Le second album du pianiste DOUG CARN pour Black Jazz est un hommage aux mouvements de libération des noirs américains avec un jazz spirituel où se mêle la voix enchanteresse de Jean Carn, la femme de Doug. Personnel : Doug Carn : Piano, Electric Piano, Organ, Jean Carn : Vocals, George Harper : Tenor & Soprano Sax, Bass Clarinet, Flute & Reed Flute, Charles Tolliver : Flugelhorn, Garnett Brown : Trombone, Earl McIntyre : Tuba, Al Mouzon : Drums, Buster Williams : Bass.
Le Très Jazz Club présente pour sa septième sortie cet éblouissant album jazz modal du Naosuke Miyamoto Sextet sorti en 1973 sur la label Three Blind Mice et réédité pour la toute première fois. Emmené par Naosuke Miyamoto à la basse, accompagné de Masayoshi Yoneda au piano et Takashi Goto au sax, Step! est une perle jazz modal. Les 12 minutes 21 de One for Trane sont un intense moment de spiritual jazz ! Produit par Takeshi Jujii et enregistré le 25 août 1973 avec Naosuke Miyamoto (lead, basse), Kunji Shigi (trompette), Takashi Furuya, Takashi Goto (saxophone), Masayoshi Yoneda (piano), Shoji Nakayama (batterie).
Black Truffle est ravi de présenter Reservoir 1 : Preservation, le magnifique nouvel album de la compositrice/percussionniste américaine Sarah Hennies. Le travail de Sarah explore une variété de questions musicales, sociopolitiques et psychologiques, y compris l'identité queer & trans, l'amour, l'intimité, la psychoacoustique et la percussion. Les Reservoirs sont une série de trois pièces d'une heure inspirées de la relation entre le conscient et l'inconscient humain. Jung et Freud ont décrit l'inconscient comme un réservoir, un dépôt de souvenirs auxquels nous n'avons pas facilement accès, mais que nous gardons à jamais quelque part dans notre esprit. Plus précisément, Freud croyait que l'une des fonctions de l'inconscient est de stocker des souvenirs traumatisants, archivés pour que nous n'ayons pas à les affronter tous les jours. L'esprit conscient n'a pas d'accès direct à l'inconscient, pourtant l'inconscient est une présence constante et mystérieuse dans nos vies. Reservoir 1 : Preservation est une composition pour piano et trois percussionnistes, interprétée par Philip Bush et Meridian, expérimentateurs de longue date en percussion, improvisation et relations interpersonnelles qui inclut Tim Feeney, Sarah Hennies et Greg Stuart. Sur Preservation, le piano fonctionne comme un murmure constant, omniprésent, mais presque subliminal, au milieu des percussions qui parcourent une variété de timbres et de gestes, y compris des bourdonnements doux, des grattages frénétiques et des briques violemment lâchées dans des seaux métalliques. Le groupe de percussions n'interagit jamais avec le piano et n'y répond jamais, alors que le piano absorbe subtilement les aspects du trio. Preservation a été enregistré, mixé et masterisé par Jeff Francis à l'Université de South Carolina et est interprété par Meridian : Tim Feeney, Sarah Hennies, Greg Stuart (percussion) et Phillip Bush (piano). Sortie en CD digipak avec le design de Lasse Marhaug. Photo de couverture extrait de la série de photos d'Abby Grace Drake, Shopping Carts of Southside Ithaca.
Kompakt présente un nouveau projet audiovisuel du producteur danois Kasper Bjorke, un album ambient et post-classique conceptuel à la fois épique et captivant. The Fifty Eleven Project interprète les montagnes russes émotionnelles vécues par Kasper depuis le diagnostic de son cancer il y a cinq ans. La semaine de sortie célèbre les deux ans de rémission. La base de l'album a été composée par Kasper et le sorcier des claviers Claus Noreen à Copenhague dans le studio de ce dernier avec des synthés, séquenceurs, echos et reverbs analogiques et vintages. L'ordinateur n'intervient que dans la phase d'enregistrement. Les parties de violons, altos et violoncelle sont composées et jouées par le compositeur italien composer Davide Rossi qui a aussi travaillé avec Ennio Morricone, Jon Hopkins, Röyksopp, The Verve et Goldfrapp. Les parties de piano sont composées et interprétées par le musicien danois Jakob Littauer (Jatoma) sur un vieux piano droit dans un studio ou sur un Steinway Grand Piano dans la salle de concert du Royal Danish Music Conservatorium. Du Sleep de Max Richter au Mary Casio : Journey to Cassiopeia d'Hannah Peel en passant le Music for Installations de Brian Eno, The Fifty Eleven Project continue une riche veine de travail par des compositeurs contemporains qui explorent une situation/condition, réalisé avec une perspective fonctionnelle et thérapeutique. L'aspect visuel a été réalisé en collaboration avec le laboratoire culturel Prxjects et l'artiste, réalisateur et photographe acclamé de Los Angeles Justin Tyler Close qui a créé des vidéos artistiques pour chacun des 11 morceaux ainsi qu'un clip reprenant des extraits de chaque film. Les films seront présentés à l'exposition d'art cinématographique au Klub de Copenhague du 12 au 21 octobre avant de tourner en Europe et aux Etats-Unis. Le visuel du coffret a été réalisé par l'artiste renommé Landon Metz. Le coffret contient plus de deux heures de musique réparties sur 3 vinyles 180 gr translucides.
Sur son second album pour Black Jazz, Bishop joue du piano acoustique, électrique et de l'orgue avec un style flamboyant qui en fait un must soul-jazz. Personne l : Bass - Gerald Brown, Drums - Bahir Hassan, Flute, Saxophone - Ronnie Laws, Keyboards - Walter Bishop, Jr., Percussion - Shakur M. Abdullah, Vibraphone - Woody Murray.
Le très jazz club continue d'explorer le jazz japonais avec cette réédition de Morning Flight du tromboniste Hiroshi Fukumura, accompagné de Shinji Mori à la batterie, de Tsotomu Okada à la basse du talentueux Hiroshi Tamura au piano et secondé par ShigeharuMukai au trombone. Un très grand moment de jazz modal et spirituel.
Le nom de Gene Russell est familier des fans de Jazz et R&B des années 70. Il mixe parfaitement un Jazz influencé par Coltrane et une inspiration plus funk. Inclus une cover de You Are The Sunshine Of My Life de Stevie Wonder. Personnel : Guitar - Calvin Keys, Bass - Henry Franklin, Drums - Ndugu, Congas - Charles Weaver, Tambourine - Eddie Gee, Fender Rhodes, Piano - Gene Russell.
