Mettre le feu et tout saccager à coup de guitares, voilà ce qui distingue The Wild! de 99% des groupes qui se targuent d'être rock & roll ! Le groupe canadien venu de Kelowna en Colombie-Britannique est porté par les nuits longues et difficiles, l'amour de la musique, les racines rurales et une mentalité sans faux-semblants. Ils jouent la bande originale sauvage des vrais rockers et des renégats en quête de liberté. Wild at Heart sort pour la première fois sur vinyle.
Invoqué dans une forêt perdue de Pennsylvanie, le nouveau groupe de death metal Outer Heaven sort du bois avec son premier album Realms of Eternal Decay. En 10 morceaux et un peu plus de 30 minutes, les américains, qui comptent d'anciens membres de Rivers of Nihil, élèvent le niveau pour la nouvelle génération de groupes extrêmes avec un death metal grotesque et chargé de groove à l'ancienne. Realms of Eternal Decay a été produit par Kevin Bernsten (Skeletonwitch, Full of Hell, Integrity) au studios Developing Nations et mixé and masterisé par Arthur Rizk (Cavalera Conspiracy, Inquisition, Pissgrave). La pochette mortelle a été réalisée par Matthew Stikker (Power Trip). Pour les fans de Cannibal Corpse, Morbid Angel, Suffocation, Gatecreeper, Dying Fetus, Full of Hell.
Invoqué dans une forêt perdue de Pennsylvanie, le nouveau groupe de death metal Outer Heaven sort du bois avec son premier album Realms of Eternal Decay. En 10 morceaux et un peu plus de 30 minutes, les américains, qui comptent d'anciens membres de Rivers of Nihil, élèvent le niveau pour la nouvelle génération de groupes extrêmes avec un death metal grotesque et chargé de groove à l'ancienne. Realms of Eternal Decay a été produit par Kevin Bernsten (Skeletonwitch, Full of Hell, Integrity) au studios Developing Nations et mixé and masterisé par Arthur Rizk (Cavalera Conspiracy, Inquisition, Pissgrave). La pochette mortelle a été réalisée par Matthew Stikker (Power Trip). Pour les fans de Cannibal Corpse, Morbid Angel, Suffocation, Gatecreeper, Dying Fetus, Full of Hell.
Portons un toast au retour de Chris Orrick, le poète lauréat du rap et du déclin impérial. C'est le printemps au pays de la dystopie, les oiseaux crachent du sang, les abeilles meurent à un rythme alarmant, et le misanthrope le plus acerbe du Michigan est sorti de son hibernation hivernale avec une poignée de strophes maudites sur les pizzas froides et la destruction du foie. Son dernier album en date pour Mello Music Group, Out to Sea, n'est peut-être pas facile à écouter, mais il est impossible de l'ignorer. Considérez le rappeur de Detroit (anciennement connu sous le nom de Red Pill) comme l'héritier sardonique de l'humour morbide de Mitch Hedberg, du blues de pilier de bar de Charles Bukowski et de la satire caustique de Michael Moore. C'est un iconoclaste issu d'une fière tradition, un réaliste réfléchi et sensible qui utilise le rire pour étouffer les larmes. Si écouter ce disque fait mal, c'est normal. C'est une gueule de bois fendue en deux, le compterendu brutal et inébranlable d'un homme de 30 ans terrifié à l'idée que ces mots puissent être ses derniers. Il a vu trop d'amis mourir jeunes de crises cardiaques et d'overdoses, du cancer et de suicides. Il essaie de s'engourdir parce qu'il ressent trop de choses. Il est trop fier pour s'apitoyer sur son sort, mais trop déterminé dans sa volonté de changer. C'est un reality rap d'un nouveau genre. Out to Sea a commencé sans idée précise. Les thèmes de l'orage et du climat désastreux ont commencé à se matérialiser à partir du brouillard des mots. Il a été facile de les relier à la maladie mentale et au discours dérangé qui a infecté le climat politique à l'époque de Trump. Orrick a un sens rare de l'équilibre entre séquelles et désespoir, un don brillant pour la poésie sombre et l'auto-dérision. C'est de la musique pour faire face à la vie, une forme de survie, une chance de trouver un sens dans un monde qui en semble souvent dépourvu - un disque qui vous ébranlera au plus profond de vous-même, reconsidérant le rayonnement et le délire qui ont progressivement consumé la vie moderne. Si nous existons encore dans quelques décennies, nous pourrons revenir vers Out to Sea, et écouter la bande-son d'une société qui semble désespérément à la dérive.
Portons un toast au retour de Chris Orrick, le poète lauréat du rap et du déclin impérial. C'est le printemps au pays de la dystopie, les oiseaux crachent du sang, les abeilles meurent à un rythme alarmant, et le misanthrope le plus acerbe du Michigan est sorti de son hibernation hivernale avec une poignée de strophes maudites sur les pizzas froides et la destruction du foie. Son dernier album en date pour Mello Music Group, Out to Sea, n'est peut-être pas facile à écouter, mais il est impossible de l'ignorer. Considérez le rappeur de Detroit (anciennement connu sous le nom de Red Pill) comme l'héritier sardonique de l'humour morbide de Mitch Hedberg, du blues de pilier de bar de Charles Bukowski et de la satire caustique de Michael Moore. C'est un iconoclaste issu d'une fière tradition, un réaliste réfléchi et sensible qui utilise le rire pour étouffer les larmes. Si écouter ce disque fait mal, c'est normal. C'est une gueule de bois fendue en deux, le compterendu brutal et inébranlable d'un homme de 30 ans terrifié à l'idée que ces mots puissent être ses derniers. Il a vu trop d'amis mourir jeunes de crises cardiaques et d'overdoses, du cancer et de suicides. Il essaie de s'engourdir parce qu'il ressent trop de choses. Il est trop fier pour s'apitoyer sur son sort, mais trop déterminé dans sa volonté de changer. C'est un reality rap d'un nouveau genre. Out to Sea a commencé sans idée précise. Les thèmes de l'orage et du climat désastreux ont commencé à se matérialiser à partir du brouillard des mots. Il a été facile de les relier à la maladie mentale et au discours dérangé qui a infecté le climat politique à l'époque de Trump. Orrick a un sens rare de l'équilibre entre séquelles et désespoir, un don brillant pour la poésie sombre et l'auto-dérision. C'est de la musique pour faire face à la vie, une forme de survie, une chance de trouver un sens dans un monde qui en semble souvent dépourvu - un disque qui vous ébranlera au plus profond de vous-même, reconsidérant le rayonnement et le délire qui ont progressivement consumé la vie moderne. Si nous existons encore dans quelques décennies, nous pourrons revenir vers Out to Sea, et écouter la bande-son d'une société qui semble désespérément à la dérive.
