A la croisée d'un blues d'avant-guerre et de grooves d’arrière-cour, Zozophonic Orchestra poursuit son exploration du « blues agricole-urbain » Zozophonic Orchestra c'est avant tout un son. Celui d'un blues rural tout droit sorti des années 1920, mais que l'on aurait électrisé à coups de distorsions et de rythmes urbains. C'est aussi un leader, Manouche Fournier, féru de musiques afro-américaines en tous genres, trompettiste de formation devenu guitariste et chanteur. C'est enfin un groupe, débordant de virtuoses, formés à l'école du jazz mais toujours prompts à s'affranchir des étiquettes. Ensemble, le Zozophonic Orchestra offre rien moins qu'un ravalement de façade au blues du Deep South. Si la moiteur des Caraïbes est palpable, la funk de la Nouvelle Orléans finit d'électriser cette mixture moderne où improvisations enragées et textes engagés ont aussi leur mot à dire. De la crue du Mississippi aux rames d'un métro déglingué, on jurerait avoir entendu Tom Waits et Ben Harper jammer avec Beck & The Meters. « Samples, musiques improvisées, rythmes hip hop, influences africaines émaillent tout le répertoire - tant dans les compositions que dans la tradition revisitée. » Jazz(s)RA
UN GRAND TALENT à DéCOUVRIR D'URGENCE --- LOUIS-JULIEN NICOLAOU, TéLéRAMA --- Certains l'ont qualifiée d'OVNI (Objet Vocal Non Identifié) pour traduire sa virtuosité vocale : scat, vocalises, envolées lyriques, impros, effeuillages a capella, timbre de velours, la soprano multiplie les jeux de voix au service de la musique. Mais voilà une diva qui ne se la joue pas. Marie Mifsud préfère le terme d'expression vocale à celui de chant et se voit comme une passeuse d'émotions. Pour cette musicienne inventive, la voix est un instrument, véritablement, tout autant qu'une plume trempée dans l'encrier des sensations quotidiennes. Tout au long de cet album, les mélopées de Marie dressent de somptueux décors : naviguant du tango à la batucada, du swing à la musette, l'artiste traverse le Paris canaille et la East Coast en faisant escale dans les torpeurs latines et les fièvres africaines. Sur sa mappemonde, Marie zigzague entre pop, rock, kizomba, musique électronique, sans oublier les ponts entre le jazz et la chanson à texte. Une des chanteuses les plus inventives de la scène actuelle. -- JAZZ MAGAZINE --- Le jazz de toutes les couleurs de Marie Mifsud renouvelle la variété de haut vol. -- LE MONDE ---
L'histoire très particulière du chanteur/guitariste Jim Jones a connu plusieurs incarnations, de Thee Hypnotics à The Jim Jones Revue, en passant par Black Moses. 5 jours seulement après le concert d'adieux de The Jim Jones Revue à Londres, la nouvelle manifestation de sa vision musicale, Jim Jones & The Righteous Mind, était en studio pour enregistrer quelques morceaux qui allaient nous entraîner dans des eaux plus profondes, à la recherche de sons plus étranges. Si Jim Jones Revue tapait dans le Rock'N'Roll 50's à la Jerry Lee Lewis et Little Richard, les Righteous Mind font eux, un rock tout aussi crasseux et viril, mais qui a plus à voir avec ses compatriotes de Gallon Drunk, les Grinderman de Nick Cave ou les premiers méfaits de Jon Spencer et ses Blues Explosion. Après Boil Yer Blood EP, Aldecide EP et le dernier single en date, Till It's all gone, voilà le tant attendu 1er album, Super Natural. « Des guitares qui vous vrillent la colonne vertébrale et un piano digne des meilleurs bars de contrebande, le traitement - de choc - sera radical. Thrash punk, pub rock ou brièvement jazzy quand il n’invoque pas les Bad Seeds de Nick Cave, Super Natural brûle tout sur son passage, avec les éructations a la Tom Waits faussement chaotiques et plus graveleuses que jamais en guise de lance-flammes fatal. » Rolling Stone
à 72 ans, Ray Lema signe, sans conteste et sans concession, un de ses meilleurs albums. Transcendance est une mise à nu, une condensation des amours musicales, des expériences et influences qui ont traversé la vie de Ray Lema. Neuf pièces inédites interprétées avec brio par un sextet de musiciens hors pair dans l'authenticité et la chaleur d'un enregistrement studio en conditions de concert. Les mots de Ray Lema : Transcendance est l'envie de faire simplement de la musique sans souci des catégories et des étiquettes, d'aller au-delà des appellations, de transcender les genres et d'exprimer tout l'amour de la musique, des artistes, musiciens de tous bords que j'ai croisés sur mon chemin. J'ai l'amour d'une certaine sophistication rythmique rattachée à mes origines et quand je joue, tout mon être se livre à une danse interne et plonge dans les mystères de la transe. Transcender ses peurs, ses tabous et son ego et se livrer sans retenue à l'expérimentation de l'amour permet à l'humain de goûter sa liberté. Celui qui ne tombe pas amoureux ne sera jamais libre. Il ne se libérera jamais des attaches familiales, des codes de la société. C'est seulement le jour où l'on tombe amoureux que l'on part sans savoir où l'on va, sans savoir ce qui va nous arriver et que l'on ne se pose même plus la question. ---- Ray Lema. LA JUBILATION RAY LéMA - JAZZ NEWS. L'éNERGIE ET L'éLéGANCE - JAZZ MAGAZINE. RAY LEMA, LE CHANT DU PIANO. LE MONDE. PIANISTE-HUMANISTE, AVENTURE MUSICALE SINGULIèRE ET UNIQUE QUI NOUS EMBARQUE VERS DES PAYSAGES LUXURIANTS. FIP.
