C'est en 1965 que la série Gag de poche, qui compile soigneusement tout l'humour de la BD franco-belge au format poche, accueille Gaston, biographie d'ungaffeur, signé par Franquin et Jidéhem. Ce numéro spécial reprenait le mythique numéro 0 de la série éponyme, déjà considéré comme un classique du dessin d'humour et d'aventure, ainsi que le stipulait l'en-tête de la collection.Plus de 50 ans après, à l'occasion de l'année Gaston qui célèbre les 60 ans du héros flegmatique au pull vert et en hommage à Jean De Mesmaeker qui inspira le personnage du même nom, les Éditions Dupuis rééditent cet album dans son format originel. Ces 128 pages d'humour et de fantaisie toute gastonienne ne manqueront pas de vous (re)plonger dans son univers d'extravagance et de joyeuses catastrophes.Un petit livre pour de grandes émotions !
Ce n'est un secret pour personne, chez Poje, on aime lever le coude et se retrouver autour d'un bon verre à écouter les histoires de chacun. Cependant, de l'autre côté du bar, on aspire à avoir le verre... solitaire. Si, pour une fois, les confidences n'étaient plus dévoilées du même côté du bar... et si, chez Poje, tout ne tournait pas toujours rond ? Un album à ne pas lire la gorge sèche !Du côté de chez Poje est une bande dessinée de haute fermentation d'appellation contrôlée en Belgique, brassée avec savoir et sagesse par Cauvin et Carpentier.La nouvelle cuvée se caractérise, une nouvelle fois, par un goût humoristique très relevé et un dessin rond aux arômes joyeux. Les brasseurs recommandent de lire cet album un verre à la main !
Ce tome comprend les quatre albums du cycle birman, parus entre 1948 et 1951 : La Revanche des Fils du Ciel, Les Tigres Volants, Dans les griffes du Dragon Noir, Attaque en Birmanie. Si Buck Danny remporta un franc succès dès sa création, ce sont les aventures du cycle birman, réunies dans ce deuxième volume de l'Intégrale, qui confirmèrent sa position de héros favori de générations de jeunes lecteurs. Ces albums marquent aussi un tournant dans la série, puisque c'est à ce moment-là que Charlier cesse de participer au dessin pour ne plus se consacrer qu'au scénario. En bonus, le dossier réalisé par Patrick Gaumer, poursuit le récit du quotidien des créateurs de la première grande série réaliste de la BD franco-belge.
Pour la plupart des lecteurs, Peyo est avant tout le père des Schtroumpfs, de Johan et Pirlouit et de Benoît Brisefer. C'est oublier un peu vite un petit personnage f ort sympathique, auquel Peyo était de surcroît fort attaché :Le chat Poussy, pour lequel il imagina de nombreux gags publiés de 194 9 à 1991.Initialement publiés dans Le Soir, les gags en qua tre cases du petit chat noir et blanc passent de la demi-page réservée à la jeunes se chaque samedi au Soir Jeunesse, un supplément hebdomadaire pour les enfants, avant de faire leur entrée dans les pages du Journal de Spirou en 1965.Peyo, surchargé, confiera en 1969 à De Gieter le dessin de Poussy, auquel succèdera, entre autres, Daniel Desorgher en 1977.
Sur une route détrempée par la pluie, une voiture s'encastre sous un camion.Si le conducteur est tué sur le coup, la passagère s'en tire sans une égratignure. sans une égratignure, mais pas indemne : valérie perd son mari le jour même de ses noces. quand frédéric, le frère aîné du défunt, cherche à réconforter la jeune veuve, celle-ci, hystérique, le chasse de la maison familiale. puis disparaît après avoir vidé les comptes. troublé par la jeune femme et son comportement, frédéric engage un détective pour tenter de la suivre à la trace.Et de l'europe du sud à l'égypte, de l'angleterre aux états-unis, cette trace devient de plus en plus sanglante. mais qui est valérie ? avec la veuve blanche, paul gillon livre un polar haletant, violent et sensuel, oú l'élégance de son dessin le dispute à la noirceur de son propos.
Le 24 décembre 1959, deux nouveaux venus, appelés à connaître une longue postérité, s'installent dans les pages du Journal de Spirou : Boule et Bill, car il s'agit bien d'eux, font leurs premiers pas sous la plume de Rosy et le pinceau de Roba, dans le mini-récit Boule et Bill contre les mini-requins. Une histoire courte qui permet de redécouvrir nos deux héros à leurs débuts.Le dessin de Roba n'a pas encore la souplesse qu'on lui connaîtra ensuite, mais les principaux traits de caractère des personnages, tels qu'ils seront développés, sont déjà présents en germe. Une petite pépite du patrimoine de la bande dessinée franco-belge, de nouveau disponible dans une jolie édition proche du format initial du mini-récit.
Aujourd'hui. Philippe fête son anniversaire. 53 ans, déjà. Sa maison est confortable, ses enfants sont grands, sa mère est bavarde, son nouveau vélo est magnifique. Une belle tranche de vie, dans la simplicité, l'honnêteté. Mais celui qui empoisonne le gâteau, c'est le patron de Philippe quand il lui annonce son licenciement. Victime collatérale de la mondialisation, Philippe coule à pic. Perd tout, même son toit.Mais cette plongée au coeur de lui-même va lui permettre d'ouvrir son regard sur les autres. Les gens honnêtes n'ont rien d'ordinaire. Chronique de la tragi-comédie du quotidien, Les gens honnêtes marque la rencontre entre deux auteurs réunis par la tendresse qu'ils éprouvent pour leurs personnages. Jean-Pierre Gibrat, au scénario, et Christian Durieux, au dessin, savent faire vibrer l'unisson la parcelle indicible de la création romanesque : son humanité.
Dans une ruelle de Venise, un homme court à perdre haleine. À ses basques, trois malfrats armés jusqu'aux dents. L'homme réussit à échapper à ses poursuivants. Juste le temps de briser la vitrine d'une agence de voyages. Juste le temps de gribouiller quelques mots sur une feuille de papier et d'engager la feuille dans un fax. Deux secondes plus tard, l'homme meurt, criblé de balles. Mais le fax est bel et bien envoyé. Il y est écrit : Largo Winch, prenez garde au doge et à.... Le bal peut commencer.
Lya va peut-être enfin connaître l'identité du chauffard qui l'a renversée la veille de ses 17 ans. Elle tient dans ses mains le dossier subtilisé dans le bureau de maître Martin de Villegan. C'est pour ce dossier qu'elle s'est faite embaucher comme stagiaire dans ce cabinet d'avo-cats. Tout ça pour ça. Mais Lya peut compter sur ses deux alliés fidèles, Adèle sa collègue dévouée et Antoine son meilleur ami. Sur le terrain, l'enquête pour la vérité vire à la série noire.À la manière d'un polar noir, de planques en filatures l'intrigue s'accélère et fait monter le suspense, dans un scénario affranchi de toute condescendance qui assimile le handicap de Lya sans empêcher ni l'action, ni l'humour. Le dessin numérique presque disneyen dynamise ce page-turner lumineux pour donner toujours plus envie d'accompagner Lya dans sa quête de vérité.
