APRÈS UN PREMIER DISQUE, CERTIFIÉ OR, TOUT EN HAUT, LE NOUVEL ALBUM D'ELSA ESNOULT ! Un tout nouvel album avec 12 nouveaux titres imparables. La plupart de ces titres ont d'ailleurs ete composés par Elsa elle-même... Un disque qui rassemble tous les ingrédients pour l'emmener « tout en haut » !
Grande nouvelle pour les fans de Car Seat Headrest : ‘Twin Fantasy’, le chef d’oeuvre de Will Toledo sorti en 2011 sur Bandcamp s’offre une seconde vie, réimaginé et réenregistré. Toledo a toujours vu ‘Twin Fantasy’ comme une oeuvre inachevée. Ses grandes ambitions s’étaient toujours heurtées à des limites techniques : à dix-neuf ans sur un ordinateur bon marché, il racontait son premier amour, chantait les émotions viscérales d’un adolescent avec sa bouteille de gin, ses tibias couverts de bleus, ses premiers ébats. Toutefois, la maladresse et la distorsion sonore n’importent que peu pour des légions de fans qui glorifient cet album. On entend - et on ressent - très bien ce que Will confie : ses espoirs et ses peines, ses folies et ses secrets. 'Twin Fantasy' n’est pas un monologue, c'est une discussion. Et c’est là la plus grande force de Will Toledo en tant que songwriter : en chantant sa propre histoire il raconte aussi toujours quelque chose de la vôtre. Aujourd’hui, il a plus de moyens, un groupe pour l’accompagner, et tout le temps du monde pour peaufiner ce disque emblématique. Et le résultat n’est pas la seconde prise superficielle, aseptisée en studio et lavée de sa force émotionnelle, au contraire. C’est l’album qu’il a toujours voulu faire. Le son qu'il a toujours voulu produire. L'histoire qu'il a toujours voulu écrire. Alors maintenant, à nous de l’écouter !
Certains concerts sont tout simplement monumentaux, ils feront à tout jamais partie du folklore du rock. Quand Gary Moore est monté sur la scène de l'Islington Academy à Londres, le 2 décembre 2009, c'était un véritable instant unique. Le public trié sur le volet a eu la chance de voir l'un des plus grands noms du blues rock dans un club intime. Ce soir-là, personne ne se doutait que ce serait pour l'une de ses toutes dernières prestations ! Aussi lorsque Moore passera l'arme à gauche, quelques 14 mois plus tard, à seulement 58 ans, ce show prendra d'autant plus d'ampleur et restera à jamais dans les mémoires. Maintenant avec le recul, une décennie plus tard, la sortie de ce Live fait revivre la magie de ce concert d'exception et va remettre sous les feux de la rampe tout le talent du formidable musicien irlandais, disparu beaucoup trop tôt !
Il y a un avant et un après M.I.A.. En 2005, la jeune sri lankaise renversait le monde avec un certain « Arular », premier album encensé par la critique. Aujourd’hui « Kala » marque une nouvelle étape dans son processus artistique. Plus mûre, plus sûre d’elle, M.I.A. a voyagé ces deux dernières années à travers le monde, multipliant les sources d’inspiration tout en conservant cette patte personnelle si brute dont elle a le secret. Le résultat est tout bonnement séduisant. De « Bamboo Banga » à « Come Around », l’ensemble fait preuve d’une rare homogénéité où l’audace des productions et la maîtrise de l’écriture procurent un hochement de tête irrésistible. Openmag
Oscar Powell est un producteur anglais mais avant tout le fondateur du label de techno Diagonal qui a récemment soufflé ses cinq bougies. Signé sur le label XL depuis 2015, Powell est considéré pour beaucoup comme l’étoile montante de la musique électronique depuis ses débuts en 2011. Il sort enfin son premier album intitulé Sport qu’il ne considère ni comme un album techno ou de dance, encore moins de ‘no-wave techno’, mais tout simplement comme le résultat de la bande-son de ce qui lui passait par la tête. Powell explique un peu mieux le concept du disque : Il s'appelle Sport parce que je voulais qu'il soit fun. Comme le sport, la musique est physique, on peut la danser. Et je voulais embarquer le cerveau des gens dans ce voyage avec moi.. Embarquement immédiat !
Oscar Powell est un producteur anglais mais avant tout le fondateur du label de techno Diagonal qui a récemment soufflé ses cinq bougies. Signé sur le label XL depuis 2015, Powell est considéré pour beaucoup comme l’étoile montante de la musique électronique depuis ses débuts en 2011. Il sort enfin son premier album intitulé Sport qu’il ne considère ni comme un album techno ou de dance, encore moins de ‘no-wave techno’, mais tout simplement comme le résultat de la bande-son de ce qui lui passait par la tête. Powell explique un peu mieux le concept du disque : Il s'appelle Sport parce que je voulais qu'il soit fun. Comme le sport, la musique est physique, on peut la danser. Et je voulais embarquer le cerveau des gens dans ce voyage avec moi.. Embarquement immédiat !
L'événement guitare de l'année : le retour d'Eric Johnson !!! Rares sont les musiciens à posséder une véritable personnalité qui les rend incomparables avec les autres. Originaire d'Austin, Texas, le guitariste Eric Johnson fait parti de ceux-là. Oubliez tout ce que vous avez écouté jusqu'à présent, Eric Johnson n'est pas de ceux que l'on range dans une case, il est tout simplement lui-même. Cela suffit amplement pour émerveiller l'auditeur et l'emmener dans un monde à part... « Another Look », le nouvel album studio d'Eric Johnson, en est encore une preuve flagrante ! Pas question ici de style et encore moins d'étiquette, il ne s'agit que de Musique à l'état pure, où la virtuosité n'est même pas d'actualité tant elle paraît naturelle... Un artiste rare, un guitariste exceptionnel au service de magnifiques compositions... A ne rater sous aucun prétexte en concert comme sur disque.
Si vous êtes un amateur de « Mixed Martial Arts » (MMA), ce sport, autrefois appelé « free-fight », qui mélange boxe, kickboxing, karaté, muay-Thaï, sambo, judo et jiu-jitsu, vous avez peut-être déjà entendu parler de Kris Barras... En effet, pendant près de 10 ans, entre Las Vegas et la Thailande, il a combattu en « catégorie pro » de cette discipline, comptabilisant un le score de 14 victoires, 2 défaites et un nul. Désormais à la retraite, il continue tout de même entraîner des combattants dans son gymnase du Devon, d’enseigner la guitare et, surtout, de jouer avec son groupe : The Kris Barras Band. Outre Kris au chant et à la guitare, cette formation de blues rock se compose de Josiah J Manning (claviers), Elliott Blackler (basse) et Will Beavis (batterie) Ensemble, depuis quelques années ils écument les scènes européennes et ont sorti un premier album « Lucky 13 » en 2016. Depuis Kris Barras a tout de même été élu 13ème des 17 meilleurs guitaristes de blues de l'année 2017, élus par les lecteurs du site Music Radar et du magazine Total Guitar, deux références incontournables en matière de six cordes. Récemment signé par Mascot Label Group, le Kris Barras Band s’apprête à sortir son nouvel album le 23 mars prochain et est prêt à tout pour le défendre sur scène et non pas sur un ring, pour le plus grand bien de nos oreilles...
C'est désormais une tradition, avec l'arrivée des beaux jours revient le Buddha-Bar Beach. Cette année, le petit label parisien vous emmène à la découverte DU spot estival ou tout a commencé, le mythique Saint-Tropez. La Buddha-Bar Beach St Tropez, troisième opus de la collection, prend des accents résolument néo-disco, parsemé de deep et d'electro, et vous promet de passer un été gorgé de soleil musical, aux mélodies modernes signées Buddha-Bar. Alors appelez tous vos amis, branchez vos enceintes et fêtez l'été qui ne finit jamais détendez-vous le Buddha-Bar s'occupe de tout ! Une sélection musicale toujours plus fraiche et branchée, concoctée avec passion et minutie au sein du label en association avec Radio FG. Du titre décalé qui sent bon le sable le chaud au hit electro, en passant par le petit son idéal pour s'étaler au bord de l'eau, ce nouvel opus est l'accessoire indispensable d'un été réussi!
