Leontyne Price fêtera ses 90 ans en février 2017. Pour honorer la voix au timbre chaud et luxuriant de cette immense soprano, Decca Classics ajoute deux volumes à son catalogue de livres-disque opératiques : deux enregistrements de Price, remasterisés à partir de leurs bandes analogiques d'origine. Le premier présente la diva dans Tosca de Puccini, avec di Stefano (Cavaradossi), Taddei (Scarpia) et Corena (Il Sagristano), accompagnés du Wiener Philharmoniker dirigé par Herbert von Karajan. Ces deux rééditions reprennent les couvertures originales respectives des deux albums. Chacune comprend le libretto de son opéra, traduit en Anglais, Français et allemand, 2 CDs et 1 BluRay audio haute définition 96kHz/24-bit permettant de profiter de toutes les subtilités du de la voix unique de Leontyne Price. Le second présente une captation de référence d'Aida dirigée par Georg Solti, avec Price dans le rôle éponyme, Jon Vickers (Radames) et Robert Merrill (Amonasro). Leontyne Price avait un don pour unifier la voix, les mots et leurs sens, et était même capable d'adapter les couleurs de sa voix à son chef d'orchestre - Grammophone
Le compositeur italien de renommée mondiale Ennio Morricone fait paraître son premier album sur le label Decca Records le 11 novembre, un jour après son 88e anniversaire. Intitulé Morricone 60, l'album célèbre sa carrière prolifique qui couvre ses 60 ans de carrière et ses 600 compositions. Il s'agit du premier album d'Ennio Morricone où il dirige, enregistre et sélectionne lui-même ses plus grands succès, de Le Bon, La Brute et Le Truand jusqu'au récent film oscarisé Les Huit Salopards de Quentin Tarantino. Ce disque est un véritable héritage destiné à ses fans. Il présente de nouveaux enregistrements réalisés avec l'Orchestre National Symphonique Tchèque avec qui il a collaboré sur de nombreux films internationaux majeurs. Ennio Morricone a composé plus de 500 partitions pour le cinéma et la télévision ainsi que plus de 100 oeuvres musicales. Il est l'un des deux seuls compositeurs de cinéma dans l'histoire à avoir reçu le prix d'honneur aux Oscars pour sa carrière. Les oeuvres les plus marquantes étant Il était une fois dans l'Ouest, Il était une fois en Amérique, Les Incorruptibles et Mission. La musique du film Le Bon, La Brute et le Truand figure à la 2e place du Top 200 des meilleurs bandes originales de film jamais composées.
La France les a découverts dans les stades en 1ère partie d'AC/DC et de Guns N'Roses, puis dans les clubs parisiens (La Boule Noire, Le Divan du Monde) où ils ont littéralement mis le feu! Sorte de carte de visite, leur EP The Wayside (sortie en 2015) a valu à Tyler Bryant & The Shakedown les honneurs de la presse spécialisée. Rock Hard, Guitar Part, Guitar Xtreme, La Grosse Radio, Oui FM ne tarissent pas d'éloges sur les talents de ce jeune guitariste / chanteur et de sa troupe. Flanqué de ses insaisissables Shakedown - Caleb Crosby (batterie), Graham Whitford (guitare), Noah Denney (basse) - ce texan exilé à Nashville nous offre enfin un véritable nouvel album. Un disque de blues rock tonique et moderne dominé par des guitares classieuses et précises. Sa voix n'est pas en reste puisqu'elle imprime une personnalité décapante à l'ensemble des compositions, qui, sans pour autant sonner vintage respectent tout de même la tradition. Un exploit que peu de groupes réussissent à réaliser de nos jours. Pas étonnant que le petit Tyler soit adoubé par Jeff Beck, Robben Ford et quelques-unes des meilleures gâchettes du genre.
En 2002, Superbus débarquait comme un ovni sur la scène rock française, décidé à imposer un univers musical et visuel unique en France. Pari réussi en seulement quatre ans avec 2 albums studio, 230 000 albums vendus dont 150 000 de leur dernier opus « Pop'n'Gum » certifié disque d'or, une nomination aux Victoires de la musique, une victoire aux MTV Europe Awards pour le « Meilleur groupe français » et une crédibilité acquise sur scène avec des tournées sold out dans toute la France (environ 100 dates/an). Avec leur 3ème opus « WOW » qu'ils ont co-réalisé, Superbus confirme et signe. Entre disco rock enivrant aux accents new wave et dirty pop aux riffs imparables, l'album se révèle surprenant et aventureux, surfant sur les influences 60's et 80's du groupe. Auteur-compositrice de l'ensemble des titres, la charismatique et pétillante Jennifer Ayache s'impose à 22 ans comme l'une des artistes féminines les plus prometteuses de la scène hexagonale, véritable icône d'une nouvelle génération. Avant de retrouver le groupe sur les routes à partir de janvier, un lancement événementiel & live à Paris et en province permettra au public de découvrir le nouvel album en partant à la recherche du bus Superbus itinérant et en assistant aux concerts privés.
Un des grands plaisirs de l’album précédent de Mathias Eick sur ECM Midwest était de faire entendre la sonorité veloutée de sa trompette entrer en relation avec le violon, une combinaison instrumentale que l’on retrouve sur Ravensburg poussée encore plus loin dans ses potentialités. Dans ce nouvel orchestre, le violoniste est Håkon Aase, l’un des musiciens les plus en vue de la nouvelle scène norvégienne que les plus attentifs parmi les amateurs d’ECM auront déjà repéré pour ses interventions inspirées dans le groupe de Thomas Strønen. Le groupe habituel de Eick est également renforcé ici par l’addition du batteur et percussionniste Helge Andreas Norbakken, dont la complicité avec l’autre batteur de la formation, Torstein Lofthus, s’avère constamment remarquable. Eick démontre par ailleurs dans ce disque toutes ses qualités de compositeur, posant les fondations de sa musique sur des rythmes d’une grande force motrice, pour mieux laisser se déployer des mélodies enlevées en une série de pièces qui au final finissent par constituer une sorte de portait de famille collectif. Ravensburg a été enregistré au Rainbow Studio à Oslo en juin 2017 sous la direction artistique de Manfred Eicher. Sa sortie est prévue à la veille d’une tournée européenne.
Après COUP DE GUEULE sorti en 2004 (vendu à 140 000 ex) TIKEN JAH FAKOLY s'entoure des producteurs KEVIN BACON et JONATHAN QUARMBY (ayant travaillé avec ZIGGY MARLEY...) pour l'enregistrement de son nouvel album L'AFRICAIN. Sortie le 24 septembre et rentré #4 dans les charts album, l'album se tient 3 semaines dans le Top10. L'AFRICAIN a été enregistré dans le studio que Tiken a ouvert à Bamako (Mali). C'est aussi la première fois que sont réunis en studio les musiciens qui l'accompagnent habituellement en tournée. De Bamako à Londres en passant par Paris, les producteurs donnent à l'ensemble du disque cette étonnante touche roots futuriste faisant de L'AFRICAIN à la fois l'album le plus traditionnel et le plus contemporain de Tiken à ce jour. A noter les participations d'AKON, BETA SIMON (première signature du label de Tiken) à cet album ainsi que l'écriture de MAGYD CHERFI sur le premier single OUVREZ LES FRONTIERES featuring SOPRANO (PSY4 DE LA RIME). Le CD bonus inclus les duos avec les plus grands artistes crédibles de la scène world du moment (AMADOU & MARIAM, BERNARD LAVILLIERS, AWADI...) ainsi que 2 inédits et un extrait de son premier album CAMÉLÉON sorti en Afrique uniquement en 2001.