Premier album sortant sous son propre nom pour Anton Kubikov, la moitié du duo mythique SCSI-9 et membre proéminent de la scène électro russe. Whatness couvre un vaste territoire sonore en s’aventurant sur les terres du drone, de l’ambient dub ou encore du piano minimaliste, tout en restant fidèle à une esthétique émotionnelle sereine et captivante. Un tour de force de l’un des tous meilleurs compositeurs d’ambient aujourd’hui.
Réédition vinyle des performances du roi du clavier, prince du piano et saint du synthé, Rick Wakeman ! Cet ouvrage contient 2 inédits dont une puissante reprise de Sober de Tool et de brillantes performances de Steve Hillage (Gong), Billy Sherwood et Steve Howe (Yes), Jerry Goodman et bien d'autres ! Vinyle rouge en édition limitée à 300 exemplaires.
Premier album sortant sous son propre nom pour Anton Kubikov, la moitié du duo mythique SCSI-9 et membre proéminent de la scène électro russe. Whatness couvre un vaste territoire sonore en s’aventurant sur les terres du drone, de l’ambient dub ou encore du piano minimaliste, tout en restant fidèle à une esthétique émotionnelle sereine et captivante. Un tour de force de l’un des tous meilleurs compositeurs d’ambient aujourd’hui.
Bossa Tres est le premier groupe instrumental de bossa nova, formé à Sao Pao en 1961 par Luiz Carlos Vinhas (piano), Edison Machado (batteries) et Tião Neto (bass). The Bossa Tres est leur premier enregistrement aux USA, on y retrouve entre autres des rythmes bossa nova brésiliens avec une touche de jazz américain. Vinyle 180 gr avec pochette gatefold.
Derrière The Explosion se cache le trio formé par Gilbert Cohen alias Gilb'r, moitié de Chateau Flight et chef de file du crew Versatile (machines, production), Fabrizio Rat (piano, synthétiseur) et Giani Caserotto (guitare) du Cabaret Contemporain. Au programme de ce 1er album éponyme, six titres qui s'étirent, façonnés au gré des sessions nocturnes, improvisés autour de motifs ou de séquences de synthétiseur avec l'idée de développer, dans la longueur, des paysages où se perdre et se réinventer.
Sur son second album pour Black Jazz le sous-estimé saxophoniste Rudolph Johnson montre une rare confiance dans une approche directe et émotionnelle du Jazz : on retrouve des touches Coltraniennes mais aussi un son plus hard bop. A l'opposé de ses contemporains il rejette des influences extérieures pour se concentrer sur un Jazz plus pur. Personnel : Bass - Kent L Brinkley, Drums - Douglass J. Sides, Piano - Kirk Lightsy, Saxophone (Tenor) - Rudolph Johnson.
Premier album de FEINDREHSTAR sur le label MUSSIKKRAUSE pour un melting pot de jazz fusion incluant funk, hip hop, house le tout joué live par un sextet comprenant trompette, saxophone, scratch et samples, percussions, piano, batterie, claviers. Enregistré dans les studios de JAZZANOVA et mixé par MICHAEL BAUMANN (SOULPHICTION / JACKMATE), cet album se veut live et souvent proche de l'improvisation, ce qui n'est pas sans rappeler la vocation première du groupe : le live puisqu'ils tournent depuis maintenant 10 ans.
Avec un père pianiste de jazz et commençant lui-même le piano dans les bars, le jazz a une place particulière chez Serge Gainsbourg. Sa rencontre avec l'écrivain (mais aussi trompettiste de jazz) Boris Vian sera décisive et le convaincra d'utiliser son propre répertoire entre autre influencé par le jazz. Parue originellement en 1996, cette compilation entre jazz, pop et chanson regroupe des versions studio et live, enregistrées entre 1959 et 1960 en collaboration avec Alain Goraguer et son orchestre. Vinyle 180 gr avec pochette gatefold.
Marie France, figure incontournable de l'underground parisien et de la contre-culture depuis la fin des années 70, revient avec un nouvel album composé et réalisé par Léonard Lasry, dont les textes signés Elisa Point nous évoquent l'univers de Françoise Sagan ou Marguerite Duras. Entre piano voix aux atmosphères poétiques et diaboliquement cinématographiques et morceaux empreints de guitares sèches, ce nouvel album nous permet de retrouver une interprète hors pair, qui a auparavant inspiré les plus grands, de Daniel Darc, Jacques Duvall, Bijou, Mirwais aux Rita Mitsouko.
Sur son second album pour Black Jazz, le sextet de Chicago se place dans la droite ligne des groupes de Jazz du début des années 70 de Sunny Murray, Hadley Caliman, Fred Anderson. Avec un son hard-bop injecté d'influences soul-jazz et une touche de free-jazz, Mirage est un parfait album pour tous les fans de Jazz aventureux. Personnel : Bass - Reggie Willis, Drums, Percussion - Arlington Davis, Jr., Electric Piano [Keyboard] - Ken Chaney, Tenor Saxophone, Soprano Saxophone - Richard (Ari) Brown, Trombone, Percussion - Steve Galloway, Trumpet - Frank Gordon.
Certains disques ne sont pas aussi simples qu'ils en ont l'air. La plupart sont des capsules de beauté et de vision créative, ou des objets sublimes d'expression qui occupent les domaines abstraits. Mais quelques-uns proposent aussi des philosophies discrètes, réalisées dans le son : Jefre Cantu-Ledesma (Tarentel, The Alps), un vétéran de Mexican Summer, le prouve dans sa dernière aventure, Tracing Back The Radiance. Se démarquant radicalement des mélodies aux accents pop qui ont défini ses récentes créations, ses formes expérimentales offrent une réflexion dynamique sur les termes et les possibilités du discours et de la collaboration; un vaste paysage ambiant d'abstractions, de textures et de tons. Une méditation lente et délicate; un espace ouvert ponctué par les harmoniques retenues du vibraphone, du traitement, de la flûte, de la pedal-steel, du synthétiseur, du piano, de l'orgue et de la voix. Tracing Back The Radiance est né de quelques notes de piano, d'un besoin de changement et d'un processus en évolution qui se situe quelque part entre la conversation et la vision, et un jeu sauvage de cadavre exquis - Cantu-Ledesma agissant ici en tant que contributeur, serviteur, et force directrice d'un casting all-stars de voix : John Also Bennett, Marilu Donavan, Chuck Johnson, Gregg Kowalsky, Mary Lattimore, David Moore, Meara O'Reilly, Jonathan Sielaff, Roger Tellier Craig et Christopher Tignor, chacun intervenant depuis divers endroits d'Amérique du Nord. Avec un clin d'oeil aux étapes historiques de la musique ambiante et électroacoustique, ainsi qu'aux pionniers minimalistes italiens comme Gusto Pio, Lino Capra Vaccina et Francesco Messina + Raul Lovisoni, Cantu-Ledesma poursuit l'une des entreprises les plus ambitieuses, élégantes et passionnantes de sa carrière, tout en maintenant la facilité et l'ouverture du langage musical qui l'ont guidé à travers les années. Un magnifique baume immersif, mélancolique et contemplatif bien en accord l'époque trouble de sa conception.
