Jean-Efflam Bavouzet poursuit son cycle Beethoven chez Chandos ! Sur ce second volume, il présente les sonates publiées entre 1800 et 1804, une période marquée par une transition stylistique majeure, avec les deux sonates opus 27 quasi una fantasia qui s'affranchissent des formes traditionnelles, la sonate Clair de Lune et son célèbre mouvement lent Adagio sostenuto, ainsi que la sonate Waldstein opus 53 qui surpasse les précédentes. Egalement au programme, l'Andante en Fa, pièce originellement écrite pour être le mouvement lent de la Waldstein.
Duos d'opéra ! Avec ce premier volume, Isabelle Faust et Alexander Melnikov inaugurent une série d'enregistrements des Sonates pour piano et violon de Mozart. Souvent citées comme des sommets de la musique de chambre, ces sonates explorent toutes les possibilités d'expression offertes par le duo clavier-violon. Dialogues tout à tour frémissants, protestations véhémentes, monologues et apartés, tristes plaintes et explosions de joie, ces oeuvres brillantes montrent à quel point le chant est au coeur de cet imaginaire sonore et l'opéra toujours à l'horizon.
Un album remarquable de par la qualité de ses arrangements ! Charlotte Brandi, annonce la sortie de son premier album solo The Magician sur [PIAS]. Ancienne chanteuse, guitariste et claviériste du duo Me And My Drummer, groupe indie très réputé de la scène berlinoise et reconnu pour être un des concerts le plus élegants jamais donné à Berlin. The Magician évoque le thème amoureux essentiel au XXème siècle et marque tout de suite les esprits par la remarquable qualité de ses arrangements et de ses instrumentations sophistiquées. Le piano est l'instrument clé de cet album, que l'allemande appris seule dans sa ville natale de Dortmund.
Second volume des Sonates de J-Guy Ropartz (et le 6e de sa musique de chambre). La répartition - pour certains un peu curieuse - des oeuvres sur les 2 volumes a tenu compte avant-tout de la durée des oeuvres. Ici Sonates 1 et 3 pour violon, et Sonate 1 pour violoncelle. François Kerdoncuff assure le point fixe, tandis que les cordes ont été changées pour que d'autres musiciens puissent s'exrimer dans ces ouvrages, bien français, mais aux couleurs et saveurs inimitables. En l'occurence deux très grands maîtres de l'archet : Jean-Marc Phillips-Varjabédian et Henri Demarquette.
Au travers de cette nouvelle série de coffrets thématiques, les plus grands artistes du label Aparté réunis ici pour l'occasion, nous permettent à la fois de retrouver les plus grands chefs d'oeuvres du répertoire servis par des interprétations d'exception, mais aussi de découvrir des bijoux musicaux au travers d'oeuvres souvent méconnues à tort. Une occasion aussi de découvrir le « son » de ce label qui s'est imposé internationalement comme une référence pour les audiophiles. De grands moments de partage en perspective avec ce cadeau idéal pour les fêtes de fin d'année !
Un album remarquable de par la qualité de ses arrangements ! Charlotte Brandi, annonce la sortie de son premier album solo The Magician sur [PIAS]. Ancienne chanteuse, guitariste et claviériste du duo Me And My Drummer, groupe indie très réputé de la scène berlinoise et reconnu pour être un des concerts le plus élegants jamais donné à Berlin. The Magician évoque le thème amoureux essentiel au XXème siècle et marque tout de suite les esprits par la remarquable qualité de ses arrangements et de ses instrumentations sophistiquées. Le piano est l'instrument clé de cet album, que l'allemande appris seule dans sa ville natale de Dortmund.
Le Trio Wanderer rend hommage à Dvorak et à ses deux derniers trios. A côté de l'intimité sombre et la fougueuse intensité du 3e Trio en fa mineur, ce programme presente un nouvel enregistrement du célèbre Trio Dumky, auquel les Wanderer doivent leur premier grand succès au disque. Tour a tour passionné et mélancolique, ce trio est aussi le plus novateur et le plus libre de Dvorak. Bel emblème pour le Trio Wanderer qui vient de passer la trentaine sans jamais cesser de nous surprendre et de nous émerveiller. Bon anniversaire et chapeau bas !
La pianiste Mara Dobresco crée un voyage poétique au piano, comme un rêve en musique avec Grieg, Schumann, Britten et d’autres.... Ce que l’on pressent sans le savoir, ce qu’on ne peut percevoir que dans l’obscurité, dans les reflets ou les lueurs dansantes, ce qui ne peut se dire autrement qu’en musique, ou n’apparaître qu’en rêve... voilà de quelle matière est constitué l’album Soleils de Nuit. Ces Soleils de Nuit sont la constellation dans laquelle j’évolue et où je voudrais emmener avec moi tous ceux qui aiment rêver... même en plein jour.
Jean Efflam Bavouzet poursuit son hommage inspiré à la musique pour clavier de Joseph Haydn. Voici le sixième volume de l’intégrale de l’oeuvre pour clavier, travail considérable entreprit il y a plusieurs années par Jean Efflam Bavouzet. On trouve ici un programme de sonates de jeunesse, particulièrement bien comprises et interprétées par ce boulimique de musique qui signe également le livret du disque en rendant hommage à son vieux maître, Ernö Nemecz, avec qui il a parcouru la musique de Haydn pendant 35 années.
