Jî Drû, flûtiste de caractère, sideman inspiré, chef de bande endiablé pour Push up! et Jî Mob, producteur et arrangeur, signe aujourd'hui un premier album sous son nom, raffiné, expressif et onirique : 'WESTERN'. Un jazz métissé, hybride à l'écoute de sonorités actuelles, du groove éternel et des transes suspendues. Pour ce projet, on retrouve les sons hypnotiques du piano d'Armel Dupas, la voix envoûtante de Sandra Nkaké, les rythmes inventifs de Mathieu Penot pour accompagner les volutes de flûtes et le chant de Jî Drû. Un jazz moderne et épuré, plein de poésie et de révolte, pour un quartet dont on n'a pas fini de parler. Western est un conte vibrant de ballades poétiques intimistes et rêveuses, de transes suspendues et de tempêtes rythmiques au groove hypnotique.. -- FIP. -- UN DISQUE ESSENTIEL, PLEIN DE POéSIE ET DE RéVOLTE. -- LES INROCKS. --
Écologie, développement durable, biodiversité, déforestation : autour de ces thématiques tellement actuelles et fondamentales, Les Enfantastiques interprètent 16 chansons écrites dans le cadre de Chansons en création par Monsieur Nô avec des élèves et des enseignants d'écoles élémentaires pour donner à tous, enfants, parents et enseignants, l'envie d'entretenir ou de retrouver le plaisir de chanter, comme une activité fédératrice qui crée avec le fil de nos voix le lien indispensable pour vivre ensemble en harmonie.
Il fallait être plusieurs « zorèys » pour aborder au Pays des Merveilles d'Alain Peters. Une langue aussi dense et fleurie qu'une forêt tropicale, des voix aussi perdues dans la réverb qu'un chant des sirènes, une aura d'icône insulaire, des vapeurs de rhum, un coeur nu... on voudrait être l'ami(e) qui tend la main au poète en perdition, mais on n'est que le collectif de musiciens qui allons reprendre ses morceaux. Alain Peters est un monument de la musique réunionnaise, une idole locale, et qui plus est, les rythmes de l'océan indien sont réputés injouables, incompréhensibles pour les nonlocaux. Il y a un pont à franchir, une passerelle à suspendre audessus des océans. Il ne faut pas traduire la langue créole pour la comprendre; c'est son esprit qu'il faut tenter de saisir. Idem pour la musique. Il nous faut retrouver en nous-même, cet endroit intime d'où parle une langue secrète, mouvante, la langue de l'âme, du coeur, de l'imaginaire, une langue de résistance, fière et insoumise. Alain Peters s'exprime d'un endroit si profond, si juste, si simple et si sincère, si unique aussi, à la croisée des musiques, des religions, des continents... Entre catholicisme et hindouisme, Afrique et Occident, entre rock'n'roll et bal-la-poussière, entre star système et homestudio, il fait naître une perle rare d'un grain de sable dans le système. Il fallait être plusieurs pour poursuivre les dialogues entamés par Alain Peters, nous sommes six : 2 chanteuses et 4 instrumentistes, pour retracer la descente d'un ange aux Enfers.
VIBRONICS avec plus de 20 années de production et de tournées à travers le monde est devenu l'un des piliers du UK Dub. On ne compte plus ses multiples collaborations, avec certains artistes, High Tone, Brain Damage, Soom T, Michael Prophet, Rod Taylor ou encore Earl 16 pour n’en citer que quelques uns, mais aussi avec des labels Français bien connus, Sounds Around, Jarring Effects et Hammerbass. Pour ce nouveau projet, Vibronics s’associe avec le Cross Club à Prague pour célébrer les femmes en général et celles du milieu de la musique Reggae-Dub en particulier à travers cette nouvelle production intitulée Woman On A Mission. Huit chanteuses aux origines et aux styles variés sont ainsi mises en vedette, des associées de longue date, Boney L (enregistrée pour la première fois il y a 10 ans), Nia Songbird, Vanya O et Saraléne, mais aussi des premières collaborations pour d’autres telles que Trilla Jenna, Nanci Correia, Nish Wadada et Sis I-Leen. Chaque titre, chaque piste vocale dont la légèreté et la pertinence sont remarquables finissent par glisser sans effort vers un mix dub, le son Vibronics. 10% des bénéfices de la vente de cet album seront reversés à Womanking qui lutte contre les discriminations et les violences faites aux femmes à travers le monde.
Combo tout terrain et atypique de la scène hexagonale, Flyin' Saucers Gumbo Special se produit sur scène depuis 1997 avec une reconnaissance et une notoriété grandissante. Ils ont fait leurs armes en tant que backing band de nombreux artistes de blues américains tels que : Sugaray Rayford, Jimmy Burns, Amos Garrett, Paul Orta, Bill Hurley (Inmates)... Atypique aussi pour son répertoire très particulier, ce combo fabrique une sorte de tambouille festive et épicée à base de toutes les musiques de la Louisiane : zydeco, rock'n'roll 50's, funk, soul, cajun avec comme fil conducteur le blues. Pour les puristes, leur répertoire trouve ses sources autant chez les Meters que Dr John, Earl King, Huey Smith, Boozoo Chavis, Clifton Chenier ou Lazy lester pour ne citer qu'eux.- En 2019, les Saucers vont encore plus loin dans la production et l'écriture de ce nouvel opus. Plus incisif et 'énervé' que ces prédécesseurs, les mélodies et les arrangements vont droit à l'essentiel avec l'idée maîtresse de garder au premier plan la moiteur du bayou et les groovse du Delta du Mississipi. Alors si vous aimez - même sans le savoir ce qu'on appelle le swamp, le funk, le blues, le zydeco, le rythm'n'blues, le mambo, la soul et taper du pied en vous égosillant sur des refrains entêtants ' Nothing'but ' est fait pour vous !
