De nouvelles histoires de Garfield venues tout droit des États-Unis ! Quoi de mieux que la vie de chat ?! On dort, on mange, on dort, on regarde la télé, on dort. Mais tous les chats n'ont pas la vie rêvée de Garfield ! C'est ce que Quentin la souris va découvrir. En fait, être une souris, ce n'est pas si mal ! Enfin Halloween. et des bonbons à gogo pour Garfield ! Eh non ! Cette année, John ne veut rien lui donner. Mais ça ne se passera pas comme ça : Garfield a plus d'un tour dans son sac !
Une, deux ! Une, deux ! Biff entraîne les souris tel un général d'armée. Sûr de lui, il défie Bruno en l'attrapant par l'orteil et en le faisant tournoyer. On dirait le lancer de marteau aux Jeux olympiques ! Les souris applaudissent. Garfield s'amuse beaucoup à les regarder. Quel merveilleux après-midi ! Tout est parfait jusqu'au moment où Biff décide qu'il doit s'entraîner lui aussi. Garfield doit trouver le moyen de détourner son attention : tout cela devient beaucoup trop sain pour lui !
Un jour de printemps, Musnet, un jeune garçon souris, vagabond et orphelin, arrive à Giverny. Dans le domaine du peintre Monet, il trouve enfin des amis, une famille et une raison d'être. Il veut devenir peintre ! Il travaille pour Rémi, un vieil écureuil peintre, qui, en guise de salaire, va lui apprendre son art. Il rencontre aussi Mya, une jeune souris au caractère affirmé, et sa famille qui vont le prendre sous leur aile. Musnet découvre le travail de Monet, mais aussi son chat qui le poursuit !
Zut ! Abigaïl la petite sorcière s’emmêle les baguettes magiques et change Odie en chauve-souris ! Par mégarde, elle délivre Varicelle de son grimoire magique, qui a de machiavéliques projets : transformer tous les humains en crapauds… Avec un soupçon de magie, des poursuites en balais et une pincée de forêt maléfique, Garfield et ses amis vont devoir l’empêcher de mettre son terrible plan à exécution…
Musnet veut devenir le meilleur peintre souris de tous les temps. Mais il est coincé entre deux mondes. D'un côté, il aime le style classique de son vieux maître, Rémi l'écureuil ; de l'autre, il ne peut s'empêcher d'être attiré par l'approche artistique révolutionnaire du peintre humain, Monet. Quelle voie choisira-t-il ? Et saura-t-il survivre aux prédateurs cachés dans l'ombre ?...
Deux ados, Jon et Jasper, s'échappent souvent du vaisseau le « Vagabond » pour surfer sur les vagues d'Okhéania. Cette fois-ci, ils sont surpris par un tsunami. Jon disparaît sous le tapis de feuilles qui compose la surface de l'océan. « Nul ne revient jamais des profondeurs d'Okhéania », ont toujours prétendu Edern, le grand-père de Jasper, ainsi que tous les habitants du « Vagabond ». Pourtant, Jon et Jasper feront dans les ténèbres de l'océan vert de bien curieuses rencontres. Un récit palpitant qui nous parle aussi d'amitié, d'amour et... d'écologie.
Le printemps se réveille et, avec lui, Miru. La petite loutre a bien envie de se dégourdir les pattes, mais ses amis – Hérisson, Chauve-Souris et Raton laveur – sont accaparés par leur grand rangement de printemps... Heureusement, Grenouille, qui a déjà tout nettoyé, a elle aussi très envie de s'amuser ! Mais un tamanoir au long nez, par le ménage très inspiré, avec sa trompe va malencontreusement les aspirer !...
Le Temps des Mitaines, c'est un peu comme le Club des 5 ! Et dans ce club, Pélagie, c'est la copine souris attachante et pénible à la fois, souvent à côté de la plaque. Or une entité extraterrestre invasive-agressive s'écrase sur Terre et transforme les habitants en bébés zombies. Comme à son habitude, Pélagie traversera cette aventure en effectuant brillamment les choix les plus débiles possibles avec une constance qui force l'admiration. Une nouvelle histoire qui fait frissonner de peur et de rire !