You're here, now what ? de Matmatah Après un an et demi de tournée et une centaine de concerts devant plus de 500.000 spectateurs sur trois continents, Matmatah clôture ce marathon en livrant 'You're Here, Now What ?' un live rugueux qui survol l'ensemble de leur carrière, et montre autant l'énergie qu'ils dégagent en concert que la qualité de leur répertoire. - On y ressent instantanément leur plaisir d'être réunis sur scène, tout comme celui du public, tant ceux de la première heure qui retrouvaient Matmatah après des années d'absence, que les plus jeunes, qui les découvraient enfin sur scène.
DEUX MUSICIENS EXCEPTIONNELS, DEUX GéNéRATIONS. RéUNIS AUTOUR DE LA MUSIQUE DU PREMIER GRAND HOMME QUE LE JAZZ AIT PRODUIT ET DONT LA JEUNESSE ALLAIT DEVENIR éTERNELLE : LOUIS ARMSTRONG Revenir à Louis Armstrong, tout simplement. C'est l'idée lumineuse qui rassemble Paul Lay, jeune pianiste remarquable d'ingéniosité et de vivacité et Eric Le Lann, trompettiste parmi les plus complets que compte l'Hexagone. Sur le disque à paraître à l'automne, le dialogue est savoureux, émouvant, d'un raffinement qui rend toute justice à l'un des plus grands inventeurs du jazz
LA RENAISSANCE DU ANDRé CECCARELLI QUARTET! Plus de 20 ans après leur album West Side Story, désormais culte publié (BMG - 1997), André Ceccarelli a sonné le rappel de ses complices Sylvain Beuf, Thomas Bramerie et Antonio Farao pour enregistrer 'Passers of Time', le premier album de leur quartet, dénommé ASTA. Ce qui frappe dès les premières mesures, c'est l'incroyable énergie et le plaisir que les acteurs d' ASTA ont eu à enregistrer ensemble. Avec 'Passers of Time', ASTA démontre avec talent que plus le temps passe et plus la complicité qui unit et réunit les artistes de ce quartet à su faire son oeuvre et elle est magistrale ! PASSERS OF TIME : ONZE MAGNIFIQUES COMPOSITIONS ORIGINALES, INTERPRéTéES MAGISTRALEMENT PAR CE QUARTET HISTORIQUE. -- JAZZ MAGAZINE --- 25 ans après leur 1ère union, le groupe de Ceccarelli, Faraò, Beuf et Bramerie renaît en totale osmose sur l'album Passers of Time. -- FIP --- André Ceccarelli : C'est vraiment un groupe, ce n'est plus le André Ceccarelli Quartet c'est ASTA. C'est un peu comme si on était mariés, qu'on divorce. Et pour finir on se dit ma femme c'est ma femme, ce sera toujours ma femme, et on se remarie !. Sylvain Beuf : Pour moi c'est tout simplement le meilleur quartet dans lequel j'ai eu le plaisir de jouer. C'est comme les membres d'une famille qui se retrouvent après un long voyage qui les a un petit peu éloigné. Et là on s'est retrouvé avec des démarches un peu différentes et aussi des choses que nous avions enregistrées il y a une vingtaine d'années et tout cela a donnée un truc assez génal assez rapidement. Thomas Bramerie : ASTA, c'est le nom qu'on a choisi qui en en fait est l'acronyme de nos prénoms, bien que soit encore une suggestion de DD de recommencer à jouer tous ensemble, il a tenu que ce soit un groupe de nous quatre et chacun a amené des compositions. Antonio Farao : L'idée était de se réunir à nouveau après 25 ans de silence et donc de refaire renaître ce quartet qui a un son incroyable selon moi.
