Après Feel Like A Scientist (2014) acclamé par la critique, Chrome est de retour pour asseoir un peu plus sa notoriété dans le monde du post-punk. Après plus de 40 ans d’existence et d’innombrable changement de line-up, Chrome n’a rien perdu de sa superbe et revient avec un album rempli de rythmes irrésistibles et de riffs métalliques comme au temps de leur période Red Exposure. Une manière de rappeler qu’ils n’ont pas volé leur titre de ‘visionnaires’ du post-punk et l'influence considérable qu'ils ont eu sur la carrière de groupes tels que Nine Inch Nails ou Stereolab. Le packaging bénéficie d’une impression sur papier argenté.
Après Feel Like A Scientist (2014) acclamé par la critique, Chrome est de retour pour asseoir un peu plus sa notoriété dans le monde du post-punk. Après plus de 40 ans d’existence et d’innombrable changement de line-up, Chrome n’a rien perdu de sa superbe et revient avec un album rempli de rythmes irrésistibles et de riffs métalliques comme au temps de leur période Red Exposure. Une manière de rappeler qu’ils n’ont pas volé leur titre de ‘visionnaires’ du post-punk et l'influence considérable qu'ils ont eu sur la carrière de groupes tels que Nine Inch Nails ou Stereolab. Le packaging bénéficie d’une impression sur papier argenté.
LE COMBO DE TOURS REVIENT AVEC UN 2ÈME ALBUM ENTRE GARAGE ET POP LUMINEUSE Marquer vite et fort. Voilà ce qu’avait réussi Volage avec Heart Healing, leur premier album paru en 2014. Avec des compositions constamment à contre-pied, portées par ces guitares qui cisèlent les tympans et ces voix sans cesse doublées, Volage s’aventurait loin des clichés du groupe de garage classique. Et puis, les tourangeaux ont pris leur temps. De Coffee Dreamer, EP acoustique à l’allure d’introspection sorti en 2016, aux différentes participations dans des projets annexes - Marietta, ANNA -, les quatre membres ont expérimenté, allant jusqu’à questionner l’identité même du groupe. Le résultat ? Sittin’ Sideways : huit titres et presque autant de réflexions, le tout servi par une production maison méticuleuse. Avec Sittin’ Sideways, Volage s’épanouit encore une fois et fait sien l’adage « jamais dans la tendance mais toujours dans la bonne direction ». Photo de la pochette parMartin Parr, Magnum Photos.
LE COMBO DE TOURS REVIENT AVEC UN 2ÈME ALBUM ENTRE GARAGE ET POP LUMINEUSE Marquer vite et fort. Voilà ce qu’avait réussi Volage avec Heart Healing, leur premier album paru en 2014. Avec des compositions constamment à contre-pied, portées par ces guitares qui cisèlent les tympans et ces voix sans cesse doublées, Volage s’aventurait loin des clichés du groupe de garage classique. Et puis, les tourangeaux ont pris leur temps. De Coffee Dreamer, EP acoustique à l’allure d’introspection sorti en 2016, aux différentes participations dans des projets annexes - Marietta, ANNA -, les quatre membres ont expérimenté, allant jusqu’à questionner l’identité même du groupe. Le résultat ? Sittin’ Sideways : huit titres et presque autant de réflexions, le tout servi par une production maison méticuleuse. Avec Sittin’ Sideways, Volage s’épanouit encore une fois et fait sien l’adage « jamais dans la tendance mais toujours dans la bonne direction ». Photo de la pochette parMartin Parr, Magnum Photos.
Black Truffle est ravi de présenter Reservoir 1 : Preservation, le magnifique nouvel album de la compositrice/percussionniste américaine Sarah Hennies. Le travail de Sarah explore une variété de questions musicales, sociopolitiques et psychologiques, y compris l'identité queer & trans, l'amour, l'intimité, la psychoacoustique et la percussion. Les Reservoirs sont une série de trois pièces d'une heure inspirées de la relation entre le conscient et l'inconscient humain. Jung et Freud ont décrit l'inconscient comme un réservoir, un dépôt de souvenirs auxquels nous n'avons pas facilement accès, mais que nous gardons à jamais quelque part dans notre esprit. Plus précisément, Freud croyait que l'une des fonctions de l'inconscient est de stocker des souvenirs traumatisants, archivés pour que nous n'ayons pas à les affronter tous les jours. L'esprit conscient n'a pas d'accès direct à l'inconscient, pourtant l'inconscient est une présence constante et mystérieuse dans nos vies. Reservoir 1 : Preservation est une composition pour piano et trois percussionnistes, interprétée par Philip Bush et Meridian, expérimentateurs de longue date en percussion, improvisation et relations interpersonnelles qui inclut Tim Feeney, Sarah Hennies et Greg Stuart. Sur Preservation, le piano fonctionne comme un murmure constant, omniprésent, mais presque subliminal, au milieu des percussions qui parcourent une variété de timbres et de gestes, y compris des bourdonnements doux, des grattages frénétiques et des briques violemment lâchées dans des seaux métalliques. Le groupe de percussions n'interagit jamais avec le piano et n'y répond jamais, alors que le piano absorbe subtilement les aspects du trio. Preservation a été enregistré, mixé et masterisé par Jeff Francis à l'Université de South Carolina et est interprété par Meridian : Tim Feeney, Sarah Hennies, Greg Stuart (percussion) et Phillip Bush (piano). Sortie en CD digipak avec le design de Lasse Marhaug. Photo de couverture extrait de la série de photos d'Abby Grace Drake, Shopping Carts of Southside Ithaca.
