Bob Dylan disait : « Si vous voulez écouter un bon chanteur, écoutez Dion » Dion, un artiste de la première génération rock'n'roll toujours créatif. Avec ce premier album de blues, il remonte aux racines de sa musique avec des titres originaux pour la plupart. Dion n'a jamais arrêté de faire de la musique car le public n'a jamais cessé de l'écouter.
Après 4 album studio, voici le premier live DVD du groupe celtique rock Celtica - Pipes Rock! Enregistré le 4 août au Montelago Celtic Festival en Italie en compagnie d'un choeur et d'un orchestre symphonique, le groupe livre sa meilleure prestation scénique à ce jour. Le dernier album Steamphonia avait déjà des éléments symphoniques. Huit des meilleurs morceaux ont été sélectionnés pour être interprétés avec Voices and Orchestra Compagnia della Piuma. Il a fallu écrire des centaines de pages de musique et le groupe a répété intensément à Sienne en Italie des mois avant le concert mais tout ce travail créatif en valait la peine : le concert est fantastique ! 23 morceaux et 1h44 de musique capturant l'atmosphère incroyable de cette nuit unique.
Né en Louisianne, Marc Broussard a été biberonné par la musique de son père Ted, guitariste de The Boogie Kings et membre du Hall of Fame de Louisianne. La scène vibrante de Lafayette lui a permis d'exercer son art de l'enfance à l'âge adulte. Après un premier EP autoproduit à 20 ans, il signe avec Island Records et sortira plusieurs albums en major aux cours des 10 années suivantes. Il décide plus récemment de retourner à ses racines indépendantes, ce qui lui permet d'être plus créatif, plus productif, et plus libre. Ainsi en 2016 il réalise avec succès un album de reprises soul dont il reverse la moitié des bénéfices à l'oeuvre de charité City of Refuge. Avec son nouvel album enregistré à Carmel, en Californie, Marc démontre sa facilité à passer de la soul à la pop, de la country au jazz. La plupart des morceaux ont été co-écrits avec son ami de longue date Jimmy McGorman que l'on retrouve également à la production. Si la plupart des chansons sont de nouvelles compositions, on trouve tout de même trois reprises : Baton Rouge de Frankie Miller, I'll Stand by You de The Pretenders et une sublime interprétation du Mercy Mercy Me de 1971 de Marvin Gaye. A l'inverse de son effort précédent, Marc opte pour des arrangements et interprétations plus personnelles. Le slow-funk du morceau Anybody Out There écrit de la perspective d'un sans-abris et le douloureux R&B de Wounded Hearts s'inscrivent profondément dans la tradition bayou soul de la Nouvelle-Orléans et peuvent évoquer The Neville Brothers. I Miss You, compagnon de route idéal, le catapulte aux côtés de Tom Petty et Bruce Springsteen, alors que Don't be Afraid to Call Me est une ode à d'anciens amis, perdus en cours de route, habitée par une magnifique mélodie.
