Ces filles ont toutes un fantasme secret... et l'assouvissent sous la plume de Yahiro Pochi ! Elles sont jeunes et jolies et ont des fantasmes inassouvis plein la tête. Yahiro Pochi dévoile leurs aventures dans une série d'histoires courtes aussi drôles qu'érotiques, imaginées pour le magazine japonais Kairakuten, et dont Dynamite propose ici la compilation intégrale. Cette jeune femme fantasme depuis toujours sur le petit frère d'une copine.Il n'a que 18 ans, mais elle ne peut s'empêcher de le séduire... Cette autre ingénue hésite depuis toujours entre deux garçons qui lui plaisent autant l'un que l'autre. A l'occasion d'une virée à la plage, elle décide d'essayer les deux ! Et que dire de cette femme adultère qui attrape les fétichistes de lingerie avec des tenues affriolantes ? On en passe et des perverses !
Dans une Italie encore marquée par une lourde mémoire catholique, Giovanna Casotto, l'une des très rares femmes qui oeuvre dans la bande dessinée pornographique, a été médiatisée et souvent conspuée pour les différents travaux qu'elle a réalisés, et continue de réaliser dans le domaine de l'érotisme.Le réalisme photographique de ses dessins est ponctué par des situations que l'on pourrait qualifier de joyeuses. Entendons par là que les histoires courtes de Casotto n'ont rien de mordides. Au contraire.Après Oh! Giovanna !, paru en novembre 2006, et Giovanna! Si !, paru en mars 2008, voici cinq histoires, dont une très longue de 24 pages, complètement inédites, qui raviront les amateurs de cette femme outrageusement talentueuse qui aime à se représenter dans ses planches… Toujours, comme le relevait Bernard Joubert, farouchement pin-up, tout en étant hard, toujours d'un réalisme saisissant, dans un noir et blanc sensuel rehaussé de couleurs, et saupoudré d'humour.
Dans Charlie Hebdo du mercredi 31 mai 2006, Georges Wolinski résumait à pro-pos de Ménagères en chaleur : « C'est du porno familial, à l'espagnole. Maman baise avec le Jules de sa fille pendant qu'elle se fait belle pour sortir. Efficace, sa-lace, crade, sympa. » Bien vu, l'univers des Ménagères est à peu près celui-ci.À travers un paquet de 32 histoires courtes, issues de la revue espagnole Kiss Comix, le lecteur se fera vite une idée du pourquoi et du comment les épouses des foyers ibériques se vengent de dix ans d'abstinence partielle et de délaisse-ment progressif. L'une avec un motard rencontré dans un bistrot, l'autre avec son voisin de palier, l'autre encore avec un étudiant de passage. Humour et gros seins sont donc au rendez-vous de cette série, suivie du Retour des Ménagères et d'À poêle les ménagères ! (et il n'y en aura pas d'autre, sniff !).Paru initialement en janvier 2006, Ménagères en chaleur s'est déjà vendu à plus de 6 000 exemplaires.
À Mégapolis, cité tentaculaire où les hommes sont abrutis par les médias et les femmes devenues des créatures essentiellement dévolues au sexe, les soeurs Darnum se débattent pour survivre. Phoebia, policière, est tiraillée entre l'envie de révolte et la dévotion au système qu'elle est censée protéger. Moshaya, la cadette, postule au concours de « La Star du Mois », dont la gagnante devient la plus célèbre actrice pornographique du pays. Sabarra, enfin, a été identifiée comme fauteuse de troubles par les autorités et purge trois mois de repos forcé dans un centre de décontamination idéologique... Malmenées par les hommes qui se servent d'elles comme objets sexuels, chacune tente à sa manière de changer son quotidien, à défaut de pouvoir changer le monde...Probablement la plus profonde des oeuvres d'Ardem, qui signe avec Les Trois Soeurs Darnum une dystopie visionnaire dans sa critique des médias de masse,ainsi qu'une bande dessinée à l'érotisme puissant.