Malgré les apparences, Jon est un fantaisiste : il entend parfois une petite voix intérieure qui lui dit de faire un truc complètement fou. Mettre un kilt, par exemple.C'est sûrement pour ça que sa vie sentimentale est toujours aussi désertique. Pour Noël, sa copine veut un numéro sur liste rouge. On se demande ce qu'elle veut dire par là. Du coup, il appelle Hélène, qui ne souhaite pas sortir avec lui. Tantpis. Il ne veut pas de sa pitié. Sauf si elle insiste... Après, il appelle Monsieur Smith pour lui demander la main de sa fille. Il ne sort pas encore avec elle, mais au point où il en est, c'est un détail.Ses rapports avec Garfield sont nettement plus satisfaisants : quand il exige un peu de respect de sa part, Garfield lui enfourne des frites dans le nez.Garfield a un nouveau copain : la souris Herman Vermin, qui vient d'emménager. Herman se sent comme chez lui, mais il est bien le seul : Garfield a bouffé le poisson rouge et le canari, et il a collé Odie au plafond mais ça n'a pas tenu. Boum.Quand Garfield arbore un large sourire de bonne humeur, c'est le moment de gagner les abris : il va faire une bêtise mais il ne sait pas encore laquelle. Mais parfois, il sombre dans la mélancolie : il a l'impression d'être dans la peau d'un chat tout maigre. Donc, d'un chat qui a faim.Et puis, les anniversaires, c'est comme les lundis, ça revient tout le temps. Voilà que Garfield a déjà 21 ans. Odie s'est scotché des 21 partout, histoire de remuer le couteau dans la plaie, sans doute. Mais la souris Herman le console : son oncle a vécu aussi vieux, et il était complètement gâteux. Tout va bien.
Sugar est la biographie d'un chat noir qui fut pendant 18 ans le compagnon de l'auteur flamand Serge Baeken. En 80 pages, l'auteur va nous raconter la vie à hauteur des yeux d'un chat : marcher, jouer, attraper les mouches, défendre son territoire, déménager, chasser les souris, faire des câlins, se balader avec ses congénères, etc. Tout cela sur fond de vie de famille presque calme.Serge Baeken nous conte ce quotidien de manière chronologique, un spectacle cubique de parfois 24 cases par page, noir et blanc.
Batman remue désespérément la ville de Gotham pour trouver des traces de la petite Alina, sa fille présumée, enlevée par son pire ennemi, le Joker.Mais le clown psychopathe se moque pas mal de l'homme chauve-souris : pour lui, c'est Bruce Wayne qui détient la clé de son problème.Et le Joker est prêt à tout pour satisfaire les besoins de sa bien-aimée Harley Quinn. Même à sacrifier la vie d'une petite gamine. Car comme il le dit lui-même : « C'est dans les contes de fées que les histoires finissent bien... et ceci n'en est pas un ! »
Batman remue désespérément la ville de Gotham pour trouver des traces de la petite Alina, sa fille présumée, enlevée par son pire ennemi, le Joker.Mais le clown psychopathe se moque pas mal de l'homme chauve-souris : pour lui, c'est Bruce Wayne qui détient la clé de son problème.Et le Joker est prêt à tout pour satisfaire les besoins de sa bien-aimée Harley Quinn. Même à sacrifier la vie d'une petite gamine. Car comme il le dit lui-même : « C'est dans les contes de fées que les histoires finissent bien... et ceci n'en est pas un ! »
Le jeune Voltaire et sa cousine, Cerise, déménagent à la campagne et découvrent alors leur nouvel environnement. Un endroit charmant et champêtre qui cache aussi un passage secret : une entrée qui mène au pays des Zanimos, un pays dans lequel les animaux parlent et vivent comme les hommes ! Après avoir découvert ce passage, Voltaire et Cerise comprennent que ce monde est interdit aux Zumins et qu'ils en sont donc prisonniers ! Un garde champêtre farfelu mais inoffensif, Petitmardi, va cependant les aider à retourner dans leur monde, non sans mal, surtout qu'une souris est tombée amoureuse de Voltaire !