UN 2èME ALBUM SOUS FORME DE KALéIDOSCOPE POP FOLK 60S PSYCHé LP COULEUR ENREGISTRé PAR MAC DEMARCO FEAT. WEYES BLOOD Avant 2009 Michael Collins n'avait jamais touché un instrument, 4 ans plus tard il sortait The End of Comedy sous le nom de Drugdealer. Ce premier album écrit sous la perspective d'un auditeur et non d'un musicien, et qui invitait notamment Ariel Pink, l'a inscrit durablement dans la scène underground de Los Angeles. A une époque où tout est accessible immédiatement, Michael se demande si le monde a vraiment besoin d'un nouveau film d'amour, d'une nouvelle mélodie. Sur Raw Honey, il colore ces énigmes existentielles avec des arrangements luxuriants, des mélodies mémétiques et des harmonies vulnérables qui tentent de donner un sens au doute personnel et à la solitude interconnectée. Construit sur le partenariat créatif entre Michael, Sasha Winn (chant) et Shags Chamberlain (basse, production), Drugdealer s'apparent plus à un collectif qu'un groupe. Enregistré par Mac DeMarco, ce deuxième album invite Josh Da Costa (batterie), Jackson MacIntosh (guitare), Danny Garcia (guitare), Michael Long (guitare solo) et Benjamin Schwab (choeurs, guitare, orgue, piano, Wurlitzer), ainsi que le chanteur Dougie Poole sur Wild Motion, Harley Hill-Richmond sur Lonely et Natalie Mering, alias Weyes Blood, qui chante doucement avant de monter en puissance sur Honey, une piste aussi onctueuse que le nectar lui-même. Tout au long de Raw Honey, Michael et son équipe affichent leurs influences telle une nouvelle tapisserie tissée de fils recyclés de milliers de tapisseries qui ont coloré notre histoire collective. Avec une oreille pour créer des mélodies qui semblent à la fois contemporaines et classiques et un processus moderne de création qui cultive et épouse les influences, Michael fait fi des conventions sociales préférant exprimer les doutes qu'il pose sur lui même et jouer le rôle d'étoile polaire pour guider les personnes avec une sensibilité similaire, où qu'elles souhaitent aller.
UN 2èME ALBUM SOUS FORME DE KALéIDOSCOPE POP FOLK 60S PSYCHé LP COULEUR ENREGISTRé PAR MAC DEMARCO FEAT. WEYES BLOOD Avant 2009 Michael Collins n'avait jamais touché un instrument, 4 ans plus tard il sortait The End of Comedy sous le nom de Drugdealer. Ce premier album écrit sous la perspective d'un auditeur et non d'un musicien, et qui invitait notamment Ariel Pink, l'a inscrit durablement dans la scène underground de Los Angeles. A une époque où tout est accessible immédiatement, Michael se demande si le monde a vraiment besoin d'un nouveau film d'amour, d'une nouvelle mélodie. Sur Raw Honey, il colore ces énigmes existentielles avec des arrangements luxuriants, des mélodies mémétiques et des harmonies vulnérables qui tentent de donner un sens au doute personnel et à la solitude interconnectée. Construit sur le partenariat créatif entre Michael, Sasha Winn (chant) et Shags Chamberlain (basse, production), Drugdealer s'apparent plus à un collectif qu'un groupe. Enregistré par Mac DeMarco, ce deuxième album invite Josh Da Costa (batterie), Jackson MacIntosh (guitare), Danny Garcia (guitare), Michael Long (guitare solo) et Benjamin Schwab (choeurs, guitare, orgue, piano, Wurlitzer), ainsi que le chanteur Dougie Poole sur Wild Motion, Harley Hill-Richmond sur Lonely et Natalie Mering, alias Weyes Blood, qui chante doucement avant de monter en puissance sur Honey, une piste aussi onctueuse que le nectar lui-même. Tout au long de Raw Honey, Michael et son équipe affichent leurs influences telle une nouvelle tapisserie tissée de fils recyclés de milliers de tapisseries qui ont coloré notre histoire collective. Avec une oreille pour créer des mélodies qui semblent à la fois contemporaines et classiques et un processus moderne de création qui cultive et épouse les influences, Michael fait fi des conventions sociales préférant exprimer les doutes qu'il pose sur lui même et jouer le rôle d'étoile polaire pour guider les personnes avec une sensibilité similaire, où qu'elles souhaitent aller.