6e album du groupe. Des petites ritournelles, des magies d' arrangements, transformer des petites histoires banales en nouvelles extravagantes : tout ce que l' on aime chez Belle and Sebastian est là!
6e album du groupe. Des petites ritournelles, des magies d' arrangements, transformer des petites histoires banales en nouvelles extravagantes : tout ce que l' on aime chez Belle and Sebastian est là!
Un amalgame unique de styles par l'un des plus grands espoirs de la guitare Eric Gales a grandi dans une famille de musiciens aussi c'est tout naturellement qu'il enregistre son premier album à l'âge de 16 ans pour Elektra !
ARJEN LUCASSEN NOUS OFFRE LE NOUVEAU CHAPITRE DE LA SAGA AYREON Avec The Source, Arjen Lucassen apporte un nouveau chapitre à son impressionnant travail sous le nom d’Ayreon pour lequel il avait déjà posé les fondations au milieu des années 90. The Source offre une nouvelle fois tout ce qui lui a permis de conquérir des fans dévoués partout dans le Monde : un impressionnant casting de chanteurs et de musiciens, des morceaux enchanteurs, un son ambitieux et une histoire captivante. Le statut international d’Ayreon est tel qu’Arjen Lucassen a pu écrire ses personnages en ayant déjà en têtes des chanteurs de rock parmi les plus respectés : James LaBrie (Dream Theater), Tommy Giles Rogers (Between the Buried and Me), Simone Simons (Epica), Mike Mills (Toehider), Floor Jansen (Nightwish), Hansi Kürsch (Blind Guardian), Michael Eriksen (Circus Maximus), Tobias Sammet (Edguy, Avantasia), Nils K. Rue (Pagan's Mind), Zaher Zorgati (Myrath), Tommy Karevik (Kamelot) et Russell Allen (Symphony X). Quant à la contribution musicale, elle est l’oeuvre des guitaristes Paul Gilbert (Mr. Big), Guthrie Govan (The Aristocrats, Asia, Steven Wilson), Marcel Coenen et du clavier Mark Kelly (Marillion). Comme sur tous les albums précédents, Arjen Lucassen a joué toute une variété d’instruments alors que l’extraordinaire batteur Ed Warby (Elegy, Gorefest, Hail Of Bullets) a apporté une fois de plus d’énormes performances à un album d’Ayreon. L’histoire de The Source est initialement basée sur Alpha, une planète qui a dû faire face à une crise fatle, il y a six milliards d’années. Des catastrophes aussi bien écologiques que politiques menacent toute vie humaine. Avec l’aide d’un ordinateur central, The Frame, la population tente de changer le cours des choses. L’intelligence des ordinateurs a alors largement supplanté celle de l’homme. Les ordinateurs arrivent à la conclusion que le plus gros problème c’est leurs créateurs. The Frame tente de sauver la planète mais veut en même temps exterminer l’humanité. Ce qui ne laisse aux habitants d’Alpha, que l’option de tenter de fuir ce terrible destin. Ce, au prix fort ! The Source est un titre qui offre plusieurs interprétations. C’est une référence à l’eau et donc à la planète eau où ceux qui ont échappé d’Alpha trouvent un nouveau refuge après un long voyage harassant. La Source fait également référence aux origines de l’humanité. D’où venons-nous ? C’est également une allusion à toute la saga d’Ayreon et à la place de cette pièce au sein de cette dernière. The Source peut en effet être considéré comme le prélude de toute cette saga.
ARJEN LUCASSEN NOUS OFFRE LE NOUVEAU CHAPITRE DE LA SAGA AYREON Avec The Source, Arjen Lucassen apporte un nouveau chapitre à son impressionnant travail sous le nom d’Ayreon pour lequel il avait déjà posé les fondations au milieu des années 90. The Source offre une nouvelle fois tout ce qui lui a permis de conquérir des fans dévoués partout dans le Monde : un impressionnant casting de chanteurs et de musiciens, des morceaux enchanteurs, un son ambitieux et une histoire captivante. Le statut international d’Ayreon est tel qu’Arjen Lucassen a pu écrire ses personnages en ayant déjà en têtes des chanteurs de rock parmi les plus respectés : James LaBrie (Dream Theater), Tommy Giles Rogers (Between the Buried and Me), Simone Simons (Epica), Mike Mills (Toehider), Floor Jansen (Nightwish), Hansi Kürsch (Blind Guardian), Michael Eriksen (Circus Maximus), Tobias Sammet (Edguy, Avantasia), Nils K. Rue (Pagan's Mind), Zaher Zorgati (Myrath), Tommy Karevik (Kamelot) et Russell Allen (Symphony X). Quant à la contribution musicale, elle est l’oeuvre des guitaristes Paul Gilbert (Mr. Big), Guthrie Govan (The Aristocrats, Asia, Steven Wilson), Marcel Coenen et du clavier Mark Kelly (Marillion). Comme sur tous les albums précédents, Arjen Lucassen a joué toute une variété d’instruments alors que l’extraordinaire batteur Ed Warby (Elegy, Gorefest, Hail Of Bullets) a apporté une fois de plus d’énormes performances à un album d’Ayreon. L’histoire de The Source est initialement basée sur Alpha, une planète qui a dû faire face à une crise fatle, il y a six milliards d’années. Des catastrophes aussi bien écologiques que politiques menacent toute vie humaine. Avec l’aide d’un ordinateur central, The Frame, la population tente de changer le cours des choses. L’intelligence des ordinateurs a alors largement supplanté celle de l’homme. Les ordinateurs arrivent à la conclusion que le plus gros problème c’est leurs créateurs. The Frame tente de sauver la planète mais veut en même temps exterminer l’humanité. Ce qui ne laisse aux habitants d’Alpha, que l’option de tenter de fuir ce terrible destin. Ce, au prix fort ! The Source est un titre qui offre plusieurs interprétations. C’est une référence à l’eau et donc à la planète eau où ceux qui ont échappé d’Alpha trouvent un nouveau refuge après un long voyage harassant. La Source fait également référence aux origines de l’humanité. D’où venons-nous ? C’est également une allusion à toute la saga d’Ayreon et à la place de cette pièce au sein de cette dernière. The Source peut en effet être considéré comme le prélude de toute cette saga.
ARJEN LUCASSEN NOUS OFFRE LE NOUVEAU CHAPITRE DE LA SAGA AYREON Avec The Source, Arjen Lucassen apporte un nouveau chapitre à son impressionnant travail sous le nom d’Ayreon pour lequel il avait déjà posé les fondations au milieu des années 90. The Source offre une nouvelle fois tout ce qui lui a permis de conquérir des fans dévoués partout dans le Monde : un impressionnant casting de chanteurs et de musiciens, des morceaux enchanteurs, un son ambitieux et une histoire captivante. Le statut international d’Ayreon est tel qu’Arjen Lucassen a pu écrire ses personnages en ayant déjà en têtes des chanteurs de rock parmi les plus respectés : James LaBrie (Dream Theater), Tommy Giles Rogers (Between the Buried and Me), Simone Simons (Epica), Mike Mills (Toehider), Floor Jansen (Nightwish), Hansi Kürsch (Blind Guardian), Michael Eriksen (Circus Maximus), Tobias Sammet (Edguy, Avantasia), Nils K. Rue (Pagan's Mind), Zaher Zorgati (Myrath), Tommy Karevik (Kamelot) et Russell Allen (Symphony X). Quant à la contribution musicale, elle est l’oeuvre des guitaristes Paul Gilbert (Mr. Big), Guthrie Govan (The Aristocrats, Asia, Steven Wilson), Marcel Coenen et du clavier Mark Kelly (Marillion). Comme sur tous les albums précédents, Arjen Lucassen a joué toute une variété d’instruments alors que l’extraordinaire batteur Ed Warby (Elegy, Gorefest, Hail Of Bullets) a apporté une fois de plus d’énormes performances à un album d’Ayreon. L’histoire de The Source est initialement basée sur Alpha, une planète qui a dû faire face à une crise fatle, il y a six milliards d’années. Des catastrophes aussi bien écologiques que politiques menacent toute vie humaine. Avec l’aide d’un ordinateur central, The Frame, la population tente de changer le cours des choses. L’intelligence des ordinateurs a alors largement supplanté celle de l’homme. Les ordinateurs arrivent à la conclusion que le plus gros problème c’est leurs créateurs. The Frame tente de sauver la planète mais veut en même temps exterminer l’humanité. Ce qui ne laisse aux habitants d’Alpha, que l’option de tenter de fuir ce terrible destin. Ce, au prix fort ! The Source est un titre qui offre plusieurs interprétations. C’est une référence à l’eau et donc à la planète eau où ceux qui ont échappé d’Alpha trouvent un nouveau refuge après un long voyage harassant. La Source fait également référence aux origines de l’humanité. D’où venons-nous ? C’est également une allusion à toute la saga d’Ayreon et à la place de cette pièce au sein de cette dernière. The Source peut en effet être considéré comme le prélude de toute cette saga.
