Presque quatre ans après un premier album au succès retentissant, le quatuor dublinois Girl Band revient avec un nouveau single, Shoulderblades' sur Rough Trade Records. On y retrouve le noise rock si caractéristique du groupe pour un morceau qui laisse à présager le meilleur.
On ne présente plus cet artiste issu de la scène active de la chanson française. Avec plus de 1800 concerts dans toute la France, 8 albums, 15 ans de carrière et 3 disques d'or, son nouvel opus intitulé Mon Totem nous dévoile l'artiste sous un nouveau jour, beaucoup plus personnel, émouvant et toujours aussi proche de son public. Il laisse un champ ouvert à une nouvelle façon de chanter, tout en douceur qui offre ainsi une nouvelle perspective sur les textes de Yves toujours aussi sublimes.
On ne présente plus cet artiste issu de la scène active de la chanson française. Avec plus de 1800 concerts dans toute la France, 8 albums, 15 ans de carrière et 3 disques d'or, son nouvel opus intitulé Mon Totem nous dévoile l'artiste sous un nouveau jour, beaucoup plus personnel, émouvant et toujours aussi proche de son public. Il laisse un champ ouvert à une nouvelle façon de chanter, tout en douceur qui offre ainsi une nouvelle perspective sur les textes de Yves toujours aussi sublimes.
Ça faisait 5 ans qu’on attendait ça : Yo La Tengo est enfin de retour avec un tout nouvel album. Un disque chaleureux, ambitieux, une oeuvre autoproduite remarquable pour l’un des groupes les plus aventureux de l’histoire du rock et dont la riche gamme sonore sait aller du bruit pur aux mélodies sereines et saisir toutes les nuances intermédiaires. Enregistré par ses soins sans aucune composition ou répétition à leur entrée en studio, le trio a laissé libre cours à son inspiration pour accoucher d’une petite pépite d’album comme une alternative à la rage et au désespoir semés par les chamboulements politiques de notre époque.
Ratatat est un duo américain composé de Mike Stroud et Evan Mast. Originaires de Brooklyn, le combo sort un premier album chez XL Recordings sobrement intitulé Ratatat, enregistré dans l'appartement de Mike Stroud sur un simple Powerbook. La musique de Ratatat se résume à 3 instruments : guitare, basse et synthétiseur. En effet, aucune partie vocale n'est présente sur ce premier album. Ils semblent habités par une étrange mélancolie, qui évoque l’agréable douceur lente de certains morceaux de New Order, ou encore les premiers disques de techno viscérale, comme ceux de Black Dog, joués au ralenti. Ratatat, en un coup de maître que ne renierait pas Kraftwerk, vient de faire subir un lifting à la pop électronique : une jouvence sans voix, une romance sans paroles, qui la laisse plus éloquente que jamais. Les Inrocks
ROCK CANDY FUNK PARTY Featuring Joe Bonamassa « We want groove » LORSQUE JOE BONAMASSA FAIT GROOVER SA GUITARE Le son de Rock Candy Funk Party (RCFP) est aussi jubilatoire que le laisse suggérer le nom du groupe. Balançant un souffle d'air frais sur les classiques funk et jazz des années 70 et 80S, RCFP est énergisé par un lineup de musiciens de classe mondiale collaborant pour la simple passion de la musique. On trouve ainsi réunis un jam band de rêves avec le producteur de l'album Tal Bergman (batterie), Joe Bonamassa (guitare), Ron DeJesus (guitare), Mike Merritt (basse) et Renato Neto (claviers). Avec neuf titres, savoureux mélange de funk, jazz et rock qui laissent libre court à la virtuosité de ses musiciens, la réponse musicale du combo dépasse largement les attentes. Si cet album est purement instrumental, la connivence artistique entre les musiciens de RCFP constitue une brillante conversation musicale à elle seule!
