Compositions de Dino Betti Van der Noot pour un orchestre de 21 musiciens dont : Gianluca Alberti (guitare); Maria-Teresa Battistessa (saxophoe), Simona Bondanza & Ginger Brew (voix); Beppe Caruso (trombone); Danielle Cavallanti (saxophone); Mario Cavallaro (trompette); Sandro Cerino (anches); Elio Marchesini (vibraphone, marimba); Alessio Nava (anches); Fabrizio Puglisi (piano); Marco Ricci (violoncelle); Diego Ruvidotti (trompette); Jonathan Scully (timbales et percussion); Sergio Taglioni (claviers, électronique); Tiziano Tononi (batterie); Vincenzo Zitello (harpes)... Enregistré en 2006, à Milan. Le compositeur milanais (et aussi navigateur semble-t-il) Dino Betti van der Noot est soucieux des liens entre l'homme et la nature. Avec cette sorte de fresque en six tableaux, il otte entre la tentation orchestrale classique-contemporaine et le swing issu de la plus forte tradition du jazz, fut-elle celle des défricheurs des années free. On admettra que cette oeuvre ne manque pas de force(s) grâce, en particulier, à un orchestre vigoureux qui joue avec coeur des compositions complexes et souvent amboyantes aux climats changeants. Une des grandes réussites de ce disque réside dans l'intégration des voix dans Hubris and Dust, la voix parlée-chantée comme l'aimait Schoenberg qui évolue comme une valse envoûtante. Voix également sur Old Wild Shangri-La qui n'est pas sans évoquer les oeuvres ambitieuses de Mike Westbrook avec une belle joute de clarinettes qui fait de ce morceau la perle du disque... Un disque qui pourra intéresser les amateurs de grandes formations non-conventionnelles.
Enfant prodige de l'accordéon, Oswaldinho (de son vrai nom Oswaldo de Almeida e Silva) est né dans la banlieue de Rio en 1954. Fils du fameux et mythique Pedro Sertanejo (le pionnier du forró à São Paulo), il grave son premier disque à huit ans et accompagne dès lors régulièrement son père sur scène ou dans les studios de la maison de disque Continental. Son premier succès : laréinterprétation, à l'accordéon et sur des rythmes nordestins, de la 5e symphonie de Beethoven ! Très vite accueilli dans la cour des grands, il accompagne désormais la plupart des meilleurs musiciens brésiliens : Luiz Gonzaga, Sivuca, Dominguinhos, Tom Zé, Fagner, Djavan, Nara Leão, Milton Nascimento, Caetano Veloso, Jackson do Pandeiro... Invité sur les plus grandes scènes mondiales (Jazz à Juan, Montreux Jazz Festival, Rock In Rio, Ball Room et Blue Note à New York), Oswaldinho le virtuose n'en reste pas moins un étudiant perpétuel, uncrack perfectionniste, toujours en quête d'améliorations techniques et d'enrichissements sonores. Un authentique chercheur de musique et une usine à sons infatigable. Avec Um bom forró Oswaldinho nous offre un somptueux récital de swing, de forrós traditionnels et de xotes universitaires où alternent la danse, la poésie, la spiritualité, les conflits du coeur et les invitations sans équivoqueà jouir de la vie.
Après le succès de l'album OC (Disque d'Or), Christian Salès présente le nouvel album PARATGE symphonie occitane en sol mineur opus 01, interprété par l'Orchestre National de Budapest sous la direction de Peter Pejtsik, associé à des instruments rares aux couleurs occitanes. Cette symphonie, en quatre mouvements, nous invite au rêve éternel de la civilisation d'Oc...
La Dominique aux Antilles : jungle encore sauvage, chants d'oiseaux, légers gazouillis, murmure d'un ruisseau, tout cela accompagné d'une musique de relaxation très calmante et équilibrante. Ce merveilleux accompagnement musical s'effacera ensuite progressivement pour laisser libre cours aux chants de la nature, dans un monde enchanté où seuls règnent le calme et la sérénité... Dans le livret accompagnant ce disque, vous trouverez un carnet de voyage dont les notes ont été prises lors d'un voyage aux Antilles, dans l'île de la Dominique.