Robi ressemble tout entière à sa musique, à moins que ce ne soit l'inverse. L'une et l'autre sont éprises de franchise et d'absolu, puisant leur force dans leurs contradictions intimes. Avec ce troisième album, 'Traverse', elle chante l'été en réponse à l'hiver d'autrefois, cherchant désormais moins le contraste et le tranchant que l'équilibre et l'harmonie. Robi nous offre avec cet album accueillant et solaire une forme de memento mori qui semble nous dire : buvons, dansons à chaque seconde que la mort n'aura pas. Avec 'Traverse', sa musique reflète plus que jamais la femme, la mère, l'artiste qu'elle est aujourd'hui, engagée sur un chemin qui s'affirme, d'album en album, n'être résolument que le sien. L'élégance. Son écriture très poétique renvoie à un Dominique A au féminin. Une musique dense, sombre, résolument sauvage. -- LES INROCKS. --
Le nouvel album de FRUSTRATION : LE GROUPE CULTE DU POST PUNK FRANçAIS. AVEC EN INVITé : JASON WILLIAMSON (SLEAFORD MODS). Frustration on les a vus 5, 10, 100 fois - parfois sans vraiment le vouloir. On s'est à chaque fois dit qu'on en avait fait le tour, que tout leur petit cirque commençait à bien faire. Mais à chaque nouveau concert, à chaque nouveau disque, on replonge. Parce que le feu brûle toujours, parce que la passion est toujours intacte, parce qu'ils n'essayent pas de passer pour ce qu'ils ne sont pas. Parce que quelque part, au fin fond du Var ou du Jura, certains gamins ont toujours besoin d'envisager le monde autrement. On ne s'attendait toutefois pas à un disque comme So Cold Streams. à ce stade du championnat, Frustration aurait en effet pu se contenter de sortir un disque sensiblement identique au précédent, intense, abrasif, honnête mais sans risques, et continuer à remplir les salles sans que personne ne trouve à y redire en s'avançant doucement vers une sortie aussi digne qu'inévitable. Mais dès les premières mesures d' Insane, pilonnage électro-punk insensé qu'on croirait tout droit sorti d'un maxi d'EBM millésimé 1988, on réalise que le scénario ne va pas se dérouler comme prévu. Plutôt que de s'aménager une routine confortable, Frustration a enregistré son cinquième album comme si c'était le premier, comme un groupe formé depuis 6 mois qui n'aurait rien à perdre et une sérieuse envie d'en découdre. Si la cavalerie post-punk est toujours présente (batterie martiale, basse élastique, guitares en délit de fuite), So Cold Streams surprend par l'énergie, la virulence de certaines paroles et les nombreuses prises de risque, de Brume, cauchemar aux sonorités industrielles hurlé en français, au très pop Lil' White Sister qui lorgne étonnamment du côté des Smiths et d'Echo & The Bunnymen, en passant par le sinueux et mélancolique Slave Markets sur lequel le groupe a invité Jason Williamson, le chanteur de Sleaford Mods - formation qui a beaucoup joué dans la nouvelle jeunesse de Frustration. Sleaford Mods est un groupe qui, musicalement et humainement, nous a donné un véritable coup de fouet, explique Fabrice Gilbert (chant). ça nous a redonné un vrai sentiment de liberté, ça m'a permis de dire vraiment tout ce que j'avais envie de dire dans mes paroles, d'aborder des sujets extrêmement intimes comme des choses beaucoup plus générales, que ce soit au niveau politique ou social. So Cold Streams est, paradoxalement peut-être, à la fois notre disque le plus désabusé, le plus énergique et le plus libre. Constat que résume à la perfection la pochette du disque, signée comme toutes les autres par l'artiste peintre Baldo, et qui représente une machine goudronnant une route à travers un champ de blé. à l'origine, explique Fabrice, j'avais envisagé complètement autre chose, une illustration inspirée d'un plan d'Inglorious Basterds, le film de Quentin Tarantino. Mais le résultat n'a plu à personne. J'ai alors pensé à ce tableau avec la machine à goudron, que Baldo avait fait il y a plus de 15 ans et qui devait, à l'origine, être la pochette de notre premier album, Full Of Sorrow. Pour une telle renaissance, on ne pouvait rêver meilleur choix. Surtout que l'image contient à elle seule tout le disque : l'espace, la force, la lumière, la rage et le dégoût aussi. L'envie de tout détruire. De faire table rase. De proposer quelque chose de différent. Un peu plus que de la musique. Un esprit, une idée. Une façon d'envisager le monde. Frustration fait partie des rares groupes qui, aujourd'hui, avec très peu de presse et une estime toute relative de la part des médias, jouent dans toute la France à guichets fermés et réussissent à vendre plus de 10 000 exemplaires de leurs disques, performance à laquelle certains, pourtant soutenus par des budgets promotionnels chiffrés en dépit du rien à foutre, n'osent plus même penser... -- Lelo J. Batista, NOISE. -- Depuis 2002, ce quartet parisien a relevé la Manche et plongé les mains dans le cambouis des premiers Wire, The Fall, PIL et Joy Division. Références intouchables ? Dans les souterrains, on crie déjà le nom de Frustration. Ce qui Relax ici, c'est d'observer que cette musique n'a rien perdu de sa puissance réfractaire et cathartique. Ce qui réjouit, c'est qu'un groupe français sache lui redonner vie avec tant d'aplomb. -- Michaël Patin --- NewNoise
Les sessions enregistrées par Reinhardt et Grappelli à Rome en janvier et/ou février 1949 avec une rythmique italienne, constituent à la fois l'ultime témoignage sonore de leur rencontre (les deux hommes ne se retrouveront jamais plus ensemble devant un micro), et la toute dernière occasion d'entendre Django à la guitare acoustique dans un contexte orchestral. De sorte que ces faces peuvent apparaître simultanément comme un sommet (au faîte de leur maturité et de leur complicité, les deux artistes se sont rarement exprimés avec un tel brio et un tel abandon), aussi bien qu'un enregistrement de passage, à l'occasion d'un engagement de longue durée en club, en compagnie d'un trio (piano, contrebasse, batterie) qu'ils n'ont pas choisi. En somme, l'accomplissement côtoierait ici l'anecdote, les deux partenaires cultivant avant tout les plaisirs de l'instant - mais n'en est-il pas toujours un peu ainsi en jazz, pour notre plus grand bonheur?