Série : Tamara Collection : Dupuis (Tous Publics) Album : Ma première fois Tome : 7 Dessin: Darasse Scénario: Zidrou Résumé :Il est beau, il est sympa, il est intelligent... Ce Diego qui vient de débarquer dans l'école a décidément beaucoup d'atouts. D'ailleurs toutes les filles en sont folles... et les garçons n'arrivent pas tout à fait à le détester !Tamara ne fait pas exception à la règle. Fidèle à elle-même, elle estime évidemment qu'elle n'a aucune chance. Yoli, sa petite demi-soeur délurée, va la pousser à déclarer sa flamme. Et là, incroyable, ça va marcher !Pour Tamara, aux affres des problèmes de l'adolescence vont enfin succéder les affres de la première grande histoire d'Amour.Date de parution : 21/8/2009 Nombre de pages : 48 Prix de vente : 9,45 € / 18,20 FS EAN : 9782800144269 ISBN : 9782800144269
Django Reinhardt est une légende. Mais Django ? celui qui réveille ? est aussi né deux fois. Une première fois dans la neige, durant l'hiver 1910 dans une famille de nomades stationnée à Liberchies, en Belgique. La seconde à Saint-Ouen, près de Paris, à l'automne 1928, quand l'incendie de sa caravane lui mutila la main gauche.Le scénariste Salva Rubio et le dessinateur Efa avaient déjà signé ensemble un remarquable biopic sur Monet en 2017, rendant hommage à l'obsession du peintre pour la lumière. De même, ce biopic consacré à la jeunesse du musicien prodige met en scène la passion et l'obstination de celui qui s'est toujours considéré comme le plus grand guitariste du monde.Dans ce récit- partition, en découpant les cases comme des accords, le dessinateur anime la romance d'une vie en vibrations aquarellées pour mieux accompagner le cheminement musical et technique de l'inventeur du jazz manouche. De la musette au jazz, du violon au banjo puis à la guitare, la destinée de Django est celle de sa main de feu, habitée par le duende qui brûle dans l'âme du musicien manouche. Celle d'un miraculé qui renaît de ses cendres, plus éblouissant que jamais. Musique !Cet ouvrage est préfacé par Thomas Dutronc et contient un dossier documenté de 16 pages.
Après l'épisode de la plage de Brighton, Maggy attend que ça se tasse. Elle a de quoi patienter : un nouveau mec, un joli magot de 15 000 livres qui attend son heure, et même une nouvelle enquête pour gagner un peu d'argent frais. Le principal, c'est de ne pas donner prise aux possibles soupçons de Sheena qui, tout flic ripou qu'elle est, n'en reste pas moins flic... avec une revanche à prendre.Une nouvelle étape dans le quotidien de Maggy Garrisson, dont la vie n'est pas exactement un roman mais bien plutôt un polar, avec ses dialogues bien serrés, ses hasards qui n'en sont pas forcément et ses pintes sans faux col au pub du coin. Accompagné de Stéphane Oiry au dessin, Lewis Trondheim confirme la très bonne surprise avec ce tome 2 sans concession et blindé d'un humour qui n'est pas chargé à blanc.
Dimanche 13 septembre, trois heures du matin...Dans une ruelle de Venise, un homme court à perdre haleine. À ses basques, trois malfrats armésjusqu'aux dents. L'homme réussit à échapper à ses poursuivants. Juste le temps de briser la vitrine d'une agence de voyages. Juste le temps de gribouiller quelques mots sur une feuille de papier et d'engager la feuille dans un fax. Deux secondes plus tard, l'homme meurt, criblé de balles. Mais le fax est bel et bien envoyé. Il y est écrit : Largo Winch, prenez garde au doge et à.... Le bal peut commencer.
Nelson, l'insupportable diablotin orange, revient dans ce nouvel album plus en forme et plus imaginatif que jamais! On pourrait croire qu'empoisonner la vie de tous ceux qu'il croise finirait par le lasser, mais non! C'est pour lui un talent naturel, voire une vocation! Faire le bien? Aider auxtâches quotidiennes? Ça lui donne des cauchemars! Nelson reste donc fidèle à lui-même : une calamité ambulante et débordante d'imagination lorsqu'il s'agit de rendre la vie impossible à Julie, sa jeune et jolie maîtresse, et à Floyd, labrador sentimental un peu empoté...Quand Christophe Bertschy a créé son petit diablotin orange en février 2001 dans LE MATIN, il ne se doutait pas que celui-ci allait devenir la mascotte du quotidien suisse et le personnage idéal pour les licences en tout genre. En attendant l'adaptation en dessin animé, Nelson a déjà vécu plus de 1882 mini-aventures en strips. Et ce n'est que le début !
Boris Vian était cardiaque ; il considérait que nager en apnée était bon pour son coeur. Pourtant, ce matin du 23 juin 1959, au bord de la Piscine Molitor, il lui reste seulement quelques heures à vivre avant de succomber à une crise cardiaque pendant la projection du film adapté de son roman J'irais cracher sur vos tombes.Hervé Bourhis raconte les derniers instants de ce créateur protéiforme, plongeant dans son passé au plus profond de ses doutes, de ses passions, de ses amours, de ses joies. Les personnages secondaires de cette histoire ont pour noms : Jacques Prévert, Yéhudi Menuhin, Raymond Queneau, Jean-Paul Sartre, Juliette Gréco, Simone de Beauvoir...Avec élégance et sensibilité, le dessin de Christian Cailleaux restitue ici trente-neuf années d'une vie fascinante.Cette histoire est totalement vraie, puisque je l'ai imaginée d'un bout à l'autre. Boris Vian
Boris Vian était cardiaque ; il considérait que nager en apnée était bon pour son coeur. Pourtant, ce matin du 23 juin 1959, au bord de la Piscine Molitor, il lui reste seulement quelques heures à vivre avant de succomber à une crise cardiaque pendant la projection du film adapté de son roman J'irais cracher sur vos tombes. Hervé Bourhis raconte les derniers instants de ce créateur protéiforme, plongeant dans son passé au plus profond de ses doutes, de ses passions, de ses amours, de ses joies. Les personnages secondaires de cette histoire ont pour noms : Jacques Prévert, Yéhudi Menuhin, Raymond Queneau, Jean-Paul Sartre, Juliette Gréco, Simone de Beauvoir... Avec élégance et sensibilité, le dessin de Christian Cailleaux restitue ici trente-neuf années d'une vie fascinante. Cette histoire est totalement vraie, puisque je l'ai imaginée d'un bout à l'autre. Boris Vian
Le comte de Champignac a disparu ! Il a été enlevé par des agents du KGB... Des savants russes ont besoin de lui pour les aider à répandre le gène du communisme dans le monde entier. Dans le contexte de la guerre froide, Spirou et Fantasio jouent les James Bond, espions infiltrés sous la couverture d'un reportage pour Vaillant (Pif Gadget), le journal communiste de l'époque. Parviendront-ils à délivrer Champignac de l'embrigadement bolchévique et à sauver le monde de la contamination communiste ? Au dessin, Fabrice Tarrin s'inscrit pleinement dans la continuité des créateurs de la série qui ont fait de Spirou un grand héros éternel. Le scénario de Fred Neidhardt, l'un des plus fins connaisseurs de Spirou, distille avec jubilation des références à la grande époque de la BD franco-belge, dans un univers de guerre froide où plane de-ci de-là l'ombre de 007. De quoi raviver le goût pour la série Spirou et Fantasio dans ce qu'elle a de plus mythique et intemporelle !