Le jeune Voltaire et sa cousine, Cerise, déménagent à la campagne et découvrent alors leur nouvel environnement. Un endroit charmant et champêtre qui cache aussi un passage secret : une entrée qui mène au pays des Zanimos, un pays dans lequel les animaux parlent et vivent comme les hommes !Après avoir découvert ce passage, Voltaire et Cerise comprennent que ce monde est interdit aux Zumins et qu'ils en sont donc prisonniers ! Un garde champêtre farfelu mais inoffensif, Petitmardi, va cependant les aider à retourner dans leur monde, non sans mal, surtout qu'une souris est tombée amoureuse de Voltaire !
Le Génie des Alpages se fait rare - un album en moyenne tous les 2 ans - alors sachons l'apprécier à juste titre avec la parution de ce quatorzième album forcément génial...Dans les alpages de F'murrr les moutons parlent, se rebellent et philosophent tout en broutant de l'herbe bien grasse. Le berger doit supporter des fonctionnaires européens zélés, des vendeurs de tapis navaros, des touristes insupportables quand ils appellent de leur portable et les moutons se demandent quand même si la grippe aviaire ne les concernerait pas un peu...Série phare de l'humour absurde et intelligent (c'est compatible), série emblématique du journal Pilote qui a influencé toute une génération d'auteurs réunie notamment dans la collection Poisson Pilote, Le Génie des Alpages échappe à toutes les modes.Un authentique chef d'oeuvre signé F'murrr.Cette série vient de célébrer ses 30 ans d'existenceHistoires courtes à chaque fois de 1 à 4 pages
Voici l'adaptation en bande dessinée des épisodes du dessin animé Garfi eld & Cie, grand succès d'audience de France 3 ! Des histoires irrésistiblement gourmandes du plus célèbre des chats !Les trois ou quatre histoires proposées par album mettent en scène tout l'univers du chat glouton, Garfield. Un univers très riche, et pas seulement en graisses ! Jon prétend toujours être le maître de la maison, Odie est toujours aussi idiot et adorable, et Garfield toujours aussi paresseux et gourmand. Quant à tous les autres visiteurs de la maison être humains ou animaux , ils doivent comprendre que devenir le copain de Garfield est très simple : il suffit de lui fournir l'occasion de manger ! Autrement, il pourrait leur arriver des choses pas drôles... sauf pour nous, les lecteurs.
Deux ados, Jon et Jasper, s'échappent souvent du vaisseau le Vagabond pour surfer sur les vagues d'Océania. Cette fois-ci, ils sont surpris par un tsunami. Jon disparaît sous le tapis de feuilles qui compose la surface de l'océan. Nul ne revient jamais des profondeurs d'Océania» ont toujours prétendu Edern, le grand-père de Jasper, ainsi que tous les habitants du Vagabond.Mais ce n'est pas ce que raconte le capitaine du Poséidon sur lequel Jasper a été recueilli et... aussitôt emprisonné. Une femme, aussi belle que malfaisante, décide que Jasper est un espion à la solde des terroristes qui ont enlevé la fille de l'Impérator, son maître. Elle veut le faire parler. Suite à un tir d'artillerie, le dirigeable à bord duquel les terroristes se sont enfuis avec la princesse a dérivé et fait naufrage. La femme jure de le retrouver. Dans les profondeurs d'Océania, Jon, blessé, a trouvé refuge auprès de la jeune et jolie Tania. Au cours d'une de leur balade dans les arbres sous-marins, les deux nouveaux amis découvrent l'épave du dirigeable.