Face à face Tel un jeu de miroirs, cet enregistrement met en perspective les versions pianistiques originelles de deux chefs-d'oeuvre de Ravel (Le Tombeau de Couperin et Alborada del gracioso) et leurs orchestrations respectives. Le Concerto en sol combine les deux facettes, aussi bien lorsque le piano est intégré dans la sonorité globale que lorsqu'il joue son rôle de soliste. Le jeu subtil de Javier Perianes comme les sonorités raffinées de l'Orchestre de Paris, sous la direction de Josep Pons, nous rappellent aussi combien l'Espagne fut la source d'inspiration la plus prégnante dans l'oeuvre de Ravel.
Passionnés de musique de chambre, Camille Thomas et Julien Liebeer ont imaginé un récital de musique française pour violoncelle et piano aussi varié que cohérent. Entre la fin du XIXe et le début du XXe siècle, « Réminiscences » invite à une plongée dans un univers sonore aux coloris inimitables. Deux vastes compositions, l'illustre Sonate de César Franck et la rare mais splendide Sonate pour violoncelle seul op. 28 d'Eugène Ysaÿe structurent un programme qui comprend aussi de célèbres pièces brèves signées Duparc, Fauré ou Saint-Saëns, toutes synonymes de lyrisme et de fantaisie.
Elégant, distingué, très solide techniquement, Jean-Efflam Bavouzet nous livre le dernier volume de son intégrale des sonates de Beethoven : un grand pianiste, assurément ! Jean-Efflam Bavouzet, avec ce coffret de trois CD consacré aux sonates de Beethoven, met fin à une exploration fascinante des 32 sonates de Beethoven. On y trouve les sonates tardives, notamment les deux mouvements héroïques de l’Apassionata dans lesquels Jean-Efflam Bavouzet révèle une interprétation distinguée, techniquement très solide mais sans oublier une puissance émotionnelle réelle.
Minute Bodies : The Intimate World of F. Percy Smith » est un film réalisé par Stuart A. Staples de TINDERSTICKS. Ce film méditatif et immersif est réalisé à partir des travaux de F. Percy Smith, naturaliste, documentariste et pionnier de nombreuses techniques macrophotobiogaphiques du début du 20ème siécle. Pour en réaliser la parfaite bande-son, S. Staples a réuni TINDERSTICKS au complet ainsi que Thumas Belhum (percussions), Christine Ott (piano), David Cuulter (Flûte et scie musicale) et Julian Siegel (Saxophone) et a enregistré dans son studio français « le chien chanceux ».
Premier disque réalisé à partir de mes compositions et mon univers. Cet album explore différentes facettes de mon imaginaire avec tantôt un saxophone lyrique, parfois rythmique ou juste traité comme un instrument de percussion. Les couleurs de ces pièces sont jalonnées de références musicales et culturelles. En tant qu'interprète ces compositions sont aussi le reflet d'un aboutissement musical et technique qui met en valeur la modernité du saxophone avec différents styles, influences. De la sonate au solo, en passant par un quarter mixte avec batterie, contrebasse, piano et saxophone, ce programme vous fera redécouvrir les capacités mélodiques et rythmiques de la création d'Adolphe SAX.
A travers ses deux disques précédents pour Onyx, Henk Neven s'est imposé comme l'un des talentueux jeunes barytons de la scène actuelle. Avec ce troisième disque, il nous emmène en Espagne : les mélodies de Jacques Ibert ou de Ravel sur Don Quichotte, des pièces des 15ème et 16ème siècles superbement arrangées et le très peu joué Op. 100 de Chostakovitch qui regroupe un cycle de 6 mélodies espagnoles, voilà un récital réellement original et magistralement interprété. L'excellent pianiste Hans Eijsackers produit un accompagnement solaire et offre en clôture du disque deux pièces pour piano seul d'Albéniz et Granados
Retour aux sources Ravel et Gaveau ? C'est une longue histoire. De l'ouverture de la Salle Gaveau le 3 octobre 1907 à la mort de Ravel le 28 décembre 1937, la musique du compositeur a beaucoup résonné entre les murs de ce lieu mythique. Ce disque réunit quatre oeuvres majeures de Maurice Ravel, toutes créées à l'historique Salle Gaveau : les Valses nobles et sentimentales, Le Tombeau de Couperin, le Trio avec piano et Tzigane. Il revient à Svetlin Roussev (violon), à Aurélien Pascal (violoncelle) et aux pianistes David Lively et Denis Pascal d'interpréter ces oeuvres mythiques dans le contexte de leur création.
Depuis Abandonned City (2014), HAUSCHKA, le génie du piano préparé n’a cessé de parcourir le monde, a participé à des performances de danse contemporaines, a travaillé avec une multitude de musiciens et d’orchestres et bien sûr a composé quelques-unes des meilleures BO de ces dernières années (la BO de Lion, nommée aux Golden Globes et aux Oscars). What If est son album le plus immédiat et paradoxalement le plus sauvage. Il y organise le chaos dans un cohérent chef-d’oeuvre. Des sons mystérieux, des mélodies envoûtantes aux consonances de science fiction rétro. What If dévoile un homme qui ne cesse d’explorer de nouveaux sons et de nouvelles perspectives avec ce besoin irrépressible de toujours créer. Pour les fans de JOHN CAGE et MAX RICHTER.