POUR LES FANS DE : AT THE DRIVE-IN, REFUSED, BATTLES, FOALS, EXPLOSIONS IN THE SKY, SONIC YOUTH Aucun obstacle ne saurait s'opposer à une telle concentration d'énergie, d'enthousiasme et de créativité. Issu d'horizons musicaux radicaux, Lysistrata parvient à transcender les différentes étiquettes du rock, avec autant de spontanéité que de savoir-faire. Après un passage mémorable aux Transmusicales de Rennes en décembre 2016, le jeune trio de Saintes remporte le Prix Ricard S.A Live Music 2017, l'un des dispositifs d'accompagnement les plus complets dans les musiques actuelles. L'histoire de Lysistrata est celle d'un groupe enraciné dans la culture alternative, et qui a désormais toutes les cartes en main pour exploser auprès d'un plus large public. LES TRÈS COTÉS LYSISTRATA FONT SOUFFLER LA TEMPÊTE DE LEUR POST-ROCK Les Inrocks Une des formations actuelles parvenant à synthétiser le plus habillement influences post-hardcore, post-rock et math-rock qu'il nous a été donné d'entendre! Noise
Laurent Coulondre, la nouvelle sensation du piano hexagonal, rend hommage à l un des musiciens qui a le plus marqué son parcours de musicien et de jazzman : Michel Petrucciani. Pour être à la hauteur du 20ème anniversaire de la disparition de ce géant et de cette sublime harmonie intergénérationnelle voguant entre modernité et tradition que Michel Petrucciani promouvait, Laurent Coulondre s entoure de Jérémy Bruyère (basse et contrebasse) et d André Ceccarelli (batterie) pour faire revivre le répertoire du pianiste de légende, et nous montre s il en était besoin que le jazz est un langage qu il maîtrise de mains de maître. La nouvelle sensation du piano hexagonal --Radio france Au delà de ses qualités de virtuosité et musicalité, c est son sens du groove qui frappe d emblée et son attaque de la note fait mouche à chaque fois --Jazz magazine Laurent Coulondre mêle invention et séduction, brasse couleurs et sonorités avec jubilation et ne se laisse jamais dépasser par sa propre virtuosité --Jazz magazine
De l'Opéra de Buenos Aires aux scènes européennes où elles ont fait chanter leur violoncelle et leur clarinette, Las Hermanas Caronni se sont affranchies peu à peu de l'académisme de leur formation classique pour se jeter dans le maelstrom musical d'aujourd'hui. Argentines de naissance et italiennes, russes et suisses d'ascendance, elles ont parcouru le monde avant de s'installer en France à la fin des années 90 où elles ont formé leur duo. Au fil de leurs albums, elles ont à chaque fois intégré de nouvelles influences qui enrichissent leur répertoire et une rencontre avec Erik Truffaz aura suffi pour convaincre le trompettiste de se joindre à elles, les deux jumelles faisant un pas de plus vers le jazz avec lequel elles ont toujours voulu flirter. Entre la beauté grave de la clarinette basse de Gianna et le violoncelle caméléon de Laura, les compositions des deux soeurs, souvent inspirées de pièces classiques ou contemporaines, les emmènent vers de nouveaux territoires, même si l'âme de la milonga rôde encore entre les notes. Un éclectisme qui ne renie rien de leurs origines mais qui confesse un appétit musical immense.
Lorsque l'on pense à Yann Tiersen, des dizaines de mots peuvent venir à l'esprit pour parler de sa musique : touchante, profondément humaine, forcément attachante... Une musique à fort impact émotionnel, où chacun peut y aller de sa propre interprétation. Pourtant, on ne peut s'empêcher de penser qu'il y a autre chose, un petit détail qui fait la différence avec les autres. Et le fait est que dès la sortie de son premier album, La Valse Des Monstres, chaque morceau était déjà porteur d'une signature parfaitement identifiable et il semble que les nombreuses émotions occasionnées par sa musique ne soit finalement que la conséquence de cette forte identité, chose si rare à l'époque, quasi-disparue de nos jours. Quelque soit l'instrument utilisé ou la forme pratiquée, cette aura si particulière était toujours là, à l'instar d'artistes comme Philip Glass ou Erik Satie. Il suffisait souvent d'une seule écoute pour être séduit, comme ce fut le cas pour le label Ici d'Ailleurs (qui s'appelait encore Sine Terra Firma) le jour où il reçut la cassette demo du jeune musicien. Comme ce fut le cas de Jean-Pierre Jeunet lorsqu'il entendit par hasard un morceau dans la voiture de l'un de ses assistants pour donner naissance à la collaboration que l'on connaît (trop ?) bien (Le Fabuleux Destin d'Amélie Poulain). Comme ce fut le cas de millions de personnes à l'époque, et comme se sera probablement le cas pour des millions d'autres à l'avenir. L'intemporalité est sûrement la deuxième grande force de Yann Tiersen et il semble évident que La Valse Des Monstres, Rue Des Cascades ou encore Le Phare ne sont en aucun cas les bandes-son d'une période particulière, encore moins des albums générationnels. Des titres comme « La Dispute », « La Pièce Vide » ou « Comptine d'Été » en sont des preuves évidentes tant l'émotion demeure intacte plus de 15 ans après leur sortie. Et aujourd'hui, peut-être même plus encore qu'une référence, Yann Tiersen semble être avant tout une influence. Son langage a indubitablement laissé des traces chez de nombreux artistes, reconnus ou non, dans leur manière de ressentir, de percevoir et d'écrire de la musique. Cette vision si particulière engendrera de nombreuses collaborations, parmi lesquelles Shannon Wright, Bästard, Noir Désir (« A Ton Étoile »), Dominique A (qui interprète 2 titres sur le Phare), Matt Elliott (Dust Lane) ou encore The Married Monk (Tout est Calme).
Pour fêter les dix ans de la sortie de notre premier album (Gee Whiz But This Is a Lonesome Town, en octobre 2007), nous avons décidé de nous lancer dans ce grand projet d'album live : 24 titres enregistrés sur scène - par le groupe lui-même et ses fidèles ingénieurs du son - au fil des quelques 800 concerts égrenés au cours de cette décennie... une course folle, 514'000 kilomètres parcourus autour du globe, entre la France et le Japon, l'Inde et l'Australie, les USA et l'Europe.. Il y a dix ans - le 15 Octobre 2007 - sortait notre premier album Gee Whiz But This Is A Lonesome Town. Nous ne le savions pas, mais c'était le début d'une tournée sans fin qui allait nous emporter quelques 514'000km autour du monde, à travers 800 concerts et 25 pays... une chevauchée dans le temps et l'espace, une décennie de pérégrinations musicales et de rencontres humaines qui aura laissé nos esprits hagards, éblouis, et (probablement) un peu déphasés. Pour fêter ce dixième anniversaire, nous avons decidé de nous lancer, pour la première fois, dans un grand projet d'album live : Echoes From The Borderline. Une collection de 24 chansons enregistrées sur scène pendant les tournées, par les membres du groupe eux-mêmes et leurs fidèles ingénieurs du son : versions de concer t déchaînées, accompagnées d'invités musicaux, chansons inédites, performances acoustiques primitives, expérimentations électriques... Simultanément, en contrepoint visuel à ces traces musicales, nous publierons un Livre-Photo grand format qui contiendra les photographies argentiques prises par Zim Moriarty tout au long de la tournée, témoignant des lieux traversés, des personnages croisés, des concerts et des publics, du temps de vie dépensé sur la route... et capturé sur la pellicule par l'objectif du Leica.
