Entre boîtes de conserves et distributeurs de chewing-gum, au milieu de la rouille et de la ferraille, vivent les rats. Des dizaines de rats, de rates, de souris, de hamsters... Ils n'ont pas toujours le moral au beau fixe, les rats de Ptiluc, ils ont même une certaine tendance à virer maniaco-dépressifs. Poètes ou philosophes, ils broient dunoir et manient l'humour du même tonneau. Pacush blues, ce sont dix albums hilarants et intemporels, où le mal de vivre devient le propre du rat, et le propre de l'homme.Claude Serre disait de l'oeuvre de Ptiluc : « C'est beau ! C'est simple, on dirait du Proust ! Mais en mieux dessiné... »
Entre boîtes de conserves et distributeurs de chewing-gum, au milieu de la rouille et de la ferraille, vivent les rats. Des dizaines de rats, de rates, de souris, de hamsters... Ils n'ont pas toujours le moral au beau fixe, les rats de Ptiluc, ils ont même une certaine tendance à virer maniaco-dépressifs. Poètes ou philosophes, ils broient du noir et manient l'humour du même tonneau. Pacush blues, ce sont dix albums hilarants et intemporels, où le mal de vivre devient le propre du rat, et le propre de l'homme.Claude Serre disait de l'oeuvre de Ptiluc : « C'est beau ! C'est simple, on dirait du Proust ! Mais en mieux dessiné... »
Entre boîtes de conserves et distributeurs de chewing-gum, au milieu de la rouille et de la ferraille, vivent les rats. Des dizaines de rats, de rates, de souris, de hamsters... Ils n'ont pas toujours le moral au beau fixe, les rats de Ptiluc, ils ont même une certaine tendance à virer maniaco-dépressifs. Poètes ou philosophes, ils broient du noir et manient l'humour du même tonneau. Pacush blues, ce sont dix albums hilarants et intemporels, où le mal de vivre devient le propre du rat, et le propre de l'homme.Claude Serre disait de l'oeuvre de Ptiluc : « C'est beau ! C'est simple, on dirait du Proust ! Mais en mieux dessiné... »
Entre boîtes de conserves et distributeurs de chewing-gum, au milieu de la rouille et de la ferraille, vivent les rats. Des dizaines de rats, de rates, de souris, de hamsters... Ils n'ont pas toujours le moral au beau fixe, les rats de Ptiluc, ils ont même une certaine tendance à virer maniaco-dépressifs. Poètes ou philosophes, ils broient du noir et manient l'humour du même tonneau. Pacush blues, ce sont dix albums hilarants et intemporels, où le mal de vivre devient le propre du rat, et le propre de l'homme.Claude Serre disait de l'oeuvre de Ptiluc : « C'est beau ! C'est simple, on dirait du Proust ! Mais en mieux dessiné... »
Entre boîtes de conserves et distributeurs de chewing-gum, au milieu de la rouille et de la ferraille, vivent les rats. Des dizaines de rats, de rates, de souris, de hamsters... Ils n'ont pas toujours le moral au beau fixe, les rats de Ptiluc, ils ont même une certaine tendance à virer maniaco-dépressifs. Poètes ou philosophes, ils broient du noir et manient l'humour du même tonneau. Pacush blues, ce sont dix albums hilarants et intemporels, où le mal de vivre devient le propre du rat, et le propre de l'homme.Claude Serre disait de l'oeuvre de Ptiluc : « C'est beau ! C'est simple, on dirait du Proust ! Mais en mieux dessiné... »
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Entre boîtes de conserves et distributeurs de chewing-gum, au milieu de la rouille et de la ferraille, vivent les rats. Des dizaines de rats, de rates, de souris, de hamsters... Ils n'ont pas toujours le moral au beau fixe, les rats de Ptiluc, ilsont même une certaine tendance à virer maniaco-dépressifs. Poètes ou philosophes, ils broient du noir et manient l'humour du même tonneau. Pacush blues, ce sont dix albums hilarants et intemporels, où le mal de vivre devient le propre du rat, et le propre de l'homme.Claude Serre disait de l'oeuvre de Ptiluc : « C'est beau ! C'est simple, on dirait du Proust ! Mais en mieux dessiné... »
Le nouveau Pacush blues est un vrai polar, nourri d'une intrigue digne de Seven ou d'un bon Ellroy. Un flic rat, gros et frustré, enquête sur une sombre histoire de crimes : un serial killer élimine méthodiquement et dans d'horribles conditions tous les rats qui ont du succès auprès des femmes (hmm... des rates). Qui est donc ce mystérieux assassin ? Le flic lui-même, à cause de ses pulsions sexuelles refoulées et des drogues qu'il ingurgite à longueur de journée, n'est pas lavé de tout soupçon. A moins qu'il ne s'agisse d'une malédiction qui pèserait sur tous les mâles de l'espèce...Entre boîtes de conserves et distributeurs de chewing-gum, au milieu de la rouille et de la ferraille, vivent les rats. Des dizaines de rats, de rates, de souris, de hamsters... Ils n'ont pas toujours le moral au beau fixe, les rats de Ptiluc, ils ont même une certaine tendance à virer maniaco-dépressifs. Poètes ou philosophes, ils broient du noir et manient l'humour du même tonneau. Pacush blues, ce sont onze albums hilarants et intemporels, où le mal de vivre devient le propre du rat, et le propre de l'homme. Et le onzième est un très grand cru ! Claude Serre disait de l'oeuvre de Ptiluc : « C'est beau ! C'est simple, on dirait du Proust ! Mais en mieux dessiné... »
Il était une fois un pays enchanté, peuplé de fées et de chaperons rouges et où les chats étaient bottés. Un pays où les princes charmants épousaient les bergères toujours un peu surprises de voir leur ex-grenouille de mari monter sur une échelle à chaque changement de temps ! Un jour, fruit des amours d'une rose et d'un papillon, naquit une ravissante petite fée que l'on nomma Aveline. Comme de coutume, les autres fées se penchèrent sur le berceau, sauf la méchante Carabosse qu'on avait oublié d'inviter... La sorcière jeta donc sur la pauvre Aveline la malédiction qui suit : Petite fée Aveline, chaque fois que ton coeur sera touché par l'amour tu perdras tes pouvoirs magiques ! . Ainsi débutent les aventures de la Fée Avelin e, imaginées par René Goscinny pour le dessinateur Coq. De 1967 à 1969, au coeur des swinging sixties, les lecteurs de Jour de France ont ainsi pu suivre les déboires de cette charmante nymphette. On retrouve ici toute la verve parodique de René Goscinny associée au charme du dessin de Coq, illustrateur espagnol qui fut l'un des piliers de la presse parisienne de l'époque, grâce à des séries comme Le Docteur Gaudéamus ou Mamzelle Souris. Ce recueil est préfacé par Henri Filippini.