ce DVD exceptionnel qui comporte 3 concerts filmés (Garorock, Vieilles Charrues, Bordeaux) pour plus de 2h30 de musique et un documentaire exclusif de 62 minutes, avec en bonus un CD live. Disponible en format DVD & Blu Ray.
LE NOUVEL ALBUM STUDIO DE L'UNE DES PLUS FINES GACHETTES DU BLUES MODERNE Nous sommes tous des voyageurs. Et au cours du dernier quart de siècle, chevaucher aux côtés de la guitare de Kenny Wayne Shepherd, a été l'un des plus fabuleux road-trip du rock n'roll. Un jeu de top niveau Mondial a toujours été la marque de fabrique de KWS, mais dorénavant quarantenaire, Shepherd sait quand il faut forcer et quand il faut laisser respirer sa musique. On observe ainsi une certaine retenue sur the Traveler car selon le célèbre adage qui peut le plus, peu le moins ! Il y a toujours de fabuleux moments sur ce disque, comme le solo sur I Want You. Turn To Stone est également un hymne à la guitare, avec une construction qui amène le solo à vraiment briller. Pour ce qui est du côté guitare plus rythmique, l'un des plus morceaux les plus cools est Woman Like You avec le son inimitable de la Les Paul. Kenny est même devenu plus magnétique en un sens, continuant à pousser sa Fender Strat là où les autres ont peur de mettre les pieds. Alors soyez prêts à repartir sur la route avec Kenny car vous ne serez pas déçus du voyage !
LE NOUVEL ALBUM STUDIO DE L'UNE DES PLUS FINES GACHETTES DU BLUES MODERNE Nous sommes tous des voyageurs. Et au cours du dernier quart de siècle, chevaucher aux côtés de la guitare de Kenny Wayne Shepherd, a été l'un des plus fabuleux road-trip du rock n'roll. Un jeu de top niveau Mondial a toujours été la marque de fabrique de KWS, mais dorénavant quarantenaire, Shepherd sait quand il faut forcer et quand il faut laisser respirer sa musique. On observe ainsi une certaine retenue sur the Traveler car selon le célèbre adage qui peut le plus, peu le moins ! Il y a toujours de fabuleux moments sur ce disque, comme le solo sur I Want You. Turn To Stone est également un hymne à la guitare, avec une construction qui amène le solo à vraiment briller. Pour ce qui est du côté guitare plus rythmique, l'un des plus morceaux les plus cools est Woman Like You avec le son inimitable de la Les Paul. Kenny est même devenu plus magnétique en un sens, continuant à pousser sa Fender Strat là où les autres ont peur de mettre les pieds. Alors soyez prêts à repartir sur la route avec Kenny car vous ne serez pas déçus du voyage !
Pantha du Prince n'a cessé de tourner depuis la sortie de The Triad en mai 2016, son premier album studio en 6 ans. Créé en collaboration avec deux musiciens, le new-yorkais Scott Mou et le norvégien Bendik Kjeldsberg, The Triad était à la fois un retour en arrière et un bond en avant pa rapport au style et à la forme de composition qui avait rendu Pantha du Prince célèbre. Mais The Triad a plus à offrir encore et Hendrik Weber, de son vrai nom, a complètement revisité l'album pour en faire une version ambient, laissant de côté les beats et la plupart des voix de la versin originale. Un renouveau, délicat, rêveur et d'une beauté indicible, la version ambient de The Triad sortira le 9 juin chez Rough Trade. En plus de la version ambient de Weber, une poignée de producteurs venant d'univers électro divers et ayant contribué aux remix des chansons de The Triad, ont également réalisé un EP constitué uniquement de remixes, qui sortira en même temps que la nouvelle version de l'album. Sur cet EP, on compte le roi de la deep house Solomun, le pro de l'acid-house berlinoise Recondite, l'éclectic minimaliste Edfemin et l'hollandaise Shinedoe et bien encore d'autres.
En 2016, Josienne Clarke & Ben Walker dévoilaient Overnight, un sublime premier album aux chansons chargées de nostalgie semblant sorties d’un ancien temps de par la voix angélique de Josienne et la délicatesse des compositions de Ben. Seedlings All, qui prend sa suite, est le premier album de Josienne Clarke & Ben Walker entièrement composé de chansons originales et explore cette fois des terres musicales aux teintes plus jazz. Josienne Clarke le décrit comme son travail de songwriter le plus autobiographique en date : vulnérable comme jamais, elle y chante le doute, les années d’échec, l’excès et l’absence de confiance en soi, les difficultés de sa vie de musicienne à la recherche d’un équilibre dans un milieu qui n’en fournit pas. Sur ses textes d’une sincérité rare, sa voix chaude unique se trouve sublimée par les brillants arrangements de son compère Ben Walker pour toucher en plein coeur. Nominés plusieurs fois aux BBC Folk Awards et personnellement invités à assurer les premières parties de Richard Thompson lors de sa tournée britannique en automne, le duo vous charmera avec sa folk délicieuse et leurs airs nostalgiques teintés de jazz et de nappes de cordes soyeuses.
En 2014, Thom Yorke dévoilait par surprise un nouvel album solo en téléchargement payant légal sur la plateforme peer-to-peer BitTorrent avec l’intention d'expérimenter de nouveaux modes de distribution de la musique comme Radiohead l’avait déjà essayé avec In Rainbows. Second opus solo huit ans après The Eraser, le Britannique ne surprenait pas alors uniquement par ce mode de distribution polémique mais se lançait surtout dans une véritable expérimentation sonore, toujours épaulé par le fidèle Nigel Godrich à la production : sonorités électroniques, basses sourdes, piano mélancolique, froideur robotique, rythmiques malades et mélodies minimalistes. On retrouve bien certains ingrédients de la marmite Radiohead mais rien n’appelle ici au confort malgré la voix familière magnifiquement plaintive et planante de Yorke. Déconcertant, compliqué, intriguant, les adjectifs ne manquent pas pour qualifier ces explorations mais ce Tomorrow’s Modern Boxes cimente en tout cas encore un peu plus le statut de créateur à part du leader de Radiohead. Cette édition physique est l’occasion de s’en rappeler une nouvelle fois.
En 2016, Josienne Clarke & Ben Walker dévoilaient Overnight, un sublime premier album aux chansons chargées de nostalgie semblant sorties d’un ancien temps de par la voix angélique de Josienne et la délicatesse des compositions de Ben. Seedlings All, qui prend sa suite, est le premier album de Josienne Clarke & Ben Walker entièrement composé de chansons originales et explore cette fois des terres musicales aux teintes plus jazz. Josienne Clarke le décrit comme son travail de songwriter le plus autobiographique en date : vulnérable comme jamais, elle y chante le doute, les années d’échec, l’excès et l’absence de confiance en soi, les difficultés de sa vie de musicienne à la recherche d’un équilibre dans un milieu qui n’en fournit pas. Sur ses textes d’une sincérité rare, sa voix chaude unique se trouve sublimée par les brillants arrangements de son compère Ben Walker pour toucher en plein coeur. Nominés plusieurs fois aux BBC Folk Awards et personnellement invités à assurer les premières parties de Richard Thompson lors de sa tournée britannique en automne, le duo vous charmera avec sa folk délicieuse et leurs airs nostalgiques teintés de jazz et de nappes de cordes soyeuses.
En 2014, Thom Yorke dévoilait par surprise un nouvel album solo en téléchargement payant légal sur la plateforme peer-to-peer BitTorrent avec l’intention d'expérimenter de nouveaux modes de distribution de la musique comme Radiohead l’avait déjà essayé avec In Rainbows. Second opus solo huit ans après The Eraser, le Britannique ne surprenait pas alors uniquement par ce mode de distribution polémique mais se lançait surtout dans une véritable expérimentation sonore, toujours épaulé par le fidèle Nigel Godrich à la production : sonorités électroniques, basses sourdes, piano mélancolique, froideur robotique, rythmiques malades et mélodies minimalistes. On retrouve bien certains ingrédients de la marmite Radiohead mais rien n’appelle ici au confort malgré la voix familière magnifiquement plaintive et planante de Yorke. Déconcertant, compliqué, intriguant, les adjectifs ne manquent pas pour qualifier ces explorations mais ce Tomorrow’s Modern Boxes cimente en tout cas encore un peu plus le statut de créateur à part du leader de Radiohead. Cette édition physique est l’occasion de s’en rappeler une nouvelle fois.
Le retour Triumphant du guitariste virtuose ! Le fondateur de Triumph, célèbre groupe canadien de hard rock des 80’s aux 8 disques d’or, nous revient accompagné de son nouveau groupe RESolution9. Les membres de RESolution9 sont des musiciens issus du quartet qui accompagnent Rick live : Dave Dunlop à la guitare, Steve Skingley à la basse, et Paul DeLong à la batterie. Enregistré et mixé en grande partie aux fameux studios MetalWorks de Mississauga, la ville natale de Rick, ce disque plein de vitalité est loin d’être un simple retour aux sources ou un quelconque comeback. On y retrouve même les deux autres membres fondateurs du trio Triumph (Gil Moore et Mike Levine) qui reprennent pour la première fois du service aux côtés de Rick Emmett sur « The Grand Parade » qui résonne comme une suite au « Suitcase blues » de 1979. Enfin, le légendaire guitariste de Rush, Alex Lifeson, joue sur deux morceaux stellaires et James LaBrie de Dream Theater chante sur deux titres magiques. Ce magnifique album s’annonce comme le premier d’une fructueuse collaboration à venir entre Rick Emmett et Mascot !