Une seule et unique tv aura permis au groupe Future Islands de se faire définitivement une place au sein du monde de la musique indépendante. Cette prestation dans le Late Night Show de David Letterman en a laissé plus d’un pantois. Les déhanchements suggestifs et la voix rauque et surpuissante de Samuel T Harding, leader du groupe totalement habité, avaient alors fait le tour du web. Depuis, le groupe a tourné dans le monde entier et s’est même retrouvé, à la surprise générale sur le plateau de Vivement Dimanche Le groupe, qui hante les nuits du chanteur Christophe, n’est donc aujourd’hui plus confidentiel. The Far Field, leur cinquième album, est tout aussi luxuriant et avenant que leur précédent album Singles. Il y a toujours cette voix singulière que possède Samuel qui insuffle une dose de soul et le mélange parfait des guitares et synthés sur ces morceaux d’une évidence pop affolante. Petite nouveauté pour cet album, l’intégration d’une batterie jouée par Michael Lowry qui vient renforcer l’efficacité de cette pop romantique aux mélodies fédératrices. Un nouvel album taillé pour installer Future Islands comme l’un des groupes phares de sa génération.
Une seule et unique tv aura permis au groupe Future Islands de se faire définitivement une place au sein du monde de la musique indépendante. Cette prestation dans le Late Night Show de David Letterman en a laissé plus d’un pantois. Les déhanchements suggestifs et la voix rauque et surpuissante de Samuel T Harding, leader du groupe totalement habité, avaient alors fait le tour du web. Depuis, le groupe a tourné dans le monde entier et s’est même retrouvé, à la surprise générale sur le plateau de Vivement Dimanche Le groupe, qui hante les nuits du chanteur Christophe, n’est donc aujourd’hui plus confidentiel. The Far Field, leur cinquième album, est tout aussi luxuriant et avenant que leur précédent album Singles. Il y a toujours cette voix singulière que possède Samuel qui insuffle une dose de soul et le mélange parfait des guitares et synthés sur ces morceaux d’une évidence pop affolante. Petite nouveauté pour cet album, l’intégration d’une batterie jouée par Michael Lowry qui vient renforcer l’efficacité de cette pop romantique aux mélodies fédératrices. Un nouvel album taillé pour installer Future Islands comme l’un des groupes phares de sa génération.
Depuis trois ans maintenant, King Krule ne cesse de susciter beaucoup de passions sans avoir sorti le moindre album. De nombreux labels se battent pour le signer mais c'est finalement sur le label XL que sortira enfin son premier opus intitulé, Six Feet Beneath The Moon, le jour de ses 19 ans. King Krule, c'est Archy Marshall, un jeune anglais originaire de l'est londonien qui a grandi dans un environnement musical et artistique. Il découvre la musique grâce la discothèque très fournie de ses parents, et se met très vite à écouter différents styles musicaux allant de la musique expérimentale au jazz. Le jeune prodige écrit sa première chanson à l'âge de huit ans, très vite son oncle l'épaule sur sa technique et ses compositions. En 2010, il affole la blogosphère en postant sa première vidéo sur youtube, Out Getting Ribs, alors sous le pseudonyme de Zoo Kid. Ce qui frappe à l'époque est la maturité de l'écriture de l'artiste qui a à peine 17 ans, évoque ses désillusions et son désespoir. Le tout accentué par sa voix rêche et profonde au fort accent cokcney, et ses compositions qui lui sont propres portées par des arpèges éparses. L'année suivante, il emmène sa petite amie au Midi Festival sans prévenir ses parents, et y donne son premier concert sous King Krule. Un plus large public fait alors connaissance de son monde au croisement du jazz, dubstep et blues rock, une musique que certains journalistes qualifieront de blues wave. Dans la foulée, le label américain True Panther sort son premier EP avec l'imparable The Noose Of Jah City, qui lui permet de faire d'autres concerts à guichets fermés un peu partout dans le monde ! Pour ce premier album, King Krule a comme à son habitude écrit seul et retranscrit avec brio ses émotions en musique, des sentiments souvent aggrésifs, une rage contenue qui s'exprime autant dans ses textes que dans sa voix. Un premier album très attendu et qui ne décevra pas, un album qui laisse présager un beau et long règne pour ce jeune anglais.