Artiste jazz américaine et activiste pour les droits des femmes, Karrin Allyson présente Shoulder to Shoulder, un album très spécial célébrant le centenaire du suffrage féminin aux Etats-Unis. En plus de Karrin Allyson, cinq fois nominée aux Grammy, le sextet comprend également Ingrid Jensen (trompette), Mindi Abair (saxophone alto), Helen Sung (piano), Endea Owens (basse), et Allison Miller (batterie). Shoulder to Shoulder fait figurer un grand nombre d'artistes, notamment une chorale de plus de quarante militantes des droits des femmes et reprend des discours en rapport aux débats sur le suffrage féminin. L'album est produit par les lauréats de plusieurs prix Grammy, Kabir Sehgal, John Daversa et Doug Davis.
Le duo de songwriters gallois adoubé par David Crosby revient avec un 3e album faisant suite aux remarqués Lifebringer (2013) et Abstract Heart (2015) et enregistré en collaboration avec le fils de Crosby, James Raymond. Il a été composé dans une maison isolée des Rocheuses du Colorado après 1 mois de road trip. La nature dense et sauvage de ce cadre a imprégné chacun des 10 titres qui le composent. Retournant ainsi à leurs racines acoustiques, Paul Zervas et Kathryn Pepper enlacent harmonieusement leur voix autours de mélodies de guitares acoustiques et de piano pour composer un album folk rock qui évoquera les travaux de songwriters tels que Jimmy Webb et Joni Mitchell. Pour les fans de : Crosby, Stills, Nash & Young, Ryan Adams, etc.
Basé dans l'Arizona, The Lasso est le projet solo du producteur, auteur-compositeur et multi-instrumentiste Andy Catlin. Depuis 2011, The Lasso a sorti plus de 10 albums allant du psychédélisme influencé par le hip-hop à la musique de film, du funk à la folk. John Coltrane a un jour prétendu que vous pouviez jouer avec trois fois rien si vous étiez sincère. Imaginez donc ce qu'un artiste sincère, talentueux et dévoué peut faire avec une boîte à rythmes, un piano et 13 musiciens à sa disposition. Avec The Sound of Lasso, le compositeur du Michigan a transformé ces émotions intangibles en symphonies luxuriantes. C'est un son qui apporte à la fois la beauté d'un grand lac gelé et la chaleur d'une savane tropicale. C'est psychédélique et étrangement réconfortant, un chaudron mélodique de hip-hop instrumental lo-fi, de musique rythmique, de funk tribale, de nu-jazz et d'IDM.
Jet-Black Notebook est le huitième album du batteur, compositeur et producteur Sönke Duwer avec son Ensemble du Verre depuis la création du projet en 2003. Avec le soutien de divers artistes déjà présents sur le précédent album Rooms, dix nouvelles chansons ont été créées en deux ans de travail en studio. Le titre ainsi que l'image de couverture montrent bien que Jet-Black Notebook est l'album le plus personnel de Duwer à ce jour. Un carnet similaire a été son compagnon constant au fil des ans. Des idées de projets, des paroles, des listes de choses à faire, des pensées et des philosophies qui surgissent de temps en temps, allant des plans de campagnes publicitaires jusqu'aux contemplations, tout est là. Et tout devient source d'idées neuves. Il n'a jamais été facile de réduire l'Ensemble du Verre à un seul style de musique. Aujourd'hui, c'est de la musique populaire, probablement du jazz. Le point de vue a changé, l'objectif est différent. Le piano est la pièce maîtresse, ce qui est assez étrange pour un batteur, je suppose, plaisante Duwer.
Jet-Black Notebook est le huitième album du batteur, compositeur et producteur Sönke Duwer avec son Ensemble du Verre depuis la création du projet en 2003. Avec le soutien de divers artistes déjà présents sur le précédent album Rooms, dix nouvelles chansons ont été créées en deux ans de travail en studio. Le titre ainsi que l'image de couverture montrent bien que Jet-Black Notebook est l'album le plus personnel de Duwer à ce jour. Un carnet similaire a été son compagnon constant au fil des ans. Des idées de projets, des paroles, des listes de choses à faire, des pensées et des philosophies qui surgissent de temps en temps, allant des plans de campagnes publicitaires jusqu'aux contemplations, tout est là. Et tout devient source d'idées neuves. Il n'a jamais été facile de réduire l'Ensemble du Verre à un seul style de musique. Aujourd'hui, c'est de la musique populaire, probablement du jazz. Le point de vue a changé, l'objectif est différent. Le piano est la pièce maîtresse, ce qui est assez étrange pour un batteur, je suppose, plaisante Duwer.
Black Label Society a annoncé leur 20 Years of Sonic Brewtality Tour, avec pour l'occasion une nouvelle version réimaginée du premier album emblématique du groupe en 1999, Sonic Brew, intitulée Sonic Brew - 20th Anniversary Blend 5.99 - 5.19. La recette originale, mais avec encore plus de saveurs ! L'enregistrement original de 1997 a été masterisé avec beaucoup de décibels, de l'alcool et de la danse, explique Wylde depuis son home studio. Nous avons donc travaillé sur les titres existants en nous concentrant sur les décibels et la danse, mais en remplaçant l'alcool par du viagra et des stéroïdes anabolisants. La nouvelle version remixée de Sonic Brew comprendra deux nouveaux titres bonus : une version groupe/piano complète de Spoke In The Wheel et une version acoustique de Black Pearl. A la fois armée envahissante et carnaval ambulant, Black Label Society parcourt le monde propulsé par la caféine et la cacophonie, invitant au passage tous les nouveaux venus à se joindre à eux et à participer à leur fraternité faite de hardiesse et de hard rock !