Le retour Triumphant du guitariste virtuose ! Le fondateur de Triumph, célèbre groupe canadien de hard rock des 80’s aux 8 disques d’or, nous revient accompagné de son nouveau groupe RESolution9. Les membres de RESolution9 sont des musiciens issus du quartet qui accompagnent Rick live : Dave Dunlop à la guitare, Steve Skingley à la basse, et Paul DeLong à la batterie. Enregistré et mixé en grande partie aux fameux studios MetalWorks de Mississauga, la ville natale de Rick, ce disque plein de vitalité est loin d’être un simple retour aux sources ou un quelconque comeback. On y retrouve même les deux autres membres fondateurs du trio Triumph (Gil Moore et Mike Levine) qui reprennent pour la première fois du service aux côtés de Rick Emmett sur « The Grand Parade » qui résonne comme une suite au « Suitcase blues » de 1979. Enfin, le légendaire guitariste de Rush, Alex Lifeson, joue sur deux morceaux stellaires et James LaBrie de Dream Theater chante sur deux titres magiques. Ce magnifique album s’annonce comme le premier d’une fructueuse collaboration à venir entre Rick Emmett et Mascot !
Pour son treizième album studio, Joe Bonamassa continue de redéfinir les limites du blues rock moderne. A travers 12 compositions de son cru le guitariste américain présente un disque aussi ambitieux que diversifié. Il esquisse même une sorte de renaissance qui fait suite à diverses choses qui viennent de marquer sa vie personnelle : Je passe à travers des moments que je ne m'attendais pas vivre... Je dois les accepter et y faire face avec contrition... C'est douloureux, tout en sachant qu'une résurrection est toujours possible, explique-t-il. Pour ce disque Bonamassa s'est entouré de quelques-uns des meilleurs auteurs / compositeurs de Nashville comme Tom Hambridge, James House, Gary Nicholson, Richard Page, Dion Dimucci et bien évidemment de son producteur de toujours Kevin Shirley. L'enregistrement s'est déroulé dans différents endroits : les Blackbird Studios à Nashville, The Cave Australia à Sydney, le Studio At The Palms à Las Vegas, le Criteria Hit Factory, à Miami et les Addiction Sound Studios de Nashville. Une fois de plus de remarquables musiciens accompagnent Joe : le batteur Anton Fig, le bassiste Michael Rhodes, le clavier Reese Wynans, les trompettistes Lee Thornburg et Paulie Cerra, les choristes Gary Pinto, Mahalia Barnes, Jade McRae, Juanita Tippins et même deux autres guitaristes Kenny Greenberg et Doug Lancio. Si l'album commence par un coup de chapeau à Led Zeppelin avec Evil Mama', il se poursuit ensuite sur les rythmes boogie/rockabilly de King Bee Shakedown' auxquels il est impossible de résister. Après les riffs hard rock de Molly-O', Joe s'inspire clairement de Tom Waits sur Pick Up The Pieces'. Du point de vue du guitariste Self-Inflicted Wounds' est sans doute l'une des meilleures chansons qu'il ait jamais écrites et Deep In The Blues Again' possède un rythme qui pousse à la réécouter à l'infini. Sur The Ghost of Macon Jones' Joe partage le chant avec le chanteur country Jamey Johnson. Ensemble ils nous content l'histoire d'un paysan renégat. Vient alors Just Cos You Can Don t Mean You Should' directement inspiré du blues rock d'Albert King, puis l'on retient son souffle sur Stronger Now In Broken Places' interprété avec rien de plus qu'une guitare acoustique posée sur des sons créés par Jim Moginie de Midnight Oil et le handpan de Kate Ston. Après ce merveilleux voyage musical Joe renoue alors avec le blues rock plus traditionnel sur Love is A Gamble.' Le chemin pavé par ce Redemption avance à travers des nuances allant de la lumière à l'obscurité et vers des profondeurs tendres, chargées d'émotions. Bien sûr la guitare suprême et magistrale de Bonamassa veille sur chacun de ces précieux moments. Mais au-delà de ses prouesses inégalées d'instrumentiste, l'on ressent tout au long de ce disque que Joe Bonamassa est habité par le désir insatiable de pousser les choses plus loin et ce aussi bien au niveau de la musique que des textes.
Pour son treizième album studio, Joe Bonamassa continue de redéfinir les limites du blues rock moderne. A travers 12 compositions de son cru le guitariste américain présente un disque aussi ambitieux que diversifié. Il esquisse même une sorte de renaissance qui fait suite à diverses choses qui viennent de marquer sa vie personnelle : Je passe à travers des moments que je ne m'attendais pas vivre... Je dois les accepter et y faire face avec contrition... C'est douloureux, tout en sachant qu'une résurrection est toujours possible, explique-t-il. Pour ce disque Bonamassa s'est entouré de quelques-uns des meilleurs auteurs / compositeurs de Nashville comme Tom Hambridge, James House, Gary Nicholson, Richard Page, Dion Dimucci et bien évidemment de son producteur de toujours Kevin Shirley. L'enregistrement s'est déroulé dans différents endroits : les Blackbird Studios à Nashville, The Cave Australia à Sydney, le Studio At The Palms à Las Vegas, le Criteria Hit Factory, à Miami et les Addiction Sound Studios de Nashville. Une fois de plus de remarquables musiciens accompagnent Joe : le batteur Anton Fig, le bassiste Michael Rhodes, le clavier Reese Wynans, les trompettistes Lee Thornburg et Paulie Cerra, les choristes Gary Pinto, Mahalia Barnes, Jade McRae, Juanita Tippins et même deux autres guitaristes Kenny Greenberg et Doug Lancio. Si l'album commence par un coup de chapeau à Led Zeppelin avec Evil Mama', il se poursuit ensuite sur les rythmes boogie/rockabilly de King Bee Shakedown' auxquels il est impossible de résister. Après les riffs hard rock de Molly-O', Joe s'inspire clairement de Tom Waits sur Pick Up The Pieces'. Du point de vue du guitariste Self-Inflicted Wounds' est sans doute l'une des meilleures chansons qu'il ait jamais écrites et Deep In The Blues Again' possède un rythme qui pousse à la réécouter à l'infini. Sur The Ghost of Macon Jones' Joe partage le chant avec le chanteur country Jamey Johnson. Ensemble ils nous content l'histoire d'un paysan renégat. Vient alors Just Cos You Can Don t Mean You Should' directement inspiré du blues rock d'Albert King, puis l'on retient son souffle sur Stronger Now In Broken Places' interprété avec rien de plus qu'une guitare acoustique posée sur des sons créés par Jim Moginie de Midnight Oil et le handpan de Kate Ston. Après ce merveilleux voyage musical Joe renoue alors avec le blues rock plus traditionnel sur Love is A Gamble.' Le chemin pavé par ce Redemption avance à travers des nuances allant de la lumière à l'obscurité et vers des profondeurs tendres, chargées d'émotions. Bien sûr la guitare suprême et magistrale de Bonamassa veille sur chacun de ces précieux moments. Mais au-delà de ses prouesses inégalées d'instrumentiste, l'on ressent tout au long de ce disque que Joe Bonamassa est habité par le désir insatiable de pousser les choses plus loin et ce aussi bien au niveau de la musique que des textes.
Pour son treizième album studio, Joe Bonamassa continue de redéfinir les limites du blues rock moderne. A travers 12 compositions de son cru le guitariste américain présente un disque aussi ambitieux que diversifié. Il esquisse même une sorte de renaissance qui fait suite à diverses choses qui viennent de marquer sa vie personnelle : Je passe à travers des moments que je ne m'attendais pas vivre... Je dois les accepter et y faire face avec contrition... C'est douloureux, tout en sachant qu'une résurrection est toujours possible, explique-t-il. Pour ce disque Bonamassa s'est entouré de quelques-uns des meilleurs auteurs / compositeurs de Nashville comme Tom Hambridge, James House, Gary Nicholson, Richard Page, Dion Dimucci et bien évidemment de son producteur de toujours Kevin Shirley. L'enregistrement s'est déroulé dans différents endroits : les Blackbird Studios à Nashville, The Cave Australia à Sydney, le Studio At The Palms à Las Vegas, le Criteria Hit Factory, à Miami et les Addiction Sound Studios de Nashville. Une fois de plus de remarquables musiciens accompagnent Joe : le batteur Anton Fig, le bassiste Michael Rhodes, le clavier Reese Wynans, les trompettistes Lee Thornburg et Paulie Cerra, les choristes Gary Pinto, Mahalia Barnes, Jade McRae, Juanita Tippins et même deux autres guitaristes Kenny Greenberg et Doug Lancio. Si l'album commence par un coup de chapeau à Led Zeppelin avec Evil Mama', il se poursuit ensuite sur les rythmes boogie/rockabilly de King Bee Shakedown' auxquels il est impossible de résister. Après les riffs hard rock de Molly-O', Joe s'inspire clairement de Tom Waits sur Pick Up The Pieces'. Du point de vue du guitariste Self-Inflicted Wounds' est sans doute l'une des meilleures chansons qu'il ait jamais écrites et Deep In The Blues Again' possède un rythme qui pousse à la réécouter à l'infini. Sur The Ghost of Macon Jones' Joe partage le chant avec le chanteur country Jamey Johnson. Ensemble ils nous content l'histoire d'un paysan renégat. Vient alors Just Cos You Can Don t Mean You Should' directement inspiré du blues rock d'Albert King, puis l'on retient son souffle sur Stronger Now In Broken Places' interprété avec rien de plus qu'une guitare acoustique posée sur des sons créés par Jim Moginie de Midnight Oil et le handpan de Kate Ston. Après ce merveilleux voyage musical Joe renoue alors avec le blues rock plus traditionnel sur Love is A Gamble.' Le chemin pavé par ce Redemption avance à travers des nuances allant de la lumière à l'obscurité et vers des profondeurs tendres, chargées d'émotions. Bien sûr la guitare suprême et magistrale de Bonamassa veille sur chacun de ces précieux moments. Mais au-delà de ses prouesses inégalées d'instrumentiste, l'on ressent tout au long de ce disque que Joe Bonamassa est habité par le désir insatiable de pousser les choses plus loin et ce aussi bien au niveau de la musique que des textes.