Pour fêter les dix ans de la sortie de notre premier album (Gee Whiz But This Is a Lonesome Town, en octobre 2007), nous avons décidé de nous lancer dans ce grand projet d'album live : 24 titres enregistrés sur scène - par le groupe lui-même et ses fidèles ingénieurs du son - au fil des quelques 800 concerts égrenés au cours de cette décennie... une course folle, 514'000 kilomètres parcourus autour du globe, entre la France et le Japon, l'Inde et l'Australie, les USA et l'Europe.. Il y a dix ans - le 15 Octobre 2007 - sortait notre premier album Gee Whiz But This Is A Lonesome Town. Nous ne le savions pas, mais c'était le début d'une tournée sans fin qui allait nous emporter quelques 514'000km autour du monde, à travers 800 concerts et 25 pays... une chevauchée dans le temps et l'espace, une décennie de pérégrinations musicales et de rencontres humaines qui aura laissé nos esprits hagards, éblouis, et (probablement) un peu déphasés. Pour fêter ce dixième anniversaire, nous avons decidé de nous lancer, pour la première fois, dans un grand projet d'album live : Echoes From The Borderline. Une collection de 24 chansons enregistrées sur scène pendant les tournées, par les membres du groupe eux-mêmes et leurs fidèles ingénieurs du son : versions de concer t déchaînées, accompagnées d'invités musicaux, chansons inédites, performances acoustiques primitives, expérimentations électriques... Simultanément, en contrepoint visuel à ces traces musicales, nous publierons un Livre-Photo grand format qui contiendra les photographies argentiques prises par Zim Moriarty tout au long de la tournée, témoignant des lieux traversés, des personnages croisés, des concerts et des publics, du temps de vie dépensé sur la route... et capturé sur la pellicule par l'objectif du Leica.
MUSIQUES AFRICAINES éLECTRIQUES Né en duo saxophones / batterie à Berlin en 2009, devenu quartet électrique en 2011, Electric Vocuhila mêle des rythmiques inspirées de diverses musiques urbaines africaines comme le sébène congolais et le tsapiky malgache à une conception orchestrale issue du jazz et plus particulièrement de la musique harmolodique d'Ornette Coleman. Sur une base rythmique obstinée mais toujours mouvante, tour à tour hypnotique et frénétique, leur musique se construit librement autour de motifs répétitifs. Recherchant à la fois la concision mélodique et une forme de débordement ou de transe, le quartet développe de longues séquences faites de thèmes fulgurants, de phrasés sinueux, de riffs acérés et explosifs. Un appel joyeux et urgent à la danse. L'étrange et réjouissant groupe Electric Vocuhila. Ces musiciens viennent du jazz, option free, et jouent de la musique africaine comme si c'était du rock. De la musique africaine d'aujourd'hui, avec une prédilection pour le tsapiky malgache : tourneries de guitare électrique et rythmes fous, pour une forme de musique de transe très proche du meilleur rock, en effet. -- LES INROCKS ---
MUSIQUES AFRICAINES éLECTRIQUES Né en duo saxophones / batterie à Berlin en 2009, devenu quartet électrique en 2011, Electric Vocuhila mêle des rythmiques inspirées de diverses musiques urbaines africaines comme le sébène congolais et le tsapiky malgache à une conception orchestrale issue du jazz et plus particulièrement de la musique harmolodique d'Ornette Coleman. Sur une base rythmique obstinée mais toujours mouvante, tour à tour hypnotique et frénétique, leur musique se construit librement autour de motifs répétitifs. Recherchant à la fois la concision mélodique et une forme de débordement ou de transe, le quartet développe de longues séquences faites de thèmes fulgurants, de phrasés sinueux, de riffs acérés et explosifs. Un appel joyeux et urgent à la danse. L'étrange et réjouissant groupe Electric Vocuhila. Ces musiciens viennent du jazz, option free, et jouent de la musique africaine comme si c'était du rock. De la musique africaine d'aujourd'hui, avec une prédilection pour le tsapiky malgache : tourneries de guitare électrique et rythmes fous, pour une forme de musique de transe très proche du meilleur rock, en effet. -- LES INROCKS ---
UN GRAND TALENT à DéCOUVRIR D'URGENCE --- LOUIS-JULIEN NICOLAOU, TéLéRAMA --- Certains l'ont qualifiée d'OVNI (Objet Vocal Non Identifié) pour traduire sa virtuosité vocale : scat, vocalises, envolées lyriques, impros, effeuillages a capella, timbre de velours, la soprano multiplie les jeux de voix au service de la musique. Mais voilà une diva qui ne se la joue pas. Marie Mifsud préfère le terme d'expression vocale à celui de chant et se voit comme une passeuse d'émotions. Pour cette musicienne inventive, la voix est un instrument, véritablement, tout autant qu'une plume trempée dans l'encrier des sensations quotidiennes. Tout au long de cet album, les mélopées de Marie dressent de somptueux décors : naviguant du tango à la batucada, du swing à la musette, l'artiste traverse le Paris canaille et la East Coast en faisant escale dans les torpeurs latines et les fièvres africaines. Sur sa mappemonde, Marie zigzague entre pop, rock, kizomba, musique électronique, sans oublier les ponts entre le jazz et la chanson à texte. Une des chanteuses les plus inventives de la scène actuelle. -- JAZZ MAGAZINE --- Le jazz de toutes les couleurs de Marie Mifsud renouvelle la variété de haut vol. -- LE MONDE ---
LA RENAISSANCE DU ANDRé CECCARELLI QUARTET! Plus de 20 ans après leur album West Side Story, désormais culte publié (BMG - 1997), André Ceccarelli a sonné le rappel de ses complices Sylvain Beuf, Thomas Bramerie et Antonio Farao pour enregistrer 'Passers of Time', le premier album de leur quartet, dénommé ASTA. Ce qui frappe dès les premières mesures, c'est l'incroyable énergie et le plaisir que les acteurs d' ASTA ont eu à enregistrer ensemble. Avec 'Passers of Time', ASTA démontre avec talent que plus le temps passe et plus la complicité qui unit et réunit les artistes de ce quartet à su faire son oeuvre et elle est magistrale ! PASSERS OF TIME : ONZE MAGNIFIQUES COMPOSITIONS ORIGINALES, INTERPRéTéES MAGISTRALEMENT PAR CE QUARTET HISTORIQUE. -- JAZZ MAGAZINE --- 25 ans après leur 1ère union, le groupe de Ceccarelli, Faraò, Beuf et Bramerie renaît en totale osmose sur l'album Passers of Time. -- FIP --- André Ceccarelli : C'est vraiment un groupe, ce n'est plus le André Ceccarelli Quartet c'est ASTA. C'est un peu comme si on était mariés, qu'on divorce. Et pour finir on se dit ma femme c'est ma femme, ce sera toujours ma femme, et on se remarie !. Sylvain Beuf : Pour moi c'est tout simplement le meilleur quartet dans lequel j'ai eu le plaisir de jouer. C'est comme les membres d'une famille qui se retrouvent après un long voyage qui les a un petit peu éloigné. Et là on s'est retrouvé avec des démarches un peu différentes et aussi des choses que nous avions enregistrées il y a une vingtaine d'années et tout cela a donnée un truc assez génal assez rapidement. Thomas Bramerie : ASTA, c'est le nom qu'on a choisi qui en en fait est l'acronyme de nos prénoms, bien que soit encore une suggestion de DD de recommencer à jouer tous ensemble, il a tenu que ce soit un groupe de nous quatre et chacun a amené des compositions. Antonio Farao : L'idée était de se réunir à nouveau après 25 ans de silence et donc de refaire renaître ce quartet qui a un son incroyable selon moi.