Plus de trois ans qu'on était sans nouvelles discographiques d'Alpha Blondy. Certes, celui qui a mis la Côte d'Ivoire sur la carte du reggae en prouvant que ce rythme n'était pas réservé à la Jamaïque continuait à parcourir le globe avec son groupe Solar System. Mais Jah Victory, sorti en octobre 2007, était son album le plus récent. Autant le dire tout de suite : Vision justifie cette longue attente, au-delà de toutes les espérances. D'abord parce que les treize titres qui le composent sont du pur Blondy comme on l'aime, engagé et peaufiné avec amour, mais aussi parce qu'il met en avant la langue française et le dioula, tout en proposant une large palette de sons. Alpha Blondy n'a plus rien à prouver, pourtant il continue à nous épater. Je suis mon chemin, je m'applique dans mon travail. Le reggae africain c'est mon bébé, je continue à en être la locomotive sans me soucier des épithètes. Vision, c'est le crossover, avec les trois dimensions du reggae : c'est roots, c'est rock et c'est reggae. Le reflet de ma culture musicale.
La douceur folk acoustique de PicaPica est de retour avec Together & Apart. Ce nouvel album voit Josienne Clarke, Samantha Whates, Adam Beattie (guitare, piano) et Sonny Johns (batterie) entrer en harmonie et décortiquer les relations humaines et amoureuses tout en poésie.
La douceur folk acoustique de PicaPica est de retour avec Together & Apart. Ce nouvel album voit Josienne Clarke, Samantha Whates, Adam Beattie (guitare, piano) et Sonny Johns (batterie) entrer en harmonie et décortiquer les relations humaines et amoureuses tout en poésie.
LA NOUVELLE PEPITE DU GUITARISTE DE SYMPHONY X Tête pensante et guitariste de Symphony X, Michael Romeo nous propose aujourd'hui sur la division Music Theories Recordings du label Mascot, son tout nouveau projet solo. Cet album percutant s'appuie une parfaite alchimie entre metal, rock, prog et éléments symphoniques. Romeo nous livre sa vision du célèbre romand'HG WELLS tout en rendant hommage aux compositeurs Bernard Hermann et John Williams. La production est de très haute volée et est servie par un line-up de premier ordre pour accompagner le prodigieux guitariste Michael Romeo : à la basse on trouve ainsi John JD DeServio (Black Label Society), à la batterie c'est l'expérimenté John Macaluso (Yngwie Malmsteen, Ark, James LaBrie) et au chant on découvre le prometteur Rick Castellano. Aussi laissez-vous embarquer pour un voyage sonique en première classe : de Fear of the Unknown, aux accents de science-fiction en passant par l'implacable Black à l'hybride électro-métal F*cking Robots, ce disque va ravir tous les fans du célèbre combo italien.
LA NOUVELLE PEPITE DU GUITARISTE DE SYMPHONY X Tête pensante et guitariste de Symphony X, Michael Romeo nous propose aujourd'hui sur la division Music Theories Recordings du label Mascot, son tout nouveau projet solo. Cet album percutant s'appuie une parfaite alchimie entre metal, rock, prog et éléments symphoniques. Romeo nous livre sa vision du célèbre romand'HG WELLS tout en rendant hommage aux compositeurs Bernard Hermann et John Williams. La production est de très haute volée et est servie par un line-up de premier ordre pour accompagner le prodigieux guitariste Michael Romeo : à la basse on trouve ainsi John JD DeServio (Black Label Society), à la batterie c'est l'expérimenté John Macaluso (Yngwie Malmsteen, Ark, James LaBrie) et au chant on découvre le prometteur Rick Castellano. Aussi laissez-vous embarquer pour un voyage sonique en première classe : de Fear of the Unknown, aux accents de science-fiction en passant par l'implacable Black à l'hybride électro-métal F*cking Robots, ce disque va ravir tous les fans du célèbre combo italien.
«Sa présence comme sa gestuelle nous rappellent étrangement Bashung, alors que sa musicalité serait plus proche de celle de Daho. Ses mots, choisis et fins, portés par une voix d'une douceur surprenante, nous emmène loin le long des notes de son clavier. On est tout près du moment de grâce.»
«Sa présence comme sa gestuelle nous rappellent étrangement Bashung, alors que sa musicalité serait plus proche de celle de Daho. Ses mots, choisis et fins, portés par une voix d'une douceur surprenante, nous emmène loin le long des notes de son clavier. On est tout près du moment de grâce.»
Lady and Gentlemen, Merrill is performing.... C’est ainsi que Merrill Garbus, tête pensante de Tune-Yards, nous ouvre les frontières de son nouveau pays avec le morceau My Country. Un pays coloré et métissé qui s’intitule bizarrement Whokill. En 2009, avec Bird-Brains, Merill avait surpri tout le monde avec son freak folk décoiffant et dégingandé. Alors que les morceaux étaient malheureusement mal servis par une production un peu trop lo-fi, Whokill gagne en ampleur grâce à un son plus propre et une maturité plus souveraine. La folie est toujours présente et comblera toutes les oreilles avides de sonorités aventureuses. Véritable miroir de l’excentricité de Merrill Garbus, les compositions passent allègrement d’une rythmique tribale et éruptive (My Country, Doorstep) à une ballade folk bricolée (Powa, Wooly Wolly Gong), en passant par des chemins de traverses incontrôlables comme Gangsta ou avec l’africanisme de Bizness. A la fois plus présentable dans la production et plus audacieux dans l’écriture, Whokill permet à Tune-Yards de passer haut la main le difficile cap du deuxième album tout en permettant à Tune-Yards de devenir en quelque sorte le chantre d’une diversité musicale intelligente.
« Tu sais, j’ai peur de rien, à part du vide, qu’il anime mes lendemains ». Non, Malik Djoudi n’a peur de rien et son premier album vient combler un vide dans le paysage français. Un romantisme de dandy pas trop sûr de lui, qui convoque Christophe, Sébastien Tellier et William Sheller, une voix qui flotte dans les airs tout près de Connan Mockasin, une sourde intensité mélodique qui trouble à la manière de Blonde Redhead, une intimité dont James Blake a retrouvé le secret... Et des mots en français qu’il manie avec grâce et candeur, sur une trame électro pop toute aussi épurée. Ni vraiment musique de club, ni simplement variété française, Malik Djoudi trace une chanson électronique qui réconcilie pop synthétique des années 80 et histoires d’opérations à coeur ouvert. À travers les huit chansons de « UN », Malik Djoudi réalise une entrée sidérante dans le club de la pop tricolore, imposant une touche française qui n’appartient qu’à lui : élégante et vibrante, impressionnante et fragile. Moderne dans sa conception, fidèle aux instrumentations classiques, la pop charnelle de Malik Djoudi fait pleurer les machines en parlant de nos vies et de nos doutes, tout en rêvant d’Amérique et de grand amour. Les paradis perdus existent et n’ont rien d’artificiel. Malik Djoudi les a trouvés avec amour et sans violence, car il n’a peur de rien. À lui les beaux lendemains.