Depuis janvier 2010, SPENCER KRUG (membre de WOLF PARADE et SUNSET RUBDOWN) se cache derrière le pseudonyme Moonface pour sortir ses disques les plus personnels, instrumentaux et expérimentaux, pour la plupart enregistrés chez lui. Après Dreamland et Organ Music Not Vibraphone Like I'd Hoped, MOONFACE sort aujourd'hui le superbe Julia With Blue Jeans On sur le label Jagjaguwar, son meilleur disque à ce jour. Il n'y a que deux éléments clés sur ce nouvel album : L'incroyable voix de Spencer Krug et son piano, pour un rendu particulièrement intense rappelant le Koln Concert de KEITH JARRETT.
Réédition de The Bells Of 12, acclamé par la critique à sa sortie en 2006. A la suite de cet album, l'artiste a disparu pendant près de 8 ans pour réapparaître à nouveau en 2019 avec un nouveau record. Raison suffisante pour que ce bijou devienne à nouveau disponible. Entre berceuses lysergiques et torch-songs, The Bells Of 1 2 évoque la grande Liz Frazer et, plus généralement, les années fastes de 4AD : chant angélique, guitare aquatique et piano noyé de réverb' à l'appui (Wonderland, Slo Fuzz, 1 2). Terriblement sensuelle et langoureuse, la voix éthérée de Sophie Michalitsianos domine tous les (d)ébats et capte toutes les attentions sur un disque entièrement écrit, joué et produit par ses soins.
Réédition de The Bells Of 12, acclamé par la critique à sa sortie en 2006. A la suite de cet album, l'artiste a disparu pendant près de 8 ans pour réapparaître à nouveau en 2019 avec un nouveau record. Raison suffisante pour que ce bijou devienne à nouveau disponible. Entre berceuses lysergiques et torch-songs, The Bells Of 1 2 évoque la grande Liz Frazer et, plus généralement, les années fastes de 4AD : chant angélique, guitare aquatique et piano noyé de réverb' à l'appui (Wonderland, Slo Fuzz, 1 2). Terriblement sensuelle et langoureuse, la voix éthérée de Sophie Michalitsianos domine tous les (d)ébats et capte toutes les attentions sur un disque entièrement écrit, joué et produit par ses soins.
Depuis Abandonned City (2014), HAUSCHKA, le génie du piano préparé n’a cessé de parcourir le monde, a participé à des performances de danse contemporaines, a travaillé avec une multitude de musiciens et d’orchestres et bien sûr a composé quelques-unes des meilleures BO de ces dernières années (la BO de Lion, nommée aux Golden Globes et aux Oscars). What If est son album le plus immédiat et paradoxalement le plus sauvage. Il y organise le chaos dans un cohérent chef-d’oeuvre. Des sons mystérieux, des mélodies envoûtantes aux consonances de science fiction rétro. What If dévoile un homme qui ne cesse d’explorer de nouveaux sons et de nouvelles perspectives avec ce besoin irrépressible de toujours créer. Pour les fans de JOHN CAGE et MAX RICHTER.
« Il me semble que Mahler a à sa charge toute l’histoire de la musique... », écrivait Berio en 1978, soit dix ans après avoir livré ce chef-d’oeuvre absolu qu’est Sinfonia. Il faut dire que son troisième mouvement en forme de patchwork est un monument érigé à la gloire du chantre post-romantique du Knaben Wunderhorn, mais aussi des grands symphonistes de l’histoire. Encore quelques années de plus et Berio orchestrerait d’autres lieder du Cor merveilleux de l’enfant (laissés par Mahler pour piano et voix)... comme s’ils avaient été écrits à l’époque des Kindertotenlieder ! Un écrin symphonique à la mesure d’une grande voix de baryton - celle de Matthias Goerne par exemple...
Berlioz guitariste Il est toujours difficile de concevoir que le compositeur de fresques aussi monumentales que Les Troyens était guitariste... et que son premier rapport à la musique consista à transcrire pour cet instrument des romances héritées de d'Ancien Régime. La guitare que lui offrit un jour Paganini existe encore : elle nous invite aujourd'hui à imaginer le répertoire de ce qui aurait pu être une soirée chez les Berlioz : des romances pour voix et guitare, mais aussi ces mélodies dont il créa le genre, de la musique de chambre et des pièces pour piano seul. Ou comment écouter Berlioz autrement !
Commandes et transcriptions, l’hommage singulier du pianiste Dejan Lazic à Beethoven. En 1806, son éditeur Muzio Clementi commande à Beethoven une transcription pour piano du fameux Concerto pour Violon Op.61 : la pièce maîtresse de cet enregistrement est cette transcription que le pianiste autrichien Dejan Lazic joue avec une remarquable précision, accompagné par le Netherlands Chamber Orchestra. Le couplage intéressant du disque nous propose la sonate Opus 40 de Muzio Clementi, également compositeur et une sonate de Johan Baptist Cramer, élève anglais de Clementi devenu compositeur et que Beethoven admirait.
Deux concertos mythiques interprétés en concert par Denis Matsuev et le Mariisnky Orchestra dirigé par Valery Gergiev Accompagné par l’Orchestre du Mariinsky sous la direction de Valery Gergiev, Denis Matsuev a choisi de mettre en miroir les concertos N°2 de chacun des compositeurs. Le concerto de Rachmaninov est un monumental moment d’émotions et celui de Prokofiev un défi technique sans équivalent pour le soliste. Denis Matsuev possède toutes les qualités requises pour interpréter ces oeuvres et l’enregistrement en concert proposé ici en fait l’admirable démonstration
A la découverte d’une jeune pianiste virtuose, Sonya Bach La pianiste coréenne Sonya Bach a été une élève de Lazar Berman et Alicia de Larrocha. Elle est aujourd’hui une artiste de la marque Steinway, portée par une carrière internationale et un large répertoire de concertos, de Liszt à Gershwin, avec de nombreuses créations contemporaines à son actif. Ce disque réunit des oeuvres avec orchestre de J. S. Bach avec l’English Chamber Orchestra, les concertos pour clavier (BWV1052 à 1058) couplés avec les Concertos Italiens (BWV971) au piano seul. Ce programme a été choisi pour une tournée mondiale de concerts avec le Japon et l’Europe en Décembre 2017.
