Après des centaines de concerts épiques, des trous de mémoire, des blessures inexpliquées, une année passée avec Iggy Pop et de multiples nominations aux Grammy Awards, Queens Of The Stone Age reviennent avec ‘Villains’ leur septième album le 25 août chez Matador Records. Disponible en vinyle standard, édition vinyle deluxe et CD. Produit par Mark Ronson, avec Mark Rankin à la co-production et Alan Moulder au mixage, ‘Villains’ marque le grand retour de Queens Of The Stone Age depuis ‘Like Clockwork’ en 2013. Pourquoi changer une équipe qui gagne ?! ‘Villains’ voit le retour de l’illustrateur Boneface avec un superbe artwork ainsi que la formation qui a fait le tour du monde avec ‘Like Clockwork’ : le fondateur / guitariste / chanteur / parolier Joshua Homme, Troy Van Leeuwen (guitare, claviers), Michael Shuman (basse), Dean Fertita (claviers, guitare), Jon Theodore (batterie). Dans la lignée sonore de l'album précédent, ‘Villains’ repousse les limites créatives du groupe.
Salué par le New York Times, Pitchfork, Rolling Stone et bien d’autres, Sprained Ankle dévoilait en 2015 tout le talent d’une demoiselle originaire du Tennessee avec son indie folk dépouillée et intimiste à l’atmosphère unique, dans la lignée du fabuleux For Emma, Forever Ago de Bon Iver. Le label Matador ne s’y trompait pas en la signant d’emblée : on tenait avec Julien Baker une songwriter de grand talent. Enregistré dans les légendaires Ardent Studios de Memphis, sa ville natale, ‘Turn Out The Lights’ conserve le songwriting touchant et confessionnel qui l’ont fait connaître avec une production encore plus habitée. Tout au long de l’album, la jeune Américaine médite sur ses propres expériences et celles de ses proches, explorant les conflits intérieurs qui font rage en chacun de nous : comment faire face et surmonter les épreuves et quel impact cette lutte a, à la fois sur nous et sur notre entourage, quelque soit la nature de nos relations. Ecrit, composé et produit par Julien Baker avec Craig Silvey au mixage (The National, Arcade Fire, Florence & the Machine...), ‘Turn Out The Lights’ se révèle un album d’une profonde empathie qui embrasse les zones d’ombre et les complexes vérités de la nature humaine et de l'équilibre psychique : exprimer ses émotions les plus dures à travers la musique pour mieux tendre vers la lumière.
Salué par le New York Times, Pitchfork, Rolling Stone et bien d’autres, Sprained Ankle dévoilait en 2015 tout le talent d’une demoiselle originaire du Tennessee avec son indie folk dépouillée et intimiste à l’atmosphère unique, dans la lignée du fabuleux For Emma, Forever Ago de Bon Iver. Le label Matador ne s’y trompait pas en la signant d’emblée : on tenait avec Julien Baker une songwriter de grand talent. Enregistré dans les légendaires Ardent Studios de Memphis, sa ville natale, ‘Turn Out The Lights’ conserve le songwriting touchant et confessionnel qui l’ont fait connaître avec une production encore plus habitée. Tout au long de l’album, la jeune Américaine médite sur ses propres expériences et celles de ses proches, explorant les conflits intérieurs qui font rage en chacun de nous : comment faire face et surmonter les épreuves et quel impact cette lutte a, à la fois sur nous et sur notre entourage, quelque soit la nature de nos relations. Ecrit, composé et produit par Julien Baker avec Craig Silvey au mixage (The National, Arcade Fire, Florence & the Machine...), ‘Turn Out The Lights’ se révèle un album d’une profonde empathie qui embrasse les zones d’ombre et les complexes vérités de la nature humaine et de l'équilibre psychique : exprimer ses émotions les plus dures à travers la musique pour mieux tendre vers la lumière.
En 2015, l’album Sprinter révélait Torres, l’alter ego artistique de Mackenzie Scott, jeune artiste de Nashville de 23 ans seulement mais déjà remarquée aux côtés d’Okkervil River ou en première partie de Sharon Van Etten et Hamilton Leithauser. Avec son énergie rock dans la lignée grunge des années 90, on se laissait captiver par ce voyage dans les profondeurs du moi. Un opus qui lui a valu d’être remarquée par la presse internationale et lui a ouvert les portes du mythique label 4AD. Son troisième album Three Futures embrasse l’extase, le désir et la jouissance plutôt que la négation de soi, et déploie cette idée grâce à une musicalité immersive. On trouve en première ligne des sonorités mécaniques : une énergie électro-pop lacérée, d’âpres textures gothiques et industrielles et du kraut rock persistant. En dix titres alternant entre ballades en apesanteur et des titres aux riffs de guitares puissants portés par sa voix envoûtante, Torres s’affirme encore un peu plus comme une artiste à l’univers fascinant empli d’une sensualité et d’une énergie toutes particulières. Enregistré entre Stockport et le Dorset, l’Américaine a de nouveau collaboré sur cet album avec le producteur Rob Ellis, fidèle collaborateur de PJ Harvey déjà présent sur Sprinter, et David Tolomei (Beach House, Future Islands) au mixage. Selon ses propres mots, son album is entirely about using the body that each of us has been given as a mechanism of joy. Un nouveau voyage sensuel vous tend les bras !