Black Label Society a annoncé leur 20 Years of Sonic Brewtality Tour, avec pour l'occasion une nouvelle version réimaginée du premier album emblématique du groupe en 1999, Sonic Brew, intitulée Sonic Brew - 20th Anniversary Blend 5.99 - 5.19. La recette originale, mais avec encore plus de saveurs ! L'enregistrement original de 1997 a été masterisé avec beaucoup de décibels, de l'alcool et de la danse, explique Wylde depuis son home studio. Nous avons donc travaillé sur les titres existants en nous concentrant sur les décibels et la danse, mais en remplaçant l'alcool par du viagra et des stéroïdes anabolisants. La nouvelle version remixée de Sonic Brew comprendra deux nouveaux titres bonus : une version groupe/piano complète de Spoke In The Wheel et une version acoustique de Black Pearl. A la fois armée envahissante et carnaval ambulant, Black Label Society parcourt le monde propulsé par la caféine et la cacophonie, invitant au passage tous les nouveaux venus à se joindre à eux et à participer à leur fraternité faite de hardiesse et de hard rock !
Pour ce nouvel album Low Cut a pris l'option de partir seul au front. Compositions 100% sampling, les machines installées dans les sillons des disques comme des derricks dans un champ de pétrole, Low Cut a su tirer des vinyles sélectionnés les secondes les plus précieuses. Origine, artiste, année, label, le secret restera de mise. Tout juste Low Cut consent-il à dévoiler le rock progressif italien sur la liste des composants. Des boucles de sitar, de piano, de synthétiseurs. Des boucles expressives, nostalgiques ou énigmatiques pour des voyages où la pesanteur est abolie. Où les claviers futuristes permettent un décollage astral quand les guitares ramènent errances étendues désertiques et ocres, avec pour seuls compagnons un soleil agressif et des coyotes attendant leur tour. Des boucles filtrées, travaillées, déstructurées, pour des expériences qui mêlent l'encens et le double zéro, pour des virées dans des bande-son en 16mm où la nature apaisante laisse place à l'oppression urbaine en quelques claquements de caisse. BPM ralentis, breakbeats accentués et groove actionné par les cordes ronronnantes d'une vraie basse, Stoned Ride décline climats et ambiances avec une continuité et une progression logique. Celle d'un trip hip hop instrumental avec Low Cut en seul machiniste.
Le groupe de metal Inter Arma, originaire de Richmond, continue de tracer son propre chemin ambitieux en mélangeant de façon épique doom, sludge et hard psych. Dans Sulphur English, leur nouvel album, le groupe explore plus profondément les sons doom prog organiques qui ont rendu Paradise Gallows et Sky Burial tellement excitants, tout en élargissant encore davantage la gamme psych-folk qui a fait de ces albums des oeuvres nobles. Peu de groupes de metal ont déjà fait un usage aussi efficace des instruments acoustiques que celui de Inter Arma. La guitare acoustique que l'on retrouve ainsi sur Stillness est aussi efficace que n'importe quelle basse saturée. Sur Observances of the Path on trouve une pièce de piano réverbéré qui déroule le tapis pour The Atavist's Meridian, un des sommets de l'album qui nous entraîne dans un royaume évoquant un Paradise Lost encore plus obscur, un Om encore plus agressif et un Kylesa encore plus rêveur qui joueraient tous ensemble. Peu de groupes font de la musique aussi captivante qu'Inter Arma. Leurs chansons calmes, presque méditatives, résonnent jusqu'à ce que vous soyez prêts à vous jeter d'un pont, puis c'est vous qu'ils jettent avec force ! Pour les fans de Neurosis, Cult of Luna, Yob, Thou, Ulcerate, Mastodon.
Le groupe de metal Inter Arma, originaire de Richmond, continue de tracer son propre chemin ambitieux en mélangeant de façon épique doom, sludge et hard psych. Dans Sulphur English, leur nouvel album, le groupe explore plus profondément les sons doom prog organiques qui ont rendu Paradise Gallows et Sky Burial tellement excitants, tout en élargissant encore davantage la gamme psych-folk qui a fait de ces albums des oeuvres nobles. Peu de groupes de metal ont déjà fait un usage aussi efficace des instruments acoustiques que celui de Inter Arma. La guitare acoustique que l'on retrouve ainsi sur Stillness est aussi efficace que n'importe quelle basse saturée. Sur Observances of the Path on trouve une pièce de piano réverbéré qui déroule le tapis pour The Atavist's Meridian, un des sommets de l'album qui nous entraîne dans un royaume évoquant un Paradise Lost encore plus obscur, un Om encore plus agressif et un Kylesa encore plus rêveur qui joueraient tous ensemble. Peu de groupes font de la musique aussi captivante qu'Inter Arma. Leurs chansons calmes, presque méditatives, résonnent jusqu'à ce que vous soyez prêts à vous jeter d'un pont, puis c'est vous qu'ils jettent avec force ! Pour les fans de Neurosis, Cult of Luna, Yob, Thou, Ulcerate, Mastodon.
Von Spar célèbre le 5e anniversaire de son album révolutionnaire Streetlife, paru en 2014, avec une réédition en LP pressée sur vinyle blanc. Bon vivants précaires, musiciens talentueux, radicaux, Von Spar c'est beaucoup de choses, mais c'est avant tout l'un des groupes les plus étonnants du royaume que la presse musicale britannique a baptisé krautrock. Sebastian Blume, Jan Philipp Janzen, Christopher Marquez et Phillip Tielsch ont dans le passé été encore plus vantés que les revenants du genre même s'ils s'inspiraient également de la techno, synthpop, noise et post-punk. Le concept du collectif Von Spar semble être de torpiller les attentes des auditeurs d'un album à l'autre, a écrit le journal allemand TAZ à propos de leur précédent album Foreigner. Et de fait, il y a beaucoup de nouveautés sur Streetlife. Quatre des huit pièces ont été enregistrées avec le chanteur canadien Chris Cummings, alias Marker Starling (anciennement Mantler), dont la voix fragile rappelle parfois celle du grand communiste et musicien Robert Wyatt. D'autres pièces mettent en vedette la voix d'Ada (Pampa Records) et de Scout Niblett (Drag City), pour qui Jan Philipp Janzen a joué de la batterie lors de diverses tournées. Streetlife est un album hétérogène, allant du piano disco mélodique (Chain Of Command), aux paysages sonores trébuchés (Hearts Fear), au soft rock grandiose (Try Though We Might). On pourrait appeler ça de la musique pour un monde meilleur, si ça ne semblait pas hautain. Les Von Spar ont au contraire un bon sens des réalités. Ce n'est pas de l'évasion, mais une vie à la dure. Et c'est celle qu'ils mènent.