Lorsque l'on pense à Yann Tiersen, des dizaines de mots peuvent venir à l'esprit pour parler de sa musique : touchante, profondément humaine, forcément attachante... Une musique à fort impact émotionnel, où chacun peut y aller de sa propre interprétation. Pourtant, on ne peut s'empêcher de penser qu'il y a autre chose, un petit détail qui fait la différence avec les autres. Et le fait est que dès la sortie de son premier album, La Valse Des Monstres, chaque morceau était déjà porteur d'une signature parfaitement identifiable et il semble que les nombreuses émotions occasionnées par sa musique ne soit finalement que la conséquence de cette forte identité, chose si rare à l'époque, quasi-disparue de nos jours. Quelque soit l'instrument utilisé ou la forme pratiquée, cette aura si particulière était toujours là, à l'instar d'artistes comme Philip Glass ou Erik Satie. Il suffisait souvent d'une seule écoute pour être séduit, comme ce fut le cas pour le label Ici d'Ailleurs (qui s'appelait encore Sine Terra Firma) le jour où il reçut la cassette demo du jeune musicien. Comme ce fut le cas de Jean-Pierre Jeunet lorsqu'il entendit par hasard un morceau dans la voiture de l'un de ses assistants pour donner naissance à la collaboration que l'on connaît (trop ?) bien (Le Fabuleux Destin d'Amélie Poulain). Comme ce fut le cas de millions de personnes à l'époque, et comme se sera probablement le cas pour des millions d'autres à l'avenir. L'intemporalité est sûrement la deuxième grande force de Yann Tiersen et il semble évident que La Valse Des Monstres, Rue Des Cascades ou encore Le Phare ne sont en aucun cas les bandes-son d'une période particulière, encore moins des albums générationnels. Des titres comme « La Dispute », « La Pièce Vide » ou « Comptine d'Été » en sont des preuves évidentes tant l'émotion demeure intacte plus de 15 ans après leur sortie. Et aujourd'hui, peut-être même plus encore qu'une référence, Yann Tiersen semble être avant tout une influence. Son langage a indubitablement laissé des traces chez de nombreux artistes, reconnus ou non, dans leur manière de ressentir, de percevoir et d'écrire de la musique. Cette vision si particulière engendrera de nombreuses collaborations, parmi lesquelles Shannon Wright, Bästard, Noir Désir (« A Ton Étoile »), Dominique A (qui interprète 2 titres sur le Phare), Matt Elliott (Dust Lane) ou encore The Married Monk (Tout est Calme).
UN DANDY DéJANTé, TALENTUEUX ET DéCALé Europe 1 LA PLUS BELLE VOIX QUE VOUS ENTENDREZ AUJOURD'HUI. Les Inrocks Sur cet album William Z Villain produit un savant mélange entre les musiques urbaines et rurales, ainsi qu'un océan d'influences musicales qui procure à l'écoute une sensation d'entendre, comme sur le premier album éponyme, un artiste à part. Jeune américain signé en France, William Z. Villain camoufle son blues dans un mélange de styles intriguant et passionnant. Voix haut perchée, chansons en montagnes russes et truffées d'histoires à la guitare, on pense très vite à Nosfell. Cette capacité à nous plonger dans un nouveau monde, et à nous fasciner par l'étrangeté de l'expérience qu'on écoute... Ou peut-être est-ce le côté organique et les sons de la nature qui parsèment l'album ? L'univers est en tout cas décalé et pourtant porte la marque brute et intense du blues. [...] C'est complètement amoureux qu'on sort doucement du rêve en espérant déjà le prochain. Rocknfool