Le jour se lève, lentement. La nature s'est lavée d'hier, la nuit l'a purifiée. Seules restent quelques gouttes de rosée au creux des feuilles, sur les pétales des fleurs, posées comme de petites loupes sur les fils des toiles d'araignées... Le soleil pointe au loin, derrière la montagne, comme un être familier qui veille. Tout peut recommencer. J'ai l'impression que les oiseaux me montrent la voie. Mes pas sont légers, le doute a fait place à la sérénité. Dans le livret accompagnant ce disque, vous trouverez le fruit de réflexions écrites lors d'un périple à travers l'Afrique. A méditer!
Des sons charmants et la musique sous la direction de la flûte vous initieront à un état parfait de détente, de concentration et de libération. Ils vous permettront de rétablir l'équilibre entre l'esprit et le corps. De nos jours, le Yoga est communément connu comme un ensemble d'exercices sains pour l'esprit et le corps. Tout le monde ne se rend pas compte que dans la culture indienne, il existe comme un système de philosophie commune et un ensemble de directives spirituelles. Il se concentre sur les liens entre le corps, l'esprit, la conscience et l'âme. Selon le Karma et le Samsara, la libération est réalisée en suivant les règles éthiques, le focus, la méditation et l'ascétisme. La musique de ce disque sera un relais idéal entre exercices physiques et mentaux. De belles mélodies dirigées par une flûte composée par Lucjan Wesolowski et Binod Katuwal accompagneront chaque auditeur de son voyage à travers le mystérieux Moyen-Orient et affecteront positivement son esprit et son corps.
Tout le monde sera d'accord pour affirmer que, lorsque la « vision de soi » est limitée, il y a une tendance plus forte chez l'être humain à être dépendant de l'avis des autres. Nous craignons leur regard... Nous avons peur de mal faire. Ce qui, inévitablement, nous induit des difficultés à nous affirmer et à ne pas savoir dire non quand c'est nécessaire. Nous ne nous risquons même pas à donner notre opinion ! Il faut savoir que le regard des autres est pareil à un palais des glaces avec ses miroirs déformants. Aucune de ces images qui nous sont renvoyées ne reflètent la vérité... En fait seul, le regard que l'on porte sur soi à son importance et peut évoluer en fonction des évènements que nous vivons au quotidien. Cet enregistrement vous propose une séance de sophrologie qui vous aidera à revaloriser l'image de votre propre miroir. Une vision positive de votre « soi » que vous allez sans cesse améliorer au fur et à mesure des écoutes de ce disque.
Shiva et Shakti représentent les énergies d'unité et de sagesse universelle, de création et de passion. Cet album est idéal pour éveiller notre pouvoir de guérison et de transformation dans tous les aspects de notre vie. Ces enregistrements ont été spécialement conçus pour la pratique des mantras, de la méditation, de la relaxation et du yoga. Ils sont chantés en cycles de 9 à 108 répétitions pour honorer le compte traditionnel et produire l'effet énergétique de la répétition. Chaque disque comprend un livret explicatif. 1. Om Nama Shivaya : Pour éveiller le contact avec notre essence et avec la sagesse universelle. Conçu pour accompagner une pratique de yoga solaire. 2. Om Namo Bhagavate : Pour aligner notre volonté avec la volonté supérieure de notre essence afin de manifester nos aspirations profondes. 3. Maha Mrityunjaya : Pour éveiller les énergies de guérison et de transformation de notre vie. 4. Mantra de Shakti : Pour éveiller les énergies de création, de passion et de transformation de la divinité féminine. 5. Gayatri de Shakti : Pour éveiller les énergies d'unité et de sagesse universelle de Shakti et de Shiva.
