Yoshio Hori, 22 ans est un véritable laissé pour compte de la bulle économique des années 80. Il alterne les jobs payés à la journée sur les chantiers de Tokyo, se nourrit de nouilles lyophilisées et claque sa paie dans les bars à hôtesses. Il n'a d'autre choix que de vivre dans sa chambre miteuse et crasseuse de la Résidence Dokudami qui résiste comme un ultime îlot au milieu de immeubles flambants neufs de la nouvelle Tokyo.Le Vagabond de Tokyo livre le portrait plein d'humour et décomplexé de ce loser errant de déboires en déboires. Au fil de ses rencontres tout le petit peuple des bas quartiers de Tokyo se découvre, ridicule, mesquin, attendrissant. Yoshio le malchanceux se retrouve ainsi aux prises avec de plantureuses créatures, de moins plantureuses, des vendeurs de nouilles ambulants, des yakuzas, des salaryman travestis et même son créateur dans une nouvelle autobiographique émouvante...Derrière ses faux airs de manga de gare aux accents houellebecquiens, Le Vagabond de Tokyo dresse le constat amère d'une jeunesse japonaise désabusée.
Les mimikaki de?signent les cure-oreilles japonais, ces ba?tonnets en bois ou en me?tal a? l’extre?mite? recourbe?e.Pour beaucoup de Japonais, le mimikaki est un outil qui procure un plaisir indicible, surtout quand c’est quelqu’un d’autre qui le manipule ! A? tel point qu’il existe des e?tablissements spe?cialise?s ou? le client peut payer pour une se?ance de nettoyage d’oreilles, en ge?ne?ral effectue?e la te?te pose?e sur les genoux d’une femme.
Dans ce quatrième et dernier tome de la série, les enfants et les apprentis partent pour un séjour d'une nuit dans une station thermale tandis que Shigeji et Ritsu doivent veiller sur la petite Attchan qui souffre de fièvre.Alors que la fin de l'année approche, les personnages se révèlent, les malentendus se dissipent, pour le meilleur ou pour le pire...
Dans le Japon contemporain, la prévention de la récidive est une des clés essentielles pour maintenir la cohésion d'une société connue pour son taux de délits extrêmement bas.Agawa est une jeune femme qui travaille dans une superette (conbini) sur la presqu'île d'Enoshima près de Tokyo. Elle est également agent de probation. Au Japon, l'agent de probation est un fonctionnaire national bénévole. Il est non rémunéré et est mandaté par le ministère de la Justice. Son rôle est de faire le lien entre l'ancien prévenu et la société pour prévenir la récidive. Le premier épisode de cette nouvelle série du Lézard Noir met en scène un homme de 35 ans qui a tué son frère. Des visages familiers vont tenter de le faire dévier de la voie de la réinsertion...
Pour retrouver leurs parents, Victor et Adélie embarquent comme passagers clandestins sur un paquebot direction l'Amérique du Sud. Mais qui est cet homme étrange coiffé d'un turban qui les suit partout ? Même si les deux enfants ont plus d'un tour dans leur sac, seront-ils de taille pour se défendre contre tous les dangers qui se présentent à eux ? Et surtout, arriveront-ils à destination ?
Jintarô Dokugusuri est un prêteur sur gages aux allures de yakuza. Son ego surdimensionné et ses accès de violence sont connus de tout le quartier des plaisirs de Shinjuku. Issu d'une famille pauvre, il s'est enrichi petit à petit et l'argent est devenu sa philosophie. Pour lui, tout peut s'acheter, même les femmes, et il est prêt à tout pour arriver à ses fins. Pourtant, lorsqu'il obtient satisfaction, il est submergé par un insupportable sentiment de vide existentiel.
Kagetora se lance dans la premie?re bataille de Kawanakajima, affrontant pour la premie?re fois Takeda Harunobu.Tandis que ce dernier observe les mouvements de l’ennemi depuis le cha?teau de Shiota, Kagetora de?cide de se?parer son arme?e en deux groupes en utilisant Shiro, sa doublure, afin de perturber le camp de Takeda. De son co?te?, Harunobu envoie son strate?ge Yamamoto Kansuke et ses espions pour de?jouer les plans de Kagetora et de?couvrir son identite?.
Un autre jour se lève sur la résidence Dokudami... Et la nostalgie s'empare de notre jeune héros. Yoshio part à la recherche de ses premiers émois, dans sa campagne natale. On en saura plus sur ses premières expériences sexuelles.Comme dans les meilleurs vaudevilles, le livre s'achève sur l'arrivée inattendue de la mère de Yoshio à Tôkyô où il devra mettre tout en oeuvre pour lui cacher qu'il travaille dans un glory hole.Le premier volume de la série a été sélectionné à Angoulême en 2010, il sera réimprimé pour la seconde fois à l'occasion de la sortie de ce nouveau volume.
Daru-chan vient de la planète Darudaru, mais elle cache sa nature d’extraterrestre sous les traits de Narumi Maruyama, une employée intérimaire ordinaire de 24 ans. Il n’est pas question pour elle de révéler son vrai visage, alors elle s’efforce de maîtriser les règles de la société pour trouver sa place parmi ses collègues. Mais à force de passer son temps à se fondre dans le décor, elle ne sait plus exactement ni ce qu’elle est, ni ce qu’elle pense au fond d’elle-même. Jusqu’à ce qu’une rencontre lui donne l’occasion de voir le monde autrement...
