Jintarô Dokugusuri est un prêteur sur gages aux allures de yakuza. Son ego surdimensionné et ses accès de violence sont connus de tout le quartier des plaisirs de Shinjuku. Issu d'une famille pauvre, il s'est enrichi petit à petit et l'argent est devenu sa philosophie. Pour lui, tout peut s'acheter, même les femmes, et il est prêt à tout pour arriver à ses fins. Pourtant, lorsqu'il obtient satisfaction, il est submergé par un insupportable sentiment de vide existentiel.
Le Dr Tamaki mène des recherches sur le cerveau. Hashi, ne peut s’empêcher de dire à voix haute tout ce qu’il ressent et tout ce qu’il pense. Hana peut être soudainement prise d’un orgasme n’importe où, n’importe quand. Le cerveau de Mari ne perçoit pas les gens qui l’entourent, et elle vit dans un monde isolé. Hideo dit pouvoir “entrer en contact avec les extra-terrestres”.
L'excentrique Dr Tamaki mène des recherches sur le cerveau. Hashi, 19 ans et demi, a un petit fragment de voiture qui est resté dans son cerveau suite à un accident, et depuis il ne peut s'empêcher de dire à voix haute tout ce qu'il ressent et tout ce qu'il pense. Hana, 21 ans, peut être soudainement prise d'un orgasme n'importe où, n'importe quand, et même en public. Le cerveau de Mari, 6 ans, ne perçoit pas les gens qui l'entourent, et elle vit dans un monde isolé où il n'y a aucun autre être humain à part elle. Hideo, 10 ans, dit avoir des «super pouvoirs», et peut «entrer en contact avec les extra-terrestres». Entre drame et comédie loufoque baignée dans une atmosphère à la twin peaks, Mochizuki met en scène avec intelligence des êtres qui devront surmonter leurs particularités.
L'excentrique Dr Tamaki mène des recherches sur le cerveau. Hashi, 19 ans et demi, a un petit fragment de voiture qui est resté dans son cerveau suite à un accident, et depuis il ne peut s'empêcher de dire à voix haute tout ce qu'il ressent et tout ce qu'il pense.Hana, 21 ans, peut être soudainement prise d'un orgasme n'importe où, n'importe quand, et même en public. Le cerveau de Mari, 6 ans, ne perçoit pas les gens qui l'entourent, et elle vit dans un monde isolé où il n'y a aucun autre être humain à part elle. Hideo, 10 ans, dit avoir des «super pouvoirs», et peut «entrer en contact avec les extra- terrestres». Entre drame et comédie loufoque baignée dans une atmosphère à la twin peaks, Mochizuki met en scène avec intelligence des êtres qui devront surmonter leurs particularités.
Tove et Lars Jansson, Une vie avec les Moomins relate de façon captivante l'histoire de la bande dessinée Moomin, qui à l'apogée de sa popularité entre 1954 et 1975, était publiée dans la presse de 40 pays.En observant le trait extrêmement moderne et frais de Tove Jansson, dessinatrice et artiste peintre finlandaise, il est difficile de croire que cette bande dessinée soit née dans les années 1950. l'ouvrage combine tout le sérieux d'une recherche historique basée sur de nombreux entretiens avec Tove Jansson et son frère Lars, pour faire découvrir comment les Moomins sont devenus une bande dessinée au succès ininterrompu depuis des dizaines d'années aux quatre coins du monde.Richement illustré de photographies et de dessins inédits, Une vie avec les Moomins constitue une véritable caverne d'Ali Baba pour tout amateur des Moomins.
Dans cette petite gargote située au fond d'une ruelle du quartier de Shinjuku, les clients se croisent, les histoires se dévoilent. La carte ne propose que du tonjiru, soupe miso au porc, ainsi que du saké, mais selon vos envies, on vous préparera àla demande tout ce qu'on est en mesure de vous servir.
Dans cette petite gargote située au fond d'une ruelle du quartier de Shinjuku, les clients se croisent, les histoires se dévoilent. La carte ne propose que du tonjiru, soupe de miso au porc, ainsi que du saké, mais selon vos envies, on vous préparera à la demande tout ce qu'on est en mesure de vous servir.
Dans ce petit restaurant situé au fond d’une ruelle du quartier de Shinjuku, le patron vous accueille de minuit à sept heures du matin. La carte ne propose que du tonjiru, soupe de miso au porc, ainsi que du saké, mais selon vos envies, on vous préparera à la demande tout ce qu’on est en mesure de vous servir.