« Sky Dancers » est le nom que se donnent entre eux les Amérindiens du Nord-Est de l'Amérique du Nord qui grâce à leur supposée absence de vertige construisent les gratte-ciel, en particulier ceux de New-York, et qui « dansent » sur les poutrelles, là-haut dans le ciel. Aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours été concerné par les Amérindiens. Déjà gamin, je préférais me costumer en Indien. Je trouvais cela plus gai, plus beau, plus rigolo, plus inventif. Avec deux riens, une ficelle et du rouge à lèvres - emprunté en douce à ma mère pour les peintures de guerre - j'étais déjà dans les grands espaces et je me sentais libre. Et puis, très vite, je me suis rendu compte que les Indiens étaient des « vrais gens », des êtres humains. Alors j'ai lu, vu, entendu tout ce que je pouvais trouver les concernant. J'étais à l'affût du moindre détail authentique (je le suis toujours) et je n'ai plus du tout supporté de les voir ridiculisés dans ces westerns idiots. Ignorés, bafoués, récupérés, « merchandisés ». Simultanément à la découverte de la musique de jazz, j'ai ressenti l'univers poétique du monde amérindien et surtout ce qui m'a fasciné, dès que j'ai eu l'âge de comprendre, c'est le respect absolu que manifestaient les Indiens vis-à-vis de la nature. Actuellement, dans l'indifférence générale, certains Etats prétextant la « crise », maintiennent les tribus en leurs réserves dans un état de précarité inimaginable, pour certaines au bord de la famine alors que les Indiens, contraints et humiliés, ont signé des traités signifiant la donation de leurs terres contre l'assurance d'une existence digne. Afin de rendre hommage aux Amérindiens, j'ai imaginé de nouvelles musiques et de m'embarquer pour cette aventure entouré de fidèles compagnons que sont Sébastien Texier, François Corneloup et Louis Moutin. Grâce à notre complicité, nous avons toujours le désir intact d'explorer de nouveaux territoires, de raconter de nouvelles histoires. Pour ce projet, il m'a semblé évident d'aller à la rencontre de musiciens n'ayant jamais participé à mes orchestres. Armel Dupas et Nguyên Lê sont de ceux-là. Lorsque j'ai entendu Armel Dupas pour la première fois, j'ai immédiatement été sensible à son univers, son toucher, sa pulsation. L'idée de jouer un jour avec lui s'est très vite imposée... Quant à Nguyên, il est présent à mon esprit depuis bien longtemps. Musicien d'une grande élégance, porteur d'un chant unique, il me touche profondément. Et c'est ainsi que les « Sky Dancers » sont entrés dans la lumière. « Sky Dancers » est le nom que se donnent entre eux certains Amérindiens du Nord-Est de l'Amérique du Nord qui grâce à leur présumée absence de vertige construisent les gratte-ciel, en particulier ceux de New-York, et qui « dansent » sur les poutrelles, là-haut dans le ciel. » Henri Texier
Un message d'amour et de joie qui semble imprégner ce quatrième album du groupe milanais. Comparé aux oeuvres précédentes, les caractéristiques essentielles du son restent une base rythmique puissante et des dynamiques poly-rythmiques prestigieuses; tout cela se rapproche cependant des accents marquants du jazz ancestral. En gros, les Faryds s'imprègnent et refaçonnent avec une intuition remarquable, les éléments uniques et les influences de certains Electric Jazz ou Rock-Jazz Blues des années 70 (Miles Davis, Dr John, Graham Bond, Jeremy Steig) et Spiritual Jazz (Sun Ra, Pharoah Sanders, Don Cherry, Brother Ah), en les mariant avec les moments forts de certains Afro- Free (Pyramids, Alkebu-Lan) et les intrigues les plus Freak-Jam typiques du Space Rock. Ecouter la musique d'Al Doum & Faryds, c'est comme un séjour sur une île déserte à la nature intacte, en harmonie avec une Nouvelle Société Biologique, donnant l'image de frères et soeurs chantant et dansant dans un esprit de fraternité. Al Doum & the Faryds brasse le meilleur du jazz cosmique des 70's, du spacerock, du psyché pour un disque capiteux à ne pas prendre à la légère !
