Derrière The Explosion se cache le trio formé par Gilbert Cohen alias Gilb'r, moitié de Chateau Flight et chef de file du crew Versatile (machines, production), Fabrizio Rat (piano, synthétiseur) et Giani Caserotto (guitare) du Cabaret Contemporain. Au programme de ce 1er album éponyme, six titres qui s'étirent, façonnés au gré des sessions nocturnes, improvisés autour de motifs ou de séquences de synthétiseur avec l'idée de développer, dans la longueur, des paysages où se perdre et se réinventer.
EP 5 titres, Origine est le deuxième volet du triptyque Amour / Origine / Symbole imaginé par Nicolas Haas. C'est à Francheville, un petit village de Normandie, que Nicolas a passé toute son enfance. Il y débute le solfège et le piano au jeune âge de 4 ans, et écrit ses premiers poèmes et chansons dès 15 ans. Il s'intéresse aussi aux musiques électroniques et s'achète son premier synthétiseur. Avec un ami, fan comme lui de toute la scène new-wave, il constitue un premier duo et fait quelques maquettes et concerts. Au début des années 90, il intègre une école de cinéma et devient ingénieur du son. Il rencontre dans cette école Christian Schreurs (ex-Venus) avec qui il constituera le duo Laconic, et aussi Jérôme Minière dont il mixera le premier album Monde Pour N'Importe Qui. Il signe en édition chez Delabel en 1998 et se consacre alors totalement à la musique : des projets personnels, Laconic et Primaa, mais aussi des musiques de films. En 2003, Nicolas souhaite interpréter ses chansons : il suit alors des cours de chant au Studio des Variétés avec Sarah Sanders et entame une longue série de concerts, notamment les premières parties de Raphaël au Bataclan et à la Cigale. En 2005, il collabore pour la première fois avec Matthieu Imberty, guitariste et compositeur, constitue un groupe et sort 2 albums sous son propre nom, Une île à Ma Portée et Un Peu de Nous. Parallèlement, Nicolas compose pour de nombreux films Darlin, Le Poulpe, une vingtaine de documentaires comme Les Nouveaux Explorateurs sur Canal +, et de nombreuses publicités. A partir de 2011, Matthieu et Nicolas optent pour une formule duo électro-pop qui donnera naissance à l'album 186c en 2012 puis à Amour en 2016.
EP 5 titres, Origine est le deuxième volet du triptyque Amour / Origine / Symbole imaginé par Nicolas Haas. C'est à Francheville, un petit village de Normandie, que Nicolas a passé toute son enfance. Il y débute le solfège et le piano au jeune âge de 4 ans, et écrit ses premiers poèmes et chansons dès 15 ans. Il s'intéresse aussi aux musiques électroniques et s'achète son premier synthétiseur. Avec un ami, fan comme lui de toute la scène new-wave, il constitue un premier duo et fait quelques maquettes et concerts. Au début des années 90, il intègre une école de cinéma et devient ingénieur du son. Il rencontre dans cette école Christian Schreurs (ex-Venus) avec qui il constituera le duo Laconic, et aussi Jérôme Minière dont il mixera le premier album Monde Pour N'Importe Qui. Il signe en édition chez Delabel en 1998 et se consacre alors totalement à la musique : des projets personnels, Laconic et Primaa, mais aussi des musiques de films. En 2003, Nicolas souhaite interpréter ses chansons : il suit alors des cours de chant au Studio des Variétés avec Sarah Sanders et entame une longue série de concerts, notamment les premières parties de Raphaël au Bataclan et à la Cigale. En 2005, il collabore pour la première fois avec Matthieu Imberty, guitariste et compositeur, constitue un groupe et sort 2 albums sous son propre nom, Une île à Ma Portée et Un Peu de Nous. Parallèlement, Nicolas compose pour de nombreux films Darlin, Le Poulpe, une vingtaine de documentaires comme Les Nouveaux Explorateurs sur Canal +, et de nombreuses publicités. A partir de 2011, Matthieu et Nicolas optent pour une formule duo électro-pop qui donnera naissance à l'album 186c en 2012 puis à Amour en 2016.
