De l'avènement du shoegaze à l'ère post-Thatcher, The Pale Saints renouvellent la scène indé britannique aux côtés de Lush, Ride et Slowdive en mêlant noise et dream-pop. Déjà 30 ans nous séparent de la sortie de 'The Comforts Of Madness' tout premier album des Pale Saints. Pour célébrer cela dignement, 4AD réédite ce disque culte, dans une version remasterisée et accompagnée de bonus inédits (démos jamais parues, Peel session unique en 1989). Pour le 30ème anniversaire de la sortie du classique 'The Comforts of Madness' du groupe originaire de Leeds Pale Saints, Ian Masters a fouillé dans les différentes sessions d'enregistrement de cet album au Woodhouse Studio. Outre la version remasterisée de l'album, on retrouve des démos inédites ainsi que unique John Peel Session enregistrée aux prestigieux studios de Maida Vale, le 23 juillet 1989.
De l'avènement du shoegaze à l'ère post-Thatcher, The Pale Saints renouvellent la scène indé britannique aux côtés de Lush, Ride et Slowdive en mêlant noise et dream-pop. Déjà 30 ans nous séparent de la sortie de 'The Comforts Of Madness' tout premier album des Pale Saints. Pour célébrer cela dignement, 4AD réédite ce disque culte, dans une version remasterisée et accompagnée de bonus inédits (démos jamais parues, Peel session unique en 1989). Pour le 30ème anniversaire de la sortie du classique 'The Comforts of Madness' du groupe originaire de Leeds Pale Saints, Ian Masters a fouillé dans les différentes sessions d'enregistrement de cet album au Woodhouse Studio. Outre la version remasterisée de l'album, on retrouve des démos inédites ainsi que unique John Peel Session enregistrée aux prestigieux studios de Maida Vale, le 23 juillet 1989.
DECOUVREZ TOUTES LES FACETTES D’UN GUITARISTE GENIAL ET INIMTABLE ! Natif du Mississippi, Sonny a grandi à Lafayette en Louisiane, et bâti une magnifique carrière depuis son 1er album « Blues Attack » paru en 1981. Il a aussi, en parallèle, développé une riche trajectoire en tant que musicien de studio ou de tournée. Au cours des années, il a ainsi joué et enregistré avec des artistes de la trempe de John Hiatt, John Mayal ou encore été membre du Jimmy Buffett's Coral Reefer Band. Il a aussi collaboré avec Eric Clapton et a participé à chacune des éditions de son prestigieux Crossroads Guitar Festival depuis 2004. Son jeu de guitare unique l’a rendu célèbre, une combinaison particulière ente slide et notes pincées qui lui permet de créer un son composé de couches complexes. Cet album live illustre à merveille tous les talents de Sonny à travers d’abord, un set entièrement acoustique sur le premier disque, puis un set totalement électrique sur le second.
Le nouvel album blues, gorgé de soul, du super champion incontesté des poids lourd du rock : Popa Chubby. Universal Breakdown Blues est une offrande moderne au blues urbain, véritable reflet de l'âme du monde dans lequel évolue Popa Chubby. 12 nouveaux titres explosifs qui capturent le feu et l'énergie de ses concerts incendiaires. On atteint ici de nouveaux sommets dans son art de manier la guitare de façon rageuse tout en gardant un côté roots et soul dont lui seul a le secret. Popa a réussi à mettre toute sa fougue habituelle dans le langage simple et universel de la musique et nous invite à le rejoindre dans cette grande fête du blues. Une super production qui constitue un véritable retour aux sources pour cette légende urbaine du blues ! En effet, voici enfin le disque que l'on était en droit d'attendre de la part de l'un des acteurs majeurs de la nouvelle scène blues, des sonorités modernes dans le plus pur esprit old school !!!
Yesun est le disque que j'ai toujours voulu réaliser, confie Roberto Fonseca à propos de cet album, où se rencontre une foule de styles, du jazz à la musique classique en passant par le rap, le funk, le reggaeton et l'électro, traçant ainsi un chemin singulier, improvisé, affranchit des règles. Toutes mes influences sont rassemblées ici. Tous les sons, les ambiances qui font ce que je suis aujourd'hui. C'est un album de 13 titres originaux en trio, sur lequel Roberto est épaulé par ses amis musiciens, le batteur Raul Herrera et son contrebassiste de toujours Yandy Martanez Rodriguez. On y retrouve également le saxophoniste Joe Lovano, le célèbre trompettiste franco-libanais Ibrahim Maalouf, la chanteuse/rappeuse cubaine Danay Suarez et l'illustre diva bolero cubaine Mercedes Cortés. YESUN porte à merveille la signature Fonseca. Cette précision dans la forme, dans la rythmique et les mélodies. Cette richesse dans les idées. Un album réalisé par un virtuose cubain, déterminé par l'idée de faire de la musique à sa façon et de moderniser la musique cubaine au passage.
Yesun est le disque que j'ai toujours voulu réaliser, confie Roberto Fonseca à propos de cet album, où se rencontre une foule de styles, du jazz à la musique classique en passant par le rap, le funk, le reggaeton et l'électro, traçant ainsi un chemin singulier, improvisé, affranchit des règles. Toutes mes influences sont rassemblées ici. Tous les sons, les ambiances qui font ce que je suis aujourd'hui. C'est un album de 13 titres originaux en trio, sur lequel Roberto est épaulé par ses amis musiciens, le batteur Raul Herrera et son contrebassiste de toujours Yandy Martanez Rodriguez. On y retrouve également le saxophoniste Joe Lovano, le célèbre trompettiste franco-libanais Ibrahim Maalouf, la chanteuse/rappeuse cubaine Danay Suarez et l'illustre diva bolero cubaine Mercedes Cortés. YESUN porte à merveille la signature Fonseca. Cette précision dans la forme, dans la rythmique et les mélodies. Cette richesse dans les idées. Un album réalisé par un virtuose cubain, déterminé par l'idée de faire de la musique à sa façon et de moderniser la musique cubaine au passage.
Le retour du vétéran de Woodstock! Toujours au sommet de son art, Leslie West revient avec un nouvel album coproduit à nouveau par le danois Mike « Metal » Goldberg. C'est un véritable témoignage de sa longévité artistique hors norme. Et rien d'étonnant à ce que le thème principal de cette nouvelle galette soit la survie et le triomphe, quand on sait que le Monsieur a réussi à vaincre un cancer. Célèbre pour son power trio Mountain mais aussi pour une carrière de musicien prolifique (en studio avec les Who sur « Who's Next »..), West n'a pas eu de mal à réunir autour de lui, pour cette galette, des pointures de la trempe de Johnny Winter, Dee Snider (chanteur de Twisted Sisters) ou encore Johnny Lang. Des musiciens hors normes que vous ne verrez pas venir jouer sur le disque de n'importe quel autre artiste !!! Le résultat est un furieux mélange de blues et de rock, le tout un peu plus heavy que sur son album précédant. A noter le grand moment d'anthologie sur «Busted, Disgusted or Dead», où West et Winter se livrent un véritable duel de guitares slide!
Le retour du vétéran de Woodstock! Toujours au sommet de son art, Leslie West revient avec un nouvel album coproduit à nouveau par le danois Mike « Metal » Goldberg. C'est un véritable témoignage de sa longévité artistique hors norme. Et rien d'étonnant à ce que le thème principal de cette nouvelle galette soit la survie et le triomphe, quand on sait que le Monsieur a réussi à vaincre un cancer. Célèbre pour son power trio Mountain mais aussi pour une carrière de musicien prolifique (en studio avec les Who sur « Who's Next »..), West n'a pas eu de mal à réunir autour de lui, pour cette galette, des pointures de la trempe de Johnny Winter, Dee Snider (chanteur de Twisted Sisters) ou encore Johnny Lang. Des musiciens hors normes que vous ne verrez pas venir jouer sur le disque de n'importe quel autre artiste !!! Le résultat est un furieux mélange de blues et de rock, le tout un peu plus heavy que sur son album précédant. A noter le grand moment d'anthologie sur «Busted, Disgusted or Dead», où West et Winter se livrent un véritable duel de guitares slide!