Le charme de Renaud Dillies a encore frappé : après la souris de Bulles et nacelle, voici un autre doux rêveur, le poussin Abélard, dans un nouveau diptyque. Pour séduire la jolie Épilie, Abélard ne voit qu'une solution: lui décrocher la lune ! Direction l'Amérique, le pays qui a inventé les machines volantes. Armé de son banjo et de son chapeau à proverbes, il selance sur les routes de campagne, rencontre des Tsiganes, puis Gaston, un ours grincheux avec qui il va partager un bon bout de chemin. La naïveté si touchante d'Abélard sera mise à rude épreuve dans ce long voyage : la méchanceté gratuite et la misère font également partie de la vie. Avec ce road-movie animalier où l'absurde fait la part belle à la poésie, Régis Hautière et Renaud Dillies nous offrent un petit bijou.
Jon a tout de même des satisfactions. En tant que maître de maison, c'est lui qui donne des ordres à Garfield. Et en tant que chat de la maison, Garfield se permet de les ignorer. Comme ça, les vaches sont bien gardées.Garfield vit parfois des choses bizarres : il a l'air en forme, alors qu'il est de très mauvais poil. Ça lui complique la vie. Odie, lui, pète la forme sans aucune nuance. Le problème, c'est qu'il n'y a pas de bouton pour l'éteindre.Toujours aussi sportif, Garfield préfère le papier peint à fleurs aux expéditions dans la nature. Et la pâtée en boîte à la souris vivante, qui a une paix royale chez lui. Elle est sympa, d'ailleurs. Elle vient lui proposer de lui couper sa viande, puisqu'il atteint l'âge canonique de vingt ans. Et combien de kilos ? On ne sait pas, mais sa balance hurle faîtes évacuer l'appareil quand il monte dessus. Ça demanderait peut être un petit régime, mais c'est trop tard : Garfield vient de commander dix mille pizzas au Père Noël.
États-Unis, 1960. Après leur départ précipité de l'Illinois, Alex et son fils trouvent refuge dans la petite ville de Newton, dans l'Etat du Missouri. C'est là qu'Alex a décidé de prendre une nouvelle identité et d'attendre patiemment son heure. Pour Alex le problèmeest double : d'une part échapper au KGB et au FBI qui le traquent, inquiets de savoir la fameuse liste 66 en sa possession, une liste sur laquelle figurent des noms d'espions. D'autre part de mettre la main sur le clown, un tueur mystérieux qui se fait passer pour un serial killer - qui porte un nez de clown dont il affuble également ses victimes - mais qui est en fait chargé d'éliminer des espions disséminés sur la fameuse route 66. Ce tueur est un danger pour Alex, lequel décide donc de surveiller un espion, Holowitz, qui a été en contact avec Sacha, le chef du réseau. Alex est ainsi persuadé que Holowitz va recevoir la visite du clown et qu'il pourra à son tour se débarrasser de ce tueur. Mais au jeu du chat et de la souris, l'issue est parfois incertaine... Alex n'a pas fini de fuir d'autant qu'il doit retrouver coûte que coûte la trace de Sacha, quelque part sur la côte ouest.
Le grand-père de Garfield, Otto le fou, était un pionnier. Il a fait parcourir des milliers de kilomètres à sa famille, à travers des contrées hostiles, en répétant : J'entends un ouvre-boîte. Et si Garfield n'a rien du pionnier, il continue d'entendre les ouvre-boîtes. Avec lui, les souris n'on rien a craindre : il ne course quele gruyère. En revanche, écrabouiller les araignées demandant peu d'effort, il nous fait un génocide. Quant aux oiseaux, à la seule idée qu'ils sont en train de s'empiffrer de gros vers juteux, il les laisse où ils sont.Côté flemme, Garfield dort dix-huit heures et neuf minutes d'affilée. Ça, c'est sur le ventre. Il pense pouvoir faire mieux sur le dos. L'idée de s'amuser comme un fou lui plaît bien, comme ça, de loin. Mais pour s'amuser, il faut au moins se lever. Alors il préfère se barber.Côté coeur, les tentatives de Jon sont toujours aussi piteuses. Quand il annonce à une fille qu'elle a gagné une soirée avec lui, elle répond qu'elle aurait préféré un lave-vaisselle. Garfield, toujours de bon conseil, lui suggère de contre-attaquer avec un grille-pain. Lui, pour Noël, il a eu un pull 100% poil de vache avec pis incorporé. C'est très seyant, sur un vieux gros chat de dix-sept ans...
