Régis Loisel s'est pourtant attelé à la tâche avec grâce et humilité, mêlant ainsi les ambiances féeriques et lumineuses de James Matthew Barrie aux atmosphères londoniennes sombres mais romantiques de Dickens. Non content de s'approprier avec brio un classique de la littérature, Loisel fit entrer le lecteur ébahi dans les méandres tourmentés de la psychologie humaine, maniant avec honnêteté des notions délicates et taboues, comme la maternité non assumée, la violence des enfants, la vengeance, le complexe d'OEdipe...
Régis Loisel s'est pourtant attelé à la tâche avec grâce et humilité, mêlant ainsi les ambiances féeriques et lumineuses de James Matthew Barrie aux atmosphères londoniennes sombres mais romantiques de Dickens. Non content de s'approprier avec brio un classique de la littérature, Loisel fit entrer le lecteur ébahi dans les méandres tourmentés de la psychologie humaine, maniant avec honnêteté des notions délicates et taboues, comme la maternité non assumée, la violence des enfants, la vengeance, le complexe d'OEdipe...
Régis Loisel s'est pourtant attelé à la tâche avec grâce et humilité, mêlant ainsi les ambiances féeriques et lumineuses de James Matthew Barrie aux atmosphères londoniennes sombres mais romantiques de Dickens. Non content de s'approprier avec brio un classique de la littérature, Loisel fit entrer le lecteur ébahi dans les méandres tourmentés de la psychologie humaine, maniant avec honnêteté des notions délicates et taboues, comme la maternité non assumée, la violence des enfants, la vengeance, le complexe d'OEdipe...
Régis Loisel s'est pourtant attelé à la tâche avec grâce et humilité, mêlant ainsi les ambiances féeriques et lumineuses de James Matthew Barrie aux atmosphères londoniennes sombres mais romantiques de Dickens. Non content de s'approprier avec brio un classique de la littérature, Loisel fit entrer le lecteur ébahi dans les méandres tourmentés de la psychologie humaine, maniant avec honnêteté des notions délicates et taboues, comme la maternité non assumée, la violence des enfants, la vengeance, le complexe d'OEdipe...
Régis Loisel s'est pourtant attelé à la tâche avec grâce et humilité, mêlant ainsi les ambiances féeriques et lumineuses de James Matthew Barrie aux atmosphères londoniennes sombres mais romantiques de Dickens. Non content de s'approprier avec brio un classique de la littérature, Loisel fit entrer le lecteur ébahi dans les méandres tourmentés de la psychologie humaine, maniant avec honnêteté des notions délicates et taboues, comme la maternité non assumée, la violence des enfants, la vengeance, le complexe d'OEdipe...
Régis Loisel s'est pourtant attelé à la tâche avec grâce et humilité, mêlant ainsi les ambiances féeriques et lumineuses de James Matthew Barrie aux atmosphères londoniennes sombres mais romantiques de Dickens. Non content de s'approprier avec brio un classique de la littérature, Loisel fit entrer le lecteur ébahi dans les méandres tourmentés de la psychologie humaine, maniant avec honnêteté des notions délicates et taboues, comme la maternité non assumée, la violence des enfants, la vengeance, le complexe d'OEdipe...
Quatorze jeunes garçons, pensionnaires d’un collège en Nouvelle-Zélande, se retrouvent piégés sur une goélette à la dérive au large du Pacifique. Lorsque leur navire fait naufrage sur une île visiblement déserte, ils doivent apprendre à s’organiser pour vivre par eux-mêmes et chercher des secours. Mais des rivalités ne tardent pas à apparaître au sein de la petite communauté. D’autre part, en explorant les lieux, les quatorze aventuriers découvrent que l’île recèle bien des secrets...Redécouvrez un classique de la littérature d’aventure en BD ! Les auteurs ont insufflé de la modernité à la robinsonnade de Jules Verne pour en livrer une série grand public dans la lignée de Seuls ou Esteban. Une trilogie qui paraîtra intégralement dans l’année 2018.