Fin 2009, le public francophone et la critique découvraient le personnage de Yoshio Hori, anti-héros et loser magnifique du Vagabond de Tokyo - Résidence Dokudami, sélectionné à Angoulême en 2010. Avec ce nouveau volume du Vagabond de Tokyo, nous retrouvons pour notre plus grand plaisir l'infatigable Yoshio qui n'a rien perdu de sa vigueur ni de sa faculté à attirer les ennuis malgré lui.Dans ce cinquième volume, il s'essaiera au telekura, téléphone rose à la japonaise, sympathisera avec un mystérieux SDF, jouera les écrivains maudits lors d'un séjour dans une source thermale, et ira jursqu'à s'improviser acteur dans un film porno avec un partenaire pour le moins inattendu...Toujours avec cet humour qui exorcise le mal-être, l'auteur Takashi Fukutani, que la critique décrit aujourd'hui comme le Bukowski du manga, nous entraîne dans les bas-quartiers de Tokyo, ceux-là mêmes où il a vécu, pour livrer des portraits comiques, cruels ou attachants de ceux qu'aujourd'hui encore la société japonaise ne regarde qu'avec indifférence ou mépris.
An 18 de l'ère Tenmon (1549). Kagetora rencontre par hasard Takeda Harunobu (futur Shingen) dans un lieu tout à fait inattendu.Séduit par Kagetora, qu'il a découverte sous son apparence de femme, Harunobu ne cache pas son intérêt pour elle. Mais Kagetora, de son côté, sent naître en elle une profonde peur des hommes. Afin de faire disparaître cette crainte, que ce soit en tant que guerrière, en tant que seigneur de château ou en tant que femme, Kagetora fait une demande particulière à Shûken.La première bataille de Kawanakajima, au cours de laquelle Kagetora et Harunobu vont s'affronter, approche. Quelles seront les conséquences de cette rencontre pour eux ?
Lassée de la monotonie de son quotidien, Ayu Mizusawa démissionne du bureau de rédaction d'une revue locale d'informations pour devenir reporter. Elle quitte la ville de Kokura et s'installe dans le village de Mizusawa, dans le nord du Kyûshû, dont l'avenir est en péril à cause d'un projet de construction de barrage qui engloutirait le village. En compagnie de son amie Ryûko, garçon manqué au caractère bien trempé, Ayu va apprendre à côtoyer les villageois de Mizusawa, tous plus rustres les uns que les autres. Elle va également faire la connaissance de Kiyoto, un homme mystérieux qui a tiré un trait sur son passé et s'est installé à Mizusawa pour prendre un nouveau départ.Hatanaka nous plonge avec beaucoup d'humour dans le folklore et les traditions des villages nippons.
Après trois tomes dont Moomin et les brigands, couronné du prix Essentiel Patrimoine au festival d'Angoulême 2008, la série des oeuvres de bandes dessinées de Tove & Lars Jansson continue. Moomin et sa famille farfelue sont de retour pour de nouvelles aventures.Dans ce quatrième volume des strips de Moomin, Tove Jansson passe totalement le relais à son frère Lars, déjà en charge du scénario ou de la traduction dans les précédentes histoires.Sous la plume de ce nouvel auteur, les aventures prennent un nouvel essor. Lars s'amuse à explorer l'extravagante communauté de la Vallée Moomin. Peu à peu, il met sur le devant de la scène les truculents amis de Moomins et en profite pour dessiner à travers eux les travers les plus désopilants de nos sociétés.
Tove et Lars Jansson, Une vie avec les Moomins relate de façon captivante l'histoire de la bande dessinée Moomin, qui à l'apogée de sa popularité entre 1954 et 1975, était publiée dans la presse de 40 pays.En observant le trait extrêmement moderne et frais de Tove Jansson, dessinatrice et artiste peintre finlandaise, il est difficile de croire que cette bande dessinée soit née dans les années 1950. l'ouvrage combine tout le sérieux d'une recherche historique basée sur de nombreux entretiens avec Tove Jansson et son frère Lars, pour faire découvrir comment les Moomins sont devenus une bande dessinée au succès ininterrompu depuis des dizaines d'années aux quatre coins du monde.Richement illustré de photographies et de dessins inédits, Une vie avec les Moomins constitue une véritable caverne d'Ali Baba pour tout amateur des Moomins.
Mutant Hanako est à la fois un manga trash érotique et une oeuvre facétieuse de Makoto Aida, un artiste japonais contemporain issu de la nouvelle subculture japonaise et reconnu internationalement. Né en 1965 et diplômé des beaux-arts de Tokyo en 1989, Il entame très vite une carrière très variée et provocante. Son oeuvre, en perpétuelle métamorphose, passe librement de la peinture à la vidéo, du manga à l'installation. Il est également illustrateur, affiches de film (Charisma de Kiyosi Kurosawa) et de théâtre (Takashi Miike). Associé à la culture otaku, son art reflète de manière absurde et onirique, un monde qui a divorcé de la réalité pour rejoindre l'universvirtuel des mangas et des jeux vidéos. Cultivant une image d'artiste anti-commercial et inculte, il réussit néanmoins dans ses oeuvres à exorciser par son goût du non-sens et l'absurde, les mutations sociales brusques provoquées par la crise économique des années 90. Ce livre présente la version française de Mutant Hanako faite par l'artiste lui-même, pour cette édition. Mutant Hanako est à la fois un vrai manga outrancier et le vecteur d'expression choisi par un artiste contemporain japonais pour croiser l'univers de la guerre du Pacifique avec le monde virtuel des jeux vidéo a l'intention d'une génération insensible à la réalité de la guerre. Il est aussi le fruit d'un fantasme érotique cocasse et de la volonté d'un retour aux sources du dessin malhabile. Il a été tout d'abord publié en 1997 en photocopie de mauvaise qualité puis officiellement en 1999 au Japon. Le livre présente également avec une introduction de Dominick Chen, des reproductions des oeuvres emblématiques de Makoto Aida. Certaines ont été exposées lors de l'exposition Coloriage en 2002 à la Fondation Cartier à Paris. Il se termine par la postface écrite par Makoto Aida pour l'édition japonaise de Mutant Hanako.