LE NOUVEL ALBUM STUDIO DE L'UNE DES PLUS FINES GACHETTES DU BLUES MODERNE Nous sommes tous des voyageurs. Et au cours du dernier quart de siècle, chevaucher aux côtés de la guitare de Kenny Wayne Shepherd, a été l'un des plus fabuleux road-trip du rock n'roll. Un jeu de top niveau Mondial a toujours été la marque de fabrique de KWS, mais dorénavant quarantenaire, Shepherd sait quand il faut forcer et quand il faut laisser respirer sa musique. On observe ainsi une certaine retenue sur the Traveler car selon le célèbre adage qui peut le plus, peu le moins ! Il y a toujours de fabuleux moments sur ce disque, comme le solo sur I Want You. Turn To Stone est également un hymne à la guitare, avec une construction qui amène le solo à vraiment briller. Pour ce qui est du côté guitare plus rythmique, l'un des plus morceaux les plus cools est Woman Like You avec le son inimitable de la Les Paul. Kenny est même devenu plus magnétique en un sens, continuant à pousser sa Fender Strat là où les autres ont peur de mettre les pieds. Alors soyez prêts à repartir sur la route avec Kenny car vous ne serez pas déçus du voyage !
LE NOUVEL ALBUM STUDIO DE L'UNE DES PLUS FINES GACHETTES DU BLUES MODERNE Nous sommes tous des voyageurs. Et au cours du dernier quart de siècle, chevaucher aux côtés de la guitare de Kenny Wayne Shepherd, a été l'un des plus fabuleux road-trip du rock n'roll. Un jeu de top niveau Mondial a toujours été la marque de fabrique de KWS, mais dorénavant quarantenaire, Shepherd sait quand il faut forcer et quand il faut laisser respirer sa musique. On observe ainsi une certaine retenue sur the Traveler car selon le célèbre adage qui peut le plus, peu le moins ! Il y a toujours de fabuleux moments sur ce disque, comme le solo sur I Want You. Turn To Stone est également un hymne à la guitare, avec une construction qui amène le solo à vraiment briller. Pour ce qui est du côté guitare plus rythmique, l'un des plus morceaux les plus cools est Woman Like You avec le son inimitable de la Les Paul. Kenny est même devenu plus magnétique en un sens, continuant à pousser sa Fender Strat là où les autres ont peur de mettre les pieds. Alors soyez prêts à repartir sur la route avec Kenny car vous ne serez pas déçus du voyage !
Disque immense, What Would The Community Think révèle Cat Power : une sauvageonne de 24 ans, à l’écriture grave et belle à pleurer. Chez Cat Power, pas de hiatus ironique entre le fond, calciné, et la forme, brûlante. Rescapée de quelque épouvantable naufrage métaphysique, une fille seule, avec sa guitare et sa guigne, chante un blues terrible (They tell me) interdit aux divas manucurées (Cassandra Wilson) comme aux ribaudes émules de Janis Joplin (Joan Osborne). Un blues immaculé qui ferait presque passer la PJ Harvey de To bring you my love pour une Sarah Bernhardt égarée sur les berges du Mississippi (ou un Jim Morrison féminin). Un blues inouï, teinté de gospel blafard, plainte orpheline (God don’t give a shit about me) pleurée en écho au There is no one what will take care of you de Palace. De la country aussi, d’une luminosité stellaire (Taking people), celle après laquelle les Walkabouts, érudits bosseurs, courent en vain depuis dix ans. Une country pas phraseuse, sourde à la rhétorique de Nashville (pas de violons, tout juste une minuscule flaque d’orgue et une pincée de pedal-steel), déconseillée aux acheteurs de résidence secondaire mais pas affligée pour autant d’un esprit de clocher étriqué, d’un intégrisme amish. Au-delà de l’anecdote Steve Shelley enregistre à Memphis , Cat Power jumelle sans états d’âme Hank Williams I can’t help it (if I’m still in love with you), repris sur Myra Lee et Bill Callahan (l’admirable Batysphere de Smog, dépouillé de son violoncelle baroque et superbement violenté sur What Would The Community Think). Deux immenses songwriters américains fiers d’adouber King Rides By, une de ces chansons déraisonnables qui ouvrent le terme à l’infini, sans même atteindre les quatre minutes réglementaires. Ici, le pavé de Manhattan s’allonge jusqu’au coeur du Tennessee; The Coat Is Always On invite les voix monocordes de Lou Reed et Sterling Morrison récitant The Murder mystery; Nude as the news offre un bol d’air au Sonic Youth de Dirty. C’est au fil de concerts new-yorkais que la rumeur dit exceptionnels que Cat Power s’est forgé sa réputation, mais sur What would the community think, la campagne prend sa revanche sur les orgueilleux gratte-ciels. Immense disque, où les plus beaux cauchemars de l’Amérique rurale (rêvée par Nick Cave, peinte sur pellicule dans La Nuit du chasseur ou L’Enfant miroir) convergent vers Water and air : Mon amour est parti au fil de l’eau Je devrais être au fond de la rivière ténébreuse, enlacée par le diable. Une histoire aussi éternelle qu’effroyable, dont on jurerait ici qu’elle vient d’être inventée par une jeunette de 24 ans. De quoi effectivement donner quelques sueurs froides à la communauté on connaît depuis La Lettre écarlate le peu d’indulgence de la vertueuse Amérique pour les amours cornues.
LE GRAND HOMMAGE DE LA SCENE DE LA NOUVELLE ORLEANS A SON MENTOR : ALLEN TOUSAINT « With You In Mind : The Songs Of Allen Toussaint », la nouvelle production du batteur de Galactic est un de ces projets atypiques qui regroupe des musiciens autour de leur passion pour la musique. Pour ce projet hors-norme, Stanton Moore s’est entouré de David Torkanowsky (claviers) et de James Singleton (basse) et a réuni un casing all-star : Cyril Neville, Jolynda Kiki Chapman, Nicholas Payton, Donald Harrison, Trombone Shorty, Maceo Parker et Wendell Pierce. Cet album est l’hommage personnel de Moore à Allen Toussaint, le légendaire musicien/producteur de la Nouvelle Orléans. Tous ces grands artistes participants au projet sont des maîtres de la nouvelle génération du style musical unique qu’a engendré la Nouvelle Orléans. Ces chanteurs et ces musiciens ont véritablement pris à cœur leur mission pour cet album et ont délivré des performances passionnantes et inspirées. La production a été sculptée d’une main d’orfèvre afin de réaliser un grand disque dont l’intérêt croît après chaque nouvelle écoute !
LA NOUVELLE PEPITE DU GUITARISTE DE SYMPHONY X Tête pensante et guitariste de Symphony X, Michael Romeo nous propose aujourd'hui sur la division Music Theories Recordings du label Mascot, son tout nouveau projet solo. Cet album percutant s'appuie une parfaite alchimie entre metal, rock, prog et éléments symphoniques. Romeo nous livre sa vision du célèbre romand'HG WELLS tout en rendant hommage aux compositeurs Bernard Hermann et John Williams. La production est de très haute volée et est servie par un line-up de premier ordre pour accompagner le prodigieux guitariste Michael Romeo : à la basse on trouve ainsi John JD DeServio (Black Label Society), à la batterie c'est l'expérimenté John Macaluso (Yngwie Malmsteen, Ark, James LaBrie) et au chant on découvre le prometteur Rick Castellano. Aussi laissez-vous embarquer pour un voyage sonique en première classe : de Fear of the Unknown, aux accents de science-fiction en passant par l'implacable Black à l'hybride électro-métal F*cking Robots, ce disque va ravir tous les fans du célèbre combo italien.