Neuf ans ! La Sonate D.664 ? La belle ouvrage d'un compositeur écrivant encore à l’ombre du géant Beethoven; neuf ans plus tard, Schubert, à peine trentenaire, livre, déjà, son ultime Sonate (D.960), quelques semaines avant de disparaître, emporté par la syphilis. Neuf années seulement séparent deux extrémités de sa produc..on, mais il faudra des dizaines et des dizaines d’années pour que ces chefsd’oeuvre soient considérés au même..tre que les dernières symphonies de Mozart ou l’opus 132 ! Ce..e musique est à présent chérie par les interprètes d’aujourd’hui - à l’image de Javier Perianes, de retour chez Schubert après un premier volume remarquable - et plébiscitée par le public !
Warrior est le troisième album studio de Soleil Moon, un disque incroyable qui présente dans toute sa gloire l'un des artistes les plus constants et crédibles de la scène actuelle de l'AOR. Formé par le chanteur Larry King, le line-up de Soleil Moon comprend John Blasucci (Dennis DeYoung) au piano, Alan Berliant à la basse, Khari Parker à la batterie et Chris Siebold à la guitare (en live). En studio, le travail de la guitare est assuré par nul autre que l'invité très spécial Michael Thompson. La magnifique production élève massivement ce disque. Un tout intemporel que vous réécouterez dans dix ans et qui continuera de vous envoûter. Probablement l'un des meilleurs albums d'AOR de l'année.
De l’ombre à la lumière, telle est la courbe émotionnelle que dessinent les Sonates pour violon et piano de Sergeï Prokofiev, publiées dans les années 1940, intense période de création pour le musicien russe qui travaille alors à son ballet Cendrillon et sa Cinquième Symphonie. La violoniste Alexandra Conunova, lauréate du prestigieux concours Tchaïkovski en 2015, et le pianiste Michael Lifits font une lecture engagée de ces deux partitions de Prokofiev. Véritable synthèse de son style, ces sonates sont caractérisées par un classicisme formel subverti par une virtuosité flamboyante. Leur lyrisme, rongé par l’ironie savoureuse et mordante d’un langage moderne, fruit d’une vision critique du monde, n’en est que plus poignant.
ANTI réédite le génial catalogue Elektra Asylum Records de Tom Waits ! Small Change' est un chef-d'oeuvre de l'artiste et contient certains des plus grands titres de la première heure. Le Jazz classique, le Tin Pan Alley et Stephen Foster ont nuancé la vision et le génie lyrique de Tom. On peut qualifier l'album de déchirant, hilarant et toujours saisissant. On y retrouve les titres Step Right Up', Blues of Tom Traubert', I Wish I Was in New Orleans', The Piano Has Been Drinking' ou encore Invitation to the Blues', titres qui ont depuis influencé des générations d'auteurs-compositeurs. Enregistré avec un orchestre live et mettant en vedette la légende du jazz Shelly Manne à la batterie. Small Change' est l'un des enregistrements les plus populaires de Tom Waits.
ANTI réédite le génial catalogue Elektra Asylum Records de Tom Waits ! Small Change' est un chef-d'oeuvre de l'artiste et contient certains des plus grands titres de la première heure. Le Jazz classique, le Tin Pan Alley et Stephen Foster ont nuancé la vision et le génie lyrique de Tom. On peut qualifier l'album de déchirant, hilarant et toujours saisissant. On y retrouve les titres Step Right Up', Blues of Tom Traubert', I Wish I Was in New Orleans', The Piano Has Been Drinking' ou encore Invitation to the Blues', titres qui ont depuis influencé des générations d'auteurs-compositeurs. Enregistré avec un orchestre live et mettant en vedette la légende du jazz Shelly Manne à la batterie. Small Change' est l'un des enregistrements les plus populaires de Tom Waits.
L'oeuvre pour piano fascinante d'Antoine Reicha revisitée par Ivan Ilic Ivan Ilic se penche sur un aspect crucial de la musique d'Antoine Reicha : la manière dont la musique contrapuntique de Bach a inspiré l'esprit éclectique et fertile de Reicha. Si la plupart des études se composent d'un prélude couplé à une fugue, leur variété offre à l'album une grande diversité, et dévoile le génie compositionnel d'Antoine Reicha. Les humeurs et textures inattendues cohabitent avec des canons sophistiqués, des chaconnes et des menuets... Les interprétations uniques d'Ilic sont soutenues par des notes de livret éclairantes, écrites par le pianiste lui-même, mettant en lumière les moments importants de la vie du compositeur.