« Tu sais, j’ai peur de rien, à part du vide, qu’il anime mes lendemains ». Non, Malik Djoudi n’a peur de rien et son premier album vient combler un vide dans le paysage français. Un romantisme de dandy pas trop sûr de lui, qui convoque Christophe, Sébastien Tellier et William Sheller, une voix qui flotte dans les airs tout près de Connan Mockasin, une sourde intensité mélodique qui trouble à la manière de Blonde Redhead, une intimité dont James Blake a retrouvé le secret... Et des mots en français qu’il manie avec grâce et candeur, sur une trame électro pop toute aussi épurée. Ni vraiment musique de club, ni simplement variété française, Malik Djoudi trace une chanson électronique qui réconcilie pop synthétique des années 80 et histoires d’opérations à coeur ouvert. À travers les huit chansons de « UN », Malik Djoudi réalise une entrée sidérante dans le club de la pop tricolore, imposant une touche française qui n’appartient qu’à lui : élégante et vibrante, impressionnante et fragile. Moderne dans sa conception, fidèle aux instrumentations classiques, la pop charnelle de Malik Djoudi fait pleurer les machines en parlant de nos vies et de nos doutes, tout en rêvant d’Amérique et de grand amour. Les paradis perdus existent et n’ont rien d’artificiel. Malik Djoudi les a trouvés avec amour et sans violence, car il n’a peur de rien. À lui les beaux lendemains.
Nouvel album sublime et étonnant du groupe culte islandais qui se régénère en ajoutant un son plus aggressif et des compositions plus directes à la beauté éthérée de sa musique ! Le groupe islandais créé à Reykjavík en 1994 fait partie, après 6 albums vendus à plus de 2 millions d’exemplaires et de multiples tournées mondiales, de la cour des grands. Cet incroyable succès est presqu’un heureux accident tant la singularité et l’intransigeance du groupe détonnent dans le milieu du rock. Sa musique, entre post et prog rock est bâtie autours du chant falsetto de Jonsì (dont les paroles sont chantées en un mélange d’islandais et de langage inventé) et d’instrumentations épiques utilisant notamment des guitares électriques jouées à l’archer, des cordes et autres emprunts au classique ou à la musique expérimentale. Après ‘Von’ en 1998, le groupe arrive sur le devant de la scène avec ‘Ágætis Byrjun’ en 1999. Thom Yorke adore le disque qu’il découvre par hasard et invite le groupe à faire la première partie de la tournée mondiale Kid A en 2000. En 2001, le réalisateur Cameron Crowe utilise 3 titres de l’album dans son film Vanilla Sky. Entre temps, l’album devient culte, est distribué en Europe et aux USA et remporte un succès international. Après l’album () en 2002, plus sombre et expérimental et un projet d’art moderne en commun avec Radiohead en 2003, le groupe sort ‘Takk...’ en 2005 qui connaît un succès international retentissant avec plus d’un million de ventes à ce jour. ‘Með suð í eyrum við spilum endalaust’ en 2008 et ‘Valtari’ en 2012 complètent sa discographie. Fin mars 2013, Sigur Rós surprend tout son monde avec l’annonce de la sortie de ’Kveikur’ mais surtout avec la publication de son premier single ‘Brennisteinn’ à l’intro brute de décoffrage, beaucoup plus rock et tranchant que par le passé. Ce nouveau son sied à merveille à l’univers du groupe, toujours épique et cinématographique, et rend cet album tout simplement enthousiasmant. Kveikur est sans conteste le meilleur album du groupe depuis Takk... et chaque titre qui le compose est une merveille de clair-obscur, comme les lumineux et catchy ‘Isjaki’ et ‘Rafstraumur’ ou le ténébreux ‘Kveikur’ qui donne son nom à l’album. Ce savant équilibre confère à cet album une classe incroyable et Sigur Rós semble régénéré à l’aube de ses vingts ans d’existence. Il nous tarde d’entendre la suite ! Kveikur est donc une incroyable réussite. Il ravira les fans tout en surprenant ceux qui pensaient tout connaître du groupe et est certain de rallier à sa cause un public encore plus large !
Nouvel album sublime et étonnant du groupe culte islandais qui se régénère en ajoutant un son plus aggressif et des compositions plus directes à la beauté éthérée de sa musique ! Le groupe islandais créé à Reykjavík en 1994 fait partie, après 6 albums vendus à plus de 2 millions d’exemplaires et de multiples tournées mondiales, de la cour des grands. Cet incroyable succès est presqu’un heureux accident tant la singularité et l’intransigeance du groupe détonnent dans le milieu du rock. Sa musique, entre post et prog rock est bâtie autours du chant falsetto de Jonsì (dont les paroles sont chantées en un mélange d’islandais et de langage inventé) et d’instrumentations épiques utilisant notamment des guitares électriques jouées à l’archer, des cordes et autres emprunts au classique ou à la musique expérimentale. Après ‘Von’ en 1998, le groupe arrive sur le devant de la scène avec ‘Ágætis Byrjun’ en 1999. Thom Yorke adore le disque qu’il découvre par hasard et invite le groupe à faire la première partie de la tournée mondiale Kid A en 2000. En 2001, le réalisateur Cameron Crowe utilise 3 titres de l’album dans son film Vanilla Sky. Entre temps, l’album devient culte, est distribué en Europe et aux USA et remporte un succès international. Après l’album () en 2002, plus sombre et expérimental et un projet d’art moderne en commun avec Radiohead en 2003, le groupe sort ‘Takk...’ en 2005 qui connaît un succès international retentissant avec plus d’un million de ventes à ce jour. ‘Með suð í eyrum við spilum endalaust’ en 2008 et ‘Valtari’ en 2012 complètent sa discographie. Fin mars 2013, Sigur Rós surprend tout son monde avec l’annonce de la sortie de ’Kveikur’ mais surtout avec la publication de son premier single ‘Brennisteinn’ à l’intro brute de décoffrage, beaucoup plus rock et tranchant que par le passé. Ce nouveau son sied à merveille à l’univers du groupe, toujours épique et cinématographique, et rend cet album tout simplement enthousiasmant. Kveikur est sans conteste le meilleur album du groupe depuis Takk... et chaque titre qui le compose est une merveille de clair-obscur, comme les lumineux et catchy ‘Isjaki’ et ‘Rafstraumur’ ou le ténébreux ‘Kveikur’ qui donne son nom à l’album. Ce savant équilibre confère à cet album une classe incroyable et Sigur Rós semble régénéré à l’aube de ses vingts ans d’existence. Il nous tarde d’entendre la suite ! Kveikur est donc une incroyable réussite. Il ravira les fans tout en surprenant ceux qui pensaient tout connaître du groupe et est certain de rallier à sa cause un public encore plus large !
Produit par la tête pensante de Grizzly Bear, Chris Taylor, ce premier opus de l'américain Twin Shadow (alias George Lewis Jr.) a tout d’un disque de rock post new wave des années 80. Voix dandyesque, gutturale, très en avant et noyée dans la reverb', guitares rythmées mais mélancoliques, arrangements spacieux et amples. Tout y est. Sauf que, petit détail, Twin Shadow n’a que 26 ans. Bercé toute son enfance par ce son, mêlant Joy Division à New Order, Echo And The Bunnymen à Morrissey, Twin Shadow a semble-t-il parfaitement digéré les codes de ce rock distingué, précieux et sauvage en même temps. « I Can’t Wait », l’un des points culminants de l’album, rappelle les meilleurs titres des groupes susnommés, et si « Yellow Balloon », ou « Slow » sonnent plus modernes (en faisant un clin d’oeil aux new yorkais d’Interpol) avec leurs mélopées de synthés futuristes, leur dimension très electro pop, la tonalité globale de Forget est marquée par une douce mélancolie assumée jusqu’au bout. Sur ce premier album très réussi, George Lewis Jr. impose son style dandy des années 80, sa marque de fabrique musicale paradoxalement très progressiste avec une assurance déconcertante, sans jamais être prétentieuse. Voilà un premier effort bien mal nommé, tant il est évident que dès la première écoute, on sait que l’on ne l’oubliera pas de sitôt.
Salué par le New York Times, Pitchfork, Rolling Stone et bien d’autres, Sprained Ankle dévoilait en 2015 tout le talent d’une demoiselle originaire du Tennessee avec son indie folk dépouillée et intimiste à l’atmosphère unique, dans la lignée du fabuleux For Emma, Forever Ago de Bon Iver. Le label Matador ne s’y trompait pas en la signant d’emblée : on tenait avec Julien Baker une songwriter de grand talent. Enregistré dans les légendaires Ardent Studios de Memphis, sa ville natale, ‘Turn Out The Lights’ conserve le songwriting touchant et confessionnel qui l’ont fait connaître avec une production encore plus habitée. Tout au long de l’album, la jeune Américaine médite sur ses propres expériences et celles de ses proches, explorant les conflits intérieurs qui font rage en chacun de nous : comment faire face et surmonter les épreuves et quel impact cette lutte a, à la fois sur nous et sur notre entourage, quelque soit la nature de nos relations. Ecrit, composé et produit par Julien Baker avec Craig Silvey au mixage (The National, Arcade Fire, Florence & the Machine...), ‘Turn Out The Lights’ se révèle un album d’une profonde empathie qui embrasse les zones d’ombre et les complexes vérités de la nature humaine et de l'équilibre psychique : exprimer ses émotions les plus dures à travers la musique pour mieux tendre vers la lumière.
