Phil Collen, guitariste du groupe anglais Def Leppard et du groupe alternatif roots/rock Manraze, a fondé le groupe Delta Deep avec le souhait de revenir à ses racines blues. Le groupe a été comparé à « Aretha Franklin & Chaka Khan jouant du Led Zeppelin ! », non seulement grâce à des riffs qui empruntent au Delta mais également grâce à la voix soul de la chanteuse Debbi Blackwell-Cook. Le Elmore Magazine a écrit « Si vous aimez le rock’n roll émotionnel, spirituel et pourtant provocant, ne cherchez pas plus loin que Delta Deep ». Quant au Axis Magazine, la citation parle d’elle-même : « Si le but du groupe est de créer de la musique qui ranime la musique blues, leur mission est accomplie. » Album enregistré dans des conditions de concert chez « Daryl’s House » (du groupe Hall & Oates) en avril 2016.
La nouvelle sensation du rock anglais entre énergie foudroyante et désinvolture ! Les Londoniens de Shame se sont rapidement fait remarquer comme l’un des groupes les plus viscéraux et excitants en live, après avoir tourné au Royaume-Uni et en Europe. Après s’être fait leur place parmi la scène squat-punk de Brixton en 2015 où ils ont été pris sous l’aile de Fat White Family, la fureur de leurs représentations les a vite amenés à tourner avec des groupes comme Slaves et Warpaint. Shame s'est déjà fait une place en France en participant à des festivals comme La Route du Rock, Les Eurockéennes de Belfort, Pitchfork ou encore Art Rock. Le son glacial et claustrophobique de leurs compositions s’inscrit dans la lignée de groupes tels que Magazine et Joy Division. POUR CEUX QUI AIMENT The Fall, Fat White Family, Television Personalities, Wire, Joy Divison, Magazine
Le premier disque de l'Orchestre de chambre de la Baltique pour Rubicon - Strauss Metamophosen et Chostakovitch Chamber Symphony a été salué par le BBC Music Magazine et a été élu CD orchestral du mois à sa sortie. Ce nouvel album devrait recevoir un accueil tout aussi positif.
Soundtracks est une compilation de morceaux composés pour le cinéma. Cet album marque le départ du chanteur d’origine Malcolm Mooney, que l’on retrouve sur deux morceaux, et son remplacement par Damo Suzuki. En mars 2005, le magazine Q a placé Mother Sky dans sa liste des 100 meilleurs morceaux de guitare.
Soundtracks est une compilation de morceaux composés pour le cinéma. Cet album marque le départ du chanteur d’origine Malcolm Mooney, que l’on retrouve sur deux morceaux, et son remplacement par Damo Suzuki. En mars 2005, le magazine Q a placé Mother Sky dans sa liste des 100 meilleurs morceaux de guitare.
Après le ‘’Choc’’ du Monde de la Musique remporté par son premier album solo, puis le ‘’Choc’’ de Jazz Magazine en 2016 pour son interprétation remarquée du Concerto d’Andy Emler ‘’Ciel de Sable’’ avec l’Orchestre Victor Hugo, Yvan Robilliard revient en solo : The Unspoken se traduit par le non-dit... Choisir des couleurs, des rythmes, des paysages sonores, les mélanger au gré de ses envies, les façonner pour raconter une histoire, son histoire. « Le piano solo est un challenge. C’est une mise à nue complète où je suis face à moi-même et à mes auditeurs. C’est une prise de risque en permanence, sans filet, où tout peut arriver. Laisser mon inconscient prendre place pour aller vers l’inconnu et le partager avec mon public. Raconter mon histoire, tout l’amour que j’éprouve pour la musique, une de mes raisons de vivre qui me pousse chaque jour à donner toujours davantage. Voilà pour moi le défi à relever à chaque concert. Partage, Émotion, Énergie, Lâcher prise, Transmission, Authenticité, tels sont mes maîtres mots. » Yvan Robilliard « Cette nouvelle production du pianiste Yvan Robilliard est une petite merveille. Merveille d’engagement, de passion, d’expression forte, voire brutale, d’une musique vécue avec une rare intensité. » Jazz Magazine / Jazzman
L'album classique, paru chez Atlantic en 1955, de Lee Konitz avec Warne Marsh. Aux côtés des deux souffleurs, la rythmique locomotive formée par Oscar Pettiford et Kenny Clarke. Quatre titres bonus de Konitz et Marsh enregistrés quelques années plus tôt (1949) complètent cet album auréolé à l'époque des 5 étoiles prestigieuses du magazine Downbeat.