ANTI réédite le génial catalogue Elektra Asylum Records de Tom Waits ! ‘Small Change’ est un chef-d'oeuvre de l’artiste et contient certains des plus grands titres de la première heure. Le Jazz classique, le Tin Pan Alley et Stephen Foster ont nuancé la vision et le génie lyrique de Tom. On peut qualifier l’album de déchirant, hilarant et toujours saisissant. On y retrouve les titres ‘Step Right Up’, ‘Blues of Tom Traubert’, ‘I Wish I Was in New Orleans’, ‘The Piano Has Been Drinking’ ou encore ‘Invitation to the Blues’, titres qui ont depuis influencé des générations d'auteurs-compositeurs. Enregistré avec un orchestre live et mettant en vedette la légende du jazz Shelly Manne à la batterie. ‘Small Change’ est l'un des enregistrements les plus populaires de Tom Waits.
Tempo est un chef d'oeuvre, mélange fantastique d'harmonies vocales et de groove BOSSA au piano. Le Tamba Trio est rapidement devenu le groupe emblématique de la nouvelle Bossa Nova au début des années 60 avec leur fusion de bossa, de jazz et d'expérimentations. Luiz Eca, jeune pianiste et compositeur de génie mène le groupe et cisèle de magnifiques arrangements. Le tout présenté sous l'un des plus beaux visuels de l'époque, pochette d'un graphisme intemporel. Présenté en boxset CD haute qualité, avec pochette originale, et en édition vinyle ultra-limitée (1000 exemplaires) fidèle à l'originale avec pochette cartonnée et vinyle 180 grammes.
Un seul regard sur le trio de Schubert - et toute la misère de la condition humaine disparaît, le monde est comme neuf, écrit Robert Schumann en 1836 du Trio D898 de Schubert. Il témoigne la même admiration pour l'autre grand trio du compositeur viennois, D929, et notamment son Andante con moto à l'allure de marche funèbre, qui devait accéder plus tard à la célébrité cinématographique grâce au Barry Lyndon de Kubrick - pour Schumann, un soupir qui s'amplifie jusqu'au cri d'angoisse. Ici, trois interprètes hors pair mettent en lumière chaque nuance de ces oeuvres infiniment fascinantes à l'aide d'un instrumentarium d'époque, dont la réplique d'un splendide pianoforte viennois de 1827.
Les membres fondateurs d'Alcatrazz, Graham Bonnet (chant), Jimmy Waldo (piano) et Gary Shea (basse), se sont réunis après 33 ans pour une série unique de concerts à Osaka, Nagoya et Tokyo, au Japon en mars 2017. Pour cette occasion spéciale, Mark Benquechea (batterie) et Conrado Pesinato (guitare), tous deux du Graham Bonnet Band, ont rejoint le groupe. En plus de cette prestation d'adieu unique captée en audio et vidéo, cette édition contient des morceaux inédits tirés des sessions originales enregistrées en 1985, dont une chanson, Emotion avec un jeune Steve Vai à la guitare.
West Bound est un nouveau groupe de rock formé dans la région de Los Angeles par le chanteur Chas West (Resurreciton Kings, ex-Bonham, Lynch Mob etc.) et le célèbre guitariste/producteur Roy Z (Bruce Dickinson, Halford, Tribe of Gypsies). Ils sont accompagnés par Jimmy Burkard (guitare), Jason Cornwell (basse), Dave Chilli Moreno (batterie) et Stephen LeBlanc (piano). West Bound offre un son hard rock classique avec des voix soul et des mélodies tueuses. Si vous êtes fans de hard rock moderne comme Rival Sons et de la grande explosion du hard rock bluesy du début des années 90, alors vous allez adorer West Bound !
A l’occasion des hommages à William Shakespeare, les meilleurs jeunes chanteurs britanniques du moment interprètent un compositeur incontournable de l’Angleterre lyrique de la seconde moitié du 19ème, Sir Arthur Sullivan. Sir Arthur Sullivan est très connu des amateurs de musique lyrique anglais : il fut le compositeur de plusieurs opéras et opérettes entre 1860 et 1900. Pour cet enregistrement Chandos, les plus talentueux des jeunes chanteurs lyriques d’aujourd’hui ont choisi des airs d’Arthur Sullivan, dont certains sont des musiques posées par le compositeur sur des poèmes de Shakespeare. La soprano Mary Bevan, le ténor Ben Johnson, le baryton / basse Ashley Riches, sont accompagnés au piano par l’excellent David Owen Morris.
Sélection rentrée musicale 2009 Trois ans après True Magic, Mos Def revient avec un nouvel album envoûtant. En empruntant par moment des ingrédients du jazz, de la musique funk et orientale et en habillant ses titres de piano et de cordes, le rappeur et acteur de Brooklyn donne un caractère fort à ce quatrième album. Notes de l'éditeur : Désormais signé chez Downtown Records (SPANK ROCK, GNARLS BARKLEY, SANTIGOLD,...) MOS DEF lève le voile sur son tant attendu 4ème album. Artiste instinctif aux multiples facettes, MOS DEF navigue des plateaux de cinéma (il était la star du dernier film de MICHEL GONDRY) aux studios d'enregistrement avec une aisance qui lui est propre. Il prouve avec The Ecstatic qu'il est bien le leader d'un hip hop moderne et inventif.
Composé dans un appartement de Brooklyn avec SUFJAN STEVENS, These friends of mine est une belle découverte. ROSIE THOMAS y pose sa voix fragile sur un piano intime et pur, et SUFJAN STEVENS y trouve sa place naturellement. Touché par la grâce, le duo atteint des sommets en toute simplicité sur les titres Say Hello et The One I Love. Cet album, ROSIE THOMAS le doit avant tout à ses amis. C'est pourquoi elle leur rend hommage, notamment grâce à une série de reprises. On retrouve par exemple The One I love de REM, clin d'½il à SUFJAN STEVENS qui avait totalement réinterprété la chanson lors de leur tournée commune. Un album collectif délicat porté par la tendre ROSIE THOMAS.