En sept récits courts, l'auteur de T okyo Alien Bros raconte des tranches de vie plus ou moins mouvementées : deux amis jouant au tennis, un chat et son maître, une jeune fille et un retraité à la pêche, un couple surpris par le passage de Godzilla... Autant de rencontres remuant les désirs parfois inavoués, souvent confus, des uns et des autres.Le trait pétillant et tout en rondeurs de Shinzô croque avec subtilité une galerie de gens ordinaires, drôles et attachants, dont les coeurs insondables pourraient bien révéler au lecteur quelques secrets sur lui-même...
Un autre jour se lève sur la résidence Dokudami... Et la nostalgie s'empare de notre jeune héros. Yoshio part à la recherche de ses premiers émois, dans sa campagne natale. On en saura plus sur ses premières expériences sexuelles.Comme dans les meilleurs vaudevilles, le livre s'achève sur l'arrivée inattendue de la mère de Yoshio à Tôkyô où il devra mettre tout en oeuvre pour lui cacher qu'il travaille dans un glory hole.Le premier volume de la série a été sélectionné à Angoulême en 2010, il sera réimprimé pour la seconde fois à l'occasion de la sortie de ce nouveau volume.
Dans un monde alternatif, la société tokyoïte est secouée par des mouvements étudiants. Sur fond de terrorisme et de préoccupations nucléaires post- Fukushima, Setsuko, étudiante, fait figure d'exception.Apolitique, détachée de cette réalité, elle n'a d'attrait que pour le sexe sans engagement. Par un après-midi ensoleillé, elle sera pourtant abattue dans une fusillade.Entre temps, son destin aura croisé celui d'Atsushi un autre étudiant sans histoires.Ceux que l'on surnomme Setchan et Akkun, ces deux êtres que tout oppose, vont se rapprocher et se perdre.
Eros x SF réunit 15 histoires courtes dessinées par Ishinomori entre la fi n des années 1960 et les années 1970. Clairement destinées à un public adulte, elles mélangent érotisme, absurde et grotesque, et tendent souvent vers la science-fi ction. Il est ici question d'êtres humains aux pouvoirs surnaturels, de lapins vivant sur la lune, de mondes parallèles ou encore d'extraterrestres - motifs qu'utilise Ishinomori pour dépeindre la folie des hommes et de notre société, renforcés par un dessin remarquable et des compositions audacieuses, le tout formant une anthologie de chefs-d'oeuvre qui nous transportent et nous invitent à la réfl exion.
Moroha, jeune lyce´en originaire de Chiba, a` co^te´ de To^kyo^, vient de s'installer a` Nishi no Go^, une ville de campagne. Alors qu'il peine a` s'adapter a` sa nouvelle vie et qu'il est sur le point d'abandonner tout espoir de profiter de son adolescence et de vivre une belle histoire d'amour, une myste´rieuse excroissance pousse soudain au sommet de son cra^ne. Amuse´e, sa petite soeur lui propose de donner un petit nom a` sa bosse : « Thanatos ». Et on dirait que l'apparition de Thanatos n'est pas sans lien avec les sentiments amoureux de Moroha, attire´ par Eriko, sa voisine de table au lyce´e. Mais le jeune Shishimaru veille a` ce qu'aucun garc¸on n'approche la jeune fille de trop pre`s, tandis que les voyous de la classe n'ont pas l'air d'appre´cier les e´le`ves venus d'ailleurs...
Fin 2009, le public francophone et la critique découvraient le personnage de Yoshio Hori, antihéros et loser magnifique du Vagabond de Tokyo - Résidence Dokudami, sélectionné à Angoulême en 2010. Avec ce nouveau volume du Vagabond de Tokyo - Tender is the night, nous retrouvons pour notre plus grand plaisir le personnage loufoque de Yoshio Hori et ses éternels déboires.Dans un style graphique fluide, les 14 histoires de ce volume de 400 pages se dévorent les unes après les autres. Fukutani s'amuse à y parodier les films de yakuzas et les shonen manga de l'époque, tout en posant un regard lucide et critique sur la société japonaise.