Il s'agit du premier vrai Best of de Drive-By Truckers, réunissant des morceaux de leur 8 albums : Southern Rock Opera, Decoration Day, The Dirty South, A Blessing & A Curse, Brighter Than Creations Dark et The Fine Print. Le groupe a été compilé par le groupe de Patterson Hood avec un livret écrit par David Fricke de Rolling Stone magazine. Le groupe a vendu quasiment 1 million d'albums.
La chanteuse Betty Roché était considérée comme l'une des meilleures vocalistes que Duke Ellington ait accueillie dans son orchestre durant les années 40 et 50. À une époque de transition entre le swing et le be bop, elle était l'une des rares chanteuses à pouvoir naviguer entre les genres aussi aisément, puisant au passage dans le gospel, la soul ou le west coast, tout en gardant absolument intact l'esprit du blues. Jonathan Glusman, (Journaliste, Jazz Magazine / Jazzman)
Plongez dans l'univers de LORD HURON - une folk d'une rare puissance, aérienne et enivrante ! Après plusieurs EPs remarqués et un premier album, Lonesome Dreams en 2012 que le magazine Rolling Stones n'hésitait pas à qualifier de « purement envoûtant », LORD HURON pose ses bagages à Los Angeles au Whispering Pines Studio afin d'enregistrer la suite attendue de leur dernier album. « Un peu à la manière d'un Bon Iver, Lord Huron distille un folk mélancolique très inspiré, entouré de musiciens de talent. » PLUGGED
TROIS ALBUMS CULTES RÉÉDITÉS EN VINYLES IDENTIQUES AUX ORIGINAUX ET EN 180GR + CD Sorti en 1973, le cinquième album studio des maîtres du heavy metal BLACK SABBATH, Sabbath Bloody Sabbath est un classique du genre. Après avoir sorti cinq albums en l’espace de quatre années, le groupe britannique nous offre un album à la production, aux arrangements et à l’artwork proches de la perfection. Ainsi, le magazine anglais Rolling Stone qualifia cet album de « rien de moins qu’un succès total ». Gatefold 180g identique à l’original.
Décrit par le BBC Music Magazine comme l'un des meilleurs schubertiens du moment, Shai Wosner démontre, avec Les Moments Musicaux et la Sonate en La D959, que cette citation lui va très bien. Comme il le dit lui-même dans les notes de livret du présent disque, la musique de Schubert possède ce rapport au temps unique, ce cheminement mélodique essentiel qui fait que lorsqu'une pièce commence, on ne sait pas si elle va durer cinq minutes ou cinquante minutes ! Toute la science du compositeur est là et Shai Wosner l'a bien compris : une interprétation libre et détachée, comme en apesanteur.
Le retour puissant et intriguant du groupe de Birmingham ‘Violence’ est le 6ème album d’Editors après trois ans d'absence. Il est produit par Leo Abrahams (Wild Beasts, Florence & The Machine, Frightened Rabbit) et Editors avec l’aide de Benjamin John Power (Blanck Mass, Fuck Buttons). Editors a dévoilé un premier single 'Magazine', hymne pop construit autour d’un refrain entrainant et puissant, qui marque un changement stylistique intriguant. Le groupe signe un retour aux sources et nous livre sans aucun doute un de ses meilleurs albums depuis The Back Room. Les premiers retours medias sont excellents. POUR CEUX QUI AIMENT INTERPOL, Bloc Party, White Lies, The National, Ghinzu
Le retour puissant et intriguant du groupe de Birmingham ‘Violence’ est le 6ème album d’Editors après trois ans d'absence. Il est produit par Leo Abrahams (Wild Beasts, Florence & The Machine, Frightened Rabbit) et Editors avec l’aide de Benjamin John Power (Blanck Mass, Fuck Buttons). Editors a dévoilé un premier single 'Magazine', hymne pop construit autour d’un refrain entrainant et puissant, qui marque un changement stylistique intriguant. Le groupe signe un retour aux sources et nous livre sans aucun doute un de ses meilleurs albums depuis The Back Room. Les premiers retours medias sont excellents. POUR CEUX QUI AIMENT INTERPOL, Bloc Party, White Lies, The National, Ghinzu
