La révélation jazz de l’année, découverte sur YouTube grâce aux centaines de milliers de vues de son interprétation à la voix et note par note du jeu de saxophone du «Giant Steps» de Coltrane, transforme cet exercice virtuose en prodigieux manifeste de chanteuse libre sur son album «Pas de géant». Mêlant reprises détonantes de standards de la chanson française («Comment te dire adieu» de Gainsbourg, «Je me suis fait tout petit» de Georges Brassens, «Conne» de Brigitte Fontaine) et des réinterprétations de classiques comme son aria à tombeau ouvert des «Variations Goldberg» de Bach, ou son doux «House of Jade» chanté en portugais, Camille Bertault offre un bijou à son image : audacieux, passionné, libre, sensible, drôle et touchant à la fois. Elle est accompagnée sur le disque par Michael Leonhart (trompette, bugle, arrangements et production), Stéphane Guillaume (saxophone), Dan Tepfer (piano), Daniel Mille (accordéon), Matthias Malher (trombone), Christophe Minck et Joe Sanders (basse) et Jeff Ballard (batterie).
Dans cet album, plus électronique que les précédents, porté par des claviers analogiques, une basse électrique et des percussions africaines, Nergaard dépeint le pouvoir magique des souvenirs dans des chansons qui font voyager l’auditeur à travers des paysages tropicaux et nuits d’hiver norvégiennes. Sur l’album, elle est accompagnée d’Andreas Ulvo (claviers), Audun Erlien (basse), Sidiki Camara (percussions), Wetle Holte (batterie et percussions), Mathias Eick (trompette), Håkon Aase (violon) et Håkon Kornstad (saxophone).
Igorrr, alias Gautier Serre, musicien et compositeur français, est de retour avec un nouvel album Savage Sinusoid. Igorrr nous propose de nouveau un mélange de genres original mêlant notamment électronique et accordéon, saxophone et riffs lourds ou encore mandoline et voix lyriques. Pour réaliser Savage Sinusoid, Serre a réuni une équipe de musiciens - Laurent Lunoir et Laure Le Prunenec au chant, Sylvain Bouvier à la batterie - et a collaboré avec plus de d'artistes que sur ses albums précédents. On retrouvera notamment Travis Ryan (Cattle Decapitation) sur Cheval, Apopathodiaphulatophobie ou encore Robert.
Igorrr, alias Gautier Serre, musicien et compositeur français, est de retour avec un nouvel album «Savage Sinusoid». Igorrr nous propose de nouveau un mélange de genres original mêlant notamment électronique et accordéon, saxophone et riffs lourds ou encore mandoline et voix lyriques. Pour réaliser «Savage Sinusoid», Serre a réuni une équipe de musiciens - Laurent Lunoir et Laure Le Prunenec au chant, Sylvain Bouvier à la batterie - et a collaboré avec plus de d’artistes que sur ses albums précédents. On retrouvera notamment Travis Ryan (Cattle Decapitation) sur «Cheval», «Apopathodiaphulatophobie» ou encore «Robert».
A l’occasion du 50ème anniversaire de « Miles Smiles », un des albums phares du trompettiste de légende, découvrez l’intégralité des bandes telles qu’elles furent enregistrées pour chaque titre de l’album : inclus répétitions, conversations de studio et prises alternatives partielles ou complètes dans un superbe coffret Triple Vinyle. Ce coffret illustre l’évolution musicale de Miles Davis au sein de son « second grand quintet » : Miles Davis (trompette), Wayne Shorter (saxophone), Herbie Hancock (piano), Ron Carter (basse) et Tony Williams (batterie) Cette édition « définitive » comprend aussi des prises masters figurant sur les albums « Nefertiti » (1968) et « Water Babies » (enregistré en 1967 mais sorti en 1976). On y découvre aussi une prise inédite de Masqualero ainsi qu’une version inédite de Country Son, et, cerise sur le gâteau, un enregistrement rare et unique de Miles Davis au piano, où il montre à Wayne Shorter, Blues in F (My Dying), un nouveau titre sur lequel il est en train de travailler. Ce coffret révèle la profondeur du processus d’enregistrement de l’un des plus grands musiciens de jazz au sein d’une de ses plus belles formations.