Le groupe crée encore une fois la suprise avec leur huitième album, The King Of Limbs. Attendu depuis des mois, la sortie de leur nouvel opus a été annoncée discrètement par un simple communiqué une poignée de jours avant sa sortie digitale sur le site du groupe. Le groupe s’est même payé le luxe d’avancer la sortie d’un jour, prenant ainsi tout le monde au dépourvu. Contrairement à la stratégie appliquée sur In Rainbows, l’album disponible au format digital a un prix fixé par le groupe, cette fois-ci plus de gratuité pour les fans. The King Of Limbs s’ouvre sur les nappes superposées et syncopées du sublime Bloom, un des titres phares de ce nouvel album, où l’accent est porté sur l’électro empruntant les sonorités du dubstep, genre musical très tendance outre-manche. Le groupe flirte également avec la world sur Little By Little et ses échantillons de sitar, mais The King Of Limbs est résolument un album de Radiohead. Codex et sa mélodie éthérée, Separator ou encore Lotus Flower portent la marque de fabrique du groupe. The King Of Limbs est une oeuvre complexe d’une richesse musicale incroyable qui prouve une fois de plus que Radiohead est le plus grand groupe de rock de notre époque.
Le groupe crée encore une fois la suprise avec leur huitième album, The King Of Limbs. Attendu depuis des mois, la sortie de leur nouvel opus a été annoncée discrètement par un simple communiqué une poignée de jours avant sa sortie digitale sur le site du groupe. Le groupe s’est même payé le luxe d’avancer la sortie d’un jour, prenant ainsi tout le monde au dépourvu. Contrairement à la stratégie appliquée sur In Rainbows, l’album disponible au format digital a un prix fixé par le groupe, cette fois-ci plus de gratuité pour les fans. The King Of Limbs s’ouvre sur les nappes superposées et syncopées du sublime Bloom, un des titres phares de ce nouvel album, où l’accent est porté sur l’électro empruntant les sonorités du dubstep, genre musical très tendance outre-manche. Le groupe flirte également avec la world sur Little By Little et ses échantillons de sitar, mais The King Of Limbs est résolument un album de Radiohead. Codex et sa mélodie éthérée, Separator ou encore Lotus Flower portent la marque de fabrique du groupe. The King Of Limbs est une oeuvre complexe d’une richesse musicale incroyable qui prouve une fois de plus que Radiohead est le plus grand groupe de rock de notre époque.
Après seulement un EP sorti uniquement en digital en avril dernier, Suzane fait déjà exploser les compteurs avec plus de 150 dates en 2019, dont les plus grandes festivals français (Printemps de Bourges, Fnac Live, Vieilles Charrues) et des tournées en Chine et au Japon, et devient l'une des artistes les plus attendues de l'année. Celle qui se définit comme une conteuse d'histoires vraies sur fond d'électro dévoile son premier album et tient toutes ses promesses. Plus que jamais d'actualité, cet album est immédiat, les titres instantanément addictifs et les thèmes universels. Les chansons de Suzane, c'est le regard d'une jeune femme d'aujourd'hui, à l'heure des addictions vertigineuses et des écrans noirs, des doutes et des espoirs. Sa musique est dépouillée, elle n'a pas besoin d'effets spéciaux pour viser le coeur. C'est assez saisissant et furieusement vivant. Qu'elles soient mélancoliques, ironiques, sombres ou solaires, intimes ou universelles, entraînantes ou poignantes, - et elles ont souvent l'intelligence de ne pas forcément choisir-, les chansons de Suzane ont décidé de n'en faire qu'à leur tête et de rester dans la nôtre. électron libre de cette nouvelle scène électro/chanson, Suzane étouffe les évidences et chante ce que nous sommes.
Toujours en avance sur son temps, le site Gorillavsbear désignait Grimes comme l’une des révélations de 2010, il faudra en réalité deux années de plus pour que Grimes explose au grand jour. A 23 ans, la canadienne Claire Boucher a déjà sorti un premier opus ‘Halfaxa’ en 2010 sur Lo Recordings, mais c’est sur 4AD que sortira son nouvel album intitulé ‘Visions’. Originaire de Vancouver, Grimes est une artiste unique, musicienne et productrice autodidacte, elle mélange avec habileté la pop à la musique électronique. Mais l’une des pièces majeures de son art est sans aucun doute sa voix, à la fois mystérieuse, éthérée, et souvent auto tunée qui pourrait rappeler une jeune Elizabeth Fraser comme sur le titre ‘Symphonia IX, my wait is U’. Contrairement à son premier album qui était une plongée un peu plus psychédélique et gothique, ‘Visions ‘ est clairement moins sombre et flirte parfois avec des rythmiques R&B, comme sur les titres Be A Body ou le très princier Colour Of Moonlight Antiochus. Grime fait partie de cette nouvelle génération de jeunes productrices prêtes à rivaliser avec leurs alter egos masculins et Visions en est la preuve, un véritable ovni musical qui devrait installer définitivement l’artiste.
50 ans de carrière sur scène ! Alive in Amsterdamest le son de la résurrection, après une période très compliquée pour l'artiste à la suite de sérieux problèmes de santé. La renaissance de Trout s'est opérée avec sa transplantation de foie réussie en 2014 et surtout au travers de son album « Battles Scars » de 2015 qui canalise cette expérience proche de la mort dans une série de morceaux autobiographiques. Aussi ce n'est pas un hasard si Walter Trout n'a jamais sonné aussi vivant. La date retenue est le 28 novembre 2015, le lieu est l'opulent Royal Theatre Carré d'Amsterdam. Alors si vous attendez une prestation tranquille, vous faites une grossière erreur. Cette substance musicale est très puissante, car ici on parle de rock, de blues rock ! Bien entendu, Walter Trout est un vrai magicien en studio. Mais c'est bien sur scène qu'il prend toute sa dimension. C'est encore un autre guitariste live lorsqu'il capture l'énergie et toute l'excitation du moment, surtout après avoir vécu une expérience aussi terrifiante que la sienne ! Cela nous donne un disque plein d'énergie et d'urgence, un double live électrifiant !
LE MAITRE DE LA FUNK FAIT SON GRAND RETOUR ! Bootsy Collins est il y a longtemps, très longtemps dans une caverne souterraine pleine de dinosaures brillants sous la rivière Ohio c’est l’introduction d’Iggy Pop à World Wide Funk. Le funk coule à nouveau à flots sur « World Wide Funk », le nouvel opus de Bootsy Collins, peuplé de ses vieux mais aussi nouveaux amis musiciens, enregistré chez lui à Cincinnati dans le Bootzilla Re-hab studio. Entre funk, pop R&B et soul, ce nouveau chapitre ne déroge pas à la discographie extravagante de celui qui a imposé la basse dans la funk depuis les 70’s. Cette-fois, il a été suivi par quelques rappers de premier choix comme Doug E. Fresh, Big Daddy Kane, DJ Quik, Dru Down et Chuck D. Boosty a également embarqué quelques musiciens de marque avec lui pour cette aventure en studio, comme Eric Gales, Buckethead, John Blackwell le batteur de Prince, Dennis Chambers... Aussi on trouve de nombreux passages musicaux plein de fougue et de magie ! La seule chose qui passionne notre bonhomme c’est que vous vous sentiez vraiment bien à l’écoute de sa musique !
Après seulement un EP sorti uniquement en digital en avril dernier, Suzane fait déjà exploser les compteurs avec plus de 150 dates en 2019, dont les plus grandes festivals français (Printemps de Bourges, Fnac Live, Vieilles Charrues) et des tournées en Chine et au Japon, et devient l'une des artistes les plus attendues de l'année. Celle qui se définit comme une conteuse d'histoires vraies sur fond d'électro dévoile son premier album et tient toutes ses promesses. Plus que jamais d'actualité, cet album est immédiat, les titres instantanément addictifs et les thèmes universels. Les chansons de Suzane, c'est le regard d'une jeune femme d'aujourd'hui, à l'heure des addictions vertigineuses et des écrans noirs, des doutes et des espoirs. Sa musique est dépouillée, elle n'a pas besoin d'effets spéciaux pour viser le coeur. C'est assez saisissant et furieusement vivant. Qu'elles soient mélancoliques, ironiques, sombres ou solaires, intimes ou universelles, entraînantes ou poignantes, - et elles ont souvent l'intelligence de ne pas forcément choisir-, les chansons de Suzane ont décidé de n'en faire qu'à leur tête et de rester dans la nôtre. électron libre de cette nouvelle scène électro/chanson, Suzane étouffe les évidences et chante ce que nous sommes.