Tenter de capter, malgré son évanescence, ce sentiment de solitude qui nous saisit face à la complexité du monde. Cet état d'âme qui, s'il nous isole de nos semblables, est peut-être ce qui fait de nous des humains. Outrepassant par la grâce du dessin le principe selon lequel il faut se taire sur ce dont on ne peut pas parler, Cyril Pedrosa suit les méandres de cette émotion, nous livrant un magistral récit en quatre tableaux. Quatre tableaux, pour quatre saisons et autant de personnages en quête de leur destinée, à travers l'espace et à travers le temps.Autour de lieux, à l'occasion de luttes, ces êtres sans attaches vont croiser d'autres solitudes et tisser les uns avec les autres le fil ténu d'une conscience happée par l'inconnu et tourmentée par l'énigme du sens de la vie. Chaque saison a son identité graphique, chaque voix également. Une oeuvre d'une intensité et d'une sensibilité narrative rares, du créateur du très remarqué Portugal.
Zeke, à cette époque-là, c'était a song, des millions de disques vendus.On le voyait avec les moody blues, pink floyd, dylan, stevie wonder, bukowski, kerouac et autres andy warhol. a cette époque-là, zeke aimait avery, aussi belle que brillante. et puis plus rien. plus de zeke, disparu. envolé. après vingt ans d'absence, coucou c'est moi, le voici qui donne signe de vie. et c'est sur le mékong, entre laos et birmanie, qu'esmé, sa vieille et gentiment folle de mère, retrouve le petit.Là, derrière un projecteur de diapositives, s'adressant de village en vinage à des publics aussi attentifs qu'amusés, zeke raconte. des histoires. par ses mots, son dessin et ses couleurs qui se nourrissent les uns des autres, par sa mise en images inventive, par ce ton, à la fois léger et grave, empreint d'un humour réjouissant, avec lequel s'expriment ses personnages, les rendant si romanesques, oui, décidément, cosey s'affirme comme l'un des auteurs de bd contemporains les plus originaux.
Au tournant des années 1970, Maurice Tillieux confie le dessin de Gil Jourdan à Gos, qui réalisera les quatre derniers albums de la série réunis dans ce volume : Carats en vrac, Gil Jourdan et les fantômes, Sur la piste d'un 33 tours et Entre deux eaux. Malheureusement interrompue par la disparition de Maurice Tillieux, fauché par un accident de la route en 1978, la série connaît ses derniers moments sous le pinceau de Gos, bien connu des habitués du Journal de Spirou de l'époque. Ancien du studio Peyo, il collabora entre autres avec Franquin sur Panade à Champignac et Walthéry sur Le Cirque Bodoni, avant de créer son propre personnage, le Scrameustache. Dans les années 1970, Gil Jourdan est déjà un classique de la BD franco-belge, avec son savant mélange d'action, d'humour et de mystère. C'est aussi le moment où Tillieux passe une partie de flambeau à Gos, se réservant l'écriture des scénarios, toujours aussi enlevés.
Une oeuvre forte et délicate sur un sujet sensible.Algérie 1957. Au coeur de la guerre qui oppose l'armée française aux rebelles luttant pour l'indépendance de leur pays, un événement préoccupe au plus haut point l'état-major français : une section de vingt-deux hommes a disparu, avec armes et bagages, depuis deux semaines. Cette section, composée de harkis, ces Algériens enrôlés dans l'armée française, est commandée par le lieutenant Messonnier. Le capitaine Valéra, chargé de retrouver Messonnier et sa section, mène son enquête dans les montagnes kabyles, là même où la section s'est évanouie.En France, comme en Afrique du Nord, les plaies ouvertes par la guerre d'Algérie sont encore loin d'être refermées. En inscrivant son récit dans ce contexte particulièrement sensible, Frank Giroud n'a pas choisi la facilité. Mais sa formation d'historien, ses qualités de scénariste comme son humanisme lui ont permis d'éviter le piège du manichéisme.Dessinateur réaliste à la technique irréprochable, Lax a pour la circonstance réinventé son propre style, qui est devenu depuis, avec Le Choucas, sa marque de fabrique.La conjonction de ces deux grands talents engendre une oeuvre forte et profondément humaine.L'intégrale contient un exceptionnel dossier de 22 pages illustré de photos, de croquis et d'aquarelles, paru à l'époque dans le tome 2 d'Azrayen'.
à l'époque de la mondialisation galopante et de la courseeffrénée au profit, broussaille ressent le besoin de transcrire sur le papier ces moments magiques d'harmonie et de plénitude qu'il ressent au fond de lui et de nous les faire partager.Pour que les bruits de la destruction ne couvrent pas totalement les battements du coeur laissons-nous donc guider par le faune, cet être merveilleux, ce gardien de l'univers, intermédiaire privilégié entre les dieux, la nature et les hommes. ce que le faune propose à broussaille n'est rien moins qu'une quête, un retour au sens profond des choses. avec un faune sur l'épaule, frank nous offre un livre rare, un de ces livres lumineux qui, si l'on s'y attarde, ouvre en nous de nouveaux horizons.
Les années 1970 marquent un changement dans l'aventure éditoriale des petites créatures bleues. Alors que les Schtroumpfs connaissent une renommée de plus en plus impressionnante (ils conquièrent les salles de cinéma en 1975 puis font très vite une entrée remarquée et durable sur le territoire américain), leur créateur, lui, semble épuisé. Pierre Culliford, mis à mal par le long travail sur le dessin animé (près de 300 épisodes verront le jour), commence à avoir des soucis de santé et fait de plus en plus appel à ses assistants, parmi lesquels Walthéry et Wasterlain, pour rendre à temps les planches de ses albums. Après le rachat de son éditeur historique, Peyo quittera les éditions Dupuis mais continuera malgré tout à travailler sur ses petits bonshommes bleus jusqu'à son décès, en 1992.Ce quatrième volume de l'intégrale des aventures des Schtroumpfs (1975-1988), qui réunit les tomes 10 à 13, est introduit par un dossier d'Hugues Dayez qui revient sur ces années difficiles mais productives.
Plonger dans l'histoire comme dans un rêve... Dans un turquoise lumineux et mélancolique apparaissent pour la première fois les trois sœurs Grémillet, guidées par des méduses qui flottent, jusqu'au grand arbre et son palais de verre. À l'intérieur, une petite méduse lévite au-dessus d'un lit. Sarah, l'aînée, ne s'explique pas ce rêve étrange. Obsédée par ce mystère, elle parviendra à l'élucider avec l'aide de ses deux sœurs.Alessandro Barbucci illumine de son dessin virtuose cette chronique familiale moderne qui, derrière les révélations d'un drame du passé, célèbre l'amour d'une mère pour ses enfants. Dans ce trio féminin, chacune a son caractère attachant : Sarah, l'aînée autoritaire, Cassiopée la cadette artiste, et Lucille la plus petite qui ne parle qu'à son chat. Les belles pierres de la ville, le jardin des plantes, la végétation luxuriante, les petits marchés... le lecteur ne voudra plus quitter cet univers enchanteur créé par Barbucci et Di Gregorio !
Nelson est ce petit diablotin orange à l'apparence tout à fait angélique qui pourrit la vie de Julie, une jeune et jolie célibataire, et de Floyd, un labrador engourdi, pour le plus grand bonheur de centaines de milliers de lecteurs.Rappelez-vous : après le vol d'un rouleau de papier-toilette au bureau, Julie se voit condamnée à accueillir, sans possibilité de retour à l'expéditeur, un petit diable relativement inoffensif... mais hyper doué pour les catastrophes quotidiennes !Créé en 2001 dans le quotidien suisse Le Matin, le petit diablotin orange de Bertschy en est vite devenu l'incontournable mascotte. À ce jour, Nelson a vécu plus de 4 000 strips. Et ça ne fait que commencer...
