Biberonnés aux Kinks, Who et autres Small Faces, les HushPuppies n'en ont pas pour autant oublié de grandir et reviennent en force le 21 mars avec leur 3ème opus « The Bipolar Drift ». Auréolés du succès de leurs deux premiers albums « The Trap » et « Silence is Golden » (plus de 35,000 ex vendus et 400 dates à travers l'Europe) les cinq garçons s'enferment tout l'été 2010 dans le mythique studio Plus 30 pour réaliser ce troisième disque avec la complicité du producteur Axel Concato (Axel And The Farmers). Avec le renfort de cette oreille avertie, ils expérimentent de nouvelles choses et intègrent à leurs puissants tapis de guitares des sonorités aux accents krautrock, pop et electro en adéquation avec l'évolution de leurs gouts musicaux. Ce travail permet au groupe de s'ouvrir de nouveaux horizons musicaux où l'alchimie entre les influences du début, leur son façonné sur scène et les découvertes musicales plus récentes fonctionne à merveille.
Biberonnés aux Kinks, Who et autres Small Faces, les HushPuppies n'en ont pas pour autant oublié de grandir et reviennent en force le 21 mars avec leur 3ème opus « The Bipolar Drift ». Auréolés du succès de leurs deux premiers albums « The Trap » et « Silence is Golden » (plus de 35,000 ex vendus et 400 dates à travers l'Europe) les cinq garçons s'enferment tout l'été 2010 dans le mythique studio Plus 30 pour réaliser ce troisième disque avec la complicité du producteur Axel Concato (Axel And The Farmers). Avec le renfort de cette oreille avertie, ils expérimentent de nouvelles choses et intègrent à leurs puissants tapis de guitares des sonorités aux accents krautrock, pop et electro en adéquation avec l'évolution de leurs gouts musicaux. Ce travail permet au groupe de s'ouvrir de nouveaux horizons musicaux où l'alchimie entre les influences du début, leur son façonné sur scène et les découvertes musicales plus récentes fonctionne à merveille.
Après 3 singles très convoités pour le label Whatever We Want - plus des remixes pour des artistes comme Gorillaz, François K, Cosmo Vitelli et, heu, The Osmonds - Quiet Village sort de l'ombre afin de nous présenter leur premier long format, Silent Movie. Constitué du chercheur de perles oubliées (également appelé crate-digger) Joel Martin et la star montante de l'électro Matt Edwards (aka Radio Slave), et tirant leur nom du chef d'oeuvre exotique de Martin Denny, Quiet Village fait sonner les vieux sons comme des nouveaux (et vice versa). Influencé par les bandes originales de film italiens, la musique d'illustration de la BBC, les edits Disco, l'acid rock, la soul vintage et l'easy listening, Approprié dans une décennie où les catégories musicales continuent de s'estomper, Silent Movie ne peut être décrit d'un seul terme. Son processus d'assemblage peut le faire étiqueter comme de la musique électronique mais on trouvera peu d'autres aspects qui lorgnent vers l'électronique. L'album est riche en textures duveteuses et tonalités gonflées : des guitares acoustiques, de la harpe, des rideaux de cloches, des tambourins, des cordes de musique de chambre, des synthétiseurs vintages et des voix - d'innombrables voix, traitées telles des instruments. Silent Movie n'est surtout pas un album Dance, et de loin; mais il est aussi hypnotique que la rotation de la boule disco, rempli de longues séquences, de répétitions douces et de changements subtils qui vous retire furtivement le tapis de sous les pieds. Avec les lumières tamisées, l'album en entier prend l'apparence d'un rêve éveillé. Tout ça grâce à l'amour que porte Quiet village pour les classiques du Chill-out de la fin des années 80 et le début des années 90, depuis le shoegazing de Slowdive à l'ambient de The Orb. Silent Movie est une lettre d'amour adressée au passé, scellée avec un soupçon de parfum du futur. C'est le baiser de cinéma le plus improbable auquel vous assisterez cette année ! Installez vous confortablement, fermez les yeux et laissez les images défiler...