Enregistré en avril 1974, un mois à peine avant les sessions de Köhntarkösz, Wurdah Ïtah constitue le second mouvement de Theusz Hamtaahk, fresque musicale en trois mouvements dont Mekanïk Destruktïw Kommandöh, enregistré un an plus tôt, représente le troisième volet. Exécuté par le noyau central du Magma de l'époque, à savoir Christian Vander (piano, batterie, chant), Jannick Top (basse), Klaus Blasquiz (chant, percussion) et Stella Vander (chant), Wurdah Ïtah présente une musique épurée à l'extrême. Contrastant avec le faste et la densité orchestrale de Mekanïk, elle n'en dégage pas moins une puissance rythmique et un lyrisme vocal surprenants, marqués sans conteste du sceau de la griffe magmaïenne.
Un Brahms d'une intensité rare. Ophélie Gaillard marque les esprits à chacun de ses enregistrements, de Dreams aux Suites de Bach, encensées par la critique, en passant par Bach Arias avec son ensemble Pulcinella, elle ne cesse de renouveler les genres par la perfection de ses interprétations. Elle nous offre ici, accompagnée de solistes de haut rang, Louis Schwizgebel-Wang et Fabio Di Càsola, un disque Brahms, d'une intensité rare. Deux monumentales sonates et un trio avec clarinette, de glorieux moments où le violoncelle chante comme lui seul sait le faire; lyrisme sublimé sous l'archet d'Ophélie Gaillard.
La musique du compositeur Michael Fine est très évocatrice car elle déploie un imaginaire visuel très poétique : ses partitions naissent d'improvisations au piano et sont nourries de ses voyages et de ses lectures. De la Corée et ses palais (At the Gate) à l'écosse de l'écrivain Alexandre McCall Smith (Brother Fox), le monde défile sous nos oreilles aux grés des saisons (Seasonal Rites). Une immersion sonore d'autant mieux réussie que Michael Fine est également un producteur récompensé d'un Grammy pour son expertise dans la prise de son. En outre, lui-même clarinettiste, Michael Fine écrit sa musique en musicien. Le Royal Scottish National Orchestra, dirigé par Philip Mann, déploie une vaste palette de couleurs pour donner vie à l'imaginaire du compositeur.
La Grande Dame de l’École Russe du piano, Elisabeth Leonskaja, consacre son tout nouvel enregistrement à Debussy, Ravel et Enesco et pour un moment nous fait revivre l’atmosphère de la Ville Lumière. Entourée d’oeuvres très connues comme les Valses nobles et sentimentales de Ravel et quelques Préludes de Debussy, elle nous offre en cadeau la moins connue Sonate en fa dièse mineur de Georges Enesco, sonate qui l’accompagne dans son répertoire depuis le concours Enesco à Bucarest, concours qu’elle a gagné à l’âge de 18 ans. Une fois de plus Mme Leonskaja reste fidèle à son engagement envers la musique et envers tous ceux qui écoutent la musique sans préjudices et qui l’intègrent dans leur âme.
Brandon Coleman publie un premier album aux accents jazz et funk. Ayant grandi à Los Angeles, Brandon Coleman a appris le piano et l'orgue grâce à son frère musicien lui aussi Marcus Coleman qui lui en a appris les premiers rudiments. Par la suite, il fait des études de musique à Colburn School of Performing arts (le Julliard de la côte ouest comme il dit) ou il a appris le jazz sous la tutelle du saxophoniste Lee Secard et trompettiste M. Clay Jenkins. Par la suite il a travaillé avec les plus grands noms parmi lesquels Alicia Keys, Roy Hargrove, Angie Stone etc... Il fait partie depuis quelques années du groupe de Kamasi Washington qu'il accompagne également sur scène. POUR CEUX QUI AIMENT Roy Hargrove, Thundercat, Kamasi Washington
Brandon Coleman publie un premier album aux accents jazz et funk. Ayant grandi à Los Angeles, Brandon Coleman a appris le piano et l'orgue grâce à son frère musicien lui aussi Marcus Coleman qui lui en a appris les premiers rudiments. Par la suite, il fait des études de musique à Colburn School of Performing arts (le Julliard de la côte ouest comme il dit) ou il a appris le jazz sous la tutelle du saxophoniste Lee Secard et trompettiste M. Clay Jenkins. Par la suite il a travaillé avec les plus grands noms parmi lesquels Alicia Keys, Roy Hargrove, Angie Stone etc... Il fait partie depuis quelques années du groupe de Kamasi Washington qu'il accompagne également sur scène. POUR CEUX QUI AIMENT Roy Hargrove, Thundercat, Kamasi Washington
Nouvelle voix harmonia mundi En enregistrant ce premier récital pour harmonia mundi, Stéphanie d'Oustrac et Pascal Jourdan souhaitaient se mesurer à trois piliers de la musique romantique, trois compositeurs qui ont chacun à sa manière apporté une pierre décisive à l'évolution du lied (Liszt), voire à la naissance de la mélodie française, comme ce fut le cas pour Berlioz avec ses Nuits d'été. Bien davantage connues pour leur orchestration somptueuse, elles revêtent de tout autres habits lorsqu'elles sont accompagnées par la sobriété d'un piano. Cette démarche artistique trouvera ses résonances ultimes dans les cinq Wesendonck-Lieder destinés à l'origine à un simple duo chantpiano par Wagner... avant de devenir l'un des plus célèbres cycles de l'histoire du lied.