Salué par le New York Times, Pitchfork, Rolling Stone et bien d’autres, Sprained Ankle dévoilait en 2015 tout le talent d’une demoiselle originaire du Tennessee avec son indie folk dépouillée et intimiste à l’atmosphère unique, dans la lignée du fabuleux For Emma, Forever Ago de Bon Iver. Le label Matador ne s’y trompait pas en la signant d’emblée : on tenait avec Julien Baker une songwriter de grand talent. Enregistré dans les légendaires Ardent Studios de Memphis, sa ville natale, ‘Turn Out The Lights’ conserve le songwriting touchant et confessionnel qui l’ont fait connaître avec une production encore plus habitée. Tout au long de l’album, la jeune Américaine médite sur ses propres expériences et celles de ses proches, explorant les conflits intérieurs qui font rage en chacun de nous : comment faire face et surmonter les épreuves et quel impact cette lutte a, à la fois sur nous et sur notre entourage, quelque soit la nature de nos relations. Ecrit, composé et produit par Julien Baker avec Craig Silvey au mixage (The National, Arcade Fire, Florence & the Machine...), ‘Turn Out The Lights’ se révèle un album d’une profonde empathie qui embrasse les zones d’ombre et les complexes vérités de la nature humaine et de l'équilibre psychique : exprimer ses émotions les plus dures à travers la musique pour mieux tendre vers la lumière.
Aux manettes de ce nouvel opus, un duo qui fait ses preuves jour après jour au sein du prestigieux Buddha-Bar Paris, DJ Ravin et DJ Sam popat, tous deux résidents depuis la fin des 90's. Tout au long de cette excursion mystique, découvrez les nouveaux titres de Bombay Dub Orchestra, Midival Punditz ou Papercut mais aussi des remixes exclusivement créer pour l'occasion par Fabrice Dayan, Dreamers Inc ou Dole and Kom.
En 15 ans de carrière et 4 albums, Prodigy a changé la face du rock et de la musique électronique.Ils ont prouvé par leurs fantaisies sonores que l'électropouvait être un bastion du punk. La violence positive de leurs prestations scèniques, a propulsé Prodigy comme l'emblème de la mouvance electro. Ce best of réunis avant tout, les tubes historiques du groupe. Réecoutez firestarter, no good, breathe...et bien d'autres pour une electro-nostalgie garantie.
Fucked Up n' est pas seulement du punk hardcore. Evidemment, certains canons du genre sont respectés à la lettre et on retrouve sur The Chemistry of Common Life cette rage incroyable et cette énergie brute qui continuent de faire les beaux jours du movement tout en réussissant l'exploit de renouveler le genre. Bruyant, infernal, épique, sonique, les qualificatifs pour décrire The Chemistry of Common Life ne manquent pas.
LE 1er ALBUM DU PROTEGE DE BUDDY GUY, FABULEUX GUITARISTE HORS NORME DE 17 ANS ! Buddy Guy dit tout simplement de lui à Rolling Stone : « Un musicien de son calibre, on en croise un, une fois, au cours de sa vie ». En effet, le jeune homme possède déjà une riche et extraordinaire expérience ! Il débute à 3 ans et se produit à la TV à six ans reprenant « Twist and Shout » et depuis qu’il a huit ans c’est Buddy Guy qu’il la pris sous son aile. Aussi on a pu le découvrir en invité spécial du Buddy Guy Band sur les festivals de 2016 (Montreux, Jazz à Vienne...). Sullivan est une véritable éponge qui absorbe tout. Il a une incroyable capacité d’écoute et la chance d’évoluer avec de très grands artistes proches de lui et qui le guident comme son mentor Buddy Guy. Il a ainsi pu jouer avec le bassiste original de Jimi Hendrix, Biilly Cox, sur le Experience Hendrix Tour. Il a déjà partagé la scène avec des pointures comme Eric Clapton, Los Lobos, The Roots, Foo Fighters, ou encore Derek Trucks. Aussi le Washington Post le décrit comme le Clapton de sa génération ! L’album a été essentiellement enregistré au prestigieux Blackbird Studio de Nashville par Tom Hambridge. Aussi le backing band est constitué par les musiciens qui ont fait les albums de Buddy Guy réalisés avec Hambridge. Il s’agit du bassiste Michael Rhodes, du guitariste Rob McNelley ainsi que du clavier Reese Wynans, le vétéran qui officiait aux côtés de Stevie Ray Vaughan sur la période Double Trouble. Alors que le producteur Hambridge assure aussi la batterie. Si le blues est une histoire de Mojo, avec cet album, Sullivan en à revendre !
LA SUITE DU SAVOUREUX MELANGE DE GROOVY BLUES ROCK AUX ACCENTS HEAVY & PUNK. The Apocalypse Blues Revue revient en force avec un second album, The Shape Of Blues To Come. Selon la légende, Robert Johnson a lancé sa carrière en faisant un pacte avec le diable. Sur le même principe, vous pourriez dire que The Apocalypse Blues Revue a débuté en jouant à la toute fin du Monde. Co-fondé par le batteur et le guitariste de Godsmack, Shannon Larkin et Tony Rombola qui ont embarqué dans cette aventure le chanteur Ray Rafer John Cerbone et le bassiste Brian Carpenter (Ricky Medlocke's Blackfoot), le quartet honore les traditions du blues, tout en apposant leur marque en lettres de sang. The Shape Of Blues To Come is that rarest of beasts, a second album that is not just better than their first, but one that defines what the band is at this point, and one that points directly to where the band is going. Ceci n'est pas uniquement un side project, c'est avant tout un groupe qui existe en dehors de l'énormse succès don't jouitssent aujourd'huis le guitariste Tom Rumbola et le batteur Shannon Larkin's au sein de Godsmack, ceci est un groupe qui va continuer à faire de la musique dans les années à venir. Le chanteur Ray Rafer John Cerbone nous délivre une réelle performance vocale ! Ce dernier a en effet, réussi avec brio à passer du statut de chanteur troubadour de blues acoustique à celui de frontman d'un combo de classic blues rock. Son timbre de voix unique a été parfaitement saisi par le producteur Dave Fortman (Godsmack, Evanescence, Anthrax).
LE 1er ALBUM DU PROTEGE DE BUDDY GUY, FABULEUX GUITARISTE HORS NORME DE 17 ANS ! Buddy Guy dit tout simplement de lui à Rolling Stone : « Un musicien de son calibre, on en croise un, une fois, au cours de sa vie ». En effet, le jeune homme possède déjà une riche et extraordinaire expérience ! Il débute à 3 ans et se produit à la TV à six ans reprenant « Twist and Shout » et depuis qu’il a huit ans c’est Buddy Guy qu’il la pris sous son aile. Aussi on a pu le découvrir en invité spécial du Buddy Guy Band sur les festivals de 2016 (Montreux, Jazz à Vienne...). Sullivan est une véritable éponge qui absorbe tout. Il a une incroyable capacité d’écoute et la chance d’évoluer avec de très grands artistes proches de lui et qui le guident comme son mentor Buddy Guy. Il a ainsi pu jouer avec le bassiste original de Jimi Hendrix, Biilly Cox, sur le Experience Hendrix Tour. Il a déjà partagé la scène avec des pointures comme Eric Clapton, Los Lobos, The Roots, Foo Fighters, ou encore Derek Trucks. Aussi le Washington Post le décrit comme le Clapton de sa génération ! L’album a été essentiellement enregistré au prestigieux Blackbird Studio de Nashville par Tom Hambridge. Aussi le backing band est constitué par les musiciens qui ont fait les albums de Buddy Guy réalisés avec Hambridge. Il s’agit du bassiste Michael Rhodes, du guitariste Rob McNelley ainsi que du clavier Reese Wynans, le vétéran qui officiait aux côtés de Stevie Ray Vaughan sur la période Double Trouble. Alors que le producteur Hambridge assure aussi la batterie. Si le blues est une histoire de Mojo, avec cet album, Sullivan en à revendre !