Collectif de musiciens réunis depuis 15 ans, le groupe THE VOLUNTEREED SLAVES poursuit aujourd’hui son entreprise de décloisonnement, entre jazz, funk, pop, disco et racines Afro ! « RIPCORD » Ce collectif de musiciens, mené par Olivier Temime (saxophone), venus d’ici et surtout d’ailleurs, cherche une musique qui nous mélange et mélange les styles, les cultures, les générations, les genres... Pour ce nouvel opus, le groupe poursuit son entreprise de décloisonnement, au gré de ses rencontres. N'hésitant pas à colorer hier son jazz de funk et de disco, il cultive aujourd'hui ses racines Afro avec quatre jeunes chanteuses Hip-Hop (Indy, Mafé, Kiala Ogawa, Raphaela Cupidin) et le slameur Allonymous. L'électro n'est pas loin avec les ondes analogiques du moog d’Emmanuel Duprey ou du vocoder de l'organiste/ chanteur Emmanuel Bex, invité de l’album. D’un titre à l’autre, on suit les pérégrinations d’une troupe nomade. ‘’Kahina’’ nous embarque aux côtés de la première guerrière berbère et féministe, ‘’Watersplash’’ dans l’écume d’un couple en déroute, ‘’The Gambler’’ dans les vapeurs d’un joueur illuminé et ‘’Osun’’ dans les incantations d’un prêche créole. Pérégrination toujours, le groupe revisite les titres mythiques de sa culture pop avec ’’Us and them’’ des Pink Floyd, ‘’God only knows’’ des Beach Boys ou encore ‘’Video Killed the radio star’’ des Buggles. Pour ce nouvel album, le groupe The Volunteered Slaves entend des voix et nous invite à planer à bonne distance du sol; d'où son titre Ripcord.
Fondamenta a réuni des musiciens et des chercheurs à travers le monde. Ces archéologues du son partagent tous cette capacité à traquer et reconnaître des enregistrements réellement exceptionnels. Après des mois de recherches, la collection Lost Recordings est née. La remastérisation de ces pépites est confiée au procédé Phoenix Mastering TM, mis au point pendant plusieurs années par les ingénieurs de Fondamenta et au cœur duquel se trouvent des technologies Devialet. Ce savoir-faire permet de révéler des enregistrements perdus, comme s’ils venaient d’être enregistrés. Le concert de Dave Brubeck «Live at the Kurhaus 1967» est un enregistrement totalement inédit ! 1967 : En cette dernière année de la formation légendaire du Quartet de Dave Brubeck, avec Paul Desmond, Eugene Wright et Joe Morello, les quatre musiciens se produisent dans la prestigieuse salle de l’hôtel Kurhaus, à Scheveningen aux Pays-Bas. Enregistré quelques semaines avant «The Last Time We Saw Paris», ce live, d’une remarquable qualité sonore, prête à réentendre leurs succès incontournables («Take Five», «Three To Get Ready», «Forty Days»,...) ainsi que des standards intemporels («Someday My Prince Will Come», «Swanee River», «La Paloma Azul»,...). Ce soir-là, le Quartet de Dave Brubeck aura offert une performance pleine de sève et d’engagement, un condensé de dix ans de carrière. Entre l’interaction entre les musiciens, les envolées du saxophone alto de Paul Desmond éthéré et sensualiste comme jamais, répondant au piano abrupt et sentimentaliste de Dave Brubeck, et la souplesse et la puissance de la section rythmique, ce «Live at the Kurhaus 1967» peut être considéré comme la quintessence, l’ultime témoignage de ce quartet d’exception qui aura traversé les années 60 comme une belle comète. Dave Brubeck, ce ne sont pas moins de 330 000 followers sur Facebook !