Au lieu de monter dans le bus 66 qui devait l'amener au collège, Chloé a pris place à bord du bus 666. Une étourderie qui la conduit dans un monde fantastique peuplé de squelettes, zombies, sorcières et vampires... Mais comment diable revenir dans le monde normal ? Une adaptation en bande dessinée du roman éponyme.
Grâce au nectar d'une plante étrange et fascinante, Kim, Bella et Momo, trois amies, se glissent dans la peau de trois garçons et s'y sentent plus libres et plus vivantes que jamais. Fille ? Garçon ? Qu'est-ce que ça change vraiment, au plus profond de nous ? Jessica Schiefauer signe un roman brillant et puissant, qui ne ressemble à aucun autre. Une exploration totale, un jeu dangereux, dont personne ne sortira indemne.
Une usine qui ferme, une grève qui éclate, une ville qui s'embrase, et deux adolescents qui s'aiment d'autant plus passionnément que tout et tous semblent vouloir les séparer. Ce n'est pas pour rien que le titre de ce roman est emprunté au Roméo et Juliette de Shakespeare. Car Guillaume, le fils du patron de l'usine, et Clara, la fille de son délégué syndical, sont aussi, à leur manière, des star-crossed lovers, des amants maudits par les étoiles.
Dernier jour avant les vacances d'hiver. La soirée à laquelle Bergljot rêve de se rendre depuis des semaines approche. Bragi, son frère, se prépare à passer la fin de semaine chez son meilleur ami, pendant que leurs parents ont prévu un week-end en amoureux dans leur chalet, à la campagne. Mais l'impensable se produit, et le pays entier est frappé par un mal foudroyant, alors que des monstres sanguinaires hantent les rues. Quand tout bascule, il n'y a plus qu'un mot d'ordre : survivre. Une fuite haletante à travers l'Islande pour le premier tome d'un roman d'horreur passionnant.
Jonas vient d'avoir 16 ans, ce qui signifie qu'il n'a plus que deux mois à tenir avant de retrouver sa liberté. Deux mois, soixante jours, mille quatre cent quarante heures. D'ici là, surtout, ne pas craquer. Continuer à être exactement ce qu'ils lui demandent d'être. Un simple numéro, obéissant, productif et discipliné. En un mot, leur faire croire qu'ils sont parvenus à accomplir leur mission : tuer l'Indien dans l'enfant qu'il était en arrivant dans ce lieu de malheur, six années plus tôt. A travers ce destin, Nathalie Bernard nous parle de ces pensionnats autochtones qui ont existé au Québec jusque dans les années 1990 et qui ont accueilli des milliers d'enfants brutalement arrachés à leur culture indienne. Entre roman historique et thriller, l'auteur nous entraîne dans une course effrénée au coeur des immenses forêts québécoises. Une chasse à l'homme qui ne possède que deux issues : la liberté ou la mort.
Au départ, Sölvi a cru à une plaisanterie, à un scénario de mauvais film. Mais non. Cette fois, ses parents ne changeront pas d'avis : ils renvoient passer l'été loin de la ville, chez sa grand-mère qu'il connaît à peine et qui vit dans une ferme perdue dans test de l'Islande. Il bouillonne de rage : ces idiots croient-ils vraiment qu'il supportera de passer trois mois avec cette vieille folle, privé de connexion, de portable et d'ordinateur ? Une petite mort pour Sölvi qui, à peine arrivé, s'enferme dans l'ancienne chambre de son père, figée dans les années 80. Des vinyles, des BO, de vieilles sagas islandaises qui sentent le renfermé. Et ce n'est pas griffonner deux trois textes de rap de plus dans son carnet qui occupera ces journées interminables. Comment survivre à cette virée au vert forcée quand la seule idée qui vous obsède est de tout détruire autour de vous ? Un premier roman âpre et rythmé qui nous entraîne à la suite de Sölvi dans la découverte d'un quotidien islandais sauvage et authentique.