Ce coffret offrira 120 titres, dont de nombreux inédits. On y croisera des artistes comme Bart & Baker, Dreamers Inc, Professor Oz, Stan Kolev, Alihan Samedov, Consoul trainin, Ganga, Mashti, Shantel, The Spy from Cairo... Né de l’imaginaire de Raymond Visan, grand passionné de cinéma, l’expérience Buddha-Bar se vit et se raconte à la manière d’un film. Un décor soigné dans les moindres détails, une B.O immersive, un scénario bien étudié et des acteurs de renoms, telles sont les clés du concept et de sa réussite. Conçu comme une Bande Originale, le nouveau coffret Buddha-Bar « The Ultimate Experience » offre une expérience inédite : 10 heures de Buddha-Bar music pour un voyage initiatique au coeur de la Lounge et de l’Electro actuelle. Derrière la caméra, Ravin (Buddha-Bar Paris) & Mario Chaviaras (Buddha-Bar Londres), vous offre le meilleur des longs métrages. Des grands espaces d’Amérique, aux hauts plateaux d’Asie en passant par les déserts d’Afrique, les deux réalisateurs, munis d’une caméra grand angle, vous font découvrir des paysages d’une rare beauté. Préparez-vous un grand bol de Popcorn, installez-vous confortablement dans votre canapé, et soyez prêts à écouter « the soundtrack of your life ».
LE SUPER HERO DU BLUES EST DE RETOUR, AVEC NON PAS UN MAIS 4 CONCERTS FILMES !!!! Le 28 Octobre prochain, Joe Bonamassa sortira non pas un mes quatre (!!!) nouveaux DVD. Baptisé « Tour De Force - Live In London », cet évènement sans précédent présente les 4 concerts que le guiatariste a donnés en mars dernier à Londres dans des salles aussi prestigieuses que le Royal Albert Hall, l'Hammersmith Apollo, le Shepherd's Bush Empire et The Borderline. 4 concerts, mais 1 seul guitariste, dans 1 seule ville, 4 salles et atmosphères différentes, accompagné de 4 formations différentes (du power trio au big band) et, bien sûr, 4 setlist différentes, soit 47 chansons différentes pour un total de 63 titres. le tout interprété devant 12 000 spectateurs. Bref, un véritable « Tour de Force » de la part de ce guitariste/chnateur exceptionnel qui, quelque part, rend lui même hommage à sa propre carrière et son déjà très riche répertoire en jouant des chansons qu'il n'avait pas jouées depuis très longtemps - voire jamais - sur scène. C'est ainsi que l'on passe de l'ambiance intime du Borderline (capacité 200 places) à la scène du Shepherd's Bush Empire où Joe s'est adjoint les services d'une section de cuivres. A l'Hammersmith Apollo, il entame le show en acoustique avant d'exécuter ses titres les plus « rock », alors au Royal Albert Hall il offre un show semi acoustique / semi électrique d'une rare beauté... bien entendu, les titres joués plusieurs fois d'un concert à l'autre, bénéficient d'arrangements différents suivant la salle ils sont (re)joués... Bonamassa relève ainsi brillamment le défi qu'il s'était lancé à lui-même... « Londres est un peu comme ma seconde maison... confit le guitariste, avec ces concerts je voulais offrir quelque chose de vraiment spécial à ce public qui me suit ici depuis des années. C'est un signe de remerciement de ma part pour leur fidélité. Au fil de mes tournées, on me demande souvent de jouer des chansons qui ne font pas parties de mes setlist. J'ai donc passé en revue tout mon catalogue et j'ai fait honneur à Londres en lui offrant la primeur de versions uniques de certains de mes titres que j'avais rarement joué sur scène. Aujourd'hui, avec ces 4 DVD le monde entier va pouvoir en profiter » « Tour De Force - Live In London » sera disponible en 4 double DVD ou 4 Blu-Ray, vendus séparément. Soit plus de 9 heures de concert aux quelles il faut ajouter plus de 4 heures de bonus. A noté que si sur ses précédents DVD live, Joe Bonamassa avait invité des artistes (comme Eric Clapton, John Hiatt, Paul Rodgers ou Beth Hart) à le rejoindre sur scène, cette fois ses « special guests » ne sont pas des musiciens mais plutôt une jolie collection de guitares légendaires telles que la Fender Stratocaster 1961 de Rory Gallagher, la Gibson Les Paul 1959 de Bernie Marsden ou encore la Gibson Les Paul 1959 ayant appartenue à Peter Greene puis à Gary Moore...
LE SUPER HERO DU BLUES EST DE RETOUR, AVEC NON PAS UN MAIS 4 CONCERTS FILMES !!!! Le 28 Octobre prochain, Joe Bonamassa sortira non pas un mes quatre (!!!) nouveaux DVD. Baptisé « Tour De Force - Live In London », cet évènement sans précédent présente les 4 concerts que le guiatariste a donnés en mars dernier à Londres dans des salles aussi prestigieuses que le Royal Albert Hall, l'Hammersmith Apollo, le Shepherd's Bush Empire et The Borderline. 4 concerts, mais 1 seul guitariste, dans 1 seule ville, 4 salles et atmosphères différentes, accompagné de 4 formations différentes (du power trio au big band) et, bien sûr, 4 setlist différentes, soit 47 chansons différentes pour un total de 63 titres. le tout interprété devant 12 000 spectateurs. Bref, un véritable « Tour de Force » de la part de ce guitariste/chnateur exceptionnel qui, quelque part, rend lui même hommage à sa propre carrière et son déjà très riche répertoire en jouant des chansons qu'il n'avait pas jouées depuis très longtemps - voire jamais - sur scène. C'est ainsi que l'on passe de l'ambiance intime du Borderline (capacité 200 places) à la scène du Shepherd's Bush Empire où Joe s'est adjoint les services d'une section de cuivres. A l'Hammersmith Apollo, il entame le show en acoustique avant d'exécuter ses titres les plus « rock », alors au Royal Albert Hall il offre un show semi acoustique / semi électrique d'une rare beauté... bien entendu, les titres joués plusieurs fois d'un concert à l'autre, bénéficient d'arrangements différents suivant la salle ils sont (re)joués... Bonamassa relève ainsi brillamment le défi qu'il s'était lancé à lui-même... « Londres est un peu comme ma seconde maison... confit le guitariste, avec ces concerts je voulais offrir quelque chose de vraiment spécial à ce public qui me suit ici depuis des années. C'est un signe de remerciement de ma part pour leur fidélité. Au fil de mes tournées, on me demande souvent de jouer des chansons qui ne font pas parties de mes setlist. J'ai donc passé en revue tout mon catalogue et j'ai fait honneur à Londres en lui offrant la primeur de versions uniques de certains de mes titres que j'avais rarement joué sur scène. Aujourd'hui, avec ces 4 DVD le monde entier va pouvoir en profiter » « Tour De Force - Live In London » sera disponible en 4 double DVD ou 4 Blu-Ray, vendus séparément. Soit plus de 9 heures de concert aux quelles il faut ajouter plus de 4 heures de bonus. A noté que si sur ses précédents DVD live, Joe Bonamassa avait invité des artistes (comme Eric Clapton, John Hiatt, Paul Rodgers ou Beth Hart) à le rejoindre sur scène, cette fois ses « special guests » ne sont pas des musiciens mais plutôt une jolie collection de guitares légendaires telles que la Fender Stratocaster 1961 de Rory Gallagher, la Gibson Les Paul 1959 de Bernie Marsden ou encore la Gibson Les Paul 1959 ayant appartenue à Peter Greene puis à Gary Moore...
ENTRE LED ZEPPELIN ET PINK FLOYD, LE ROCK MADE IN FINLAND VA CONQUERIR VOTRE PLATINE Les frères finnois Mikko, Kie et Jonne von Hertzen jouaient chacun dans leur propre groupe avec succès avant de se lancer, ensemble en 2000, dans l’aventure Von Herzen Brothers. Avec « Approach » leur 2ème album qui a enflammé les charts nationaux par son mélange unique de guitare progressive et d’harmonies vocales, les frères ont vite démontré que leur association était unique et exceptionnelle. Depuis, le groupe a sorti trois albums qui ont atteint la place de N°1 et un autre N°2 au top en Finlande. Ce succès en fait, aujourd’hui, l’un des groupes les plus influants et les plus importants à émerger dernièrement de Finlande. Côté scène, le groupe s’est bâti une solide réputation et est considéré comme étant une excellente formation live. La preuve c’est qu’ils ont déjà fait les premières parties des Foo Fighters et même de Neil Young, partagé les tournées européennes d’Opeth et joué sur les grandes scènes de prestigieux festivals en Europe ! Il est aujourd’hui temps pour eux de dépasser les frontières de la Finlande et de se faire connaître au niveau international. Leur signature chez Mascot devrait les aider à percer sur la scène international avec ce nouvel album.