La campagne française, à la fin du XIXe siècle.Comme à chaque rentrée scolaire, entre les deux villages voisins de Longeverne et Velrans, c'est la guerre... Une guerre terrible, menée par les valeureux Lebrac et l'Aztec du Gué et émaillée de tactiques inédites comme la bagarre tout nu ! En effet, la suprême humiliation des vaincus étant de voir leurs boutons de culotte pillés par les vainqueurs, les courageux soldats sont prêts à tout pour sauvegarder leur honneur...Ce roman de Louis Pergaud publié en 1912 est l'un des plus célèbres récits d'enfance de la littérature. Il fleure bon l'amitié indéfectible, les bobos sur les genoux et l'encre des porte-plume d'écolier ! En voici une adaptation toute en rondeur, enfantine et potache !
Une île pas tout à fait déserte...Nos quatorze jeunes naufragés découvrent qu’ils ne sont pas tout à fait seuls sur leur île… Une jeune femme, bientôt rejointe par une bande de pirates va bousculer le quotidien qu’ils avaient réussi à recréer pendant leurs mois de solitude. Après avoir appris à survivre face aux éléments et à la nature impitoyable, ils vont devoir apprendre à se défendre contre une autre forme de menace. Car après tout, n’est-ce pas dans le cœur des hommes que se cache le plus terrible des dangers ?Redécouvrez un classique de la littérature d’aventure en BD ! Les auteurs ont insufflé de la modernité à la robinsonnade de Jules Verne pour en livrer une série grand public dans la lignée de Seuls ou Esteban. Une trilogie qui paraîtra intégralement dans l’année 2018.
En 1815, Jacquou naît à Comberges, pauvre métairie dépendante du château de l'Herm. Son père, qui travaille pour le comte de Nansac, meurt au bagne, condamné pour un meurtre qu'il n'a pas commis. En exil, sa mère succombe à son tour des suites d'une existence trop rude. À l'âge de neuf ans, Jacquou devient orphelin. Seul au monde, il erre de village en village jusqu'à être recueilli par le curé de Fanlac. Grâce à lui, Jacquou s'en sortira, mais il n'oubliera jamais le sort de ses parents. En grandissant, il apprendra à transformer son désir de vengeance en un combat contre les injustices et à faire payer le cynique comte de Nansac.Dans la lignée de La Guerre des boutons et de Poil de carotte, Christophe Lemoine et Cécile entreprennent d'adapter un nouveau classique de la littérature française afin de le faire découvrir aux plus jeunes.
Carlotta est une vaste mégapole tentaculaire bâtie sur les lambeaux de l'Ancien Monde. Un monde glacial où la haine des hommes est entretenue par un empereur déchu du nom de Wolfgang Miyake. C'est dans cet univers instable et violent qu'évolue une histoire d'amour qui dépeint avec fougue la déchirure de deux êtres, un automate du nom de Jam et une fée inachevée par son créateur. Deux héros imaginaires qui s'aiment depuis des siècles et qui mettront tout en oeuvre pour se retrouver et conserver la pureté qu'ils portent en eux. Baroque, merveilleux et décadence règnent en maîtres absolus dans cet album. Les auteurs nous entraînent dans un conte original, peuplé de ballerines, poupées, pantins et marionnettes, qui s'animent grâce au trait brillant et à la magie des couleurs de Béatrice Tillier alliés au souffle poétique de Téhy. Les deux créateurs tirent ainsi les ficelles de ces petits personnages qui nous renvoient à la douceur de l'enfance, à la féerie des rêves, et qui ne manquent pas de nous faire penser à toute une littérature, de Collodi au Magicien d'Oz...