Ce projet est une exploration, à travers le son et l'image, de la singularité, de l'absurde et du surréalisme qui façonnent ce pays aussi grand qu'un confetti ! Les Tropics vous offrent avec ce nouveau disque un cours d'histoire belge, foncièrement rock & roll et sous tension. On oublie dès lors le fameux compromis à la Belge ! Les morceaux sont bruts, les paroles sont sans langue de bois ! Ce quatrième opus, intitulé The Belgians, compte onze titres, soit onze aspects de la Belgique passés au crible ! L'angle d'approche et les thématiques sont décalés, populaires et décomplexés... En vrac, vous aurez droit à une caricature des frustrations nationales via ses fiertés nationales, à savoir les moules et les gaufres. Le groupe vous gratifiera également d'un cadavre exquis rock'n'roll, écrit sans aucun contrôle, sans faire appel à la raison ni à l'esthétique. Vous irez ensuite de surprise en surprise, d'un amour contre nature à la désobéissance comme garant de l'authenticité, du rassemblement d'un peuple autour d'une danse jusqu'à la perversité de la société de consommation. Le héros belge version looser sans ambition, accompagnés des citoyens désabusés complètent le cocktail. Un véritable Pot Belge qui file une sacrée pêche ! Le groupe reprendra la route en octobre prochain et donnera à l'occasion quelques représentations du Belgian Show ! Ce concert spectacle, où le trio se met au service de projections, vous gratifie d'un voyage virtuel dans leur vision de la réalité belge...Expérimenté lors de la fête nationale belge au Dour Music Festival en 2013, aux Nuits Botanique 2014 ainsi qu'au Festival Europavox (Clermont Ferrand) en juin dernier...il sera à nouveau présenté sur quelques dates en France et en Belgique fin de cette année et début 2015.
Ce projet est une exploration, à travers le son et l'image, de la singularité, de l'absurde et du surréalisme qui façonnent ce pays aussi grand qu'un confetti ! Les Tropics vous offrent avec ce nouveau disque un cours d'histoire belge, foncièrement rock & roll et sous tension. On oublie dès lors le fameux compromis à la Belge ! Les morceaux sont bruts, les paroles sont sans langue de bois ! Ce quatrième opus, intitulé The Belgians, compte onze titres, soit onze aspects de la Belgique passés au crible ! L'angle d'approche et les thématiques sont décalés, populaires et décomplexés... En vrac, vous aurez droit à une caricature des frustrations nationales via ses fiertés nationales, à savoir les moules et les gaufres. Le groupe vous gratifiera également d'un cadavre exquis rock'n'roll, écrit sans aucun contrôle, sans faire appel à la raison ni à l'esthétique. Vous irez ensuite de surprise en surprise, d'un amour contre nature à la désobéissance comme garant de l'authenticité, du rassemblement d'un peuple autour d'une danse jusqu'à la perversité de la société de consommation. Le héros belge version looser sans ambition, accompagnés des citoyens désabusés complètent le cocktail. Un véritable Pot Belge qui file une sacrée pêche ! Le groupe reprendra la route en octobre prochain et donnera à l'occasion quelques représentations du Belgian Show ! Ce concert spectacle, où le trio se met au service de projections, vous gratifie d'un voyage virtuel dans leur vision de la réalité belge...Expérimenté lors de la fête nationale belge au Dour Music Festival en 2013, aux Nuits Botanique 2014 ainsi qu'au Festival Europavox (Clermont Ferrand) en juin dernier...il sera à nouveau présenté sur quelques dates en France et en Belgique fin de cette année et début 2015.
Pour célébrer les 20 ans de la sortie de ce classique d’alternative metal, TVT Records sort pour la toute première fois une version vinyle (avec deux galettes de couleur jaune néon). Inclut les tites : ‘Black’, ‘Too Close To Hate’ et ‘Bitch’. Produit par Mark Mendoza et Jay Jay French (Twisted Sister). Un nouvel album de Sevendust est prévu pour 2018 sur Rise Records.
Après avoir quitté son poste de label manager d’Osgut Ton en 2012 et un 1er album solo salué (Folk, 2015) le résident du Panorama Bar du Berghain revient avec Work. Jetant les ponts entre la house et la pop alternative, Höppner démontre son goût pour le détail et sa capacité à créer des compositions d’une finesse et d’une technicité remarquables. Un album très personnel rempli d’émotions palpables qui dépasse les simples morceaux pour club en documentant l’intérêt de son auteur pour les hybrides sonores et les combinaisons de genres. Pour les fans de : Shed, Steffi, Marcel Fengler, etc.