LE SUPER HERO DU BLUES EST DE RETOUR, AVEC NON PAS UN MAIS 4 CONCERTS FILMES !!!! Le 28 Octobre prochain, Joe Bonamassa sortira non pas un mes quatre (!!!) nouveaux DVD. Baptisé « Tour De Force - Live In London », cet évènement sans précédent présente les 4 concerts que le guiatariste a donnés en mars dernier à Londres dans des salles aussi prestigieuses que le Royal Albert Hall, l'Hammersmith Apollo, le Shepherd's Bush Empire et The Borderline. 4 concerts, mais 1 seul guitariste, dans 1 seule ville, 4 salles et atmosphères différentes, accompagné de 4 formations différentes (du power trio au big band) et, bien sûr, 4 setlist différentes, soit 47 chansons différentes pour un total de 63 titres. le tout interprété devant 12 000 spectateurs. Bref, un véritable « Tour de Force » de la part de ce guitariste/chnateur exceptionnel qui, quelque part, rend lui même hommage à sa propre carrière et son déjà très riche répertoire en jouant des chansons qu'il n'avait pas jouées depuis très longtemps - voire jamais - sur scène. C'est ainsi que l'on passe de l'ambiance intime du Borderline (capacité 200 places) à la scène du Shepherd's Bush Empire où Joe s'est adjoint les services d'une section de cuivres. A l'Hammersmith Apollo, il entame le show en acoustique avant d'exécuter ses titres les plus « rock », alors au Royal Albert Hall il offre un show semi acoustique / semi électrique d'une rare beauté... bien entendu, les titres joués plusieurs fois d'un concert à l'autre, bénéficient d'arrangements différents suivant la salle ils sont (re)joués... Bonamassa relève ainsi brillamment le défi qu'il s'était lancé à lui-même... « Londres est un peu comme ma seconde maison... confit le guitariste, avec ces concerts je voulais offrir quelque chose de vraiment spécial à ce public qui me suit ici depuis des années. C'est un signe de remerciement de ma part pour leur fidélité. Au fil de mes tournées, on me demande souvent de jouer des chansons qui ne font pas parties de mes setlist. J'ai donc passé en revue tout mon catalogue et j'ai fait honneur à Londres en lui offrant la primeur de versions uniques de certains de mes titres que j'avais rarement joué sur scène. Aujourd'hui, avec ces 4 DVD le monde entier va pouvoir en profiter » « Tour De Force - Live In London » sera disponible en 4 double DVD ou 4 Blu-Ray, vendus séparément. Soit plus de 9 heures de concert aux quelles il faut ajouter plus de 4 heures de bonus. A noté que si sur ses précédents DVD live, Joe Bonamassa avait invité des artistes (comme Eric Clapton, John Hiatt, Paul Rodgers ou Beth Hart) à le rejoindre sur scène, cette fois ses « special guests » ne sont pas des musiciens mais plutôt une jolie collection de guitares légendaires telles que la Fender Stratocaster 1961 de Rory Gallagher, la Gibson Les Paul 1959 de Bernie Marsden ou encore la Gibson Les Paul 1959 ayant appartenue à Peter Greene puis à Gary Moore...
LE SUPER HERO DU BLUES EST DE RETOUR, AVEC NON PAS UN MAIS 4 CONCERTS FILMES !!!! Le 28 Octobre prochain, Joe Bonamassa sortira non pas un mes quatre (!!!) nouveaux DVD. Baptisé « Tour De Force - Live In London », cet évènement sans précédent présente les 4 concerts que le guiatariste a donnés en mars dernier à Londres dans des salles aussi prestigieuses que le Royal Albert Hall, l'Hammersmith Apollo, le Shepherd's Bush Empire et The Borderline. 4 concerts, mais 1 seul guitariste, dans 1 seule ville, 4 salles et atmosphères différentes, accompagné de 4 formations différentes (du power trio au big band) et, bien sûr, 4 setlist différentes, soit 47 chansons différentes pour un total de 63 titres. le tout interprété devant 12 000 spectateurs. Bref, un véritable « Tour de Force » de la part de ce guitariste/chnateur exceptionnel qui, quelque part, rend lui même hommage à sa propre carrière et son déjà très riche répertoire en jouant des chansons qu'il n'avait pas jouées depuis très longtemps - voire jamais - sur scène. C'est ainsi que l'on passe de l'ambiance intime du Borderline (capacité 200 places) à la scène du Shepherd's Bush Empire où Joe s'est adjoint les services d'une section de cuivres. A l'Hammersmith Apollo, il entame le show en acoustique avant d'exécuter ses titres les plus « rock », alors au Royal Albert Hall il offre un show semi acoustique / semi électrique d'une rare beauté... bien entendu, les titres joués plusieurs fois d'un concert à l'autre, bénéficient d'arrangements différents suivant la salle ils sont (re)joués... Bonamassa relève ainsi brillamment le défi qu'il s'était lancé à lui-même... « Londres est un peu comme ma seconde maison... confit le guitariste, avec ces concerts je voulais offrir quelque chose de vraiment spécial à ce public qui me suit ici depuis des années. C'est un signe de remerciement de ma part pour leur fidélité. Au fil de mes tournées, on me demande souvent de jouer des chansons qui ne font pas parties de mes setlist. J'ai donc passé en revue tout mon catalogue et j'ai fait honneur à Londres en lui offrant la primeur de versions uniques de certains de mes titres que j'avais rarement joué sur scène. Aujourd'hui, avec ces 4 DVD le monde entier va pouvoir en profiter » « Tour De Force - Live In London » sera disponible en 4 double DVD ou 4 Blu-Ray, vendus séparément. Soit plus de 9 heures de concert aux quelles il faut ajouter plus de 4 heures de bonus. A noté que si sur ses précédents DVD live, Joe Bonamassa avait invité des artistes (comme Eric Clapton, John Hiatt, Paul Rodgers ou Beth Hart) à le rejoindre sur scène, cette fois ses « special guests » ne sont pas des musiciens mais plutôt une jolie collection de guitares légendaires telles que la Fender Stratocaster 1961 de Rory Gallagher, la Gibson Les Paul 1959 de Bernie Marsden ou encore la Gibson Les Paul 1959 ayant appartenue à Peter Greene puis à Gary Moore...
LE SUPER HERO DU BLUES EST DE RETOUR, AVEC NON PAS UN MAIS 4 CONCERTS FILMES !!!! Le 28 Octobre prochain, Joe Bonamassa sortira non pas un mes quatre (!!!) nouveaux DVD. Baptisé « Tour De Force - Live In London », cet évènement sans précédent présente les 4 concerts que le guiatariste a donnés en mars dernier à Londres dans des salles aussi prestigieuses que le Royal Albert Hall, l'Hammersmith Apollo, le Shepherd's Bush Empire et The Borderline. 4 concerts, mais 1 seul guitariste, dans 1 seule ville, 4 salles et atmosphères différentes, accompagné de 4 formations différentes (du power trio au big band) et, bien sûr, 4 setlist différentes, soit 47 chansons différentes pour un total de 63 titres. le tout interprété devant 12 000 spectateurs. Bref, un véritable « Tour de Force » de la part de ce guitariste/chnateur exceptionnel qui, quelque part, rend lui même hommage à sa propre carrière et son déjà très riche répertoire en jouant des chansons qu'il n'avait pas jouées depuis très longtemps - voire jamais - sur scène. C'est ainsi que l'on passe de l'ambiance intime du Borderline (capacité 200 places) à la scène du Shepherd's Bush Empire où Joe s'est adjoint les services d'une section de cuivres. A l'Hammersmith Apollo, il entame le show en acoustique avant d'exécuter ses titres les plus « rock », alors au Royal Albert Hall il offre un show semi acoustique / semi électrique d'une rare beauté... bien entendu, les titres joués plusieurs fois d'un concert à l'autre, bénéficient d'arrangements différents suivant la salle ils sont (re)joués... Bonamassa relève ainsi brillamment le défi qu'il s'était lancé à lui-même... « Londres est un peu comme ma seconde maison... confit le guitariste, avec ces concerts je voulais offrir quelque chose de vraiment spécial à ce public qui me suit ici depuis des années. C'est un signe de remerciement de ma part pour leur fidélité. Au fil de mes tournées, on me demande souvent de jouer des chansons qui ne font pas parties de mes setlist. J'ai donc passé en revue tout mon catalogue et j'ai fait honneur à Londres en lui offrant la primeur de versions uniques de certains de mes titres que j'avais rarement joué sur scène. Aujourd'hui, avec ces 4 DVD le monde entier va pouvoir en profiter » « Tour De Force - Live In London » sera disponible en 4 double DVD ou 4 Blu-Ray, vendus séparément. Soit plus de 9 heures de concert aux quelles il faut ajouter plus de 4 heures de bonus. A noté que si sur ses précédents DVD live, Joe Bonamassa avait invité des artistes (comme Eric Clapton, John Hiatt, Paul Rodgers ou Beth Hart) à le rejoindre sur scène, cette fois ses « special guests » ne sont pas des musiciens mais plutôt une jolie collection de guitares légendaires telles que la Fender Stratocaster 1961 de Rory Gallagher, la Gibson Les Paul 1959 de Bernie Marsden ou encore la Gibson Les Paul 1959 ayant appartenue à Peter Greene puis à Gary Moore...