Le retour Triumphant du guitariste virtuose ! Le fondateur de Triumph, célèbre groupe canadien de hard rock des 80’s aux 8 disques d’or, nous revient accompagné de son nouveau groupe RESolution9. Les membres de RESolution9 sont des musiciens issus du quartet qui accompagnent Rick live : Dave Dunlop à la guitare, Steve Skingley à la basse, et Paul DeLong à la batterie. Enregistré et mixé en grande partie aux fameux studios MetalWorks de Mississauga, la ville natale de Rick, ce disque plein de vitalité est loin d’être un simple retour aux sources ou un quelconque comeback. On y retrouve même les deux autres membres fondateurs du trio Triumph (Gil Moore et Mike Levine) qui reprennent pour la première fois du service aux côtés de Rick Emmett sur « The Grand Parade » qui résonne comme une suite au « Suitcase blues » de 1979. Enfin, le légendaire guitariste de Rush, Alex Lifeson, joue sur deux morceaux stellaires et James LaBrie de Dream Theater chante sur deux titres magiques. Ce magnifique album s’annonce comme le premier d’une fructueuse collaboration à venir entre Rick Emmett et Mascot !
LA NOUVELLE PEPITE DU GUITARISTE DE SYMPHONY X Tête pensante et guitariste de Symphony X, Michael Romeo nous propose aujourd'hui sur la division Music Theories Recordings du label Mascot, son tout nouveau projet solo. Cet album percutant s'appuie une parfaite alchimie entre metal, rock, prog et éléments symphoniques. Romeo nous livre sa vision du célèbre romand'HG WELLS tout en rendant hommage aux compositeurs Bernard Hermann et John Williams. La production est de très haute volée et est servie par un line-up de premier ordre pour accompagner le prodigieux guitariste Michael Romeo : à la basse on trouve ainsi John JD DeServio (Black Label Society), à la batterie c'est l'expérimenté John Macaluso (Yngwie Malmsteen, Ark, James LaBrie) et au chant on découvre le prometteur Rick Castellano. Aussi laissez-vous embarquer pour un voyage sonique en première classe : de Fear of the Unknown, aux accents de science-fiction en passant par l'implacable Black à l'hybride électro-métal F*cking Robots, ce disque va ravir tous les fans du célèbre combo italien.
Le retour Triumphant du guitariste virtuose ! Le fondateur de Triumph, célèbre groupe canadien de hard rock des 80’s aux 8 disques d’or, nous revient accompagné de son nouveau groupe RESolution9. Les membres de RESolution9 sont des musiciens issus du quartet qui accompagnent Rick live : Dave Dunlop à la guitare, Steve Skingley à la basse, et Paul DeLong à la batterie. Enregistré et mixé en grande partie aux fameux studios MetalWorks de Mississauga, la ville natale de Rick, ce disque plein de vitalité est loin d’être un simple retour aux sources ou un quelconque comeback. On y retrouve même les deux autres membres fondateurs du trio Triumph (Gil Moore et Mike Levine) qui reprennent pour la première fois du service aux côtés de Rick Emmett sur « The Grand Parade » qui résonne comme une suite au « Suitcase blues » de 1979. Enfin, le légendaire guitariste de Rush, Alex Lifeson, joue sur deux morceaux stellaires et James LaBrie de Dream Theater chante sur deux titres magiques. Ce magnifique album s’annonce comme le premier d’une fructueuse collaboration à venir entre Rick Emmett et Mascot !
Il y a quatre ans, c'est à Paris que leurs vies se croisent, dans un bar, un soir tard. Le soir même, elle au chant, lui à la guitare, ils composent spontanément dans une chambre de post-adolescent, leur première ballade, teintée de folk-blues lumineux et enivrant. En 2009, c'est sur le web que Lilly Wood and the Prick explose. Leur premier tube Down The Drain servi par un clip fantasque et décalé, rassemble par dizaines de milliers. En mai 2010, Lilly Wood and The Prick dévoile son premier album, Invincible Friends. Un album tendrement révolté, dans lequel le groupe explore tous les sons que la curiosité de la jeunesse permet : des mélodies pop mêlées à des arrangements électro, une voix blues transportée par des refrains pop. Les textes se nourrissent de tout ce que la vingtaine traverse : les amours qui passent et les amis qui restent, les idéaux qui s'échappent et les doutes qui s'installent. La voix éraillée de Nili y résonne comme un cri, celui d'une génération qui puise sa force créatrice dans le désenchantement. Deux ans après un succès magique, un disque d'or et une Victoire de la musique, Lilly Wood and The Prick remontent sur le ring avec The Fight, un deuxième album prêt à nous conquérir.
50 ans de carrière sur scène ! Alive in Amsterdamest le son de la résurrection, après une période très compliquée pour l'artiste à la suite de sérieux problèmes de santé. La renaissance de Trout s'est opérée avec sa transplantation de foie réussie en 2014 et surtout au travers de son album « Battles Scars » de 2015 qui canalise cette expérience proche de la mort dans une série de morceaux autobiographiques. Aussi ce n'est pas un hasard si Walter Trout n'a jamais sonné aussi vivant. La date retenue est le 28 novembre 2015, le lieu est l'opulent Royal Theatre Carré d'Amsterdam. Alors si vous attendez une prestation tranquille, vous faites une grossière erreur. Cette substance musicale est très puissante, car ici on parle de rock, de blues rock ! Bien entendu, Walter Trout est un vrai magicien en studio. Mais c'est bien sur scène qu'il prend toute sa dimension. C'est encore un autre guitariste live lorsqu'il capture l'énergie et toute l'excitation du moment, surtout après avoir vécu une expérience aussi terrifiante que la sienne ! Cela nous donne un disque plein d'énergie et d'urgence, un double live électrifiant !
Grande nouvelle pour les fans de Car Seat Headrest : ‘Twin Fantasy’, le chef d’oeuvre de Will Toledo sorti en 2011 sur Bandcamp s’offre une seconde vie, réimaginé et réenregistré. Toledo a toujours vu ‘Twin Fantasy’ comme une oeuvre inachevée. Ses grandes ambitions s’étaient toujours heurtées à des limites techniques : à dix-neuf ans sur un ordinateur bon marché, il racontait son premier amour, chantait les émotions viscérales d’un adolescent avec sa bouteille de gin, ses tibias couverts de bleus, ses premiers ébats. Toutefois, la maladresse et la distorsion sonore n’importent que peu pour des légions de fans qui glorifient cet album. On entend - et on ressent - très bien ce que Will confie : ses espoirs et ses peines, ses folies et ses secrets. 'Twin Fantasy' n’est pas un monologue, c'est une discussion. Et c’est là la plus grande force de Will Toledo en tant que songwriter : en chantant sa propre histoire il raconte aussi toujours quelque chose de la vôtre. Aujourd’hui, il a plus de moyens, un groupe pour l’accompagner, et tout le temps du monde pour peaufiner ce disque emblématique. Et le résultat n’est pas la seconde prise superficielle, aseptisée en studio et lavée de sa force émotionnelle, au contraire. C’est l’album qu’il a toujours voulu faire. Le son qu'il a toujours voulu produire. L'histoire qu'il a toujours voulu écrire. Alors maintenant, à nous de l’écouter !
Le grand retour du petit prodige du blues En 1995, Jonny Lang a 15 ans lorsqu'il signe chez A&M records son premier contart pour une major qui se traduit par un premier album qui dépassera le million de ventes! Fait assez rare pour une galette de blues rock ! En effet le talent tant au chant qu'à la guitare et ses prestations scéniques de haute volée rencontrent rapidement l'adhésion du plublic mais aussi de ses paires. Ainsi Johnny Lang peut se targuer d'avoir joué avec de nombreuses pointures : Eric Clapton, les Rolling Stones, Aerosmith, BB King, Buddy Guy, Jeff Beck, Sting., Herbie Hancock, les Jonas Brothers, Syl Johnson, Willie Nelson, Cyndi Lauper, ou encore Santana. De merveilleuses melodies vocales et un jeu de guitare très expressif pour un album qui n'est pas figé dans un genre. Lang a travaillé pendant trois longues années sur cet album avec le producteur Tommy Sims, qui avait co-écrit le disque «Change The World» d'Eric Clapton. Et tous deux ont opéré sur tous les morceaux depuis leur ébauche à partir des démos d'Eric Lang jusqu'à l'enregistrement final avec les musiciens qui accompagnent d'habitude Eric Lang sur scène.
