L´une est brune, l´autre est blonde. Coryet Wanda s´aiment d´amour tendre mais sont aussi très prêteuses. Lors des week-ends qu´elles passent ensemble, elles partagent et explorent de nouvelles expériences, multipliant les occasions de baiser inopinément avec des mâles en rut et des femmes inconnues, afin d´assouvir leurs fantasmes orgiaques.Éditée pour la première fois de 1994 à 1996, la trilogie Mi-anges, mi-démons est enfin proposée en intégralité. Des textes suaves et sensuels ; un dessin qui se hisse au panthéon des maîtres de l´image érotique : nul doute que la plus simple expression de Cory frottant son sexe juteux, les seins soutenus par un haut en balconnet, vous mettra dans tous vos états.
Paolo a définitivement abandonné son ancien nom pour devenir Paola, transsexuelle lascive et soumise aux caprices de sa tante despotique. La transformation achevée, sa chaperonne l'initie aux pratiques sadomasochistes?: Paola devient alors le jouet consentant de riches Italiens dépravés... Sa fougue et sa particularité physique ne tardent pas à attirer l'attention, et voilà notre chère tante muée en productrice de vidéos pornographiques, dont l'héroïne n'est autre que Paola?! La jeune femme s'épanouit plus que de raison dans cette nouvelle vie de débauche...Second volume de Ma tante adorée par le duo italien Laura Bagliani (scénario) et Alessandro Scalzo (dessin). Une histoire menée tambour battant par ces maîtres de l'érotisme débridé et transgenre, et une succession de scènes riches où transpirent les références au BDSM.
Valérie est encore bien jeune et naïve lorsqu'elle se marie avec Jean-René, qui pense plus à son travail d'ambulancier qu'à sa jeune épouse. L'arrivée d'un oncle au foyer conjugal trouble bien vite le train-train de Valérie. Cet homme, qui pourrait être son père, l'attire, devient son amant puis son maquereau. Consentante, Valérie doit se prostituer au bord d'une route, recevoir des inconnus dans son propre appartement, puis dans un restaurant loué pour la circonstance.Les ouvrages d'Ardem publiés chez Dynamite ont connu un remarquable succès et ont été très rapidement épuisés. Il faut dire qu'Ardem, dessinateur chez les plus grands éditeurs, met au service d'un scénario particulièrement obsessionnel l'efficacité d'un dessin sans fioritures.
La jeune et désirable Cécile, coincée dans un mariage peu excitant, rêve, rêve, rêve... Elle traverse lieux et époques pour mieux assouvir ses fantasmes, passant de songe en songe afin d'échapper à l'homme terrible qui la vend à d'autres, mais dont elle goûte les perversions avec un plaisir non dissimulé... Et qui sait, dans ses rêves les plus fous, peut-être trouvera-t-elle l'amour ? Erich von Götha nous régale d'un récit sans paroles, où la force de son dessin maîtrisé à l'excellence suffit à nous faire pleinement profiter des fantasmes délirants de cette petite débauchée de Cécile.Le Rêve de Cécile est l'un des titres de von Götha initialement publié en revue, puis en album par IPM, en 1995. Dans la lignée de Prison très spéciale ou des Curiosités perverses de Sophie, l'ouvrage met en scène des femmes qui prennent plaisir àsubir des situations particulièrement humiliantes. On est ici dans le schéma classique de l'oie blanche qui devient un objet sexuel... et se révèle une vraie nymphomane. La luxure à l'état pur...
Voyage en profondeurs est un hommage au récit d’aventure et de voyage comme on l’entendait à la fin du XIXe siècle, mais aussi un clin d’œil forcené au cinéma burlesque et d’humour anglo-saxon, et une révérence aux lectures de science-fiction qui ont hanté nombre d’adolescents au siècle dernier. À la différence près que, sur les 160 pages délirantes de cette somme, on y fornique à qui mieux mieux. On y copule à l’intérieur de la capsule qui s’enfonce dans les profondeurs de la Terre. Sur les plages d’un continent perdu. Sur l’île de Lilliput ou encore dans le monde des Amazones.En bref, Voyage en profondeurs est bien un hommage, mais également, sans le moindre doute, une parodie. Et qui dit parodie, dit humour ! L’histoire n’en manque pas. Si les charmes irrésistibles des héros sont sans cesse convoqués, les situations dans lesquelles ils peuvent les mettre en action sont, elles, hilarantes. Enfin, cerise sur le cake, le dessin réaliste est franchement à la hauteur des enjeux. Les créateurs de Chambre 121 (un succès dans toutes les bonnes librairies) s’en donnent ici à cœur joie. Alors, n’attendez plus pour sillonner les profondeurs de ce roman graphico-sexuel !