LE SUPER HERO DU BLUES EST DE RETOUR, AVEC NON PAS UN MAIS 4 CONCERTS FILMES !!!! Le 28 Octobre prochain, Joe Bonamassa sortira non pas un mes quatre (!!!) nouveaux DVD. Baptisé « Tour De Force - Live In London », cet évènement sans précédent présente les 4 concerts que le guiatariste a donnés en mars dernier à Londres dans des salles aussi prestigieuses que le Royal Albert Hall, l'Hammersmith Apollo, le Shepherd's Bush Empire et The Borderline. 4 concerts, mais 1 seul guitariste, dans 1 seule ville, 4 salles et atmosphères différentes, accompagné de 4 formations différentes (du power trio au big band) et, bien sûr, 4 setlist différentes, soit 47 chansons différentes pour un total de 63 titres. le tout interprété devant 12 000 spectateurs. Bref, un véritable « Tour de Force » de la part de ce guitariste/chnateur exceptionnel qui, quelque part, rend lui même hommage à sa propre carrière et son déjà très riche répertoire en jouant des chansons qu'il n'avait pas jouées depuis très longtemps - voire jamais - sur scène. C'est ainsi que l'on passe de l'ambiance intime du Borderline (capacité 200 places) à la scène du Shepherd's Bush Empire où Joe s'est adjoint les services d'une section de cuivres. A l'Hammersmith Apollo, il entame le show en acoustique avant d'exécuter ses titres les plus « rock », alors au Royal Albert Hall il offre un show semi acoustique / semi électrique d'une rare beauté... bien entendu, les titres joués plusieurs fois d'un concert à l'autre, bénéficient d'arrangements différents suivant la salle ils sont (re)joués... Bonamassa relève ainsi brillamment le défi qu'il s'était lancé à lui-même... « Londres est un peu comme ma seconde maison... confit le guitariste, avec ces concerts je voulais offrir quelque chose de vraiment spécial à ce public qui me suit ici depuis des années. C'est un signe de remerciement de ma part pour leur fidélité. Au fil de mes tournées, on me demande souvent de jouer des chansons qui ne font pas parties de mes setlist. J'ai donc passé en revue tout mon catalogue et j'ai fait honneur à Londres en lui offrant la primeur de versions uniques de certains de mes titres que j'avais rarement joué sur scène. Aujourd'hui, avec ces 4 DVD le monde entier va pouvoir en profiter » « Tour De Force - Live In London » sera disponible en 4 double DVD ou 4 Blu-Ray, vendus séparément. Soit plus de 9 heures de concert aux quelles il faut ajouter plus de 4 heures de bonus. A noté que si sur ses précédents DVD live, Joe Bonamassa avait invité des artistes (comme Eric Clapton, John Hiatt, Paul Rodgers ou Beth Hart) à le rejoindre sur scène, cette fois ses « special guests » ne sont pas des musiciens mais plutôt une jolie collection de guitares légendaires telles que la Fender Stratocaster 1961 de Rory Gallagher, la Gibson Les Paul 1959 de Bernie Marsden ou encore la Gibson Les Paul 1959 ayant appartenue à Peter Greene puis à Gary Moore...
ENTRE LED ZEPPELIN ET PINK FLOYD, LE ROCK MADE IN FINLAND VA CONQUERIR VOTRE PLATINE Les frères finnois Mikko, Kie et Jonne von Hertzen jouaient chacun dans leur propre groupe avec succès avant de se lancer, ensemble en 2000, dans l’aventure Von Herzen Brothers. Avec « Approach » leur 2ème album qui a enflammé les charts nationaux par son mélange unique de guitare progressive et d’harmonies vocales, les frères ont vite démontré que leur association était unique et exceptionnelle. Depuis, le groupe a sorti trois albums qui ont atteint la place de N°1 et un autre N°2 au top en Finlande. Ce succès en fait, aujourd’hui, l’un des groupes les plus influants et les plus importants à émerger dernièrement de Finlande. Côté scène, le groupe s’est bâti une solide réputation et est considéré comme étant une excellente formation live. La preuve c’est qu’ils ont déjà fait les premières parties des Foo Fighters et même de Neil Young, partagé les tournées européennes d’Opeth et joué sur les grandes scènes de prestigieux festivals en Europe ! Il est aujourd’hui temps pour eux de dépasser les frontières de la Finlande et de se faire connaître au niveau international. Leur signature chez Mascot devrait les aider à percer sur la scène international avec ce nouvel album.
Salué par le New York Times, Pitchfork, Rolling Stone et bien d’autres, Sprained Ankle dévoilait en 2015 tout le talent d’une demoiselle originaire du Tennessee avec son indie folk dépouillée et intimiste à l’atmosphère unique, dans la lignée du fabuleux For Emma, Forever Ago de Bon Iver. Le label Matador ne s’y trompait pas en la signant d’emblée : on tenait avec Julien Baker une songwriter de grand talent. Enregistré dans les légendaires Ardent Studios de Memphis, sa ville natale, ‘Turn Out The Lights’ conserve le songwriting touchant et confessionnel qui l’ont fait connaître avec une production encore plus habitée. Tout au long de l’album, la jeune Américaine médite sur ses propres expériences et celles de ses proches, explorant les conflits intérieurs qui font rage en chacun de nous : comment faire face et surmonter les épreuves et quel impact cette lutte a, à la fois sur nous et sur notre entourage, quelque soit la nature de nos relations. Ecrit, composé et produit par Julien Baker avec Craig Silvey au mixage (The National, Arcade Fire, Florence & the Machine...), ‘Turn Out The Lights’ se révèle un album d’une profonde empathie qui embrasse les zones d’ombre et les complexes vérités de la nature humaine et de l'équilibre psychique : exprimer ses émotions les plus dures à travers la musique pour mieux tendre vers la lumière.
Salué par le New York Times, Pitchfork, Rolling Stone et bien d’autres, Sprained Ankle dévoilait en 2015 tout le talent d’une demoiselle originaire du Tennessee avec son indie folk dépouillée et intimiste à l’atmosphère unique, dans la lignée du fabuleux For Emma, Forever Ago de Bon Iver. Le label Matador ne s’y trompait pas en la signant d’emblée : on tenait avec Julien Baker une songwriter de grand talent. Enregistré dans les légendaires Ardent Studios de Memphis, sa ville natale, ‘Turn Out The Lights’ conserve le songwriting touchant et confessionnel qui l’ont fait connaître avec une production encore plus habitée. Tout au long de l’album, la jeune Américaine médite sur ses propres expériences et celles de ses proches, explorant les conflits intérieurs qui font rage en chacun de nous : comment faire face et surmonter les épreuves et quel impact cette lutte a, à la fois sur nous et sur notre entourage, quelque soit la nature de nos relations. Ecrit, composé et produit par Julien Baker avec Craig Silvey au mixage (The National, Arcade Fire, Florence & the Machine...), ‘Turn Out The Lights’ se révèle un album d’une profonde empathie qui embrasse les zones d’ombre et les complexes vérités de la nature humaine et de l'équilibre psychique : exprimer ses émotions les plus dures à travers la musique pour mieux tendre vers la lumière.
Silence toi-même, prévient d'emblée le titre de ce premier effort publié sur le label indépendant Pop Noire (Lescop). Les quatre agitatrices londoniennes n’entendent ni fredonner dans le micro ni gratouiller leurs guitares. Et encore moins passer inaperçues, même toutes de noir vêtues. Si Jehnny Beth se faisait un peu voler la vedette du temps de John & Jehn - se contentant d’un rôle un peu sage -, elle a aujourd’hui troqué ses robes à fleurs pour un look à la Sinead O’Connor et s’impose au sein des Savages dans un rôle musclé à l’aura palpable. Repéré par le manager de Sigur Rós, le quatuor féminin connaît ses classiques et s’inscrit ici dans la lignée de quelques figures de proue du post-punk britannique de la fin des années 1970. De Siouxsie and the Banshees à PJ Harvey en passant par d'illustres représentants testostéronés comme Joy Division ou Public Image Ltd, elles font revivre l’âge d’or du genre dans sa tradition la plus pure. Martial, sépulcral, indomptable, Silence Yourself répond à toutes les ivresses sonores attendues et offre aussi de rares plages mélodiques sombres et lancinantes. Mais les guerrières ne sont pas si chauvines, surtout si on se penche sur les origines françaises de la chanteuse Camille Berthomier (de son vrai nom) qui s’égosille sur Silence Yourself en empruntant à la plus déjantée des rockeuses hexagonales, Catherine Ringer, ou en faisant claquer son phrasé telle Patti Smith période Horses. Sauvages et charismatiques.
