Le trio qui unit la clarinette au piano et au violoncelle forme un ensemble aux qualités expressives puissantes et multiples qui n'a pas laissé les compositeurs des XXe et XXIe siècles indifférents. Composé en forme de kaléidoscope, comme la première pièce le laisse entendre, le programme original de ce disque nous promène dans une galerie sonore semée d'objets inouïs où la rêverie et la nostalgie sont passées au crible des langages modernes. Le pianiste Fabrizio Chiovetta et le clarinettiste Patrick Messina quittent l'univers schumannien de leur précédent opus pour explorer avec le violoncelliste Henri Demarquette les partitions d'Arvo Pärt et des moins connus mais non moins sensibles Jaan Rääts et Henryck Gorecki. Le premier des trois, inspiré par l'une des oeuvres les plus touchantes de Mozart (l'Andante amoroso de la sonate pour piano, K.281), propose ici un arrangement inédit. Remplaçant le violon par la clarinette, Arvo Pärt colore cette délicate conversation à trois du timbre subtil et velouté de l'instrument à vent.
Compositeur post romantique britannique d’origine allemande, aveugle de naissance, Frederick Delius a laissé une oeuvre fascinante que Richard Hickox a largement contribué à faire découvrir au public, ici à la tête du choeur et de l’orchestre symphonique de Bournemouth.
Poline a laissé une trace très particulière dans l'histoire de la musique tahitienne : en plus de ses talents de chanteuse, elle fut l'interprète de trois films dont un de Claude Pinoteau en 1961! Douée d'un timbre de voix exceptionnel ajouté à une beauté hors du commun, elle reste une des grandes stars tahitienne de tous les temps!
Ege Bamyasi laisse planer la brume et cogne dès le départ avec un pincement aigu. Souvent décrit comme l'album le plus tendu et tourmenté de CAN, c'est en fait la représentation du groupe dans son état le plus concentré et sérieux, notamment avec une incroyable performance sur le single 'Spoon'. Le groupe de légende a toujours su transcender les frontières ethniques, les expériences électroniques couplées à la musique classique moderne.
Comme chez NIRVANA ou THE STOOGES avant eux, l'énergie de LOVVERS est brute et ne laisse pas la place au superflu. Ces jeunes anglais, dignes héritiers des GERMS et des REPLACEMENTS ne cessent de tourner, enchainant 200 concerts en moins de deux ans, aux côtés de BLACK LIPS, JAY REATARD, BUTTHOLE SURFERS, NO AGE, FUCKED UP... 7 titres, 13 minutes, la durée nécessaire pour envoyer valser son patron, donner sa démission et se lancer dans le rock'n'roll.
Ege Bamyasi laisse planer la brume et cogne dès le départ avec un pincement aigu. Souvent décrit comme l'album le plus tendu et tourmenté de CAN, c'est en fait la représentation du groupe dans son état le plus concentré et sérieux, notamment avec une incroyable performance sur le single 'Spoon'. Le groupe de légende a toujours su transcender les frontières ethniques, les expériences électroniques couplées à la musique classique moderne.
Ege Bamyasi laisse planer la brume et cogne dès le départ avec un pincement aigu. Souvent décrit comme l'album le plus tendu et tourmenté de CAN, c'est en fait la représentation du groupe dans son état le plus concentré et sérieux, notamment avec une incroyable performance sur le single 'Spoon'. Le groupe de légende a toujours su transcender les frontières ethniques, les expériences électroniques couplées à la musique classique moderne.
Des neuf symphonies officiellement laissées par Bruckner, les Nullte étant hors de son propos, Furtwängler laisse la lecture la plus discutée de la Romantique où il bénéficie de la sonorité unique des Wiener Philharmonikker en pleine renaissance de l'après guerre. Les masques du dernier Mozart, Schubert, et même de Wagner, défilent lors de ce concert, comme le confirme L'Enchantement du Vendredi-Saint (enregistré au Caire) donné en postlude.
A la fin des années 50, le basculement est proche dans l'ère Bossa Nova. Ary Barroso est sans conteste l'un des plus grands compositeurs brésiliens mais, paradoxalement, il n'a laissé que peu de traces enregistrées. Dans les années 1920 et 1930, il a réorganisé la Samba brésilienne, la rendant plus accessible au public international. Meu Brasil brasileiro (1958) est un album symphonique d'une grande vivacité et génialement coloré (orchestre, choeurs masculin et féminin). Une autre époque. Bonus Album : Um Interpreta o Outro
Bernard Haitink est sans doute le chef mahlérien le plus recherché de nos jours, ses directions ayant laissé des traces indélébiles sur ce répertoire, en disque comme en scène. La version captée en 1982 de la quatrième symphonie est particulièrement réussie à plus d’un titre : Haitink dirige le Royal Concertgebow, l’orchestre le plus pertinent sur Mahler aujourd’hui et la présence de la soprano Maria Ewing sur le final transporte l’auditoire comme le chef. Pour finir, il s’agit de l’unique film de cette oeuvre avec Bernard Haitink.
Bernard Haitink est sans doute le chef mahlérien le plus recherché de nos jours, ses directions ayant laissé des traces indélébiles sur ce répertoire, en disque comme en scène. La version captée en 1982 de la quatrième symphonie est particulièrement réussie à plus d’un titre : Haitink dirige le Royal Concertgebow, l’orchestre le plus pertinent sur Mahler aujourd’hui et la présence de la soprano Maria Ewing sur le final transporte l’auditoire comme le chef. Pour finir, il s’agit de l’unique film de cette oeuvre avec Bernard Haitink.
Le quatuor est le dernier en date d'une lignée prestigieuse grunge New Yorkaise rythmée par le punk. WIVES est le groupe d'une ville, produit de son anxiété, de son bruit de ses arts et de son énergie. WIVES, c'est la dissonance de SONIC YOUTH, l'énergie des premiers PIXIES, les ricanements intelligents et cérébraux de MARK E SMITH de THE FALL. Waving Past Nirvana est un manifeste du son WIVES avec son phrasé quasi parlé très rap 80's des couplets qui laisse place aux guitares grunge 90's pour un refrain rugissant. Toujours ancré dans le réel, WIVES rejette toute illumination spirituelle du Nirvana.
Soriana signifie « notre Syrie ». Le pays que nous avons laissé derrière nous - par soif de découvertes ou forcés par les circonstances. Nous sommes partis en pensant que nous étions sans bagage, complètement inconscients du plus grand cadeau que notre pays nous a accordé : la connaissance musicale. Cet héritage a été mon compagnon pendant tant de journées : il a adoucit mes peines et m'a inspiré. Il m'a procuré chaleur, stabilité, et aussi des images, des arômes et des goûts qui sans cesse m'insufflent de nouvelles créations. Ce sont elles que j'offre aujourd'hui à « notre Syrie », Soriana.