Cinq ans après son dernier récital chez Decca (The Golden Voice), le ténor Maltais Joseph Calleja est devenu un artiste majeur de la scène lyrique. Fort de ses succès (il a quasiment éclipsé Plácido Domingo lors des représentations de Simon Boccanegra à Covent Garden l'été dernier !) et de son expérience des scènes du monde entier, Joseph Calleja a acquis une aisance vocale qui lui permet de faire aujourd'hui son retour au disque sans rougir. Son troisième album, The Maltese tenor, présente Joseph Calleja au sommet de son art, dans les rôles qui lui ont valu des critiques extatiques sur scène, tels Rodolfo dans La Bohème, Caravadossi dans Tosca ou encore Gabriele Adorno dans Simon Boccanegra. Le répertoire de Joseph Calleja, loin de se limiter au bel canto, s'étend aussi à l'opéra français : on aura donc le plaisir de savourer son timbre solaire dans Les Pêcheurs de Perles de Bizet, Manon de Massenet et Les Contes d'Hoffmann d'Offenbach. A ne pas manquer : deux duos avec la jeune soprano Polonaise Aleksandra Kurzak, récemment signée chez Decca; sans oublier l'Orchestre de la Radio Suisse Romande dirigé par Marco Armiliato.
Otello Nombre de disques : 1 Disque 1 : 1. Générique Début - 2. Premier Acte : Una Vela ! Una Vela ! - 3. Premier Acte : Esultate ! L'Orgoglio Musulmano Sepolto E In Mar - 4. Premier Acte : Roderido, Ebben, Che Pensi ? - 5. Premier Acte : Fuoco Di Gioia ! - 6. Premier Acte : Roderigo, Beviam ! - 7. Premier Acte : Qua, Ragazzi, Del Vino! - 8. Premier Acte : Capitano, V'Attente La Fazione Ai Baluardi - 9. Premier Acte : Abbasso Le Spade ! - 10. Premier Acte : Gia Nella Notte Densa - 11. Deuxième Acte : Non Ti Crucciar - 12. Deuxième Acte : Vanne ! La Tua Meta Gia Vedo... Credo In Un Dio Crudel - 13. Deuxième Acte : Eccola ! Cassio, A Te ! - 14. Deuxième Acte : Cio M'Accora - 15. Deuxième Acte : Dove Guardi Splendono - 16. Deuxième Acte : D'Un Uom Che Geme - 17. Deuxième Acte : Desdemona Rea ! - 18. Deuxième Acte : Era La Notte, Cassio Dormia - 19. Deuxième Acte : Ah! Mille Vite Gli Donasse Iddio ! - 20. Troisième Acte : (Introduciton) - 21. Troisième Acte : La Vedetta Del Porto Ha Segnalato - 22. Troisième Acte : Dio Ti Giocondi, O Sposo - 23. Troisième Acte : Dio ! Mi Potevi Scagliar Tutti I Mali - 24. Troisième Acte : Vieni; L'Aula E Deserta - 25. Troisième Acte : Questa E Una Ragna - 26. Troisième Acte : Come La Uccidero ? - 27. Troisième Acte : Viva ! Evviva ! Viva Il Leon Di San Marco ! - 28. Troisième Acte : A Terra ! Si Nel, Livido Fango - 29. Troisième Acte : Fuggite !... 30. Quatrième Acte : (Introduction) - 31. Quatrième Acte : Era Piu Calmo ? - 32. Quatrième Acte : Piangea Cantando Nell'Erma Landa - 33. Quatrième Acte : Ave Maria, Piena Di Grazia - 34. Quatrième Acte : (Entrée De : Otello) - 35. Quatrième Acte : Chi E La ? - 36. Quatrième Acte : Calma Coma La Tomba... 37. Quatrième Acte : Nium Mi Tema
Redécouvrez les très nombreux succès au travers de ces 3 concerts de légende : Renaud à Bobino, le Ptit bal du samedi soir et Un Olympia Pour Moi Tout Seul ENREGISTREMENT COMPLET DES CONCERTS Versions enrichies de 9 bonus et versions inédites. Nouvelle numérisation des bandes masters originales Nouveau mastering Coffret capbox 4CD - CD 1 : Live Bobino + 2 bonus - CD 2 : Live Ptit bal du samedi soir + 1 bonus - CD 3 : Live Un Olympia Pour Moi Tout Seul Part 1 + 4 bonus - CD 4 : Live Un Olympia Pour Moi Tout Seul Part 2 + 2 bonus 3 Rééditions exceptionnelles en vinyle 180g et en tirage limité couleur. Vendus avec leurs coupons de téléchargement MP3 - Double album Renaud à Bobino, pochette ouvrante avec 2 disques de couleur rouge - Album Ptit bal du samedi soir, pochette simple avec le disque de couleur bleue - Triple album Un Olympia Pour Moi Tout Seul, pochette ouvrante avec 3 disques de couleur rouge Double Best of vinyle - Nouveau best of avec 19 succès incontournables, pochette simple, 2LP.
Michel LEGRAND / Jacques DEMY Le Cinéma en-chanté Michel Legrand et Jacques Demy, c'est bien plus qu'une collaboration entre un compositeur et un cinéaste, c'est une rencontre fusionnelle entre deux poètes. En Legrand, Demy a trouvé un frère de création, un véritable double musical. Son univers à la fois coloré et souvent cruel semble à jamais indissociable des mélodies envoûtantes du musicien, de ses orchestrations à haute-sophistication, de son lyrisme à l'infini, de son appétit pour tous les langages, du baroque au jazz. A l'occasion de la sortie de l'intégrale Demy chez Arte Vidéo, la collection Ecoutez le cinema ! propose la toute première anthologie Demy/Legrand, de Lola à Trois places pour le 26. Trente ans de fraternité partagée, jalonnée d'extraits des grands classiques (Les Parapluies de Cherbourg, Les Demoiselles de Rochefort, Peau d'âne) mais aussi de bandes originales rares pour la première fois éditées en CD (L'évènement le plus important depuis que l'homme a marché sur la lune, Lady Oscar). Pour cet album, Michel Legrand a spécialement réenregistré les chansons de Parking... mais aussi un magnifique extrait d'Anouchka, comédie musicale restée inédite. Un disque enchanté pour se souvenir d'une collaboration en-chanté.
Maria Joao Pires approfondit le lien qui l'unit à Franz Schubert : Avec plus de 60 ans de carrière derrière elle, la pianiste portugaise Maria João Pires fait d'ores et déjà figure de légende de son instrument. Elle s'est produite sur scène dans le monde entier et ses interprétations de pièces de Chopin, Mozart et Beethoven ont conquis la critique comme le public. Son nouvel enregistrement pour Deutsche Grammophon la voit revenir à l'un de ses compositeurs fétiches, Franz Schubert, figure de proue du romantisme allemand. Ses précédents enregistrements de Schubert ont été acclamés. Parmi eux, un récital consacré au compositeur (1989) et le Voyage Magnifique de 1997. Pour ce nouveau disque, Maria João Pires interprète la Sonate pour piano n°16 en la mineur et la Sonate pour piano n°21 en si bémol majeur, deux pièces tout en contraste. C'est la première fois que Maria João Pires enregistre la sonate pour piano n°16, une oeuvre sombre et élégiaque, expression de la mélancolie romantique. La sonate pour piano n°21 est quant à elle la dernière sonate de Schubert, une de ses compositions tardives les plus célébrées. Maria João Pires traduit avec une grande finesse le caractère éthéré de cette oeuvre qui illustre la face contemplative du romantisme. Les retrouvailles de Maria João Pires avec Franz Schubert, un moment de grâce.