« Sky Dancers » est le nom que se donnent entre eux les Amérindiens du Nord-Est de l'Amérique du Nord qui grâce à leur supposée absence de vertige construisent les gratte-ciel, en particulier ceux de New-York, et qui « dansent » sur les poutrelles, là-haut dans le ciel. Aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours été concerné par les Amérindiens. Déjà gamin, je préférais me costumer en Indien. Je trouvais cela plus gai, plus beau, plus rigolo, plus inventif. Avec deux riens, une ficelle et du rouge à lèvres - emprunté en douce à ma mère pour les peintures de guerre - j'étais déjà dans les grands espaces et je me sentais libre. Et puis, très vite, je me suis rendu compte que les Indiens étaient des « vrais gens », des êtres humains. Alors j'ai lu, vu, entendu tout ce que je pouvais trouver les concernant. J'étais à l'affût du moindre détail authentique (je le suis toujours) et je n'ai plus du tout supporté de les voir ridiculisés dans ces westerns idiots. Ignorés, bafoués, récupérés, « merchandisés ». Simultanément à la découverte de la musique de jazz, j'ai ressenti l'univers poétique du monde amérindien et surtout ce qui m'a fasciné, dès que j'ai eu l'âge de comprendre, c'est le respect absolu que manifestaient les Indiens vis-à-vis de la nature. Actuellement, dans l'indifférence générale, certains Etats prétextant la « crise », maintiennent les tribus en leurs réserves dans un état de précarité inimaginable, pour certaines au bord de la famine alors que les Indiens, contraints et humiliés, ont signé des traités signifiant la donation de leurs terres contre l'assurance d'une existence digne. Afin de rendre hommage aux Amérindiens, j'ai imaginé de nouvelles musiques et de m'embarquer pour cette aventure entouré de fidèles compagnons que sont Sébastien Texier, François Corneloup et Louis Moutin. Grâce à notre complicité, nous avons toujours le désir intact d'explorer de nouveaux territoires, de raconter de nouvelles histoires. Pour ce projet, il m'a semblé évident d'aller à la rencontre de musiciens n'ayant jamais participé à mes orchestres. Armel Dupas et Nguyên Lê sont de ceux-là. Lorsque j'ai entendu Armel Dupas pour la première fois, j'ai immédiatement été sensible à son univers, son toucher, sa pulsation. L'idée de jouer un jour avec lui s'est très vite imposée... Quant à Nguyên, il est présent à mon esprit depuis bien longtemps. Musicien d'une grande élégance, porteur d'un chant unique, il me touche profondément. Et c'est ainsi que les « Sky Dancers » sont entrés dans la lumière. « Sky Dancers » est le nom que se donnent entre eux certains Amérindiens du Nord-Est de l'Amérique du Nord qui grâce à leur présumée absence de vertige construisent les gratte-ciel, en particulier ceux de New-York, et qui « dansent » sur les poutrelles, là-haut dans le ciel. » Henri Texier
Récemment plébiscitée en France lors de son concert à JAMMIN'SUMMER SESSION 2019 du festival Jazz à Juan, la jazzwoman, trompettiste, bugliste et compositrice québécoise Rachel Therrien - déjà récompensée par le Grand Prize Jazz Award 2015 et en 2016 par le Stingray Jazz Rising Star Award-, affiche déjà un beau parcours outre-Atlantique. Née en 1987 à Québec, elle vit entre New-york et Montréal où elle est considérée comme l'une des musiciennes de jazz les plus prometteuses de sa génération. Reconnue pour sa signature personnelle et ses influences éclectiques entre autre, les rythmes cubains - elle a vécu et étudié à la Havane -, la trompettiste aux multiples talents illumine la scène jazz nord-américaine. Sidewoman très courtisée, elle joue un peu partout dans le monde (Europe, Amérique Latine, Cuba, Haïti, Ukraine etc). C'est à l'occasion de ses voyages en Europe qu'elle rencontre les musicien.ne.s qui deviendront ses compagnons de jeu dans son European Quartet avec lequel elle enregistre VENA, son cinquième album en tant que leadeuse. Le pianiste franco-australien Daniel Gassin, le contrebassiste espagnol Dario Guibert et la batteuse allemande Mareike Wiening retrouvent Rachel Therrien en mai 2019 au studio de Meudon pour y enregistrer l'album VENA. Tout au long des quinze compositions de Rachel chacune au titre évocateur, on pourra découvrir les sujets qui inspirent son écriture. V for Vena est le morceau titre de l'album. Inspiré par le vol des oiseaux migrateurs - les bernaches du Canada qu'on retrouve dans la région où elle a grandi au Québec -, celles-ci volent en V pour leur permettre une plus longue migration et symbolise clairement son parcours vers l'Europe ainsi que le V de ce cinquième album. RACHEL THERRIEN ATTEINT DES SOMMETS D'INTENSITé. -- JAZZ MAGAZINE --- LA DéFERLANTE THERRIEN ! --- LE MONDE --- 2015 GRAND PRIZE JAZZ AWARD 2016 STINGRAY JAZZ RISING STAR AWARD
UN DISQUE DE CHEVET INDISPENSABLE, POUR TOUT AMATEUR DE SYDNEY BECHET.... -- Francis Marmande --- L'HOMMAGE SURPRENANT à SIDNEY BECHET! - ESSENTIEL ET INCONTOURNABLE - INCLUS : LIVRET 24 PAGES. Vol pour Sidney (retour) est emmené par une troupe de poètes-instrumentistes de haut vol en transes atlantiques de l'Amérique du blues profond à la France de Georges Brassens. à tout âge, on y chante, on y danse et on relève les marques d'affection qu'eurent John Coltrane ou Duke Ellington, comme les générations qui suivent, pour le très grand Sidney Bechet, figure superlative de l'histoire du jazz. Avec : Elsa Birgé, Catherine Delaunay, John Dikeman, Sophia Domancich, Robin Fincker, Simon Goubert, Nathan Hanson, Sylvaine Hélary Glowing Life (avec Antonin Rayon, Benjamin Glibert, Christophe Lavergne), Hymn for Her (Lucy Tight, Wayne Waxing), Doan Brian Roessler, Guillaume Séguron, Davu Seru, Ursus Minor, (Tony Hymas, Grego Simmons, François Corneloup, Stokley Williams), Donald Washington, Matt Wilson Quartet (avec Jeff Lederer, Kirk Knuffke, Chris Lightcap. Avec : Elsa Birgé, Catherine Delaunay, John Dikeman, Sophia Domancich, Robin Fincker, Simon Goubert, Nathan Hanson, Sylvaine Hélary Glowing Life (avec Antonin Rayon, Benjamin Glibert, Christophe Lavergne), Hymn for Her (Lucy Tight, Wayne Waxing), Doan Brian Roessler, Guillaume Séguron, Davu Seru, Ursus Minor, (Tony Hymas, Grego Simmons, François Corneloup, Stokley Williams), Donald Washington, Matt Wilson Quartet (avec Jeff Lederer, Kirk Knuffke, Chris Lightcap. Vive les albums concepts : climats variés. Vive l'humour jazziste : si rare. Vive les surprises : ça décape. -- JAZZ MAGAZINE --- TOUJOURS DISPONIBLE! VOL POUR SIDNEY (aller) éLU DISQUE de L'ANNéE par : Le journal LE MONDE et par le journal LIBéRATION. VOL POUR SIDNEY (aller) : En 1992, les disques nato publiaient Vol pour Sidney, recueil de titres composés et immortalisés par Sidney Bechet - artiste majeur du XXe siècle, instrumentiste essentiel au même titre que Louis Armstrong, Charlie Parker ou John Coltrane - et interprétés cette fois par une clique d'artistes d'univers et itinéraires fort divers, tous amoureux de la musique de Bechet : Charlie Watts, Elvin Jones, Lee Konitz, Taj Mahal, Pepsi et Urszula Dudziak aux côtés de quelques compagnons de route de nato : The Lonely Bears, British Summer Time Ends, Lol Coxhill / Pat Thomas, Steve Beresford et Michel Doneda.L'album connut alors un grand succès auprès d'une critique enthousiaste, nommé disque de l'année dans plusieurs revues : Le Monde, Libération, Jazz Magazine, VSD etc. Sidney Bechet fut un artiste immensément populaire, mais aussi un innovateur (ses duos avec Kenny Clarke par exemple), un chercheur (il fut le premier à utiliser le re-recording), un voyageur curieux des autres cultures, un bluesman profond et un des saxophonistes soprano les plus novateurs et les plus expressifs. En plus de la beauté des thèmes, ce sont ces différentes approches - richesses de ce musicien d'exception - qui ont inspiré les passagers de ce Vol pour Sidney frappés autant par l'invention, la modernité, l'humour, le sens mélodique d'un des plus grands créateurs de jazz.