Connu pour ses mangas d'horreur, Kazuo Umezu prouve avec Je suis Shingo, Ovni métaphysique, qu'il est également un maître incontesté du manga de science-fiction.
Cette anthologie présente pour la première fois au public français un des plus grands noms de l'avant-garde de la bande dessinée japonaise, Maki Sasaki. Des patchworks graphiques imprévisibles de ses débuts à ses adaptations des poètes du non-sens anglais, des impromptus absurdes pour la presse aux saynètes surréalistes qui suivent dans le magazine alternatif culte Garo, tous les mangas réunis dans cette anthologie confirment que Maki Sasaki est bien l'un des auteurs les plus audacieux et modernes que compte l'histoire de la bande dessinée japonaise. Les mangas de Maki Sasaki sont autant un témoignage de la métamorphose d'un jeune mangaka iconoclaste qu'une chronique des immenses possibilités poétiques de la bande dessinée.« Lorsque j'ai écrit mon premier roman, Ecoute le chant du vent, j'ai absolument tenu à ce que la couverture soit dessinée par Sasaki Maki. Je fus très heureux lorsque lelivre fût achevé et dans les rayons des libraires. Non parce que j'étais devenu écrivain, mais parce qu'un dessin de Sasaki Maki ornait la couverture de mon premier livre. » Haruki Murakami
Ruri travaille dans une supérette pour payer ses études et elle est très intriguée par un homme austère qui vient chaque jour acheter deux paquets de cigarettes. Lorsqu’elle se décide enfin à lui parler, elle découvre qu’il est un yakuza, et qu’il est plus fougueux qu’il n’y paraît.
Ruri travaille dans une supérette pour payer ses études et elle est très intriguée par un homme austère qui vient chaque jour acheter deux paquets de cigarettes. Lorsqu'elle se décide enfin à lui parler, elle découvre qu'il est un yakuza, et qu'il est plus fougueux qu'il n'y paraît...
Au premier abord, Gichi Gichi est un petit garc?on ordinaire qui rougit de?s que Rumi, sa jolie camarade de classe, lui fait un compliment. Mais il cache une a?me de justicier et n’he?site pas a? se servir de ses pouvoirs magiques pour flanquer une racle?e a? tous ceux qui se montrent me?chants ou malhonne?tes.
Sur l'île d'Enoshima près de Tokyo, Agawa vit de petits boulots et travaille à temps partiel en tant qu'agente de probation. Au Japon, l'agent de probation est un fonctionnaire national bénévole mandaté par le ministère de la Justice pour prévenir la récidive. Son rôle est d'aider d'anciens détenus à se réinsérer dans la société.
Une mystérieuse organisation terroriste internationale et le clan mafieux chinois Jachinpan sont entrés en scène pour dérober le sceau d'or de Ryuko. De plus, derrière l'organisation terroriste, plane l'ombre de la CIA... T out en étant ballottée par des puissances supérieures, Ryuko parviendra-t-elle à rester fidèle à son propre idéal de justice?
En raison d’une épidémie de grippe canine, le maire de Megasaki ordonne la mise en quarantaine de tous les chiens de la ville, envoyés sur une île qui devient alors l’Ile aux Chiens. Le jeune Atari, 12 ans, vole un avion et se rend sur l’île pour rechercher son fidèle compagnon, Spots. Aidé par une bande de cinq chiens intrépides et attachants, il découvre une conspiration qui menace la ville.
Tokyo Alien Bros raconte les péripéties dedeux extraterrestres envoyés sur Terre afin dedéterminer si leur race pourrait s'y installer. Prenant laforme de deux étudiants baptisés Fuyunosuke etNatsutarô, ils posent un regard candide sur leurquotidien et tentent de dialoguer avec les autochtonesavec un talent aussi fortuit que certain pour faire naîtreles quiproquos.