Changing the Rain : changer la pluie, ou plutôt la laisser derrière soi et se tourner vers le soleil. Le premier titre du troisième album de The Horrors ne laisse aucun doute : le temps des assassins est terminé et, si ce n’est pas encore le temps des cerises, le quintette anglais entre avec allégresse dans une nouvelle ère. Fi de l’apparat gothique de Strange House (2007) et du flou obscur du très réussi Primary Colours (2009), produit par Geoff Barrow; Skying se plonge toujours dans les méandres du passé musical britannique (My Bloody Valentine, The Stone Roses, Jesus & the Mary Chain...) mais les réinvente à une sauce encore plus digeste que d’habitude. Plus mature ? Ce n’est pas impossible car les membres de The Horrors ont fêté les quatre ans d’ancienneté que dépassent malheureusement peu de groupes. Ne se contentant pas de durer sur la longueur, ils s’évertuent même à mâtiner leur musique de psychédélisme, de shoegaze, de punk, de grunge, de new wave...sans provoquer le pire des tournis. You Said, ballade dans des cimes venteuses; I Can See through You, orage post-rock; Endless Blue, amas nuageux imprévisible; Still Life, arc-en-ciel chatoyant; Monica Gems, tourbillon punk décadent. Et Oceans Burning, ultime célébration céleste... Le ciel est dans tous ses états - comme The Horrors, qui se fendent de textes plus intimes que d’habitude. Le format des morceaux est, quant à lui, toujours supérieur à quatre minutes, et peut s’envoler jusqu’à près de neuf minutes (l’intriguant Moving Further Away) : le groupe de rock se défendrait-il d’avoir réalisé un album pop ? Ce qui est pourtant, et malgré tout, le cas. Une pop distordue, maltraitée, déniée, mais bel et bien présente. Écrit, enregistré et produit près de Londres, Skying baigne dans une atmosphère vaporeuse, hors du temps, hors des lois, hors des genres, tout en restant marqué au fer rouge par les caractéristiques de The Horrors. Le chant de crooner nonchalant et lointain de Faris Badwan, les guitares triturées jusqu’à la griffure, la batterie parfois sourde, les synthétiseurs lunatiques... Tout cela classe The Horrors parmi les formations dites indie à suivre de près. Sophie Rosemont - Copyright 2017 Music Story
Changing the Rain : changer la pluie, ou plutôt la laisser derrière soi et se tourner vers le soleil. Le premier titre du troisième album de The Horrors ne laisse aucun doute : le temps des assassins est terminé et, si ce n’est pas encore le temps des cerises, le quintette anglais entre avec allégresse dans une nouvelle ère. Fi de l’apparat gothique de Strange House (2007) et du flou obscur du très réussi Primary Colours (2009), produit par Geoff Barrow; Skying se plonge toujours dans les méandres du passé musical britannique (My Bloody Valentine, The Stone Roses, Jesus & the Mary Chain...) mais les réinvente à une sauce encore plus digeste que d’habitude. Plus mature ? Ce n’est pas impossible car les membres de The Horrors ont fêté les quatre ans d’ancienneté que dépassent malheureusement peu de groupes. Ne se contentant pas de durer sur la longueur, ils s’évertuent même à mâtiner leur musique de psychédélisme, de shoegaze, de punk, de grunge, de new wave...sans provoquer le pire des tournis. You Said, ballade dans des cimes venteuses; I Can See through You, orage post-rock; Endless Blue, amas nuageux imprévisible; Still Life, arc-en-ciel chatoyant; Monica Gems, tourbillon punk décadent. Et Oceans Burning, ultime célébration céleste... Le ciel est dans tous ses états - comme The Horrors, qui se fendent de textes plus intimes que d’habitude. Le format des morceaux est, quant à lui, toujours supérieur à quatre minutes, et peut s’envoler jusqu’à près de neuf minutes (l’intriguant Moving Further Away) : le groupe de rock se défendrait-il d’avoir réalisé un album pop ? Ce qui est pourtant, et malgré tout, le cas. Une pop distordue, maltraitée, déniée, mais bel et bien présente. Écrit, enregistré et produit près de Londres, Skying baigne dans une atmosphère vaporeuse, hors du temps, hors des lois, hors des genres, tout en restant marqué au fer rouge par les caractéristiques de The Horrors. Le chant de crooner nonchalant et lointain de Faris Badwan, les guitares triturées jusqu’à la griffure, la batterie parfois sourde, les synthétiseurs lunatiques... Tout cela classe The Horrors parmi les formations dites indie à suivre de près. Sophie Rosemont - Copyright 2017 Music Story