LA BANDE SON PASSIONNANTE ET SENSUELLE D’UNE CROISIÈRE EN PANAVISION ET AUDIORAMA... L’équipage des RHUM RUNNERS a jeté l’ancre sur une plage de sable fin. Dans leur coffre, un cocktail musical à base de rhum bien sûr, mais aussi d’influences diverses allant d’Ennio Morricone à la Surf Music, avec une prédilection pour le jazz coquin des boîtes à strip-tease de Brooklyn.
Formé en 1963 à Londres, Les Pretty Things ont, dès 1964, connu le succès avec leurs premiers EP puis ont enchainé sur 2 albums en1965. Ces deux opus parus en Angleterre sont The Pretty Things & Get The Picture, alors qu'en France il n'y en aura qu'un seul et unique intitulé Midnight To Six Man avec une photo totalement différente des albums anglais. Groupe formé à la base de deux copains, Phil May (lead vocal & harmonica) & Dick Taylor (célèbre guitariste de blues-rock), les Pretty, très amis avec les Rolling Stones, suivent la même trajectoire rock blues et s'entourent pour ce premier album français de Brian Pendleton (Rhythm guitar), John Stax (Bass guitar) & Viv Prince (drums). C'est ce mythique album qui fera connaitre les Pretty en France, ainsi que les 4 EP parus à la même époque. Cet extraordinaire album reprend ici les 12 titres originaux plus 4 titres bonus, extraits des EP et non présents sur le vinyle original. Un véritable régal musical de rock et de blues (comme les Animals ou les Stones à la même période) et ce début de carrière reste mémorable et encore mythique aujourd'hui pour les Pretty (toujours en activité avec les deux mêmes leaders) et seul, l'album Midnight To Six Man, nous fait pleinement revivre ces instants sixties de pur bonheur.
LE QUATUOR MANOUCHE TZIGANE QUI DÉPASSE LES FRONTIÈRES - LA «FOLIE» SAMARABALOUF Bientôt 20 ans que les compositions du guitariste François Petit se promènent à travers le monde, toujours à la frontière des musiques tziganes et manouches. C’est désormais un violon et un violoncelle qui remplacent la fameuse « pompe manouche » de la guitare rythmique, avec toujours la « bonne vieille » contrebasse pour porter le tout. À eux quatre, ça pince, ça frotte, ça percute, ça s’envole avec toujours le même esprit fougueux et la même envie de partager. Musiques de l’Est, du Nord, du Sud, parfois rock, country, parfois lyrique et bien plus encore. Samarabalouf vous « UP » à travers sa « French World Music». 16 morceaux enregistrés au Vintage Studio, avec la crème des micros à lampe... Toujours cette base manouche et tzigane, qui dépasse de plus en plus les frontières...rumba, java, country, irlandais... 16 morceaux et 1 voyage en musique... entre la tradition du quatuor à cordes du 18e et le trio manouche... C'est désormais un violon et un violoncelle qui remplacent la fameuse pompe manouche... Musique à rêver, à danser, à rire, à s’émouvoir... avec ce 4e album studio, Samarabalouf vous propose un de ses plus grands voyages... « SWING IRRÉPROCHABLE ET COMPOSITIONS ACCROCHEUSES POUR CE GROUPE MAJEUR DE CETTE SCÈNE JAZZ SANS FRONTIÈRES. » Les Inrocks « NOUS SOMMES TOUS FOUS DE SAMARABALOUF » Télérama.fr
AU CARREFOUR DU BLUES, DU ROCK ET DE LA FOLK Ce quartet francilien nous offre une musique directe et généreuse, vibrante du passé comme de l'avenir. Les « ventres de coton » c'est pour les champs ou le blues est né dans la douleur et pour les tripes dont il s'échappe parfois. Leurs chansons sont des plaintes empreintes d'espoir ou un harmonica virevolte avec une guitare électrique déchirante, libérant une voix soul soutenue par un basse/batterie au groove solide. Si l'humour, l'espièglerie ou encore la simplicité sont du voyage, les « Cotton Belly's » n'ignorent pas les crises qui secouent le monde. Les textes évoquent notre humanité et les mélodies nous accompagnent longtemps après que les dernières notes aient résonné. Alors, route pluvieuse ou pas, c'est à chaque fois avec le même groove généreux que les « ventres de coton » offrent sans relâche des gigs enlevés dont on ressort l'âme un peu plus légère. Après leur tournée aux Etats-Unis et leur demi finale à l'International blues challenge de Memphis, les Cotton Belly's nous dévoilent leur nouvel album, de nouvelles versions de leurs chansons rafraîchies et affirmées par des années de concerts, on y trouvera également une version revisitée sauce « Cotton » de « Superstition » du grand Stevie Wonder, ainsi qu'une toute nouvelle composition originale « Broken Line » enregistrée à Memphis ! Le tout sublimé par le venue d'invités surprise. « UNE VIVACITÉ ÉMÉRITE ET UNE VOIX APTE À POUSSER LA COMPLAINTE » Rock & Folk « COTTON BELLY ’ S NE CESSE DE CONFIRMER SON TALENT. UN RYTHME MAÎTRISÉ, UN VOCAL MÛR ET UN HARMONICA VIRVOLTANT. » Soul Bag
L'acolyte de King Ju dans l'entité Stupeflip. Complice de prédilection du grand sorcier du Stup Crou, Cadillac participe depuis les origines à l'aventure, éructant ses fabliaux et ses raps de sous préfecture, mettant en son et lumière les spectacs, réalisant une partie des vidéos, composant ou participant à l'écriture d'une part notable de la discographie foutraque du groupe mystérieux et néanmoins populaire. Aujourd'hui, Cadillac s'émancipe de Stupeflip avec un album solo dont il a composé et réalisé tous les titres, toutes les chansons, convoquant les autres membres de Stup pour des featuring.