Silence toi-même, prévient d'emblée le titre de ce premier effort publié sur le label indépendant Pop Noire (Lescop). Les quatre agitatrices londoniennes n’entendent ni fredonner dans le micro ni gratouiller leurs guitares. Et encore moins passer inaperçues, même toutes de noir vêtues. Si Jehnny Beth se faisait un peu voler la vedette du temps de John & Jehn - se contentant d’un rôle un peu sage -, elle a aujourd’hui troqué ses robes à fleurs pour un look à la Sinead O’Connor et s’impose au sein des Savages dans un rôle musclé à l’aura palpable. Repéré par le manager de Sigur Rós, le quatuor féminin connaît ses classiques et s’inscrit ici dans la lignée de quelques figures de proue du post-punk britannique de la fin des années 1970. De Siouxsie and the Banshees à PJ Harvey en passant par d'illustres représentants testostéronés comme Joy Division ou Public Image Ltd, elles font revivre l’âge d’or du genre dans sa tradition la plus pure. Martial, sépulcral, indomptable, Silence Yourself répond à toutes les ivresses sonores attendues et offre aussi de rares plages mélodiques sombres et lancinantes. Mais les guerrières ne sont pas si chauvines, surtout si on se penche sur les origines françaises de la chanteuse Camille Berthomier (de son vrai nom) qui s’égosille sur Silence Yourself en empruntant à la plus déjantée des rockeuses hexagonales, Catherine Ringer, ou en faisant claquer son phrasé telle Patti Smith période Horses. Sauvages et charismatiques.
LA NOUVELLE DECHARGE DE LA COMETE ROCK DU MIDWEST Grâce au succès de son dernier album, Shaman’s Harverst a pu tourner avec des artistes aussi prestigieux qu’AC/DC, Nickelback ou encore Godsmack, Seether, Three Doors Down... Cela leur a aussi permis d’être à l’affiche de nombreux festivals américains de renom comme : Rocklahoma, Rock on the Range, Rock Fest, K.Rockathon, Rockin’ The Rivers, Texas Mutiny, Rock Carnival 2016, Shiprocked, High Elevation Rock Festival ou au Midwest Rock Fest. En effet, leur disque ‘Smokin' Hearts and Broken Guns’ a vendu 32,000 ex en physique, 150 000 en downloads en digital, et totalisé plus de 31 million de streams aux USA ! Le groupe a été découvert par le public américain avec son single In Chains qui s’est classé #11 au top de son airplay. Le groupe formé au milieu des années 90 a vécu de nombreux bas avant de connaître ce succès ce qui a soudé ses membres et renforcé sa cohésion musicale. Pour conforter sa place de nouvelle étoile sur la scène rock US, le groupe a décidé de frapper fort avec son nouvel album « Red Hands Black Deeds ». Aux Etats-Unis, la sortie de ce disque va coïncider avec une grosse tournée de 3 mois en 1ère partie de Nickelback. Une tournée en Europe est quant à elle en cours de calage. Le groupe basé à Jefferson City au Missouri adore la scène et n’a pas peur d’avaler les km car ils savent que c’est à ce prix qu’ils continueront à élargir leur fanbase.
LA NOUVELLE DECHARGE DE LA COMETE ROCK DU MIDWEST Grâce au succès de son dernier album, Shaman’s Harverst a pu tourner avec des artistes aussi prestigieux qu’AC/DC, Nickelback ou encore Godsmack, Seether, Three Doors Down... Cela leur a aussi permis d’être à l’affiche de nombreux festivals américains de renom comme : Rocklahoma, Rock on the Range, Rock Fest, K.Rockathon, Rockin’ The Rivers, Texas Mutiny, Rock Carnival 2016, Shiprocked, High Elevation Rock Festival ou au Midwest Rock Fest. En effet, leur disque ‘Smokin' Hearts and Broken Guns’ a vendu 32,000 ex en physique, 150 000 en downloads en digital, et totalisé plus de 31 million de streams aux USA ! Le groupe a été découvert par le public américain avec son single In Chains qui s’est classé #11 au top de son airplay. Le groupe formé au milieu des années 90 a vécu de nombreux bas avant de connaître ce succès ce qui a soudé ses membres et renforcé sa cohésion musicale. Pour conforter sa place de nouvelle étoile sur la scène rock US, le groupe a décidé de frapper fort avec son nouvel album « Red Hands Black Deeds ». Aux Etats-Unis, la sortie de ce disque va coïncider avec une grosse tournée de 3 mois en 1ère partie de Nickelback. Une tournée en Europe est quant à elle en cours de calage. Le groupe basé à Jefferson City au Missouri adore la scène et n’a pas peur d’avaler les km car ils savent que c’est à ce prix qu’ils continueront à élargir leur fanbase.
« La plus excitante - et meilleure - signature Rough Trade des dernières années ». Même si les Anglais ne sont jamais à court de superlatifs, force est dire que Starcrawler n’est pas qu’un feu de paille : Ryan Adams, Sir Elton John, Dave Grohl et Gerard Way chantent leurs louanges, les décrivant comme un mélange des performances incendiaires des années 70 et du génie électrique des Stooges. Rien que ça ! Quatuor mené par Arrow de Wilde, fille de la photographe et réalisatrice américaine Autumn de Wilde et Aaron de Beachwood Sparks (batteur de Father John Misty, Tobias Jesso Jr et Ariel Pink entre autres), le groupe se formait il y a un an quand elle rencontrait Henri Cash au lycée. Peu après, les rues de Los Angeles leur amenèrent la section rythmique parfaite avec Austin Smith à la batterie et Tim Franco à la basse. Avec leurs riffs tapageurs et des rythmes tonitruants, ils ne rappellent rien de moins qu’un mélange des Cramps, des Yeah Yeah Yeahs, d’Alice Cooper et des New York Dolls. Enregistrés par Ryan Adams dans son studio Pax-Am, les dix titres de ce premier album éponyme prouvent que Starcrawler est bel et bien en train d'insuffler une seconde jeunesse au Rock'n'Roll. Prêts à prendre une claque ? « Emportés par la volcanique chanteuse Arrow de Wilde, nouvelle muse destroy d’Hedi Slimane, ces jeunes musiciens californiens dynamitent le rock pour se frayer leur chemin. ». Jalouse
« La plus excitante - et meilleure - signature Rough Trade des dernières années ». Même si les Anglais ne sont jamais à court de superlatifs, force est dire que Starcrawler n’est pas qu’un feu de paille : Ryan Adams, Sir Elton John, Dave Grohl et Gerard Way chantent leurs louanges, les décrivant comme un mélange des performances incendiaires des années 70 et du génie électrique des Stooges. Rien que ça ! Quatuor mené par Arrow de Wilde, fille de la photographe et réalisatrice américaine Autumn de Wilde et Aaron de Beachwood Sparks (batteur de Father John Misty, Tobias Jesso Jr et Ariel Pink entre autres), le groupe se formait il y a un an quand elle rencontrait Henri Cash au lycée. Peu après, les rues de Los Angeles leur amenèrent la section rythmique parfaite avec Austin Smith à la batterie et Tim Franco à la basse. Avec leurs riffs tapageurs et des rythmes tonitruants, ils ne rappellent rien de moins qu’un mélange des Cramps, des Yeah Yeah Yeahs, d’Alice Cooper et des New York Dolls. Enregistrés par Ryan Adams dans son studio Pax-Am, les dix titres de ce premier album éponyme prouvent que Starcrawler est bel et bien en train d'insuffler une seconde jeunesse au Rock'n'Roll. Prêts à prendre une claque ? « Emportés par la volcanique chanteuse Arrow de Wilde, nouvelle muse destroy d’Hedi Slimane, ces jeunes musiciens californiens dynamitent le rock pour se frayer leur chemin. ». Jalouse
This Is The Kit est le projet musical de Kate Stables (chant, banjo, guitare, basse, violon,percussions) originaire de Bristol, mais parisienne depuis une dizaine d’années, accompagnée de son collaborateur habituel Jesse D.Vernon. Le groupe sort son premier album, Krulle Bol, sur la label français Microbe en 2008 produit par John Parish que l’on retrouve par ailleurs aux manettes de ce nouvel album. Un second album suit en 2011 avec la collaboration de plusieurs artistes dont François & The Atlas Mountain ou encore Jim Barr, bassiste de Portsihead. Enfin, Bashed Out, paru en 2015 et produit par Aaron Dessner de The National, leur permet d’asseoir une certaine notoriété, l’album étant considéré comme l’un des meilleurs albums anglais de cette année-là. Pour ce nouvel opus, Kate Stables et son groupe (Rozi Plain, Jamie Whitby-Coles, Neil Smith and Jesse D Vernon) sont retournés en studio à Bristol, accompagné de John Parish. On notera également la présence à la guitare d’Aaron Dessner sur six titres de Moonshine Freeze. Ce classieux quatrième album (premier sur le label Rough Trade) s’ouvre sur le sublime Bullet Proof qui, dès les premières notes, emporte l’auditeur dans un fantastique voyage sonore teinté d’une folk chaude et réconfortante. L’atout de This Is The Kit reste comme à son habitude la voix de Kate Stables, proche de sa musique, pure et profonde.
Le retour du trio batave le plus explosif ! Dewolff revient hanter votre stéréo cet hiver mais cette fois dans une version beaucoup plus compacte et épurée, cette fois, pas de kit de batterie, pas d'orgue Hammond ou encore d'ampli guitare sur ces 'Tascam Tapes' ! Un album entièrement écrit, joué et enregistré sur la route et pourtant ça sonne comme si le groupe avait passé des mois dans un studio à 50 000 dollars la journée ! Sur la route, il y avait 15 000 km d'inspiration, des milliards de particules qui flottaient dans l'air en attendant d'être transformées en chansons ! Comme s'il y avait trop de choses à faire rentrer dans ces morceaux, ils ont réduit les possibilités à 4 pistes. Le groupe souhaitait faire quelque chose de complètement différent, et a dû s'adapter aux espaces restreints qui lui étaient offerts : le fond du Van de la tournée ou bien les minuscules loges des salles de concert, des endroits où le groupe ne pouvait utiliser que des petits objets portables comme un synthé de poche, un sampler de batterie... Pour leur septième album, leur studio tenait donc essentiellement dans une valise. 'Tascam Tapes' a été enregistré sur un Tascam Porta Two, un enregistreur cassette 4 pistes des années 80. Les seuls équipements utilisés furent ainsi un sampler avec des vieux samples de batterie soul et funk, un synthé à piles et une guitare, le tout branché directement sur le 4 pistes !