Après Secret Devil (2015, Instant Records) qui l’a propulsé sur le radar de nombreux médias à l’international, l’américaine revient entourée de son groupe The Deltas pour explorer son héritage hispanique. A la fois personnel et provoquant, cet album est un joyau mélangeant surf psychédélique, cabaret punk, de soul et de rock latin pour créer un ensemble pop légèrement macabre et loufoque dominé par le timbre particulier et la puissance de la voix d’Hernandez. Pour les fans de : Tacocat, CSS, The Ting Tings
Après Secret Devil (2015, Instant Records) qui l’a propulsé sur le radar de nombreux médias à l’international, l’américaine revient entourée de son groupe The Deltas pour explorer son héritage hispanique. A la fois personnel et provoquant, cet album est un joyau mélangeant surf psychédélique, cabaret punk, de soul et de rock latin pour créer un ensemble pop légèrement macabre et loufoque dominé par le timbre particulier et la puissance de la voix d’Hernandez. Pour les fans de : Tacocat, CSS, The Ting Tings
COFFINS sort son premier album pour Relapse. Le mythique groupe japonais de doom revient avec un disque aussi subtil que Godzilla détruisant Tolyo. Pour les fans de Hooded Menace, Cathedral, Winter, Autopsy, Corrupted...
COFFINS sort son premier album pour Relapse. Le mythique groupe japonais de doom revient avec un disque aussi subtil que Godzilla détruisant Tolyo. Pour les fans de Hooded Menace, Cathedral, Winter, Autopsy, Corrupted...
COFFINS sort son premier album pour Relapse. Le mythique groupe japonais de doom revient avec un disque aussi subtil que Godzilla détruisant Tolyo. Pour les fans de Hooded Menace, Cathedral, Winter, Autopsy, Corrupted...
Grand retour de Justus KÖNHCKE sur Kompakt. Entre House, Techno et ballades acides. Justus Könhcke & The Wonderful Frequency Band est le premier album de Justus KÖNHCKE depuis 5 ans. 2013 est une année faste pour Komapkt qui fête ses 20 ans et voit le retour du producteur house sur 10 titres entre house, house et ballade acid.Justus KÖNHCKE retrouve Eric D. Clark, son compagnon au sein de Whirlpool Productions pour un titre disco sensuel. Justus KÖNHCKE collabore aussi avec Andi Toma de Mouse On Mars pour un titre plus pop qui montre le talent du producteur pour embrasser les différents genres. La version vinyle inclut le CD.
Grand retour de Justus KÖNHCKE sur Kompakt. Entre House, Techno et ballades acides. Justus Könhcke & The Wonderful Frequency Band est le premier album de Justus KÖNHCKE depuis 5 ans. 2013 est une année faste pour Komapkt qui fête ses 20 ans et voit le retour du producteur house sur 10 titres entre house, house et ballade acid.Justus KÖNHCKE retrouve Eric D. Clark, son compagnon au sein de Whirlpool Productions pour un titre disco sensuel. Justus KÖNHCKE collabore aussi avec Andi Toma de Mouse On Mars pour un titre plus pop qui montre le talent du producteur pour embrasser les différents genres. La version vinyle inclut le CD.
Le groupe de doom/death finlandais sort son premier album pour Relapse. Combinant les riffs groovy à la High On Fire ou Cathedral avec une pointe de death metal old-school à la Autopsy ou Dismember, Effigies Of Evil est la preuve de la fascination de Hooded Menace pour le death metal classique des années 90, le doom des années 70 et les films d'horreurs cultes. Pour les fans de : High On Fire, Asphyx, Autopsy, Incantation, Winter...
Le groupe de doom/death finlandais sort son premier album pour Relapse. Combinant les riffs groovy à la High On Fire ou Cathedral avec une pointe de death metal old-school à la Autopsy ou Dismember, Effigies Of Evil est la preuve de la fascination de Hooded Menace pour le death metal classique des années 90, le doom des années 70 et les films d'horreurs cultes. Pour les fans de : High On Fire, Asphyx, Autopsy, Incantation, Winter...
15 ans après l’album Black Dialogue le duo The Perceptionists composé de Mr. Lif et Akrobtik revient avec Resolution, un album qui couvre les différents épisodes traversés entre temps et qui ont abouti à des changements de vie radicaux pour les 2 MCs. Pour les fans de : El-P, Akrobatik, Mr. Lif, Brother Ali, Dilated People, etc.
Originalement prévu pour le 13 septembre, l'album a du être repoussé au 15 novembre. The Apprenticeship of Mr. Smith : (The Birth of Ne-Yo) est programmé pour être une des surprises de cette fin d'année, un véritable cadeau pour tout les fans de Ne-Yo et de R'n'B ! Composé et produit par Deon Evans, producteurs de 2Pac (Changes, Ghetto Gospel...), ces pépites, même si elles ont été enregistrées avant que Ne-Yo ne signe un contrat major, sonnent comme du Ne-Yo d'aujourd'hui. L'album est composé de 11 titres soulfull R'n'B, dont 4 hits (Magic, Amazing You, Angel / Stranger et The End ) qui vont à coup sûr tourner sur l'ensemble des dance-floors et radios de la planète. The Apprenticeship of Mr. Smith : (The Birth of Ne-Yo) est la genèse de la star du R'n'B mais est la combinaison parfaite de l'ensemble des 3 albums de Ne-Yo cumulant plusieurs millions de ventes. Un must pour les fans en cette fin d'année et les années à venir !