LE PREMIER ALBUM EVENEMENT D'ALISA WEILERSTEIN : Decca n'avait pas signé de violoncelliste depuis plus de 30 ans. La jeune interprète américaine Alisa Weilerstein s'est attiré les louanges des critiques du monde entier pour sa technique parfaite et l'intensité exceptionnelle de son jeu. La passion et la sensibilité qui la caractérisent font d'elle une des jeunes interprètes les plus remarquables à émerger ces dernières années. Adoubée par le grand Daniel Barenboim, Weilerstein nous présente son premier enregistrement pour Decca, dirigé par le maestro israélo-argentin. Elle y interprète tout d'abord un monument du répertoire de son instrument, une oeuvre qui l'obsède depuis son enfance, le Concerto en mi mineur d'Edward Elgar. Cette pièce d'une grande expressivité est si remarquablement interprétée par Weilerstein qu'elle lui a attiré la comparaison avec l'interprète définitivement associée à cette oeuvre, Jacqueline du Pré. Alisa Weilerstein défend également avec ferveur les oeuvres de ses contemporains. Elle interprète ici brillamment le Concerto pour violoncelle (2001) d'Elliott Carter, décédé au mois de novembre dernier, qu'elle a rencontré quelques mois avant sa mort. Alisa Weilerstein conclut ce disque avec le Kol nidrei de Max Bruch, un autre classique du répertoire qu'elle sublime par son interprétation habitée. Ne manquez pas les débuts triomphaux d'Alisa Weilerstein pour Decca.
L'ESPRIT D'AVENTURE D'HILARY HAHN LA CONDUIT UNE NOUVELLE FOIS HORS DES SENTIERS BATTUS Aux côtés du pianiste et compositeur Volker Bertelmann (plus connu du public underground sous le nom d'Hauschka) et de Valgeir Sigurosson (le producteur de Björk), la violoniste Hilary Hahn enregistre Silfra. Hilary Hahn et Hauschka ont en commun une formation classique, même si ce dernier a choisi de s'orienter vers la musique expérimentale, en jouant et composant sur des pianos préparés. Le résultat de la collaboration de ces deux artistes qui a priori tout oppose, est un album fascinant, véritable ovni sur le label Deutsche Grammophon. Sur cet album, Hilary Hahn et Hauschka mêlent improvisation et musique expérimentale : Vous écoutez la musique telle qu'elle a été jouée à la première prise car il n'y en a pas eu d'autres. Vous entendez donc exactement ce qui est né à l'instant T où nous avons enregistré. Ce fut pour moi une expérience tellement enrichissante que je me sens nostalgique lorsque j'écoute le disque !, déclare Hilary Hahn. Silfra est une faille près de Reykjavik (capitale de l'Islande, où l'album a été enregistré) où s'entrechoquent les plaques tectoniques de l'Amérique du Nord et de l'Eurasie. Le titre de l'album symbolise donc la rencontre de deux mondes, à la fois musicaux (classique et expérimental) et géographiques (Hilary est originaire des Etats-Unis; Hauschka d'Allemagne). UN ALBUM CREATIF ET INNOVANT, A L'IMAGE DES DEUX ARTISTES QUI L'ANIMENT...
Le premier disque que Miller enregistre sur ECM, seul à la guitare, accompagné simplement de percussions – possède une saveur internationale Né en Argentine d’un père américain et d’une mère irlandaise, le guitariste Dominic Miller a grandi aux Etats-Unis à partir de l’âge de 10 ans avant d’aller faire ses études en Angleterre. Il vit aujourd’hui en France, après avoir voyagé tout autour du monde durant les trente dernières années. L’influence de la musique latine se faisant fortement sentir par exemple dans une pièce comme Baden (dédiée au compositeur et guitariste brésilien Baden Powell). Le Pont donne l’impression de se retrouver à Paris au début du 20e siècle, tandis que Valium évoque quelque mélodie celtique dans la veine de Bert Jansch et que Fields of Gold est une pièce instrumentale râpeuse empruntée à l’une des ballades les plus connues de Sting. Miller a longtemps été connu comme l’homme à la guitare dans l’ombre de Sting - et le co-auteur du succès mondial Shape of My Heart, entre autres. Miller a également travaillé avec des artistes comme Paul Simon, The Chieftains ou encore Plácido Domingo. Le style de jeu du guitariste a suscité les éloges de Simon, qui dans les liner notes de l’album remarque que Miller possède un touché magnifique, avec un parfum de jazz et de folk anglais.
Wizard Bloody Wizard est le 9ème album studio du groupe de stoner Electric Wizard. Produit par le guitariste/vocaliste Jus Osborn et Liz Buckingham, il fait suite à son sublime prédécesseur 'Time To Die' sorti en 2014. 3 ans après, c'est un album plus lourd de sens que l'on retrouve. Conçu de la même manière qu'une face de vinyle, ces six morceaux prouvent qu'Electric Wizard ont sû se suffir de l'essentiel durant ces nombreuses années de carrière phénoménales. Dans une époque où le hard rock ne sait plus quelle direction emprunter, Wizard Bloody Wizard fut, quant à lui, construit de manière linéaire et intemporelle. En 6 titres et 43 minutes le groupe redéfini le terme 'heavy' en matière de musique... dans une ambiance funèbre qui rappelle celle des films d’horreur vintage, les riffs mariés à ce chant caverneux écrasent tout... Avec ce disque le gang de Jus Oborn (guitare/chant) impose sa propre vision du 'rock lourd'... Le son nous ramène vers l’époque où le mot 'heavy' faisait référence à des groupes tels que Grand Funk ou Black Sabbath et que 'rock' était synonyme de drogues, groupies et montagne d’amplis... En ce 21ème siècle ELECTRIC WIZARD a ressorti de son tombeau ce fameux 'heavy rock' directement tiré du blues, mais également brutal et primaire, qu’affectionnait Hendrix, Blue Cheer, Led Zep ou Cream.