ARJEN LUCASSEN NOUS OFFRE LE NOUVEAU CHAPITRE DE LA SAGA AYREON Avec The Source, Arjen Lucassen apporte un nouveau chapitre à son impressionnant travail sous le nom d’Ayreon pour lequel il avait déjà posé les fondations au milieu des années 90. The Source offre une nouvelle fois tout ce qui lui a permis de conquérir des fans dévoués partout dans le Monde : un impressionnant casting de chanteurs et de musiciens, des morceaux enchanteurs, un son ambitieux et une histoire captivante. Le statut international d’Ayreon est tel qu’Arjen Lucassen a pu écrire ses personnages en ayant déjà en têtes des chanteurs de rock parmi les plus respectés : James LaBrie (Dream Theater), Tommy Giles Rogers (Between the Buried and Me), Simone Simons (Epica), Mike Mills (Toehider), Floor Jansen (Nightwish), Hansi Kürsch (Blind Guardian), Michael Eriksen (Circus Maximus), Tobias Sammet (Edguy, Avantasia), Nils K. Rue (Pagan's Mind), Zaher Zorgati (Myrath), Tommy Karevik (Kamelot) et Russell Allen (Symphony X). Quant à la contribution musicale, elle est l’oeuvre des guitaristes Paul Gilbert (Mr. Big), Guthrie Govan (The Aristocrats, Asia, Steven Wilson), Marcel Coenen et du clavier Mark Kelly (Marillion). Comme sur tous les albums précédents, Arjen Lucassen a joué toute une variété d’instruments alors que l’extraordinaire batteur Ed Warby (Elegy, Gorefest, Hail Of Bullets) a apporté une fois de plus d’énormes performances à un album d’Ayreon. L’histoire de The Source est initialement basée sur Alpha, une planète qui a dû faire face à une crise fatle, il y a six milliards d’années. Des catastrophes aussi bien écologiques que politiques menacent toute vie humaine. Avec l’aide d’un ordinateur central, The Frame, la population tente de changer le cours des choses. L’intelligence des ordinateurs a alors largement supplanté celle de l’homme. Les ordinateurs arrivent à la conclusion que le plus gros problème c’est leurs créateurs. The Frame tente de sauver la planète mais veut en même temps exterminer l’humanité. Ce qui ne laisse aux habitants d’Alpha, que l’option de tenter de fuir ce terrible destin. Ce, au prix fort ! The Source est un titre qui offre plusieurs interprétations. C’est une référence à l’eau et donc à la planète eau où ceux qui ont échappé d’Alpha trouvent un nouveau refuge après un long voyage harassant. La Source fait également référence aux origines de l’humanité. D’où venons-nous ? C’est également une allusion à toute la saga d’Ayreon et à la place de cette pièce au sein de cette dernière. The Source peut en effet être considéré comme le prélude de toute cette saga.
ARJEN LUCASSEN NOUS OFFRE LE NOUVEAU CHAPITRE DE LA SAGA AYREON Avec The Source, Arjen Lucassen apporte un nouveau chapitre à son impressionnant travail sous le nom d’Ayreon pour lequel il avait déjà posé les fondations au milieu des années 90. The Source offre une nouvelle fois tout ce qui lui a permis de conquérir des fans dévoués partout dans le Monde : un impressionnant casting de chanteurs et de musiciens, des morceaux enchanteurs, un son ambitieux et une histoire captivante. Le statut international d’Ayreon est tel qu’Arjen Lucassen a pu écrire ses personnages en ayant déjà en têtes des chanteurs de rock parmi les plus respectés : James LaBrie (Dream Theater), Tommy Giles Rogers (Between the Buried and Me), Simone Simons (Epica), Mike Mills (Toehider), Floor Jansen (Nightwish), Hansi Kürsch (Blind Guardian), Michael Eriksen (Circus Maximus), Tobias Sammet (Edguy, Avantasia), Nils K. Rue (Pagan's Mind), Zaher Zorgati (Myrath), Tommy Karevik (Kamelot) et Russell Allen (Symphony X). Quant à la contribution musicale, elle est l’oeuvre des guitaristes Paul Gilbert (Mr. Big), Guthrie Govan (The Aristocrats, Asia, Steven