Pour son premier disque pour Relapse (après un premier album pour Forcefield l'an dernier), WINDHAND pose la barre très haut. Non seulement « Soma » est un album de doom de très haute volée, certains diront d'ailleurs que c'est un classique à classer aux côtés de Reverend Bizarre, Sleep ou encore Electric Wizzard, mais c'est surtout un grand disque de rock épique aux riffs lourds et précis. On pense à la rencontre parfaite entre Nirvana et Black Sabbath, entre une musique puissante et lourde et un certain sens des mélodies évidentes et entêtantes. « Soma » postule déjà au titre d'album « heavy » de l'année. Pour les fans de Electric Wizard, Sleep, Black Mountain, Dead Meadow, Black Angels, Royal Thunder, Uncle Acid & The Deadbeats...
Frank BRETSCHNEIDER est un musicien et compositeur de Berlin qui oeuvre depuis 1996. Il a publié de nombreux albums pour Raster-Noton et son nouvel opus est construit sur une série d'improvisations enregistrées dans son studio en 2011 et 2012. On y retrouve son sens du rythme, sa production ultra précise et son goût pour les hautes-fréquences.
Nouvel album pour le quatuor doom de Portland ! Inspiré par la science-fiction dystopique et la difficile réalité actuelle Portals Into Futility contient 5 titres pour plus de 56 minutes d'un doom/sludge élégamment dépressif et particulièrement bien construit. Avec un son évoluant entre dynamique et et force, Usnea plonge dans un deathmetal dissonant, des structures vocales variées et des compositions cinématiques tout en maintenant une puissance monumentale, une brutalité, une violence et une touche mélodique que l’on pouvait déjà retrouver dans leurs oeuvres antérieures. Pour les fans de : YOB, Thou, Disembowelment, Graves At Sea, Ufomammut, Old Man Gloom, Inverloch, etc.
Depuis 2007 le trio allemand Wareika, composé de Florian Schirmacher (chant, claviers, percussions), Henrik Raabe (guitares, claviers, percussions) et Jakob Seidensticker (MPC, boites à rythmes, mix), partage sa passion pour une house jazzy, minimaliste et répétive mais néanmoins épique, véritable kaléidoscope de mélodies et de motifs polyrythmiques. Pensé comme un seul morceau, l'ambitieux Water, Sky, Sun, Wood est le 5ème album du groupe, le 1er pour le label japonais Mule Musiq. Un album mêlant les influences house, techno, jazz et musiques du monde pour un résultat profondément captivant.
Ewan Pearson est un adepte de la secte KOMPAKT depuis plus de 4 ans en participant chaque année au prestigieux plateau du SONAR organisé par le label. Aujourd'hui il sort son premier mix sur la série « WE ARE PROUD OF OUR CHOICES » pour laquelle les précédents mixes ont été réalisés par MICHAEL MAYER, DJ KOZE, TOBIAS THOMAS, et SUPERPITCHER.Ce mix exceptionnel est le troisième de EWAN PEARSON après celui réalisé pour K7 dans le cadre des séries « Piece Work » et après la floppée de remixes réalisés pour DEPECH MODE, GOLDFRAPP, CHEMICAL BROTHERS, M83.. Un véritable bijou de mix, de gout, et de talent au service d'un des labels les plus aboutis de ces dernières années.
Nouvel album pour le quatuor doom de Portland ! Inspiré par la science-fiction dystopique et la difficile réalité actuelle Portals Into Futility contient 5 titres pour plus de 56 minutes d'un doom/sludge élégamment dépressif et particulièrement bien construit. Avec un son évoluant entre dynamique et et force, Usnea plonge dans un deathmetal dissonant, des structures vocales variées et des compositions cinématiques tout en maintenant une puissance monumentale, une brutalité, une violence et une touche mélodique que l’on pouvait déjà retrouver dans leurs oeuvres antérieures. Pour les fans de : YOB, Thou, Disembowelment, Graves At Sea, Ufomammut, Old Man Gloom, Inverloch, etc.
Premier album pour Relaspe du groupe néo-zélandais ULCERATE. ULCERATE joue un death-metal atmosphérique et sombre mais également puissant et rapide. Un peu comme un mélange de Neurosis et Morbid Angel. Pour les fans de Gorguts, Portal, Deathspell Omega, Spawn of Possession, Nile, Decrepit Birth, Psycroptic.
Premier album pour Relaspe du groupe néo-zélandais ULCERATE. ULCERATE joue un death-metal atmosphérique et sombre mais également puissant et rapide. Un peu comme un mélange de Neurosis et Morbid Angel. Pour les fans de Gorguts, Portal, Deathspell Omega, Spawn of Possession, Nile, Decrepit Birth, Psycroptic.
Originaire de Denver, PRIMITIVE MAN sort son premier album de doom apocalyptique. En 7 titres aux riffs lent et lourd, PRIMITIVE MAN produit une musique des plus sombres où feedbacks, voix effrayantes et guitares puissantes ne font rien pour détendre l'atmosphère. Pour les fans de Grief, Buzzoven, Melvins, Nails, Inter Arma, Dragged Into Sunlight...
Originaire de Denver, PRIMITIVE MAN sort son premier album de doom apocalyptique. En 7 titres aux riffs lent et lourd, PRIMITIVE MAN produit une musique des plus sombres où feedbacks, voix effrayantes et guitares puissantes ne font rien pour détendre l'atmosphère. Pour les fans de Grief, Buzzoven, Melvins, Nails, Inter Arma, Dragged Into Sunlight...