This Is The Kit est le projet musical de Kate Stables (chant, banjo, guitare, basse, violon,percussions) originaire de Bristol, mais parisienne depuis une dizaine d’années, accompagnée de son collaborateur habituel Jesse D.Vernon. Le groupe sort son premier album, Krulle Bol, sur la label français Microbe en 2008 produit par John Parish que l’on retrouve par ailleurs aux manettes de ce nouvel album. Un second album suit en 2011 avec la collaboration de plusieurs artistes dont François & The Atlas Mountain ou encore Jim Barr, bassiste de Portsihead. Enfin, Bashed Out, paru en 2015 et produit par Aaron Dessner de The National, leur permet d’asseoir une certaine notoriété, l’album étant considéré comme l’un des meilleurs albums anglais de cette année-là. Pour ce nouvel opus, Kate Stables et son groupe (Rozi Plain, Jamie Whitby-Coles, Neil Smith and Jesse D Vernon) sont retournés en studio à Bristol, accompagné de John Parish. On notera également la présence à la guitare d’Aaron Dessner sur six titres de Moonshine Freeze. Ce classieux quatrième album (premier sur le label Rough Trade) s’ouvre sur le sublime Bullet Proof qui, dès les premières notes, emporte l’auditeur dans un fantastique voyage sonore teinté d’une folk chaude et réconfortante. L’atout de This Is The Kit reste comme à son habitude la voix de Kate Stables, proche de sa musique, pure et profonde.
Le trio marseillais poursuit son ascension rock à la rentrée 2013 ! J'aime pas écrire dans le silence. Quand j'écris, je me mets un film, un album, voire plusieurs albums en même temps ou la radio sur une fréquence vide, j'étale des trucs par terre, je prends des stylos et j'ai des mots qui me viennent et alors j'écris. Ca relève plus de l'instinct.... Lucas, guitariste chanteur, Loic, bassiste et Simon, batteur, à la vingtaine toute neuve, du groupe-trio Dissonant Nation, originaire du sud de la France, pas loin de Marseille, préfèrent, aux formules paresseuses et aux gimmicks soldés, une création débridée, où tension, électricité hybride, poésie pop (au sens où l'entendaient les années 60) et fantômes bien présents squattent des chansons déjà racées, sûres de leur potentiel. Excitantes. Ici, on peut croiser presque charnellement Sonic Youth, Andy Warhol, Ziggy Stardust, Nick Cave, Travis Bickle (oui, celui de Taxi Driver), un punk létal comme un rock imagé, une pop psychédélique comme des mélodies qui s'imposent sans tapiner. Un voyage sonique gorgé d'icônes, d'instants présents, de souvenirs d'un passé qui n'a même peut-être pas existé. Dissonant Nation est moins une banderole d'une manifestation adolescente qu'une promesse de futur, une aventure décomplexée, où l'énergie n'est jamais feinte et où il est possible de se laisser aller, l'imagination n'est ici pas prise en otage, elle peut respirer, sans entrave. Simon précise : Avec Dissonant Nation, on voulait réveiller les gens. Mais les réveiller avec le côté bancal, borderline... On s'amuse et on est très impliqué et quand on joue, on rentre dans une transe. Il y a une tension dans ce disque. Une tension qui peut vraiment te prendre. Moins à la gorge qu'aux tripes et à l'âme. La musique de Dissonant Nation a la fierté, l'incandescence de la jeunesse, elle préfère, à l'uniformité, les directions multiples, les chemins qui mènent à la surprise. Sa vitalité explosive, cette énergie et cette tension déjà citées plus haut, elles ne viennent pas de nulle part. Le hasard n'a pas son mot à dire. Le concert. La scène. Le vivant. Le groupe a déjà plus de 200 dates au compteur, des clubs locaux aux salles nationales, des festivals (Francofolies, Rock en Seine, Marsatac) aux soirées canadiennes, slovaques ou belges. Sur les planches, Dissonant Nation s'incarne, il brûle d'un feu autant animal que possédé et est capable de reprendre aussi bien Justice que Brian Eno. Après quelques années complètement DIY, Dissonant Nation part à Londres, au studio Rak, pour enfin enregistrer son premier album, avec, aux manettes, Richard Woodcraft (Broken Social Scene, Radiohead, Arctic Monkeys, Neil Young, Grinderman...). Lucas se souvient : Avant l'album, on avait déjà sorti quatre disques. Complètement auto-produits. Des démos en quelque sorte qu'on gravait et vendait nous-mêmes. On a toujours bidouillé nos trucs, sans attendre de l'aide de l'extérieur. Moi, par exemple, je me charge de tout ce qui touche aux visuels, aux pochettes. On a enregistré l'album il y a un an, en mars 2012. En deux semaines. On avait beaucoup répété avant d'entrer en studio, on avait fait des pré-maquettes. Tout était prêt. Mais sur des morceaux comme Birthday Party, il y a un piano. Et ce piano, pour l'anecdote, on l'a enregistré le dernier jour, le dimanche, le taxi nous attendait devant le studio pour nous amener à l'aéroport. On avait rangé tout le matériel, j'avais déjà mon manteau. Et Richard, lui, était toujours devant la console. Et là, il me dit : Il faudrait ajouter du piano sur Birthday Party. J'ai demandé aux autres de m'attendre dans le taxi. Le morceau dure trois minutes et j'ai joué pendant trois minutes du piano, en live et c'est ce qu'on entend sur l'album. Richard a gardé le piano tout le long du morceau... C'est une musique très simple, enregistrée en live. On a joué ensemble, dans une pièce toute petite. Un peu dans les conditions d'une répèt. Ou d'un concert. On y tenait. Parce qu'on est très bon là-dedans. Il n'y a que comme ça qu'on arrive à faire sonner un morceau. On voulait un album très riche au niveau des tempo, rythmé. On a pas mal réfléchi aux tonalités, à quel morceau allait entraîner l'autre. Les choses se suivent, elles sont cohérentes. Et ce disque de bruits et de fureurs, à la générosité pas négociable, dévoile trois coeurs qui battent, trois mondes qui s'unissent pour accoucher d'une entité inébranlable : En fait, le disque est construit comme ça : Au début, des morceaux très courts, punk. Max trois minutes. Sans fioriture, sans rien. Ensuite, au milieu de l'album, il y a des titres qui arrivent comme Cold Kisses, la balade qui me fait penser à un désert. Parce qu'il y a un rythme un peu dromadaire (rires). Et après, à la fin du disque, débarquent les morceaux plus psychédéliques. Comme Sexy Suicide par exemple... En français comme en anglais, Dissonant Nation cultive le sens du mystère. Lucas, Loic et Simon avouent ne plus vraiment regarder la télévision, à peine plus Internet et préférer la rue et sa magie toujours possible, reconnaissent également que leur musique est une fuite, comme un exutoire, une façon de privilégier, à la triste réalité, au désespérant métro-boulot-dodo, une aventure moderne palpitante. We Play We Are est le titre de l'album. La chanson homonyme ne dit rien d'autre. Jouer et être. Être et jouer. La sauvagerie de l'enfance vaut toutes les frilosités adultes. Toujours. Dissonant Nation a raison. La dissonance produit une impression d'instabilité, de tension.
George Benson revient aux bases de la musique américaine dans 'Walking to New Orleans'. Le légendaire guitariste de jazz rend, en effet, un poignant hommager au génial pianiste et merveilleux faiseur de hits, Fats Domino et au guitariste, héros du rock et poète, Chuck Berry. Grand admirateur des deux hommes, Benson fait revivre leurs oeuvres avec son chant unique plein de soul et ses solo de guitare pleins de grâce ! Le repertoire de Chuck Berry est, ici, present à travers les chansons : Walking To New Orleans', Nadine (Is It You?),You Can't Catch Me, Havana Moon, Memphis, Tennessee, et How You've Changed. Quant à celui de Fats Domino, on le retrouve avec Rockin' Chair, Ain't That a Shame, I Hear You Knocking, Blue Monday, et le morceau titre de l'album. 'Walking to New Orleans' est le 1er album de Benson depuis 'Inspiration : A Tribute to Nat King Cole.', paru en 2013. Un album dans lequel, Benson redonnait toute leur splendeur aux morceaux de Cole à travers de luxueux arrangements orchestraux. Au contraire, pour ce nouveau disque, Benson s'est replié aux studios Ocean Way à Nashville avec un simple quartet comprenant le batteur Greg Morrow, le guitariste Rob McNelley, le pianiste Kevin McKendree, et le bassiste Alison Prestwood. Derrières les manettes, on retouve le producteur Kevin The Caveman Shirley (Journey, John Hiatt, Iron Maiden, Bonamassa). 'Walking to New Orleans' est le 45ème album de George Benson's et pourtant jamais un de ses disques n'avait sonné aussi détendu et fun !