L'oeuvre majeure d'un auteur essentiel.La création est un acte délicat. Elle l'est plus encore lorsqu'il s'agit de donner une nouvelle vie à un personnage aussi mythique que Peter Pan. Régis Loisel s'est pourtant attelé à la tâche avec grâce et humilité, mêlant ainsi les ambiances féeriques et lumineuses de James Matthew Barrie aux atmosphères londoniennes sombres mais romantiques de Dickens. Non content de s'approprier avec brio un classique de la littérature, Loisel fit entrer le lecteur ébahi dans les méandres tourmentés de la psychologie humaine, maniant avec honnêteté des notions délicates et taboues, comme la maternité non assumée, la violence des enfants, la vengeance, le complexe d'oedipe...Peter Pan est une série emblématique du catalogue Vents d'Ouest et un incontournable de la bande dessinée. Retrouvez enfin l'oeuvre majeure de Loisel dans une intégrale inédite à la fabrication soignée. Un très bel objet pour une oeuvre unique, tout simplement indispensable, à la puissance dramatique et poétique, servie par un dessin d'une beauté et d'une expressivité affolantes.
Un dandy au pays des bandits !Lord Harold Alaister Cunningham Talbot, douzième du nom, est l'héritier de l'une des plus grandes familles de l'Angleterre victorienne. Mais alors que ses nobles ascendances lui assureraient un train de vie confortable et sans effort, ce grand amateur de littérature romanesque décide de se plier à la dure loi du travail en mettant les fruits de sa prestigieuse éducation au service de la police. Et pas n'importe où : le voilà propulsé inspecteur novice à Blackchurch, l'un des quartiers les plus mal famés de tout Londres ! En arrivant sur place, le candide Harold va découvrir un univers bigarré, peuplé d'escrocs et de fieffés forbans, où l'unique loi qui vaille est celle du silence. Ses trop bonnes manières risquent de ne pas passer inaperçues... surtout auprès des trois jeunes femmes qui semblent tenir le quartier d'une main de fer.Philippe Charlot et Xavier Fourquemin lancent une nouvelle série enlevée dans la fascinante Londres de l'époque victorienne. Les chroniques policières d'un héros en décalage total avec son environnement, source de quiproquos mais surtout d'aventures !
Des campagnes de pêche de plus de trois ans, les dangers de l'océan, la chasse elle-même où, armés de simples lances et harpons à bord de légères chaloupes, les marins s'exposent aux réactions redoutables et aux assauts furieux de cachalots de plus de soixante tonnes. En plus de la chasse, le travail harassant de remorquage, de dépeçage et de fonte du lard afin d'en extraire la précieuse huile ; souvent trois jours d'efforts continus sans le moindre repos... Les conditions de vie extrêmes de ces hommes, les dangers quotidiens où les matelots exorcisent leur peur en la muant en rage à l'encontre des cétacés qu'ils massacrent. Rage sournoisement attisée par cette folie de vengeance aveugle et obsessionnelle du capitaine Achab envers Moby Dick, le cachalot blanc qui lui a arraché la jambe par le passé. Chabouté met sa vision personnelle et sa maîtrise du noir et blanc au service de ce classique de la littérature américaine. Une adaptation magistrale, fidèle au récit original et à l'esprit d’Herman Melville, reflétant la frontière étroite entre l'acharnement et la folie, baignant dans le sang, l'huile et la sueur d'un navire baleinier de la fin du XIXe siècle.
Carmilla est une adolescente de 13 ans vive et jolie, collégienne de 4e appréciée de ses professeurs et de ses camarades de classe, nantie d'une adorable petite soeur, Mina, de 4 ans sa cadette, avec laquelle elle s'entend à merveille et de trois inséparables amies auprès desquelles elle est sûre de trouver, quoiqu'il arrive, aide et réconfort. Tout irait pour le mieux dans la vie de Carmilla s'il n'y avait trois points noirs à son tableau : des oreilles proéminentes qu'elle cache sous un bandeau, Jonathan ; un prince charmant fan de foot qu'elle peine à attacher à ses pas et, pire que tout , un petit frère, encore réduit à l'état d'hypothèse, maisque ses parents semblent bien décidés à vouloir lui offrir. Et ce cadeau-là, Carmilla n'a aucune mais vraiment aucune envie de le recevoir !Voilà une histoire à laquelle toutes les adolescentes pourront sans peine s'identifier ! Car les préoccupations de Carmilla sont celles que rencontrent toutes les jeunes filles : amours naissantes, amitiés indéfectibles, bouleversements familiaux Et c'est avec tendresse que Murail, habitué de la littérature jeunesse, a réussi à dépeindre l'univers de ces petits bouts de femmes en devenir servit par le dessin très actuel de la jeune Laurel.