En tant que DJ, Fonkynson partage régulièrement l’affiche avec des artistes de renommée comme The Magician ou Birdy Nam Nam. Pour son premier album complet, Fonkynson cherche l'inspiration dans la future house pour nous offrir une collection pointue de morceaux destinés aux dancefloors. Les singles qui précèdent cet album ont déjà accumulé plus de 300 000 écoutes sur des plates-formes numériques et ont permis à Fonkynson de se faire une place au sommet des charts de Hype Machine. « Navigant entre la house, le disco et évidemment le funk, le producteur français basé à Montréal, propose une multitude de sons joyeux dont la bonne humeur et les groupes de potes semblent être les maîtres mots. Parfait combo pour l’été. » TSUGI
Sorti à l'origine en 1978, Un Homme dans l'Univers a été composé par Janko Nilovic. Cet album a pour intention de décrire musicalement les événements du monde, un regard sur les actualités par le sommaire. C'est l'album le plus cinématographique jamais enregistré par le maestro et il sera repressé par Broc Recordz en 2019 pour la première fois à seulement 500 copies !
L'écossais Alasdair Roberts est de retour avec sa folk étincelante pour un neuvième album solo. Si jusqu'en 2007 il reprenait et rénovait le répertoire traditionnel écossais, il a finalement abandonné le pur folklore musical celte pour explorer l'art de la composition. Avec Pangs il continue cette démarche créatrice et innovante et s'éloigne de l'austérité acoustique de son précédent album sorti en 2015. Il fait ici la part belle à la guitare électrique et s'entoure d'un groupe. Pangs reflète la modernité de son compositeur et sa volonté de s'éloigner de la folk classique pour se diriger vers des morceaux plus expérimentaux. Le trio composé de Roberts, Alex Nielson et Stevie Jones a également accueilli des invités tels que Debbie Armour, Tom Crossley, Rafe Fitzpatrick ou encore Jessica Kerr. Un album d'une puissance et d'une beauté uniques mêlant les racines de la folk à une approche brillamment contemporaine. Pour les fans de : Bonnie Prince Billy, Meg Baird, King Creosote, Ryley Walker, etc.
L'écossais Alasdair Roberts est de retour avec sa folk étincelante pour un neuvième album solo. Si jusqu'en 2007 il reprenait et rénovait le répertoire traditionnel écossais, il a finalement abandonné le pur folklore musical celte pour explorer l'art de la composition. Avec Pangs il continue cette démarche créatrice et innovante et s'éloigne de l'austérité acoustique de son précédent album sorti en 2015. Il fait ici la part belle à la guitare électrique et s'entoure d'un groupe. Pangs reflète la modernité de son compositeur et sa volonté de s'éloigner de la folk classique pour se diriger vers des morceaux plus expérimentaux. Le trio composé de Roberts, Alex Nielson et Stevie Jones a également accueilli des invités tels que Debbie Armour, Tom Crossley, Rafe Fitzpatrick ou encore Jessica Kerr. Un album d'une puissance et d'une beauté uniques mêlant les racines de la folk à une approche brillamment contemporaine. Pour les fans de : Bonnie Prince Billy, Meg Baird, King Creosote, Ryley Walker, etc.
Deux des meilleurs groupes heavy de Virginie partagent un split album aux relents de heavy doom pour un voyage acide en enfer. Windhand délivre deux titres de doom apocalyptique alors que Satan's Satyrs opte pour 3 titres de metal punk satanique.
Pour ce nouvel album Low Cut a pris l'option de partir seul au front. Compositions 100% sampling, les machines installées dans les sillons des disques comme des derricks dans un champ de pétrole, Low Cut a su tirer des vinyles sélectionnés les secondes les plus précieuses. Origine, artiste, année, label, le secret restera de mise. Tout juste Low Cut consent-il à dévoiler le rock progressif italien sur la liste des composants. Des boucles de sitar, de piano, de synthétiseurs. Des boucles expressives, nostalgiques ou énigmatiques pour des voyages où la pesanteur est abolie. Où les claviers futuristes permettent un décollage astral quand les guitares ramènent errances étendues désertiques et ocres, avec pour seuls compagnons un soleil agressif et des coyotes attendant leur tour. Des boucles filtrées, travaillées, déstructurées, pour des expériences qui mêlent l'encens et le double zéro, pour des virées dans des bande-son en 16mm où la nature apaisante laisse place à l'oppression urbaine en quelques claquements de caisse. BPM ralentis, breakbeats accentués et groove actionné par les cordes ronronnantes d'une vraie basse, Stoned Ride décline climats et ambiances avec une continuité et une progression logique. Celle d'un trip hip hop instrumental avec Low Cut en seul machiniste.
En un peu moins de 4 ans, les fervents porteurs de la flamme d'un death metal old-school Gruesome (avec des membres passés et présents de Exhumed, Possessed, Malevolent Creation) se sont fait la réputation d'être un des tous meilleurs groupes de la scène. Pour leur second album, après la sortie d'une paire de EP, Gruesome reprend la formule de Spiritual Healing de Death à savoir incorporer un son plus cérébral, des parties mélodiques élaborées, des éléments de thrash et des textes socialement engagés. Enregistré avec le producteur Jarrett Pritchard (Exhumed, 1349, Goatwhore) au New Constellation Studios à Orlando, Twisted Prayers voit faire ce que Gruesome sait faire de mieux en 8 titres pour 40 minutes. La pochette est encore signée du légendaire Ed Repka (Death, Atheist, Massacre). On notera la présence de la guitare de James Murphy (Death, Obituary, Testament) pour quelques solo bien sentis. Pour les fans de Death, Obituary, Autopsy, Morbid Angel, Cannibal Corpse, Possessed.