Le premier album solo de KELE OKEREKE, chanteur et leader de BLOC PARTY ! Kele n'aura pas été long à réaliser ses rêves électroniques. Après trois albums avec BLOC PARTY depuis les débuts du groupe en 2004, le voici de retour, en solo, avec The Boxer. Produit par XXXCHANGE de SPANK ROCK, KELE laisse de côté le post-punk de BLOC PARTY pour lorgner sur la musique électronique et les dancefloors ! Supporté par les fans de BLOC PARTY aussi bien que la presse électro, The Boxer sera sans aucun doute un des disques de l'été.
Le 1er album du groupe de rock français réédité en vinyle pour la première fois depuis sa sortie en 1984 ! OTH est un groupe phare du rock français, qui a laissé une trace indélébile dans le milieu. Formé en 1977, OTH a en effet influencé de nombreux groupes comme par exemple les Sheriff, bien qu'il ne fasse pas vraiment partie de la mouvance punk; il s'agit davantage d'un rock gras et efficace. Mêmes les paroles pourtant sociales conservent une bonne dose d'humour, et ne se prennent pas au sérieux. 1er opus plein de fougue et d'une maturité exemplaire, Réussite restera à jamais le meilleur manifeste d'OTH. POUR CEUX QUI AIMENT Parabellum, Les Sheriff, Les Naufragés, Les Rats
Né en Arizona, TIM DARCY est aujourd’hui installé à Montréal, ville dans laquelle il a étudié et surtout, rencontré les membres de son groupe Ought, en 2012. Dans Saturday Night, chacun des dix morceaux de l’album est sinueusement relié au suivant. La voix de Darcy, ferme, indubitable, au phrasé lyrique, est à la base du projet. TIM DARCY en fait trop, il crie et joue le crooner, il démontre que rien n’est laissé au hasard. Et pourtant, ses chansons ont quelque chose de doux et de musical. Son lyrisme ironique flotte agilement au-dessus des refrains de guitares nasillards, terriblement accrocheurs, et des quelques éléments synthétiques de la musique. Pour ceux qui aiment : Ought, The Strokes, The Libertines, The Growlers, The Velvet Underground, The Last Shadow Puppets...
Né en Arizona, TIM DARCY est aujourd’hui installé à Montréal, ville dans laquelle il a étudié et surtout, rencontré les membres de son groupe Ought, en 2012. Dans Saturday Night, chacun des dix morceaux de l’album est sinueusement relié au suivant. La voix de Darcy, ferme, indubitable, au phrasé lyrique, est à la base du projet. TIM DARCY en fait trop, il crie et joue le crooner, il démontre que rien n’est laissé au hasard. Et pourtant, ses chansons ont quelque chose de doux et de musical. Son lyrisme ironique flotte agilement au-dessus des refrains de guitares nasillards, terriblement accrocheurs, et des quelques éléments synthétiques de la musique. Pour ceux qui aiment : Ought, The Strokes, The Libertines, The Growlers, The Velvet Underground, The Last Shadow Puppets...
LE PREMIER ALBUM SOLO DU LEADER DE MANSUN, GROUPE EMBLEMATIQUE DES ANNEES 90 Paul Draper va immanquablement rallumer la flemme des nombreux fans de Mansun. Après quatre albums dont le fameux « Attack of the grey lantern » qui s’était classé N°1 du top album en Angleterre, le groupe avait laissé un gros vide derrière lui. Le retour de Draper n’est pas passé inaperçu de l’autre côté de la Manche, que ce soit le NME ou la BBC, son premier single a été plébiscité comme morceau de la semaine. L’engouement est tel que Paul Draper effectuera une tournée en tête d’affiche qui affiche déjà complet partout en Grande Bretagne, pour coïncider avec le lancement de cet album qui confirme tout le talent de cet artiste !
Qu'est-ce qui vient après le blues? La réponse se trouve sur What comes after the blues, premier opus de Magnolia Electric Co. Derrière ce nom se cache le nouveau projet de Jason Molina, qui nous a déjà régalé de très bons disques sadcore avec Songs : Ohia. Bien que Molina ait eu tendance à lorgner de plus en plus vers le Neil Young des années 70 ces dernières années, What comes after the blues porte incontestablement sa marque : du country rock slow-motion soigneusement arrangé, avec la steel guitar de Mike Brenner dans un rôle de premier plan pour accompagner le ténor poignant de Molina. Si tout cela vous laisse de marbre, nous vous conseillons de consulter sans tarder.
Inutile de rappeler à quel point CALEXICO est un groupe référence de la scène indépendante américaine. Avec 11 albums studio et 15 ans de carrière à écumer les routes pour offrir le meilleur mélange improbable de rock, blues, folk et musique mariachi, les natifs d'Arizona ont fini par rassembler une armée de fans. Spécialement en France où leurs collaborations avec JEAN-LOUIS MURAT et FRANCOIZ BREUT leur ont permis de faire adhérer un nouveau public. Cette compilation regroupe 16 titres issus des 8 albums auto-produits du groupe qui étaient exclusivement vendus sur leurs tournées. 16 titres rares et d'une justesse irréprochable qui nous laisse rêver à défiler sur les longues routes des déserts américains.
ERASURE, le groupe emmené par Andy Bell et Vince Clarke sort son nouvel album, World Be Gone sur Mute. Après plus de trente ans de carrière, l’obtention d’un Brit Award du Meilleur groupe britannique de l'année 1989 et d’autres nominations ou récompenses, ERASURE, s’est construit une réputation de groupe à la musique pop passive et émotionnelle. Écrit, interprété et produit par ERASURE et mixé par Matty Green, World Be Gone, la suite de The Violet Flame paru en 2014, voit le groupe dans une ambiance plus réfléchie. Moins grandiloquent que son prédécesseur, l’album met toujours l'accent sur l’amour, mais les récents bouleversements politiques ont également laissé une trace. Il sera disponible en CD, vinyle orange édition limitée, vinyle et cassette. Pour les fans de : Pet Shop Boys, Alphaville, Duran Duran, Jimmy Somerville, DepecheMode...
ERASURE, le groupe emmené par Andy Bell et Vince Clarke sort son nouvel album, World Be Gone sur Mute. Après plus de trente ans de carrière, l’obtention d’un Brit Award du Meilleur groupe britannique de l'année 1989 et d’autres nominations ou récompenses, ERASURE, s’est construit une réputation de groupe à la musique pop passive et émotionnelle. Écrit, interprété et produit par ERASURE et mixé par Matty Green, World Be Gone, la suite de The Violet Flame paru en 2014, voit le groupe dans une ambiance plus réfléchie. Moins grandiloquent que son prédécesseur, l’album met toujours l'accent sur l’amour, mais les récents bouleversements politiques ont également laissé une trace. Il sera disponible en CD, vinyle orange édition limitée, vinyle et cassette. Pour les fans de : Pet Shop Boys, Alphaville, Duran Duran, Jimmy Somerville, DepecheMode...