Wilson), Marcel Coenen et du clavier Mark Kelly (Marillion). Comme sur tous les albums précédents, Arjen Lucassen a joué toute une variété d’instruments alors que l’extraordinaire batteur Ed Warby (Elegy, Gorefest, Hail Of Bullets) a apporté une fois de plus d’énormes performances à un album d’Ayreon. L’histoire de The Source est initialement basée sur Alpha, une planète qui a dû faire face à une crise fatle, il y a six milliards d’années. Des catastrophes aussi bien écologiques que politiques menacent toute vie humaine. Avec l’aide d’un ordinateur central, The Frame, la population tente de changer le cours des choses. L’intelligence des ordinateurs a alors largement supplanté celle de l’homme. Les ordinateurs arrivent à la conclusion que le plus gros problème c’est leurs créateurs. The Frame tente de sauver la planète mais veut en même temps exterminer l’humanité. Ce qui ne laisse aux habitants d’Alpha, que l’option de tenter de fuir ce terrible destin. Ce, au prix fort ! The Source est un titre qui offre plusieurs interprétations. C’est une référence à l’eau et donc à la planète eau où ceux qui ont échappé d’Alpha trouvent un nouveau refuge après un long voyage harassant. La Source fait également référence aux origines de l’humanité. D’où venons-nous ? C’est également une allusion à toute la saga d’Ayreon et à la place de cette pièce au sein de cette dernière. The Source peut en effet être considéré comme le prélude de toute cette saga.
ARJEN LUCASSEN NOUS OFFRE LE NOUVEAU CHAPITRE DE LA SAGA AYREON Avec The Source, Arjen Lucassen apporte un nouveau chapitre à son impressionnant travail sous le nom d’Ayreon pour lequel il avait déjà posé les fondations au milieu des années 90. The Source offre une nouvelle fois tout ce qui lui a permis de conquérir des fans dévoués partout dans le Monde : un impressionnant casting de chanteurs et de musiciens, des morceaux enchanteurs, un son ambitieux et une histoire captivante. Le statut international d’Ayreon est tel qu’Arjen Lucassen a pu écrire ses personnages en ayant déjà en têtes des chanteurs de rock parmi les plus respectés : James LaBrie (Dream Theater), Tommy Giles Rogers (Between the Buried and Me), Simone Simons (Epica), Mike Mills (Toehider), Floor Jansen (Nightwish), Hansi Kürsch (Blind Guardian), Michael Eriksen (Circus Maximus), Tobias Sammet (Edguy, Avantasia), Nils K. Rue (Pagan's Mind), Zaher Zorgati (Myrath), Tommy Karevik (Kamelot) et Russell Allen (Symphony X). Quant à la contribution musicale, elle est l’oeuvre des guitaristes Paul Gilbert (Mr. Big), Guthrie Govan (The Aristocrats, Asia, Steven Wilson), Marcel Coenen et du clavier Mark Kelly (Marillion). Comme sur tous les albums précédents, Arjen Lucassen a joué toute une variété d’instruments alors que l’extraordinaire batteur Ed Warby (Elegy, Gorefest, Hail Of Bullets) a apporté une fois de plus d’énormes performances à un album d’Ayreon. L’histoire de The Source est initialement basée sur Alpha, une planète qui a dû faire face à une crise fatle, il y a six milliards d’années. Des catastrophes aussi bien écologiques que politiques menacent toute vie humaine. Avec l’aide d’un ordinateur central, The Frame, la population tente de changer le cours des choses. L’intelligence des ordinateurs a alors largement supplanté celle de l’homme. Les ordinateurs arrivent à la conclusion que le plus gros problème c’est leurs créateurs. The Frame tente de sauver la planète mais veut en même temps exterminer l’humanité. Ce qui ne laisse aux habitants d’Alpha, que l’option de tenter de fuir ce terrible destin. Ce, au prix fort ! The Source est un titre qui offre plusieurs interprétations. C’est une référence à l’eau et donc à la planète eau où ceux qui ont échappé d’Alpha trouvent un nouveau refuge après un long voyage harassant. La Source fait également référence aux origines de l’humanité. D’où venons-nous ? C’est également une allusion à toute la saga d’Ayreon et à la place de cette pièce au sein de cette dernière. The Source peut en effet être considéré comme le prélude de toute cette saga.