Considéré au japon comme « l'étoile noire » du manga, S. Maruo construit depuis ses débuts en 1980 dans le magazine GARO, une oeuvre où se mêle mythologie japonaise et une certaine culture occidentale de l'érotisme, qui va du Marquis de Sade aux surréalistes.Le fond narratif, composé de courts dialogues crus et parfois poétiquement délirants, sont encadrés dans l'image pour ne pas polluer les images où se révèle toute la virtuosité graphique de Maruo. Son trait unique, ligne claire et raffinée, ses habiles découpages, nous confrontent sans cryptage au petit peuple monstrueux de ses fantasmagories. L'élégance est transgressive, ce qui apparaît comique pour un japonais, convoque chez nous des monstres enfouis. En traversant un Styx fictionnel, happé par l'incroyable mais effrayante délectation de son dessin, on peut y déceler moult références littéraires, philosophiques et artistiques qui, tout en bouleversant nos sens, nous invite à jouir de son univers unique, extrêmement pervers et pourtant proche, mais indéniablement cathartique.Q-saku est une pièce maitresse de cette oeuvre, composé de courtes histoires, on appréciera l'incroyable richesse de son imaginaire et le superbe amalgame de ses influences. L'horreur surgit, parfaitement orchestrée par la mise en scène, au coeur d'une atmosphère froidement esthétique.Manga adulte traduit du Japonais par Miyako Slocombe. Préface Arnaud Viviant
Découvrez les aventures des Moomins. Les Moomin sont des troll accueillants et tolérants. Leur maison est toujours pleine d'invités. Beaucoup de leurs amis vivent avec eux, de manière plus ou moins permanente. Leurs aventures empreintes de poésie et d'humour raviront aussi bien les enfants que les adultes. MOOMIN et les Brigands a reçu le fauve pour le Prix du Patrimoine au Festival d'Angoulême 2008.
Les 14 histoires courtes faisant partie de ce recueil se distinguent par leur aspect nettement eroguro (érotique-grotesque). Hanawa excelle dans ce genre, et laisse parler un imaginaire fécond pour mettre en scène des histoires toutes plus cruelles les unes que les autres. Les histoires de Hanawa sont violentes, sadiques et scatologiques, mais on est fasciné par le contraste surprenant avec la finesse du trait, le sens de la composition et l'humour décalé de cet auteur d'une formidable créativité.
Cet ouvrage constitue un remarquable témoignage sur les trois années que l'auteur à passées dans une prison de l'île nord d'Hokkaidô, où il avait été incarcéré le 8 décembre 1994 pour détention illégale d'arme à feu. Dans cet un habile pamphlet contre le système carcéral nippon, Kazuichi Hanawa rend compte de la vie dans cette communauté d'une manière extrêmement scrupuleuse où une foule de détails prennent une importance qu'ils n'auraient pas à l'extérieur et élabore une réflexion originale sur sa condition de détenu.Nouvelle édition revue, corrigée et augmentée de 60 pages inédites dont de nombreuses en couleurs.
Dans un monde alternatif, la société tokyoïte est secouée par des mouvements étudiants. Sur fond de terrorisme et de préoccupations nucléaires post- Fukushima, Setsuko, étudiante, fait figure d'exception.Apolitique, détachée de cette réalité, elle n'a d'attrait que pour le sexe sans engagement. Par un après-midi ensoleillé, elle sera pourtant abattue dans une fusillade.Entre temps, son destin aura croisé celui d'Atsushi un autre étudiant sans histoires.Ceux que l'on surnomme Setchan et Akkun, ces deux êtres que tout oppose, vont se rapprocher et se perdre.
Eros x SF réunit 15 histoires courtes dessinées par Ishinomori entre la fi n des années 1960 et les années 1970. Clairement destinées à un public adulte, elles mélangent érotisme, absurde et grotesque, et tendent souvent vers la science-fi ction. Il est ici question d'êtres humains aux pouvoirs surnaturels, de lapins vivant sur la lune, de mondes parallèles ou encore d'extraterrestres - motifs qu'utilise Ishinomori pour dépeindre la folie des hommes et de notre société, renforcés par un dessin remarquable et des compositions audacieuses, le tout formant une anthologie de chefs-d'oeuvre qui nous transportent et nous invitent à la réfl exion.
Sachiko Torii a quitté sa campagne natale pour aller à l'université. Elleemménage dans une résidence où elle fait la connaissance de Shin Kuramoto, étudiant en deuxième année dans le même établissement. D'un naturel sans gêne, il prend rapidement l'habitude de passer du temps dans la chambre de Sachiko. Celle-ci est troublée et en même temps attirée par son comportement imprévisible. Rapidement, ils commencent à sortir ensemble.Mais la nuit venue, alors qu'ils s'apprêtent à faire l'amour, le couple va faire face à un problème de taille...
Sachiko Torii a quitté sa campagne natale pour aller à l’université. Elle emménage dans une résidence où elle fait la connaissance de Shin Kuramoto, étudiant en deuxième année dans le même établissement. D’un naturel sans gêne, il prend rapidement l’habitude de passer du temps dans la chambre de Sachiko. Celle-ci est troublée et en même temps attirée par son comportement imprévisible. Rapidement, ils commencent à sortir ensemble. Mais la nuit venue, alors qu’ils s’apprêtent 1 à faire l’amour, le couple se retrouve face à un problème de taille…
Sachiko Torii a quitté sa campagne natale pour aller à l'université. Elle emménage dans une résidence où elle fait la connaissance de Shin Kuramoto, étudiant en deuxième année dans le même établissement. D'un naturel sans gêne, il prend rapidement l'habitude de passer du temps dans la chambre de Sachiko. Celle-ci est troublée et en même temps attirée par son comportement imprévisible. Rapidement, ils commencent à sortir ensemble. Mais la nuit venue, alors qu'ils s'apprêtent à faire l'amour, le couple va faire face à un problème de taille...