La joie de vivre du jeune compositeur fougueux et sa transformation esthétique qui l’emporte : Beethoven sous les instruments d’époque de Maude Gratton et Baptiste Lopez. Avec ces trois sonates pour violon et piano, Baptiste Lopez et Maude Gratton nous donnent l'occasion de parcourir quinze années de la vie de Beethoven; la joie de vivre du jeune compositeur fougueux, encore très influencé par les formes classiques, laisse progressivement la place à une violente cassure esthétique dont l'excentricité fut décriée par les critiques. Si pour Beethoven, la musique confronte l'Homme aux difficultés de sa condition, elle permet également de les dépasser; lui-même transcendera son combat contre la surdité en y trouvant la profondeur d'une force créatrice.
BLOC PARTY, l'un des groupes cultes, porte-étendards du renouveau du rock anglais du milieu des années 90, est de retour. C'est le désormais classique Silent Alarm, inspiré par les héros des 80s, de THE SMITH à THE CURE ou JOY DIVISION, certifié or en France et écoulé à plus d'un million d'exemplaires dans les monde qui les avait révélés en 2005. Son successeur, A Week End in The City (2007) avait confirmé leur statut de groupe majeur des années 2000. Puis on les avait laissé sur le bord du dancefloor, il y a 4 ans, avec Intimacy. Revoici donc BLOC PARTY, au complet, avec l'album Four, produit par ALEX NEWPORT (DEATH CAB FOR CUTIE, THE MARS VOLTA, AT THE DRIVE-IN...), enregistré et mixé à New York, entre rock américain musclé et indie anglais - et toujours l'écriture pop dont ils ont le secret. Bref, l'album que les fans de BLOC PARTY attendaient !
une guitare à 7 cordes. Et notre chanteur Doogie White a fait un travail fantastique » souligne le légendaire rocker. Au niveau des textes et des ambiances musicales, entre ombre et lumière, on retrouve un guitariste redynamisé et serein qui semble avoir laissé ses démons derrière lui. L’album est équilibré et, s’il reflète le torrent d’émotions vécues par Michael Schenker au cours de près de quatre décennies de carrière, il respire la joie de jouer, de vivre et de se faire plaisir. Wayne Fidlay, avec sa guitare Dean à 7 cordes et ses parties de clavier, enrichit la palette sonore du groupe et cela apporte beaucoup en subtilité et émotion. Certains titres mid-tempo évoquent la période UFO, tandis que les morceaux plus enlevés, aux parties de double grosse caisse ébouriffantes, sont comme des météorites traversant l’atmosphère à la vitesse du son. Boum !
DES MUSICIENS DE TALENT REUNIS POUR UN ALBUM JAZZ D'EXCEPTION Cet album a été initié par GERARD AMSELLEM et un rassemblement d’amis et de musiciens de talent. Le grand guitariste de jazz Sylvain Luc laisse sa guitare pour prendre la basse le temps d’un album. On retrouve également la batterie légendaire d‘André Ceccarelli, les claviers de Robert Benzrihem et le saxophone d’Eric Seva sur certaines pistes. La musique de GERARD AMSELLEM s’inspire des sons et rythmes des peuples berbères, de la musique brésilienne et du jazz. Toutes ses musiques ont bercé la vie musicale de l'artiste et lui ont permis de créer ces liens d’amitiés que l’on retrouve dans cet album. Cette musique sent bon la joie, le partage et l’amitié. POUR CEUX QUI AIMENT SYLVAIN LUC,ALDO ROMANO, ANDRE CECCARELLI, STEFANO DI BATTISTA, ERIC LEGNINI
On se souvient des anglais de THE HEAVY et de leur titre soul rock «How You Like Me Now?» qui nous avait presque laissé croire en 2009 que James Brown était revenu d'entre les morts. Autant vous dire qu'on ne cache pas notre excitation à l'annonce de la sortie de leur troisième opus, «THE GLORIOUS DEAD», prévue pour le 03 Septembre 2012. Et pour vous mettre à vous aussi l'eau à la bouche, on peut déjà vous dire que ce sera de loin leur album le plus ambitieux ! A la recherche d'inspiration, les cinq trublions ont fait le voyage jusqu'au fin fond de la Georgie pour s'encanailler auprès de chanteurs et musiciens gospel du «Deep South». On vous promet donc du rock garage qui suinte le cambouis, de la soul et du funk à en secouer les regrettés défunts de chez Motown, du son qui vient des tripes quoi !
Cullen Omori revient avec un deuxième album pop 70s au songwriting minutieux et sensible. 'The Diet'' est un album d'indie rock moderne et puissant où l'on retrouve une ambiance analogique faite de guitares électriques branchées sur des amplis rutilants. En plus de tout ça Omori délivre un songwriting classique avec des influences 70s, le tout se déroulant tout au long des 40 minutes de l'album. Avec 'The Diet'', Omori écrit de véritables chansons d'amour qui sont influencées par les frustrations et les ruptures du chanteur pendant l'année 2016-2017. Mais l'amour reste subtil dans cet album, et les mélodies sont toujours au coeur de son projet. Il s'est laissé influencé par Los Angeles, ville où il a emménagé pour ce nouvel album, rempli de sonorités du rock des 70s, comme T-Rex, John Cale, les Beatles ou les Stones. POUR CEUX QUI AIMENT DIIV, Girls, Woods, Smith Westerns
Cullen Omori revient avec un deuxième album pop 70s au songwriting minutieux et sensible. 'The Diet'' est un album d'indie rock moderne et puissant où l'on retrouve une ambiance analogique faite de guitares électriques branchées sur des amplis rutilants. En plus de tout ça Omori délivre un songwriting classique avec des influences 70s, le tout se déroulant tout au long des 40 minutes de l'album. Avec 'The Diet'', Omori écrit de véritables chansons d'amour qui sont influencées par les frustrations et les ruptures du chanteur pendant l'année 2016-2017. Mais l'amour reste subtil dans cet album, et les mélodies sont toujours au coeur de son projet. Il s'est laissé influencé par Los Angeles, ville où il a emménagé pour ce nouvel album, rempli de sonorités du rock des 70s, comme T-Rex, John Cale, les Beatles ou les Stones. POUR CEUX QUI AIMENT DIIV, Girls, Woods, Smith Westerns
La mélodie débute dès la première note de l’album This Is Steve et c’est la marque de fabrique de DELICATE STEVE aka Steve Marion. Collaborateur d’exception, il a notamment co-signé et travaillé avec David Byrne -ses deux premiers albums sont d’ailleurs sortis chez Luaka Bop-, les Dirty Projectors, tUne-yArDs, Mac DeMarco, Dr. Dog et, plus récemment encore, il accompagne Paul Simon à la guitare sur son nouvel album. En plus d’avoir autoproduit son album, Steve joue l’ensemble des séquences musicales lui-même. Ce troisième album, entièrement instrumental, fait office de présentation de DELICATE STEVE au public : dix ballades faites de riffs de guitare et de claviers, rappelant le surf rock et le rock progressif, autant que certains airs de musique traditionnelle, le tout toujours accompagné d’une batterie maitrisée à la perfection. Car, depuis toujours, Steve laisse la musique parler d’elle-même. Sans aucun mot.