Suite à un déménagement à Austin, il n’a pas fallu longtemps pour que Whitney Rose tombe amoureuse du Texas. South Texas Suite est en faite une étude méticuleuse du son et de l’espace mais aussi de circonstances inattendues pour celle qui a tourné avec Sam Outlaw. Impressionnée par l’atmosphère accueillante et chaleureuse d’Austin et de sa communauté musicale, il ne lui fallut que 2 jours pour enregistrer South Texas Suite au côté d’une longue liste de musiciens chevronnés comprenant, entre autres, le guitariste Redd Volkaert (ancien membre du groupe Merle Haggard et vainqueur d’un Grammy Awards), le claviériste Earl Poole Ball, qui a passé deux décennies au côté de Johnny Cash, le bassiste Kevin Smith et le batteur de The Mavericks Tow Lewis. Whitney Rose délivre ainsi une véritable lettre d’amour au ‘Lone Star State’ dans cet EP profondément romantique, un brin nostalgique et à la dimension intimement personnelle. Pour les fans de : The Mavericks, Dale Watson, Sam Outlaw, Nikki Lane, etc.
THE STRANGER est un projet de James Leyland Kirby plus connu sous le pseudonyme de The Caretaker. Watching Dead Empires In Decay est son premier album depuis 2008. C'est également son premier disque pour Modern Love. C'est un mix de rythmes claustrophobes et de paysages sonores à la David Lynch. Pour les fans de Eraserhead, Wolf Eyes, Cut Hands, Boards Of Canada...
Mark Fosson joue de la guitare depuis presque 50 ans et sa maîtrise de cet instrument est aujourd’hui incontestable. Cet album n’est que le 5e publié sous son propre nom, c’est dire que lorsqu’il l’utilise, c’est que la musique qu’il renferme est particulièrement belle et juste. Après son album kY (2015) sur ses souvenirs d’enfance dans le Kentucky, il se focalise ici uniquement sur sa guitare, qu’elle soit à 6 ou 12 cordes. Il démontre un jeu en fingerpicking parmi les plus vifs et virtuoses au monde pour conter des histoires colorées par l’acier des cordes pincées, frappées et tordues. Solo Guitar est le genre d’album magistral qui nécessite une vie entière pour être constitué. Il prouve qu’un guitariste de la trempe de Mark Fosson n’a pas besoin de mots pour raconter des histoires aussi riches et détaillées que celle d’un poète, écrivain ou cinéaste.
HYPO et EDH sont deux musiciens français qui mènent chacun une carrière solo foisonnante depuis le début des années 2000. HYPO & EDH est aussi un groupe, un binôme, et plus exactement un monstre à deux têtes qui s'incarne régulièrement sur scène comme en studio pour produire une musique unique, exigeante, à la fois pop et expérimentale, entrainante et mélancolique, électronique et organique. En 2007, The Correct Use Of Pets, leur premier album en commun a été récompensé par le premier prix aux Qwartz Electronic Music Awards dans la catégorie Découverte. Retournés ensuite à leurs projets solos respectifs (deux albums solo pour EDH, un album et un EP pour HYPO), le duo n'a jamais cessé de collaborer ponctuellement en studio comme à la scène. Ces expériences, très bénéfiques pour le duo, lui ont ouvert de nouveaux territoires et ont installé un contexte propice à l'élaboration d'un nouvel album en commun. Ce second opus en duo laisse une plus large place au travail analogique que son prédécesseur, sans pour autant renier son ancrage électronique. Résolument actuel dans ses sons et son concept, l'album propose une New Wave électronique aux accents Exotica, avec un gout prononcé pour l'étrange. L'idée est de composer des objets musicaux surprenants, des tableaux, parfois incongrus, qui ont l'air de vouloir embrasser la musique toute entière en 3 minutes. Le duo cultivera sans cesse l'équilibre entre l'efficace et l'étrange, entre le figuratif et l'abstrait.
HYPO et EDH sont deux musiciens français qui mènent chacun une carrière solo foisonnante depuis le début des années 2000. HYPO & EDH est aussi un groupe, un binôme, et plus exactement un monstre à deux têtes qui s'incarne régulièrement sur scène comme en studio pour produire une musique unique, exigeante, à la fois pop et expérimentale, entrainante et mélancolique, électronique et organique. En 2007, The Correct Use Of Pets, leur premier album en commun a été récompensé par le premier prix aux Qwartz Electronic Music Awards dans la catégorie Découverte. Retournés ensuite à leurs projets solos respectifs (deux albums solo pour EDH, un album et un EP pour HYPO), le duo n'a jamais cessé de collaborer ponctuellement en studio comme à la scène. Ces expériences, très bénéfiques pour le duo, lui ont ouvert de nouveaux territoires et ont installé un contexte propice à l'élaboration d'un nouvel album en commun. Ce second opus en duo laisse une plus large place au travail analogique que son prédécesseur, sans pour autant renier son ancrage électronique. Résolument actuel dans ses sons et son concept, l'album propose une New Wave électronique aux accents Exotica, avec un gout prononcé pour l'étrange. L'idée est de composer des objets musicaux surprenants, des tableaux, parfois incongrus, qui ont l'air de vouloir embrasser la musique toute entière en 3 minutes. Le duo cultivera sans cesse l'équilibre entre l'efficace et l'étrange, entre le figuratif et l'abstrait.
Deux des meilleurs groupes heavy de Virginie partagent un split album aux relents de heavy doom pour un voyage acide en enfer. Windhand délivre deux titres de doom apocalyptique alors que Satan's Satyrs opte pour 3 titres de metal punk satanique.
Mark Fosson joue de la guitare depuis presque 50 ans et sa maîtrise de cet instrument est aujourd’hui incontestable. Cet album n’est que le 5e publié sous son propre nom, c’est dire que lorsqu’il l’utilise, c’est que la musique qu’il renferme est particulièrement belle et juste. Après son album kY (2015) sur ses souvenirs d’enfance dans le Kentucky, il se focalise ici uniquement sur sa guitare, qu’elle soit à 6 ou 12 cordes. Il démontre un jeu en fingerpicking parmi les plus vifs et virtuoses au monde pour conter des histoires colorées par l’acier des cordes pincées, frappées et tordues. Solo Guitar est le genre d’album magistral qui nécessite une vie entière pour être constitué. Il prouve qu’un guitariste de la trempe de Mark Fosson n’a pas besoin de mots pour raconter des histoires aussi riches et détaillées que celle d’un poète, écrivain ou cinéaste.