L'acolyte de King Ju dans l'entité Stupeflip. Complice de prédilection du grand sorcier du Stup Crou, Cadillac participe depuis les origines à l'aventure, éructant ses fabliaux et ses raps de sous préfecture, mettant en son et lumière les spectacs, réalisant une partie des vidéos, composant ou participant à l'écriture d'une part notable de la discographie foutraque du groupe mystérieux et néanmoins populaire. Aujourd'hui, Cadillac s'émancipe de Stupeflip avec un album solo dont il a composé et réalisé tous les titres, toutes les chansons, convoquant les autres membres de Stup pour des featuring.
Après leur premier album Traveling Soul sorti en Avril 2017, les Gunwood ont eu envie de prolonger le voyage. Gunnar Ellwanger (guitares, voix lead), Jeff Preto (basse, voix) et David Jarry Lacombe (batterie, voix) ont bousculé leurs titres en les mêlant aux nivers d'autres artistes, amis ou admirés. De ces rencontres électriques à l'image de leur folk blues métissé, les Traveling Sessions sont nées : un artiste invité, un titre de Gunwood à revisiter, un lieu singulier, des caméras et micros pour partager, de bien belles rencontres avec Ben l'Oncle Soul, Electro Deluxe, Yarol Poupaud, La chica et Hugh Coltman...
DIRTY DEEP : LA RENCONTRE ENTRE FRED MC DOWELL ET UN TRACTO-PELLE. What's Flowin' In My Veins est une relecture du blues, actuelle, non passéiste, qui modernise l'idiome des Muddy Waters ou Son house, en faisant évoluer les 3 accords dans le 21ème siècle. Impossible de résister : l'énergie magnétique de la batterie et la puissance de la basse porte la frénésie de la guitare et l'incroyable rugosité de la voix à leur apogée, nous embarquant dans une jouissive expérience blues rock. Cinglants comme un coup de fouet, crasseux comme le cambouis, brûlants comme le désert, avec cet album, Dirty Deep fait couiner en France ce blues de junk-joint des temps modernes, à la fois fidèle à la tradition et très grungy, fait pour la danse et l'électrochoc.
Après le succès de leurs adaptations des oeuvres de Serge Prokofiev Pierre et le Loup et le Jazz, de Camille Saint-Saens Le Carnaval Jazz des Animaux, leur deux disques sur Django Reinhardt Django Extended et Monsieur Django et Lady Swing, les 17 musiciens de The Amazing Keystone Big Band, dirigés par Bastien Ballaz, Jon Boutellier, Fred Nardin et David Enhco continuent leur aventure pour que les publics jeunes et adultes découvrent le jazz dans toutes ses expressions. Nommés aux Victoires de la Musique dans la catégorie Meilleur Orchestre de Jazz, ils reviennent cette fois-ci avec we Love Ella, un projet centré sur la personnalité légendaire d'Ella Fitzgerald, dans lequel ils réinventent à leur manière les plus grands succès de la chanteuse.
VOYAGE SANS FRONTIèRES AUX COULEURS DES BALKANS ET DU MOYEN-ORIENT- QUINTET BUMBAC L'ORCHESTRE D'UN MUSICIEN RHAPSODE. MIROIR ORIENTAL DUN QUINTET à CORDES ! Le quintette dévoile la voix de cinq solistes qui s'unissent pour ne former plus qu'un. De nombreuses improvisations, Doina, Taksim, se glissent entre des mélodies mélodieuses et un orchestre qui accompagne telle une machine faite de rouages polyrythmiques. Notre oreille cherche d'où viennent ces mélodies, elles parlent du voyage, des racines et nous invitent à nous perdre dans un univers imaginaire. La musique de Quintet Bumbac se découvre, c'est une rencontre. Cet ensemble marque par son élégance et son expressivité, entre rhapsodie et pérégrination musicale. MIROIR ORIENTAL DUN QUINTET à CORDES ! à la croisée des danses tsiganes et méditerranéennes et de la musique de chambre, les compositions de David Brossier (violon damour) pétillent, élégantes et originales. -- TéLéRAMA ---
Les sessions enregistrées par Reinhardt et Grappelli à Rome en janvier et/ou février 1949 avec une rythmique italienne, constituent à la fois l'ultime témoignage sonore de leur rencontre (les deux hommes ne se retrouveront jamais plus ensemble devant un micro), et la toute dernière occasion d'entendre Django à la guitare acoustique dans un contexte orchestral. De sorte que ces faces peuvent apparaître simultanément comme un sommet (au faîte de leur maturité et de leur complicité, les deux artistes se sont rarement exprimés avec un tel brio et un tel abandon), aussi bien qu'un enregistrement de passage, à l'occasion d'un engagement de longue durée en club, en compagnie d'un trio (piano, contrebasse, batterie) qu'ils n'ont pas choisi. En somme, l'accomplissement côtoierait ici l'anecdote, les deux partenaires cultivant avant tout les plaisirs de l'instant - mais n'en est-il pas toujours un peu ainsi en jazz, pour notre plus grand bonheur?
Un message d'amour et de joie qui semble imprégner ce quatrième album du groupe milanais. Comparé aux oeuvres précédentes, les caractéristiques essentielles du son restent une base rythmique puissante et des dynamiques poly-rythmiques prestigieuses; tout cela se rapproche cependant des accents marquants du jazz ancestral. En gros, les Faryds s'imprègnent et refaçonnent avec une intuition remarquable, les éléments uniques et les influences de certains Electric Jazz ou Rock-Jazz Blues des années 70 (Miles Davis, Dr John, Graham Bond, Jeremy Steig) et Spiritual Jazz (Sun Ra, Pharoah Sanders, Don Cherry, Brother Ah), en les mariant avec les moments forts de certains Afro- Free (Pyramids, Alkebu-Lan) et les intrigues les plus Freak-Jam typiques du Space Rock. Ecouter la musique d'Al Doum & Faryds, c'est comme un séjour sur une île déserte à la nature intacte, en harmonie avec une Nouvelle Société Biologique, donnant l'image de frères et soeurs chantant et dansant dans un esprit de fraternité. Al Doum & the Faryds brasse le meilleur du jazz cosmique des 70's, du spacerock, du psyché pour un disque capiteux à ne pas prendre à la légère !