ANDRé ISOIR, Le chercheur d'orgue Parmi les Chorals pour orgue de Jean-Sébastien Bach, il en est dont la forme évoque davantage une somptueuse partie d'accompagnement qu'une oeuvre soliste. Leur véritable magnificence demeure en quelque sorte virtuelle et semble appeler l'adjonction d'un choeur pour s'épanouir pleinement. Cette remarque vaut tout particulièrement pour le long choral Herr Gott, dich loben wir BWV 725, version luthérienne du Te Deum latin... André Isoir ressuscitant un Te Deum de Bach, ça ne laisse pas indifférent ! D'abord parce que la reconstruction est aussi solide qu'intelligente. Surtout parce que le grand organiste savait jouer de toutes les couleurs de l'orgue. Ajoutez une bonne dose d'engagement personnel et de for intérieur; des choeurs enhardis par la redécouverte et la sûreté du propos. Il en naît un disque stupéfiant de cohérence et de vérité.
La mélodie débute dès la première note de l’album This Is Steve et c’est la marque de fabrique de DELICATE STEVE aka Steve Marion. Collaborateur d’exception, il a notamment co-signé et travaillé avec David Byrne -ses deux premiers albums sont d’ailleurs sortis chez Luaka Bop-, les Dirty Projectors, tUne-yArDs, Mac DeMarco, Dr. Dog et, plus récemment encore, il accompagne Paul Simon à la guitare sur son nouvel album. En plus d’avoir autoproduit son album, Steve joue l’ensemble des séquences musicales lui-même. Ce troisième album, entièrement instrumental, fait office de présentation de DELICATE STEVE au public : dix ballades faites de riffs de guitare et de claviers, rappelant le surf rock et le rock progressif, autant que certains airs de musique traditionnelle, le tout toujours accompagné d’une batterie maitrisée à la perfection. Car, depuis toujours, Steve laisse la musique parler d’elle-même. Sans aucun mot.
Gift of Gods est le nom qu' a choisi Ted Skjellum pour son nouveau projet maléfique. Ted Skjellum plus connu sous le pseudonyme de Nocturno Culto, est surtout célèbre pour être la moitié du légendaire groupe de black métal norvégien Darkthrone. Pour Gift of Gods, Nocturno se plonge avec excellence dans des titres de pur heavy metal. Il a ainsi ingurgité une multitude d'influences des décennies passées pour concocter ce mélange unique de riffs mélodiques et d'hymnes pour headbangers. On notera que dans ces 30 minutes de heavy metal endiablé, figure une reprise (»Looking for an answer») du groupe Universe, obscur combo suèdois des années 80! C'est un travail de longue haleine que Nocturno a laissé mûrir pendant plusieurs années, il y joue lui-même de tous les instruments et a tout enregistré dans son propre studio. Seul le mixage et le mastering ont été confiés à Jack Control des studios Enormous Door, qui avait déjà officié sur le dernier album de Darkthrone, »The Underground Resistance».
Le huitième album de Marissa Nadler, For My Crimes, est le son de la tourmente qui laisse place à la vérité. Les chansons confrontent la sombre réalisation que l'amour n'est peut-être pas suffisant à garder deux personnes ensemble séparées par la distance et des besoins qui diffèrent. En posant ces difficiles questions sur ses relations, Nadler s'est affirmée en tant que songwriter et vocaliste. Une puissante énergie féminine a défini l'enregistrement de ces chansons, renforçant ainsi leur intimité. Entre la fluidité de Rothman avec genre sexuel et genres musicaux (comme démontré sur son album The Book of Law) et la liste de collaborations réussies de Raisen avec des femmes fortes (Angel Olsen, Kim Gorden, Charli XCX), Nadler a pu explorer sans jugement en studio. A l'exception du saxophoniste Dana Colley (Morphine), tous ceux qui ont joué sur cet album sont des femmes d'un certain calibre et d'un style prononcé, dont bon nombre a déjà joué avec Nadler par le passé. POUR CEUX QUI AIMENT Emily Jane White, Alela Diane, Chelsea Wolfe, Mariee Sioux
Le huitième album de Marissa Nadler, For My Crimes, est le son de la tourmente qui laisse place à la vérité. Les chansons confrontent la sombre réalisation que l'amour n'est peut-être pas suffisant à garder deux personnes ensemble séparées par la distance et des besoins qui diffèrent. En posant ces difficiles questions sur ses relations, Nadler s'est affirmée en tant que songwriter et vocaliste. Une puissante énergie féminine a défini l'enregistrement de ces chansons, renforçant ainsi leur intimité. Entre la fluidité de Rothman avec genre sexuel et genres musicaux (comme démontré sur son album The Book of Law) et la liste de collaborations réussies de Raisen avec des femmes fortes (Angel Olsen, Kim Gorden, Charli XCX), Nadler a pu explorer sans jugement en studio. A l'exception du saxophoniste Dana Colley (Morphine), tous ceux qui ont joué sur cet album sont des femmes d'un certain calibre et d'un style prononcé, dont bon nombre a déjà joué avec Nadler par le passé. POUR CEUX QUI AIMENT Emily Jane White, Alela Diane, Chelsea Wolfe, Mariee Sioux
Zdenka 2080, ou le cri de ralliement de Salami Rose Joe Louis Salami Rose Joe Louis, musicienne, compositrice, productrice et géologue originaire de la région de la baie de San Francisco, dévoile son nouvel album Zdenka 2080. Fruit de sa nouvelle aventure avec l'intrépide label Brainfeeder, il concrétise une nouvelle avancée dans sa traversée d'artiste, ainsi que dans l'affirmation de ses ambitions en tant que telle. à travers une étendue de personnages multidimensionnels, l'artiste, qui faisait la première partie européenne de The Cinematic Orchestra début 2019, s'y laisse habiter par des inspirations comme Shuggie Otis, Captain Beefheart ou encore Stereolab dans leurs états les plus fantasques, et les fusionne à l'atmosphère chaude et brumeuse de la Californie. Aux prises avec des questions existentielles autour du sentiment d'appartenance, de l'identité, de l'avenir et de la conscience de soi, elle y confronte sa recherche ultime d'une nouvelle dimension de l'existence pour ses auditeurs à des mélodies euphoriques, réconfortantes et imprévisibles qui, au travers de l'écoute, nous décolorent de toute nébulosité intérieure.