On ne cesse de le répéter mais que de chemin parcouru depuis 2011, par cette chanteuse de blues hors norme, alors complètement inconnue sur notre territoire. Depuis cette artiste a enchaîné les Olympias complets avec à chaque fois des prestations de grande qualité ! 2018 fût une année exceptionnelle pour Beth : une tournée en solo aux USA à guichets fermés, un Royal Albert Hall Complet à Londres, 12 000 fans hurlants au Ziggo Dome d'Amsterdam... Surfant sur cette vague, elle revient avec un tout nouvel album studio, War on my Mind, dont la production a été confiée cette fois à Rob Cavallo (Dave Matthews Band, Phil Collins, Green Day, etc). Cet album, c'est Beth au sommet de sa passion et de ses émotions avec des shows et des festivals de plus en plus importants ! Elle est aujourd'hui reconnue comme étant l'une des grandes voix contemporaines, dans la pur tradition d'Etta James ou de Janis Joplin, ce qui lui a valu de nombreux prix et nominations pour les GRAMMY ou encore les Blues Music Awards. Et avec ce nouveau disque, elle va continuer à truster les récompenses. A l'écoute du 1er single tiré de cet album, Bad Woman Blues, il ne saurait en être autrement ! LA PLUS BELLE VOIX DU BLUES MODERNE DE RETOUR AVEC UN NOUVEL ALBUM STUDIO
On ne cesse de le répéter mais que de chemin parcouru depuis 2011, par cette chanteuse de blues hors norme, alors complètement inconnue sur notre territoire. Depuis cette artiste a enchaîné les Olympias complets avec à chaque fois des prestations de grande qualité ! 2018 fût une année exceptionnelle pour Beth : une tournée en solo aux USA à guichets fermés, un Royal Albert Hall Complet à Londres, 12 000 fans hurlants au Ziggo Dome d'Amsterdam... Surfant sur cette vague, elle revient avec un tout nouvel album studio, War on my Mind, dont la production a été confiée cette fois à Rob Cavallo (Dave Matthews Band, Phil Collins, Green Day, etc). Cet album, c'est Beth au sommet de sa passion et de ses émotions avec des shows et des festivals de plus en plus importants ! Elle est aujourd'hui reconnue comme étant l'une des grandes voix contemporaines, dans la pur tradition d'Etta James ou de Janis Joplin, ce qui lui a valu de nombreux prix et nominations pour les GRAMMY ou encore les Blues Music Awards. Et avec ce nouveau disque, elle va continuer à truster les récompenses. A l'écoute du 1er single tiré de cet album, Bad Woman Blues, il ne saurait en être autrement ! LA PLUS BELLE VOIX DU BLUES MODERNE DE RETOUR AVEC UN NOUVEL ALBUM STUDIO
L'enfant terrible de la Pop synthétique élégante revient après une longue tournée de 70 dates et des concerts remarqués dans les festivals les plus en vue de l'Hexagone (Nuits de Fourvière, Francofolies, Pete The Monkey, MIDI Festival, Biarritz en été, Rock en Seine, Coconut Festival ), avec son nouvel album mixé par Ash Workman (Metronomy). Ce sera l'un des albums français les plus attendus du début de l'année 2019. Révélation 2017 avec son premier disque solo, tout naturellement titré Un et porté par les singles tubesques Sous garantie et Cinéma, Malik Djoudi offre un successeur au titre programmatique : Tempéraments. Caractère bien trempé au charisme inné, le natif de Poitiers publie douze nouvelles chansons, à la fois instantanées et ambitieuses, hypnotiques et entêtantes, référencées et affranchies. Des titres trempés dans l'électronique actuelle, nourris de l'écriture unique de Malik Djoudi et de la singularité de sa voix androgyne. Un habile mélange qui a séduit Etienne Daho, en duo avec Malik Djoudi sur le titre A tes côtés. En tournée pour 2019 pour plus de 40 dates à partir du 10 mars (inclus Le Trianon à Paris le 20 novembre), il sera cette année au Festival We love Green ainsi qu'au prestigieux Great escape à Brighton avec en préambule une date à Londres en Mars 2019.
L'enfant terrible de la Pop synthétique élégante revient après une longue tournée de 70 dates et des concerts remarqués dans les festivals les plus en vue de l'Hexagone (Nuits de Fourvière, Francofolies, Pete The Monkey, MIDI Festival, Biarritz en été, Rock en Seine, Coconut Festival ), avec son nouvel album mixé par Ash Workman (Metronomy). Ce sera l'un des albums français les plus attendus du début de l'année 2019. Révélation 2017 avec son premier disque solo, tout naturellement titré Un et porté par les singles tubesques Sous garantie et Cinéma, Malik Djoudi offre un successeur au titre programmatique : Tempéraments. Caractère bien trempé au charisme inné, le natif de Poitiers publie douze nouvelles chansons, à la fois instantanées et ambitieuses, hypnotiques et entêtantes, référencées et affranchies. Des titres trempés dans l'électronique actuelle, nourris de l'écriture unique de Malik Djoudi et de la singularité de sa voix androgyne. Un habile mélange qui a séduit Etienne Daho, en duo avec Malik Djoudi sur le titre A tes côtés. En tournée pour 2019 pour plus de 40 dates à partir du 10 mars (inclus Le Trianon à Paris le 20 novembre), il sera cette année au Festival We love Green ainsi qu'au prestigieux Great escape à Brighton avec en préambule une date à Londres en Mars 2019.
Produit par la tête pensante de Grizzly Bear, Chris Taylor, ce premier opus de l'américain Twin Shadow (alias George Lewis Jr.) a tout d’un disque de rock post new wave des années 80. Voix dandyesque, gutturale, très en avant et noyée dans la reverb', guitares rythmées mais mélancoliques, arrangements spacieux et amples. Tout y est. Sauf que, petit détail, Twin Shadow n’a que 26 ans. Bercé toute son enfance par ce son, mêlant Joy Division à New Order, Echo And The Bunnymen à Morrissey, Twin Shadow a semble-t-il parfaitement digéré les codes de ce rock distingué, précieux et sauvage en même temps. « I Can’t Wait », l’un des points culminants de l’album, rappelle les meilleurs titres des groupes susnommés, et si « Yellow Balloon », ou « Slow » sonnent plus modernes (en faisant un clin d’oeil aux new yorkais d’Interpol) avec leurs mélopées de synthés futuristes, leur dimension très electro pop, la tonalité globale de Forget est marquée par une douce mélancolie assumée jusqu’au bout. Sur ce premier album très réussi, George Lewis Jr. impose son style dandy des années 80, sa marque de fabrique musicale paradoxalement très progressiste avec une assurance déconcertante, sans jamais être prétentieuse. Voilà un premier effort bien mal nommé, tant il est évident que dès la première écoute, on sait que l’on ne l’oubliera pas de sitôt.
Supersonic Blues Machine n'est pas juste un groupe, c'est un état d'esprit, une fraternité, un melting pot d'idées avec des personnes sur la même longueur d'ondes qui apportent leur talent pour créer une musique à l'esprit très organique. En 2012, le guitariste chanteur texan Lance Lopez vient enregistrer un album à LA. Le producteur Fabrizio Grossi lui propose d'en profiter pour travailler sur quelques idées. Deux jours plus tard, leur passage en studio accouchera de 3 morceaux qui constitueront les bases d'un nouveau projet excitant ! Au cours de sa prolifique carrière de producteur ou bassiste, Fabrizio a travaillé avec la fine fleur des musiciens : de Steve Vai à Nina Hagen, de Alice Cooper à Glenn Hughes, Dave Navarro, George Clinton, Joe Bonamassa, Leslie West, Ice T, Slash... Le dernier maillon à rejoindre la famille, fût le légendaire batteur Kenny Aronoff présenté à Fabrizio par Steve Lukather leur ami commun. La renommée des collaborateurs traduit bien la qualité de l'aventure SBM : Billy F. Gibbons, Walter Trout, Warren Haynes, Robben Ford, Eric Gales et Chris Duarte sont tous étroitement liés à un ou plusieurs membres du trio de base. L'idée était de faire participer des amis proches au disque afin de retranscrire cette relation spéciale et authentique.