Certains disques ne sont pas aussi simples qu'ils en ont l'air. La plupart sont des capsules de beauté et de vision créative, ou des objets sublimes d'expression qui occupent les domaines abstraits. Mais quelques-uns proposent aussi des philosophies discrètes, réalisées dans le son : Jefre Cantu-Ledesma (Tarentel, The Alps), un vétéran de Mexican Summer, le prouve dans sa dernière aventure, Tracing Back The Radiance. Se démarquant radicalement des mélodies aux accents pop qui ont défini ses récentes créations, ses formes expérimentales offrent une réflexion dynamique sur les termes et les possibilités du discours et de la collaboration; un vaste paysage ambiant d'abstractions, de textures et de tons. Une méditation lente et délicate; un espace ouvert ponctué par les harmoniques retenues du vibraphone, du traitement, de la flûte, de la pedal-steel, du synthétiseur, du piano, de l'orgue et de la voix. Tracing Back The Radiance est né de quelques notes de piano, d'un besoin de changement et d'un processus en évolution qui se situe quelque part entre la conversation et la vision, et un jeu sauvage de cadavre exquis - Cantu-Ledesma agissant ici en tant que contributeur, serviteur, et force directrice d'un casting all-stars de voix : John Also Bennett, Marilu Donavan, Chuck Johnson, Gregg Kowalsky, Mary Lattimore, David Moore, Meara O'Reilly, Jonathan Sielaff, Roger Tellier Craig et Christopher Tignor, chacun intervenant depuis divers endroits d'Amérique du Nord. Avec un clin d'oeil aux étapes historiques de la musique ambiante et électroacoustique, ainsi qu'aux pionniers minimalistes italiens comme Gusto Pio, Lino Capra Vaccina et Francesco Messina + Raul Lovisoni, Cantu-Ledesma poursuit l'une des entreprises les plus ambitieuses, élégantes et passionnantes de sa carrière, tout en maintenant la facilité et l'ouverture du langage musical qui l'ont guidé à travers les années. Un magnifique baume immersif, mélancolique et contemplatif bien en accord l'époque trouble de sa conception.
Wewantsounds est ravi d'annoncer la ressortie de Saravah!, le premier album solo de Yukihiro Takahashi. C'est l'un des albums japonais les plus marquants des années 70, sorti en 1978 à un moment clé où, après son passage chez Sadistic Mika Band, Takahashi vient juste de rejoindre le Yellow Magic Orchestra. Mix sophistiqué de disco funk, synthpop, d'ambient, d'exotica et de bossanova, l'album a les allures classieuses d'une virée nocturne dans le Paris des années 70 et forme le chaînon manquant entre la scène city pop de la fin des années 70 et l'ère synthétique de YMO qui était sur le point de révolutionner la scène musicale. Durant les mois précédant l'enregistrement du premier album de YMO qui allait révolutionner la musique, Yukihiro Takahashi entre en studio avec ses deux compères, Ryuichi Sakamoto et Haruomi Hosono, pour d'enregistrer Saravah! avec la crème de la scène japonaise. Takahashi puise son inspiration en France dans l'oeuvre de l'artiste et producteur français Pierre Barouh, qui avait introduit la bossanova en France en 1966 avec Samba Saravah et avait ensuite lancé Saravah Records. Saravah! commence par deux classiques français et italiens (Volare et C'est Si Bon) réarrangés en mode exotica avec de subtiles touches de synthétiseur, tandis que Saravah! clin d'oeil à Pierre Barouh, a l'allure d'une bossanova suave avec de superbes arrangements pour cordes arrangées par Ryuichi Sakamoto. L'album devient plus rythmé avec La Rosa, aux accents funk mid-tempo soulignés par le beat de Takahashi et soutenu par la basse très efficace de Haruomi Hosono, l'orgue Hammond de Sakamoto et la guitare fluide de Shigeru Suzuki. La première face se termine par une incroyable version synthé du classique Ellingtonien Mood Indigo, annonçant la révolution midi à venir avant que l'affaire se funkfie sur la face 2, à commencer par le superbe instrumental disco Elastic Dummy signé par Ryuichi Sakamoto avec la encore des arrangements de cordes et de cuivres complétés par les solos de Sakamoto et du guitariste Tsunehide Matsuki. L'album passe ensuite à l'ambiant synthétique de Sunset avant de revenir en mode nightclubbing avec Back Street Midnight Queen. Comme Elastic Dummy le titre est à présent un titre culte pour les DJ city pop. Saravah! se termine sur une note parfaite avec le magnifique titre Present, une chanson pop parfaitement conçue que Takahashi voulait faire dans un mode city pop, mettant en vedette une superbe mélodie et des arrangements de grande qualité. La bande son idéale pour une promenade matinale dans les rues de Paris, illustrée par les photos de Masayoshi Sukita figurant sur la couverture de l'album. Album sophistiqué plein de fun, Saravah! donne un aperçu unique du caractère versatile des musiciens de YMO sous l'égide de Yukihiro Takahashi au moment clé où les trois musiciens allaient passer à un son dominé par les synthétiseurs, moment superbement capturé par Saravah!.
