Basé sur sur le best-seller de Diana Gabaldon, Outlander s'attache à raconter l'histoire incroyable de Claire Randall, une infirmière anglaise vivant en 1945 et qui se retrouve mystérieusement propulsée en 1743 dans une Ecosse pleine de dangers. Forcée d'épouser un jeune guerrier écossais, elle est amenée à faire face à des dilemmes cornéliens. La saison 3 de la série la suit lors de son retour en 1948. Nouveau compositeur phare de la télévision, Bear McCreary a notamment composé pour la série Battlestar Galactica, dont la bande originale a été saluée par les critiques. Nommé par WIRED Magazine comme l'une des cinq armes secrète de l'industrie de la télévision, il a été adoubé d'une nomination aux Emmy Awards pour son travail sur Outlander. La bande originale de la saison 1 s'est vendue à plus de 100 000 unités aux Etats-Unis.
Basé sur le best-seller de Diana Gabaldon, Outlander s'attache à raconter l'histoire incroyable de Claire Randall, une infirmière anglaise vivant en 1945 qui se retrouve mystérieusement propulsée en 1743, dans une Ecosse pleine de dangers. Forcée d'épouser un jeune guerrier écossais, elle est amenée à faire face à des dilemmes cornéliens. La saison 2 de la série la suit lors de son arrivée en France, à la cour de Versailles, alors qu'elle tente avec son mari d'infiltrer la rébellion jacobite. Nouveau compositeur phare de la télévision, Bear McCreary a notamment composé pour la série Battlestar Galactica, dont la bande-originale a été saluée par les critiques. Nommé par Wired Magazine comme l'une des cinq armes secrète de l'industrie de la télévision, il a été récompensé par une nomination aux Emmy Award pour son travail sur Outlander. La bande originale de la saison 1 s'est vendue à plus de 100 000 unités aux Etats-Unis.
Dans cette nouvelle exploration de l'univers Spider-Man, très attendue des fans de super-héros, le jeune Miles Morales découvre un univers où plus d'un peut porter le masque de l'araignée ! Ce petit bijou d'animation a bénéficié du travail de composition de Daniel Pemberton, l'un des compositeurs de musique pour le cinéma et la télévision les plus en vue. Deux fois nommé aux Golden Globe Awards, le britannique est derrière les bandes originales de films comme Steve Jobs de Danny Boyle, Cartel et Tout l'argent du monde de Ridley Scott, et de séries comme Black Mirror et Dirk Gently.
Une fois de plus, la série télévisée Outlander, aux multiples récompenses, s'est offert les services du compositeur primé Bear McCreary pour mettre en musique la saison 4. Cette dernière voit ses protagonistes Claire Fraser et Jamie Fraser se rendre dans le nouveau monde, afin d'y fonder un foyer malgré un environnement hostile et dangereux. Si on y retrouve la cornemuse qui a fait le succès de la musique dans la série, cette nouvelle bande-originale profite du nouveau lieu de l'action pour se réinventer en incorporant de nombreux éléments issus de la folk, de la country et de l'américana, comme sur la version revisitée du fameux thème de la série, The Skye Boat Song, ici dans sa version apalache. Bear McCreary a également apporté des sonorités tribales, avec l'usage de tambours et de chants traditionnels amerindiens. Bref, un nouvelle-fois, cette bande-originale est un must pour les fans de la série comme pour les amateurs de voyages (dans le temps!).
Compositeur, violoniste, auteur et chanteur, Eric Slabiak a grandi dans une famille où la musique est un art de vivre depuis plusieurs générations. Il a composé les bandes originales de nombreux films, documentaires et fictions, pour la télévision ou le cinéma. Dans «Ötez moi d’un doute», la musique joue un rôle dramaturgique très important. Eric Slabiak a composé des thèmes autour de la musique classique de Vivaldi et Mozart, formidables rampes de lancement à cette histoire, et s’est également inspiré de certaines ritournelles mélancoliques de Michel Berger. Synopsis : Erwan, inébranlable démineur breton, perd soudain pied lorsqu’il apprend que son père n’est pas son père. Malgré toute la tendresse qu’il éprouve pour l’homme qui l’a élevé, Erwan enquête discrètement et retrouve son géniteur : Joseph, un vieil homme des plus attachants, pour qui il se prend d’affection. Comme un bonheur n’arrive jamais seul, Erwan croise en chemin l’insaisissable Anna, qu’il entreprend de séduire. Mais un jour qu’il rend visite à Joseph, Erwan réalise qu’Anna n’est rien de moins que sa demi-soeur. Une bombe d’autant plus difficile à désamorcer que son père d'adoption soupçonne désormais Erwan de lui cacher quelque chose...