PELICAN rejoint l'écurie Southern Lord pour un sublime quatrième album What We All Come To Need, plus lourd que son prédécesseur, comme si PELICAN avaient décidé de reprendre les bases de leurs débuts pour les pousser plus loin dans la noirceur rock. Avec la participation exceptionnelle de GREG ANDERSON (SUNN0)))), AARON TURNER (ISIS), ALLEN EPLEY (SHINER, LIFE AND TIMES), et BEN VERELLEN (HELMS ALEE), et au final certainement le disque le plus inspiré du groupe à ce jour.
Sur son second album pour Black Jazz le sous-estimé saxophoniste Rudolph Johnson montre une rare confiance dans une approche directe et émotionnelle du Jazz : on retrouve des touches Coltraniennes mais aussi un son plus hard bop. A l'opposé de ses contemporains il rejette des influences extérieures pour se concentrer sur un Jazz plus pur. Personnel : Bass - Kent L Brinkley, Drums - Douglass J. Sides, Piano - Kirk Lightsy, Saxophone (Tenor) - Rudolph Johnson.
Auteur du méga-hit ‘Dancing In The Moonlight’ qui figure de façon récurrente dans les 10 meilleurs titres feel-good le quatuor britannique Toploader revient avec un 4e album. Fêtant cette année ses 20 ans d’existence pouvant s’appuyer sur plus de 2 millions d’albums vendus et une série de single parvenus aux sommets des charts, le groupe continue d’user de son savoir pour délivrer 10 nouveaux titres pop entêtants et bourrés d’énergie. Pour les fans de : Robbie Williams, Starsailor, Orson, etc.
Steve Moore, un des deux membres de Zombi, revient avec une nouvelle bande originale d'un film d'horreur. Pour la B.O. de The Mind's Eyes démontre son talent à construire des ambiances mais aussi des thèmes musicaux forts. Sur plus de 85 minutes Steve Moore oscille entre tension et horreur avec bonheur. Pour les fans de Zombi, Goblin, S U R V I V E, Trans Am, John Carpenter, Mogwai, Tangerine Dream, Explosions In The Sky.
Horace Andy aussi surnommé SLEEPY et originaire de Kingston JAMAIQUE a débuté sa carrière à la fin des années 60 pour 2 célèbres producteurs que son PHIL PRATT et COXSONE DODD le patron de STUDIO ONE. Il enregistra des tracks devenus de véritables classiques du genre tels que « SKYLARKING », « Money » ou encore « Serious Thing ». Au milieu des années 70 il sort le légendaire album « In The Light » ensuite réédité sur le label BLOOD & FIRE. Début des années 80 il sort « Dance Hall Style » véritable pièce maitresse avant de rejoindre MASSIVE ATTACK pour les albums « BLUE LINES » et « PROTECTION » qui le propulsent au rang de star mondiale aussi bien dans le monde du reggae que celui de la musique électronique. Aujourd'hui HORACE ANDY revient avec un album de 14 titres profondément ROOTS enregistré pour MINOR7FLAT5, le label d'ANDREAS « BROTHERMAN » CHRISTOPHERSEN déjà connu pour ses productions pour TURBULENCE, LUCIANO, ANTHONY B, SIZZLA, CAPLETON, BEENIE MAN, BOUNTY KILLER, JUNIOR KELLY... On y retrouve un line up extraordinaire avec LEROY « HOUSE MOUTH » WALLACE à la batterie, DEAN FRAZER au sax, BONGO HERMAN et SKY JUICE aux percussions... Toutes les voix ont été enregistrées au studio de DUKE REIDS, et les riddims à TUFF GONG, MIXING LAB et BIG YARD
Steve Moore, un des deux membres de Zombi, revient avec une nouvelle bande originale d'un film d'horreur. Pour la B.O. de The Mind's Eyes démontre son talent à construire des ambiances mais aussi des thèmes musicaux forts. Sur plus de 85 minutes Steve Moore oscille entre tension et horreur avec bonheur. Pour les fans de Zombi, Goblin, S U R V I V E, Trans Am, John Carpenter, Mogwai, Tangerine Dream, Explosions In The Sky.
Coffret 3 CD limité pour le prix d'1! L'été 2005 avait été marqué par la renaissance du roster et ossature de Duck Down, le Boot Camp Clik, avec le TRIPLE THREAT SUMMER. Ce Triptyque consistait en 3 albums mis en scène par Sean Price (encore inconnu en tant qu'artiste solo) avec son Monkey Barz, devenu classic aujourd'hui, 9TH Wonder & Buckshot pour Chemistry et Smif N Wessun avec Reloaded. Les 3 albums avaient été designés par Marc Ecko et avaient profité d'un gros marketing de la marque devenue culte. Chaque album a vendu à ce jour plus de 50,000 exemplaires. Duck Down nous offre aujourd'hui un coffret limité regroupant les 3 albums dans un fourreau crée de nouveau par Marc Ecko. Le coffret est limité à 10,000 exemplaires pour le Monde.
THE MOUNT FUJI DOOMJAZZ CORPORATION est la formation alter ego pour les prestations Live de THE KILIMANJARO DARKJAZZ ENSEMBLE. Comme son nom l'indique, Roadburn a été enregistré durant l'édition 2012 du plus enfumé des festivals actuels. 4 titres pour une heure d'improvisations mêlant Drone, Free Jazz ultra sombre, Dark Ambient et Prog Psychédélique : à groupe unique en son genre, musique unique elle aussi. A ECOUTER !