Von Spar célèbre le 5e anniversaire de son album révolutionnaire Streetlife, paru en 2014, avec une réédition en LP pressée sur vinyle blanc. Bon vivants précaires, musiciens talentueux, radicaux, Von Spar c'est beaucoup de choses, mais c'est avant tout l'un des groupes les plus étonnants du royaume que la presse musicale britannique a baptisé krautrock. Sebastian Blume, Jan Philipp Janzen, Christopher Marquez et Phillip Tielsch ont dans le passé été encore plus vantés que les revenants du genre même s'ils s'inspiraient également de la techno, synthpop, noise et post-punk. Le concept du collectif Von Spar semble être de torpiller les attentes des auditeurs d'un album à l'autre, a écrit le journal allemand TAZ à propos de leur précédent album Foreigner. Et de fait, il y a beaucoup de nouveautés sur Streetlife. Quatre des huit pièces ont été enregistrées avec le chanteur canadien Chris Cummings, alias Marker Starling (anciennement Mantler), dont la voix fragile rappelle parfois celle du grand communiste et musicien Robert Wyatt. D'autres pièces mettent en vedette la voix d'Ada (Pampa Records) et de Scout Niblett (Drag City), pour qui Jan Philipp Janzen a joué de la batterie lors de diverses tournées. Streetlife est un album hétérogène, allant du piano disco mélodique (Chain Of Command), aux paysages sonores trébuchés (Hearts Fear), au soft rock grandiose (Try Though We Might). On pourrait appeler ça de la musique pour un monde meilleur, si ça ne semblait pas hautain. Les Von Spar ont au contraire un bon sens des réalités. Ce n'est pas de l'évasion, mais une vie à la dure. Et c'est celle qu'ils mènent.
EP 5 titres, Origine est le deuxième volet du triptyque Amour / Origine / Symbole imaginé par Nicolas Haas. C'est à Francheville, un petit village de Normandie, que Nicolas a passé toute son enfance. Il y débute le solfège et le piano au jeune âge de 4 ans, et écrit ses premiers poèmes et chansons dès 15 ans. Il s'intéresse aussi aux musiques électroniques et s'achète son premier synthétiseur. Avec un ami, fan comme lui de toute la scène new-wave, il constitue un premier duo et fait quelques maquettes et concerts. Au début des années 90, il intègre une école de cinéma et devient ingénieur du son. Il rencontre dans cette école Christian Schreurs (ex-Venus) avec qui il constituera le duo Laconic, et aussi Jérôme Minière dont il mixera le premier album Monde Pour N'Importe Qui. Il signe en édition chez Delabel en 1998 et se consacre alors totalement à la musique : des projets personnels, Laconic et Primaa, mais aussi des musiques de films. En 2003, Nicolas souhaite interpréter ses chansons : il suit alors des cours de chant au Studio des Variétés avec Sarah Sanders et entame une longue série de concerts, notamment les premières parties de Raphaël au Bataclan et à la Cigale. En 2005, il collabore pour la première fois avec Matthieu Imberty, guitariste et compositeur, constitue un groupe et sort 2 albums sous son propre nom, Une île à Ma Portée et Un Peu de Nous. Parallèlement, Nicolas compose pour de nombreux films Darlin, Le Poulpe, une vingtaine de documentaires comme Les Nouveaux Explorateurs sur Canal +, et de nombreuses publicités. A partir de 2011, Matthieu et Nicolas optent pour une formule duo électro-pop qui donnera naissance à l'album 186c en 2012 puis à Amour en 2016.
EP 5 titres, Origine est le deuxième volet du triptyque Amour / Origine / Symbole imaginé par Nicolas Haas. C'est à Francheville, un petit village de Normandie, que Nicolas a passé toute son enfance. Il y débute le solfège et le piano au jeune âge de 4 ans, et écrit ses premiers poèmes et chansons dès 15 ans. Il s'intéresse aussi aux musiques électroniques et s'achète son premier synthétiseur. Avec un ami, fan comme lui de toute la scène new-wave, il constitue un premier duo et fait quelques maquettes et concerts. Au début des années 90, il intègre une école de cinéma et devient ingénieur du son. Il rencontre dans cette école Christian Schreurs (ex-Venus) avec qui il constituera le duo Laconic, et aussi Jérôme Minière dont il mixera le premier album Monde Pour N'Importe Qui. Il signe en édition chez Delabel en 1998 et se consacre alors totalement à la musique : des projets personnels, Laconic et Primaa, mais aussi des musiques de films. En 2003, Nicolas souhaite interpréter ses chansons : il suit alors des cours de chant au Studio des Variétés avec Sarah Sanders et entame une longue série de concerts, notamment les premières parties de Raphaël au Bataclan et à la Cigale. En 2005, il collabore pour la première fois avec Matthieu Imberty, guitariste et compositeur, constitue un groupe et sort 2 albums sous son propre nom, Une île à Ma Portée et Un Peu de Nous. Parallèlement, Nicolas compose pour de nombreux films Darlin, Le Poulpe, une vingtaine de documentaires comme Les Nouveaux Explorateurs sur Canal +, et de nombreuses publicités. A partir de 2011, Matthieu et Nicolas optent pour une formule duo électro-pop qui donnera naissance à l'album 186c en 2012 puis à Amour en 2016.
Premier album de Cleo T, chanteuse française à l'univers fragile et étincelant, oscillant entre Emilie Simon et Coco Rosie. Cleo T. chante des mélodies aux accents symbolistes, écumées de l'Europe ancienne, d'un romantisme noir à la poésie éclatante. Elle ouvre les portes de son théâtre d'ombre et de lumière pour présenter ce premier album, Songs of Gold & Shadow, enregistré à Bristol avec John Parish, collaborateur légendaire de PJ Harvey. Cleo T. c'est Alice endormie dans la chambre des paons, Salomé dansant au coeur de la Nouvelle Vague, Lorelei haranguant les marins au cabaret de la Dernière chance. Cleo T. c'est une écriture corsetée de dentelle et plumes noires, empreinte d'un mysticisme lumineux et sans retour. De Spleen et d'Idéal. De Bruit et de Fureur. Songs Of Gold & Shadow, c'est un album de 11 titres, un nocturne en bleu et or à la folk incarnée et incandescente. Un cabaret des Temps Modernes, où se croisent lieders berlinois et poésie païenne, une invitation au voyage aux couleurs d'un siècle d'or à jamais disparu. Songs of Gold & Shadow, c'est un songwriting féminin et sauvage, des balades d'amour et de mort pour héroïne à bout de souffle. Sur les routes depuis 2010, Cleo T. traverse l'Europe, piano, harpe, violoncelle et autres malles à mystères en soute, de Berlin à Londres jusqu'au grand Sud italien. Lauréate du prix paris Jeune Talent, on l'a vu à Paris à L'Olympia pour Génération Réservoir et à Solidays. On la retrouvera cette année à l'affiche du prestigieux festival anglais The Great Escape, et en tournée dès le mois d'avril pour un printemps très européen. Le projet est soutenu par la Sacem et le bureau Export. Les yeux noirs, lèvres rouges et cheveux d'or, Cleo T entourée de ses redoutables musiciens font résonner un étrange chant des sirènes, une échappée dangereuse et à rebours, de l'autre côté du miroir.