Zdenka 2080, ou le cri de ralliement de Salami Rose Joe Louis Salami Rose Joe Louis, musicienne, compositrice, productrice et géologue originaire de la région de la baie de San Francisco, dévoile son nouvel album Zdenka 2080. Fruit de sa nouvelle aventure avec l'intrépide label Brainfeeder, il concrétise une nouvelle avancée dans sa traversée d'artiste, ainsi que dans l'affirmation de ses ambitions en tant que telle. à travers une étendue de personnages multidimensionnels, l'artiste, qui faisait la première partie européenne de The Cinematic Orchestra début 2019, s'y laisse habiter par des inspirations comme Shuggie Otis, Captain Beefheart ou encore Stereolab dans leurs états les plus fantasques, et les fusionne à l'atmosphère chaude et brumeuse de la Californie. Aux prises avec des questions existentielles autour du sentiment d'appartenance, de l'identité, de l'avenir et de la conscience de soi, elle y confronte sa recherche ultime d'une nouvelle dimension de l'existence pour ses auditeurs à des mélodies euphoriques, réconfortantes et imprévisibles qui, au travers de l'écoute, nous décolorent de toute nébulosité intérieure.
Nouvel album solo de Gerald Toto, l'une des voix du trio d'exception Toto Bona Lokua Gérald Toto est une des voix du célèbre trio panafricain Toto Bona Lokua (entouré de ses amis Lokua Kanza et Richard Bona), avec lequel il sort deux albums acclamés, et entame une tournée mondiale. Avec Sway, Gérald se réinvente et présente un voyage intérieur, enregistré seul chez lui. Il aime d'ailleurs à dire que c'est son vrai premier album. Il a trouvé sa ligne claire, il nous guide grâce à sa sublime voix vers les grands espaces de l'intime, comme s'il susurrait à l'oreille de chacun. On se laisse porter par ses influences et métissages musicaux : romance pop, blues, jazz, samba, mélodies orientales, mandingues ou percussions caribéennes. Il chante librement, dans sa langue imaginaire, celle du coeur. Gérald va à l'essentiel, et se fait du bien pour en faire aux autres. Lien vers Soundcloud POUR CEUX QUI AIMENT Bobby Mc Ferrin, Toto Bona Lokua, Sam Cooke...
Nouvel album solo de Gerald Toto, l'une des voix du trio d'exception Toto Bona Lokua Gérald Toto est une des voix du célèbre trio panafricain Toto Bona Lokua (entouré de ses amis Lokua Kanza et Richard Bona), avec lequel il sort deux albums acclamés, et entame une tournée mondiale. Avec Sway, Gérald se réinvente et présente un voyage intérieur, enregistré seul chez lui. Il aime d'ailleurs à dire que c'est son vrai premier album. Il a trouvé sa ligne claire, il nous guide grâce à sa sublime voix vers les grands espaces de l'intime, comme s'il susurrait à l'oreille de chacun. On se laisse porter par ses influences et métissages musicaux : romance pop, blues, jazz, samba, mélodies orientales, mandingues ou percussions caribéennes. Il chante librement, dans sa langue imaginaire, celle du coeur. Gérald va à l'essentiel, et se fait du bien pour en faire aux autres. Lien vers Soundcloud POUR CEUX QUI AIMENT Bobby Mc Ferrin, Toto Bona Lokua, Sam Cooke...
Un bijou folk moderne, rempli d'émotion ! This Wild Willing est le quatrième album solo de Glen Hansard. Il a été créé et écrit à Paris avec plus de 24 musiciens. De son partenaire de The Frames (Joe Doyle) et de Swell Season (Marketa Irglova), à ses musiciens de tournée, aux 3 frères iraniens rencontrés à Paris (the Kroshravesh brothers), Glen a fédéré autours de lui un groupe de talentueux artistes qui ont tous laissé une marque indélébile à cet enregistrement. On s'est vite aperçu, au studio, que l'on travaillait sur quelque chose d'intéressant. Je trouvais de nouvelles manières de transformer des chansons qui existaient déja; et nous improvisions de nouvelles idées tous les jours. Quand tu t'entoures de bons musiciens et que tu fais de ton mieux pour les garder près de toi, rester flexible, donner des toutes petites directions, et permettre à tout le monde d'apporter leurs propres touches, quelque chose d'intéressant arrive. (...) Quelques morceaux n'ont pas été composé dans une forme traditionnelle; il s'agit d'idée développées pour une conclusion. (...) La beauté est dans l'oreille de celui qui est écoute. Glen Hansard
Un bijou folk moderne, rempli d'émotion ! This Wild Willing est le quatrième album solo de Glen Hansard. Il a été créé et écrit à Paris avec plus de 24 musiciens. De son partenaire de The Frames (Joe Doyle) et de Swell Season (Marketa Irglova), à ses musiciens de tournée, aux 3 frères iraniens rencontrés à Paris (the Kroshravesh brothers), Glen a fédéré autours de lui un groupe de talentueux artistes qui ont tous laissé une marque indélébile à cet enregistrement. On s'est vite aperçu, au studio, que l'on travaillait sur quelque chose d'intéressant. Je trouvais de nouvelles manières de transformer des chansons qui existaient déja; et nous improvisions de nouvelles idées tous les jours. Quand tu t'entoures de bons musiciens et que tu fais de ton mieux pour les garder près de toi, rester flexible, donner des toutes petites directions, et permettre à tout le monde d'apporter leurs propres touches, quelque chose d'intéressant arrive. (...) Quelques morceaux n'ont pas été composé dans une forme traditionnelle; il s'agit d'idée développées pour une conclusion. (...) La beauté est dans l'oreille de celui qui est écoute. Glen Hansard
Foisonnants de nouvelles idées et désireux de partager un maximum de musique, ce n'est pas avec un mais deux disques que les quinze musiciens de Ping Machine reviennent de leur enregistrement aux Bauer Studios. Si UBIK, longue suite labyrinthique et fascinante empruntant à la musique contemporaine et électronique, doit être perçue comme la « pièce maîtresse » de ce nouveau répertoire, elle ne saurait exister sans son pendant EASY LISTENING, qui rassemble des compositions plus courtes et laisse place aux envolées lyriques, aux mélodies puissantes et lumineuses. Agitation et Contemplation. Deux entrées sont possibles pour aller à la rencontre de l'univers musical de Frédéric Maurin, dont la singularité d'écriture s'affirme une fois encore avec Easy Listening et Ubik, composition pour laquelle il a reçu une commande d'Etat. La matière orchestrale construit une architecture puissante avec, en son coeur, l'envie certaine de partager des émotions. L'aventure collective que vit Ping Machine depuis dix ans au fil des albums est forte et saisissante, et ne peut laisser l'auditeur indifférent.
