Le génial Chilly Gonzales dévoile l'opus final de sa trilogie Solo Piano Le pianiste et entertainer canadien Chilly Gonzales, primé aux Grammy Awards est aussi bien connu pour son approche intimiste du piano à travers les albums Solo Piano et Solo Piano II que pour son sens du spectacle et ses collaborations avec des artistes à la renommée internationale (Daft Punk, Feist, Jarvis Cocker, Drake etc). Gonzo, tel que son entourage le nomme, vise à être un homme de son temps, abordant le piano avec une formation classique et jazz mais avec l'attitude d'un rappeur. Solo Piano III vient compléter la trilogie des albums Solo Piano. Et comme ses prédécesseurs, l'album s'achève sur un happy end en do majeur mais le chemin est ponctué de plus de dissonances, de tension et d'ambiguïté. La pureté musicale de Solo Piano III n'est pas un antidote à notre époque, elle reflète toute la beauté et la laideur qui nous entoure. POUR CEUX QUI AIMENT Brad Mehldau, Agnes Obel, olafur Arnalds, Nils Frahm
Le génial Chilly Gonzales dévoile l'opus final de sa trilogie Solo Piano Le pianiste et entertainer canadien Chilly Gonzales, primé aux Grammy Awards est aussi bien connu pour son approche intimiste du piano à travers les albums Solo Piano et Solo Piano II que pour son sens du spectacle et ses collaborations avec des artistes à la renommée internationale (Daft Punk, Feist, Jarvis Cocker, Drake etc). Gonzo, tel que son entourage le nomme, vise à être un homme de son temps, abordant le piano avec une formation classique et jazz mais avec l'attitude d'un rappeur. Solo Piano III vient compléter la trilogie des albums Solo Piano. Et comme ses prédécesseurs, l'album s'achève sur un happy end en do majeur mais le chemin est ponctué de plus de dissonances, de tension et d'ambiguïté. La pureté musicale de Solo Piano III n'est pas un antidote à notre époque, elle reflète toute la beauté et la laideur qui nous entoure. POUR CEUX QUI AIMENT Brad Mehldau, Agnes Obel, olafur Arnalds, Nils Frahm
Univers musical très personnel, utilisation judicieuse de l'électronique, piano résolument audacieux : Roberto Negro est assurément le pianiste de demain ! Au centre est le piano. Au strict milieu entre jardin et cour, de parfait profil. L'instrument passe de pur et immaculé à corrompu et déluré. Plus concrètement, la pièce Kings & Bastards est construite en deux temps distincts : un moment de piano préparé baigné d'électronique suivi d'une partie dans laquelle le piano redevient naturel. Ces deux visages du piano se passent le relais au point de bascule, quand les objets s'envolent et le piano se révèle. Et le flou dans tout cela : les rois et les bâtards, les rois sont des bâtards, les bâtards deviennent rois... Toutes les combinaisons sont possibles.
En 1989, Dominique Merlet acquiert un piano Steinway A de 1895, dont tous les éléments sont d'origine. Homogénéité de tous les registres, ampleur du son sans aucune stridence, longueur des résonances, cet étonnant petit piano permet de retrouver le son de l'époque. Liszt qui reçut un piano Steinway en 1883, remercia pour ce grandiose chef-d'oeuvre de force, de sonorité, de qualité de chant et d'effets harmoniques parfaits... C'était l'âge d'or de la facture de pianos que Dominique Merlet propose de retrouver à travers un choix varié d'oeuvres, de Mozart à Debussy.
Jon Nakamatsu décline l'univers fantastique et l'imaginaire musical de Robert Schumann, passant de la fougueuse virtuosité de la Sonate pour piano No.2 à l'éblouissant bal masqué de Carnaval et aux pittoresques miniatures de Papillons.
Le compositeur germano-polonais Franz-Xaver Scharwenka fut une figure majeure du dix-neuivème siècle, et ses quatre concertos pour piano occupent une place centrale dans son corpus relativement mince. Le pianiste Alexander Markovich en présente ici pour la première fois l'intégralité, avec Neeme Järvi et l'Orchestre Symphonique National d'Estonie. Le Concerto pour piano n°1, dédié à Liszt, était à l'origine conçu comme une fantaisie; le concerto n°2 marque l'influence de Chopin et des danses polonaises; le concerto n°3 est hautement romantique, à la fois délicat et passionné; et le concerto n°4, peut-être le meilleur de la série, créé en 1908, est une oeuvre particulièrement haute en couleurs, sorte de montagnes russes du répertoire pour piano.