Un album puissant et mélodieux, à l’encontre de toute forme de frontière, nationalité ou religion Universal Citizen est le premier album du David Tixier Trio, déjà très remarqué sur la scène européenne et emmené par le pianiste et compositeur français David Tixier. Avec le bassiste suisse Rafael Jerjen et la batteuse croate Lada Obradovic, le trio présente son premier album avec deux invités renommés : Le guitariste américain Mike Moreno (repéré par Joshua Redman, Nicholas Payton, Kenny Garrett... et la rising-Star (d’après le magazine américain Down Beat) Sachal Vasandani au chant. POUR CEUX QUI AIMENT Kevin Hays, Michael Wollny, Tingvall Trio, Omer Klein
Les Everlys savaient ce qu'il fallait pour faire un tube : une bonne mélodie, une belle performance vocale et un groupe qui verrouille le groove. Rolling Stone Magazine Les Everly Brothers ont été en tête des hit-parades en Amérique et en Grande-Bretagne à la fin des années 50 et au début des années 60 avec une série de fabuleux succès. Ils ont établi des normes inégalées d'harmonie parfaite et ont insufflé au rock & roll des débuts certains des meilleurs éléments de la musique country et pop. De nombreux joyaux, ont été inclus dans ce coffret de CD essentiel, qui compile une grande sélection de singles pop de The Everlys au sommet de leur carrière - certains enregistrés par le label Cadence et d'autres par Warner Brothers. Cette sélection représente la crème de la crème des Everlys pendant leur période la plus riche en inspiration.
Après leur premier album Schwab Soro, sorti en 2014 et salué par la critique ( 'Choc de l'Année et '4 étoiles Jazz Magazine; 'Découverte Jazz News, 'Culture Jazz Oui !), le contrebassiste Raphaël Schwab et le saxophoniste Julien Soro s'envolent avec un nouvel opus naturellement intitulé Volons !. Sélectionné pour la tournée Jazzmigration 2016 pilotée par l'AJC, le duo parfait sur scène les nouvelles compositions écrites par Raphaël Schwab, et fait plus que jamais preuve de sa complicité, débordant de liberté, de fraîcheur et, fidèle à lui-même, rayonnant d'humour. Avec douceur ou avec puissance, creusant et croisant leur inspiration sur des morceaux frôlant parfois le lyrisme, Raphaël Schwab et Julien Soro affirment l'identité d'un univers musical à la fois singulier et poétique.
Avec plus de 100 000 albums vendus en France (dont certains sont devenus historiques), E.S.T. est l'un des groupes les plus innovants et incontestés des 10 dernières années. Leur musique libre et exubérante leur ont permis de conquérir un public très large au travers de concerts denses en émotions, et des albums aussi parfaits que singuliers. Tuesday in Wonderland, leur 10ème album est la suite de Viaticum (meilleur vente album jazz en Europe en 2005, provoquant la Une de Downbeat Magazine, en tant que premier et unique groupe européen à ce jour), et constitue en quelque sorte la clé pour un voyage spirituel qui s'ouvre sur de nouveaux mondes et vous guide à travers l'univers musical original du trio suédois. Un album magnifique qui confirme l'immense talent de compositeurs et d'interprètes et se place au sommet de leur art.
Après avoir passé dix ans à travailler aux côtés des plus grands de l'industrie du disque, le trio Stepkids se forme en 2009. Le groupe se fait vite remarquer grâce à son style unique de soul psyché moderne, mélange étonnant de jazz classique, R&B, funk et pop/rock des années 70. Leur premier album The Stepkids, qui sort en 2011 et leur performances live aux visuels psychédéliques leur permet de tourner avec Kimbra, Mayer Hawthorne, Grace Potter, Mates of State ou encore The Horrors. Ces expériences et cette nouvelle maturité s'entendent sur leur nouvel album, Troubadour. Sur l'album figurent le chanson du single « Sweet Salvation », sorti en 2012 ainsi que « The Lottery », en écoute sur le site du magazine Rolling Stone. Le groupe vient pari ailleurs de lancer une série de reprises jazzy de chanteurs pop tels que Rihanna, Justin Timberlake, ou encore de « Get Lucky » de Daft Punk.