Redécouvrez Leroy Hutson, figure emblématique de The Impressions, avec cette réédition de The Man! Pour célébrer ses 30 ans d'existence, le label Acid Jazz continue d'alterner entre nouveautés et rééditions. Dans le cadre de leur campagne 2018 de rééditions de Leroy Hutson, le label londonien est fier de présenter cette réédition de l'album culte The Man! qui inclut des morceaux bonus. Sur cet album de 1974 figurent sa version du classique de Donny Hathaway 'The Ghetto' (co-écrit avec Hathaway), 'Ella Weez' ou encore 'Could This Be Love'. Le CD propose également en morceau bonus une version rare de 'Ella Weez'. La carrière prolifique de Leroy Hutson laisse un héritage très respecté, presque vénéré parmi les aficionados de la soul. Son influence demeure très présente chez la génération de musiciens des années 80 jusqu’à ceux d’aujourd’hui. Le moment est idéal pour qu'une nouvelle génération de fans de soul se familiarisent à ces albums et pour que les générations précédentes en retombent amoureux. POUR CEUX QUI AIMENT Curtis Mayfield, The Impressions, Donny Hathaway, Parliament, Funkadelic
Redécouvrez Leroy Hutson, figure emblématique de The Impressions, avec cette réédition de The Man! Pour célébrer ses 30 ans d'existence, le label Acid Jazz continue d'alterner entre nouveautés et rééditions. Dans le cadre de leur campagne 2018 de rééditions de Leroy Hutson, le label londonien est fier de présenter cette réédition de l'album culte The Man! qui inclut des morceaux bonus. Sur cet album de 1974 figurent sa version du classique de Donny Hathaway 'The Ghetto' (co-écrit avec Hathaway), 'Ella Weez' ou encore 'Could This Be Love'. Le CD propose également en morceau bonus une version rare de 'Ella Weez'. La carrière prolifique de Leroy Hutson laisse un héritage très respecté, presque vénéré parmi les aficionados de la soul. Son influence demeure très présente chez la génération de musiciens des années 80 jusqu’à ceux d’aujourd’hui. Le moment est idéal pour qu'une nouvelle génération de fans de soul se familiarisent à ces albums et pour que les générations précédentes en retombent amoureux. POUR CEUX QUI AIMENT Curtis Mayfield, The Impressions, Donny Hathaway, Parliament, Funkadelic
Foxwarren, le side project du songwriter Andy Shauf : un nouveau bijou folk introspectif ! L'histoire de Foxwarren se lit comme une page déchirée du manuel du rock n'roll authentique. Ce sont des frères, soeurs et amis d'enfance ayant formé un groupe de musique au collège. Ils ont ensuite vécu comme colocataires, et ont enregistré un album dans le sous-sol d'une maison louée. Même le nom du groupe vient de la maison familiale des frères (Avery et Darryl) Kissick. Les débuts du groupe sont subtils et réfléchis. Ils se rapprochent du travail solo du chanteur Andy Shauf, tout en s'appuyant sur la collaboration et le relâchement, plutôt que sur les arrangements méticuleux de Shauf. Là où Shauf laisse un espace pour l'orchestration, Foxwarren prend le temps de ruminer sur des passages et des thèmes. Accompagné de rythmes chauds et d'une voix familière, coloré avec de l'électronique douce et des guitares grossières, c'est un disque qui repose finalement sur la sincérité. Il capture le sentiment d'amis qui se poussent mutuellement, d'un groupe qui cherche une inspiration intérieure, plutôt qu'une influence extérieure. C'est un disque dont la conception dure depuis des années et qui n'a presque jamais vu le jour.
Le label Cam Jazz a enregistré au cours de l'été 2010 l'un de leurs artistes fétiches, le pianiste Enrico Pieranunzi, en concert au club historique du Village Vanguard à New York. A ses côtés, deux vieux compagnons de route, complices et remarquablement soudés : le regretté Paul Motian à la batterie et le contrebassiste Marc Johnson. Dans ce lieu si particulier et chargé d'histoire, les trois musiciens forment les sommets d'un triangle parfaitement équilatéral. Le discours musical est soutenu mais remarquablement subtil et équilibré, et Pieranunzi a trouvé deux partenaires idéaux pour enluminer son style rigoureux à la vitalité et à l'inventivité permanentes. Motian, notamment, est un coloriste hors pair; indubitablement, il a laissé un grand vide dans le monde du jazz. Quatre compositions personnelles et quatre standards (thèmes de Monk, Nino Rota, Rodgers and Hart, Konitz) forment un programme varié pour ces musiciens qui n'ont plus rien à prouver. Ces huit titres confirment le statut de grand maître du pianiste italien, dans la lignée de Bill Evans, McCoy Tyner ou Lennie Tristano.
CD 1 1. T'aimer follement 2. J'etais fou 3. Oh oh baby 4. Laisse les filles 5. Souvenirs, souvenirs 6. Pourquoi cet amour 7. Je cherche une fille 8. J'suis mordu 9. Itsy bitsy petit bikini 10. Depuis qu'ma môme 11. Le plus beau des jeux 12. Je veux me promener 13. Le p'tit clown de ton c ur 14. Oui j'ai 15. Kili watch 16. Ce s'rait bien 17. Tu parles trop 18. Une boum chez John 19. Bien trop timide 20. Oui, mon cher 21. Nous les gars, nous les filles 22. Mon septième ciel 23. Tu m'plais 24. Ce n'est pas méchant 25. 24000 baisers 26. Tu es là 27. Ton fétiche d'amour 28. Sentimental 29. A New Orléans 30. Mon vieux copain 31. Hey pony 32. Si tu restes avec moi CD 2 1. Nous, quand on s'embrasse 2. Tu peux la prendre 3. Il faut saisir sa chance 4. Douce violence 5. Viens danser le twist 6. Let's twist again 7. Avec une poignée de terre 8. Toi qui regrettes 9. Retiens la nuit 10. Sam' di soir 11. Si tu me téléphones 12. Wap doo wap 13. Twistin' USA 14. Danse le twist avec moi 15. La faute au twist 16. Ya ya twist 17. Be bop a lula 18. Mybellene 19. You're sixteen 20. Une fille comme toi 21. Dans un jardin d'amour 22. Serre la main d' un fou 23. Laissez-nous twister 24. Pas cette chanson 25. Ce n'est pas juste après tout 26. Madison twist 27. Hey baby 28. C'est le mashed potatoes 29. L'idole des jeunes 30. Comme l'été dernier 31. Tout bas, tout bas, tout bas
Une édition indispensable qui réunit le coeur de l'oeuvre enregistrée d'Ella Fitzgerald. Ella Jane Fitzgerald est la plus célébrée des divas et domine la scène jazz depuis plus de cinquante ans : de son premier succès A-Tisket, A-Tasket en 1938 à son retrait progressif de la scène pour cause de maladie en 1989. Elle a laissé son empreinte dans tous les univers du jazz qu'elle a abordés. Les Essential Works 1956-1959 mettent en évidence son talent à interpréter les plus grands standards de Cole Porter, Irving Berlin, George Gershwin et Rodgers & Hart. The Essential Works de Masters of Jazz réunissent les créations fondatrices de la musique d'aujourd'hui. L'histoire de la musique révèle que les musiques se succèdent les unes les autres. Difficile aujourd'hui de dire la tendance dominante, tant les courants se chevauchent et s'entrecroisent. Une chose est certaine, chaque musique se construit sur les musiques qui l'ont précédée. Pas de jazz sans la musique classique ou sans le blues, pas de rock sans le jazz, pas de rap sans la soul... Les Essential Works de Masters of Jazz, mettent en évidence les créations du 20e siècle qui aujourd'hui encore influencent la majorité des musiciens - consciemment ou inconsciemment.