Nelson, c'est ce petit diablotin orange à l'apparence tout à fait angélique qui pourrit la vie de Julie, une jeune et jolie célibataire, et de Floyd, un labrador engourdi, pour le plus grand bonheur de centaines de milliers de lecteurs. Rappelez-vous : après le vol d'un rouleau de papier toilette au bureau, Julie se voit condamnée à accueillir, sans possibilité de retour à l'expéditeur, un petit diable relativement inoffensif... mais hyper doué pour les catastrophes quotidiennes !Créé en 2001 dans le quotidien suisse Le Matin, le petit diablotin orange de Bertschy en est vite devenu l'incontournable mascotte. À ce jour, Nelson a vécu plus de 4 000 strips. Et ça ne fait que commencer...
Réédition du tome 2.Six ans plus tôt : Harmony est une jeune orpheline qui, parce qu'elle présentait des symptômes de dégénérescence neuronale, a été intégrée dans le programme de recherche du docteur Torres. Aujourd'hui saine et sauve, l'incroyable talent qu'elle a développé, la télékinésie, intéresse en revanche beaucoup une société militaire privée. Cette dernière évince rapidement William Torres du programme. Son objectif est clair : monter un camp d'entraînement afin de développer, pour son propre profit, les aptitudes d'Harmony ainsi que celles d'autres enfants potentiellement concernés.Cette organisation arrivera-t-elle à faire de ces enfants des machines de guerre ? Mais surtout, William laissera-t-il Harmony courir un tel danger ?La suite de la prometteuse série de Mathieu Reynès dénoue peu à peu les mystères du premier tome. Intrigues de pouvoir, secrets d'État et aptitudes extraordinaires, le tout est servi à merveille par un dessin dynamique, moderne et d'une grande précision. Une saga addictive !
Roger, le robot intelligent, a fini par apprivoiser son loser d'humain, Hugo. Sans pour autant oublier la tendance de ce dernier à préférer la PLS à Pôle emploi et la PS4 aux soirées entre amis. Finalement largué par sa copine, Hugo n'est pas au bout de ses peines... Surtout lorsque la nouvelle invention de son père, un Roger 2.0, mais en moins bien, se transforme en arme de destruction massive entre les mains d'un terroriste corrompu.Pour Roger devenu le robot à abattre et Hugo, ce n'est que le début des ennuis. L'aventure ne se jouera finalement peut-être plus derrière un écran de console ! Cyprien, le célèbre youtubeur et phénomène web, nous offre la suite des péripéties de Roger et ses humains, où absurde, geek attitude et vannes ininterrompues forment un cocktail explosif ! Aux côtés de Paka au dessin, il continue de nous régaler avec ces strips indépendantsmâtinés de références pop culture et bourrés d'humour. C'est certain, les mésaventures de ces héros authentiques et attachants ne laisseront personne en reste !
Les dix premières évasions de Bobo sont réunies dans ce volume en noir et blanc. Créé en 1961 par Rosy et Deliège, Bobo a démarré son existence dans des mini-récits publiés à l'époque dans le Journal de Spirou. Apparu la première fois dans les pages du journal sous le titre Bobo s'évade, le taulard de la BD franco-belge n'a de cesse de s'évader du pénitencier Inzepocket. Peuplé de seconds rôles savoureux, croqué par le trait tout en rondeur de Paul Deliège, l'univers de Bobo reste bon enfant, truffé de gags et de situations cocasses. Un classique du Journal de Spirou des années 1960, créé par Maurice Rosy qui fut pendant dix-sept ans le directeur artistique du journal - il était entré chez Dupuis comme « donneur d'idées ». Scénariste pour de nombreuses séries (Spirou et Fantasio, Tif et Tondu, Attila, etc.), il fut, par la suite, graphiste publicitaire, illustrateur de jeunesse et dessinateur de presse, développant son dessin inspiré de Steinberg.
En évoquant, à travers des épisodes choisis, la fondation, le rayonnement et la décadence de l'Abbaye d'Orval, Jean-Claude Servais brosse le portrait d'un ordre religieux animé d'un idéal de pureté, rattrapé par les turpitudes de ce monde. Il nous raconte aussi l'histoire de deux hommes que tout sépare, mais dont la destinée se retrouve liée par l'Abbaye. L'un y est moine et reste dans ses parages alors même qu'elle n'existe plus, ravagée par la Révolution. L'autre en convoite la richesse, accroché à la légende selon laquelle les moines auraient dissimulé, avant leur fuite, un trésor dans ses souterrains. Le drame, noué avant même la Révolution, éclate lorsque le fils illégitime du second surgit, et essaie d'arracher au moine reclus dans la forêt le secret de ce fameux trésor. On retrouve dans ce second et dernier tome d'Orval le dessin somptueux de Jean-Claude Servais, qui fait de ce récit une fresque à la beauté saisissante.
Édition limitée avec jaquette comprenant un frontispice inédit imprimé sur papier d'art. . Il y a une quinzaine d'années, le Kosovo est devenu le théâtre d'une guerre civile, aux franges de l'Europe. Kosovar, Gani Jakupi a quitté son pays en proie au confl it. Écrivain, journaliste, jazzman, dessinateur et scénariste, il a vécu en France et en Espagne, avant de revenir au Kosovo après la fi n des combats en 1999, pour retrouver sa famille et pour témoigner. À la fois proche et lointain, ce confl it a ravivé des doutes et des blessures qu'on croyait oubliés. Comment dire l'après ? Gani Jakupi explore les douloureuses questions qui se posent quand les armes se taisent et que la vie doit reprendre ses droits.
Dans un moment de folie, un petit vaisseau spatial en mission d'exploration s'écrase sur une planète océan inconnue. Heureusement des sortes de pieuvres géantes aident les cinq rescapés à remonter à la surface et à rejoindre la seule île à l'horizon. À leur grande surprise, ils sont accueillis sur le rivage par des humains aussi primitifs que bienveillants. Si ces hommes et femmes au sourire figé se révèlent être cannibales, le plus inquiétant reste leur totale docilité. Les naufragés sont-ils condamnés eux aussi à se soumettre à la volonté du mystérieux Grand Tout ?Inhumain marque le grand retour au scénario de science-fiction de Valérie Mangin et Denis Bajram. En maître du genre, le couple explore à la fois les entrailles d'un monde mystérieux et les tréfonds de l'âme humaine. Ce récit surprenant et spectaculaire permet au dessin de Thibaud de Rochebrune de se déployer avec sensibilité et vertige. Entre récit addictif et fable philosophique, Inhumain questionne notre humanité : la souffrance est-elle forcément le prix de la liberté ?
Initialement créée par Raoul Cauvin et Louis Salvérius pour combler le vide laissé par Lucky Luke, Les Tuniques Bleues est rapidement devenue une série phare du Journal de Spirou. Les deux auteurs, après de longues années d'apprentissage au sein du bureau de dessin des éditions Dupuis, accèdent enfi n au statut d'auteur à part entière avec cette série immédiatement plébiscitée par les lecteurs.C'est ce long chemin que conte Patrick Gaumer dans un dossier très documenté et richement illustré de photos issues des archives de la famille Salvérius.Cette intégrale regroupe les premiers travaux du duo, des histoires courtes (À malin, malin et demi, La fi lle du colonel, Les Bleus se mettent au vert, Le fort encerclé, La grande patrouille, etc.) et les aventures Un charriot dans l'Ouest et Du Nord au Sud.Un savant dosage de véracité historique et d'humour, un point de vue original sur un des épisodes marquants de l'histoire américaine, des personnages hauts en couleur. Une série de légende est née.