Toujours ! (Sempre) Le nom du nouvel album de Katia Guerreiro sonne comme une profession de foi à ce qu'il y a d'éternel dans le fado. Cette expression de l'âme profonde du peuple portugais, qui reflète avec la même ferveur ses joies et ses douleurs. Le fado d'hier et de demain, que depuis les tous débuts de sa carrière, il y a près de vingt ans, Katia Guerreiro aborde sans artifices ni calculs. Dans le monde entier elle a bouleversé les publics et de grandes figures telles Maria Bethania, Charles Aznavour, Paulhino Da Viola ou Placindo Domingo se sont inclinés devant son talent et son intégrité. Chez Katia Guerreiro rien ne s'interpose entre la vérité des sentiments et son chant. Aucun caprice de l'ère du temps ne modifie sa trajectoire, mais ses choix ne s'en figent pas pour autant dans des options passéistes ou convenues. Bien au contraire Sempre se réfère à la révolution... LE FADO ENCHANTEUR DE KATIA GUERREIRO. L'EXPRESS KATIA GUERREIRO EST CONSIDéRéE COMME LA NOUVELLE RéVéLATION DU FADO. KATIA GUERREIRO IMPOSE UNE MUSICALITé PROPREMENT STUPéFIANTE, LE CHANT MAT, ARDENT, AFFICHE UNE FIERTé FAROUCHE. & KATIA GUERREIRO, UNE DES PLUS BELLES VOIX DU MONDE - LE MONDE. L 'ESSENCE DE L'ENIVRANTE BEAUTé DU FADO... LIBERATION.
UN éVENEMENT DANS LE TRIO JAZZ . Clover est une matière inédite. Après 20 ans d'une étroite collaboration artistique et humaine déjà clairement concrétisée par la création du label Yolk et nombre de projets collectifs, les trois compères Alban Darche, Sébastien Boisseau et Jean-Louis Pommier formalisent ici un autre rêve longtemps différé : faire de ce trio de directeurs artistiques, de fondateurs de label, de porteurs de projets une véritable formation musicale. Clover marque son entrée en scène par un programme résolument poétique. Des pièces mélodiques écrites comme des écrins prêts à recevoir cet objet incernable qu'est la poésie. Elle est ici proposée comme une suspension du temps, ce temps que la musique n'a de cesse de multiplier, diviser, assembler, pour créer des formes qui portent du sens. Clover n'a d'autre revendication que le plaisir du partage et l'expression des sentiments. Alban Darche est de ceux que l'on reconnaît. Peut-être moins par le son que par la pensée musicale... Il y a d'ailleurs une continuité parfaite entre le travail de l'improvisateur et celui du compositeur, le saxophoniste n'étant jamais avare de sa plume... -- Franck Bergerot, JAZZ MAGAZINE --- Vert émeraude --- CITIZEN JAZZ ---
L'histoire très particulière du chanteur/guitariste Jim Jones a connu plusieurs incarnations, de Thee Hypnotics à The Jim Jones Revue, en passant par Black Moses. 5 jours seulement après le concert d'adieux de The Jim Jones Revue à Londres, la nouvelle manifestation de sa vision musicale, Jim Jones & The Righteous Mind, était en studio pour enregistrer quelques morceaux qui allaient nous entraîner dans des eaux plus profondes, à la recherche de sons plus étranges. Si Jim Jones Revue tapait dans le Rock'N'Roll 50's à la Jerry Lee Lewis et Little Richard, les Righteous Mind font eux, un rock tout aussi crasseux et viril, mais qui a plus à voir avec ses compatriotes de Gallon Drunk, les Grinderman de Nick Cave ou les premiers méfaits de Jon Spencer et ses Blues Explosion. Après Boil Yer Blood EP, Aldecide EP et le dernier single en date, Till It's all gone, voilà le tant attendu 1er album, Super Natural. « Des guitares qui vous vrillent la colonne vertébrale et un piano digne des meilleurs bars de contrebande, le traitement - de choc - sera radical. Thrash punk, pub rock ou brièvement jazzy quand il n’invoque pas les Bad Seeds de Nick Cave, Super Natural brûle tout sur son passage, avec les éructations a la Tom Waits faussement chaotiques et plus graveleuses que jamais en guise de lance-flammes fatal. » Rolling Stone
Groupe Américain pop / rock / variété, vivant en France et formé par les deux frères jumeaux Steve et Jim McMains, de Tom Arena (les principaux auteurs compositeurs) sans oublier le rajout de l'extraordinaire William Sheller (compositeur entre-autres de leur grand succès ' My Year Is A day '), et enfin de Andy Cornelius à la batterie. Le groupe se forme en 1966 sous le nom des Sentries, puis appelés aux USA The Beloved Ones, dont la traduction française devient ' Les Irrésistibles ' pour notre pays et tous les autres pays francophone. En 1968, le 45 tours ' My Year Is A Day ' prend la première place des hits parade pendant plusieurs semaines et se classe parmi les meilleurs ventes de singles cette année-là. Suivra le 45 tours ' Lands Of Shadow ' paru la même année, toujours composé par William Sheller et qui se classera lui aussi dans les 10 premières places des hits parades et des meilleurs ventes de singles. En 1969, arrive leur premier album ' The Story Of Baxter Williams ' qui reprend les 2 faces A des 45 tours plus 10 nouvelles chansons. L'accueil et les ventes sont immédiatement au rendez-vous. Voici la réédition de ce merveilleux album ' The Story Of Baxter Williams ' agrémenté de 2 bonus qui sont les faces B des deux premiers singles et qui n'avaient pas été sélectionnés dans l'album à l'époque.
Groupe Américain pop / rock / variété, vivant en France et formé par les deux frères jumeaux Steve et Jim McMains, de Tom Arena (les principaux auteurs compositeurs) sans oublier le rajout de l'extraordinaire William Sheller (compositeur entre-autres de leur grand succès ' My Year Is A day '), et enfin de Andy Cornelius à la batterie. Le groupe se forme en 1966 sous le nom des Sentries, puis appelés aux USA The Beloved Ones, dont la traduction française devient ' Les Irrésistibles ' pour notre pays et tous les autres pays francophone. En 1968, le 45 tours ' My Year Is A Day ' prend la première place des hits parade pendant plusieurs semaines et se classe parmi les meilleurs ventes de singles cette année-là. Suivra le 45 tours ' Lands Of Shadow ' paru la même année, toujours composé par William Sheller et qui se classera lui aussi dans les 10 premières places des hits parades et des meilleurs ventes de singles. En 1969, arrive leur premier album ' The Story Of Baxter Williams ' qui reprend les 2 faces A des 45 tours plus 10 nouvelles chansons. L'accueil et les ventes sont immédiatement au rendez-vous. Voici la réédition de ce merveilleux album ' The Story Of Baxter Williams ' agrémenté de 2 bonus qui sont les faces B des deux premiers singles et qui n'avaient pas été sélectionnés dans l'album à l'époque.