LE QUATUOR MANOUCHE TZIGANE QUI DÉPASSE LES FRONTIÈRES - LA «FOLIE» SAMARABALOUF Bientôt 20 ans que les compositions du guitariste François Petit se promènent à travers le monde, toujours à la frontière des musiques tziganes et manouches. C’est désormais un violon et un violoncelle qui remplacent la fameuse « pompe manouche » de la guitare rythmique, avec toujours la « bonne vieille » contrebasse pour porter le tout. À eux quatre, ça pince, ça frotte, ça percute, ça s’envole avec toujours le même esprit fougueux et la même envie de partager. Musiques de l’Est, du Nord, du Sud, parfois rock, country, parfois lyrique et bien plus encore. Samarabalouf vous « UP » à travers sa « French World Music». 16 morceaux enregistrés au Vintage Studio, avec la crème des micros à lampe... Toujours cette base manouche et tzigane, qui dépasse de plus en plus les frontières...rumba, java, country, irlandais... 16 morceaux et 1 voyage en musique... entre la tradition du quatuor à cordes du 18e et le trio manouche... C'est désormais un violon et un violoncelle qui remplacent la fameuse pompe manouche... Musique à rêver, à danser, à rire, à s’émouvoir... avec ce 4e album studio, Samarabalouf vous propose un de ses plus grands voyages... « SWING IRRÉPROCHABLE ET COMPOSITIONS ACCROCHEUSES POUR CE GROUPE MAJEUR DE CETTE SCÈNE JAZZ SANS FRONTIÈRES. » Les Inrocks « NOUS SOMMES TOUS FOUS DE SAMARABALOUF » Télérama.fr
Combo tout terrain et atypique de la scène hexagonale, Flyin' Saucers Gumbo Special se produit sur scène depuis 1997 avec une reconnaissance et une notoriété grandissante. Ils ont fait leurs armes en tant que backing band de nombreux artistes de blues américains tels que : Sugaray Rayford, Jimmy Burns, Amos Garrett, Paul Orta, Bill Hurley (Inmates)... Atypique aussi pour son répertoire très particulier, ce combo fabrique une sorte de tambouille festive et épicée à base de toutes les musiques de la Louisiane : zydeco, rock'n'roll 50's, funk, soul, cajun avec comme fil conducteur le blues. Pour les puristes, leur répertoire trouve ses sources autant chez les Meters que Dr John, Earl King, Huey Smith, Boozoo Chavis, Clifton Chenier ou Lazy lester pour ne citer qu'eux.- En 2019, les Saucers vont encore plus loin dans la production et l'écriture de ce nouvel opus. Plus incisif et 'énervé' que ces prédécesseurs, les mélodies et les arrangements vont droit à l'essentiel avec l'idée maîtresse de garder au premier plan la moiteur du bayou et les groovse du Delta du Mississipi. Alors si vous aimez - même sans le savoir ce qu'on appelle le swamp, le funk, le blues, le zydeco, le rythm'n'blues, le mambo, la soul et taper du pied en vous égosillant sur des refrains entêtants ' Nothing'but ' est fait pour vous !
LE CRéOLE ENCHANTEUR. Le second album de la chanteuse Gwendoline Absalon, c'est d'abord une immersion initiatique et vitalisante dans l'île de La Réunion. Approchez-vous : la voix chaleureuse et claire de cette jeune passeuse invite chacune à affirmer son identité, en une poésie créole étonnante. Les arrangements du pianiste Hervé Celcal, entre pop et world, hommage à la tradition et cure de jouvence tout à la fois, servent parfaitement la philosophie d'une artiste en grand devenir. Avec ce 2nd album, enraciné à La Réunion, Gwendoline nous livre le fruit de sa propre introspection : un monde fait de sonorités, de parfums, d'envies, de conscience, de créole. Elle nous chantera à l'oreille son souhait de créer du lien, dans une magistrale introduction immersion (Binda). Nous irons à la rencontre d'un paradoxe, qui nous rappelle à la grande vitalité de la tradition réunionnaise (Modernité). Un agrume aux vertus médicinales propagera sa vertueuse acidité au monde en lui rappelant qu'il faut maintenir un lien entre les générations (Vangasay). Nous sillonnerons vers le Cap Vert avec une révérence à la profonde Cesaria Evora (La Diva de la morna). Chemin faisant, une soul groove réunionnaise nous parlera d'amour sain (Fo pa kwrar). Puis, comme deux vagues qui se rencontrent, le maloya embrassera le bèlè martiniquais pour un hommage aux maîtres (Béliya)... UNE VOIX PURE, COMME UN FRUIT VITALISANT, RICHE EN TRADITION ET MODERNITé ! --- MARIANNE --- LA VOIX SENSIBLE DU RENOUVEAU DU MALOYA. -- RéUNION 1 ---
UN DISQUE DE CHEVET INDISPENSABLE, POUR TOUT AMATEUR DE SYDNEY BECHET.... -- Francis Marmande --- L'HOMMAGE SURPRENANT à SIDNEY BECHET! - ESSENTIEL ET INCONTOURNABLE - INCLUS : LIVRET 24 PAGES. Vol pour Sidney (retour) est emmené par une troupe de poètes-instrumentistes de haut vol en transes atlantiques de l'Amérique du blues profond à la France de Georges Brassens. à tout âge, on y chante, on y danse et on relève les marques d'affection qu'eurent John Coltrane ou Duke Ellington, comme les générations qui suivent, pour le très grand Sidney Bechet, figure superlative de l'histoire du jazz. Avec : Elsa Birgé, Catherine Delaunay, John Dikeman, Sophia Domancich, Robin Fincker, Simon Goubert, Nathan Hanson, Sylvaine Hélary Glowing Life (avec Antonin Rayon, Benjamin Glibert, Christophe Lavergne), Hymn for Her (Lucy Tight, Wayne Waxing), Doan Brian Roessler, Guillaume Séguron, Davu Seru, Ursus Minor, (Tony Hymas, Grego Simmons, François Corneloup, Stokley Williams), Donald Washington, Matt Wilson Quartet (avec Jeff Lederer, Kirk Knuffke, Chris Lightcap. Avec : Elsa Birgé, Catherine Delaunay, John Dikeman, Sophia Domancich, Robin Fincker, Simon