Il y a à l'O.L. un petit robot dont la caméra permet de voir un match en tribune comme si l'on y était, qui peut se balader dans les couloirs du club jusque dans le vestiaire des joueurs et qui est piloté à distance... par un enfant malade hospitalisé. C'est OL-Bot. Il apporte de la sorte, lors de chaque match à domicile, un peu de distraction et de bonheur aux enfants hospitalisés dans les hôpitaux de Lyon.Oui mais voilà, à la mi-temps d'un match de Coupe de France, OL-Bot disparaît : il a été kidnappé !Sylvie, une journaliste parisienne peu au fait du football, mais envoyée à Lyon par son patron pour y rédiger un papier d'atmosphère, va se lancer à la recherche du petit robot, aidée par un des plus vieux supporters du club et de son fils, un jeune footballeur de l'académie lyonnaise.
Édition limitée à 777 exemplaires avec frontispice inédit, numéroté et signé, imprimé sur papier d'art.« Trop tard, les Loups attaqués, les vieux Loups fatigués de guerres, partirent au combat. Leurs Louves se réfugièrent au fond des tanières, serrant contre elles leurs Louveteaux... »Comment vit-on lorsqu'on est une femme belge sous l'occupation allemande ? C'est ce que vont apprendre Marcelle et Yvette, deux filles de La Louvière, au cours de ces longues années de guerre. Aux côtés de leurs frères et de leurs parents, elles grandiront jusqu'à devenir peu à peu des femmes soucieuses de préserver leur monde, des Louves prêtes à se battre pour vivre et à vivre pour être elles-mêmes.
Édition grand format (240x320 mm - Dos rond et finition soignée) au tirage limité à 4000 exemplaires.Le comte de Champignac a disparu ! Il a été enlevé par des agents du KGB... Des savants russes ont besoin de lui pour les aider à répandre le gène du communisme dans le monde entier.Dans le contexte de la guerre froide, Spirou et Fantasio jouent les James Bond, espions infiltrés sous la couverture d'un reportage pour Vaillant (Pif Gadget), le journal communiste de l'époque.Parviendront-ils à délivrer Champignac de l'embrigadement bolchévique et à sauver le monde de la contamination communiste ?Au dessin, Fabrice Tarrin s'inscrit pleinement dans la continuité des créateurs de la série qui ont fait de Spirou un grand héros éternel. Le scénario de Fred Neidhardt, l'un des plus fins connaisseurs de Spirou, distille avec jubilation des références à la grande époque de la BD franco-belge, dans un univers de guerre froide où plane de-ci de-là l'ombre de 007. De quoi raviver le goût pour la série Spirou et Fantasio dans ce qu'elle a de plus mythique et intemporelle !
Des cadavres de femmes décapitées sont retrouvés en plusieurs endroits de Mexico. La police, corrompue jusqu'à l'os, n'enquête pas particulièrement sur ces meurtres. D'une part parce qu'ils ressemblent beaucoup à la manière de faire des narcos, d'autre part parce que tant que personne n'y trouve d'intérêt, personne n'a de raison de bouger. Le seul à s'intéresser à l'affaire est un détective privé ; un solitaire, du nom de Tikal, à qui le mari d'une victime a demandé de retrouver le meurtrier. Il n'attend aucune aide de la police, mais c'est Interpol qui va s'intéresser à lui, en la personne de l'agent Clare Burnell, chargée de l'affaire depuis qu'on a découvert qu'une des victimes était de nationalité américaine. Démarre alors, pour le duo a priori mal assorti, une enquête violente, remplie de zones d'ombre et de faux-semblants, sur fond de terreur et de massacre orchestrés par les narcos. Sans compter que les motivations de Tikal se révèlent peu à peu bien plus complexes qu'elles n'avaient l'air de l'être... Une intrigue de polar très noire de Philippe Thirault, servie par le dessin âpre et incisif de Lionel Marty.
Jack n'est pas un petit garçon comme les autres. À l'origine, il est un « cikavac », un esprit de la forêt capable de se transformer en n'importe quel animal. Adopté par une famille d'humains, il sait qu'il va grandir et qu'il perdra peu à peu accès au merveilleux et à la nature. Ses transformations sont désormais limitées à une seule métamorphose par espèce. Mais l'heure n'est pas encore au deuil de l'enfance. Les rassemblements anormaux de singes inquiètent. En compagnie de son ami Malek et de Floche, la luciole, Jack se laisse entraîner par un tamarin en quête du dieu des singes Numan et de ses trois gardiens.Dans cette série, Kid Toussaint et Miss Prickly font rimer aventure et nature. Le tour du monde rend compte avec sensibilité et pédagogie des conséquences de la déforestation aux quatre coins de la planète : en Inde, en Indonésie, en Afrique Centrale et au Guatemala.Malgré les menaces qui pèsent sur l'avenir, la tendresse du dessin, le jeu des détails et l'optimisme des rebondissements transforment la fable écologique en fresque fantastique inspirée par les merveilles de la biodiversité. De quoi donner le goût de la nature et insuffler l'espoir aux jeunes générations !
Cruels dilemmesSuper ! De nouveaux voisins s'installent à côté de chez Jojo. Et qui dit nouveaux voisins dit nouveaux copains... ou plutôt copine. Mais ici la petite Charlotte a un gros problème : elle est incapable de se décider et finit toujours par choisir ce qui lui plaît le moins. Jojo et Gros-Louis vont avoir toutes les peines du monde à la convaincre que la vie est d'abord faite pour s'amuser...Un grand bol de fraîcheur et de gentillessePetit à petit, la bande de Jojo s'agrandit. Après Violaine et son gros nez, Sébastien et sa déveine naturelle, voici Charlotte victime de sa trop grande timidité. Autant de petits défauts qui en font de grands personnages, aussi originaux qu'attachants. Et autant d'occasion pour Geerts de broder sur un sujet qui lui est cher : l'enfance. Avec fraîcheur, pudeur et douceur, il continue sa petite chronique pleine d'humour sans jamais tomber dans la mièvrerie. Et son dessin rond et expressif, servi par les couleurs lumineuses de Francesca, rend toute la tendresse de cet univers si personnel et pourtant universel.
Une sélection des meilleurs strips de Max l'Explorateur, le personnage phare de Guy Bara.Max l'Explorateur, ce personnage de pantomime dans son costume de colon belge des années 30, est le parangon muet du dessin de presse. Créé en 1954 par Guy Bara, le cartooniste à la renommée internationale, il conquiert bientôt les magazines du monde entier grâce à son humour souvent absurde, la simplicité de son trait et sa capacité, au moyen d'un langage silencieux, à être intelligible par tous. Cette trogne sympathique, reconnaissable entre mille, voyagea dans de nombreuses revues, de Coeurs Vaillants à France-Soir, au point de se retrouver dans plus de 7 000 strips à travers la planète !Les Éditions Dupuis célèbrent aujourd'hui le reporter distrait qui amusa Le journal de Spirou entre 1964 et 1985, en publiant une sélection de ses meilleurs strips réunis selon quatre dossiers thématiques. Au fil des dessins, c'est toute une culture populaire qui se fait jour, une immersion dans l'histoire de la bande dessinée et du cartoon à l'américaine. Un indémodable dont le comique instantané et la dynamique burlesque nourrissent toujours et encore le rire !