L'ENVOLéE BELLE - Chansons de grande envergure. Dans son nouvel album Le modèle réduit de nos pensées, aux accents de pop mélancolique, David Delabrosse, loin de donner une vision bipolaire du monde actuel, questionne les schémas de pensée préconçus. Comme citoyen, parent ou amant, nous sommes tour à tour victimes et bourreaux, acteurs et spectateurs. Quelle est notre marge de manoeuvre, quels sont les leviers d'action dont nous disposons vraiment ? Ce nouvel opus à l'écriture exigeante et aux arrangements ciselés mêle les sonorités synthétiques (claviers, programmations) et acoustiques (guitares, percussions). Il comprend plusieurs duos avec la chanteuse rennaise Fannytastic. Sur le titre d'ouverture, Encore un effort, les deux artistes expirent ensemble et s'interrogent sur le nombre de kilomètres à parcourir avant de perdre haleine. Les êtres humains, incapables de concevoir leur propre finitude et dans leur sentiment de toute puissance, semblent bien mal placés pour répondre à cette question. Si l'on en croit David Delabrosse, nous sommes tous des sujets sensibles et délétères qui préféreront toujours nous en remettre au lendemain quitte à nous faire aspirer par le vide. David Delabrosse s'inscrit dans une chanson française à texte un peu nostalgique mais tellement bonne à l'instar de celle d'Alain Souchon ou d'Yves Simon. -- La parisienne life ---
LE CRéOLE ENCHANTEUR. Le second album de la chanteuse Gwendoline Absalon, c'est d'abord une immersion initiatique et vitalisante dans l'île de La Réunion. Approchez-vous : la voix chaleureuse et claire de cette jeune passeuse invite chacune à affirmer son identité, en une poésie créole étonnante. Les arrangements du pianiste Hervé Celcal, entre pop et world, hommage à la tradition et cure de jouvence tout à la fois, servent parfaitement la philosophie d'une artiste en grand devenir. Avec ce 2nd album, enraciné à La Réunion, Gwendoline nous livre le fruit de sa propre introspection : un monde fait de sonorités, de parfums, d'envies, de conscience, de créole. Elle nous chantera à l'oreille son souhait de créer du lien, dans une magistrale introduction immersion (Binda). Nous irons à la rencontre d'un paradoxe, qui nous rappelle à la grande vitalité de la tradition réunionnaise (Modernité). Un agrume aux vertus médicinales propagera sa vertueuse acidité au monde en lui rappelant qu'il faut maintenir un lien entre les générations (Vangasay). Nous sillonnerons vers le Cap Vert avec une révérence à la profonde Cesaria Evora (La Diva de la morna). Chemin faisant, une soul groove réunionnaise nous parlera d'amour sain (Fo pa kwrar). Puis, comme deux vagues qui se rencontrent, le maloya embrassera le bèlè martiniquais pour un hommage aux maîtres (Béliya)... UNE VOIX PURE, COMME UN FRUIT VITALISANT, RICHE EN TRADITION ET MODERNITé ! --- MARIANNE --- LA VOIX SENSIBLE DU RENOUVEAU DU MALOYA. -- RéUNION 1 ---
Le nouvel album de FRUSTRATION : LE GROUPE CULTE DU POST PUNK FRANçAIS. AVEC EN INVITé : JASON WILLIAMSON (SLEAFORD MODS). Frustration on les a vus 5, 10, 100 fois - parfois sans vraiment le vouloir. On s'est à chaque fois dit qu'on en avait fait le tour, que tout leur petit cirque commençait à bien faire. Mais à chaque nouveau concert, à chaque nouveau disque, on replonge. Parce que le feu brûle toujours, parce que la passion est toujours intacte, parce qu'ils n'essayent pas de passer pour ce qu'ils ne sont pas. Parce que quelque part, au fin fond du Var ou du Jura, certains gamins ont toujours besoin d'envisager le monde autrement. On ne s'attendait toutefois pas à un disque comme So Cold Streams. à ce stade du championnat, Frustration aurait en effet pu se contenter de sortir un disque sensiblement identique au précédent, intense, abrasif, honnête mais sans risques, et continuer à remplir les salles sans que personne ne trouve à y redire en s'avançant doucement vers une sortie aussi digne qu'inévitable. Mais dès les premières mesures d' Insane, pilonnage électro-punk insensé qu'on croirait tout droit sorti d'un maxi d'EBM millésimé 1988, on réalise que le scénario ne va pas se dérouler comme prévu. Plutôt que de s'aménager une routine confortable, Frustration a enregistré son cinquième album comme si c'était le premier, comme un groupe formé depuis 6 mois qui n'aurait rien à perdre et une sérieuse envie d'en découdre. Si la cavalerie post-punk est toujours présente (batterie martiale, basse élastique, guitares en délit de fuite), So Cold Streams surprend par l'énergie, la virulence de certaines paroles et les nombreuses prises de risque, de Brume, cauchemar aux sonorités industrielles hurlé en français, au très pop Lil' White Sister qui lorgne étonnamment du côté des Smiths et d'Echo & The Bunnymen, en passant par le sinueux et mélancolique Slave Markets sur lequel le groupe a invité Jason Williamson, le chanteur de Sleaford Mods - formation qui a beaucoup joué dans la nouvelle jeunesse de Frustration. Sleaford Mods est un groupe qui, musicalement et humainement, nous a donné un véritable coup de fouet, explique Fabrice Gilbert (chant). ça nous a redonné un vrai sentiment de liberté, ça m'a permis de dire vraiment tout ce que j'avais envie de dire dans mes paroles, d'aborder des sujets extrêmement intimes comme des choses beaucoup plus générales, que ce soit au niveau politique ou social. So Cold Streams est, paradoxalement peut-être, à la fois notre disque le plus désabusé, le plus énergique et le plus libre. Constat que résume à la perfection la pochette du disque, signée comme toutes les autres par l'artiste peintre Baldo, et qui représente une machine goudronnant une route à travers un champ de blé. à l'origine, explique Fabrice, j'avais envisagé complètement autre chose, une illustration inspirée d'un plan d'Inglorious Basterds, le film de Quentin Tarantino. Mais le résultat n'a plu à personne. J'ai alors pensé à ce tableau avec la machine à goudron, que Baldo avait fait il y a plus de 15 ans et qui devait, à l'origine, être la pochette de notre premier album, Full Of Sorrow. Pour une telle renaissance, on ne pouvait rêver meilleur choix. Surtout que l'image contient à elle seule tout le disque : l'espace, la force, la lumière, la rage et le dégoût aussi. L'envie de tout détruire. De faire table rase. De proposer quelque chose de différent. Un peu plus que de la musique. Un esprit, une idée. Une façon d'envisager le monde. Frustration fait partie des rares groupes qui, aujourd'hui, avec très peu de presse et une estime toute relative de la part des médias, jouent dans toute la France à guichets fermés et réussissent à vendre plus de 10 000 exemplaires de leurs disques, performance à laquelle certains, pourtant soutenus par des budgets promotionnels chiffrés en dépit du rien à foutre, n'osent plus même penser... -- Lelo J. Batista, NOISE. -- Depuis 2002, ce quartet parisien a relevé la Manche et plongé les mains dans le cambouis des premiers Wire, The Fall, PIL et Joy Division. Références intouchables ? Dans les souterrains, on crie déjà le nom de Frustration. Ce qui Relax ici, c'est d'observer que cette musique n'a rien perdu de sa puissance réfractaire et cathartique. Ce qui réjouit, c'est qu'un groupe français sache lui redonner vie avec tant d'aplomb. -- Michaël Patin --- NewNoise