Le trio marseillais poursuit son ascension rock à la rentrée 2013 ! J'aime pas écrire dans le silence. Quand j'écris, je me mets un film, un album, voire plusieurs albums en même temps ou la radio sur une fréquence vide, j'étale des trucs par terre, je prends des stylos et j'ai des mots qui me viennent et alors j'écris. Ca relève plus de l'instinct.... Lucas, guitariste chanteur, Loic, bassiste et Simon, batteur, à la vingtaine toute neuve, du groupe-trio Dissonant Nation, originaire du sud de la France, pas loin de Marseille, préfèrent, aux formules paresseuses et aux gimmicks soldés, une création débridée, où tension, électricité hybride, poésie pop (au sens où l'entendaient les années 60) et fantômes bien présents squattent des chansons déjà racées, sûres de leur potentiel. Excitantes. Ici, on peut croiser presque charnellement Sonic Youth, Andy Warhol, Ziggy Stardust, Nick Cave, Travis Bickle (oui, celui de Taxi Driver), un punk létal comme un rock imagé, une pop psychédélique comme des mélodies qui s'imposent sans tapiner. Un voyage sonique gorgé d'icônes, d'instants présents, de souvenirs d'un passé qui n'a même peut-être pas existé. Dissonant Nation est moins une banderole d'une manifestation adolescente qu'une promesse de futur, une aventure décomplexée, où l'énergie n'est jamais feinte et où il est possible de se laisser aller, l'imagination n'est ici pas prise en otage, elle peut respirer, sans entrave. Simon précise : Avec Dissonant Nation, on voulait réveiller les gens. Mais les réveiller avec le côté bancal, borderline... On s'amuse et on est très impliqué et quand on joue, on rentre dans une transe. Il y a une tension dans ce disque. Une tension qui peut vraiment te prendre. Moins à la gorge qu'aux tripes et à l'âme. La musique de Dissonant Nation a la fierté, l'incandescence de la jeunesse, elle préfère, à l'uniformité, les directions multiples, les chemins qui mènent à la surprise. Sa vitalité explosive, cette énergie et cette tension déjà citées plus haut, elles ne viennent pas de nulle part. Le hasard n'a pas son mot à dire. Le concert. La scène. Le vivant. Le groupe a déjà plus de 200 dates au compteur, des clubs locaux aux salles nationales, des festivals (Francofolies, Rock en Seine, Marsatac) aux soirées canadiennes, slovaques ou belges. Sur les planches, Dissonant Nation s'incarne, il brûle d'un feu autant animal que possédé et est capable de reprendre aussi bien Justice que Brian Eno. Après quelques années complètement DIY, Dissonant Nation part à Londres, au studio Rak, pour enfin enregistrer son premier album, avec, aux manettes, Richard Woodcraft (Broken Social Scene, Radiohead, Arctic Monkeys, Neil Young, Grinderman...). Lucas se souvient : Avant l'album, on avait déjà sorti quatre disques. Complètement auto-produits. Des démos en quelque sorte qu'on gravait et vendait nous-mêmes. On a toujours bidouillé nos trucs, sans attendre de l'aide de l'extérieur. Moi, par exemple, je me charge de tout ce qui touche aux visuels, aux pochettes. On a enregistré l'album il y a un an, en mars 2012. En deux semaines. On avait beaucoup répété avant d'entrer en studio, on avait fait des pré-maquettes. Tout était prêt. Mais sur des morceaux comme Birthday Party, il y a un piano. Et ce piano, pour l'anecdote, on l'a enregistré le dernier jour, le dimanche, le taxi nous attendait devant le studio pour nous amener à l'aéroport. On avait rangé tout le matériel, j'avais déjà mon manteau. Et Richard, lui, était toujours devant la console. Et là, il me dit : Il faudrait ajouter du piano sur Birthday Party. J'ai demandé aux autres de m'attendre dans le taxi. Le morceau dure trois minutes et j'ai joué pendant trois minutes du piano, en live et c'est ce qu'on entend sur l'album. Richard a gardé le piano tout le long du morceau... C'est une musique très simple, enregistrée en live. On a joué ensemble, dans une pièce toute petite. Un peu dans les conditions d'une répèt. Ou d'un concert. On y tenait. Parce qu'on est très bon là-dedans. Il n'y a que comme ça qu'on arrive à faire sonner un morceau. On voulait un album très riche au niveau des tempo, rythmé. On a pas mal réfléchi aux tonalités, à quel morceau allait entraîner l'autre. Les choses se suivent, elles sont cohérentes. Et ce disque de bruits et de fureurs, à la générosité pas négociable, dévoile trois coeurs qui battent, trois mondes qui s'unissent pour accoucher d'une entité inébranlable : En fait, le disque est construit comme ça : Au début, des morceaux très courts, punk. Max trois minutes. Sans fioriture, sans rien. Ensuite, au milieu de l'album, il y a des titres qui arrivent comme Cold Kisses, la balade qui me fait penser à un désert. Parce qu'il y a un rythme un peu dromadaire (rires). Et après, à la fin du disque, débarquent les morceaux plus psychédéliques. Comme Sexy Suicide par exemple... En français comme en anglais, Dissonant Nation cultive le sens du mystère. Lucas, Loic et Simon avouent ne plus vraiment regarder la télévision, à peine plus Internet et préférer la rue et sa magie toujours possible, reconnaissent également que leur musique est une fuite, comme un exutoire, une façon de privilégier, à la triste réalité, au désespérant métro-boulot-dodo, une aventure moderne palpitante. We Play We Are est le titre de l'album. La chanson homonyme ne dit rien d'autre. Jouer et être. Être et jouer. La sauvagerie de l'enfance vaut toutes les frilosités adultes. Toujours. Dissonant Nation a raison. La dissonance produit une impression d'instabilité, de tension.
Damien Saez sort son premier album, jours étranges en 1999. Son premier single, Jeune et con, est rapidement diffusé sur plusieurs radios et le révèle auprès du grand public (ce qui lui vaudra une nomination en tant que révélation de l'annnée au Victoire de la Musique en 2001). En décembre 2001, il sort son premier recueil de poèmes, A ton nom. En mars 2002, il publie son deuxième album, God Blesse. Entre-temps, il offre sur internet (par le biais des sites non-officiels) une oeuvre instrumentale d'environ une heure en libre téléchargement, intitulée Katagena. Il a également été contacté par Brian de Palma pour participer à la création de la bande originale du film Femme fatale, sorti en salles en avril 2003. La chanson qui a été choisie pour l'occasion, Sexe, fait alors beaucoup de bruit : du fait de ses paroles crues, certaines radios refusent de diffuser la chanson, et le clip n'est pas diffusé à la télévision. Le 22 avril 2002, lendemain du premier tour de l'élection présidentielle, il publie gratuitement sur le site web de sa maison de disque, Universal Music, une chanson composée et enregistrée en environ dix heures, « Fils de France ». En 2004, il a sorti un troisième album, plus orienté rock que le précédent, intitulé Debbie. En 2005, il a quitté Universal Music et entamé une tournée intitulée « Damien Saez : Piano & Voix » où il se produit accompagné de 3 guitares et d'un piano. Après uen série de concerts en 2007, Saez revient avec un nouvel album acoustique.
George Benson revient aux bases de la musique américaine dans 'Walking to New Orleans'. Le légendaire guitariste de jazz rend, en effet, un poignant hommager au génial pianiste et merveilleux faiseur de hits, Fats Domino et au guitariste, héros du rock et poète, Chuck Berry. Grand admirateur des deux hommes, Benson fait revivre leurs oeuvres avec son chant unique plein de soul et ses solo de guitare pleins de grâce ! Le repertoire de Chuck Berry est, ici, present à travers les chansons : Walking To New Orleans', Nadine (Is It You?),You Can't Catch Me, Havana Moon, Memphis, Tennessee, et How You've Changed. Quant à celui de Fats Domino, on le retrouve avec Rockin' Chair, Ain't That a Shame, I Hear You Knocking, Blue Monday, et le morceau titre de l'album. 'Walking to New Orleans' est le 1er album de Benson depuis 'Inspiration : A Tribute to Nat King Cole.', paru en 2013. Un album dans lequel, Benson redonnait toute leur splendeur aux morceaux de Cole à travers de luxueux arrangements orchestraux. Au contraire, pour ce nouveau disque, Benson s'est replié aux studios Ocean Way à Nashville avec un simple quartet comprenant le batteur Greg Morrow, le guitariste Rob McNelley, le pianiste Kevin McKendree, et le bassiste Alison Prestwood. Derrières les manettes, on retouve le producteur Kevin The Caveman Shirley (Journey, John Hiatt, Iron Maiden, Bonamassa). 'Walking to New Orleans' est le 45ème album de George Benson's et pourtant jamais un de ses disques n'avait sonné aussi détendu et fun !