Largo Winch est impliqué malgré lui dans une affaire de trafic d'armes et de terrorisme international. Cible d'adversaires très organisés, Largo se retrouve avec le FBI aux trousses. Pour comprendre ce qui se passe, il n'a pas le choix : direction les ports de la mer noire, où les eaux sont manifestement des plus troubles...Présente-t-on encore Largo Winch, l'aventurier milliardaire le plus populaire de la BD franco-belge ? En ce vingtième anniversaire de la création de la série plébiscitée par des millions de lecteurs, on a pu redécouvrir l'ensemble des aventures de Largo en huit diptyques collector. Ce nouvel opus de la série poursuit avec brio le récit des démêlés de Largo Winch avec les pires crapules de l'époque contemporaine. Avec le sens du récit qui le caractérise, Jean van Hamme campe la trame de cette nouvelle aventure dans les arcanes du trafic d'armes et du terrorisme international. On retrouve bien entendu les personnages récurrents de la série, apparus au fil des tomes, ainsi que l'humour et la désinvolture légendaires de ce héros des temps modernes, auquel le dessin de Philippe Francq donne intensément vie.
Les chevaux du vent, ce sont ces drapeaux de prière multicolores reliés par un même fil qui ondulent sous la brise, claquent sous la tempête, se délavent sous le soleil et la mousson, se déchirent sous la marche du temps, mais qui ne cessent d'illuminer les esprits. La vie des êtres humains n'est-elle pas à l'image de ces morceaux d'étoffe ? C'est la question que posent Lax et Fournier en conviant leurs lecteurs à rejoindre dans leur intimité une famille de la haute vallée du Gange à la fin du XIXe siècle. Deux frères amoureux de la même femme, il n'en faut pas plus pour rompre l'équilibre d'une famille, pour lancer ses protagonistes sur les routes de l'aventure. Ainsi, le père qui pour reconstruire sa famille se lance dans l'espionnage au profit des anglais. Sur fond de colonisation et de conquête victorienne,ce sont tous les mouvements de la tragédie classique qui se jouent à l'ombre des cimes enneigées de l'Himalaya.Fournier a toujours vu en la bande dessinée la synthèse de ses deux passions : le dessin et le théâtre. Avec « les chevaux du vent », c'est le toit du monde que Lax lui offre pour scène à ciel ouvert.
Édition limitée à 777 exemplaires avec jaquette, comprenant un frontispice inédit imprimé sur papier d'art, numéroté et signé par les auteurs.La conclusion des aventures de Philippe et de ses proches sous la plume sensible de Christian Durieux. Les chemins de la vie sont souvent faits de hasards, de virages, de demi-tours. Pour Philippe comme pour les autres, la route a été mouvementée. Dans ce quatrième et dernier tome des Gens honnêtes, chronique douce-amère créée par Jean-Pierre Gibrat et Christian Durieux, le chemin de Philippe et ceux de ses proches vont pourtant prendre enfin sens, dans un dénouement sensible et tendre, à l'image des précédents épisodes. Un récit touchant, drôle et toujours juste.
Dans une ruelle de Venise, un homme est poursuivi à mort par trois malfrats armés jusqu'aux dents. Tout juste a-t-il l'occasion de briser la vitrine d'une boutique, d'inscrire quelques mots sur un papier et de le faxer avant d'être rattrapé et abattu sans sommation. À l'autre bout du monde, Largo Winch découvre le message: Largo Winch, prenez garde au doge et à...Il n'en faut pas davantage pour le lancer sur la piste de ce mystérieux personnage.Aux côtés d'un majordome remarquablement efficace et d'anciennes connaissances, happé par le tourbillon de la conspiration, le milliardaire humaniste va devoir faire tomber les masques s'il veut obtenir le clap de fin.La Sérénissime se fait le théâtre de cette époustouflante aventure de Largo Winch, rééditée dans son diptyque d'origine.
Enfer familialAccompagnée de Jérôme, Babette se rend auprès de son amie Ingrid qui vient d'avoir un bébé. Avec Félix, son compagnon, et la vieille mère de celui-ci, Ingrid habite une charmante ferme, au pied des montagnes dans un paysage bucolique et enchanteur. Ce serait un véritable petit coin de paradis si la vieille femme sans sourire n'avait toujours refusé une autre présence féminine que la sienne auprès de son fils. Et quand Félix apprendra que l'enfant n'est pas le sien, le petit coin de paradis se consumera bientôt dans les feux d'un enfer familial, attisés par la haine de la vieille femme. Babette et Jérôme risquent aussi de s'y brûler...Une oeuvre attachante et singulièreTout en subtilité, comme à son habitude, Dodier plonge Jérôme, dans un drame familial âpre et violent. Fluidité de la narration, dialogues travaillés et vivants, dessin impeccable prouvent une fois encore que Dodier fait partie des grands. Il poursuit avec bonheur son oeuvre attachante et singulière.
Inaccessible popularité Être une star n'est pas donné à tout le monde. Il faut avoir LE look, LA démarche, et le petit truc en plus pour sortir de l'anonymat... Fuso, Stratobaf, Rotatine et Aspartine, les quatre Adostars, sont convaincus de leurs talents et mettront tout en oeuvre pour que la terre entière en profite. Gravir les marches du star-system et acquérir la célébrité, pour eux, il n'y a que ça de vrai. Pourtant, les seuls lauriers qu'ils arrivent à récolter sont ceux... de la nullité ! Pour notre plus grande hilarité !Depuis Andy Warhol, la célébrité fait rêver. Les strass et les paillettes, c'est joli sur papier glacé mais qu'en est-il dans la réalité ? Bercovici et Noblet ont leur petite idée et, grâce à Adostars, nous la font partager.
Il est des secrets inavouables...Des secrets honteux ou redoutables, enfouis de génération en génération au sein de chaque famille. Mais vient toujours un moment où tombent les masques et craquent les silences : personne n'est alors épargné. Tandis qu'une gangue de neige recouvre la ville, un homme essaie d'échapper à une meute de tueurs dont il ignore tout. Il s'appelle Valentin Kozlov... Ou peut-être Yakovlev. Il ne sait plus... Pourtant, quelques jours plus tôt, il n'était encore qu'un parisien sans histoire.Un simple traducteur tout juste peiné par la disparition de son père, vieillard taciturne dont il n'avait jamais été très proche. Mais voilà qu'en triant les affaires du défunt, il était tombé sur d'étranges reliques. Les vestiges d'une autre vie, inattendue, déconcertante. Une vie liée pour toujours à un événement majeur survenu au coeur de l'arctique, un jour de printemps 1948. Enfin réuni en intégrale, Le Serpent sous la Glace est un grand succès de la collection Secrets de Franck Giroud, qui a révélé la puissance du dessin réaliste de Milan Jovanovic.