La recherche du plaisir et l'évitement de la douleur comme une métaphore de la rave music correspond bien à celle de Sam Barker. Le résident du club berlinois Berghain et fondateur de Leisure System a passé les dernières années à explorer le potentiel euphorique de la modification de variables clés dans les formules de la dance music. C'était particulièrement vrai pour son premier EP Debiasing chez Ostgut Ton en 2018, qui était plein d'accords rythmiques inattendus, de mélodies et de percussions mais dépourvus de kickdrums. Ce qui semblait être un exercice expérimental sur papier était en réalité taillés pour les clubs : des morceaux qui fonctionnaient sur le dancefloor mais résistaient aux catégories si facilement définissables lorsque l'on utilise un kick. Petit à petit, cette particularité a défini le son de Barker. Aujourd'hui, dans son premier album solo Utility, Barker se concentre sur la fusion de l'expérimentation et du pragmatisme de la piste de danse avec la psychologie qui sous-tend le processus de prise de décision musicale. Utility est donc une approche musicale ludique, mais sans ironie, de tout un éventail d'idées utilitaristes et transhumanistes : des modèles pour quantifier le plaisir à l'abolition de la souffrance pour les êtres sensibles (pas seulement les humains) par l'utilisation éthique des drogues et des nanotechnologies. Sur neuf titres, la vision de Barker fluctue à travers des vagues de vignettes musicales profondément psychédéliques; des mélodies et des rythmes flottants et futuristes comme stimulation cérébrale ciblée. Le son s'appuie fortement sur une synthèse modulaire, ainsi que sur des instruments mécaniques et des réverbérations douces fabriqués par l'artiste pour créer des atmosphères à la fois étrangères et émotionnellement reconnaissables, fonctionnelles et utopiques. Utility n'est en aucun cas un album concept. Au lieu de cela, c'est une vision honnête de la musique comme moyen de maximiser le plaisir et d'accroître sa conscience.
La recherche du plaisir et l'évitement de la douleur comme une métaphore de la rave music correspond bien à celle de Sam Barker. Le résident du club berlinois Berghain et fondateur de Leisure System a passé les dernières années à explorer le potentiel euphorique de la modification de variables clés dans les formules de la dance music. C'était particulièrement vrai pour son premier EP Debiasing chez Ostgut Ton en 2018, qui était plein d'accords rythmiques inattendus, de mélodies et de percussions mais dépourvus de kickdrums. Ce qui semblait être un exercice expérimental sur papier était en réalité taillés pour les clubs : des morceaux qui fonctionnaient sur le dancefloor mais résistaient aux catégories si facilement définissables lorsque l'on utilise un kick. Petit à petit, cette particularité a défini le son de Barker. Aujourd'hui, dans son premier album solo Utility, Barker se concentre sur la fusion de l'expérimentation et du pragmatisme de la piste de danse avec la psychologie qui sous-tend le processus de prise de décision musicale. Utility est donc une approche musicale ludique, mais sans ironie, de tout un éventail d'idées utilitaristes et transhumanistes : des modèles pour quantifier le plaisir à l'abolition de la souffrance pour les êtres sensibles (pas seulement les humains) par l'utilisation éthique des drogues et des nanotechnologies. Sur neuf titres, la vision de Barker fluctue à travers des vagues de vignettes musicales profondément psychédéliques; des mélodies et des rythmes flottants et futuristes comme stimulation cérébrale ciblée. Le son s'appuie fortement sur une synthèse modulaire, ainsi que sur des instruments mécaniques et des réverbérations douces fabriqués par l'artiste pour créer des atmosphères à la fois étrangères et émotionnellement reconnaissables, fonctionnelles et utopiques. Utility n'est en aucun cas un album concept. Au lieu de cela, c'est une vision honnête de la musique comme moyen de maximiser le plaisir et d'accroître sa conscience.