Ce roman graphique américain suit Daniel Wells à son arrivée dans une petite ville de la province japonaise au poste d'assistant scolaire.Ce journal d'une solitude semi-autobiographique suit les difficiles tentatives du jeune homme pour s'intégrer à une société étrange et étrangère. Lars Martinson propose une sorte de Stupeur et Tremblement ou de Lost in Translation subtil et feutré, où le Japon se dévoile dans un trait dur et dans le silence d'une province grise et monolithique. La rigidité feinte du dessin, qui révèle l'influence de Chris Ware et de Seth, résonne avec l'immobilisme de la vie du personnage, empruntant parfois au registre des gravures qui ont fait les grands récits de voyage européens.
Fin 2009, le public francophone et la critique découvraient le personnage de Yoshio Hori, antihéros et loser magnifique du Vagabond de Tokyo - Résidence Dokudami, sélectionné à Angoulême en 2010. Avec ce nouveau volume du Vagabond de Tokyo - Tender is the night, nous retrouvons pour notre plus grand plaisir le personnage loufoque de Yoshio Hori et ses éternels déboires.Dans un style graphique fluide, les 14 histoires de ce volume de 400 pages se dévorent les unes après les autres. Fukutani s'amuse à y parodier les films de yakuzas et les shonen manga de l'époque, tout en posant un regard lucide et critique sur la société japonaise.
Après le décès de sa mère, le jeune Kôsaku Sakamoto se retrouve seul au monde. Conformément aux dernières volontés de la défunte, il quitte sa province pour emménager chez Ibari Ôzora, l'un des amis de jeunesse de sa mère qui vit à Tôkyô. Mais une fois installé, Kôsaku découvre avec stupeur qu'Ôzora est le chef d'un clan de yakuzas ! Si son premier réflexe est de s'enfuir à toutes jambes, il se ravise aussitôt lorsqu'il fait la connaissance des charmantes filles d'Ôzora : Tsubame, Megumi, Suzume, et la ravissante Hibari, dont l'adolescent tombe immédiatement amoureux. Mais Kôsaku tombe de nouveau des nues lorsqu'il apprend qu'Hibari est en réalité un garçon !
Après le décès de sa mère, le jeune Kôsaku Sakamoto se retrouve seul au monde. Conformément aux dernières volontés de la défunte, il quitte sa province pour emménager chez Ibari Ôzora, l'un des amis de jeunesse de sa mère qui vit à Tôkyô. Mais une fois installé, Kôsaku découvre avec stupeur qu'Ôzora est le chef d'un clan de yakuzas ! Si son premier réflexe est de s'enfuir à toutes jambes, il se ravise aussitôt lorsqu'il fait la connaissance des charmantes filles d'Ôzora :Tsubame, Megumi, Suzume, et la ravissante Hibari, dont l'adolescent tombe immédiatement amoureux. Mais Kôsaku tombe de nouveau des nues lorsqu'il apprend qu'Hibari est en réalité un garçon !
Akino Kondoh, talentueuse artiste contemporaine et dessinatrice de mangas, nous raconte sa vie à New York sous la forme d'un journal dessiné. À travers de courtes histoires de deux pages, elle nous fait partager avec humour et intelligence ses états d'âme et les différences culturelles entre les deux pays. Elle nous transporte dans les rues de New York, que l'on découvre avec amusement à travers le filtre du regard sensible d'une jeune femme d'aujourd'hui. On est très vite pris de sympathie pour cette artiste drôle, attendrissante et qui ne manque pas d'autodérision. Une belle façon de découvrir New York, mais aussi d'en savoir plus sur le charme et la finesse de la mentalité japonaise.
Rêveur au tempérament singulier, le jeune Satoru, en dernière année d'école primaire, se distingue un peu de ses copains et suscite souvent leur moquerie. Un soir, son père, qui travaille dans une petite usine de quartier, annonce qu'un robot va intégrer l'entreprise. Obnubilé par l'idée de le rencontrer, Satoru va pouvoir réaliser son rêve à l'occasion d'une visite scolaire organisée par son école. Il fait ainsi la connaissance du robot Monroe, mais aussi de Marine, en visite avec un autre groupe scolaire. Dès le premier regard, Satoru et Marine ressentent une étrange proximité, à l'intensité inexplicable. Ils vont prendre l'habitude de se retrouver pour aller jouer avec le robot...
Rêveur au tempérament singulier, le jeune Satoru, en dernière année d'école primaire, se distingue un peu de ses copains et suscite souvent leur moquerie. Un soir, son père, qui travaille dans une petite usine de quartier, annonce qu'un robot va intégrer l'entreprise. Obnubilé par l'idée de le rencontrer, Satoru va pouvoir réaliser son rêve à l'occasion d'une visite scolaire organisée par son école. Il fait ainsi la connaissance du robot Monroe, mais aussi de Marine, en visite avec un autre groupe scolaire. Dès le premier regard, Satoru et Marine ressentent une étrange proximité, à l'intensité inexplicable. Ils vont prendre l'habitude de se retrouver pour aller jouer avec le robot...
Rêveur au tempérament singulier, le jeune Satoru, en dernière année d'école primaire, se distingue un peu de ses copains et suscite souvent leur moquerie. Un soir, son père, qui travaille dans une petite usine de quartier, annonce qu'un robot va intégrer l'entreprise. Obnubilé par l'idée de le rencontrer, Satoru va pouvoir réaliser son rêve à l'occasion d'une visite scolaire organisée par son école. Il fait ainsi la connaissance du robot Monroe, mais aussi de Marine, en visite avec un autre groupe scolaire. Dès le premier regard, Satoru et Marine ressentent une étrange proximité, à l'intensité inexplicable. Ils vont prendre l'habitude de se retrouver pour aller jouer avec le robot...