Goubert, Nathan Hanson, Sylvaine Hélary Glowing Life (avec Antonin Rayon, Benjamin Glibert, Christophe Lavergne), Hymn for Her (Lucy Tight, Wayne Waxing), Doan Brian Roessler, Guillaume Séguron, Davu Seru, Ursus Minor, (Tony Hymas, Grego Simmons, François Corneloup, Stokley Williams), Donald Washington, Matt Wilson Quartet (avec Jeff Lederer, Kirk Knuffke, Chris Lightcap. Vive les albums concepts : climats variés. Vive l'humour jazziste : si rare. Vive les surprises : ça décape. -- JAZZ MAGAZINE --- TOUJOURS DISPONIBLE! VOL POUR SIDNEY (aller) éLU DISQUE de L'ANNéE par : Le journal LE MONDE et par le journal LIBéRATION. VOL POUR SIDNEY (aller) : En 1992, les disques nato publiaient Vol pour Sidney, recueil de titres composés et immortalisés par Sidney Bechet - artiste majeur du XXe siècle, instrumentiste essentiel au même titre que Louis Armstrong, Charlie Parker ou John Coltrane - et interprétés cette fois par une clique d'artistes d'univers et itinéraires fort divers, tous amoureux de la musique de Bechet : Charlie Watts, Elvin Jones, Lee Konitz, Taj Mahal, Pepsi et Urszula Dudziak aux côtés de quelques compagnons de route de nato : The Lonely Bears, British Summer Time Ends, Lol Coxhill / Pat Thomas, Steve Beresford et Michel Doneda.L'album connut alors un grand succès auprès d'une critique enthousiaste, nommé disque de l'année dans plusieurs revues : Le Monde, Libération, Jazz Magazine, VSD etc. Sidney Bechet fut un artiste immensément populaire, mais aussi un innovateur (ses duos avec Kenny Clarke par exemple), un chercheur (il fut le premier à utiliser le re-recording), un voyageur curieux des autres cultures, un bluesman profond et un des saxophonistes soprano les plus novateurs et les plus expressifs. En plus de la beauté des thèmes, ce sont ces différentes approches - richesses de ce musicien d'exception - qui ont inspiré les passagers de ce Vol pour Sidney frappés autant par l'invention, la modernité, l'humour, le sens mélodique d'un des plus grands créateurs de jazz.
AU CARREFOUR DU BLUES, DU ROCK ET DE LA FOLK Ce quartet francilien nous offre une musique directe et généreuse, vibrante du passé comme de l'avenir. Les « ventres de coton » c'est pour les champs ou le blues est né dans la douleur et pour les tripes dont il s'échappe parfois. Leurs chansons sont des plaintes empreintes d'espoir ou un harmonica virevolte avec une guitare électrique déchirante, libérant une voix soul soutenue par un basse/batterie au groove solide. Si l'humour, l'espièglerie ou encore la simplicité sont du voyage, les « Cotton Belly's » n'ignorent pas les crises qui secouent le monde. Les textes évoquent notre humanité et les mélodies nous accompagnent longtemps après que les dernières notes aient résonné. Alors, route pluvieuse ou pas, c'est à chaque fois avec le même groove généreux que les « ventres de coton » offrent sans relâche des gigs enlevés dont on ressort l'âme un peu plus légère. Après leur tournée aux Etats-Unis et leur demi finale à l'International blues challenge de Memphis, les Cotton Belly's nous dévoilent leur nouvel album, de nouvelles versions de leurs chansons rafraîchies et affirmées par des années de concerts, on y trouvera également une version revisitée sauce « Cotton » de « Superstition » du grand Stevie Wonder, ainsi qu'une toute nouvelle composition originale « Broken Line » enregistrée à Memphis ! Le tout sublimé par le venue d'invités surprise. « UNE VIVACITÉ ÉMÉRITE ET UNE VOIX APTE À POUSSER LA COMPLAINTE » Rock & Folk « COTTON BELLY ’ S NE CESSE DE CONFIRMER SON TALENT. UN RYTHME MAÎTRISÉ, UN VOCAL MÛR ET UN HARMONICA VIRVOLTANT. » Soul Bag
Pour fêter les dix ans de la sortie de notre premier album (Gee Whiz But This Is a Lonesome Town, en octobre 2007), nous avons décidé de nous lancer dans ce grand projet d'album live : 24 titres enregistrés sur scène - par le groupe lui-même et ses fidèles ingénieurs du son - au fil des quelques 800 concerts égrenés au cours de cette décennie... une course folle, 514'000 kilomètres parcourus autour du globe, entre la France et le Japon, l'Inde et l'Australie, les USA et l'Europe.. Il y a dix ans - le 15 Octobre 2007 - sortait notre premier album Gee Whiz But This Is A Lonesome Town. Nous ne le savions pas, mais c'était le début d'une tournée sans fin qui allait nous emporter quelques 514'000km autour du monde, à travers 800 concerts et 25 pays... une chevauchée dans le temps et l'espace, une décennie de pérégrinations musicales et de rencontres humaines qui aura laissé nos esprits hagards, éblouis, et (probablement) un peu déphasés. Pour fêter ce dixième anniversaire, nous avons decidé de nous lancer, pour la première fois, dans un grand projet d'album live : Echoes From The Borderline. Une collection de 24 chansons enregistrées sur scène pendant les tournées, par les membres du groupe eux-mêmes et leurs fidèles ingénieurs du son : versions de concer t déchaînées, accompagnées d'invités musicaux, chansons inédites, performances acoustiques primitives, expérimentations électriques... Simultanément, en contrepoint visuel à ces traces musicales, nous publierons un Livre-Photo grand format qui contiendra les photographies argentiques prises par Zim Moriarty tout au long de la tournée, témoignant des lieux traversés, des personnages croisés, des concerts et des publics, du temps de vie dépensé sur la route... et capturé sur la pellicule par l'objectif du Leica.