Si vous aimez les récits fantastiques teintés d'une sexualité à fleur de peau, Alraune est fait pour vous. Il raconte comment une jeune étudiante, qui vit encore avec son père et sa belle-mère, est affectée par un mauvais sort qui a centuplé son appétit sexuel. Il faut dire que Dinah est en partie responsable de la malédiction nymphomaniaque qui l'a contami-née. Tout est arrivé le jour où elle et sa copine Marion sont entrées dans le cabinet de curiosités d'un cirque ambulant. Sur place, elles ont été estomaquées par la vision d'un freak possédant une verge phénoménale. « Mon dieu ! s'est alors écrié la copine de Di-nah, mais ce n'est pas une bite, c'est. c'est une batte de base-ball ! » C'est ensuite que l'affaire s'est corsée. Les filles ont voulu faire fonctionner l'engin, malgré les admonesta-tions d'une vieille harpie qui les avait prévenues de ne pas y toucher. Mais elles ont branlé le monstre jusqu'à ce qu'un flot de sperme asperge le visage de Dinah. Fin du premier acte et début de l'infortune de l'héroïne.
La jeune et désirable Cécile, coincée dans un mariage peu excitant, rêve, rêve, rêve... Elle traverse lieux et époques pour mieux assouvir ses fantasmes, passant de songe en songe afin d'échapper à l'homme terrible qui la vend à d'autres, mais dont elle goûte les perversions avec un plaisir non dissimulé... Et qui sait, dans ses rêves les plus fous, peut-être trouvera-t-elle l'amour ? Erich von Götha nous régale d'un récit sans paroles, où la force de son dessin maîtrisé à l'excellence suffit à nous faire pleinement profiter des fantasmes délirants de cette petite débauchée de Cécile.Le Rêve de Cécile est l'un des titres de von Götha initialement publié en revue, puis en album par IPM, en 1995. Dans la lignée de Prison très spéciale ou des Curiosités perverses de Sophie, l'ouvrage met en scène des femmes qui prennent plaisir àsubir des situations particulièrement humiliantes. On est ici dans le schéma classique de l'oie blanche qui devient un objet sexuel... et se révèle une vraie nymphomane. La luxure à l'état pur...
Quinze ans après Le Directeur et La Secrétaire, Coq signe une suite inédite à la saga des Aventures de Karine ! On avait quitté Karine troublée après son expérience de soumise, à la botte d'un patron autoritaire. Quelques années plus tard, l'ex-secrétaire a gravi les échelons et occupe désormais le poste de directrice financière dans une grande entreprise. On pourrait croire son passé sexuel et sentimental derrière elle, mais il n'en est rien : Karine rêve chaque nuit de ses bourreaux et des sévices subis, et se réveille chaque fois en nage...Et surexcitée ! Les fantômes du passé refont définitivement surface lorsque Karine découvre les détournements de fonds de Ropparz, un chef de service véreux et beau parleur, connu pour sa goujaterie avec les femmes. Mais Karine n'est plus l'innocente secrétaire de ses débuts et sait désormais se défendre. Ropparz et ses alliés n'ont qu'à bien se tenir ! Quinze ans après Le Directeur et La Secrétaire, Coq signe une suite inédite à la saga des Aventures de Karine ! Une bande dessinée événement et une nouvelle merveille d'érotisme BDSM.
Voyage en profondeurs est un hommage au récit d’aventure et de voyage comme on l’entendait à la fin du XIXe siècle, mais aussi un clin d’œil forcené au cinéma burlesque et d’humour anglo-saxon, et une révérence aux lectures de science-fiction qui ont hanté nombre d’adolescents au siècle dernier. À la différence près que, sur les 160 pages délirantes de cette somme, on y fornique à qui mieux mieux. On y copule à l’intérieur de la capsule qui s’enfonce dans les profondeurs de la Terre. Sur les plages d’un continent perdu. Sur l’île de Lilliput ou encore dans le monde des Amazones.En bref, Voyage en profondeurs est bien un hommage, mais également, sans le moindre doute, une parodie. Et qui dit parodie, dit humour ! L’histoire n’en manque pas. Si les charmes irrésistibles des héros sont sans cesse convoqués, les situations dans lesquelles ils peuvent les mettre en action sont, elles, hilarantes. Enfin, cerise sur le cake, le dessin réaliste est franchement à la hauteur des enjeux. Les créateurs de Chambre 121 (un succès dans toutes les bonnes librairies) s’en donnent ici à cœur joie. Alors, n’attendez plus pour sillonner les profondeurs de ce roman graphico-sexuel !