Repérée en tournée aux côtés de Césaria Evora et de Kris Kristoffersen, consacrée prix « Découvertes RFI » il y a dix ans, Chiwoniso revient sur la scène internationale avec un troisième album envoûtant, Rebel Woman (second album en France). Nouvelle icône du Zimbabwe et grand espoir de la musique World, Chiwoniso Maraire est aussi guidée par une foi profonde liée à l'humanité et à la nature. « Lorsque je joue, c'est comme si je quittais mon corps, mon esprit vole, il est libre. J'incarne l'émotion de chaque note, de chaque mot, jusqu'à me confondre avec ma respiration, mon état de conscience. » Le décor est planté ! Africaine, sensuelle, soul et raffinée, elle laisse aller merveilleusement ses doigts sur son mbira accompagné des guitares, cuivres, marimba et autres percussions, et toute la magie de Rebel Woman opère... Sa voix ample et sûre n'a plus qu'à se poser sur ces rythmes et ces notes bariolés nous ramenant aux racines d'une musique émouvante aux compositions personnelles et engagées. Entre vulnérabilité et détermination, spiritualité et engagement, Chiwoniso nous invite dans une énergie itinérante, bonne étoile de cet album, à la fois profondément universel et fier de ses vibrations zimbabwéennes. Un rendez vous à ne pas manquer !
La nouvelle signature d'Anti signe un classique en puissance d'indie/pop qui rappelle The Shins ou encore Harry Nilsson. Le jeune compositeur multi-instrumentaliste saskatchewanais a fait du chemin depuis son album révélateur, ‘The Bearer of Bad News'. Applaudi par Jeff Tweedy ou encore Nick Hornby, il a été invité à faire les premières parties de la tournée US de Low. C'est maintenant à son tour de vous inviter à ‘The Party'. Pour son premier album chez ANTI, Andy Shauf propose une série de portraits présentée au fil de dix titres qu'il a soigneusement choisis. Plus mature et construit que son prédécesseur, ‘The Party' conte une histoire où entrent en collision synthés rêveurs, guitares fuzz et acoustiques, le tout drapé d'un délicat piano... sans oublier la clarinette ! Sur une base de classic pop, sa composition laisse entrevoir des reflets de Belle & Sebastian, the Shins et Grandaddy. Et ce n'est certainement pas pour rien qu'il est le premier musicien saskatchewanais à signer chez un label international depuis Joni Mitchell et Buffy Sainte-Marie... « Le jeune homme est un songwriter précieux qui raconte la vie (des autres) dans des popsongs tout en rondeurs et des rêveries folk dont la mélancolie n'éclipse jamais totalement le soleil » La Blogothèque
« Juke Joint At The Edge Of The World est un disque qui reflète la liberté que mes amis et moi avons acquise en jouant ensemble ces dernières années. Certains des endroits où nous jouons sont comme des jointures, où tout le monde danse et crie - nous puisons notre énergie à travers ces personnes et ces lieux. Désormais, on sait que quand on improvise, on est portés vers de meilleures sphères musicales. Cet album n’a pas ce côté « sorti de studio », il est plus réfléchi et moins joué, moins analysé et plus fun. Il a ses racines dans la soul et la musique R&B avec lesquelles j’ai grandi. Quand j’ai écrit ces nouvelles chansons, j’ai été habité par plusieurs personnages à qui j’ai laissé la parole depuis leurs mondes de désillusions et de fantaisies (‘Plan B’), de pauvreté, d’humour, de force (‘Pot Holes on Main Street’), des souvenirs de ma jeunesse et de la ségrégation (‘Garbage Man’). J’ai rêvé du morceau ‘Mali Katra’ lorsque j’ai aperçu un groupe de vautours perché sur une colonne électrique. Ca m’a fait penser à ceux qui ont le pouvoir, qui dominent et qui décident de nos vies. La pochette de cet album représente l’absurdité de tout ça. La musique, elle, est libre et nous emmènera toujours à des endroits à des endroits où l’on pourra rêver et danser ». RANDALL BRAMBLETT
« Le Trio Arc, avec piano, nous emporte dans un voyage musical dans le temps grâce à un programme minutieusement préparé, avec un engagement égal, loin de toute démonstration » Voici le premier enregistrement du Trio Arc (avec Irina Chkourindina au piano, Ardina et Jan Nehring aux cordes). Comme nous, vous apprécierez leur engagement, éloigné de toute démonstration, la sincérité de musiciens qui ne forcent pas, et ne tombent dans aucun excès facile. Leur interprétation sobre, sans bavardage, très précise et toujours musicale. Le programme de cet enregistrement, très généreux, a été habilement pensé : il s’ouvre avec le célébre Trio des Esprits de Ludwig van Beethoven, qui date de la période classique, pour terminer par un très romantique Deuxième Trio de Johannes Brahms, probablement le moins joué de tous ses trios. Au milieu, ce Trio sur des mélodies populaires irlandaises de Frank Martin (1890 - 1974), très peu enregistré, possède plusieurs niveaux d'écoute : extrêmement plaisant au premier abord, il laisse apparaitre peu à peu la profondeur et l'originalité d'un compositeur moderne qui mériterait d'être beaucoup plus souvent défendu.
