A la suite de deux petites filles espiègles, partez à la chasse aux indices et voyagez dans le temps pour retrouver les indices perdus du Grand Secret. Lucille et Angélique Charlély sont deux petites filles heureuses et sans histoires. Jusqu’au jour où, en ouvrant un livre sur la Grèce antique, la photographie d’un professeur d’histoire s’anime pour leur demander de l’aide. Il est le Gardien d’un grand secret, et pour le transmettre, il a besoin de ces deux petites héritières spirituelles. Seulement, pour ce faire, il faut accomplir des missions dans le temps. Voici que tout à coup, les fillettes se retrouvent happées par un tableau. Les voilà à l’époque de l’antiquité grecque. Un nouveau monde s’offre à elles, un monde où elles ont le pouvoir de l’invisibilité et où un aigle doté de la parole les guidera sur la route de l’aventure…
Ce travail se présente, en toute logique, comme une réponse aux textes de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi, recueillis dans la « Déclaration sur les associations maçonniques », publiée en italien en 2015 et co-éditée en français en 2016 par LiberFaber et par la Libreria Editrice Vaticana. Cet ouvrage présentait la « Déclaration sur les associations maçonniques « du 23 novembre 1983, en version latine et française, précédée d’une « Préface « de S. E. Monseigneur Luis F. Ladaria, Secrétaire du Dicastère, et d’une « Introduction « du Cardinal Préfet Gerhard Müller. A ces textes s’ajoutaient les « Réflexions un an après la Déclaration mentionnée ci-dessus, au sujet de l’incompatibilité entre la foi chrétienne et la franc-maçonnerie « (« L’Osservatore Romano », 1985), les documents des Conférences épiscopales allemande et philippine sur ce sujet et un article sur l’Eglise et la franc-maçonnerie aujourd’hui (publié dans « La Civiltà Cattolica »). Dans la « Réponse » qu’on peut lire dans ce nouveau livre, plusieurs Francs-Maçons, membres de diverses Obédiences françaises et pratiquant des Rites maçonniques différents, ont souhaité répliquer objectivement à ces documents du Vatican, en faisant oeuvre commune. Le concile Vatican II avait laissé entrevoir une possibilité de dialogue fraternel entre les deux institutions, mais une « chape de plomb « s’est à nouveau refermée et, pour la frange intégriste de l’Eglise catholique, un seul mot d’ordre, vis à vis de la Franc-Maçonnerie : « vade retro satana ! « Dans un « état d’esprit apaisé «, il ne s’agit pas d’entamer une nouvelle controverse avec les hautes instances du Catholicisme, mais simplement d’expliquer ce qui caractérise la Franc-Maçonnerie dans ses desseins qui, à l’exception de quelques « points de friction « remontant principalement au XIXe siècle, ne sont pas en opposition frontale avec le Christianisme. La Franc-Maçonnerie, tout comme les institutions liées à diverses religions, a un but principal qui devrait les rapprocher au lieu de les diviser : Le mieux-être spirituel de l’humanité.