Le grand-père de Garfield, Otto le fou, était un pionnier. Il a fait parcourir des milliers de kilomètres à sa famille, à travers des contrées hostiles, en répétant : J'entends un ouvre-boîte. Et si Garfield n'a rien du pionnier, il continue d'entendre les ouvre-boîtes. Avec lui, les souris n'on rien a craindre : il ne course que le gruyère. En revanche, écrabouiller les araignées demandant peu d'effort, il nous fait un génocide. Quant aux oiseaux, à la seule idée qu'ils sont en train de s'empiffrer de gros vers juteux, il les laisse où ils sont.Côté flemme, Garfield dort dix-huit heures et neuf minutes d'affilée. Ça, c'est sur le ventre. Il pense pouvoir faire mieux sur le dos. L'idée de s'amuser comme un fou lui plaît bien, comme ça, de loin. Mais pour s'amuser, il faut au moins se lever. Alors il préfère se barber.Côté coeur, les tentatives de Jon sont toujours aussi piteuses. Quand il annonce à une fille qu'elle a gagné une soirée avec lui, elle répond qu'elle aurait préféré un lave-vaisselle. Garfield, toujours de bon conseil, lui suggère de contre-attaquer avec un grille-pain. Lui, pour Noël, il a eu un pull 100% poil de vache avec pis incorporé. C'est très seyant, sur un vieux gros chat de dix-sept ans...
La famille Arbuckle a des problèmes. Quand Jon propose à une fille de sortir avec lui, elle lui répond : Je suis célibataire, mais pas désespérée. Il en arrive à penser qu'il a perdu son identité et que personne ne le respecte. Heureusement, Garfield, lui, retrouve son identité au fond de la poubelle.Garfield, lui, voudrait bien arrêter de manger entre les repas, mais le concept entre les repas ne signifie rien pour lui. Quand Jon se pose des questions existentielles et lui demande : Où allons-nous, Garfield?, il répond sobrement : A la cuisine. Et puis, en plus d'Odie qui l'énerve avec sa bonne humeur indestructible, il n'arrête pas de rencontrer des chiens bizarres, vachement sympas, qui tiennent absolument à lui montrer leurs photos de vacances. Ça lui fiche la trouille. Sans compter toutes ces souris dans sa gamelle d'eau, qui font du ski nautique et laissent traîner leurs bouées. La télé le déprime aussi : ils passent sans arrêt des films sur les exploits héroïques d'un brave chien gentil, jamais d'un brave chat gentil. Pourtant, Garfield est gentil : il écrabouille définitivement une fourmi laborieuse pour qu'elle prenne des vacances.Malgré tout, nous avons droit à un pur moment de poésie, quand Garfield s'endort de bonheur sur son gros cadeau de Noël après l'avoir secoué dans tous les sens pour voir s'il était mûr...