LA SUITE DU SAVOUREUX MELANGE DE GROOVY BLUES ROCK AUX ACCENTS HEAVY & PUNK. The Apocalypse Blues Revue revient en force avec un second album, The Shape Of Blues To Come. Selon la légende, Robert Johnson a lancé sa carrière en faisant un pacte avec le diable. Sur le même principe, vous pourriez dire que The Apocalypse Blues Revue a débuté en jouant à la toute fin du Monde. Co-fondé par le batteur et le guitariste de Godsmack, Shannon Larkin et Tony Rombola qui ont embarqué dans cette aventure le chanteur Ray Rafer John Cerbone et le bassiste Brian Carpenter (Ricky Medlocke's Blackfoot), le quartet honore les traditions du blues, tout en apposant leur marque en lettres de sang. The Shape Of Blues To Come is that rarest of beasts, a second album that is not just better than their first, but one that defines what the band is at this point, and one that points directly to where the band is going. Ceci n'est pas uniquement un side project, c'est avant tout un groupe qui existe en dehors de l'énormse succès don't jouitssent aujourd'huis le guitariste Tom Rumbola et le batteur Shannon Larkin's au sein de Godsmack, ceci est un groupe qui va continuer à faire de la musique dans les années à venir. Le chanteur Ray Rafer John Cerbone nous délivre une réelle performance vocale ! Ce dernier a en effet, réussi avec brio à passer du statut de chanteur troubadour de blues acoustique à celui de frontman d'un combo de classic blues rock. Son timbre de voix unique a été parfaitement saisi par le producteur Dave Fortman (Godsmack, Evanescence, Anthrax).
Changing the Rain : changer la pluie, ou plutôt la laisser derrière soi et se tourner vers le soleil. Le premier titre du troisième album de The Horrors ne laisse aucun doute : le temps des assassins est terminé et, si ce n’est pas encore le temps des cerises, le quintette anglais entre avec allégresse dans une nouvelle ère. Fi de l’apparat gothique de Strange House (2007) et du flou obscur du très réussi Primary Colours (2009), produit par Geoff Barrow; Skying se plonge toujours dans les méandres du passé musical britannique (My Bloody Valentine, The Stone Roses, Jesus & the Mary Chain...) mais les réinvente à une sauce encore plus digeste que d’habitude. Plus mature ? Ce n’est pas impossible car les membres de The Horrors ont fêté les quatre ans d’ancienneté que dépassent malheureusement peu de groupes. Ne se contentant pas de durer sur la longueur, ils s’évertuent même à mâtiner leur musique de psychédélisme, de shoegaze, de punk, de grunge, de new wave...sans provoquer le pire des tournis. You Said, ballade dans des cimes venteuses; I Can See through You, orage post-rock; Endless Blue, amas nuageux imprévisible; Still Life, arc-en-ciel chatoyant; Monica Gems, tourbillon punk décadent. Et Oceans Burning, ultime célébration céleste... Le ciel est dans tous ses états - comme The Horrors, qui se fendent de textes plus intimes que d’habitude. Le format des morceaux est, quant à lui, toujours supérieur à quatre minutes, et peut s’envoler jusqu’à près de neuf minutes (l’intriguant Moving Further Away) : le groupe de rock se défendrait-il d’avoir réalisé un album pop ? Ce qui est pourtant, et malgré tout, le cas. Une pop distordue, maltraitée, déniée, mais bel et bien présente. Écrit, enregistré et produit près de Londres, Skying baigne dans une atmosphère vaporeuse, hors du temps, hors des lois, hors des genres, tout en restant marqué au fer rouge par les caractéristiques de The Horrors. Le chant de crooner nonchalant et lointain de Faris Badwan, les guitares triturées jusqu’à la griffure, la batterie parfois sourde, les synthétiseurs lunatiques... Tout cela classe The Horrors parmi les formations dites indie à suivre de près. Sophie Rosemont - Copyright 2017 Music Story
Changing the Rain : changer la pluie, ou plutôt la laisser derrière soi et se tourner vers le soleil. Le premier titre du troisième album de The Horrors ne laisse aucun doute : le temps des assassins est terminé et, si ce n’est pas encore le temps des cerises, le quintette anglais entre avec allégresse dans une nouvelle ère. Fi de l’apparat gothique de Strange House (2007) et du flou obscur du très réussi Primary Colours (2009), produit par Geoff Barrow; Skying se plonge toujours dans les méandres du passé musical britannique (My Bloody Valentine, The Stone Roses, Jesus & the Mary Chain...) mais les réinvente à une sauce encore plus digeste que d’habitude. Plus mature ? Ce n’est pas impossible car les membres de The Horrors ont fêté les quatre ans d’ancienneté que dépassent malheureusement peu de groupes. Ne se contentant pas de durer sur la longueur, ils s’évertuent même à mâtiner leur musique de psychédélisme, de shoegaze, de punk, de grunge, de new wave...sans provoquer le pire des tournis. You Said, ballade dans des cimes venteuses; I Can See through You, orage post-rock; Endless Blue, amas nuageux imprévisible; Still Life, arc-en-ciel chatoyant; Monica Gems, tourbillon punk décadent. Et Oceans Burning, ultime célébration céleste... Le ciel est dans tous ses états - comme The Horrors, qui se fendent de textes plus intimes que d’habitude. Le format des morceaux est, quant à lui, toujours supérieur à quatre minutes, et peut s’envoler jusqu’à près de neuf minutes (l’intriguant Moving Further Away) : le groupe de rock se défendrait-il d’avoir réalisé un album pop ? Ce qui est pourtant, et malgré tout, le cas. Une pop distordue, maltraitée, déniée, mais bel et bien présente. Écrit, enregistré et produit près de Londres, Skying baigne dans une atmosphère vaporeuse, hors du temps, hors des lois, hors des genres, tout en restant marqué au fer rouge par les caractéristiques de The Horrors. Le chant de crooner nonchalant et lointain de Faris Badwan, les guitares triturées jusqu’à la griffure, la batterie parfois sourde, les synthétiseurs lunatiques... Tout cela classe The Horrors parmi les formations dites indie à suivre de près. Sophie Rosemont - Copyright 2017 Music Story
Le nouveau coup de maître du génial trublion du Funk Le célèbre bassiste, chanteur, compositeur, Bootsy Collins publie enfin, son nouvel album, enregistré en collaboration avec une pléiade de grands noms (Ice Cube, Snoop Dogg, Samuel L Jackson, Sheila E, Dr Cornel West.), ce nouveau chapitre de l'histoire du Maître du Funk made in America (son dernier véritable effort studio date tout de même de 2002) a déjà des allures d'évènement.
Nicolas Peyrac le chanteur du mythique « So far away from LA » qui lui a valu un disque d'or et le prix de la chanson francaise décerné par la Sacem est de retour. Après la sortie de son album de duos en 2013 avec en autre Serge Lama, Bénabar, Julie Zenatti, François Morel pour ne citer qu'eux et un livre de souvenirs, Nicolas Peyrac décide d'écrire un nouvel album réfléchi et avec une exigence absolue tout en gardant l'esprit et l'ambiance de ses maquettes faites maison.
On ne présente plus cet artiste issu de la scène active de la chanson française. Avec plus de 1800 concerts dans toute la France, 8 albums, 15 ans de carrière et 3 disques d'or, son nouvel opus intitulé Mon Totem nous dévoile l'artiste sous un nouveau jour, beaucoup plus personnel, émouvant et toujours aussi proche de son public. Il laisse un champ ouvert à une nouvelle façon de chanter, tout en douceur qui offre ainsi une nouvelle perspective sur les textes de Yves toujours aussi sublimes.
On ne présente plus cet artiste issu de la scène active de la chanson française. Avec plus de 1800 concerts dans toute la France, 8 albums, 15 ans de carrière et 3 disques d'or, son nouvel opus intitulé Mon Totem nous dévoile l'artiste sous un nouveau jour, beaucoup plus personnel, émouvant et toujours aussi proche de son public. Il laisse un champ ouvert à une nouvelle façon de chanter, tout en douceur qui offre ainsi une nouvelle perspective sur les textes de Yves toujours aussi sublimes.