George Benson revient aux bases de la musique américaine dans 'Walking to New Orleans'. Le légendaire guitariste de jazz rend, en effet, un poignant hommager au génial pianiste et merveilleux faiseur de hits, Fats Domino et au guitariste, héros du rock et poète, Chuck Berry. Grand admirateur des deux hommes, Benson fait revivre leurs oeuvres avec son chant unique plein de soul et ses solo de guitare pleins de grâce ! Le repertoire de Chuck Berry est, ici, present à travers les chansons : Walking To New Orleans', Nadine (Is It You?),You Can't Catch Me, Havana Moon, Memphis, Tennessee, et How You've Changed. Quant à celui de Fats Domino, on le retrouve avec Rockin' Chair, Ain't That a Shame, I Hear You Knocking, Blue Monday, et le morceau titre de l'album. 'Walking to New Orleans' est le 1er album de Benson depuis 'Inspiration : A Tribute to Nat King Cole.', paru en 2013. Un album dans lequel, Benson redonnait toute leur splendeur aux morceaux de Cole à travers de luxueux arrangements orchestraux. Au contraire, pour ce nouveau disque, Benson s'est replié aux studios Ocean Way à Nashville avec un simple quartet comprenant le batteur Greg Morrow, le guitariste Rob McNelley, le pianiste Kevin McKendree, et le bassiste Alison Prestwood. Derrières les manettes, on retouve le producteur Kevin The Caveman Shirley (Journey, John Hiatt, Iron Maiden, Bonamassa). 'Walking to New Orleans' est le 45ème album de George Benson's et pourtant jamais un de ses disques n'avait sonné aussi détendu et fun !
LE NOUVEL ALBUM DU TITAN DU BLUES Attention légende ! Vétéran de la scène blues rock, Walter Trout n'a sans doute jamais été reconnu à sa juste valeur en France. Pourtant le bonhomme possède un CV à faire pâlir bon nombre de musiciens. Il a, entre-autre, passé cinq ans au sein des Bluesbreakers de John Mayall, a été membre de Canned Heat, a accompagné John Lee Hooker et Joe Tex. Le dernier disque en date de Walter Trout, We're all together in this a remporté un immense succès mondial : pas moins de quatre prix du meilleur album de blues de l'année à sa sortie. Aussi c'est souvent compliqué de rebondir après une telle réussite car on est forcément attendu au tournant ! Aussi, Walter Trout a décidé de marcher dans les pas des grands artistes qu'il a toujours admiré, des artistes qui osent prendre des risques comme Neil Young ou Bob Dylan car on ne sait jamais à quoi va ressembler leur nouvel album. Et ainsi celui qui vient de recevoir la consécration pour un album de compositions personnelles, nous prend complètement à contrepied en nous offrant aujourd'hui une collection de magnifiques reprises. Et une de fois de plus, il nous démontre qu'il est tout sauf un artiste ordinaire. En effet, ici on est loin du choix habituel de reprises de grands standards qu'on a déjà entendus sous cinquante versions différentes ou des plus gros hits du blues. Walter Trout a délibérément choisi des titres anciens et obscures qui ont rarement été repris. Voilà la genèse de Survivor Blues, le nouvel opus de l'un des plus grands bluesmen contemporains.
Quatre albums, un EP, des projets solos et de multiples collaborations : que de chemin parcouru par les quatre Texans New-Yorkais depuis leur premier album en 2013. La rivière ne se tarit pas avec Wide Awake!, un cinquième album novateur, synonyme de fraîcheur, de conquête de nouveaux territoires créatifs qui témoigne de l'esprit en constante ébullition du groupe. Le travail de Brian Burton aka Danger Mouse à la production n'y est pas pour rien. On ne peut que constater que cette alchimie étonnante a fait des merveilles. Les treize titres de ce nouvel album sont bien empreints de la passion punk rock qu'on leur connaît mais apporte des sonorités inédites. Le disque reflète une confiance bourgeonnante dans la capacité du groupe à explorer de nouvelles idées et surtout de nouvelles émotions que ses membres n'osaient pas exprimer auparavant. Des sentiments contradictoires, tels que la joie et la rage, la colère et la studipidé, une envie aussi de jouer sur le rapport dialectique entre la rage et l'allégresse. Mais surtout à l'image de groupes comme Youth of Today, Gorilla Biscuit ou Black Flag, une furieuse envie de vouloir faire danser, d'armer les corps pour la résistance à coups de groove, de joie et d'indignation face au nihilisme et au rejet sans cesse plus fort de la culture par scander les idées d'amour, de passion et de combat face à une Amérique qui se referme et des valeurs individaulistes trio souvent érigées en valeur totale. On tient probablement ici l'album le plus abouti et le plus engagé du quatuor. Le réveil a sonné !
Quatre albums, un EP, des projets solos et de multiples collaborations : que de chemin parcouru par les quatre Texans New-Yorkais depuis leur premier album en 2013. La rivière ne se tarit pas avec Wide Awake!, un cinquième album novateur, synonyme de fraîcheur, de conquête de nouveaux territoires créatifs qui témoigne de l'esprit en constante ébullition du groupe. Le travail de Brian Burton aka Danger Mouse à la production n'y est pas pour rien. On ne peut que constater que cette alchimie étonnante a fait des merveilles. Les treize titres de ce nouvel album sont bien empreints de la passion punk rock qu'on leur connaît mais apporte des sonorités inédites. Le disque reflète une confiance bourgeonnante dans la capacité du groupe à explorer de nouvelles idées et surtout de nouvelles émotions que ses membres n'osaient pas exprimer auparavant. Des sentiments contradictoires, tels que la joie et la rage, la colère et la studipidé, une envie aussi de jouer sur le rapport dialectique entre la rage et l'allégresse. Mais surtout à l'image de groupes comme Youth of Today, Gorilla Biscuit ou Black Flag, une furieuse envie de vouloir faire danser, d'armer les corps pour la résistance à coups de groove, de joie et d'indignation face au nihilisme et au rejet sans cesse plus fort de la culture par scander les idées d'amour, de passion et de combat face à une Amérique qui se referme et des valeurs individaulistes trio souvent érigées en valeur totale. On tient probablement ici l'album le plus abouti et le plus engagé du quatuor. Le réveil a sonné !
Pour le 10ème anniversaire de sa sortie, cet album a été entièrement remasterisé et comporte en bonus le morceau inédit 'Seasons of Purgatory', composé et enregistré lors des sessions d'origine. Le DVD contient un documentaire 'Making of' de plus de 2h00, avec des interviews, des scènes filmées pendant les enregistrements. On y trouve également le concert complet donné lors du Thrash Domination en 2009 au Japon. Le vinyle a été passé de LP simple à un LP double afin d'optimiser le son. Heathen va sortir un nouveau disque studio en 2020, avec une tournée. Les thrashers de la Bay Area de Heathen sont toujours vivants et ils le prouvent avec la sortie de leur nouvel album, The Evolution Of Chaos. Formé en 1984 HEATHEN est un groupe de Metal natif de la baie de San Francisco (Californie). Le groupe se démarque des autres combos par ses riffs précis et ravageurs et ses mélodies harmoniques. HEATHEN est inspiré par les groupes de Rock des séventies comme Rainbow et Nwobhm et par les premières vagues de thrash métal (Metallica, Exodus). Il aura fallu attendre prés de 6 ans pour que HEATHEN donne suite à son précèdent album Recovered paru en 2004 et qui contient des reprises de titres de Queen, Thin Lizzy, Tygers Of Pan Tang et Sweet Savage. The Evolution Of Chaos enregistré en Californie contient 10 Titres originaux de Thrash Metal. Le groupe de San Francisco est actuellement composé de Lee Altus (guitariste chez Exodus), Kragen Lum (guitariste chez Prototype), Dave White (chant), John Torres (bassiste chez Angel Witch) et Darren Minter à la batterie.