Le légendaire Robert Johnson a été le premier bluesman moderne, faisant évoluer le blues du Delta dans les années 1930. Sa vie a pris fin prématurément et mystérieusement en 1938, à l'âge de 27 ans. Vers la fin des années 1950, il était devenu une figure mythique. Certains avaient entendu parler de lui, mais peu avaient écouté sa musique et tout a changé lorsque ce disque incontournable, King of the Delta Blues Singers, a été compilé et publié par Columbia en 1961. L'album contient seize enregistrements mono enregistrés à l'origine lors de deux sessions réalisées en 1936 et 1937, et qui ont suscité l'intérêt d'une toute nouvelle génération pour le blues du Delta. C'est aussi le premier album à être intronisé par la Blues Foundation au Blues Hall of Fame, et, en 2007, le magazine Mojo l'a classé numéro 6 sur sa liste des 100 disques qui ont changé le monde. Inclus 2 titres bonus : I Believe I'll Dust My Broom et le classique Sweet Home Chicago.
Si, en 2011, Dirty Radio, le premier album de SALLIE FORD & THE SOUND OUTSIDE, a créé la (bonne, très bonne) surprise, le nouveau, Untamed Beast, est une explosion rock'n'roll viscérale. Décrite comme un «croisement entre Ella Fitzgerald et Tom Waits» par le magazine anglais Uncut, SALLIE FORD s'est imposée comme l'une des voix féminines les plus marquantes du rock indépendant. Elle et son groupe, - TYLER TORNFELT (contrebasse), FORD TENNIS (batterie) et JEFFREY MUNGER (guitare) - ont enregistré les onze titres de l'album avec ADAM LANDRY et JUSTIN COLLINS (Deer Tick, Middle Brother) aux Jackpot! Studios à Portland, Oregon, leur ville d'adoption. Fini la chanteuse qui cherchait ses marques. Dans des textes directs, intelligents, et souvent salaces, SALLIE FORD malmène les notions traditionnelles de genres, dans tous les sens du terme. «Il est temps qu'une fille infiltre le monde masculin du rock'n'roll et le chope par les couilles.» On est prévenus.
Si, en 2011, Dirty Radio, le premier album de SALLIE FORD & THE SOUND OUTSIDE, a créé la (bonne, très bonne) surprise, le nouveau, Untamed Beast, est une explosion rock'n'roll viscérale. Décrite comme un «croisement entre Ella Fitzgerald et Tom Waits» par le magazine anglais Uncut, SALLIE FORD s'est imposée comme l'une des voix féminines les plus marquantes du rock indépendant. Elle et son groupe, - TYLER TORNFELT (contrebasse), FORD TENNIS (batterie) et JEFFREY MUNGER (guitare) - ont enregistré les onze titres de l'album avec ADAM LANDRY et JUSTIN COLLINS (Deer Tick, Middle Brother) aux Jackpot! Studios à Portland, Oregon, leur ville d'adoption. Fini la chanteuse qui cherchait ses marques. Dans des textes directs, intelligents, et souvent salaces, SALLIE FORD malmène les notions traditionnelles de genres, dans tous les sens du terme. «Il est temps qu'une fille infiltre le monde masculin du rock'n'roll et le chope par les couilles.» On est prévenus.
Nouvel album d'Inglorious mixé par le légendaire Kevin Shirley ! Acclamé l'avenir du rock britannique par le magazine Classic Rock, Inglorious lance son troisième album dans la continuité du succès remporté par II qui s'était positionné n°1 aux UK Rock Charts en 2017. Ride To Nowhere prouve une fois de plus la classe pure de ce groupe qui a gagné en maturité, en talent et en habileté. Inglorious a passé la majeure partie de l'année 2018 à enregistrer ce nouvel album qui est mixé par le légendaire Kevin Shirley (Led Zeppelin, Aerosmith). Des riffs à couper le souffle du premier single Where are you now aux belles mélodies de I Don't Know You, en passant par le rock puissant de Freak Show et la ballade acoustique Glory Days, ce disque est un véritable bijou. Il mélange les influences du groupe qui s'étendent du rock'n'roll des années 1970 au Hard Rock que l'on connait aujourd'hui. Au chant unique et puissant de Nathan James se superposent des riffs entraînants et des mélodies enchanteresses. Inglorious est sans aucun doute l'un des groupes de rock britannique les plus géniaux à avoir fait surface depuis des années.
