Retrouvez les plus grands titres de la légende de la culture populaire américaine repris en Jazz. Tracklisting réalisé par Lionel Eskenazi, journaliste spécialiste du Jazz (Jazz Magazine).
Laissez-vous captiver par le talent de Ray Charles A l'occasion des 15 ans de sa disparition le 10 juin prochain, retrouvez les plus grands titres de l'inventeur de la soul sélectionnés pour vous par Lionel Eskenazi (Jazz Magazine)
Black midi, décrits comme the best new band in the UK that no one knows aboutpar le magazine NME annoncent un premier album très anticipé à paraître chez Rough Trade. Le quatuor énigmatique originaire de Londres s'est fait remarquer pour des concerts à guichets fermés à l'énergie contagieuse, qui leur ontl permis de se faire une place de choix sur la nouvelle scène underground. Black midi est un groupe particulièrement novateur et à la hauteur de groupes comme Fugazi, Public Image Ltd ou Shame.
Black midi, décrits comme the best new band in the UK that no one knows aboutpar le magazine NME annoncent un premier album très anticipé à paraître chez Rough Trade. Le quatuor énigmatique originaire de Londres s'est fait remarquer pour des concerts à guichets fermés à l'énergie contagieuse, qui leur ontl permis de se faire une place de choix sur la nouvelle scène underground. Black midi est un groupe particulièrement novateur et à la hauteur de groupes comme Fugazi, Public Image Ltd ou Shame.
Edité par CBS Records et sorti le 12 décembre 1980 au Royaume-Uni, Sandinista ! est le quatrième album du groupe britannique The Clash. Ce triple album contient trente six titres, six sur chaque face. Anticipant la tendance de la world music des années 1980, ce disque polyvalent mêle de nombreux styles : rock 'n' roll, rhythm and blues, reggae, calypso, dub, jazz, gospel, rap, soul, rockabilly et folk. L'album est classé 404e meilleur album de tous les temps par Rolling Stone Magazine. Le titre est une référence au mouvement révolutionnaire sandiniste du Nicaragua.
Lisa Portelli « Le Régal » premier album. « Lisa Portelli est impatiente. Elle a la rage. Vivement son disque d'impatiences » Didier Varrod (Magazine Serge). « La relève de la chanson française est assurée ! »(Le Nouvel Observateur). Lisa Portelli, Découverte du Printemps de Bourges, du Chantier des Francofolies et Lauréate Paris Jeunes Talents, impose à 24 ans un premier album plein de grâce. Elle cherche au plus profond de nous à faire vivre les émotions que seuls les plus grands savaient jusqu'ici éveiller. Lisa Portelli, entre audace musicale, humour corrosif et rayonnement sur scène, nous offre un album au titre prémonitoire : « Le Régal ».
High Violet est le cinquième album du groupe new-yorkais The National. Il a été classé par le magazine Rolling Stone à la 15ème place des meilleurs albums de 2010. Comme à l'accoutumée, le rock de The National, nourri des climats ténébreux de modèles anglais (Joy Division pour le chant grave et poignant de Matt Breninger, Echo and the Bunnymen pour le souffle romantique), est plutôt sombre, mélancolique. En évitant l'emphase qui déboule inévitablement sur les ronflants excès du rock héroïque (de U2 à Coldplay), The National s'en tient à ses paysages sonores en demi-teinte, à ses chansons au tempo moyen qui charrient ce sentiment de léger mal-être, de ne jamais se trouver là où on le voudrait, de s'accommoder péniblement d'un monde et d'un environnement oppressants. Comme pour se protéger, The National trousse ses douces mélopées avec une trompeuse apparence de modestie et de sobriété. Mais ses chansons hantées se révèlent vite autrement plus riches et touffues qu'il n'y paraît. Et, à l'image des discrets invités venus lui prêter main-forte (Sufjan Stevens, Justin Vernon alias Bon Iver...), le quintet prend délicatement possession de l'espace, nous enveloppe et nous transporte.