Pour le 10ème anniversaire de sa sortie, cet album a été entièrement remasterisé et comporte en bonus le morceau inédit 'Seasons of Purgatory', composé et enregistré lors des sessions d'origine. Le DVD contient un documentaire 'Making of' de plus de 2h00, avec des interviews, des scènes filmées pendant les enregistrements. On y trouve également le concert complet donné lors du Thrash Domination en 2009 au Japon. Le vinyle a été passé de LP simple à un LP double afin d'optimiser le son. Heathen va sortir un nouveau disque studio en 2020, avec une tournée. Les thrashers de la Bay Area de Heathen sont toujours vivants et ils le prouvent avec la sortie de leur nouvel album, The Evolution Of Chaos. Formé en 1984 HEATHEN est un groupe de Metal natif de la baie de San Francisco (Californie). Le groupe se démarque des autres combos par ses riffs précis et ravageurs et ses mélodies harmoniques. HEATHEN est inspiré par les groupes de Rock des séventies comme Rainbow et Nwobhm et par les premières vagues de thrash métal (Metallica, Exodus). Il aura fallu attendre prés de 6 ans pour que HEATHEN donne suite à son précèdent album Recovered paru en 2004 et qui contient des reprises de titres de Queen, Thin Lizzy, Tygers Of Pan Tang et Sweet Savage. The Evolution Of Chaos enregistré en Californie contient 10 Titres originaux de Thrash Metal. Le groupe de San Francisco est actuellement composé de Lee Altus (guitariste chez Exodus), Kragen Lum (guitariste chez Prototype), Dave White (chant), John Torres (bassiste chez Angel Witch) et Darren Minter à la batterie.
LE NOUVEL ALBUM STUDIO DU BRAS DROIT D'ERIC CLAPTON Cet album du guitariste-chanteur et songwriter, le premier pour le label Mascot, fait suite à son quatrième disque Rich Man, sorti en 2016 et qui avait obtenu un trèsbeau succès critique ! Au cours des années qui ont espacé ses albums solo, Bramhall s'est établi comme l'un des guitaristes les plus recherchés de la planète, jouant avec des artistes du calibre de Roger Waters, Elton John, Gregg Allman, Allen Toussaint, Sheryl Crow, Billy Preston, the Tedeschi Trucks Band, Erykah Badu ou encore Questlove. Mais c'est avant tout comme bras droit du légendaire Eric Clapton, aussi bien en studio que sur scène, que Bramhall s'est imposé au cours des dix dernières années. Enregistré principalement à Brooklyn et à Los Angeles, Shades est un envoûtant mélange de blues grungy, de garage rock rocailleux, de psyché transcendante, et de ballades soul avec lesquelles Bramhall atteint de nouveaux sommets en tant que musicien, producteur, chanteur, arrangeur et compositeur ! A noter que Bramhall joue tour à tour de la guitare, de la basse, de la batterie et même des claviers ! Aux côtés de Bramhall, on retrouve sur Shades, une floppée de musiciens de premier plan qu'il a côtoyés au fil des années : comme le bassiste Chris Bruce, le multi-instrumentiste Adam Minkoff, les batteurs Carla Azar et Abe Rounds. Enfin on notera la présence d'invités prestigieux qui ont tous joué un rôle significatif dans la carrière musicale de Bramhall : Eric Clapton, Norah Jones, the Tedeschi Trucks Band et ses potes d'Austin, the Greyhounds.
LE NOUVEL ALBUM STUDIO DU BRAS DROIT D'ERIC CLAPTON Cet album du guitariste-chanteur et songwriter, le premier pour le label Mascot, fait suite à son quatrième disque Rich Man, sorti en 2016 et qui avait obtenu un trèsbeau succès critique ! Au cours des années qui ont espacé ses albums solo, Bramhall s'est établi comme l'un des guitaristes les plus recherchés de la planète, jouant avec des artistes du calibre de Roger Waters, Elton John, Gregg Allman, Allen Toussaint, Sheryl Crow, Billy Preston, the Tedeschi Trucks Band, Erykah Badu ou encore Questlove. Mais c'est avant tout comme bras droit du légendaire Eric Clapton, aussi bien en studio que sur scène, que Bramhall s'est imposé au cours des dix dernières années. Enregistré principalement à Brooklyn et à Los Angeles, Shades est un envoûtant mélange de blues grungy, de garage rock rocailleux, de psyché transcendante, et de ballades soul avec lesquelles Bramhall atteint de nouveaux sommets en tant que musicien, producteur, chanteur, arrangeur et compositeur ! A noter que Bramhall joue tour à tour de la guitare, de la basse, de la batterie et même des claviers ! Aux côtés de Bramhall, on retrouve sur Shades, une floppée de musiciens de premier plan qu'il a côtoyés au fil des années : comme le bassiste Chris Bruce, le multi-instrumentiste Adam Minkoff, les batteurs Carla Azar et Abe Rounds. Enfin on notera la présence d'invités prestigieux qui ont tous joué un rôle significatif dans la carrière musicale de Bramhall : Eric Clapton, Norah Jones, the Tedeschi Trucks Band et ses potes d'Austin, the Greyhounds.
Le retour du guitariste de Cacophonie avec la participation de Steve Vai, Joe Bonamassa, Marty Friedman, Joe Satriani ! Jason Becker est le guitariste compositeur quiest atteint de SLA depuis 27 ans. La sclérose latérale amyotrophique (SLA), également appelée, dans le monde francophone, maladie de Charcot, est une maladie neurodégénérative des motoneurones qui provoque une paralysie générale. Il a commencé sa carrière de musicien à 17 ans au sein du groupe Cacophonie avec Marty Friedman (Megadeth). Ses albums en solo ont été une grande source d'inspiration pour toute la scène guitare, metal et rock. A 20 ans, il intègre le groupe du déjà très célèbre David Lee Roth, période au cours de laquelle, ils sortent l'album A Little Ain't Enough, le 4ème album de David Lee Roth qui deviendra rapidement Disque d'Or. C'est malheureusement, peu de temps après, que Jason sera diagnostiqué comme étant victime de SLA. En 2012 est sorti le documentaire Jason Becker : Not Dead Yet. Ce doc qui retrace la vie de Jason a été primé dans de nombreux festival. Il a également récemment fait la couverture du magazine GUITAR PLAYER, avec le titre de meilleur shredder de tous les temps ! Aujourd'hui, il continue à composer et à sortir des morceaux grâce à un système de communication inventé par son père qui bénéficie également désormais à d'autres personnes atteintes de cette maladie très rare et terrible. De nombreux invités de marque ont tenu à participer à ce projet hors norme : Steve Vai, Joe Bonamassa, Paul Gilbert, Neal Schon, Marty Friedman, Greg Howe, Richie Kotzen, Matt Bissonette, Gregg Bissonette, Joe Satriani, Trevor Rabin Aussi à l'écoute de cet album, on constate avec bonheur que la maladie n'a en rien entamé les capacités créatives et artistiques de Jason Becker !
Profondément imprégné d’un univers mêlant post-punk sauvage et gospel, Algiers débarquait avec fracas en 2015 avec une véritable bombe d’album sous forme d’incantations à portée politique et sociale. Sur ce premier album éponyme, le trio conjuguait avec brio ses influences éclectiques, de Nina Simone et PJ Harvey à Suicide et Public Enemy, en une musique stupéfiante et salvatrice. Originaires d'Atlanta, les membres du groupe y ont été les témoins de la violence institutionnelle et raciale, les incitant à combattre la frustration et le désespoir par la musique et à lâcher un appel à l’action rugissant et électrique. Désormais quatuor avec la présence permanente de l’exbatteur de Bloc Party Matt Tong, Algiers n’a rien perdu de sa rage et démultiplie son ambition sur The Underside of Power. Enregistré à Bristol avec Adrian Utley de Portishead et Ali Chant (PJ Harvey, Perfume Genius) à la production, Randall Dunn (Sun O)))) au mixage et Ben Greenberg (The Men, Hubble, Uniform) à la post-production, cet album intransigeant explore aussi bien le rock que la soul, le gospel que l’IDM, l’industriel que le grime. Toujours plus pertinent, ce nouveau disque d'Algiers aborde l’oppression, les violences policières, la dystopie et les structures de pouvoir hégémonique. Les paroles explosives se référant à Thomas Stearns Eliot, l’Ancien Testament, The New Jim Crow, Tamir Rice et Hannah Arendt, sont portées par des compositions parfois émouvantes, souvent follement électriques et saturées, toujours viscérales et percutantes. The Underside Of Power est la réponse musicale à une époque sombre et perturbée. Avec ce véritable album contestataire, Algiers refuse la passivité et convoque les racines de l’histoire de la résistance. Menée par la plume et la voix de Franklin James Fisher, l’appréhension collective face à la montée de politiques sinistres résonne haut et fort. Les dessous d’un grand album !