La suite tant attendue de la rencontre magique entre les deux étoiles filantes de la scène Blues Rock. La France les avait découverts, ensemble, en 2011 sur l'album « Don't Explain » vendu à plus de 25 000 exemplaires dans l'hexagone, et ils sont maintenant de retour avec un tout nouvel album de magnifiques reprises dont eux seuls ont le secret ! On découvre en effet, 11 réinterprétations magistrales de grands standards avec la voix unique de Beth Hart qui fait des merveilles, accompagnée avec maestria par la guitare ensorcelée de Joe Bonamassa.
Avant de devenir Peaches, Merril Nisker a butiné du folk à l’avant-jazz, en passant par le punk. Canadienne exilée en Allemagne, elle a suivi presque pas à pas le parcours artistique et géographique de son pote et collaborateur Gonzales. À l’aide de son fidèle Roland Groovebox 505, elle a concocté une sorte de hip-hop-électro-punk salace, qui n’est pas sans rappeler les excès de Karen Finley et des Yeastie Girls. Car c’est de sexe que cause Peaches tout au long de ce premier album (de Fuck the Pain Away à Diddle my Skittle). C’est cochon, c’est cru, et si vous n’aimez pas ça, sachez qu’elle n’en a rien à foutre (! sic)
Avant de devenir Peaches, Merril Nisker a butiné du folk à l’avant-jazz, en passant par le punk. Canadienne exilée en Allemagne, elle a suivi presque pas à pas le parcours artistique et géographique de son pote et collaborateur Gonzales. À l’aide de son fidèle Roland Groovebox 505, elle a concocté une sorte de hip-hop-électro-punk salace, qui n’est pas sans rappeler les excès de Karen Finley et des Yeastie Girls. Car c’est de sexe que cause Peaches tout au long de ce premier album (de Fuck the Pain Away à Diddle my Skittle). C’est cochon, c’est cru, et si vous n’aimez pas ça, sachez qu’elle n’en a rien à foutre (! sic)
L’ornithologue texan Jonathan Meiburg a levé l’ancre et navigué jusqu’aux îles cette fois, pour se laisser inspirer par la vie insulaire et observer l’action de l’homme sur ces lieux. Fragile et majestueux, dans la lignée des précédents albums, le résultat est tout empreint de lyrisme - le piano grave et le falsetto de Meiburg y sont pour beaucoup. Toujours aussi minutieux, pas si éloigné de la sensibilité austère et élégante d’un Jóhann Jóhannsson, Shearwater va jusqu’à s’approprier l’hymne national de l’atoll de Bikini, où les États-Unis ont procédé à des essais atomiques en 1946. Troublant...
Après un premier album paru en 2013 sous le pseudonyme d'Indians, et une tournée américaine et européenne aux côtés de Julia Holter, Beirut our encore Perfume Genius, Søren Juul marque son grand retour sous son véritable nom avec ce nouvel album nommé This Moment. Un album personnel qui reflète les bouleversements survenus dans sa vie ces trois dernières années et son retour dans son Danemark natal, là où il a tout enregistré. Søren n'a rien perdu de sa superbe avec le bouleversant, mélancolique et magique The Moment, d'une richesse sonore inouïe.
Ça faisait 5 ans qu’on attendait ça : Yo La Tengo est enfin de retour avec un tout nouvel album. Un disque chaleureux, ambitieux, une oeuvre autoproduite remarquable pour l’un des groupes les plus aventureux de l’histoire du rock et dont la riche gamme sonore sait aller du bruit pur aux mélodies sereines et saisir toutes les nuances intermédiaires. Enregistré par ses soins sans aucune composition ou répétition à leur entrée en studio, le trio a laissé libre cours à son inspiration pour accoucher d’une petite pépite d’album comme une alternative à la rage et au désespoir semés par les chamboulements politiques de notre époque.
Après un premier album paru en 2013 sous le pseudonyme d'Indians, et une tournée américaine et européenne aux côtés de Julia Holter, Beirut our encore Perfume Genius, Søren Juul marque son grand retour sous son véritable nom avec ce nouvel album nommé This Moment. Un album personnel qui reflète les bouleversements survenus dans sa vie ces trois dernières années et son retour dans son Danemark natal, là où il a tout enregistré. Søren n'a rien perdu de sa superbe avec le bouleversant, mélancolique et magique The Moment, d'une richesse sonore inouïe.
5 ans après 'Long Way Home', un premier album acclamé par la critique et influent pour toute une génération de jeunes musicien·nes, à l'instar de Billie Eilish, Holly Låpsley Fletcher revient le 20 mars 2020 avec 'Through Water'. Quelques mois après l'EP 'These Elements', la chanteuse et productrice revient plus fort que jamais avec son opus le plus abouti jusqu'à présent, marquant musicalement son passage à l'âge adulte. Les 10 titres qui composent 'Through Water' s'imposent comme une réflexion intime sur la vie d'artiste et ses expériences personnelles formatrices, le tout sur fond de climatologie en communion avec les éléments.
5 ans après 'Long Way Home', un premier album acclamé par la critique et influent pour toute une génération de jeunes musicien·nes, à l'instar de Billie Eilish, Holly Låpsley Fletcher revient le 20 mars 2020 avec 'Through Water'. Quelques mois après l'EP 'These Elements', la chanteuse et productrice revient plus fort que jamais avec son opus le plus abouti jusqu'à présent, marquant musicalement son passage à l'âge adulte. Les 10 titres qui composent 'Through Water' s'imposent comme une réflexion intime sur la vie d'artiste et ses expériences personnelles formatrices, le tout sur fond de climatologie en communion avec les éléments.
Albert Hammond JR mélodiste et guitariste prodige des STROKES délivre son 1er album solo et s'entoure pour l'occasion du meilleur de la scène new-yorkaise : SEAN LENNON, BEN KWELLER, RYAN GENTLES (manager des STROKES) et du chanteur du groupe, JULIAN CASABLANCAS. En parallèle du succès mondial des Strokes, l'étincelle qui provoqua le grand retour du rock, Albert Hammond JR nous livre ses compositions personnelles tout en conservant le son et les mélodies qui ont bâti le succès des STROKES. Yours to Keep est un album complet et sincère, aux mélodies entêtantes et à l'efficacité évidente. Le 1er extrait de l'album, Everyone Gets A Star est en passe de devenir le single de cette rentrée.
5 ans après 'Long Way Home', un premier album acclamé par la critique et influent pour toute une génération de jeunes musicien·nes, à l'instar de Billie Eilish, Holly Låpsley Fletcher revient le 20 mars 2020 avec 'Through Water'. Quelques mois après l'EP 'These Elements', la chanteuse et productrice revient plus fort que jamais avec son opus le plus abouti jusqu'à présent, marquant musicalement son passage à l'âge adulte. Les 10 titres qui composent 'Through Water' s'imposent comme une réflexion intime sur la vie d'artiste et ses expériences personnelles formatrices, le tout sur fond de climatologie en communion avec les éléments.