Remarquée par le label 4AD en 2014 avec un titre dévoilé sur Internet, Pixx, de son vrai nom Hannah Rodgers, y publie ‘Fall In’ l’année suivante, un premier EP dream pop aux atmosphères envoûtantes portées par une voix hypnotique qui n’est pas sans rappeler Elizabeth Fraser de Cocteau Twins. Du haut de ses 20 ans, la jeune femme originaire de Chipstead, dans la lointaine banlieue londonienne, passe le cap du premier album avec The Age of Anxiety. Laissant de côté les récits de coeurs brisés, Pixx se place de l’autre côté du miroir en tant qu’observatrice, souhaitant s’adresser à une génération de plus en plus isolée par un nouvel ordre mondial rythmé par la pression des médias sociaux et l’instabilité politique. Nommé d’après un poème de W.H Auden datant de 1947 sur un homme cherchant à combler le vide de sa vie et à se trouver une identité dans un monde en pleine révolution industrielle, ce premier opus est un excellent parallèle avec l’oeuvre du poète américain. La jeune Anglaise y développe une pop douce et rêveuse mais engagée, bâtie sur des rythmiques électroniques et portée par des guitares aériennes évoquant autant la new-wave 80’s que la folk. Membre de la très select liste des groupes à suivre du DIY Magazine, Pixx est bien passée pour être la nouvelle coqueluche d’un son 4AD retrouvé (pour certains).
Si vous êtes un amateur de « Mixed Martial Arts » (MMA), ce sport, autrefois appelé « free-fight », qui mélange boxe, kickboxing, karaté, muay-Thaï, sambo, judo et jiu-jitsu, vous avez peut-être déjà entendu parler de Kris Barras... En effet, pendant près de 10 ans, entre Las Vegas et la Thailande, il a combattu en « catégorie pro » de cette discipline, comptabilisant un le score de 14 victoires, 2 défaites et un nul. Désormais à la retraite, il continue tout de même entraîner des combattants dans son gymnase du Devon, d’enseigner la guitare et, surtout, de jouer avec son groupe : The Kris Barras Band. Outre Kris au chant et à la guitare, cette formation de blues rock se compose de Josiah J Manning (claviers), Elliott Blackler (basse) et Will Beavis (batterie) Ensemble, depuis quelques années ils écument les scènes européennes et ont sorti un premier album « Lucky 13 » en 2016. Depuis Kris Barras a tout de même été élu 13ème des 17 meilleurs guitaristes de blues de l'année 2017, élus par les lecteurs du site Music Radar et du magazine Total Guitar, deux références incontournables en matière de six cordes. Récemment signé par Mascot Label Group, le Kris Barras Band s’apprête à sortir son nouvel album le 23 mars prochain et est prêt à tout pour le défendre sur scène et non pas sur un ring, pour le plus grand bien de nos oreilles...
Le retour du guitariste de Cacophonie avec la participation de Steve Vai, Joe Bonamassa, Marty Friedman, Joe Satriani ! Jason Becker est le guitariste compositeur quiest atteint de SLA depuis 27 ans. La sclérose latérale amyotrophique (SLA), également appelée, dans le monde francophone, maladie de Charcot, est une maladie neurodégénérative des motoneurones qui provoque une paralysie générale. Il a commencé sa carrière de musicien à 17 ans au sein du groupe Cacophonie avec Marty Friedman (Megadeth). Ses albums en solo ont été une grande source d'inspiration pour toute la scène guitare, metal et rock. A 20 ans, il intègre le groupe du déjà très célèbre David Lee Roth, période au cours de laquelle, ils sortent l'album A Little Ain't Enough, le 4ème album de David Lee Roth qui deviendra rapidement Disque d'Or. C'est malheureusement, peu de temps après, que Jason sera diagnostiqué comme étant victime de SLA. En 2012 est sorti le documentaire Jason Becker : Not Dead Yet. Ce doc qui retrace la vie de Jason a été primé dans de nombreux festival. Il a également récemment fait la couverture du magazine GUITAR PLAYER, avec le titre de meilleur shredder de tous les temps ! Aujourd'hui, il continue à composer et à sortir des morceaux grâce à un système de communication inventé par son père qui bénéficie également désormais à d'autres personnes atteintes de cette maladie très rare et terrible. De nombreux invités de marque ont tenu à participer à ce projet hors norme : Steve Vai, Joe Bonamassa, Paul Gilbert, Neal Schon, Marty Friedman, Greg Howe, Richie Kotzen, Matt Bissonette, Gregg Bissonette, Joe Satriani, Trevor Rabin Aussi à l'écoute de cet album, on constate avec bonheur que la maladie n'a en rien entamé les capacités créatives et artistiques de Jason Becker !