Rêveur au tempérament singulier, le jeune Satoru, en dernière année d'école primaire, se distingue un peu de ses copains et suscite souvent leur moquerie.Un soir, son père, qui travaille dans une petite usine de quartier, annonce qu'un robot va intégrer l'entreprise.Obnubilé par l'idée de le rencontrer, Satoru va pouvoir réaliser son rêve à l'occasion d'une visite scolaire organisée par son école. Il fait ainsi la connaissance du robot Monroe, mais aussi de Marine, en visite avec un autre groupe scolaire. Dès le premier regard, Satoru et Marine ressentent une étrange proximité, à l'intensité inexplicable. Ils vont prendre l'habitude de se retrouver pour aller jouer avec le robot...
Akino Kondoh, talentueuse artiste contemporaine et dessinatrice de mangas, nous raconte sa vie à New York sous la forme d'un journal dessiné. À travers de courtes histoires de deux pages, elle nous fait partager avec humour et intelligence ses états d'âme et les différences culturelles entre les deux pays. Elle nous transporte dans les rues de New York, quel'on découvre avec amusement à travers le filtre du regard sensible d'une jeune femme d'aujourd'hui. On est très vite pris de sympathie pour cette artiste drôle, attendrissante et qui ne manque pas d'autodérision. Une belle façon de découvrir New York, mais aussi d'en savoir plus sur le charme et la finesse de la mentalité japonaise.
Tokyo Alien Bros raconte les péripéties de deux extraterrestres envoyés sur Terre afin de déterminer si leur race pourrait s'y installer. Prenant la forme de deux étudiants baptisés Fuyunosuke et Natsutarô, ils posent un regard candide sur leur quotidien et tentent de dialoguer avec les autochtones avec un talent aussi fortuit que certain pour faire naître les quiproquos.Les corps des héros sont plutôt délicats, et le moindre accident menace de les défigurer ou de les estropier temporairement, sans parler des effets spectaculaires de certains aliments sur leurs capacités physiques. Quelles conclusions ces visiteurs de l'espace vont-ils tirer de leurs observations, et comment parviendront-ils à préserver leur couverture ?
Dans ce petit restaurant situé au fond d'une ruelle du quartier de Shinjuku, le patron vous accueille de minuit à sept heures du matin pour servir des petits plats typiques du Japon qui réveilleront les papilles et les souvenirs du temps passé. Car ici, chaque plat est lié aux souvenirs d'un personnage : yakuza, stripteaseuse, boxer...Avec son trait fin et épuré, son style très personnel, Yarô Abe, qui cite parmi ses références Yoshiharu Tsuge, brosse des portraits drôles et émouvants de personnages touchants, chacun à leur manière, dans un manga qui a quelque chose d'apaisant et de réconfortant. La Cantine de minuit, c'est un petit restaurant qui vous remplit le coeur et l'estomac, et une agréable manière de découvrir que la cuisine japonaise est loin de se limiter aux sushis.
Cette anthologie est une invitation à se perdre dans la psyché d'un auteur inclassable.Disponible pour la première fois en français, l'univers que Shinobu Kaze déploie dans ces pages est aussi inattendu que furieusement personnel. Science-fiction, kung-fu, horreur, anticipation, action, comédie... D'un genre à l'autre, l'auteur révèle une maitrise narrative et un art de l'hybridation unique, qui mêle sans transition cosmogonie bouddhiste, références New-Age et conscience écologique aiguë. Chainon manquant entre les visions de Philippe Druillet, le gekiga hardboiled aux accents teintés de giallo italien, mais aussi les compositions d'orfèvre d'Alphonse Mucha, l'oeuvre de Shinobu Kaze témoigne d'un talent hors-pair et d'une urgence créative qui n'ont en rien perdu de leur force aujourd'hui.
Dans ce petit restaurant situé au fond d'une ruelle du quartier de Shinjuku, le patron vous accueille de minuit à sept heures du matin pour servir des petits plats typiques du Japon qui réveilleront les papilles et les souvenirs du temps passé. Car ici, chaque plat est lié aux souvenirs d'un personnage : yakuza, stripteaseuse, boxer...Avec son trait fin et épuré, son style très personnel, Yarô Abe, qui cite parmi ses références Yoshiharu Tsuge, brosse des portraits drôles et émouvants de personnages touchants, chacun à leur manière, dans un manga qui a quelque chose d'apaisant et de réconfortant.La Cantine de minuit, c'est un petit restaurant qui vous remplit le coeur et l'estomac, et une agréable manière de découvrir que la cuisine japonaise est trèsb loin de se limiter aux sushis.
Dans ce petit restaurant situé au fond d'une ruelle du quartier de Shinjuku, le patron vous accueille de minuit à sept heures du matin pour servir des petits plats typiques du Japon qui réveilleront les papilles et les souvenirs du temps passé. Car ici, chaque plat est lié aux souvenirs d'un personnage : yakuza, stripteaseuse, boxer...Avec son trait fin et épuré, son style très personnel, Yarô Abe, qui cite parmi ses références Yoshiharu Tsuge, brosse des portraits drôles et émouvants de personnages touchants, chacun à leur manière, dans un manga qui a quelque chose d'apaisant et de réconfortant. La Cantine de minuit, c'est un petit restaurant qui vous remplit le coeur et l'estomac, et une agréable manière de découvrir que la cuisine japonaise est très loin de se limiter aux sushis.