Mor Karbasi a fait une entrée remarquée sur la scène musicale internationale en 2008 avec la sortie de son premier album The Beauty and the Sea. La jeune artiste de 24 ans a tout de suite été saluée par une critique unanime; «elle est capable de passer sans effort d'un souffle intimiste à un style intense, à gorge déployée. en vous entraînant au coeur de ses chansons, et livrant vos sens et vos émotions à un parcours de montagnes russes» écrivait alors le magazine anglais fRoots. Mor Karbasi chante en ladino, espagnol, hébreu. Elle possède une voix extraordinaire, don unique qu'elle n'a cessé de cultiver depuis l'enfance. Pour son second album, Daughter of the Spring (La Fille du printemps), la chanteuse explore ses racines : elle se remémore son enfance, ses parents, le feu de l'adolescence, le premier amour et la transmission des traditions au sein de se propre famille. Les voyages de Mor et son parcours personnel ont ainsi nourri les chansons, construites comme des synthèses entre expériences individuelles et traditions collectives, entre passé et présent. Accompagnée par le fidèle guitariste Joe Taylor et d'excellents musiciens, nul doute que Mor va conquérir avec ce bel album de nombreux nouveaux fans.
Les archéologues rock trouvent trace d'Outloud en 2004 en plein Athènes en Grèce. Fouillants dans les décombres, ils retrouvent la patte du Tony Kash, jeune éphèbe prenant des cours de guitares avec son maître Bob Katsionis du groupe FIREWIND. En se penchant sur les activités de ce prodige, ils constatent autour de lui une presence étrangère. Ce n'est que Chandler Mogel (USA) qui contacté n'avait pas hésité à rejoinder le Bob's studio chez les Héllènes. Ce trio enregistre en 3 jours des chansons à se taper le cul par terre. Jason Mercury, le meilleur pote de Tony, se voit offrir le poste de bassiste, alors que Bob appelle à la rescousse son ancien pote de Firewind, le vétéran Mark Cross. Les cinq de l'Acropole se mettent à jammer ensemble sur les titres existants et ajoutent d'autres idées et arrangements. Ils finissent alors de mettre la touché finale au son Outloud et en Septembre 2008, le groupe entre au Basement Studio à Athènes et enregistrent leur premier album. Mixé et masterisé par Tommy Hansen (Helloween, TNT, Pretty Maids), l'album fut décrit par la presse comme une mixture du Fire Down Under de Riot, du premier album de Skid Row, du Tell No Tales de TNT avec quelques éléments mélodiques de Foreigner. Le disque sort en Août 2009 - alors que Sverd T. Soth (Bare Infinity) remplace Jason Mercury à la basse juste après cette sortie - et reçoit d' excellentes critiques du monde entire, finissant même dans certains TOP Ten Albums, don't le Best Album of the Year pour BW&BK/Bravewords.com.Les deux vidéo clips de leurs singles We Run et Tonite (2010), dont chacun ont reçu plus de 100,000 visites sur Youtube, ont été dirigé par Bob. We Run a été classé #3 dans le Metal Hammer grecque en 2009 par le vote des électeurs lecteurs dans la catégorie BEST VIDEO CLIP et a été joué en rotation au MTV en Grèce. La compilation Metal Hammer Magazine DVD prend aussi ce titre dans son édition alors que «Track of the Day» figure sur le site web du Classic Rock Magazine en Juin 2009, ainsi que sur d'autres compilations tels que MelodicRock.com et Rock Hard. Outloud, sorti grand vainqueur d'une solide tournée en Grèce en 2009, et fort d'une apparition au petit écran devant plus d'un million de personnes, viennent de signer sur AOR Heaven pour la réalisation de leur nouvel opus, enregistré en été 2010 et une nouvelle fois produit par Bob et mixé et masterisé par Tommy Hansen. Le groupe deliver une performance memorable à la fois sonore et visuelle. Le single/video clip Waiting For Your Love, We Came To Rock, Live Again, Falling Rain, Isolation Game ou Someday sont quelques morceaux de bravoure qu 'Outloud deliver de façon époustouflante. Outloud a développé une prestation scénique des plus probantes, avec pas moins de 10 concerts en tête d'affiche en Grèce et 2 festivals. Outloud a ouvert pour Twisted Sister à Athènes l'été 2010 Summer et se prepare tel Ulysse à faire son Odyssée mondiale.