Séparés de six cents miles, Detroit et Camden partagent l’infâme honneur de figurer en bonne place dans le classement des villes du cauchemar américain. Laminées par la ruine économique, dévorées par le crime, gangrenées par la drogue, les deux cités ont, comme New-York à sa pire époque, généré des talents aussi habiles aux micros qu’aux samplers, aussi redoutables à la rime qu’à la prod. Finale et Fel Sweetenberg sont deux émanations directes de ces métropoles du chaos, aujourd’hui reliées par Effiscienz. Car c’est bien au label Parisien que l’on doit cette alliance. Loin d’une simple entente où chacun resterait campé sur ses mesures dans un pacte de non-agression, les deux MC’s ont mis en commun leur territoire respectif pour se constituer un royaume hip hop qu’ils régiraient ensemble. Sans pitié pour les faibles. Un royaume sombre, érigé depuis les décombres et les gravats, une production aride entrechoquée de boucles déstructurées dont certaines, pourtant déjà usitées, renaissent de leurs cendres dans un climat de violence sourde. Jazz, soul, classique, gospel, grandeur lyrique, dans une atmosphère de conquête ou sur le dépouillement d’un piano de polar, la paire de rimeurs fait compétition de toute instru, Finale tempérant par un flow posé et réfléchi la fougue des crocs que Fel plante sur tous les temps. Ce royaume, Fel & Finale l’auront bâti seuls, Fel Sweetenberg prenant en charge l’intégralité des beats ensuite livrés aux pages criblées d’encre du duo, les portes ne s’entrebaillant que pour laisser Dj Djaz introduire son bras à saphir et scarifier le sillon de cuts. Equilibrant les forces, portant leur ambition au-delà des rues mal famées qui les ont déjà couronnés, Finale & Fel Sweetenberg lèvent les couleurs mates d’un rap resté exigeant, le rayonnement de leur oriflamme dépassant désormais les seules limites d’un l’axe Detroit-Camden. Deux rois, deux couronnes. Un règne : celui du hip hop.
Séparés de six cents miles, Detroit et Camden partagent l’infâme honneur de figurer en bonne place dans le classement des villes du cauchemar américain. Laminées par la ruine économique, dévorées par le crime, gangrenées par la drogue, les deux cités ont, comme New-York à sa pire époque, généré des talents aussi habiles aux micros qu’aux samplers, aussi redoutables à la rime qu’à la prod. Finale et Fel Sweetenberg sont deux émanations directes de ces métropoles du chaos, aujourd’hui reliées par Effiscienz. Car c’est bien au label Parisien que l’on doit cette alliance. Loin d’une simple entente où chacun resterait campé sur ses mesures dans un pacte de non-agression, les deux MC’s ont mis en commun leur territoire respectif pour se constituer un royaume hip hop qu’ils régiraient ensemble. Sans pitié pour les faibles. Un royaume sombre, érigé depuis les décombres et les gravats, une production aride entrechoquée de boucles déstructurées dont certaines, pourtant déjà usitées, renaissent de leurs cendres dans un climat de violence sourde. Jazz, soul, classique, gospel, grandeur lyrique, dans une atmosphère de conquête ou sur le dépouillement d’un piano de polar, la paire de rimeurs fait compétition de toute instru, Finale tempérant par un flow posé et réfléchi la fougue des crocs que Fel plante sur tous les temps. Ce royaume, Fel & Finale l’auront bâti seuls, Fel Sweetenberg prenant en charge l’intégralité des beats ensuite livrés aux pages criblées d’encre du duo, les portes ne s’entrebaillant que pour laisser Dj Djaz introduire son bras à saphir et scarifier le sillon de cuts. Equilibrant les forces, portant leur ambition au-delà des rues mal famées qui les ont déjà couronnés, Finale & Fel Sweetenberg lèvent les couleurs mates d’un rap resté exigeant, le rayonnement de leur oriflamme dépassant désormais les seules limites d’un l’axe Detroit-Camden. Deux rois, deux couronnes. Un règne : celui du hip hop.
UN 2èME ALBUM SOUS FORME DE KALéIDOSCOPE POP FOLK 60S PSYCHé LP COULEUR ENREGISTRé PAR MAC DEMARCO FEAT. WEYES BLOOD Avant 2009 Michael Collins n'avait jamais touché un instrument, 4 ans plus tard il sortait The End of Comedy sous le nom de Drugdealer. Ce premier album écrit sous la perspective d'un auditeur et non d'un musicien, et qui invitait notamment Ariel Pink, l'a inscrit durablement dans la scène underground de Los Angeles. A une époque où tout est accessible immédiatement, Michael se demande si le monde a vraiment besoin d'un nouveau film d'amour, d'une nouvelle mélodie. Sur Raw Honey, il colore ces énigmes existentielles avec des arrangements luxuriants, des mélodies mémétiques et des harmonies vulnérables qui tentent de donner un sens au doute personnel et à la solitude interconnectée. Construit sur le partenariat créatif entre Michael, Sasha Winn (chant) et Shags Chamberlain (basse, production), Drugdealer s'apparent plus à un collectif qu'un groupe. Enregistré par Mac DeMarco, ce deuxième album invite Josh Da Costa (batterie), Jackson MacIntosh (guitare), Danny Garcia (guitare), Michael Long (guitare solo) et Benjamin Schwab (choeurs, guitare, orgue, piano, Wurlitzer), ainsi que le chanteur Dougie Poole sur Wild Motion, Harley Hill-Richmond sur Lonely et Natalie Mering, alias Weyes Blood, qui chante doucement avant de monter en puissance sur Honey, une piste aussi onctueuse que le nectar lui-même. Tout au long de Raw Honey, Michael et son équipe affichent leurs influences telle une nouvelle tapisserie tissée de fils recyclés de milliers de tapisseries qui ont coloré notre histoire collective. Avec une oreille pour créer des mélodies qui semblent à la fois contemporaines et classiques et un processus moderne de création qui cultive et épouse les influences, Michael fait fi des conventions sociales préférant exprimer les doutes qu'il pose sur lui même et jouer le rôle d'étoile polaire pour guider les personnes avec une sensibilité similaire, où qu'elles souhaitent aller.