Pour fêter les dix ans de la sortie de notre premier album (Gee Whiz But This Is a Lonesome Town, en octobre 2007), nous avons décidé de nous lancer dans ce grand projet d'album live : 24 titres enregistrés sur scène - par le groupe lui-même et ses fidèles ingénieurs du son - au fil des quelques 800 concerts égrenés au cours de cette décennie... une course folle, 514'000 kilomètres parcourus autour du globe, entre la France et le Japon, l'Inde et l'Australie, les USA et l'Europe.. Il y a dix ans - le 15 Octobre 2007 - sortait notre premier album Gee Whiz But This Is A Lonesome Town. Nous ne le savions pas, mais c'était le début d'une tournée sans fin qui allait nous emporter quelques 514'000km autour du monde, à travers 800 concerts et 25 pays... une chevauchée dans le temps et l'espace, une décennie de pérégrinations musicales et de rencontres humaines qui aura laissé nos esprits hagards, éblouis, et (probablement) un peu déphasés. Pour fêter ce dixième anniversaire, nous avons decidé de nous lancer, pour la première fois, dans un grand projet d'album live : Echoes From The Borderline. Une collection de 24 chansons enregistrées sur scène pendant les tournées, par les membres du groupe eux-mêmes et leurs fidèles ingénieurs du son : versions de concer t déchaînées, accompagnées d'invités musicaux, chansons inédites, performances acoustiques primitives, expérimentations électriques... Simultanément, en contrepoint visuel à ces traces musicales, nous publierons un Livre-Photo grand format qui contiendra les photographies argentiques prises par Zim Moriarty tout au long de la tournée, témoignant des lieux traversés, des personnages croisés, des concerts et des publics, du temps de vie dépensé sur la route... et capturé sur la pellicule par l'objectif du Leica.
Récemment plébiscitée en France lors de son concert à JAMMIN'SUMMER SESSION 2019 du festival Jazz à Juan, la jazzwoman, trompettiste, bugliste et compositrice québécoise Rachel Therrien - déjà récompensée par le Grand Prize Jazz Award 2015 et en 2016 par le Stingray Jazz Rising Star Award-, affiche déjà un beau parcours outre-Atlantique. Née en 1987 à Québec, elle vit entre New-york et Montréal où elle est considérée comme l'une des musiciennes de jazz les plus prometteuses de sa génération. Reconnue pour sa signature personnelle et ses influences éclectiques entre autre, les rythmes cubains - elle a vécu et étudié à la Havane -, la trompettiste aux multiples talents illumine la scène jazz nord-américaine. Sidewoman très courtisée, elle joue un peu partout dans le monde (Europe, Amérique Latine, Cuba, Haïti, Ukraine etc). C'est à l'occasion de ses voyages en Europe qu'elle rencontre les musicien.ne.s qui deviendront ses compagnons de jeu dans son European Quartet avec lequel elle enregistre VENA, son cinquième album en tant que leadeuse. Le pianiste franco-australien Daniel Gassin, le contrebassiste espagnol Dario Guibert et la batteuse allemande Mareike Wiening retrouvent Rachel Therrien en mai 2019 au studio de Meudon pour y enregistrer l'album VENA. Tout au long des quinze compositions de Rachel chacune au titre évocateur, on pourra découvrir les sujets qui inspirent son écriture. V for Vena est le morceau titre de l'album. Inspiré par le vol des oiseaux migrateurs - les bernaches du Canada qu'on retrouve dans la région où elle a grandi au Québec -, celles-ci volent en V pour leur permettre une plus longue migration et symbolise clairement son parcours vers l'Europe ainsi que le V de ce cinquième album. RACHEL THERRIEN ATTEINT DES SOMMETS D'INTENSITé. -- JAZZ MAGAZINE --- LA DéFERLANTE THERRIEN ! --- LE MONDE --- 2015 GRAND PRIZE JAZZ AWARD 2016 STINGRAY JAZZ RISING STAR AWARD