Profondément imprégné d’un univers mêlant post-punk sauvage et gospel, Algiers débarquait avec fracas en 2015 avec une véritable bombe d’album sous forme d’incantations à portée politique et sociale. Sur ce premier album éponyme, le trio conjuguait avec brio ses influences éclectiques, de Nina Simone et PJ Harvey à Suicide et Public Enemy, en une musique stupéfiante et salvatrice. Originaires d'Atlanta, les membres du groupe y ont été les témoins de la violence institutionnelle et raciale, les incitant à combattre la frustration et le désespoir par la musique et à lâcher un appel à l’action rugissant et électrique. Désormais quatuor avec la présence permanente de l’exbatteur de Bloc Party Matt Tong, Algiers n’a rien perdu de sa rage et démultiplie son ambition sur The Underside of Power. Enregistré à Bristol avec Adrian Utley de Portishead et Ali Chant (PJ Harvey, Perfume Genius) à la production, Randall Dunn (Sun O)))) au mixage et Ben Greenberg (The Men, Hubble, Uniform) à la post-production, cet album intransigeant explore aussi bien le rock que la soul, le gospel que l’IDM, l’industriel que le grime. Toujours plus pertinent, ce nouveau disque d'Algiers aborde l’oppression, les violences policières, la dystopie et les structures de pouvoir hégémonique. Les paroles explosives se référant à Thomas Stearns Eliot, l’Ancien Testament, The New Jim Crow, Tamir Rice et Hannah Arendt, sont portées par des compositions parfois émouvantes, souvent follement électriques et saturées, toujours viscérales et percutantes. The Underside Of Power est la réponse musicale à une époque sombre et perturbée. Avec ce véritable album contestataire, Algiers refuse la passivité et convoque les racines de l’histoire de la résistance. Menée par la plume et la voix de Franklin James Fisher, l’appréhension collective face à la montée de politiques sinistres résonne haut et fort. Les dessous d’un grand album !
Nouvel album sublime et étonnant du groupe culte islandais qui se régénère en ajoutant un son plus aggressif et des compositions plus directes à la beauté éthérée de sa musique ! Le groupe islandais créé à Reykjavík en 1994 fait partie, après 6 albums vendus à plus de 2 millions d’exemplaires et de multiples tournées mondiales, de la cour des grands. Cet incroyable succès est presqu’un heureux accident tant la singularité et l’intransigeance du groupe détonnent dans le milieu du rock. Sa musique, entre post et prog rock est bâtie autours du chant falsetto de Jonsì (dont les paroles sont chantées en un mélange d’islandais et de langage inventé) et d’instrumentations épiques utilisant notamment des guitares électriques jouées à l’archer, des cordes et autres emprunts au classique ou à la musique expérimentale. Après ‘Von’ en 1998, le groupe arrive sur le devant de la scène avec ‘Ágætis Byrjun’ en 1999. Thom Yorke adore le disque qu’il découvre par hasard et invite le groupe à faire la première partie de la tournée mondiale Kid A en 2000. En 2001, le réalisateur Cameron Crowe utilise 3 titres de l’album dans son film Vanilla Sky. Entre temps, l’album devient culte, est distribué en Europe et aux USA et remporte un succès international. Après l’album () en 2002, plus sombre et expérimental et un projet d’art moderne en commun avec Radiohead en 2003, le groupe sort ‘Takk...’ en 2005 qui connaît un succès international retentissant avec plus d’un million de ventes à ce jour. ‘Með suð í eyrum við spilum endalaust’ en 2008 et ‘Valtari’ en 2012 complètent sa discographie. Fin mars 2013, Sigur Rós surprend tout son monde avec l’annonce de la sortie de ’Kveikur’ mais surtout avec la publication de son premier single ‘Brennisteinn’ à l’intro brute de décoffrage, beaucoup plus rock et tranchant que par le passé. Ce nouveau son sied à merveille à l’univers du groupe, toujours épique et cinématographique, et rend cet album tout simplement enthousiasmant. Kveikur est sans conteste le meilleur album du groupe depuis Takk... et chaque titre qui le compose est une merveille de clair-obscur, comme les lumineux et catchy ‘Isjaki’ et ‘Rafstraumur’ ou le ténébreux ‘Kveikur’ qui donne son nom à l’album. Ce savant équilibre confère à cet album une classe incroyable et Sigur Rós semble régénéré à l’aube de ses vingts ans d’existence. Il nous tarde d’entendre la suite ! Kveikur est donc une incroyable réussite. Il ravira les fans tout en surprenant ceux qui pensaient tout connaître du groupe et est certain de rallier à sa cause un public encore plus large !
Nouvel album sublime et étonnant du groupe culte islandais qui se régénère en ajoutant un son plus aggressif et des compositions plus directes à la beauté éthérée de sa musique ! Le groupe islandais créé à Reykjavík en 1994 fait partie, après 6 albums vendus à plus de 2 millions d’exemplaires et de multiples tournées mondiales, de la cour des grands. Cet incroyable succès est presqu’un heureux accident tant la singularité et l’intransigeance du groupe détonnent dans le milieu du rock. Sa musique, entre post et prog rock est bâtie autours du chant falsetto de Jonsì (dont les paroles sont chantées en un mélange d’islandais et de langage inventé) et d’instrumentations épiques utilisant notamment des guitares électriques jouées à l’archer, des cordes et autres emprunts au classique ou à la musique expérimentale. Après ‘Von’ en 1998, le groupe arrive sur le devant de la scène avec ‘Ágætis Byrjun’ en 1999. Thom Yorke adore le disque qu’il découvre par hasard et invite le groupe à faire la première partie de la tournée mondiale Kid A en 2000. En 2001, le réalisateur Cameron Crowe utilise 3 titres de l’album dans son film Vanilla Sky. Entre temps, l’album devient culte, est distribué en Europe et aux USA et remporte un succès international. Après l’album () en 2002, plus sombre et expérimental et un projet d’art moderne en commun avec Radiohead en 2003, le groupe sort ‘Takk...’ en 2005 qui connaît un succès international retentissant avec plus d’un million de ventes à ce jour. ‘Með suð í eyrum við spilum endalaust’ en 2008 et ‘Valtari’ en 2012 complètent sa discographie. Fin mars 2013, Sigur Rós surprend tout son monde avec l’annonce de la sortie de ’Kveikur’ mais surtout avec la publication de son premier single ‘Brennisteinn’ à l’intro brute de décoffrage, beaucoup plus rock et tranchant que par le passé. Ce nouveau son sied à merveille à l’univers du groupe, toujours épique et cinématographique, et rend cet album tout simplement enthousiasmant. Kveikur est sans conteste le meilleur album du groupe depuis Takk... et chaque titre qui le compose est une merveille de clair-obscur, comme les lumineux et catchy ‘Isjaki’ et ‘Rafstraumur’ ou le ténébreux ‘Kveikur’ qui donne son nom à l’album. Ce savant équilibre confère à cet album une classe incroyable et Sigur Rós semble régénéré à l’aube de ses vingts ans d’existence. Il nous tarde d’entendre la suite ! Kveikur est donc une incroyable réussite. Il ravira les fans tout en surprenant ceux qui pensaient tout connaître du groupe et est certain de rallier à sa cause un public encore plus large !