UN 2èME ALBUM SOUS FORME DE KALéIDOSCOPE POP FOLK 60S PSYCHé LP COULEUR ENREGISTRé PAR MAC DEMARCO FEAT. WEYES BLOOD Avant 2009 Michael Collins n'avait jamais touché un instrument, 4 ans plus tard il sortait The End of Comedy sous le nom de Drugdealer. Ce premier album écrit sous la perspective d'un auditeur et non d'un musicien, et qui invitait notamment Ariel Pink, l'a inscrit durablement dans la scène underground de Los Angeles. A une époque où tout est accessible immédiatement, Michael se demande si le monde a vraiment besoin d'un nouveau film d'amour, d'une nouvelle mélodie. Sur Raw Honey, il colore ces énigmes existentielles avec des arrangements luxuriants, des mélodies mémétiques et des harmonies vulnérables qui tentent de donner un sens au doute personnel et à la solitude interconnectée. Construit sur le partenariat créatif entre Michael, Sasha Winn (chant) et Shags Chamberlain (basse, production), Drugdealer s'apparent plus à un collectif qu'un groupe. Enregistré par Mac DeMarco, ce deuxième album invite Josh Da Costa (batterie), Jackson MacIntosh (guitare), Danny Garcia (guitare), Michael Long (guitare solo) et Benjamin Schwab (choeurs, guitare, orgue, piano, Wurlitzer), ainsi que le chanteur Dougie Poole sur Wild Motion, Harley Hill-Richmond sur Lonely et Natalie Mering, alias Weyes Blood, qui chante doucement avant de monter en puissance sur Honey, une piste aussi onctueuse que le nectar lui-même. Tout au long de Raw Honey, Michael et son équipe affichent leurs influences telle une nouvelle tapisserie tissée de fils recyclés de milliers de tapisseries qui ont coloré notre histoire collective. Avec une oreille pour créer des mélodies qui semblent à la fois contemporaines et classiques et un processus moderne de création qui cultive et épouse les influences, Michael fait fi des conventions sociales préférant exprimer les doutes qu'il pose sur lui même et jouer le rôle d'étoile polaire pour guider les personnes avec une sensibilité similaire, où qu'elles souhaitent aller.
UN 2èME ALBUM SOUS FORME DE KALéIDOSCOPE POP FOLK 60S PSYCHé LP COULEUR ENREGISTRé PAR MAC DEMARCO FEAT. WEYES BLOOD Avant 2009 Michael Collins n'avait jamais touché un instrument, 4 ans plus tard il sortait The End of Comedy sous le nom de Drugdealer. Ce premier album écrit sous la perspective d'un auditeur et non d'un musicien, et qui invitait notamment Ariel Pink, l'a inscrit durablement dans la scène underground de Los Angeles. A une époque où tout est accessible immédiatement, Michael se demande si le monde a vraiment besoin d'un nouveau film d'amour, d'une nouvelle mélodie. Sur Raw Honey, il colore ces énigmes existentielles avec des arrangements luxuriants, des mélodies mémétiques et des harmonies vulnérables qui tentent de donner un sens au doute personnel et à la solitude interconnectée. Construit sur le partenariat créatif entre Michael, Sasha Winn (chant) et Shags Chamberlain (basse, production), Drugdealer s'apparent plus à un collectif qu'un groupe. Enregistré par Mac DeMarco, ce deuxième album invite Josh Da Costa (batterie), Jackson MacIntosh (guitare), Danny Garcia (guitare), Michael Long (guitare solo) et Benjamin Schwab (choeurs, guitare, orgue, piano, Wurlitzer), ainsi que le chanteur Dougie Poole sur Wild Motion, Harley Hill-Richmond sur Lonely et Natalie Mering, alias Weyes Blood, qui chante doucement avant de monter en puissance sur Honey, une piste aussi onctueuse que le nectar lui-même. Tout au long de Raw Honey, Michael et son équipe affichent leurs influences telle une nouvelle tapisserie tissée de fils recyclés de milliers de tapisseries qui ont coloré notre histoire collective. Avec une oreille pour créer des mélodies qui semblent à la fois contemporaines et classiques et un processus moderne de création qui cultive et épouse les influences, Michael fait fi des conventions sociales préférant exprimer les doutes qu'il pose sur lui même et jouer le rôle d'étoile polaire pour guider les personnes avec une sensibilité similaire, où qu'elles souhaitent aller.
The Solo Years 1982 - 1989 réunit pour la première fois sur CD l'intégralité de la musique sortie en solo dans les années 80 par le suédois Hans Lundin du groupe prog/folk/fusion Kaipa, en partie remixée et intégralement remasterisée. Avec un sens de l'émerveillement enfantin, Hans a créé ses propres paysages musicaux en alternant entre beauté majestueuse et entrain joyeux. De plus, il n'a jamais manqué de talent pour écrire de belles mélodies et créer des ambiances spéciales grâce à ses conceptions sonores. Le tout peut ressembler à un air folklorique, comme à une musique instrumentale d'inspiration asiatique ou à des chansons aux influences prog rock. Travaillant principalement seul, il a parfois invité de bons amis musiciens à jouer, notamment les anciens membres de son groupe Kaip : Roine Stolt, Max Åhman, Ingemar Bergman et Mats Löfgren. On retrouve aussi Ulf Wallander et Hasse Bruniusson de The Flower Kings. La musique dans les années 80 était en pleine mutation par rapport aux années 70, en particulier avec l'apparition d'un tout nouveau type de matériel, notamment des claviers et des synthétiseurs. Hans Lundin a suivi cette voie et son équipement musical était vraiment à jour au cours de ces années : Sur Tales, j'ai utilisé les synthétiseurs Yamaha CS-60 et Prophet 5 alors que, sur Visions of Circles of Sounds, j'avais remplacé le Prophet 5 par le nouveau Yamaha DX7, et j'ai également utilisé un piano à queue électrique Yamaha CP-70. Dès la fin des années 70, j'ai commencé à jouer à connecter mes synthétiseurs à une boîte à distorsion. J'ai développé ce système dans les années 80 et on l'entend beaucoup sur tous les albums de ce coffret. Coffret de 6 CD inclut Tales paru uniquement en vinyle en 1984, Visions of Circles of Sounds sorti uniquement en vinyle en 1985, Houses qui date de 1989, l'inédit The Veiled Seveneyed Dancer enregistré en 86/87, In Search of the Green Glass qui regroupe 12 morceaux inédits enregistrés entre 1980 et 1984, et enfin Okänt Öde qui rassemble des morceaux inédits enregistrés en groupe entre 1979 et 1984. Coffret 6 CD en édition limitée à 1000 exemplaires incluant un livret 24 pages.