Lauréate de la Fondation Cziffra, Emmanuelle Swiercz- Lamoure nous emmène par la main dans un Chopin lumineux et simple Les Valses de Chopin ramène l’auditeur aux temps juvéniles et bienheureux de l’apprentissage du piano. La délicate nature du compositeur polonais préférait la lumière tamisée des salons à la rampe aveuglante des salles de concert ou de bal. Ses Valses sont plutôt une évocation stylisée de la giration de couples élégants sur le rythme mythique qui devait marquer de ses trois temps un siècle entier. Emmanuelle Swiercz-Lamoure aimerait vous faire aimer ce genre sans grandiloquence, qui est aux Ballades ou aux Sonates ce que sont un court métrage à un film, une nouvelle à un roman, une miniature à une fresque : des sonorités exquises qui révèlent des bijoux, des saveurs, des couleurs de chefs-d’oeuvre.
L'ensemble allemand culte poursuit sa route avec un huitième album solo attendu ! Après plus de 5, Bohren & der Club of Gore sortira leur huitième album studio 'Patchouli Blue' le 10 janvier sur [PIAS] Germany Recordings. Le groupe, culte, est un véritable modèle largement reconnu par une importante fan base autour du globe. Ils sont toujours restés fidèles à leur son jazz/ambiant et ce depuis leur premier album en 1994. Créant une oeuvre unique depuis une vingtaine d'années mêlant saxophone, piano, rhodes Fender, vibraphone et batterie jazz, le groupe poursuit sa route instrumentale, posée, calme, avec un nouvel album Patchouli Blue.
L'ensemble allemand culte poursuit sa route avec un huitième album solo attendu ! Après plus de 5, Bohren & der Club of Gore sortira leur huitième album studio 'Patchouli Blue' le 10 janvier sur [PIAS] Germany Recordings. Le groupe, culte, est un véritable modèle largement reconnu par une importante fan base autour du globe. Ils sont toujours restés fidèles à leur son jazz/ambiant et ce depuis leur premier album en 1994. Créant une oeuvre unique depuis une vingtaine d'années mêlant saxophone, piano, rhodes Fender, vibraphone et batterie jazz, le groupe poursuit sa route instrumentale, posée, calme, avec un nouvel album Patchouli Blue.
Les deux grandes pièces symphoniques de George Gershwin, jubilatoires, avec le pianiste Kirill Gerstein et l’orchestre symphonique de Saint Louis : le plus court chemin du classique au jazz ! George Gershwin est un génie dilettante inspiré qui a su faire de la somme de styles parfaitement maîtrisés, sa musique, en tout point unique. Dans cet album enregistré en concert au Powell Hall de Saint Louis aux U.S.A., l’excellent pianiste Kirill Gerstein et le chef du Saint Louis Symphony, David Robertson, ont choisi d’interpréter le Concerto en Fa et la version avec jazz band de la Rhapsodie in Blue. Le programme est complété par des pièces pour piano seul, et une pièce en duo avec le grand vibraphoniste américain Gary Burton.
Un programme de Concertos de Rachmaninov, Prokofiev et Kabalevski par un Emil Guilels qui s'impose en son propre pays comme le meilleur défenseur de la musique russe, sous la direction de Kirill Kondrashin Universellement connu comme interprète de Beethoven, à l’instar de ses devanciers, tels Artur Schnabel, Wilhelm Backhaus, Rudolf Serkin..., Guilels s’imposa en son propre pays comme le défenseur de la musique russe. Celle de Rachmaninov bien sûr, toujours révéré malgré son exil américain, Prokofiev, l’enfant prodigue mis à l’index lors de son retour en URSS, et de Kabalevsky, l’exemple idéal de professionnalisme et de style populaire recommandé par l’état. Un triptyque inédit, qui évite soigneusement d’entrer en concurrence avec le répertoire de Sviatoslav Richter, ami et concurrent de Guilels.
Melissa Aldana, l'une des meilleures saxophonistes du jazz d'aujourd'hui, présente son nouvel album inspiré par la vie et l'oeuvre de Frida Kahlo Pour son premier album à la tête de son quintet, la saxophoniste Melissa Aldana, récompensée par le prestigieux Thelonious Monk et proche de la chanteuse Cecile McLorin Salvant, a puisé son inspiration dans la vie et l'oeuvre de Frida Kahlo. Sur Visions, la Chilienne installée à New York, alterne avec brio attaques de grande intensité et plages plus contemplatives. Elle crée de très riches paysages soniques qui résonnent avec une grande humanité, palpable tout au long de l'album. Personnel : Melissa Aldana (saxophone tenor), Sam Harris (piano, Rhodes), Pablo Menares (basse), Tommy Crane (batterie), Joel Ross (vibraphone)
Avec Solo 2010, le pianiste hollandais Michiel Borstlap montre qu'il n'a pas peur de franchir des frontières et de découvrir de nouveaux horizons. Sur son nouveau disque, il nous propose un jazz raffiné et mâtiné d'influences classiques, qui n'est pas sans rappeler le célèbre best-seller ECM « Köln Concert » de Keith Jarrett. Borstlap a composé tous les titres, à l'exception de Four in One (Thelonious Monk). Invité dans le monde entier, Borstlap a collaboré régulièrement avec Herbie Hancock, Wayne Shorter, George Duke, Pat Metheny et Jeff Tain Watts. Son avant-dernier album Eldorado a atteint la 26ème place des charts pop hollandais. Pendant deux années, cet album est resté également dans le haut du Top 10 Jazz hollandais. Ce nouvel album en piano
Les trios avec piano de Haydn forment sans aucun doute la clé de voûte d'un genre né peu avant lui; il n'existe dans la littérature romantique aucun corpus dans lequel l'excellence s'exprime ainsi de bout en bout. Même le grand Mozart ne parvint pas à la même réussite en matière d'adéquation entre style instrumental et langage d'une époque. 200 ans après leur création, trois artistes se sont appliqués à les faire revivre sur instruments anciens. Le résultat est simplement prodigieux : en voici la quintessence. Patrick Cohen joue sur un pianoforte Anton Walter, Vienne, 1790; Erich Höbarth joue sur un violon G. Guarnerius filius Andreae, Crémone, 1683; Christophe Coin joue sur un violoncelle C.A. Testore, 1758.