Disque 1 Abracadabra Des bottes à ton chat Maman je t'aime La fête à l'école Regarde-moi De l'autre côté du pont Qui c'est qui fait cui-cui ? Les rouspéteurs 1 caillou + 1 caillou Drôles de rêves Les trois petits cochons Gentil doudou Abracadabra : version instrumentale Des bottes à ton chat : version instrumentale Maman je t'aime : version instrumentale La fête à l'école : version instrumentale Regarde-moi : version instrumentale De l'autre côté du pont : version instrumentale Qui c'est qui fait cui-cui ? : version instrumentale Les rouspéteurs : version instrumentale 1 caillou + 1 caillou : version instrumentale Drôles de rêves : version instrumentale Les trois petits cochons : version instrumentale Gentil doudou : version instrumentale Petit papa Noël La marche des rois Noël arrive J'y crois Petits yeux sommeil Mon beau sapin La forêt endormie Les pères Noël Les anges sur Terre Grand-père Noël Vive le vent La légende de Saint-Nicolas La femme du père Noël Les ateliers du Père Noël Mon gentil Saint-Nicolas Dis monsieur Gordon Cooper Tu peux dire Chanson Dans mon jardin secret Mon cher printemps Ca me chiffonne Un requin sans dents Un son si haut Applo-applaudissez Qui a volé la lune ? Fais-moi Si j'étais un pied Ces bruits bizarres Les oiseaux de mon village Les vieux chewing-gums Ta jambe folle
River : The Joni Letters est l'hommage d'Herbie Hancock à Joni Mitchell. Herbie Hancock (piano), Wayne Shorter (saxophones soprano et ténor), Dave Holland (contrebasse), Vinnie Colaiuta (batterie), Lionel Loueke (guitare). Produit et arrangé par Larry Klein and Herbie Hancock. Avec Norah Jones, Joni Mitchell, Tina Turner, Feist, Luciana Souza, Leonard Cohen et Corinne Bailey Rae. Le quintet de Miles, les années Blue Note, Head Hunters, Rock-it, Jazzmatazz.... Herbie Hancock a traversé les époques et les courants musicaux en laissant derrière lui des chefs d'oeuvres intemporels. Vénéré par les amateurs de funk, de soul, de hip hop ou de jazz il est aujourd'hui une véritable légende vivante. Joni Mitchel est considérée comme une des plus grandes folk singer contemporaine. La beauté de ses textes et la richesse harmonique de ses musiques ont séduit bon nombre d'artistes comme Björk, Caetano Veloso, Elvis Costello, Prince, Wayne Shorter, Brad Meldhau (qui lui ont rendus un hommage discographique en ce début d'année). Joni Mitchell et Herbie Hancock tout comme Miles Davis, Wayne Shorter, Pablo Picasso et d'autres grands artistes de notre temps, partagent un besoin incessant et profond de création. Ils ont toujours eu le désir et le besoin d'innover à chaque note. Ce disque en est la preuve.
Après des mois passés à composer et enregistrer, Steven Wilson a annoncé la sortie de To The Bone, son 5ème album. Un disque ambitieux qu'il dit lui même être influencé par les OEuvres pop/progressives qu'il adorait dans sa jeunesse. Des disques sublimes tels que So de Peter Gabriel, Hounds of Love de Kate Bush, Colour of Spring de Talk Talk ou encore Seeds of Love de Tears For Fears. Au niveau des textes, les 11 titres de ce nouvel album traitent du chaos paranoïaque environnant, dans lequel la vérité devient apparemment une notion de plus en plus floue. De l'observation de la vie quotidienne des réfugiés, des terroristes et fondamentalistes religieux, ainsi que d'un retour, les yeux écarquillés et peut-être plus joyeux, sur l'évasion que Steven a réussi créer à travers sa carrière jusqu'à présent. Disponible en format physique et digital, To The Bone sorti également en version Deluxe ultra limitée avec un livre de 120 pages et un CD bonus regorgeant de démos et de chansons inédites. Un 45 tours vinyle avec une version instrumentale devrait aussi retenir l'attention des collectionneurs. Chanteur, guitariste, compositeur, producteur mais aussi leader du groupe de rock progressif Porcupine Tree depuis plusieurs années maintenant, Steven Wilson se consacre à une multitude d'autres projets ainsi qu'à sa prolifique carrière solo dont To The Bone est le 5ème volet...
Allez, le suspense assez duré : ce Marilyn Manson-là, sixième album de la goule de l'Ohio, est peut-être son meilleur depuis le premier, « Antichrist Superstar », sorte de mètre étalon que ses fans se sont imposés. Avec plus de réussite que précédemment, malgré le départ du fidèle Twiggy Ramirez, le nouvel empereur du metal continue de catapulter l'auditeur dans les cordes, avec férocité (This Is The New Shit) mais se voit désormais en Monsieur Loyal hystérique (Mobscene). Prenant toujours son rock en fusion très au sérieux (Use Your Fist And Not Your Mouth), et même s'il secoue encore le fantôme du glam avec vigueur (Doll-Dagga Buzz-Buzz Ziggety-Zag), Manson s'est cette fois hasardé sur d'autres terrains, rendus vagues par sa seule présence. L'apport de la nouvelle recrue Tim Skold est flagrant dans les essais teintés d'electro que sont The Golden Age Of Grosteque ou Para-Noir (en duo avec sa compagne Dita Von Teese) transformés par tant d'audace. Plus loufoque, plus cohérent et malsain, mais aussi mieux tourné que les précédents, ce disque souffre encore de carences mélodiques graves, mais laisse à penser que Marilyn a entrepris de répondre de façon éloquente aux multiples questions artistiques qui le taraudent (parce qu'il est aussi curieux qu'intelligent), autrement qu'en hurlant comme un dingue pour se faire entendre.
Tony Allen vient de réaliser un rêve d'enfant. Il assure même qu'avec The Source, douzième opus de sa discographie, il a enregistré le disque de sa vie. Il n'est pas anodin qu'un musicien de 76 ans dont la carrière s'étale sur plus de 50 ans et dénombre des centaines d'enregistrements en studio, fasse un tel aveu Premier album du batteur nigérian pour le prestigieux label Blue Note, The Source symbolise peut être mieux qu'aucune autre référence du catalogue à la fois l'âge classique du label et son présent innovant. L'enregistrement de l'album s'est fait sur bandes analogiques et autour de Tony sont réunis quelques-uns des meilleurs musiciens d'une scène que l'on peine à étiqueter jazz tant elle se caractérise avant tout par sa mobilité et sa créativité. Au total 11 pointures, dont 5 cuivres, ont participé à l'enregistrement de The Source. Plus un guest de marque, Damon Albarn. Les meilleurs albums nous racontent toujours une histoire. Celui-ci nous fait remonter à la source de l'art musical de Tony Allen, autrement dit le Nigéria de la seconde moitié du 20ème siècle ou Tony Odalipo Allen, écoute des disques de ses maîtres américains, Art Blakey, Max Roach, Kenny Clarke, éminents batteurs de l'ère du Be Bop et du Hard Bop. Dans ce contexte particulier, le mot source prend une valeur polysémique. Car ici, il peut s'agir d'un retour au source comme de la mise en relation avec une source sonore . Cette dimension est cruciale tant cet album brille par la variété de ses timbres et la diversité de ses couleurs.
Stefan Zweig Le Musicien se situe dans la continuité de l'édition prestige récemment parue MARCEL PROUST - LE MUSICIEN, en format livre-disque, ici en 3CD Stefan Zweig, l'un des plus grands écrivains de langue allemande du 20ème siècle, était viennois. Vienne fût au 19ème siècle la capitale musicale, voire culturelle, du monde occidental (pour mémoire Haydn, Mozart et Beethoven y fondèrent le classicisme viennois, Schubert, Johann Strauss, Brahms, Bruckner, et autres y vécurent, Arnold Schönberg et ses disciples Berg et Webern firent révolution avec la seconde Ecole de Vienne). Il n'est donc pas surprenant que la musique fût la première source d'inspiration pour cet auteur de génie. > Le premier CD propose des extraits d'oeuvres de J.S. Bach à Alban Berg en passant par Haydn, Mozart, Beethoven, Schumann, Schubert, Brahms, Mahler, Schoenberg et Webern. > Les deux autres CD sont consacrés à la Femme Silencieuse, l'opéra de Richard Strauss écrit sur le livret de Stefan Zweig, en version historique de l'Orchestre Philharmonique de Vienne dirigé par Karl Böhm, depuis longtemps épuisée et rééditée pour l'occasion. Un long texte de livret, passionnant et détaillé dépeint Stefan Zweig dans le milieu culturel viennois, et plus précisément la collaboration entre Richard Strauss et Stefan Zweig pour La Femme Silencieuse, crée en pleine montée du nazisme.