Dans ce petit restaurant situé au fond d'une ruelle du quartier de Shinjuku, le patron vous accueille de minuit à sept heures du matin pour servir des petits plats typiques du Japon qui réveilleront les papilles et les souvenirs du temps passé. Car ici, chaque plat est lié aux souvenirs d'un personnage : yakuza, stripteaseuse, boxer...Avec son trait fin et épuré, son style très personnei, Yarô Abe, qui cite parmi ses références Yoshiharu Tsuge, brosse des portraits drôles et émouvants de personnages touchants, chacun à leur manière, dans un manga qui a quelque chose d'apaisant et de réconfortant. La Cantine de minuit, c'est un petit restaurant qui vous remplit le coeur et l'estomac, et une agréable manière de découvrir que la cuisine japonaise est très loin de se limiter aux sushis.
Dans ce petit restaurant situé au fond d'une ruelle du quartier de Shinjuku, le patron vous accueille de minuit à sept heures du matin pour servir des petits plats typiques du Japon qui réveilleront les papilles et les souvenirs du temps passé. Car ici, chaque plat est lié aux souvenirs d'un personnage : yakuza, stripteaseuse, boxer...Avec son trait fin et épuré, son style très personnel, Yarô Abe, qui cite parmi ses références Yoshiharu Tsuge, brosse des portraits drôles et émouvants de personnages touchants, chacun à leur manière, dans un manga qui a quelque chose d'apaisant et de réconfortant.La Cantine de minuit, c'est un petit restaurant qui vous remplit le coeur et l'estomac, et une agréable manière de découvrir que la cuisine japonaise est très loin de se limiter aux sushis.
Dans ce petit restaurant situé au fond d'une ruelle du quartier de Shinjuku, le patron vous accueille de minuit à sept heures du matin pour servir des petits plats typiques du Japon qui réveilleront les papilles et les souvenirs du temps passé. Car ici, chaque plat est lié aux souvenirs d'un personnage : yakuza, stripteaseuse, boxer... Avec son trait fin et épuré, son style très personnel, Yarô Abe, qui cite parmi ses références Yoshiharu Tsuge, brosse des portraits drôles et émouvants de personnages touchants, chacun à leur manière, dans un manga qui a quelque chose d'apaisant et de réconfortant. La Cantine de minuit, c'est un petit restaurant qui vous remplit le coeur et l'estomac, et une agréable manière de découvrir que la cuisine japonaise est très loin de se limiter aux sushis.
Rêveur au tempérament singulier, le jeune Satoru, en dernière année d'école primaire, se distingue un peu de ses copains et suscite souvent leur moquerie.Un soir, son père, qui travaille dans une petite usine de quartier, annonce qu'un robot va intégrer l'entreprise.Obnubilé par l'idée de le rencontrer, Satoru va pouvoir réaliser son rêve à l'occasion d'une visite scolaire organisée par son école. Il fait ainsi la connaissance du robot Monroe, mais aussi de Marine, en visite avec un autre groupe scolaire. Dès le premier regard, Satoru et Marine ressentent une étrange proximité, à l'intensité inexplicable. Ils vont prendre l'habitude de se retrouver pour aller jouer avec le robot...Ovni métaphysique, Je suis Shingo est sans conteste un chef-d'oeuvre du manga et de la science-fiction.
Et si Uesugi Kenshin, puissant seigneur de guerre ayant vécu durant l'époque Sengoku, au XVIe siècle, était en réalité une femme ? La mangaka Akiko Higashimura part de cette théorie existante pour nous proposer un manga historique relatant la vie de ce stratège hors pair surnommé le « Tigre d'Echigo ».L'histoire commence en 1529, à la naissance du troisième enfant de Nagao Tamekage, seigneur du château de Kasugayama. Son fils aîné n'ayant pas l'étoffe d'un guerrier, Tamekage veut faire de ce dernierné son héritier, mais à son grand désespoir, c'est une fille qui naît. Il décide alors de l'élever comme un garçon et le nomme « Torachiyo ». Véritable garçon manqué, Torachiyo va grandir dans un petit château des montagnes, sans savoir quel incroyable destin l'attend...
Et si Uesugi Kenshin, puissant seigneur de guerre ayant vécu durant l'époque Sengoku, au XVIe siècle, était en réalité une femme ? La mangaka Akiko Higashimura part de cette théorie existante pour nous proposer un manga historique relatant la vie de ce stratège hors pair surnommé le « Tigre d'Echigo ».L'histoire commence en 1529, à la naissance du troisième enfant de Nagao Tamekage, seigneur du château de Kasugayama. Son fils aîné n'ayant pas l'étoffe d'un guerrier, Tamekage veut faire de ce dernierné son héritier, mais à son grand désespoir, c'est une fille qui naît. Il décide alors de l'élever comme un garçon et le nomme « Torachiyo ». Véritable garçon manqué, Torachiyo va grandir dans un petit château des montagnes, sans savoir quel incroyable destin l'attend...
Et si Uesugi Kenshin, puissant seigneur de guerre ayant vécu durant l'époque Sengoku, au XVIe siècle, était en réalité une femme ? La mangaka Akiko Higashimura part de cette théorie existante pour nous proposer un manga historique relatant la vie de ce stratège hors pair surnommé le « Tigre d'Echigo ».L'histoire commence en 1529, à la naissance du troisième enfant de Nagao Tamekage, seigneur du château de Kasugayama. Son fils aîné n'ayant pas l'étoffe d'un guerrier, Tamekage veut faire de ce dernier-né son héritier, mais à son grand désespoir, c'est une fille qui naît. Il décide alors de l'élever comme un garçon et le nomme « Torachiyo ». Véritable garçon manqué, Torachiyo va grandir dans un petit château des montagnes, sans savoir quel incroyable destin l'attend...