Sorti en 1977 sous l'excellent label « Lumiar discos » (du regretté Almir Chediak, producteur des fameux « songbooks » qui réunirent la crème de la musique brésilienne)... et un peu oublié depuis, cette compilation d'enregistrements est assez rare et exceptionnelle. Le grand compositeur Tom Jobim - alors au faîte de la gloire et de la reconnaissance internationale, (c'est tout de même lui l'inventeur de la Bossa-Nova) - redevient, le temps d'un disque, un modeste et génial interprète. En reprenant les grands thèmes d'Ary Barroso, de Noel Rosa, d'Edu Lobo, de Dorival Caymmi et de Carlos Lyra, il fait « chanter son âme »... Comme jamais. Bien entendu, les whiskies et la poésie de Vinicius de Moraes n'y sont pas pour rien. Dailleurs, ils sont à portée de main et de lèvres. Le génie fait le reste...Pour principal, c'est lui, Tom, autrement dit Antonio Carlos, faisant chanter, pleurer et rire l'essence la plus raffinée de la musique et de la poésie brésilienne. La qualité orchestrale y atteint des sommets... Et les copains sont là, aussi, pour des duos d'exception et mémorables : Gal Costa, Chico Buarque, Edu Lobo. On notera - et c'est un minimum d'ironie pour l'auteur de « Samba de uma nota só » -on notera donc, sa voix de basse, son piano discret, son tempo ralenti... toujours ralenti...Avec lui, la musique n'est pas pressée. Forcément : Ce n'est pas un citron. A bon entendeur, le salut est donc là : à portée d'oreille. En 14 chansons, interprétées en mains et en voix de maître.
Mystères de la féminité : la douceur et la sensualité des chanteuses brésiliennes illuminent Women of Brazil. Depuis la malice pétillante de Carmen Miranda dans les années 1940 et 1950, depuis le voluptueux contralto d'Astrud Gilberto dans les années 1960, jusqu'aux talents tous azimuts de la jeune génération, les interprètes brésiliennes façonnent depuis longtemps le visage de la chanson internationale. À travers les rythmes désormais incontournables de la samba et de la bossa nova, ces dames ont su gagner le coeur des auditeurs du monde entier. Women of Brazil (Putumayo World Music - sortie le 22 mai 2013) fait la part belle aux stars montantes, aussi bien qu'aux valeurs sûres d'une scène musicale à la fois prolifique et innovante : sambas à la portée philosophique (« Pra Que Sambar », d'Aline Morales) ou légèreté des sons électroniques; rythme chaloupé de la bossa nova (avec Clara Moreno et son « Balanço Zona Sul »), ambiance reggae de « A Foto », interprété par Flavia Coelho. Les musiciennes présentes sur cet album revisitent, pour en livrer une interprétation ô combien personnelle, les créations des plus grands artistes brésiliens, tels Caetano Veloso et Jorge Ben, quand elles ne nous proposent pas des inédits qui, souvent, constituent un clin d'oeil au répertoire brésilien classique. « La joie qui émane de la musique brésilienne tient en partie au fait qu'elle réussit à concilier sensualité, mélodies superbes et paroles chargées de sens », nous explique Dan Storper, fondateur et PDG de Putumayo, à qui est revenu la tâche délicate, pour réaliser ce disque, d'opérer un tri au sein d'une scène musicale en plein essor. Pour brosser de celle-ci un portrait plus complet encore, Putumayo publie deux versions mises à jour de Brazilian Lounge et Brazilian Beat, deux de ses compilations à succès. La plupart des jeunes artistes présentes sur Women of Brazil sont issues de grandes familles de musiciens : c'est le cas de Mart'nália (qui interprète ici « Pára Comigo », un morceau feutré aux accents jazzy) ou de Clara Moreno (la fille de l'immense Joyce Moreno). D'autres nous viennent d'Italie (Nossa Alma Canta), de Suède (Miriam Aïda), de régions rurales du Brésil peu connues des étrangers (Maguinha est ainsi originaire de l'État enclavé de Goiás), ou de ses métropoles les plus importantes : Rio et Sao Paolo. Cette compilation réunit en outre des femmes d'expérience (comme Miriam Maria), des chanteuses mondialement reconnues (Luísa Maita), de même que de nouvelles venues (telle Graça Cunha), dont le nom a, pour le moment, à peine franchi les frontières du Brésil. « Une volupté qui sait mettre en valeur la splendeur des mélodies, ainsi que la richesse des textes et les spécificités de chaque interprète : voilà ce qui unit l'ensemble des artistes présentes sur cet album », poursuit Dan Storper. « Chacune d'entre elles allie en effet une musique d'exception à des paroles qui, loin de se cantonner à l'amour, au désir ou au chagrin, abordent volontiers des sujets plus profonds. »