Quand deux maîtres de la bande dessinée argentine s'associent pour produire une histoire érotique, ils imaginent un univers déjanté où deux Anglaises sont, malgré leur pouvoir surnaturel, séquestrées dans des endroits aussi sordides qu'avilissants. Dans cet épisode, Lilian et Agathe sont sous la coupe de l'infâme Mister Hyde qui les drogue et veut les sacrifier à la déesse Astarté. L'action se déroule dans le bordel londonien qu'il dirige et qui accueille le gotha de l'époque. On y croise Sigmund Freud, Winston Churchill, Sherlock Holmes et le Docteur Watson, Missis Thatcher, Albert Einstein, Conan Doyle ainsi que Robert Louis Stevenson. Tandis qu'à deux pas de là, les tapineuses sont écharpées sous les coups de bistouri de Jack the Ripper..En France, L'Antre de la terreur est le seul épisode connu de la série. Il n'avait encore jamais fait l'objet d'un livre. l'erreur est aujourd'hui réparée. Par ailleurs, nous avons tenu également à réintégrer toutes les séquences gore que la publication française avait tout bonnementcensurées.
Giovanna Casotto est célébrée depuis 2006 par les éditions Dynamite avec un succès qui ne débande pas. Les histoires courtes compilées dans Oh ! Giovanna !, dans Giovanna ! Si !, et dans Giovanna ! Ah !, sont parmi les plus récentes de sa production et sont même inédites, pour le dernier titre cité. Mais il fallait un jour regarder dans le rétroviseur et c'est ce que propose ce recueil de premières histoires brèves. Ces histoires ont été initialement publiées dans le magazine italien Selen, et ont été traduites en français dans la défunte collection éponyme des éditions Vents d'Ouest.Elles forment les premiers récits brefs de Giovanna Casotto dans un style embryonnaire mais dont la perspective s'annonce solide. Bien vite en effet, Giovanna se mettait en scène selon des poses bigrement désirables, dans des situations qui valorisaient la chair, les volumes et les moments d'extase.Artiste polyvalente, excitée par la bande dessinée, l'illustration et la photographie, Casotto rend généralement hommage au glamour des années cinquante avec des héroïnes charnues et charnelles, tracées comme nous le disions à son image. Son oeuvre dessinée est très explicite, pornographique, mais jamais ne cède aux carcans de la grossièreté du genre.
L'histoire: Elles se prénomment presque toutes Reiko et elles ont le même profil physique et mental. Les « Miss 130 » imaginées par Chiyoji sont des femmes mûres, bien souvent mariées à un salary man qui bosse à en crever, et délaissées sexuellement. Leurs courbes sont généreuses, leurs culs exaltent une armada d'étalons et ne parlons pas de leurs seins, dont l'ampleur charnelle est aussi vaste que le chiffre qui les indique: 130 !À la lecture de cette (première) anthologie, vous ne douterez plus que les histoires cocasses qui y sont mises en scènes relèvent du fantasme bestial, brut mais sincère. Chiyoji est l'un des premiers mangakas édités en Europe et, de surcroît, un mangaka érotique. Pour nous les Européens, il a mis au point des modèles infinis de poupées désirables et coquines, aux mises en plis flottantes, à l'incroyable souplesse corporelle, à la bouche petite mais avaleuse, à la sudation forcenée, qui sont en réalité autant de variations autour de l'archétype de la ménagère gourmande, voire délurée.La série : Miss 130 est la série érotique qui connut la publication la plus constante en Espagne dans le célèbre magazine Kiss Comix, des éditions La Cúpula. Kiss Comix vécut 20 années, de 1991 à 2011, et Miss 130 y fut publiée sur presque toute la longueur de cette existence, de 1992 à 2010. Autant dire une éternité, mais une éternité qui se comptabilise néanmoins à plus de 1000 pages. un record !