Point Zéro entraîne Aleksi Stassik et ses collègues de l'armée du Velikiistok dans les plaines désertiques du Sud, très en dessous des cimes enneigéesde la Demarkacia. Le Velikiistok ne disposant pas de réserves d'énergie fossile, il se voit contraint, pour nourrir la guerre menée contre les Ieretiks, de négocier avec le prince des Territoires du Sud, Aberrahman Derleth Al-Hazin. Les accointances de ce dernier avec les Ieretiks sont connues. Le troc qu'il propose aux forces armées du Velikiistok en échange de ses barils est pour le moins singulier...Bunker, dont le tome 1 est sorti en octobre 2006, compte déjà parmi les séries phares de la collection Empreinte(s). Pour ce tome 2, Christophe Bec a choisi de remiser ses crayons et de recentrer son travail sur l'écriture, en collaboration avec son ami Stéphane Betbeder. Mais que les lecteurs de la première heure se rassurent, Bunker a trouvé en Nicola Genzianella un repreneur au dessin au moins aussi talentueux que son créateur, permettant à la série de garder très haut perchée la barre de son exigence graphique. Du côté du récit, toujours à quatre mains, les scénaristes font monter la tension d'un cran
Née à l'horizon des hauts-fourneaux de Charleroi, la ville natale du dessinateur Grenson, Julie est une héroïne écorchée par la vie, accidentée par une famille négligente et une place difficile à trouver dans un monde qui ne lui accorde pas davantage d'attention. Avide du regard des autres, de leur désir, de leur reconnaissance, cette adolescente victime de l'autorité des adultes grandira vite, trop vite peut-être, avec pour uniques guides la maladresse de la jeunesse et sa force de caractère. Jusqu'à se retrouver sur le banc des accusés pour défendre sa liberté.C'est avec beaucoup de sensibilité et un dessin raffiné, en couleurs directes, que Denis Lapière et Olivier Grenson donnent corps et âme à ce récit de vie bouleversant. La quête de l'amour vrai, l'émancipation féminine, la justesse et la justice sont autant de thèmes qui parcourent cette histoire, ici éditée dans sa première intégrale chez Aire Libre. On ressortira de cette lecture les larmes prêtes à sourdre, le coeur serré et compatissant, peut-être un peu malmenécomme le fut Julie, mais sans nul doute sincèrement touché par son combat admirable. D'une réelle beauté.
La genèse d'un personnage mythique de la BD franco-belge. 1938 : Naissance du personnage de Spirou et du Journal de Spirou au sein des Éditions Jean Dupuis, une entreprise familiale de la région de Charleroi. Qui furent les parents attentionnés qui ont porté ce petit groom espiègle et au grand coeur sur les fonds baptismaux ? Et comment ce Poulbot de Charleroi est-il devenu un personnage mythique de la bande dessinée franco-belge ? À l'occasion des 75 ans de Spirou, Christelle et Bertrand Pissavy-Yvernault ont mené une véritable enquête. Recueillant les témoignages de la famille Dupuis, de leurs collaborateurs, fouillant les cartons à dessin oubliés et les agendas remisés au grenier, ils ont patiemment reconstitué cette histoire, rétablissant parfois des vérités effacées par le temps. Sous la forme de témoignages croisés, illustrés d'images inédites, ils nous révèlent une véritable aventure, celle des pionniers de la bande dessinée. Ce premier tome débute avec la création des Imprimeries Dupuis au début du XXe siècle et s'étend jusqu'à la fin de la Deuxième Guerre mondiale, une période riche et mouvementée qui verra le jeune Franquin réinterpréter une nouvelle fois, et pour longtemps, les aventures de Spirou.
Mikael Blomkvist, journaliste pour le magazine pamphlétaire Millénium, a brièvement croisé la route de Lisbeth Salander, hackeuse de génie au passé noir d'encre. Lorsque celle-ci retrouve la trace de son père, un chef de gang à la tête d'un trafic d'êtres humains, et tombe à nouveau dans les abysses de son enfance, Blomkvist ne peut rester les bras croisés. Mais en apportant son aide à la jeune femme, il ne se doute pas des liens invisibles qui les relient tous deux à des secrets plus sombres encore...Pour l'adaptation en bande dessinée de La fille qui rêvait d'un bidon d'essence et d'une allumette, le deuxième roman de la trilogie culte Millénium, Sylvain Runberg fit équipe avec Manolo Carot. Sous la supervision de Homs, le dessin de Man offrit à son tour toute l'intensité et la profondeur nécessaires pour façonner un thriller imparable. Les ayants droit de Stieg Larsson ne s'y sont d'ailleurs pas trompés en confiant l'exclusivité d'une suite, Millénium Saga, au scénariste. Cet album nous rappelle toute la maestria avec laquelle le duo s'est emparé de l'oeuvre. Une occasion à ne pas manquer de découvrir ou de redécouvrir Millénium comme vous ne l'avez jamais lu.
Jeune fille discrète, Rose a un secret : elle a le pouvoir de se dédoubler ! Son esprit peut quitter son corps et pénétrer dans les appartements pour regarder vivre les gens. Ce don, elle ne le comprend pas. Elle l'appelle sa maladie. Elle n'a jamais réussi à en parler : ni à sa mère, morte après sa naissance, ni à son père, devenu détective privé à la mort de sa femme.Un jour, tout bascule : son père est abattu d'une balle dans la tête ! Rose décide alors de reprendre l'affaire de son père pour découvrir son assassin. Enfin, son pouvoir va lui être utile ! Mais son double va faire une rencontre étonnante : celle de 3 fantômes qui vivent, coincés par un envoûtement, dans l'immeuble paternel. Et ils en savent long sur l'histoire familiale.Détective malgré elle, Rose va devoir enquêter sur des morts suspectes liées à un tableau célèbre mais aussi sur une malédiction vieille de 500 ans. Et si la clé de ces énigmes se trouvait dans le secret de sa naissance ?Découvrez cette série de Denis Lapière et Émilie Alibert, directrice d'écriture de Plus belle la vie, sublimée par l'élégant dessin de Valérie Vernay. Une aventure mystique qui ravira ceux qui croient bien plus que ce que l'on voit.
Édition limitée à 777 exemplaires avec frontispice inédit, numéroté et signé, imprimé sur papier d'art.En panne d'inspiration, un jeune auteur de BD décide de raconter le service militaire de son père dans le Sahara espagnol, à l'époque de la guerre d'Ifni qui opposa l'Espagne et le Maroc. Mais raconter cette histoire, c'est aussi raconter celle de la jeunesse de ses parents sous le franquisme, dans un monde régi par un ordre social entièrement soumis à la pression religieuse et militaire d'un État totalitaire. Une société à des années-lumière de l'Espagne d'aujourd'hui, que Jaime Martin ausculte à travers la mémoire intime de ses parents.Entre récit historique et chronique familiale, cet ouvrage de l'auteur de Toute la poussière du chemin et de Ce que le vent apporte nous plonge au coeur des relations entre générations dans l'Espagne contemporaine.
Élève 24 heures sur 24 !Pauvre Mamy ! Obligée de se faire opérer de la hanche, elle doit rester quatre semaines en convalescence loin de sa maison et de son petit Jojo.Pauvre Jojo ! Afin de ne pas manquer l'école, il est obligé, pendant un mois, d'aller vivre dans un pensionnat à la grande ville. Mais lorsque l'on découvre que son école peut toujours faire office d'internat, tout change : le petit bonhomme va résider au-dessus de l'école n° 5 et cohabiter avec Monsieur le Directeur.Pauvre directeur ! Quatre semaines avec un tel pensionnaire, il peut dire adieu à sa tranquillité. Et quand toute la classe, jalouse de ce statut particulier, commence à s'inviter, les ennuis ne font que commencer !Un album chaleureux et attachant, comme son héros Avec cette douzième aventure, André Geerts nous offre un album épatant, plein de petits moments d'émotions fragiles et de grands éclats de rire. Parson dessin toujours plus rond et dynamique, cet auteur complet nous entraîne dans une enfance idéalisée. Ce qui lui permet de mieux aborder les problèmes du quotidien avec franchise, humanisme et lucidité.