Profondément imprégné d’un univers mêlant post-punk sauvage et gospel, Algiers débarquait avec fracas en 2015 avec une véritable bombe d’album sous forme d’incantations à portée politique et sociale. Sur ce premier album éponyme, le trio conjuguait avec brio ses influences éclectiques, de Nina Simone et PJ Harvey à Suicide et Public Enemy, en une musique stupéfiante et salvatrice. Originaires d'Atlanta, les membres du groupe y ont été les témoins de la violence institutionnelle et raciale, les incitant à combattre la frustration et le désespoir par la musique et à lâcher un appel à l’action rugissant et électrique. Désormais quatuor avec la présence permanente de l’exbatteur de Bloc Party Matt Tong, Algiers n’a rien perdu de sa rage et démultiplie son ambition sur The Underside of Power. Enregistré à Bristol avec Adrian Utley de Portishead et Ali Chant (PJ Harvey, Perfume Genius) à la production, Randall Dunn (Sun O)))) au mixage et Ben Greenberg (The Men, Hubble, Uniform) à la post-production, cet album intransigeant explore aussi bien le rock que la soul, le gospel que l’IDM, l’industriel que le grime. Toujours plus pertinent, ce nouveau disque d'Algiers aborde l’oppression, les violences policières, la dystopie et les structures de pouvoir hégémonique. Les paroles explosives se référant à Thomas Stearns Eliot, l’Ancien Testament, The New Jim Crow, Tamir Rice et Hannah Arendt, sont portées par des compositions parfois émouvantes, souvent follement électriques et saturées, toujours viscérales et percutantes. The Underside Of Power est la réponse musicale à une époque sombre et perturbée. Avec ce véritable album contestataire, Algiers refuse la passivité et convoque les racines de l’histoire de la résistance. Menée par la plume et la voix de Franklin James Fisher, l’appréhension collective face à la montée de politiques sinistres résonne haut et fort. Les dessous d’un grand album !
Profondément imprégné d’un univers mêlant post-punk sauvage et gospel, Algiers débarquait avec fracas en 2015 avec une véritable bombe d’album sous forme d’incantations à portée politique et sociale. Sur ce premier album éponyme, le trio conjuguait avec brio ses influences éclectiques, de Nina Simone et PJ Harvey à Suicide et Public Enemy, en une musique stupéfiante et salvatrice. Originaires d'Atlanta, les membres du groupe y ont été les témoins de la violence institutionnelle et raciale, les incitant à combattre la frustration et le désespoir par la musique et à lâcher un appel à l’action rugissant et électrique. Désormais quatuor avec la présence permanente de l’exbatteur de Bloc Party Matt Tong, Algiers n’a rien perdu de sa rage et démultiplie son ambition sur The Underside of Power. Enregistré à Bristol avec Adrian Utley de Portishead et Ali Chant (PJ Harvey, Perfume Genius) à la production, Randall Dunn (Sun O)))) au mixage et Ben Greenberg (The Men, Hubble, Uniform) à la post-production, cet album intransigeant explore aussi bien le rock que la soul, le gospel que l’IDM, l’industriel que le grime. Toujours plus pertinent, ce nouveau disque d'Algiers aborde l’oppression, les violences policières, la dystopie et les structures de pouvoir hégémonique. Les paroles explosives se référant à Thomas Stearns Eliot, l’Ancien Testament, The New Jim Crow, Tamir Rice et Hannah Arendt, sont portées par des compositions parfois émouvantes, souvent follement électriques et saturées, toujours viscérales et percutantes. The Underside Of Power est la réponse musicale à une époque sombre et perturbée. Avec ce véritable album contestataire, Algiers refuse la passivité et convoque les racines de l’histoire de la résistance. Menée par la plume et la voix de Franklin James Fisher, l’appréhension collective face à la montée de politiques sinistres résonne haut et fort. Les dessous d’un grand album !