Et si Uesugi Kenshin, puissant seigneur de guerre ayant vécu durant l'époque Sengoku, au XVIe siècle, était en réalité une femme ? La mangaka Akiko Higashimura part de cette théorie existante pour nous proposer un manga historique relatant la vie de ce stratège hors pair surnommé le « Tigre d'Echigo ».L'histoire commence en 1529, à la naissance du troisième enfant de Nagao Tamekage, seigneur du château de Kasugayama. Son fils aîné n'ayant pas l'étoffe d'un guerrier, Tamekage veut faire de ce dernierné son héritier, mais à son grand désespoir, c'est une fille qui naît. Il décide alors de l'élever comme un garçon et le nomme « Torachiyo ». Véritable garçon manqué, Torachiyo va grandir dans un petit château des montagnes, sans savoir quel incroyable destin l'attend...
Et si Uesugi Kenshin, puissant seigneur de guerre ayant vécu durant l'époque Sengoku, au XVIe siècle, était en réalité une femme ?La mangaka Akiko Higashimura part de cette théorie existante pour nous proposer un manga historique relatant la vie de ce stratège hors pair surnommé le « Tigre d'Echigo ».L'histoire commence en 1529, à la naissance du troisième enfant de Nagao Tamekage, seigneur du château de Kasugayama. Son fils aîné n'ayant pas l'étoffe d'un guerrier, Tamekage veut faire de ce derniernéson héritier, mais à son grand désespoir, c'est une fille qui naît. Il décide alors de l'élever comme un garçon et le nomme « Torachiyo ». Véritable garçon manqué, Torachiyo va grandir dans un petit château des montagnes, sans savoir quel incroyable destin l'attend...
Selon une légende issue du folklore japonais, un homme qui ne parvenait pas à assouvir sa vengeance enterra son propre chien pour le nourrir de sa haine et en fit un inugami, un « dieu chien », à qui il ordonna d'aller déchiqueter son ennemi. À travers six histoires courtes, Maruo transpose dans la société moderne la terrible légende en mettant en scène le Dr Inugami, un mystérieux homme aux pouvoirs surnaturels qui va rencontrer tour à tour un lycéen assoiffé de vengeance, une troublante exorciste ou encore un père à la recherche de son enfant disparu. Dans des histoires d'une violence étrangement poétique, où la magie vient se mêler à la cosmologie ésotérique japonaise, Maruo révèle les noirceurs de l'être humain. Certaines images, sublimes et sanguinolentes, ne sont pas sans rappeler les estampes cruelles de l'époque d'Edo. Une postface écrite par l'anthropologue culturel Kazuhiko Komatsu met en lumière toute la richesse et l'arrière-plan de cette oeuvre remarquable, dessinée au début des années 1990 par le maître du genre eroguro.
Les aventures trépidantes de deux enfants pourchassés par des malfaiteurs qui tentent de les enlever. Victor et Adélie partent à la recherche de leurs parents explorateurs en Amérique du Sud. En effet, ces derniers sont sur la piste d'une source d'énergie qui pourrait changer le monde, ce qui intéresse beaucoup gouvernements et malfrats... Nos jeunes héros embarquent alors au Havre, sur le Caracas, en se mêlant à une excentrique famille nombreuse. Cependant, ils sont suivis par un étrange homme enturbanné, qu'ils tentent de piéger pour s'en débarrasser. La série se déroule quelques années avant Sacré Coeur. Des détails seront dissimulés dans les illustrations. Ouvrez l'oeil ! Toujours à la recherche de leurs parents, Victor et Adélie sont arrivés au Patanaya. Mais alors qu'ils remontent le fleuve à bord d'une pirogue, un étrange oiseau apparais dans le ciel. Un oiseau, vraiment ? Non, plutôt un étrange appareil piloté par le machiavélique chef des Cinq Crânes ! Victor et Adélie réussiront--ils à lui échapper ? Ils pourraient avoir l'aide d'un allié inattendu...
« 75% des bases américaines installées au Japon se trouvent à Okinawa.» Après Soldats de sable (sélection Libération 2012, sélection officielle Angoulême 2012, Sélection Prix de l’ACBD 2012), dont les histoires se déroulaient principalement pendant la guerre du Pacifique, Higa s’attaque avec Mabui à la question des bases militaires installées à Okinawa, un problème malheureusement toujours d’actualité. Dans ce recueil d’histoires courtes, Higa, à travers le regard qu’il pose sur la situation des habitants d’Okinawa, nous fait prendre conscience à quel point les séquelles de la guerre du Pacifique sont encore présentes. Evitant les stéréotypes, il nous fait comprendre qu’il ne s’agit pas là d’être pour ou contre ces bases américaines, la position de ceux qui vivent cette situation au quotidien étant bien plus complexe que les Japonais eux-mêmes ne veulent l’imaginer. « Mabui » signifie « âme » dans le dialecte d’Okinawa. Avec son trait simple et touchant, Higa nous invite à une réflexion essentielle qui vient trouver une résonance au-delà des frontières.