La chanteuse canadienne de jazz livre un travail d'orfèvre avec son nouvel album L'auteur-compositeur-interprète et pianiste canadienne Laila Biali, maintes fois primée, a tourné avec Chris Botti, Paula Cole, Suzanne Vega et Sting. Elle a fait la tête d'affiche de festivals et de salles sur les cinq continents, dont le Carnegie Hall. Elle a reçu un prix JUNO 2019 pour l'album de jazz vocal de l'année, le compositeur de l'année de la SOCAN et le claviériste de l'année aux National Jazz Awards du Canada, une nomination JUNO pour son enregistrement en studio Tracing Light une place sur la liste des meilleurs albums de l'année du magazine DownBeat pour son suivi de Live in Concert. Son dernier projet, un album éponyme sorti en janvier 2018, a fait ses débuts en première position sur iTunes Canada et a valu à Laila le premier prix de jazz au Concours d'écriture de chansons du Canada ainsi qu'un prix JUNO (Canadian GRAMMY). Et si Laila continue de remporter de grands honneurs dans le monde du jazz, c'est sa sonorité unique qui la distingue, car elle mélange magistralement le jazz et la pop, apportant virtuosité et imprévisibilité à des chansons concises et accrocheuses. (Washington Post). Elle revient avec un nouvel album dans la même veine que son travail précédent.
Le nouvel album studio très attendu du groupe primé Iamthemorning, figure de proue de la musique classique progressive. Après le succès de leurs deux albums studio sortis chez Kscope et de leur dernier film live Ocean Sounds, les auteurs-compositeurs russes Marjana Semkina et Gleb Kolyadin qui composent Iamthemorning sortent leur nouvel album, The Bell. Leur dévouement à un style d'écriture avant-gardiste leur a permis de créer une dynamique puissante. Ils ont notamment été soutenus par le magazine PROG en tant que l'un des groupes les plus importants de la musique progressive moderne, ce qui leur a valu le prix de l'album de l'année avec Lighthouse aux Progressive Music Awards 2016. The Bell est un mélange moderne de rock, de classique et de folk, qui utilise le modèle des lieder du XIXe siècle - un style établi par Schubert - qui raconte 10 histoires individuelles de douleur causée par la cruauté humaine. L'ingénierie et le mastering ont été réalisés par Vlad Avy, et enregistré en mars 2019 en Russie, au Royaume-Uni et au Canada dans plusieurs studios : Mosfilm à Moscou, Lendoc et Red Wave à Saint-Pétersbourg, Noatune à Londres, The Studio à Sunbeams, Penrith et Union Sound Company à Toronto. L'édition CD est un digisleeve accompagné d'un livret. L'édition LP est un vinyle 180g présenté dans un gatefold avec un livret format poster.
Avec leur vision globale du jazz, Esbjörn Svensson Trio (e.s.t.) fut sans doute l’un des plus admirés et des plus influents ensembles européens instrumentaux de la première décennie du nouveau millénaire. Ils ont rempli des stades de rock et ont atteint des publics non initiés au jazz. e.s.t. a régulièrement atteint le sommet des tops jazz aussi bien que pop et sont devenus le premier groupe d’Europe à faire la Une de l’illustre magazine de jazz US Downbeat ! La disparition tragique du pianiste, compositeur et leader Esbjörn Svensson, en juin 2008, dans un accident de plongée sous-marine, met un terme à l’existence de la formation. Huit ans ont passé et c’est sans doute le moment approprié pour non seulement célébrer leur musique, mais aussi commencer à mesurer le riche héritage discographique laissé par le groupe. C’est le but de ce nouveau disque : e.s.t. SYMPHONY, qui sort sur le même label que le trio : ACT. Il bénéficie de la main habile et de la musicalité colorée et expressive d’un arrangeur et chef d’orchestre estimé : le suédois Hans Ek. Il a arrangé une sélection de compositions d’Esbjörn parmi les 13 disques du trio pour en faire son canevas orchestral. Interprété par le Royal Stockholm Philharmonic Orchestra, les orchestrations de Ek s’intègrent aux quelques solistes scandinaves : le saxophoniste Marius Neset, le trompettiste Verneri Pohjola, le pianiste Iiro Rantala et le guitariste pedal-steel Johan Lindstrom, membre de Tonbruket, un groupe mené par le bassiste d’e.s.t. Dan Berglund qui est clairement la clé de voûte de ce projet aux côtés de son ancien partenaire batteur Magnus Öström.