Marseille, 1900. Clément est un ouvrier apprécié de tous. Un homme juste et droit, père de famille, mais dont la vie semble receler d’étranges secrets. Sa mort sera aussi brutale que mystérieuse.Gennevilliers, 1909. Les trois enfants de Clément ont grandi. Livrés à eux-mêmes, privés de leur mère qui croupit en prison, ils n’ont que la faim et la violence comme horizon. Un jour, une femme âgée prend contact avec eux. Elle se dit comtesse et prétend avoir connu leur père. Elle est à la fois étrange et rassurante, excentrique et attachante. Elle s’appelle Aristophania Bolt.Pour les arracher à leur vie de misère, elle les emmène loin de leur grisaille quotidienne et des morsures de l’hiver. Direction le Sud, son soleil et ses calanques, ses rivières et ses paysages sauvages. Direction l’Azur – c’est ainsi qu’elle nomme ce qui ressemble, pour les trois orphelins émerveillés, au Paradis sur terre.Mais il faut se méfier des apparences. Toute médaille a son revers, et l’Azur n’échappe pas à cette règle. Derrière la beauté et la lumière, de sourdes menaces étendent leur ombre. Elles ont pour nom Barboza, le chasseur de rats, ou encore le Roi banni et sa sinistre cour de laquais. Tous attendent leur heure, tapis dans les recoins des quartiers sombres de Marseille. Aristophania, la dernière fée d’Azur, convoquera toutes les ressources de sa magie afin de protéger les enfants et de les révéler à leur Destin…Avec Aristophania, Xavier Dorison et Joël Parnotte inaugurent une saga de French fantasy en quatre tomes, qui navigue entre fantastique flamboyant et réalisme social, entre merveilleux et romantisme noir. Bienvenue en Azur, mais attention à ses dangers…
Préface de Eliette Abecassis Au début, le chat du rabbin ne parle pas. Il est simplement libre comme un chat et ronronne dans les bras de la fille du rabbin, Zlabya, sa maîtresse adorée. Mais dans la maison du rabbin, il y a ce perroquet qui jacasse sans arrêt, et le chat le bouffe. Maintenant, il peut parler, et il commence par mentir : le perroquet est allé faire une course, dit-il, la gueule pleine de plumes. Mentir, c'est mal. Le rabbin décide donc de remettre le chat dans le droit chemin et d'en faire un bon Juif. Moyennant quoi, le chat exige de faire sa bar-mitsva. S'ensuivent des discussions très pointues avec le rabbin du rabbin, qui en conclut qu'on devrait noyer le chat.Malgré le plaisir qu'il prend à ergoter et chipoter à n'en plus finir, le chat a de la peine, depuis qu'il a la parole. Il a acquis un pouvoir dont il se passerait bien. Et finalement, il retourne vers le bonheur et les bras de sa maîtresse, à condition de se conduire comme un vrai chat et de ne plus jamais parler. Il est d'accord : Ça vaut le coup de fermer sa gueule pour être heureux. Il a seulement beaucoup de mal à fermer sa gueule en écoutant pérorer les disciples du rabbin, qu'il n'aime pas du tout, surtout celui qui veut épouser sa maîtresse...Sfar, qui est né lui-même dans une famille juive, met en scène une communauté juive du début du XXe siècle, à Alger. Dans un décor luxuriant de tissus, carrelages et tapis orientaux, il plante un héros qui semble sorti d'une poubelle : un chat écorché, anguleux, l'air d'avoir avalé un sac de clous - hilarant. Têtu comme une bourrique et pas toujours avenant (bien que capable de tendresses renversantes), il a aussi avalé ce qui se fait de mieux en matière de raisonnement vicelard, thèse, antithèse, etc. Le résultat est une sorte de conte initiatique d'une grande beauté, où l'on apprend bien des choses sur l'usage de la parole, de la vérité et du mensonge. Une merveille de subtilité, d'émotion et d'ironie. Le rabbin et le chat du rabbin reviendront prochainement dans le Malka des lions.