Wewantsounds est ravi d'annoncer la ressortie de Saravah!, le premier album solo de Yukihiro Takahashi. C'est l'un des albums japonais les plus marquants des années 70, sorti en 1978 à un moment clé où, après son passage chez Sadistic Mika Band, Takahashi vient juste de rejoindre le Yellow Magic Orchestra. Mix sophistiqué de disco funk, synthpop, d'ambient, d'exotica et de bossanova, l'album a les allures classieuses d'une virée nocturne dans le Paris des années 70 et forme le chaînon manquant entre la scène city pop de la fin des années 70 et l'ère synthétique de YMO qui était sur le point de révolutionner la scène musicale. Durant les mois précédant l'enregistrement du premier album de YMO qui allait révolutionner la musique, Yukihiro Takahashi entre en studio avec ses deux compères, Ryuichi Sakamoto et Haruomi Hosono, pour d'enregistrer Saravah! avec la crème de la scène japonaise. Takahashi puise son inspiration en France dans l'oeuvre de l'artiste et producteur français Pierre Barouh, qui avait introduit la bossanova en France en 1966 avec Samba Saravah et avait ensuite lancé Saravah Records. Saravah! commence par deux classiques français et italiens (Volare et C'est Si Bon) réarrangés en mode exotica avec de subtiles touches de synthétiseur, tandis que Saravah! clin d'oeil à Pierre Barouh, a l'allure d'une bossanova suave avec de superbes arrangements pour cordes arrangées par Ryuichi Sakamoto. L'album devient plus rythmé avec La Rosa, aux accents funk mid-tempo soulignés par le beat de Takahashi et soutenu par la basse très efficace de Haruomi Hosono, l'orgue Hammond de Sakamoto et la guitare fluide de Shigeru Suzuki. La première face se termine par une incroyable version synthé du classique Ellingtonien Mood Indigo, annonçant la révolution midi à venir avant que l'affaire se funkfie sur la face 2, à commencer par le superbe instrumental disco Elastic Dummy signé par Ryuichi Sakamoto avec la encore des arrangements de cordes et de cuivres complétés par les solos de Sakamoto et du guitariste Tsunehide Matsuki. L'album passe ensuite à l'ambiant synthétique de Sunset avant de revenir en mode nightclubbing avec Back Street Midnight Queen. Comme Elastic Dummy le titre est à présent un titre culte pour les DJ city pop. Saravah! se termine sur une note parfaite avec le magnifique titre Present, une chanson pop parfaitement conçue que Takahashi voulait faire dans un mode city pop, mettant en vedette une superbe mélodie et des arrangements de grande qualité. La bande son idéale pour une promenade matinale dans les rues de Paris, illustrée par les photos de Masayoshi Sukita figurant sur la couverture de l'album. Album sophistiqué plein de fun, Saravah! donne un aperçu unique du caractère versatile des musiciens de YMO sous l'égide de Yukihiro Takahashi au moment clé où les trois musiciens allaient passer à un son dominé par les synthétiseurs, moment superbement capturé par Saravah!.