Robert Ellis revient pour un nouvel album : une collection de morceaux au piano, à l'esprit originel du Texas ! Les gens attendent et veulent certaines choses du Texas, et moi, je me bats contre ça depuis un long moment, confie Robert Ellis. J'ai réalisé que l'on ne devrait pas étiqueter le Texas. J'ai envie de redéfinir qu'est-ce que ça veut dire d'être texan. C'est ce Texas-piano-man, qui a écrit Texas Piano Man, un album aux racines honkytonks, proposé par un guitariste qui prend le temps de se poser derrière un piano, cet instrument stationnaire, et qui s'inspire des icônes Billy Joel, Leon Russell ou encore Elton John, au plus loin des caricatures et archétypes étroits des artistes et autres excentriques qui peuplent les recoins du Texas. Robert Ellis présente un album entre abandon sauvage et pop majestueuse, crier comme un animal et provoquer, derrière une performance vocale qui rappelle Brian Wilson. Poser sa guitare et se mettre au piano, nous inviter à découvrir le véritable esprit du Texas : fort en confiance, plus grand que la vie, parfois grave et pourtant toujours accompagné d'un clin d'oeil et d'un sourire.
Robert Ellis revient pour un nouvel album : une collection de morceaux au piano, à l'esprit originel du Texas ! Les gens attendent et veulent certaines choses du Texas, et moi, je me bats contre ça depuis un long moment, confie Robert Ellis. J'ai réalisé que l'on ne devrait pas étiqueter le Texas. J'ai envie de redéfinir qu'est-ce que ça veut dire d'être texan. C'est ce Texas-piano-man, qui a écrit Texas Piano Man, un album aux racines honkytonks, proposé par un guitariste qui prend le temps de se poser derrière un piano, cet instrument stationnaire, et qui s'inspire des icônes Billy Joel, Leon Russell ou encore Elton John, au plus loin des caricatures et archétypes étroits des artistes et autres excentriques qui peuplent les recoins du Texas. Robert Ellis présente un album entre abandon sauvage et pop majestueuse, crier comme un animal et provoquer, derrière une performance vocale qui rappelle Brian Wilson. Poser sa guitare et se mettre au piano, nous inviter à découvrir le véritable esprit du Texas : fort en confiance, plus grand que la vie, parfois grave et pourtant toujours accompagné d'un clin d'oeil et d'un sourire.
Le Trio Goya propose, pour cette nouvelle sortie, un récit unique des premiers trios pour piano de Beethoven. Les musiciens révèlent l'extraordinaire palette de couleurs de ces pièces en les interprétant sur instruments d'époque.
La virtuosité de Louis Lortie chez Saint-Saëns ! Après un disque encensé des concertos de Poulenc, Louis Lortie et Edward Gardner explorent avec le BBC Philharmonic l'univers vigoureux et progressiste de Camille Saint-Saëns. Ils offrent le premier de deux volumes contenant l'intégrale de ses concertos pour piano. Le concerto n°1, mouvementé et non conventionnel est suivi par un concerto n°2 exigeant et technique. Le concerto n°4 est quant à lui dramatique et onirique. L'album se clôt sur la Rhapsodie d'Auvergne, aux influences folkloriques, soutenues par les décorations fluides du piano.
Toute la grâce de la musique de chambre pour violon et piano de Schumann avec deux interprètes aussi inspirés qu’expérimentés Les trois Romances pour hautbois et piano op. 94 sont là de véritables bijoux, dont la forme convient tout spécialement au poète sensible et imaginatif qu’était Schumann. Elles font le bonheur des instrumentistes (cornistes, clarinettistes, hautboïstes et altistes surtout) qui ont un répertoire romantique limité. Mais le compositeur recommande aussi le violon, comme c’est le cas ici. Les deux sonates Op.105 et Op. 121 ouvrent et referment le programme.