Laurent Coulondre, la nouvelle sensation du piano hexagonal, rend hommage à l un des musiciens qui a le plus marqué son parcours de musicien et de jazzman : Michel Petrucciani. Pour être à la hauteur du 20ème anniversaire de la disparition de ce géant et de cette sublime harmonie intergénérationnelle voguant entre modernité et tradition que Michel Petrucciani promouvait, Laurent Coulondre s entoure de Jérémy Bruyère (basse et contrebasse) et d André Ceccarelli (batterie) pour faire revivre le répertoire du pianiste de légende, et nous montre s il en était besoin que le jazz est un langage qu il maîtrise de mains de maître. La nouvelle sensation du piano hexagonal --Radio france Au delà de ses qualités de virtuosité et musicalité, c est son sens du groove qui frappe d emblée et son attaque de la note fait mouche à chaque fois --Jazz magazine Laurent Coulondre mêle invention et séduction, brasse couleurs et sonorités avec jubilation et ne se laisse jamais dépasser par sa propre virtuosité --Jazz magazine
Jî Drû, flûtiste de caractère, sideman inspiré, chef de bande endiablé pour Push up! et Jî Mob, producteur et arrangeur, signe aujourd'hui un premier album sous son nom, raffiné, expressif et onirique : 'WESTERN'. Un jazz métissé, hybride à l'écoute de sonorités actuelles, du groove éternel et des transes suspendues. Pour ce projet, on retrouve les sons hypnotiques du piano d'Armel Dupas, la voix envoûtante de Sandra Nkaké, les rythmes inventifs de Mathieu Penot pour accompagner les volutes de flûtes et le chant de Jî Drû. Un jazz moderne et épuré, plein de poésie et de révolte, pour un quartet dont on n'a pas fini de parler. Western est un conte vibrant de ballades poétiques intimistes et rêveuses, de transes suspendues et de tempêtes rythmiques au groove hypnotique.. -- FIP. -- UN DISQUE ESSENTIEL, PLEIN DE POéSIE ET DE RéVOLTE. -- LES INROCKS. --
Les sessions enregistrées par Reinhardt et Grappelli à Rome en janvier et/ou février 1949 avec une rythmique italienne, constituent à la fois l'ultime témoignage sonore de leur rencontre (les deux hommes ne se retrouveront jamais plus ensemble devant un micro), et la toute dernière occasion d'entendre Django à la guitare acoustique dans un contexte orchestral. De sorte que ces faces peuvent apparaître simultanément comme un sommet (au faîte de leur maturité et de leur complicité, les deux artistes se sont rarement exprimés avec un tel brio et un tel abandon), aussi bien qu'un enregistrement de passage, à l'occasion d'un engagement de longue durée en club, en compagnie d'un trio (piano, contrebasse, batterie) qu'ils n'ont pas choisi. En somme, l'accomplissement côtoierait ici l'anecdote, les deux partenaires cultivant avant tout les plaisirs de l'instant - mais n'en est-il pas toujours un peu ainsi en jazz, pour notre plus grand bonheur?
L'histoire très particulière du chanteur/guitariste Jim Jones a connu plusieurs incarnations, de Thee Hypnotics à The Jim Jones Revue, en passant par Black Moses. 5 jours seulement après le concert d'adieux de The Jim Jones Revue à Londres, la nouvelle manifestation de sa vision musicale, Jim Jones & The Righteous Mind, était en studio pour enregistrer quelques morceaux qui allaient nous entraîner dans des eaux plus profondes, à la recherche de sons plus étranges. Si Jim Jones Revue tapait dans le Rock'N'Roll 50's à la Jerry Lee Lewis et Little Richard, les Righteous Mind font eux, un rock tout aussi crasseux et viril, mais qui a plus à voir avec ses compatriotes de Gallon Drunk, les Grinderman de Nick Cave ou les premiers méfaits de Jon Spencer et ses Blues Explosion. Après Boil Yer Blood EP, Aldecide EP et le dernier single en date, Till It's all gone, voilà le tant attendu 1er album, Super Natural. « Des guitares qui vous vrillent la colonne vertébrale et un piano digne des meilleurs bars de contrebande, le traitement - de choc - sera radical. Thrash punk, pub rock ou brièvement jazzy quand il n’invoque pas les Bad Seeds de Nick Cave, Super Natural brûle tout sur son passage, avec les éructations a la Tom Waits faussement chaotiques et plus graveleuses que jamais en guise de lance-flammes fatal. » Rolling Stone
à 72 ans, Ray Lema signe, sans conteste et sans concession, un de ses meilleurs albums. Transcendance est une mise à nu, une condensation des amours musicales, des expériences et influences qui ont traversé la vie de Ray Lema. Neuf pièces inédites interprétées avec brio par un sextet de musiciens hors pair dans l'authenticité et la chaleur d'un enregistrement studio en conditions de concert. Les mots de Ray Lema : Transcendance est l'envie de faire simplement de la musique sans souci des catégories et des étiquettes, d'aller au-delà des appellations, de transcender les genres et d'exprimer tout l'amour de la musique, des artistes, musiciens de tous bords que j'ai croisés sur mon chemin. J'ai l'amour d'une certaine sophistication rythmique rattachée à mes origines et quand je joue, tout mon être se livre à une danse interne et plonge dans les mystères de la transe. Transcender ses peurs, ses tabous et son ego et se livrer sans retenue à l'expérimentation de l'amour permet à l'humain de goûter sa liberté. Celui qui ne tombe pas amoureux ne sera jamais libre. Il ne se libérera jamais des attaches familiales, des codes de la société. C'est seulement le jour où l'on tombe amoureux que l'on part sans savoir où l'on va, sans savoir ce qui va nous arriver et que l'on ne se pose même plus la question. ---- Ray Lema. LA JUBILATION RAY LéMA - JAZZ NEWS. L'éNERGIE ET L'éLéGANCE - JAZZ MAGAZINE. RAY LEMA, LE CHANT DU PIANO. LE MONDE. PIANISTE-HUMANISTE, AVENTURE MUSICALE SINGULIèRE ET UNIQUE QUI NOUS EMBARQUE VERS DES PAYSAGES LUXURIANTS. FIP.