Black Truffle a le plaisir d'annoncer la sortie de The Body's Night, du compositeur-interprète australien James Rushford. Connu notamment pour ses collaborations avec Oren Ambarchi, Crys Cole, Kassel Jaeger, Klaus Lang, Joe Talia et bien d'autres, cet album est son premier en solo depuis une décennie et le tout premier qu'il ait composé, interprété et enregistré entièrement seul. Enregistré principalement à Los Angeles en 2017, The Body's Night est une suite électroacoustique unique d'une durée de trente minutes, utilisant des enregistrements faits sur le terrain, des flûtes, de l'ocarina, des microphones, de l'orgue, des percussions, du piano, des cassettes, des synthétiseurs analogiques, un alto et du chant. Fidèle à son titre, le disque inaugure immédiatement un espace nocturne, intime et oppressant où le bruissement hyper-amplifié des vêtements et les marmonnements sont recouverts par un synthé anxieux, un bruit blanc flottant et, au loin, des tons suraigus en filigrane, quasi-inaudibles. Alors que l'influence de compositeurs contemporains comme Klaus Lang et Jakob Ullmann (que Rushford a beaucoup joué) se fait sentir dans l'attention prêtée par la musique à l'espace liminal entre les sons, Rushford puise également dans les explorations synthétiques des années 80 comme DDAA et les harmonies et les méthodes de production du black metal, établissant un lien entre ces influences au niveau de leur intérêt commun pour les atmosphères et le retrait volontaire de toute perspective. La structure épisodique de la pièce apporte un répit face à cette ambiance étouffante, où comme un plan déjà sombre qui le deviendrait de plus en plus, chaque séquence se retire de nos oreilles avant que nous ayons le sentiment de l'avoir bien saisie. Rushford utilise des techniques électro-acoustiques classiques et joue avec élégance sur l'ambiguïté fondamentale de la situation acousmatique, où l'on ne peut jamais être sûr de la source du son que l'on entend. Mais, plus qu'un simple hommage aux chefs-d'oeuvre de la musique concrète, l'album propose une musique toute personnelle, idiosyncrasique et provocante. Par sa production méticuleuse et ses explorations de timbre, tonalité et forme, The Body's Night est une oeuvre clé de l'un des jeunes compositeurs les plus singuliers de notre époque. Superbe pochette par O.B. De Alessi et design de Lasse Marhaug. Masterisé et gravé à 45 rpm pour une fidélité maximale par Rashad Becker chez D&M, Berlin.
Un album soft mais prenant (Coda), élégant mélange aux effluves jamaicaines (Le Monde), des compositions lancinantes (20 Minutes), sublime qualité de son et fluidité absolue (Reggae.fr), un dub qui se fond dans l'électroambient et se fait chamanique jusqu'à prendre la forme d'une envoûtante installation sonore (Télérama), Dubphonic étire ses rivages sensuels sous des astres bienveillants et bien leur en prend (Keyboards)... Telles sont quelques unes des critiques qui ont salué la sortie de SMOKE SIGNALS (Hammerbass / 2003), 1er album de ce trio parisien après un maxi cultissime enregistré pour le label américain Guidance. Entièrement instrumental, ce disque fera le bonheur des illustrateurs sonores et music supervisors, certains titres figurant aux génériques des prestigieuses séries américaines Six Feet Under (2è saison/ép.9) et Dexter(2è saison/ép.2). Une tournée en 1ère partie des fameux Japonais d'AUDIO ACTIVE et quelques concerts parisiens plus tard avec le crew HAMMERBASS / DUB ACTION, le groupe décide de retourner en studio pendant que leur remix d'Orozco (des autrichiens TOSCA sur G.STONE) fait le tour du monde et que plusieurs morceaux de l'album apparaissent sur de nombreuses compilations en France et à l'étranger. Si l'inspiration est là, Stefane Goldman (guitares), Alexis Mauri aka ALEXKID (programmation/réalisation) et Sylvain Mosca aka BEN (programmation) ne se satisfont pas du résultat et mettront 3 ans à réunir une dizaine de compositions qu'ils jugent digne d'être enregistrées pour un nouvel album. Ce seront les 10 titres de RELIGHT, 2è opus du groupe, qui sort à nouveau chez HAMMERBASS, label défenseur d'un dub fédérateur pour tous !Au cours de ce lent processus de création, 4 morceaux vont s'imposer comme des chansons pour l'interprétation desquelles le groupe va solliciter les chanteuses américaines LISET ALEA (entendue sur les albums 2 et 3 d'ALEXKID pour F-Comm.) et DANIELLA D'AMBROSIO (Nouvelle Vague et la voix d'Air France avec Aswefall), la chanteuse brésilienne CÈU (dont le nouvel album Varagosa est sur le point de sortir en Europe) ainsi que le chanteur MAU, co-fondateur du groupe anglais Earthling et collaborateur des français de 7dub. Si les membres originaux du groupe tiennent toujours la majorité des instruments et restent les principaux compositeurs du répertoire, ils se sont entourés de leur fidèle collaborateur DJ SEEP et de musiciens comme Jean-Philippe RYKIEL et Rodriguez Junior (ex Youngsters) au piano, Jérémie Poirier-Quinot à la flûte et Prince Zober aux percussions, enrichissant ainsi leur palette sonore sans pour autant renier l'essence cinématographique de leur musique particulièrement perceptible dans des titres comme Nora Sun ou le somptueux Outland qui clôt l'album. Au programme donc : rythmiques lancinantes, mélodies envoûtantes, et bien sûr grosses basses, le tout oscillant entre trip-hop majeur (on pense à Massive Attack ou Portishead...) et électro-dub original (Tosca, On U Sound, Dreadzone...). DUBPHONIC fait figure d'ovni et prouve une fois de plus que leurs productions sont parmi les plus novatrices de la scène électro française !! A l'occasion de la sortie de ce nouvel album, DUBPHONIC feat. DJ Seep seront le 28 nov. prochain sur la scène du Trabendo à Paris dans le cadre du TELERAMA DUB FESTIVAL.