Autrefois, les chats étaient des chasseurs intrépides. Aujourd'hui, ils demandent de l'aide pour sortir le fromage du plastique. Et quand Garfield attrape une souris, il lui met une étiquette et la relâche dans la nature. Ça s'appelle travailler à la conservation de l'espèce. Malgré tout, il a gardé une ouïe extrêmement fine, qui lui permet d'identifier sa proie : crontch, crontch, crontch , c'est du pain grillé.A part ça, il déteste toujours le lundi. C'est le jour où il se ramasse la figure sur les ballons, où Jon l'écrabouille entre la porte et le mur, où il rigole tellement qu'il avale une guêpe. Ce jour-là, pour se sentir d'attaque, Garfield a besoin de serrer deux fois son ours dans ses bras.Quant à Jon, sa cote amoureuse est au plus bas. Hélène ne veut pas sortir avec lui : elle ne ressent rien pour lui, même pas de pitié. Elle organise une fête, mais elle n'a pas envoyé d'invitation à Jon, et pour être plus sûre, elle a flingué le facteur. A part ça, le répondeur de Joanne lui raccroche au nez, et aucune fille ne veut passer le réveillon avec lui, même l'horloge parlante. Il paraît qu'au hit-parade du spécimen masculin pitoyable, il arrive deuxième. Garfield aimerait bien voir le premier.Côté états d'âme, la vie de Garfield est une lutte perpétuelle entre le bien et le mal : doit-il virer Odie d'un coup de pied, ou d'un petit coup de coude accidentel ? Et il se sent coupable d'avoir bouffé toute la boîte de beignets : c'étaient ses amis. Pour le reste, tout va bien : Jon travaille et il ne fait rien, ça nous donne un équilibre impeccable entre le yin et le yang.
Autrefois, les chats étaient des chasseurs intrépides. Aujourd'hui, ils demandent de l'aide pour sortir le fromage du plastique. Et quand Garfield attrape une souris, il lui met une étiquette et la relâche dans la nature. Ça s'appelle travailler à la conservation de l'espèce. Malgré tout, il a gardé une ouïe extrêmement fine, qui lui permet d'identifier sa proie : crontch, crontch, crontch , c'est du pain grillé.A part ça, il déteste toujours le lundi. C'est le jour où il se ramasse la figure sur les ballons, où Jon l'écrabouille entre la porte et le mur, où il rigole tellement qu'il avale une guêpe. Ce jour-là, pour se sentir d'attaque, Garfield a besoin de serrer deux fois son ours dans ses bras.Quant à Jon, sa cote amoureuse est au plus bas. Hélène ne veut pas sortir avec lui : elle ne ressent rien pour lui, même pas de pitié. Elle organise une fête, mais elle n'a pas envoyé d'invitation à Jon, et pour être plus sûre, elle a flingué le facteur. A part ça, le répondeur de Joanne lui raccroche au nez, et aucune fille ne veut passer le réveillon avec lui, même l'horloge parlante. Il paraît qu'au hit-parade du spécimen masculin pitoyable, il arrive deuxième. Garfield aimerait bien voir le premier.Côté états d'âme, la vie de Garfield est une lutte perpétuelle entre le bien et le mal : doit-il virer Odie d'un coup de pied, ou d'un petit coup de coude accidentel ? Et il se sent coupable d'avoir bouffé toute la boîte de beignets : c'étaient ses amis. Pour le reste, tout va bien : Jon travaille et il ne fait rien, ça nous donne un équilibre impeccable entre le yin et le yang.