Élève 24 heures sur 24 !Pauvre Mamy ! Obligée de se faire opérer de la hanche, elle doit rester quatre semaines en convalescence loin de sa maison et de son petit Jojo.Pauvre Jojo ! Afin de ne pas manquer l'école, il est obligé, pendant un mois, d'aller vivre dans un pensionnat à la grande ville. Mais lorsque l'on découvre que son école peut toujours faire office d'internat, tout change : le petit bonhomme va résider au-dessus de l'école n° 5 et cohabiter avec Monsieur le Directeur.Pauvre directeur ! Quatre semaines avec un tel pensionnaire, il peut dire adieu à sa tranquillité. Et quand toute la classe, jalouse de ce statut particulier, commence à s'inviter, les ennuis ne font que commencer !Un album chaleureux et attachant, comme son hérosAvec cette douzième aventure, André Geerts nous offre un album épatant, plein de petits momentsd'émotions fragiles et de grands éclats de rire. Par son dessin toujours plus rond et dynamique, cet auteur complet nous entraîne dans une enfance idéalisée. Ce qui lui permet de mieux aborder les problèmes du quotidien avec franchise, humanisme et lucidité.
Le biopic dessiné d'un artiste bouillonnant, dépeint avec une vitalité incroyable, pour commémorer les 40 ans de sa disparition.Le quartier de Montparnasse au coeur des années 1920 : ses fêtes enivrantes, ses débats littéraires, ses artistes de mille et un univers.De retour de son service militaire en Turquie, Jacques Prévert y fréquente l'avant-garde de cette époque, entre Louis Aragon, Robert Desnos ou André Breton avec lesquels il écrit quelques-unes des plus belles pages du surréalisme. Ce mouvement, beau comme la rencontre fortuite sur une table de dissection d'une machine à écrire et d'un parapluie, éclatera finalement tandis que Prévert se met à côtoyer Giacometti, Carné ou Pierre Batcheff, qui l'entraîneront vers une carrière de scénariste et la création de la troupe Octobre.Après leur évocation des années Boris Vian dans Piscine Molitor, Hervé Bourhis et Christian Cailleaux s'emparent aujourd'hui de la vie de Jacquot dans cette intégrale richement documentée, où nous est contée une tranche de l'histoire politique et artistique de ce siècle moderne. Des rivages méditerranéens aux théâtres moscovites, entre écriture foisonnante et dessin allègre, il aurait été dommage que Jacques Prévert ne fût qu'un poète !
L'année 2018 fête les 80 ans du Journal de Spirou, paru pour la première fois le 21 avril 1938. Sur l'initiative de Charles Dupuis, fils du fondateur des célèbres éditions, les plus grands noms de la BD franco-belge se sont rassemblés et succédé au cours de ces80 années d'humour et de dessin : Jijé, Franquin, Will, Morris, mais aussi Peyo, Tillieux, Roba ou encore Lambil et Cauvin.François Ayroles, après avoir décrypté Les moments clés de L'Association et ceux de l'histoire de la bande dessinée, s'est attaqué cette fois-ci à un sujet en or : l'histoire du Journal de Spirou et de la maison Dupuis.En 180 dessins humoristiques commentés, avec la précision et la verve qui font sa patte, il revient sur les 50 premières années de ce qui fut désigné a posteriori comme « l'école de Marcinelle » : les rivalités avec l'hebdomadaire Tintin, les décisions éditoriales d'Yvan Delporte, l'âge d'or franco-belge au milieu du XXe siècle et l'irrésistible penchant vers la modernité. Autant d'instantanés retraçant les grands moments d'une époque fédératrice, essentielle, dont le patrimoine est devenu international.180 illustrations, c'est autant de souvenirs et de sourires en hommage à ces incontournables acteurs du neuvième art.
Entre les montagnes, dans une vallée perdue que la civilisation n'a pas encore pu trop atteindre, tous les quinze ans, une grande migration d'oiseaux gigantesques ravage tout sur son passage, et surtout le petit village en bordure de la vallée. C'est dans ce village qu'Aubépine se voit contrainte de suivre ses parents, afin que sa mère, une éminente scientifique, puisse endiguer la nouvelle migration.Seulement voilà, Aubépine est une citadine, et le changement brutal d'environnement ne lui plaît guère. Elle se retrouve malgré elle à vagabonder dans la montagne, où elle fera notamment la rencontre d'une mystérieuse bergère, d'un petit chiot qui devra lui servir de compagnon autant que de gardien, et surtout d'un génie ancestral perdu au fond de la forêt: le Génie Saligaud.Aubépine est maligne, mais manque de sagesse, et sa solitude exacerbée par les bouleversements de son quotidien lui fait faire les mauvais choix qui mettront son existence ainsi que celle de toute la montagne en danger.Une bataille se profile, de nombreuses vies sont en péril, et c'est par son intelligence qu'Aubépine devra résoudre cet épineux problème.Réalisée par Mlle Karensac au dessin et Thom Pico au scénario, Aubépine, entre humour pop et avalanche de péripéties, bouscule la BD jeunesse !
Le biopic dessiné d'un artiste bouillonnant, dépeint avec une vitalité incroyable, pour commémorer les 40 ans de sa disparition.Le quartier de Montparnasse au coeur des années 1920 : ses fêtes enivrantes, ses débats littéraires, ses artistes de mille et un univers.De retour de son service militaire en Turquie, Jacques Prévert yfréquente l'avant-garde de cette époque, entre Louis Aragon, Robert Desnos ou André Breton avec lesquels il écrit quelques-unes des plus belles pages du surréalisme. Ce mouvement, beau comme la rencontre fortuite sur une table de dissection d'une machine à écrire et d'un parapluie, éclatera finalement tandis que Prévert se met à côtoyer Giacometti, Carné ou Pierre Batcheff, qui l'entraîneront vers une carrière de scénariste et la création de la troupe Octobre.Après leur évocation des années Boris Vian dans Piscine Molitor, Hervé Bourhis et Christian Cailleaux s'emparent aujourd'hui de la vie de Jacquot dans cette intégrale richement documentée, où nous est contée une tranche de l'histoire politique et artistique de ce siècle moderne. Des rivages méditerranéens aux théâtres moscovites, entre écriture foisonnante et dessin allègre, il aurait été dommage que Jacques Prévert ne fût qu'un poète !
Numéroté et signé par YoannImpression sur papier Münken, finition dos toilé et vernis mat.Couverture et 4e de couverture inédites à l'aquarelle.Planches crayonnées et encrées en vis-à-vis. Recherches et croquis divers.Catastrophe : Le journal de Spirou est menacé de faillite suite à un procès retentissant ! Le rédacteur en chef, Fantasio, ne veut pas laisser mourir son magazine. Mais il n'est pas le seul : Gil Coeur-Vaillant, le célèbre détective-explorateur et admirateur des exploits de Spirou, va venir à sa rescousse. Il va trouver un fonds d'investissement, la VIPER, qui va renflouer le journal. Ouf ! Le célèbre hebdomadaire est sauvé ! Pas tout à fait, car Spirou est en fait tombé dans les griffes d'un milliardaire sans scrupules. Prisonnier dans une villa de rêve sur une île paradisiaque, notre héros ne va pas supporter longtemps cette vie oisive. Il va se rebeller, ignorant qu'il va ainsi précipiter ses amis dans de terribles ennuis...