Véritable événement à sa sortie en 2004, le premier album solo de Gwen Stefani « Love.Angel.Music.Baby » a été une des plus grosses ventes mondiales de 2005 (plus de 7 millions d'albums vendus dans le monde, dont près de 200 000 ex en France, double disque d'or). Suite à ce succès, Gwen a sorti sa marque de vêtements LAMB, entamé une grande tournée US, fait un bébé et enregistré un deuxième album solo. Pour ce nouvel opus, intitulé « The Sweet Escape », Gwen a collaboré avec plusieurs grands noms : Akon, Pharell Williams, Tony Kanal (de No Doubt), Nellee Hooper (Madonna.), Dallas Austin niveau production, Linda Perry (Kylie, Christina Aguilera, Pink.), Dave Stewart (Eurythmics) et Time Rice-Oxley (de Keane) pour ce qui est de l'écriture. Au final, « The Sweet Escape » est la suite logique de L.A.M.B. avec une série de titres dance aux sonorités 80's et des morceaux urbains, à l'image du 1er extrait « Win It Up ! » (produit par Pharell Williams). Ce titre, directement rentré en forte rotation sur NRJ, reprend un sample du thème de « La Mélodie Du Bonheur » ('The Sound Of Music'). Réalisée par Robert Wise (West Side Story), cette célèbre comédie musicale avec Julie Andrew et Christopher Plummer a séduit toute une génération et raflé 5 oscars en 1965 : meilleur film, meilleur réalisateur, meilleur son, meilleur montage, meilleur arrangement musical.
Depuis la parution de son premier album Pushin' Against A Stone en 2013, Valerie June a travaillé patiemment dans son jardin de chansons, qu'elle a nourries avec attention et amour jusqu'à ce qu'elles éclosent pour se muer en un somptueux nouveau disque, The Order Of Time à paraître le 10 Mars 2017 sur Concord Music Group / Caroline International France. Certaines chansons sont nées de graines semées il y a plus de dix ans, d'autres ont mûri d'un coup alors qu'elle s'y attendait le moins, mais chacune porte la marque du temps. Au fond d'elle, June est avant tout une songwriter capable d'abolir les frontières entre les genres et les époques sonores. En résulte un cocktail de folk, de soul, de country, de R&B et de blues, sans doute ce qu'elle a fait de mieux jusqu'ici. Malgré l'éclectisme musical de l'album, les chansons forment un tout cohérent, en partie parce qu'elles sont liées par la voix unique de June, et parce qu'elles sont autant de pièces d'une réflexion plus vaste sur le temps qui passe et la manière dont cela nous affecte. June était prête lorsqu'il a été temps de récolter ces chansons. Dans le jardin, comme dans la vie, il y a un temps pour tout, et le moment est enfin venu de savourer les fruits de son travail. Avec The Order of Time, Valerie June a préparé un somptueux festin, et tous auront une place à la table le célébrant.
Cigala&Tango, est le huitième disque de Diego El Cigala, comptant avec la collaboration d'Andrés Calamaro et des musiciens Néstor Marconi et Juanjo Domínguez.Avec ce nouvel album Cigala&Tango Diego El Cigala revêt la tradition argentine du flamenco, surtout lorsqu'il interprète les onze tangos qui l'ont fait le plus souffrir, un album que le chanteur définit comme musique de l'âme et qui surgit lors d'une soirée partagée avec le pubique argentin lors de son interprétation Garganta con arena. Le flamenco et le tango sont des genres musicaux différents mais ils vont bien ensemble, parce que nous parlons de musique de l'âme, nocturnes et magiques, affirme Diego El Cigala. Enregistré à Buenos Aires avec la collaboration de nombreux musiciens argentins tels que Calamaro. Le nouveau travail de El Cigala est composé de onze classiques du tango auxquels l'artiste confère un accent flamenco, enregistrés durant son concert le 29 avril dernier au mythique Grand Rex de Buenos Aires. Ainsi, après avoir parier sur le genre musical du boléro dans son antérieur album Lágrimas negras, avec la participation de Bebo Valdés, Diego El Cigala investigue la culture musicale argentine. Selon les dires de l'artiste, le tango a de nombreuses façons de jouer avec le flamenco lorsqu'il s'agit d'interprétation parce qu'il s'agit de vraies musiques. L'idée de créer ces chansons surgit la première fois qu'il voyage à Buenos Aires, il y a trois ou quatre ans, où il eut l'opportunité de connaître le tango.
MISTER MYSTERE Le nouvel album de M est un album en « Diavision ». La Diavision est un terme proposé par M pour décrire des films réalisés sur le principe du « split screen » (écran partagé en deux parties). L'artiste a choisi d'illustrer chacune des chansons de son nouvel album avec un film, réalisé par sa soeur Emilie Chedid et lui-même. NOUVEL ALBUM EN DIAVISION Album réalisé par M, Olivier Lude, Joseph Chedid Chansons écrites par M, Brigitte Fontaine, George Kretek, Hocine Merabet et Louis Chedid, composées par M, Joseph Chedid, Zdar et Louis Chedid. Enregistré par Olivier Lude en collaboration avec Henri Blanc-Francard Mixé par Louis Chedid, secondé par Sébastien Gohier Films réalisés par Emilie Chedid et M, sur des images de M L'ensemble des films - 17 films en tout - est réuni sur le DVD qui accompagne le CD de l'album. Le Coffret Edition Limitée Collector contient : Un livre-disque format 15x15cm incluant un CD Opendisc et un DVD (les 17 films illustrant les chansons) + un livret de 40 pages. 4 enveloppes format 15x15 cm. Ces enveloppes contiennent : 1/ Le CD 4 titres en pochette single de l'album court complémentaire « Lettres à Tanagra » 2/ un carnet de reproductions de croquis et divers écrits signés M sur la genèse du projet « Mister Mystère » - 32 pages 3/ 5 impressions de photos format 140x140 mm représentant M 4/ 5 impressions de photos et divers éléments graphiques, format 140x140 mm Le CD audio contient : les 13 titres de « Mister Mystère » et un accès OPENDISC donnant accès au téléchargement d'un album court complémentaire, les « Lettres à Tanagra » (4 titres).
Nouvel album étincelant. Après le succès de son album Gouach, sorti en 2012, le pianiste/compositeur Jacky Terrasson fait ses débuts sur le label Impulse! avec Take This, un nouvel album étincelant qui saisit la quintessence d'un tempérament musical constitué de nombreuses facettes puisant dans des influences post-bop moderne, pop, hip-hop ou classique européenne, et qui souvent fait appel à des rythmes et mélodies africains ou afro-antillais. Pour l'accompagner sur Take This il réunit le bassiste américain Burniss Travis, et de nouveaux musiciens dont le batteur cubain Lukmil Perez Tito Puente, Giovanni Mirabassi, le percussionniste malien Adama Diarra Dee Dee Bridgewater, Salif Keita et Sly Johnson, chanteur et human beatboxeur virtuose ex Saian Supa Crew, Camille, Eric Truffaz. Ensemble ils forment un combo hip-cosmopolite représentant l'ampleur d'une vision jazz globale mais qui affirme ses racines afro-américaines. Take This est doté de quatre titres originaux magnifiques : Kiff, Dance, November et Letting Go mais il y a également de nouvelles lectures surprenantes dans ce disque, des reprises qui vont de standards jazz Un Poco Loco de Bud Powell, Blue In Green de Miles Davis et Bill Evans, Take Five de Paul Desmond au duo piano-voix fascinant avec Come Together signé des Beatles, en passant par l'exubérance du tube afro-caribéen d'Henri Salvador, Maladie D'Amour (1950), ou encore le remodelage jazz/hip-hop du succès international pop de Gotye, Somebody That I Used to Know (2011). Take This est une aventure musicale supplémentaire dans l'oeuvre de Terrasson.