Il aura fallu seulement quelques mois au quatuor Palma Violets pour exploser sur le devant de la scène britannique. Les quatre jeunes anglais s’installent dans un sous-sol londonien qui leur sert à la fois de squat et de studio de répétition en septembre 2011. Faute de trouver des concerts, ils improvisent des soirées en invitant leurs amis au studio pour leur jouer les morceaux au fil et à mesure de leur création. Ce studio se trouve à Lambeth, quartier populaire au sud de Londres qui n’est pas, au contraire de Camden par exemple, un vivier de la culture rock de la ville. Et pourtant, avec un bouche-à-oreille exponentiel, les fans et leurs amis se déplacent en nombre croissant pour assister à ces happenings. Rapidement, plus d’une centaine de personnes s’entassent régulièrement dans le minuscule sous-sol, sans climatisation ni fenêtre, forçant certain(e)s fans à se déshabiller ! Moins d’un an plus tard, le NME, la bible du rock anglais, se rend à une de ces soirées et le groupe fait la couverture du magazine alors qu’il n’est ni signé et n’a quasiment aucun concert à son actif ! Palma Violets signe dans la foulée sur le label Rough Trade et est invité au Festival Les Inrocks en novembre dernier pour un concert à la Boule Noire mémorable et assurément l’un des moments forts de cette édition.180, leur premier album, est le nom de ce studio où tout à commencé pour Palma Violets. On y retrouve toute la spontanéité et l’énergie communicative du groupe sur scène, mais aussi ses dons de mélodiste, véritable marque de fabrique des grands groupes de rock anglo-saxons. On n’est ainsi pas prêt de se lasser de son premier single ‘Best Of Friends’, tube instantané et imparable qui ouvre l’album de la plus belle des manières. Comparé inévitablement à Libertines et The Vaccines, le groupe rappelle aussi The Clash tout en faisant preuve d’une identité et d’une maturité très forte pour un premier album.
Il aura fallu seulement quelques mois au quatuor Palma Violets pour exploser sur le devant de la scène britannique. Les quatre jeunes anglais s’installent dans un sous-sol londonien qui leur sert à la fois de squat et de studio de répétition en septembre 2011. Faute de trouver des concerts, ils improvisent des soirées en invitant leurs amis au studio pour leur jouer les morceaux au fil et à mesure de leur création. Ce studio se trouve à Lambeth, quartier populaire au sud de Londres qui n’est pas, au contraire de Camden par exemple, un vivier de la culture rock de la ville. Et pourtant, avec un bouche-à-oreille exponentiel, les fans et leurs amis se déplacent en nombre croissant pour assister à ces happenings. Rapidement, plus d’une centaine de personnes s’entassent régulièrement dans le minuscule sous-sol, sans climatisation ni fenêtre, forçant certain(e)s fans à se déshabiller ! Moins d’un an plus tard, le NME, la bible du rock anglais, se rend à une de ces soirées et le groupe fait la couverture du magazine alors qu’il n’est ni signé et n’a quasiment aucun concert à son actif ! Palma Violets signe dans la foulée sur le label Rough Trade et est invité au Festival Les Inrocks en novembre dernier pour un concert à la Boule Noire mémorable et assurément l’un des moments forts de cette édition.180, leur premier album, est le nom de ce studio où tout à commencé pour Palma Violets. On y retrouve toute la spontanéité et l’énergie communicative du groupe sur scène, mais aussi ses dons de mélodiste, véritable marque de fabrique des grands groupes de rock anglo-saxons. On n’est ainsi pas prêt de se lasser de son premier single ‘Best Of Friends’, tube instantané et imparable qui ouvre l’album de la plus belle des manières. Comparé inévitablement à Libertines et The Vaccines, le groupe rappelle aussi The Clash tout en faisant preuve d’une identité et d’une maturité très forte pour un premier album.