Pour ceux qui ne le connaissent pas, Bobby Womack est tout simplement une des dernières légendes de la soul. Il a non seulement une carrière d’une cinquantaine d’années mais il a également collaboré avec les plus grands de l’époque : de Sam Cooke, Aretha Franklin en passant par Janis Joplin, George Benson ou encore Sly and The Family Stone. Il connaît le succès en solo au début des années 70 grâce notamment à la fameuse période de la blaxploitation, durant laquelle il réalise la bande originale du film Across 110th Street, dont le single sera utilisé des dizaines d’années plus tard pour le film de Quentin Tarantino, Jackie Brown. Ses déboires avec la drogue au milieu des années 80‘s l’ont ensuite vu tomber plus ou moins dans l’oubli... 2010 restera pour lui une année marquante dans sa carrière, il y fait son grand retour aux côtés de Mos Def et de Gorillaz sur le titre Stylo, premier extrait du dernier album du groupe. Sur les conseils de sa fille, Bobby Womack accepte d’enregistrer avec le producteur et chanteur que l’on ne présente plus, Damon Albarn. C’est donc avec Gorillaz que Bobby Womack remonte sur scène, mais leur collaboration ne s’arrêtera pas là. Grand mélomane, Damon Albarn évoque un projet d’album de Bobby Womack avec le producteur (et directeur du label XL) Richard Russell, à qui on doit également le retour de feu Gil Scott-Heron avec son magnifique dernier album, I’m New Here. Même si on peut y déceler quelques similitudes avec l’album cité auparavant, de par ses beats électroniques, The Bravest Man In The Universe est bien plus accessible. On y retrouve avec grand plaisir l’étonnante voix soul/blues de Bobby Womack, et ce n’était certainement pas anodin que seule sa voix ouvre cet album avant même que les premières notes de musique soient jouées. Certainement pour nous rappeler que la star, ici, est Bobby Womack même si derrière les machines et les instruments se cachent deux gros producteurs. Qui aurait parié sur un retour de Bobby Womack, surtout sur des nappes électroniques ? Personne à part Richard Russell et Damon Albarn qui réussissent haut la main ce pari. Please Forgive My Heart, The Bravest Man In The Universe et If There Wasn’t Something There restent avant tout des titres soul sur lesquels la voix de Bobby Womack nous émeut et nous on emporte dans des contrées électro où bien plus d’un artiste sur le retour s’est échoué... On notera également la participation de deux artistes féminines, Lana Del Rey sur le magnifique et envoûtant Day Glo Reflection, et le tout autant réussi Nothing Can Save You avec Fatoumata Diawara. Enfin la voix de Gil Scott-Heron nous donne des frissons et nous enjoue à la fois sur l’introduction du titre Stupid.
Il aura fallu seulement quelques mois au quatuor Palma Violets pour exploser sur le devant de la scène britannique. Les quatre jeunes anglais s’installent dans un sous-sol londonien qui leur sert à la fois de squat et de studio de répétition en septembre 2011. Faute de trouver des concerts, ils improvisent des soirées en invitant leurs amis au studio pour leur jouer les morceaux au fil et à mesure de leur création. Ce studio se trouve à Lambeth, quartier populaire au sud de Londres qui n’est pas, au contraire de Camden par exemple, un vivier de la culture rock de la ville. Et pourtant, avec un bouche-à-oreille exponentiel, les fans et leurs amis se déplacent en nombre croissant pour assister à ces happenings. Rapidement, plus d’une centaine de personnes s’entassent régulièrement dans le minuscule sous-sol, sans climatisation ni fenêtre, forçant certain(e)s fans à se déshabiller ! Moins d’un an plus tard, le NME, la bible du rock anglais, se rend à une de ces soirées et le groupe fait la couverture du magazine alors qu’il n’est ni signé et n’a quasiment aucun concert à son actif ! Palma Violets signe dans la foulée sur le label Rough Trade et est invité au Festival Les Inrocks en novembre dernier pour un concert à la Boule Noire mémorable et assurément l’un des moments forts de cette édition.180, leur premier album, est le nom de ce studio où tout à commencé pour Palma Violets. On y retrouve toute la spontanéité et l’énergie communicative du groupe sur scène, mais aussi ses dons de mélodiste, véritable marque de fabrique des grands groupes de rock anglo-saxons. On n’est ainsi pas prêt de se lasser de son premier single ‘Best Of Friends’, tube instantané et imparable qui ouvre l’album de la plus belle des manières. Comparé inévitablement à Libertines et The Vaccines, le groupe rappelle aussi The Clash tout en faisant preuve d’une identité et d’une maturité très forte pour un premier album.
Il aura fallu seulement quelques mois au quatuor Palma Violets pour exploser sur le devant de la scène britannique. Les quatre jeunes anglais s’installent dans un sous-sol londonien qui leur sert à la fois de squat et de studio de répétition en septembre 2011. Faute de trouver des concerts, ils improvisent des soirées en invitant leurs amis au studio pour leur jouer les morceaux au fil et à mesure de leur création. Ce studio se trouve à Lambeth, quartier populaire au sud de Londres qui n’est pas, au contraire de Camden par exemple, un vivier de la culture rock de la ville. Et pourtant, avec un bouche-à-oreille exponentiel, les fans et leurs amis se déplacent en nombre croissant pour assister à ces happenings. Rapidement, plus d’une centaine de personnes s’entassent régulièrement dans le minuscule sous-sol, sans climatisation ni fenêtre, forçant certain(e)s fans à se déshabiller ! Moins d’un an plus tard, le NME, la bible du rock anglais, se rend à une de ces soirées et le groupe fait la couverture du magazine alors qu’il n’est ni signé et n’a quasiment aucun concert à son actif ! Palma Violets signe dans la foulée sur le label Rough Trade et est invité au Festival Les Inrocks en novembre dernier pour un concert à la Boule Noire mémorable et assurément l’un des moments forts de cette édition.180, leur premier album, est le nom de ce studio où tout à commencé pour Palma Violets. On y retrouve toute la spontanéité et l’énergie communicative du groupe sur scène, mais aussi ses dons de mélodiste, véritable marque de fabrique des grands groupes de rock anglo-saxons. On n’est ainsi pas prêt de se lasser de son premier single ‘Best Of Friends’, tube instantané et imparable qui ouvre l’album de la plus belle des manières. Comparé inévitablement à Libertines et The Vaccines, le groupe rappelle aussi The Clash tout en faisant preuve d’une identité et d’une maturité très forte pour un premier album.
Joe Bonamassa est actuellement l'incontournable guitariste de blues rock !!! Ce tout nouvel album est tout simplement époustouflant!!! Classé N° 1 au Bilboard, le génial guitariste, chanteur et compositeur JOE BONAMASSA revient avec un nouvel opus intitulé « The Ballad Of John Henry » qui sera disponible le 24 Février 2009. Ce nouvel album (son 9ème) contient 12 titres partagés entre compositions originales et reprises de titres signés Ailene Bullock, Tom Waits et Tony Joe White entre autres. Joe Bonamassa continue avec cet album sa collaboration avec le producteur Kevin Shirley (Led Zeppelin, Aerosmith, Black Crowes). Faut il rappeler que Joe Bonamassa (guitariste prodige) démarra sa carrière à l'âge de 12 ans et que c'est le maître B.B.King qui l'engagea pour ouvrir ses concerts. Depuis, Joe continue de jouer avec B.B.King ainsi qu'avec d'autres légendes du blues. «The Ballad Of John Henry» marque les 20 ans de carrière de Joe Bonamassa en tant que musicien professionnel. Le guitariste dit que ce nouvel album reflète son plus gros travail à ce jour et que le titre The Ballad Of John Henry,est un hommage musclé de blues rock à l'encontre de ses héros qui l'ont inspiré. A découvrir les cover versions de As The Crow Flies, (Tony Joe White), Jockey Full Of Bourbon, (Tom Waits),Funkier Than A Mosquito's Tweeter,(Ailene Bullock), Feelin' Good(Anthony Newley/Leslie Bricusse), et le grandiose Stop! (vendu à 2,5 millions de copies) de la chanteuse Anglaise Sam Brown (qui débuta en 1976 avec les Small Faces sur l'album « In The Shades ») et qui cosigna ce hit avec Greg Sutton/Bruce Brody. Joe Bonamassa est de nouveau accompagné par les brillants musiciens que sont Carmine Rojas (bass), les deux batteurs Anton Fig et Bogie Bowles ainsi que par Rick Melick (keyboards) et Blondie Chaplin (rhythm guitar). C'est également le 1er album de Joe Bonamassa ou l'on peut entendre des cuivres (Lee Thornburg et David Woodford).
Ce 1er disque de Sigur Ros pourrait être qualifié d'album-concept dans le sens où sa construction est minutieusement étudiée, où chaque morceau trouve un véritable sens grâce aux autres. En effet, Von, signifie espoir, et tout ici va tourner autour de ce mot, ou plutôt va nous y conduire, nous le décrire, et finalement nous y faire croire. Un début noir, d'abord plutôt inquiétant, puis franchement terrifiant dans des profondeurs dont on ne soupçonnait même pas l'existence jusqu'alors. On voudrait crier, s'enfuir, mais on reste, finalement paralysé, dans cette nuit qui semble interminable. Heureusement, une lueur d'espoir apparaît avec Dögun (Aube).