Hugues Aufray n'a jamais chanté d'autobiographie, mais il a voulu dessiner d'un seul trait le chemin parcouru, comme un autoportrait. Il a donc enregistré Troubador (since 1948), album qui le raconte mieux que ne le ferait la meilleure compilation. Il a donc voulu un disque de standards et de chansons moins connues qui racontent son travail d'importateur : Du nord-américain, du brésilien, de l'espagnol. Je suis un passeur, j'ai toujours rapporté des chansons de mes voyages. Le répertoire est étourdissant et le casting donne le tournis : Françoise Hardy pour le romantisme sixties de Quand j'entends siffler le train, Jimmy Breaux de BeauSoleil à l'accordéon de Prends la vie comme telle, l'étourdissante violoniste Sarah Watkins de Nickel Creek sur Les portes du pénitencier titre adapté par Hugues pour son ami Johnny Hallyday) et Herb Pedersen et Pat Sauber de Loafer's Glory aux guitares et banjo pour faire partir Santiano en bluegrass, Alvin Chea de Take 6 pour emmener les « On est les rois », l'accordéon de David Hidalgo de Los Lobos pour « Dès que le printemps revient ». Et puis John McFee des Doobie Brothers, le Français d'Amérique Freddy Koella (Bob Dylan, Willy DeVille, Francis Cabrel, Doctor John, ou Dick Annegarn à son CV), et çà et là des aventuriers de la musique comme le contrebassiste Sebastian Steinberg (ex-Soul Coughing) ou l'harmoniciste Charlie McCoy (le seul musicien à avoir joué avec Elvis Presley, Bob Dylan et Yvette Horner). Mais on ne cède pas à Troubador since 1948 uniquement parce des chansons superbes sont défendues par des interprètes d'exception.
Un an après avoir conquis le coeur des fans de jazz avec We Could Be Lovers, son premier album chez Impulse! Records, Sarah McKenzie revient avec le sensationnel Paris in the Rain. Comme pour son précédent disque, la chanteuse/pianiste/compositrice/arrangeuse australienne née à Melbourne il y a 28 ans a collaboré avec le producteur Brian Bacchus (Norah Jones, Lizz Wright et Gregory Porter). Le résultat ? Un album fascinant alternant standards et compositions originales qui met une nouvelle fois en évidence l'incroyable musicalité de l'artiste. Plongeant leurs racines dans la tradition du Great American Songbook, les compositions de Sarah McKenzie sont pour beaucoup dans l'énergie contagieuse qui émane de Paris in the Rain. Outre la chanson donnant son titre à l'album et Road Chops, l'artiste nous offre trois compositions originales où la subtilité est le maître mot. Sur One Jealous Moon, un morceau bluesy où Ralph Moore délivre un solo d'anthologie, Sarah McKenzie chante un texte empreint d'une profonde poésie, mettant une nouvelle fois en évidence son talent inné pour jouer avec les mots. Si Paris in the Rain met une nouvelle fois en lumière ses talents de compositrice, cet album nous rappelle également que Sarah McKenzie est une interprète au talent fou, comme le prouvent magistralement ses versions de Day in Day Out de Johnny Mercer et Rube Bloom, Embraceable You de George et Ira Gerschwin, Triste d'Antonio Carlos Jobim, Little Girl Blue de Richard Rodgers et Lorenz Hart ainsi que Tea for Two de Vincent Youmans et Irving Caesar.
Après les 450.000 exemplaires vendus de ses CARNET DE BORD (sorti en octobre 2004), LAVILLIERS a démarré un nouveau périple, une nouvelle aventure musicale. SAMEDI SOIR A BEYROUTH, son nouvel album, suit le fil conducteur d'une soul qui prend sa source dans le Tenessee et aborde les rivages jamaïcains pour finir sa course en France. C'est ainsi que Lavilliers conçoit l'avenir, rappeler sans cesse qu'il se nourrit de ce mélange éternel des genres et des cultures. En ce sens, il est toujours aux prises avec la plus forte actualité et la modernité. Ouvrant ses chansons aux chants du monde, le revoilà donc ambassadeur des couleurs, du mouvement, des échanges. Il nous rappelle que la soul, le reggae, la poésie se répondent et sont l'écho de nos propres mémoires. Aux côtés d'un Lavilliers en très grande forme, quelques guests de choix : WILLIE MITCHELL, orfèvre de la Memphis Soul, orchestrant des cuivres et des cordes voluptueux, échos d'une soul 70's très à l'honneur sur nombre de titres. JEHRO, révélé l'an dernier par un album chaud et habité, vient aussi prêter mains fortes à Lavilliers sur deux chansons pamphlétaires et suaves. TRYO apporte aussi sa gouaille sur un titre bonus tout en ironie...Enfin, les fans se procurant le livre disque collector auront la bonne surprise d'y découvrir un autre bonus exclusif, en duo avec RAUL PAZ. SAMEDI SOIR A BEYROUTH confirme avec succès le renouvellement d'un Lavilliers plus que jamais ancré dans le travail des mots, la douceur et la force des mélodies. Son regard est en toujours en éveil sur un monde qui le nourrit sans cesse et fait vivre en lui un métier d'artiste à son apogée.