Les texans de Midlake en livrant leur 2ème réalisation ont franchi en un saut,la frontière de groupe qualitativement influencé, à celle de groupe inventifetà l'identité fortement marquée. Des chansons simples, orientées folkrock etpop intimiste mélodique, se chevauchent délicatement en suggérant une fouled'ingrédients malicieux et calés avec une justesse qui identifie et estampillela formation américaine. Textes mélancoliques sur accords nostalgiques etvoilà Midlake dans la position d'un Radiohead ou d'un Neil Young solitaire.Le piano et la guitare de branches et in this camp en disent long sur ladémarche artistique du groupe, déjà conjuguée avec les ambiances et lesclimats progressifs. Midlake va, avec l'unique the trials of vanoccupanther,se faire une place dans le peloton des échappés où figurent déjà entre autresFlaming lips et Mercury Rev.
Le saxophoniste Dmitry Baevsky et le pianiste Jeb Patton se connaissent depuis de nombreuses années. Ils se sont rencontrés à New York, animés par la même soif d'apprendre le langage du jazz et d'en faire leur idiome de prédilection. Quelle meilleure façon pour ces deux musiciens de révéler leur entente qu'en tête-à-tête, privilégiant l'écoute, le dialogue, la complémentarité ? Entre le jeu de piano de Jeb Patton, élégant et articulé, et celui de Dmitry Baevsky au saxophone alto, vif, précis et chantant, la complicité est évidente. Sans artifice, sans pression, les deux musiciens ont fait ce dans quoi ils excellent : improviser sur des standards. Enregistré dans les règles de l'art, ils signent un disque qui, sous un titre en forme d'évidence, We Two, marque la rencontre de deux maîtres contemporains du jazz, classique et éternel.
Melissa Aldana, l'une des meilleures saxophonistes du jazz d'aujourd'hui, présente son nouvel album inspiré par la vie et l'oeuvre de Frida Kahlo Pour son premier album à la tête de son quintet, la saxophoniste Melissa Aldana, récompensée par le prestigieux Thelonious Monk et proche de la chanteuse Cecile McLorin Salvant, a puisé son inspiration dans la vie et l'oeuvre de Frida Kahlo. Sur Visions, la Chilienne installée à New York, alterne avec brio attaques de grande intensité et plages plus contemplatives. Elle crée de très riches paysages soniques qui résonnent avec une grande humanité, palpable tout au long de l'album. Personnel : Melissa Aldana (saxophone tenor), Sam Harris (piano, Rhodes), Pablo Menares (basse), Tommy Crane (batterie), Joel Ross (vibraphone)
OWEN sort son nouvel album, The King Of Whys ! Le célèbre musicien et songwriter Mike Kinsella a fait appel au producteur S. Carey pour enregistrer son album en 18 jours l’hiver dernier aux April Base Studios à Eau Claire dans le Wisconsin. L’album est le plus inspiré et le plus évocateur jusqu’à maintenant, intercalant une nouvelle dynamique au groupe dont le son était jusqu’alors d’une intense intimité. The King Of Whys est aussi le premier album de la carrière de Kinsella en vingt ans à avoir été fait entièrement en dehors de la région de Chicago. NPR dit de l’album que « la gaîté et la luxuriance de King Of Whys donne l’impression d’être différent et familier à la fois. (...) Avec sa guitare acoustique, ses cordes jouées en pizzicato, sa contrebasse, son piano et sa steel pedal, l’esprit flottant et les mélodies douces de Kinsella paraissent plus fondées que jamais ».
Les Concertos de Mozart par Jean Efflam Bavouzet et la Manchester Camerata : un modèle d’équilibre et de précision sans jamais oublier le lyrisme et les sentiments du romantisme naissant. La collaboration autour de la musique de Mozart entre Jean Efflam Bavouzet et Gabor Takacs-Naguy à la tête de la Manchester Camerata est un modèle d’équilibre et de précision. Pour ce second volume sur les concertos de Mozart est consacré aux deux Concertos N° 14 & 19 (K449 & K459), deux exemples parfaits d’une période très créatrice du compositeur dans laquelle le style opératique influence très sensiblement la musique instrumentale : lyrisme, sentiment, couleurs orchestrales nouvelles avec l’utilisation intenses des cuivres dans le Concerto N°19. Les Divertimenti qui accompagnent les Concertos sont d’une absolue légèreté.