Star du jazz allemand et nouvelle signature de Sony Masterworks, Till Brönner propose un album de standards pleins de charme et de sensualité. Till Brönner est une figure dominante du jazz allemand. Outre ses nombreuses apparitions à la télévision et à la radio, il est reconnu pour son excellent jeu de trompette, sa voix douce et chaleureuse ainsi que pour son rôle de producteur et d’arrangeur. Nominé deux fois aux Grammy Awards, il a remporté à cinq reprises l’Echo Jazz, l’une des plus grandes récompenses musicales allemandes. ‘The Good Life’, son premier album pour Sony Music, est placé sous le signe du charme et de la détente et tire essentiellement son inspiration des grands standards du jazz américain rendus célèbres par les interprétations de Frank Sinatra, Billie Holiday, Nat King Cole et bien d’autres musiciens légendaires. Till Brönner a signé lui-même deux compositions de l’album et chante sur 8 titres. L’album produit par Ruud Jacobs a été enregistré entre Los Angeles et Amsterdam avec une section rythmique de rêve composée de John Clayton à la contrebasse (qui a aussi assuré les arrangements), Anthony Wilson à la guitare, Larry Goldings au piano et Jeff Hamilton à la batterie.
C’est avec humour et dérision que Frédéric Zeitoun a choisi de parler de sa vie. Handicapé de naissance, c’est avec son fauteuil qu’il affronte son destin. Parolier (Enrico Macias, Carlos, Louis Bertignac, Zaz,..), chroniqueur culturel à la Télévision (Télématin, C’est au programme sur France 2, Mélody Story et Mélody de ma vie sur Melody), comédien, il a choisi de mettre en scène sa différence dans un spectacle musical. Enrico Macias venu jeter un oeil et une oreille sur le spectacle est séduit et invite Frédéric Zeitoun à chanter les chansons de son spectacle lors d’une première partie à l’Olympia... Devant la réaction du public germe l’idée d’enregistrer un album de chansons. Les chansons du spectacle bien sûr, mais aussi des titres inédits avec quelques pointures pour mettre en musique les mots de Fred : Charles Aznavour, Chico et les Gypsies, Georges Augier, Jean Claude Ghrenassia; et certains sont même venus faire le duo avec lui comme Enrico Macias et Chico. En 12 chansons réalisées par Jean-Claude Ghrenassia, c’est l’itinéraire d’un enfant pas vraiment gâté au départ qui est raconté. Entre d’authentiques coup de gueule et quelques éclats de rire bienvenus, l’occasion de se poser deux, trois questions sur un monde qui n’est décidément pas fait pour tout le monde... C’est enfin et surtout un cheminement tellement personnel... qu’il en devient étrangement universel.
Voici donc après «Paris mon amour» (Diapason d’Or 2015), le «Stabat Mater» de Pergolèse et un récital «Handel», le 4e enregistrement de la soprano bulgare Sonya Yoncheva. Elle a triomphé tout récemment à Paris et de manière retentissante : aux côtés de Jonas Kaufmann dans le «Don Carlos» de Verdi, puis dans «La Bohème» de Puccini en décembre, où elle chante le rôle principal «Mimi». On sait combien la France réserve un accueil tout particulièrement chaleureux à celle qui parle notre langue couramment et a débuté ici en 2007, au «Jardin des voix» de William Christie. Sont venues ensuite «Lucia» de Donizetti (déjà à Bastille), «Iolanta» de Tchaikovsky (au Palais Garnier), et le Festival de Radio-France à Montpellier, où elle a révélé en version de concert «Seberia», du grand compositeur vériste Umberto Giordano (1867-1948) : «Sonya Yoncheva illumine Giordano… la détermination, la beauté et le moelleux du timbre, les aigus cinglants, le souffle infini qui mettent tout (le monde) à genoux». Invitée spéciale en ouverture des «Victoires de la Musique 2017», elle a touché plus d’1,5 millions de téléspectateurs lors de son passage dans l’émission musicale la plus populaire de la télévision française. On peut donc l’entendre ici dans le grand répertoire Verdi, où alternent les plus célèbres pages du «Trouvère», d’ «Otello», de «Don Carlo» ou de «La Force du Destin», avec celles tout aussi belles d’ «Attila», de «Simon Boccanegra» ou de «Nabucco».