Gaetano Donizetti - Robert Devereux Nombre de disques : 1 Disque 1 : 1. Générique - Distribution - 2. Sinfonia - 3. Premier Acte - Scène 1 - Preludio, Coro E Romanza : Geme...Pallor Funero - 4. Premier Acte - Scène 1 - Preludio, Coro E Romanza : All Afflito E Dolce Il Pian - 5. Premier Acte - Scène 1 - Sceba A Cavatina : Duchesse..Alle Fervide Preci - 6. Premier Acte - Scène 1 - Sceba A Cavatina : L'Amor Suo Mi Fe' Beata - 7. Premier Acte - Scène 1 - Sceba A Cavatina : Nunzio Son Del Parlamento - 8. Premier Acte - Scène 1 - Sceba A Cavatina : Ritorna Qual Ti Spero - 9. Premier Acte - Scène 1 - Grand Scena E Duetto : Donna Reale, A' Piedi Tuoi.. 10. Premier Acte - Scène 1 - Grand Scena E Duetto : Un Tenero Core - 11. Premier Acte - Scène 1 - Grand Scena E Duetto : Un Lampo, Un Lampo Orribile - 12. Premier Acte - Scène 1 - Scena E Cavatina : Roberto- Che?...Fra Le Tue Bracci - 13. Premier Acte - Scène 1 - Scena E Cavatina : Forse In Quel Cor Sensibile - 14. Premier Acte - Scène 1 - Scena E Cavatina : Duca, Vieni - 15. Premier Acte - Scène 1 - Scena E Cavatina : Qui Ribelle Ognun Ti Chiama - 16. Premier Acte - Scène 2 - Scena E Duetto : 'Tutto Silenzio' - 17. Premier Acte - Scène 2 - Scena E Duetto : Dacché Tornasti, Ahi Misera ! - 18. Premier Acte - Scène 2 - Scena E Duetto : Quest'Addio Fatale, Estremo - 19. Deuxième Acte - Introduzione : L'Ore Trascorrono - 20. Deuxième Acte - Scena E Duettino : Ebben? - 21. Deuxième Acte - 'Non Venni Mai Si Mesto' - 22. Deuxième Acte - 'Su Lui Non Piombi Il Fulmine' - 23. Deuxième Acte - Terzetto : 'Ecco L'Indegno ! - 24. Deuxième Acte - Alma Infida, Ingrato Core - 25. Deuxième Acte - Scellerato !..Malvagio ! - 26. Deuxième Acte - Va'! Va, La Morte Sul Capo Ti Pende - 27. Troisième Acte - Scène 1 - Scena E Duetto : 'Vé Riede Ancora Il Mio Consorte ! - 28. Troisième Acte - Scène 1 - Non Sai Che Un Nume Vindice - 29. Troisième Acte - Scène 1 - 'All' Ambascia Ond'Io Mi Struggo - 30. Troisième Acte - Scène 2 - Scena Ed Aria : Ed Ancor La Tremenda Porta - 31. Troisième Acte - Scène 2 - Ate Diro Negli Ultimi Singhiozzi - 32. Troisième Acte - Scène 2 - Bagnato Il Sen Di Lagrime - 33. Troisième Acte - Scène 3 - Scena Ed Aria Finale : E Sa&Ra In Questi Orribili Mo - 34. Troisième Acte - Scène 3 - Vivi, Ingrato, A Lei D'Accanto - 35. Troisième Acte - Scène 3 - Che M'Apporti ? - 36. Troisième Acte - Scène 3 - Quel Sangue Cersato Al Cielo - 37. Troisième Acte - Scène 3 - Applaudissements, Générique - 38. Bonus : The Making Of Munich'S Robzerto Devereux - Discography Edita Gruberova
Don't be so shy, le titre remixé par le duo Filatov & Karas n'en finit plus de rebondir dans les charts internationaux : 8ème du top Shazam monde et n°1 shazam en France et dans de nombreux autres pays. Il a été premier de l'airplay radio en France pendant de nombreuses semaines. Extrait de ce nouvel opus également, le single Silver Lining (Clap Your Hands) connaît déjà un succès avec des entrées en playlists sur NRJ, RFM, RTL, RTL2... En 2016, Imany est pour la première fois nommée aux NRJ Music Awards dans la catégorie Artiste féminine francophone de l'année ! The Wrong Kind Of War figure dans le top 20 des ventes d'albums depuis sa sortie en Août, avec près de 3000 ventes hebdomadaires. Chacune de ses apparitions médiatiques le fait remonter dans les charts. Imany est une artiste française aujourd'hui incontournable. Après un 1er album The Shape Of a Broken Heart en 2011 vendu à plus de 200 000 exemplaires en France et autant à l'étranger, l'écriture et la composition de la musique du film Sous Les Jupes des Filles (1,4 million d'entrées en salles), et une tournée internationale de plus de 370 dates, Imany revient avec un nouvel album intitulé The Wrong Kind Of War, bientôt disponible en version vinyle 2LP gatefold ! Porté par le succès international de son titre Don't Be So Shy (Filatov & Karas remix) - 5ème Top Shazam Monde, #1 Top Single iTunes, #1 de l'airplay en France et dans de nombreux autres pays - et par le succès du très entrainant Silver Lining (Clap Your Hands) - toujours en playlists sur Europe 1, RFM, RTL, RTL2, Chérie FM,.. son nouvel album est aujourd'hui DISQUE D'OR ! En ce début d'année 2017, Imany est pour la première fois nommée aux Victoires de la Musique dans la catégorie Artiste féminine de l'année ! Imany, une belle artiste, à écouter d'urgence. A l'intérieur de l'édition deluxe limitée : l'album The Wrong Kind of War ainsi qu'un CD bonus avec des versions acoustiques inédites et une reprise live hypnotique du cultissime Bohemian Rhapsody de Queen.
Sorti en 1973, Genesis Live est le premier album live du groupe de rock progressif Genesis. Les titres de cet album ont été enregistrés au départ pour l'émission de radio américaine King Biscuit Flower Hour. Les membres de Genesis ne comptaient pas sortir d'album en public, mais Tony Stratton-Smith, le patron de leur label Charisma Records, arriva à les convaincre de sortir cet album pour combler le temps qui sépare Foxtrot et son successeur, Selling England by the Pound. Le groupe a longtemps hésité à sortir cet album de peur qu'il ne révèle les carences du show live par rapport à l'enregistrement studio. En effet, les mélodies, parfois fort complexes et rapides (notamment les partitions des claviers dans la pièce Supper's Ready), n'étaient pas toujours interprétées à la perfection en concert (malgré le haut niveau technique des musiciens), ce qui contrariait les membres de Genesis. Cet album eut pour avantage de fournir aux fans les plus dévoués du groupe un précieux témoignage des concerts de Genesis avec Peter Gabriel car le groupe ne diffusa plus d'enregistrement live jusqu'au départ de Gabriel en 1975 (le disque Seconds Out ne sortit qu'en 1977, avec Phil Collins au chant). L'album fut enregistré le 25 février 1973 au De Montfort Hall de Leicester (excepté la chanson Return of the Giant Hogweed qui fut enregistré la veille à Manchester au Free Trade Hall) pendant la tournée qui suivit la sortie de Foxtrot (1972). La couverture de la pochette représente le groupe sur scène pendant l'interprétation du titre Apocalypse in 9/8, chanson incorporée dans la pièce de vingt-trois minutes Supper's Ready. On reconnait le costume de Gabriel avec son « casque » rouge aux formes géométriques. Cette pièce ne figure cependant pas sur l'album live; elle fut retirée de l'album, qui, au lieu d'être un double album, devint un simple 33 tours. Néanmoins, quelques exemplaires d'un pressage promotionnel pour les radios du double album initialement prévu existent (sur le label néerlandais Philips Records). En Grande-Bretagne, cet album atteignit la 9e place dans les charts et se classa à la 105e place du Billboard 200 aux États-Unis. Cet album fut dedicacé à Richard MacPhail, tour manager de Genesis depuis 1970, qui quitta ces fonctions en avril 1973 pour se tourner vers de nouveaux horizons.