An 18 de l'ère Tenmon (1549). Kagetora rencontre par hasard Takeda Harunobu (futur Shingen) dans un lieu tout à fait inattendu.Séduit par Kagetora, qu'il a découverte sous son apparence de femme, Harunobu ne cache pas son intérêt pour elle. Mais Kagetora, de son côté, sent naître en elle une profonde peur des hommes. Afin de faire disparaître cette crainte, que ce soit en tant que guerrière, en tant que seigneur de château ou en tant que femme, Kagetora fait une demande particulière à Shûken.La première bataille de Kawanakajima, au cours de laquelle Kagetora et Harunobu vont s'affronter, approche. Quelles seront les conséquences de cette rencontre pour eux ?
Rannosuke Hanayagi, 17e héritier de la maison Kurokami, dirige, sous le couvert d'une école renommée d'ikebana qui s'étend sur tout le pays, une entreprise du vice et de la cruauté. Il consume les jeunes filles comme des cigarettes, les torturent et les humilient à loisir. Par ses liens avec le monde économique et politique, qu'il tient fermement en lui faisant bénéficier de ses esclaves sexuelles, Rannosuke est un prince sadiste intouchable qui règne sur un empire de la luxure.Il se lance dans l'éducation d'une nouvelle jeune fille, Sayuri, qui doit devenir la nouvelle reine de cet empire. Elle devient l'objet ultime du désir du maître.Une exploration sans fard, si ce n'est celui du pinceau magistral de Kazuo Kamimura, de la profondeur du désir et de la perversion humaine.
Rannosuke Hanayagi, 17e héritier de la maison Kurokami, dirige, sous le couvert d'une école renommée d'ikebana qui s'étend sur tout le pays, une entreprise du vice et de la cruauté. Il consume les jeunes filles comme des cigarettes, les torturent et les humilient à loisir. Par ses liens avec le monde économique et politique, qu'il tient fermement en lui faisant bénéficier de ses esclaves sexuelles, Rannosuke est un prince sadiste intouchable qui règne sur un empire de la luxure.Il se lance dans l'éducation d'une nouvelle jeune fille, Sayuri, qui doit devenir la nouvelle reine de cet empire.Elle devient l'objet ultime du désir du maître.Une exploration sans fard, si ce n'est celui du pinceau magistral de Kazuo Kamimura, de la profondeur du désir et de la perversion humaine.
Rinko, scénariste de séries télévisées, est une trentenaire célibataire à la carrière professionnelle épanouie. Son petit plaisir consiste à passer des soirées alcoolisées avec ses deux copines Kaori et Koyuki, elles aussi trentenaires et célibataires. Un soir, alors qu'elles sont encore en train de se soûler et de s'auto-rassurer bruyamment avec des y a qu'à, faut qu'on dans leur bar favori, elles sont interrompues par un jeune homme aux allures de mannequin.Agacé de les entendre brailler, il les ridiculise méchamment en les traitant de vieilles filles avant de quitter les lieux. Alors qu'elle pensait avoir encore tout son temps, Rinko réalise qu'il va falloir se réveiller si elle ne veut pas finir sa vie toute seule...
2014, Tokyo. Rinko, scénariste de séries télévisées, est une trentenaire célibataire à la carrière professionnelle épanouie. Son petit plaisir consiste à passer des soirées alcoolisées avec ses deux copines Kaori et Koyuki, elles aussi trentenaires et célibataires.Un soir, alors qu'elles sont encore en train de se soûler et de s'auto-rassurer bruyamment avec des « y a qu'à, faut qu'on » dans leur bar favori, elles sont interrompues par un jeune homme aux allures de mannequin. Agacé de les entendre brailler, il les ridiculise méchamment en les traitant de vieilles filles avant de quitter les lieux.Alors qu'elle pensait avoir encore tout son temps, Rinko réalise qu'il va falloir se réveiller si elle ne veut pas finir sa vie toute seule...
Initialement parues dans l'hebdomadaire féminin Josei jishin entre 1973 et 1974, les dix histoires des Femmes du zodiaque racontent des destins de femmes, de la fin du XIXe siècle aux années 1970.Tout en s'amusant à faire intervenir dans l'intrigue les particularités des différents signes astrologiques, Maki nous fait découvrir différentes facettes de la condition féminine, ainsi que l'évolution des moeurs dans la société japonaise contemporaine. La mangaka met en scène sans tabou mais toujours avec élégance des femmes amoureuses en plein éveil à la sexualité. La parfaite maîtrise de son trait et de ses expressions, ses compositions et ses scénarios d'une remarquable finesse font de ce recueil un chef-d'oeuvre du gekiga, dont la réédition était depuis longtemps attendue au Japon.