Durant les 20 années de son existence Kompakt a toujours souhaité bousculer les codes et cette sortie en est la preuve. Après avoir sorti une compilation retraçant les 20 premières années du label de Cologne, quoi de plus étonnant que de proposer une relecture d'une sélection du catalogue du label à un compositeur reconnu. Gregor Schwellenbach a la particularité d'avoir écrit pour tous les médias (théâtre, film, télévision, radio) mais aussi pour tous (ou la plupart) des instruments connus. Il a choisi 20 titres pour les réinterpréter à la manière d'un orchestre de chambre. On y retrouve de célèbres musiciens comme la flûtiste Dorothée Oberlinger, le guitariste Christian Buck et la harpiste Jane Berthe. Gregor Schwellenbach a également utilisé des instruments peu courants comme l'orchestre Gamelan du musée Rautenstrauch-Joest de Cologne.
Durant les 20 années de son existence Kompakt a toujours souhaité bousculer les codes et cette sortie en est la preuve. Après avoir sorti une compilation retraçant les 20 premières années du label de Cologne, quoi de plus étonnant que de proposer une relecture d'une sélection du catalogue du label à un compositeur reconnu. Gregor Schwellenbach a la particularité d'avoir écrit pour tous les médias (théâtre, film, télévision, radio) mais aussi pour tous (ou la plupart) des instruments connus. Il a choisi 20 titres pour les réinterpréter à la manière d'un orchestre de chambre. On y retrouve de célèbres musiciens comme la flûtiste Dorothée Oberlinger, le guitariste Christian Buck et la harpiste Jane Berthe. Gregor Schwellenbach a également utilisé des instruments peu courants comme l'orchestre Gamelan du musée Rautenstrauch-Joest de Cologne.
Merzbow, le roi incontesté du noise japonais, est de retour pour célébrer 25 années d'acouphène avec la réédition de l'album phare Venereology disponible pour la première fois sur vinyle ! Remasterisé par James Plotkin (Isis, Electric Wizard, Full Of Hell) et offrant un artwork remis à jour dans une pochette gatefold, il s'agit de l'enregistrement electro le plus extrême que vous pourrez trouver ! Cette réédition de Venereology propose un deuxième vinyle avec plus de 20 minutes de bonus inédits.
Nouvel album live enregistré en 2017 lors de 3 concerts en Allemagne. Ce cinquième album confirme la position des danois comme l’un des meilleurs groupes de la scène expérimentale du Jazz européen. Avec 4 nouveaux titres et 8 extraits de leurs précédents efforts, leur performance combine au jazz des éléments rock et folk pour élaborer des titres au lignes mélodiques modernes et à l’énergie dansante de par leurs rythmes. Pour les fans de : Badbadnotgood, Sons Of Kemet, Melanie De Biasio, etc.
Optimo Music est ravi de présenter la compilation Weaponise Your Sound, conçue par Kristina McCormick (Diet Clinic). Diet Clinic est une émission de la webradio londonienne NTS qui met en avant des DJ et artistes féminins. Il s'agit de la première sortie vinyle de la nouvelle série Diet Clinic pour le label Optimo Music, et elle concorde avec la Journé Internationale de la Femme 2019. La compilation contient des morceaux inédits de C.A.R, Cucina Povera, Fantastic Twins, Human Jones, Maral, Marika Underspreche, Odete, Penelope Trappes, Slime, Sue Zuki et Zoe McPherson. Ces artistes sont certes éparpillées à travers le monde, mais leur amour, leur force et leur soutien pour leur art et leurs homologues est une inspiration quotidienne. Tous les profits iront à Focus E15, une association caritative basée à Londres qui se bat pour les logements sociaux.
Scanning Backwards, le deuxième album de Phase Fatale, est une musique sur le contrôle. Hayden Payne de son vrai nom est un DJ et producteur berlinois connu pour ses initiatives post-punk innovantes sur la dance music et pour ses performances au Berghain. Utilisant le lien entre l'utilisation du son comme arme et la manipulation psychologique comme fondement conceptuel, Hayden Payne explore les façons dont la musique - et les sub-bass en particulier - sont utilisées pour influencer la pensée et manipuler les émotions et le comportement : de la technologie militaire aux sound systems en passant par la matérialité et la sexualité de la culture techno queer. En fin de compte, Scanning Backwards étudie non seulement les propriétés manipulatrices de la musique électronique (mantras, boucles, messages subliminaux) mais aussi la manière dont le rythme facilite à la fois le mouvement et la pensée; une impulsion d'ondes sonores et cérébrales coordonnées.
Scanning Backwards, le deuxième album de Phase Fatale, est une musique sur le contrôle. Hayden Payne de son vrai nom est un DJ et producteur berlinois connu pour ses initiatives post-punk innovantes sur la dance music et pour ses performances au Berghain. Utilisant le lien entre l'utilisation du son comme arme et la manipulation psychologique comme fondement conceptuel, Hayden Payne explore les façons dont la musique - et les sub-bass en particulier - sont utilisées pour influencer la pensée et manipuler les émotions et le comportement : de la technologie militaire aux sound systems en passant par la matérialité et la sexualité de la culture techno queer. En fin de compte, Scanning Backwards étudie non seulement les propriétés manipulatrices de la musique électronique (mantras, boucles, messages subliminaux) mais aussi la manière dont le rythme facilite à la fois le mouvement et la pensée; une impulsion d'ondes sonores et cérébrales coordonnées.