Leonard Cohen est l'une des légendes vivantes de la musique populaire des cinquante dernières années, un chantre essentiel de la contre-culture et l'un des plus grands séducteurs de tous les temps. Ses chansons seront reprises, entre autres, par Cocker, Johnny Cash, Aaron Neville, Jeff Buckley, Bono, Nick Cave ou Suzanne Vega. En janvier 2006, la réalisatrice américaine Lian Lunson se rend en Australie pour filmer les trois nuits de concerts baptisées « Came So Far For Beauty » données au Sydney Opera House en hommage au grand Leonard. L'événement est organisé par Hal Willner. Sur scène, venu interpréter les chansons de Cohen, un aréopage de pointures folk, rock ou pop : Nick Cave, Rufus Wainwright, Laurie Anderson, Antony (d'Antony and the Johnsons), Beth Orton, Teddy Thompson, Kate & Anna McGarrigle, Martha Wainwright, The Handsome Family, Perla Batalla, Jarvis Cocker, Linda Thompson et, en duo avec Leonard lui-même, U2. Au programme : quelques-uns des titres les plus représentatifs de l'oeuvre « cohénienne ». À commencer par « Suzanne », écrite en 1967 pour Judy Collins et qui deviendra sa chanson la plus universellement connue. Mais aussi « Chelsea Hotel » (1974), qui témoigne de son aventure avec Janis Joplin, « Hallelujah », issu de l'album « Various Positions » (1985), thème repris depuis par Jeff Buckley, Bono et John Cale. Ou encore « I'm Your Man » (1988), qui traduit l'intérêt du songwriter pour l'actualité, la politique, les soubresauts et changements du monde et, extrait du même disque, « Everybody Knows ». « Tower of Song » (1995), enfin, de l'album éponyme, formidable production à laquelle participaient rien moins que Sting, Elton John, Peter Gabriel, Bono ou Billy Joel. Le film, baptisé « I'm Your Man » et produit par Mel Gibson, Erik Nelson, Kevin Beggs et Sandra Stern, présente les meilleurs moments des concerts de Sydney, Brooklyn et Brighton entrecoupés d'interviews de l'artiste réalisées backstage où ce dernier commente, avec force humour, lyrisme et tendresse, les souvenirs qui jalonnent sa carrière. Entre essai et biographie, monographie et album photos. Où se dessinent, face à une caméra subtile et complice, la vraie personnalité et la vraie vérité de l'artiste
CD de 10 titres est accompagné d'un DVD de 7 morceaux dont 5 performances live. Egalement sur le DVD : la bande-annonce du film documentaire Playing for Change (PFC), ainsi que des informations sur la Fondation PFC. Depuis une décennie l'ingénieur/producteur Mark Johnson (vainqueur d'un Grammy Award) voyage dans le monde accompagné par son équipe Playing For Change avec une seule passion en tête : connecter des musiciens du monde entier sur des hymnes intemporels. Ce voyage ambitieux commence dans l'Afrique du Sud postapartheid et se poursuit au Moyen Orient avant d'atteindre l'Himalaya. Avec des moyens modernes, l'équipe PFC tourne sans cesse, filmant et enregistrant plus d'une centaine de musiciens surtout en extérieurs : parcs, places publiques et grandes avenues, devant des portes, dans des rues pavées ou au coeur des pueblos dans les collines. Chaque performance enregistrée crée un nouveau mix où tous les artistes jouent ensemble en quelque sorte... même si des centaines ou des milliers de kilomètres les séparent. Parmi les moments magiques de ce disque on peut citer l'Omagh Community Youth Choir (d'Irlande) qui chante Love Rescue Me, écrit par U2 et Bob Dylan, ou alors le classique Stand By Me, où les musiciens de rue américains Roger Ridley et Grandpa Elliott font des harmonies avec le hollandais Clarence Bekker et tout un ensemble d'artistes venus de Russie, Espagne, Venezuela, France et Brésil; la vidéo de ce titre fait d'ailleurs sensation sur YouTube, déjà visionnée plus de sept millions de fois. On trouve également une reprise exaltante du classique de Bob Marley, War/No More Trouble. Sur ce titre (et sa vidéo), des musiciens représentant le Congo, l'Israël, l'Inde, l'Irlande, l'Afrique du Sud, les USA, le Zimbabwe et le Ghana, accompagnent Bono de U2 et Bob Marley lui-même (!). La chanson One Love de ce dernier s'est avérée un choix incontournable pour les producteurs aussi, et l'Américain Keb' Mo' y participe en chantant avec des artistes indiens, israéliens, népalais, sud-africains et zimbabwéens. Egalement sur l'album, des versions de A Change Is Gonna Come, (Sam Cooke), Talkin' Bout A Revolution (Tracy Chapman) et Biko (Peter Gabriel). En voyant sur plusieurs lieux de tournage l'état nécessiteux dans lequel vivent de nombreuses populations, PFC décide de créer la Fondation PFC afin de fournir des ressources - matériels et technologies, des instruments de musique, de l'enseignement - à des musiciens et leurs communautés, rencontrés lors des voyages. Le premier projet de la Fondation s'est achevé en janvier 2009 avec l'ouverture de la Ntonga Music School en Afrique du Sud. Le deuxième projet PFC, le Mehlo Arts Center de Johannesburg, ouvrira courant 2009.
Côté pile, Imany est belle, mince, et glamour. Côté face, il appartient désormais à l'ex mannequin de se libérer des contraintes de la représentation, pour lâcher la bride à sa créativité, et faire éclater le carcan de créature somptueuse et un peu vaine qui a été le sien sept années durant : elle s'est rêvée journaliste, pour ce elle deviendra chanteuse, ce qui parfois revient au même. Et, entre déclaration d'indépendance et d'inventivité, ce premier album est là pour clamer haut et fort que la jeune femme ne se résume pas à une seyante apparence. Enregistré l'été dernier en compagnie d'une aimable brigade de talents forgés au contact de la variété francophone haut de gamme (le bassiste Laurent Vernerey a joué pour Souchon, le claviériste Johan Dalgaard pour le compte de Gaëtan Roussel), voire internationale (Steve Shehan reste le percussionniste attitré de Paul Simon et de l'Hadouk Trio), les douze chansons, toutes en anglais, de ce premier effort évoluent d'une manière claire et assumée sur des rives déjà arpentées par Ayo, et encore avant par le talent magique de Tracy Chapman. Un discours de femme, c'est-à-dire parfois fragile, parfois d'une remarquable ténacité, croise ainsi les archétypes d'une folk-pop riche en guitares acoustiques, et claviers tempérés. A quelques encablures encore de son absolue idole (Billie Holiday), Imany sautille gaiement par-dessus le buzz créé par son incontestable beauté, et impose une mélancolie récurrente grâce à une soul fragile, tendre, mais parfois joyeusement acide (si tu ne peux changer ton mec, change de mec). La chanson-titre, hommage à la terre fantasmée et ancestrale, mérite amplement d'offrir son leitmotiv au printemps qui vient. Hier les Comores, aujourd'hui Paris, demain le monde ? La chaleur de la voix d'Imany, produite ici par un compère de Grace et Wasis Diop, en pertinents jalons, fait étinceler un doux brasier qui augure tous les espoirs (Imany, en swahili), pour une folk soul digne, sensuelle, et nostalgique. Imany est une artiste française aujourd'hui incontournable. Son 1er album The Shape Of a Broken Heart en 2011 vendu à plus de 200 000 exemplaires en France et autant à l'étranger est enfin bientôt disponible en version vinyle 2LP gatefold ! Après ce premier succès et l'écriture et la composition de la musique du film Sous Les Jupes des Filles (1,4 million d'entrées en salles), et une tournée internationale de plus de 370 dates, Imany est revenuavec un nouvel album intitulé The Wrong Kind Of War, porté par le succès international de son titre Don't Be So Shy (Filatov & Karas remix) en digital et n°1 #1 de l'airplay en France et dans de nombreux autres pays - et par le succès du très entrainant Silver Lining (Clap Your Hands) - toujours en playlists sur les plus grandes stations de radio françaises,.. ce nouvel album est aujourd'hui DISQUE D'OR ! En ce début d'année 2017, Imany est pour la première fois nommée aux Victoires de la Musique dans la catégorie Artiste féminine de l'année ! Imany, une belle artiste, à écouter d'urgence.