« Ce septet plein d'énergie porte son nom comme s'il était investi d'une mission. Riche avec un mélange d'élégance classique et d'exploration, le groupe peut évoquer le passé de par son nom, mais il sonne toujours au minimum très tendance. » The Los Angeles Times Vous ne pouvez pas acheter l'expérience et The Cookers en ont en abondance; le groupe a 250 ans d'expérience cumulée dans le monde du jazz. Ses membres ont participé à plus de 1.000 enregistrements. Billy Harper, Cecil McBee, George Cables, Eddie Henderson et Billy Hart, chacun meneur de groupe en leur temps, ont débarqué dans l'exaltante période des années 60. Sur Time and Time Again..., on peut sentir les décennies de pratique que ces vétérans ont accumulées dans des formations comme celles de Lee Morgan, Herbie Hancock, Charles Lloyd, Max Roach, Art Blakey et beaucoup d'autres. Fruit de cette expérience collective s'est épanouit un savoirfaire unique, grâce auquel ce groupe a gagné sa renommée mondiale; une approche profondément mélancolique faite de sophistication harmonique. « Si vous vous demandez ce qui est arrivé à toute la passion et l'intensité, qui constituaient jadis les ingrédients essentiels d'un vrai swinging jazz et qui sont maintenant littéralement inexistants dans les productions d'aujourd'hui, vous les retrouverez chez The Cookers », explique Tony Hall dans JazzWise Magazine (UK). David Weiss, et le dernier membre arrivé dans le groupe, le saxophoniste alto Donald Harrison, issu d'une plus jeune génération, partagent cette même passion, cette même intensité avec aplomb. Les compositions sur ‘'Time and Time Again retracent plus de 40 ans; d'une version revisitée de la chanson de Billy Harper ‘'Sir Galahad‘' qu'il avait enregistrée sur son premier album ‘'Capra Black en 1973, à deux tout nouveaux morceaux du bassiste Cecil McBee qui fait ses débuts sur cet album.
APRÈS PLUSIEURS EP ET UN ALBUM qUI A ÉTÉ ENCENSÉ PAR LES MÉDIAS À L'INTERNATIONAL (NME/GUARDIAN/INROCKS) ET qUI ONT PERMIS A BRETON, DE S'INSTALLER PARMI LES RÉVÉLATIONS DE LA SCÈNE UK CES DERNIERES ANNÉES LE COLLECTIF LONDONIEN EST DE RETOUR AVEC UN NOUVEL ALBUM «WAR ROOM STORIES» commencé par jouer dans des salles de concerts parce qu'il était plus facile d'y projeter ses films en live plutôt que dans des espaces artistiques plus traditionnels mais moins accessibles, le groupe a vite compris que la musique était devenue un de ses moyens d'expression à part entière. «Blanket Rules», son EP paru en 2012, commence à susciter de l'intérêt à plus grande échelle, jusqu'à bénéficier du soutien du Guardian, de XFM et du NME, tandis qu'«Other People's Problems» (enregistré à Londres, au Lab et sorti en 2012) est encensé par la critique, légitimant Breton comme l'un des meilleurs espoirs de l'année. Le NME a qualifié le disque de «simplement brillant» et «vital», soulignant que son véritable bouillonnement laissait penser que le groupe «n'avait fait qu'effleurer la surface de son talent», tandis que BBC Music faisait l'éloge d'un album «grand public à sa manière» et que le magazine Clash qualifiait Breton «d'agitateurs sonores». Après une année passée à tourner sans répit et à écumer les festivals à travers le monde, Breton s'est isolé, en 2013, pour concevoir «War Room Stories», leur second album dont les chansons ont été enregistrées pendant l'été au Funkaus, un ancien studio de radio abandonné d'un quartier sinistre de Berlin. Rempli de tout l'attirail que l'on trouve dans un ancien studio d'effets spéciaux, et niché dans le quartier très industriel et tout sauf branché de Mitte, le Funkaus a parfaitement répondu au besoin d'expérimentation inné de Breton. Toujours stimulant et repoussant sans cesse les barrières de ce que signifie être musiciens en 2013, «War Room Stories» est le deuxième chapitre de l'histoire d'un groupe qui n'a pas peur de prendre des risques, ni de voir les choses (un peu) différemment.