Yoshio Hori, 22 ans est un véritable laissé pour compte de la bulle économique des années 80. Il alterne les jobs payés à la journée sur les chantiers de Tokyo, se nourrit de nouilles lyophilisées et claque sa paie dans les bars à hôtesses. Il n'a d'autre choix que de vivre dans sa chambre miteuse et crasseuse de la Résidence Dokudami qui résiste comme un ultime îlot au milieu de immeubles flambants neufs de la nouvelle Tokyo.Le Vagabond de Tokyo livre le portrait plein d'humour et décomplexé de ce loser errant de déboires en déboires. Au fil de ses rencontres tout le petit peuple des bas quartiers de Tokyo se découvre, ridicule, mesquin, attendrissant. Yoshio le malchanceux se retrouve ainsi aux prises avec de plantureuses créatures, de moins plantureuses, des vendeurs de nouilles ambulants, des yakuzas, des salaryman travestis et même son créateur dans une nouvelle autobiographique émouvante...Derrière ses faux airs de manga de gare aux accents houellebecquiens, Le Vagabond de Tokyo dresse le constat amère d'une jeunesse japonaise désabusée.
Considéré au japon comme « l'étoile noire » du manga, S. Maruo construit depuis ses débuts en 1980 dans le magazine GARO, une oeuvre où se mêle mythologie japonaise et une certaine culture occidentale de l'érotisme, qui va du Marquis de Sade aux surréalistes.Le fond narratif, composé de courts dialogues crus et parfois poétiquement délirants, sont encadrés dans l'image pour ne pas polluer les images où se révèle toute la virtuosité graphique de Maruo. Son trait unique, ligne claire et raffinée, ses habiles découpages, nous confrontent sans cryptage au petit peuple monstrueux de ses fantasmagories. L'élégance est transgressive, ce qui apparaît comique pour un japonais, convoque chez nous des monstres enfouis. En traversant un Styx fictionnel, happé par l'incroyable mais effrayante délectation de son dessin, on peut y déceler moult références littéraires, philosophiques et artistiques qui, tout en bouleversant nos sens, nous invite à jouir de son univers unique, extrêmement pervers et pourtant proche, mais indéniablement cathartique.Q-saku est une pièce maitresse de cette oeuvre, composé de courtes histoires, on appréciera l'incroyable richesse de son imaginaire et le superbe amalgame de ses influences. L'horreur surgit, parfaitement orchestrée par la mise en scène, au coeur d'une atmosphère froidement esthétique.Manga adulte traduit du Japonais par Miyako Slocombe. Préface Arnaud Viviant
Mutant Hanako est à la fois un manga trash érotique et une oeuvre facétieuse de Makoto Aida, un artiste japonais contemporain issu de la nouvelle subculture japonaise et reconnu internationalement. Né en 1965 et diplômé des beaux-arts de Tokyo en 1989, Il entame très vite une carrière très variée et provocante. Son oeuvre, en perpétuelle métamorphose, passe librement de la peinture à la vidéo, du manga à l'installation. Il est également illustrateur, affiches de film (Charisma de Kiyosi Kurosawa) et de théâtre (Takashi Miike). Associé à la culture otaku, son art reflète de manière absurde et onirique, un monde qui a divorcé de la réalité pour rejoindre l'universvirtuel des mangas et des jeux vidéos. Cultivant une image d'artiste anti-commercial et inculte, il réussit néanmoins dans ses oeuvres à exorciser par son goût du non-sens et l'absurde, les mutations sociales brusques provoquées par la crise économique des années 90. Ce livre présente la version française de Mutant Hanako faite par l'artiste lui-même, pour cette édition. Mutant Hanako est à la fois un vrai manga outrancier et le vecteur d'expression choisi par un artiste contemporain japonais pour croiser l'univers de la guerre du Pacifique avec le monde virtuel des jeux vidéo a l'intention d'une génération insensible à la réalité de la guerre. Il est aussi le fruit d'un fantasme érotique cocasse et de la volonté d'un retour aux sources du dessin malhabile. Il a été tout d'abord publié en 1997 en photocopie de mauvaise qualité puis officiellement en 1999 au Japon. Le livre présente également avec une introduction de Dominick Chen, des reproductions des oeuvres emblématiques de Makoto Aida. Certaines ont été exposées lors de l'exposition Coloriage en 2002 à la Fondation Cartier à Paris. Il se termine par la postface écrite par Makoto Aida pour l'édition japonaise de Mutant Hanako.