C'est le printemps ! Les amoureux cueillent les fleurs, merveilleux signes avant-coureurs du renouveau de mère nature. Eugène Lacrymo, notre Gégène à nous, n'a même pas à se baisser pour ramasser les nouveaux pavés qui vrombissent dans l'air printanier. C'est livraison à domicile. D'autant que la maison Comte Andan, fournisseur attitré de tout ce qui conteste et manifeste, vient de recevoir un nouveau modèle : joli robe, beau granit gris souris, bien équilibré en main, design parfait, ligne d'avant ? garde, poids idéal, il renvoie au musée la vieille relique de 68 que votre papa vous a légué avec des sanglots dans la voix (publique).C'est aussi le printemps pour Pamela, la CRS un tantinet obsédée sexuelle qui peut enfin dévoiler ses jolies formes. Ses collègues adoptent aussi sec le profil bas. Car la collègue ne pense qu'à ça . Toujours volontaire pour les séances de secourisme la Pamela, surtout lors des cours de bouche-à-bouche.À propos de bouche-à-bouche, un qui aurait dû se méfier, c'est Gédéon, le fiston de Gégène. Embrasser un crapaud peut avoir des conséquences familiales insoupçonnées. Notez que le lancer de manifestant, une spécialité Gégène, a aussi de fâcheuses répercussions sur sa vie familiale, en particulier nocturne. Chaque métier à ses petits ennuis.Et ses dommages collatéraux ! On ne remerciera jamais assez Achdé et Cauvin d'avoir osé montrer les risques pris par de pauvres CRS obligés de taper, qui sur un médecin, qui sur un moniteur de saut à l'élastique. Ou encore d'avoir accepté de divulguer comment un être sensible, sain et équilibré tel qu'Eugène Lavcrymo, peut se retrouver coiffé d'une flamboyante coiffure indienne ou le corps couvert de bien curieuses peintures de guerre (urbaine).Un grand merci aussi aux auteurs pour leur contribution constante à l'enrichissement du vocabulaire des rues. Cressons de latrines, couillons de la lune, croupions mouillés, testicules de mulets, Chtouille de yeti, tréponèmes asmathiques, zézettes de canaris feront, c'est sûr, la joie de tous !
Marco a quitté Vélizy pour la campagne. Il a quitté son psy parce qu'il trouve qu'il va mieux. Il a quitté son boulot de reporter parce qu'il en a marre de photographier des cadavres exotiques ou des gens en passe de le devenir.À part ça, tout va bien. Il a un frère complice (rigolades et gros pétards) qui l'appelle Georges et réciproquement, à cause de John Malkovich qui disait dans Des souris et des hommes : J'aurai un petit lapin et je l'appellerai Georges, et je le garderai contre mon coeur. Il a des parents au bord de la mer. Un papa tout ratatiné qui oublie le présent mais se rappelle très bien la couleur de la robe de sa mère le jour de son mariage. Une maman qui s'inquiète pour lui, sa constipation, son avenir et le cancer du poumon qu'il va sûrement choper, comme le fils de Mme Bergerin.Après une virée affectueuse (et éprouvante) chez les parents, il retrouve le silence de sa petite maison dans la verdure, et son chat (baptisé Adolf en raison d'un caractère affirmé), qui se fait charcuter par le gros chien d'un sale con de chasseur. À cette occasion, il rencontre Émilie, vétérinaire de son état, et un chouette petit vieux qui ramassedes mûres. Ça lui fait un amour et un ami. Mais voilà que tout se déglingue : Emilie se met à vouloir des choses angoissantes (partager avec lui une maison et un bébé), et le passé dégoûtant du gentil petit vieux émerge brutalement. Marco craque. Et puis, la cruauté et la connerie achevant de détruire son monde, il touche le fond. Ce qui lui permet de remonter. J'ai encore pas mal de choses à éclaircir si je ne veux pas être réincarné en plaque d'égout, disait-il en évoquant ses rapports délicats avec les femmes. Il évitera la plaque d'égout : il fera juste ce qu'il faut pour retrouver Émilie.C'est l'histoire d'un photographe fatigué, d'une fille patiente, d'horreurs banales et d'un chat pénible, écrit Larcenet. C'est aussi un scénario parfaitement maîtrisé, drôle de cette drôlerie complice qui évite l'ironie et tendre, en totale osmose avec un dessin hypersensible au bonheur et à la détresse. (Sans parler du chat ou d'Emilie, le moindre canapé est craquant.) Le combat ordinaire, histoire légère et bouleversante d'une renaissance, est l'album le plus personnel de Larcenet, et le meilleur en attendant le suivant.