À PLUS DE 80 PRINTEMPS, ROLF KÜHN CONTINUE DE DÉFRICHER DE NOUVEAUX TERRITOIRES SONORES. Il est difficile de ne pas tendre instinctivement l’oreille lorsque l’on entend parler d’un nouvel album de Rolf Kühn, en tous cas pour celles et ceux qui connaissent sa musique tant le personnage est intéressant. Rolf Kühn est un de ces musiciens qui a toujours été à l’évidence davantage guidé par la substance de la musique que par la nécessité de coller à une posture. Il subsiste les traces de toutes les musiques qu’il a pu incorporer au fil de sa longue carrière. De sa période big band des années 40/50 (Tommy Dorsay/Benny Goodman) il reste le swing et certaines inflexions old school jamais anachroniques tant elles sont intégrées dans un ensemble cohérent et personnel. De sa période plus aventureuse avec son frère (Rolf & Joachim Kühn quartet ou Rolf Kühn Jazzgroup) il reste le goût d’une aventure vers des territoires plus incertains mais toujours contrôlés et tempérés par son accrochage à la structure tel qu’il le travaillait notamment dans sa période plus funk et plus arrangée (Total Space/ Symphonic Swampfire). Quand on connaît la discographie de ce musicien on sait qu’aucun choix, aucune inflexion n’a été opportuniste; de fait en jouant du free, du funk arrangé ou du rock psychédélique, Rolf Kühn a toujours joué du Rolf Kühn et en 2017 à 88 ans il joue toujours du Rolf Kühn sans que cela soit le moins du monde daté. Ce nouvel album sort sur le label Edel mais avec la seconde marque MPS ravivant ainsi le mythique label allemand des 70’s pour lequel Kühn grava quelques belles faces. Neuf compositions originales plus deux standards (« Laura », « Autumn Leaves ») composent cet album qui voit la participation remarquée d’Ed Motta, Asja Valcic, Joachim Kühn, etc. Duo, trio, quartet : le pétulant et toujours curieux quadragénaire brille de mille feux et, évitant tous les clichés, grave un magnifique album entre jazz, classique et musique de chambre. (inclus extraits chronique CD Olivier Delaporte / ImproJazz Magazine).
Emile Parisien (33 ans), collectionne depuis quelques années trophées et récompenses. En 2009, année de son « décollage », il est Talent Jazz Sacem, Lauréat Jazz Migration Afijma et Jazz Primeur du Ministère de la Culture; en 2012 il obtient le Prix Django Reinhardt de l'Académie du Jazz et enfin, en 2014 il décroche une Victoire du Jazz? Palmarès impressionnant. Très sollicité sur la scène hexagonale comme sur la scène européenne, il jongle, difficilement, avec un agenda surbooké pour trouver des « créneaux » compatibles avec ses engagements multiformes. En octobre 2014 à Toulouse, Emile rencontre Joachim Kühn et le courant passe immédiatement. Lorsqu'il propose au pianiste de participer à la résidence marciacaise la réponse est tout de suite positive. « Cette rencontre est une suite logique de mon travail avec Daniel Humair et Jean-Paul Célea. Ils ont tous deux fait de nombreux concerts avec Kühn dont ils gardent des souvenirs éblouissants. Kühn enregistre sur le même label que moi et il m'a dit avoir écouté et apprécié mon disque chez ACT. Avec Daniel nous jouons souvent des thèmes de Kühn. Quand nous avons travaillé le projet Yes Ornette avec Celea il m'a rappelé que Kühn est le seul pianiste qui a joué avec Ornette? Cela m'a donné l'idée de lui proposer cette résidence car nos esthétiques sont voisines. Une sorte de post-free, canalisé, organisé, avec beaucoup d'énergie. » Pour compléter le groupe, dans une démarche de type « trans-générationnelle » (Kühn a 71 ans? et une vitalité incroyable), Emile a choisi Manu Codjia (40 ans) un des baby-boomers de Daniel Humair (il fut son élève dans la classe jazz du CNSM) qui est lui aussi sollicité de toutes parts pour participer à des nombreux groupes et projets. Plus un tandem rythmique inédit : le contrebassiste Simon Tailleu (32 ans), diplômé lui aussi du CNSM, choisi pour sa solidité et son groove et le « petit jeune », quasi-inédit en France, Mario Costa (29 ans) batteur portugais avec lequel Emile a joué et enregistré au Portugal (CD Particula 2012 avec Dominique Pifarély). En 4 jours de répétitions intenses et chaleureuses ce surprenant casting a généré un groupe créatif, enthousiaste, joyeux et soudé. Chaque composition génère une grande variété de climats avec de belles alternances entre écritures et improvisations. Parisien impressionne non seulement par sa virtuosité technique, mais aussi par une qualité de sonorité pas si fréquente chez les sopranistes : ample, généreuse, chaleureuse, avec quelques bruitages et autres harmoniques agencés avec pertinence. Le quintet offre une belle illustration du concept Humairien de « liberté contrôlée ». Ardonceau Pierre-Henri (blog Jazz Magazine).