Pourquoi Boris Vian, écrivain de génie qui en quelques pages bouleversa la littérature, a-t-il consacré une part importante de son oeuvre à la chansonnette ? Ses p'tites rengaines, ses p'tits refrains n'allaient certainement pas lui ouvrir les portes du Panthéon ni les pages de la Pléiade... Alors ? Pourquoi tous ces textes légers dont, pour la plupart, personne ne sait qu'il en est l'auteur ? Peut-être par goût des rencontres. Car une chanson est une oeuvre collective qui réunit autour d'elle écrivains, compositeurs, musiciens, chanteurs, régisseurs, costumiers, éclairagistes et pompiers d'service ! A la solitude de l'écrivain elle apporte la grande famille des saltimbanques. Peut-être par provocation. Boris Via n l'anarchiste a pu ainsi trouver des voix pour crier sa rage (Le Déserteur, interprétée par Mouloudji, fut interdite pendant la guerre d'Algérie). Ou peut-être par dérision. Quelle jubilation de coller la poésie sur unorgue de barbarie ! Peut-être, tout simplement, par générosité. Car les chansons s'offrent au public comme un cadeau. Il suffit d'un peu de mémoire pour se l'approprier et d'un peu de joie de vivre pour, à son tour, la faire partager. Aujourd'hui c'est le petit monde de la bande dessinée qui a décidé de faire revivre ces textes drôle s et imagés. Les magiciens des couleurs entrent à leur tour dans la danse et rendent hommage au génie des mots. Les chansons ne meurent jamais : voici celles de Boris Vian qui s'agitent à nouveau pour notre plus grand plaisir.
La fin d'un roman. Le début d'une histoire...New-York, de nos jours. Taylor Davis est écrivain. S'il a connu le succès par le passé, sa carrière est à présent en berne et ses livres se vendent de moins en moins. Mais ce n'est pas très important à ses yeux car Taylor travaille pour l'amour de l'art. Et justement, le nouveau roman sur lequel il se penche depuis des mois l'enthousiasme tout particulièrement. Il s'agit de l'histoire d'un couple située dans les années 1950 et dont l'héroïne se prénomme Stella. Celle-ci s'interroge sur sa vie et se pose tellement de questions que Taylor s'est mis à lui répondre et a engagé un véritable dialogue avec elle. Est-ce un signe de schizophrénie? Pour Taylor, en tout cas, Stella est plus qu'un personnage de fiction. Si bien qu'un jour, alors qu'il vient presque malgré lui de taper le mot « FIN » sur son clavier d'ordinateur, Stella apparaît devant lui. Comme si ces trois petites lettres, à la manière d'une incantation, lui avaient permis de prendre corps dans la réalité ! Mais comment un personnage de fiction pourrait-il vivre au sein du monde réel, qui plus est dans une époque qui n'est pas la sienne ? Pour Taylor, c'est la fin d'un roman. Mais pour Stella et lui, c'est le début... d'une histoire.Dans ce roman graphique doux-amer, Cyril Bonin revisite le mythe de Pygmalion et renoue avec une certaine tradition de la littérature existentialiste dans laquelle l'irruption d'un subtil élément fantastique vient toucher au plus profond de l'âme humaine. À la fois destin de femme et parcours initiatique, Stella est un récit intimiste à la portée métaphysique qui interroge sur la création, l'identité et la conscience.