UN 2èME ALBUM SOUS FORME DE KALéIDOSCOPE POP FOLK 60S PSYCHé LP COULEUR ENREGISTRé PAR MAC DEMARCO FEAT. WEYES BLOOD Avant 2009 Michael Collins n'avait jamais touché un instrument, 4 ans plus tard il sortait The End of Comedy sous le nom de Drugdealer. Ce premier album écrit sous la perspective d'un auditeur et non d'un musicien, et qui invitait notamment Ariel Pink, l'a inscrit durablement dans la scène underground de Los Angeles. A une époque où tout est accessible immédiatement, Michael se demande si le monde a vraiment besoin d'un nouveau film d'amour, d'une nouvelle mélodie. Sur Raw Honey, il colore ces énigmes existentielles avec des arrangements luxuriants, des mélodies mémétiques et des harmonies vulnérables qui tentent de donner un sens au doute personnel et à la solitude interconnectée. Construit sur le partenariat créatif entre Michael, Sasha Winn (chant) et Shags Chamberlain (basse, production), Drugdealer s'apparent plus à un collectif qu'un groupe. Enregistré par Mac DeMarco, ce deuxième album invite Josh Da Costa (batterie), Jackson MacIntosh (guitare), Danny Garcia (guitare), Michael Long (guitare solo) et Benjamin Schwab (choeurs, guitare, orgue, piano, Wurlitzer), ainsi que le chanteur Dougie Poole sur Wild Motion, Harley Hill-Richmond sur Lonely et Natalie Mering, alias Weyes Blood, qui chante doucement avant de monter en puissance sur Honey, une piste aussi onctueuse que le nectar lui-même. Tout au long de Raw Honey, Michael et son équipe affichent leurs influences telle une nouvelle tapisserie tissée de fils recyclés de milliers de tapisseries qui ont coloré notre histoire collective. Avec une oreille pour créer des mélodies qui semblent à la fois contemporaines et classiques et un processus moderne de création qui cultive et épouse les influences, Michael fait fi des conventions sociales préférant exprimer les doutes qu'il pose sur lui même et jouer le rôle d'étoile polaire pour guider les personnes avec une sensibilité similaire, où qu'elles souhaitent aller.
Roots of Confusion Seeds of Joy est là, et on pourrait dire qu'il était temps ! Praticiens d'une forme de plus en plus rare d'alchimie musicale, Major Stars s'impose comme l'antidote à toutes sortes de traumatismes causés par le monde réel. écouter un de leurs albums revient à être catapulté dans un monde rock 'n' roll d'abstraction, de diffraction et, finalement, de douce distraction. D'où viennent donc ces Roots of Confusion, ces Seeds of Joy ? Comment, après plus de 20 ans à faire des disques peut-on en revevenir aux racines et aux graines ? Qui sait ! C'est peut-être lié à Motion Set, le précédent disque de Major Stars, qui n'a que deux ans d'âge; les précédentes gestations inter-album étaient d'une durée plus redoutable de 3 ou 4 ans. Ajoutez un album solo de Wayne Rogers à paraître bientôt et il est assez clair que chez Major Stars, le courant créatif est dans une phase actuelle d'hyper-activité, au dynamisme irrépressible ! Dans des moments pareils, il est facile de se sentir connecté à ses sources - et vous le sentirez aussi dès la première écoute... Leur usage de trois guitares affecte la profondeur de champ de manière diabolique, et bien qu'il soit facile de décrire ce que font les Major Stars en termes de grandiloquence, cela réduit le nombre d'éléments tactiles du groupe. Mais qu'y pouvons-nous ? Les aspects agressifs de cette musique, qui pourtant nous transportent, ont tendance à prendre les auditeurs par le col et à les secouer un peu. Si les perceptions de l'architecture sonore se perdent dans la mêlée, eh bien, c'est un peu le but. Le nouveau chanteur Noell Dorsey, un vétéran de nombreux autres projets, apporte un nouvel élément sonore exaltant au mixage, y compris plusieurs passages de voix harmoniques ! En clair, l'éclat psychique éternel pour lequel les Major Stars sont connus abonde en coups de théâtre raffinés sur Roots of Confusion Seeds of Joy. Seth Manchester a fourni une ingénierie complètement moderne chez Machines with Magnets à Pawtucket, RI, utilisant un certain nombre d'appareils analogiques pour saisir les particularités de chacune des chansons, puis a utilisé de façon transparente des facultés numériques pour mixer. Tout cela, plus un joli dessin de Robert Beatty sur une pochette tip-on Stoughton, fait de cet album une rencontre libératrice qui n'est rien de moins qu'un véritable besoin de nos jours.