« Juke Joint At The Edge Of The World est un disque qui reflète la liberté que mes amis et moi avons acquise en jouant ensemble ces dernières années. Certains des endroits où nous jouons sont comme des jointures, où tout le monde danse et crie - nous puisons notre énergie à travers ces personnes et ces lieux. Désormais, on sait que quand on improvise, on est portés vers de meilleures sphères musicales. Cet album n’a pas ce côté « sorti de studio », il est plus réfléchi et moins joué, moins analysé et plus fun. Il a ses racines dans la soul et la musique R&B avec lesquelles j’ai grandi. Quand j’ai écrit ces nouvelles chansons, j’ai été habité par plusieurs personnages à qui j’ai laissé la parole depuis leurs mondes de désillusions et de fantaisies (‘Plan B’), de pauvreté, d’humour, de force (‘Pot Holes on Main Street’), des souvenirs de ma jeunesse et de la ségrégation (‘Garbage Man’). J’ai rêvé du morceau ‘Mali Katra’ lorsque j’ai aperçu un groupe de vautours perché sur une colonne électrique. Ca m’a fait penser à ceux qui ont le pouvoir, qui dominent et qui décident de nos vies. La pochette de cet album représente l’absurdité de tout ça. La musique, elle, est libre et nous emmènera toujours à des endroits à des endroits où l’on pourra rêver et danser ». RANDALL BRAMBLETT
Seuls explore musicalement des espaces photographiques en empruntant divers chemins de traverse : musique classique, jazz, musique de film et musique traditionnelle. Quatre mouvements structurent l'oeuvre : Doubles, Troubles, Dédoubles et Yalniz. Doubles prend comme sujet le Trouble de la Personnalité Multiple (TPM). Troubles se déploie à la manière d'une Personnalité aux Multiples Troubles (PMT). Dédoubles pense les quatre musiciens comme des Multiples Personnalités Troublées (MPT). Si les trois premiers mouvements sont conceptualisés à partir d'une combinatoire de trois lettres, TPM-PMT-MPT, c'est pour trouver un corollaire au niveau musical : la matière exposée dans le premier mouvement se voit ainsi semée à travers les deux autres, mais revêtit des sens différents. Tout se transforme... Sur scène, un écran géant laisse jaillir plusieurs photos de Laurent Thurin-Nal, comme un espace scénographique pour les trois premières parties du spectacle. Dans le dernier mouvement, le spectateur vit un véritable renversement de la perception, grâce au court-métrage de photomontage, Yalniz. Le public déplace le principal de son attention de la sphère auditive, un concert, vers la sphère visuelle, un ciné-concert, pour construire son propre ciné-roman.
On a beaucoup trop tendance à reléguer le basson dans le rôle de simple basse, ou encore dans celui de gentil bouffon. Et pourtant, Mozart lui-même lui a confié les moments les plus tendres de sa Flûte enchantée (bien plus qu'à la flûte elle-même), et son tout premier concerto pour vents fut destiné précisément au basson : c'est ce Concerto KV. 171 de 1774. Le second mouvement, en particulier, contient des passages qu'il réutilisera dans certains airs de la Comtesse. Rossini, lui, nous a laissé son Concerto sous forme de manuscrit (un manuscrit redécouvert en 1990 seulement) fortement annoté, de sorte que tous les musicologues n'acceptent pas sa paternité exclusive. L'oeuvre semble dater de 1845, donc de l'ultime époque lyrique du compositeur; le ton, puissamment rossinien, donne sans doute tord aux spécialistes dubitatifs. A l'auditeur de décider. L'Allemand Kreutzer et le Suédois Crusell, plus ou moins contemporains l'un de l'autre, nous proposent deux exemples bien trop rares d' uvres concertantes pour basson du premier romantisme. Au basson, la jeune et talentueuse Britannique Karen Geoghegan, déjà grande star internationale du basson, nous prouve que l'instrument n'a rien de bouffon ni de macho !
Après la grandiose épopée en deux parties Chronicles of the Immortals sortie il n'y a pas si longtemps, le groupe de prog métal Vanden Plas sont déjà heureux de présenter leur nouvel album, The Ghost Xperiment : AwakenIng. La sortie du neuvième album studio du quintet souligne le haut niveau de créativité artistique qu'ils ont maintenu pendant si longtemps. Musicalement, Vanden Plas offre une fois de plus une combinaison parfaite de hard et de mélodique, tandis que les arrangements orchestraux sont ici plus en arrière-plan que sur le dernier album. En même temps, le quintet se rapproche de ses racines originelles, comme The God Thing ou Far Off Grace. Il y a des éléments plus progressifs dans les chansons, similaires à ce que l'on connait des albums précédents. Les six titres, pour la plupart longs, produisent un effet impressionnant et fascinant grâce à un arrangement très orienté vers le groupe, de sorte que l'urgence claire et intense des chansons transparaît naturellement et sans prétention. L'album est une fois de plus le fruit d'une collaboration de confiance avec l'ingénieur du son Markus Teske de Bazement Studios. L'ajout de : Awakening dans le titre de l'album laisse entendre que cet album est la première partie d'un concept passionnant. La suite, The Ghost Xperiment : IIIumination devrait paraître à l'automne 2020.
Le duo charismatique sortira son nouvel album le 16 octobre, quatre ans après Mutual Friends. La nature modeste mais charmante de ses deux jeunes femmes-artistes est à l'image de la musique de WE WERE HERE, le deuxième album très attendu de BOY : une brève et vive rafale de mélodies délicieuses, de savoir-faire parfaitement assuré et de grâce espiègle. Mais leur modestie est trompeuse : le naturel décontracté de Steiner et Glass dissimule une détermination à écrire des chansons qui durent, des compositions où chaque note participe à la beauté de l'ensemble. L'album voit BOY déployer ses ailes, explorer de nouvelles textures et de nouvelles approches musicales tout en restant fidèle à son esthétique. On retrouve la capacité de Glass à émouvoir avec une subtile modulation et son don pour les arrangements épurés, complétés de façon appropriée par les textes directs et touchants de Steiner. Cet album laisse les deux musiciennes mettre en valeur leur sensibilité caractéristique, en évoquant par exemple l'intrusion des problèmes d'un compagnon dans une relation de couple sur le titre très ryhtmé « Fear » et sur « Flames ». Non seulement WE WERE HERE confirme la réputation acquise par BOY avec Mutual Friends, mais il souligne encore plus le don précieux du groupe pour l'écriture de chansons intimement détaillées qui parlent aux hommes et aux femmes, des hommes et des femmes, des moments singuliers et pourtant universels de nos vies.
« La Maroc est un superbe endroit pour les musiciens et je ne cesse de le dire autour de moi. A titre personnel, je dirais sans hésiter que c'est l'un de mes endroits préférés dans le monde pour jouer. » Ce nouvel album en concert, enregistré au Maroc en 2009 (Rabat), est une rencontre au sommet entre plusieurs cultures et religions. De son propre aveu, cette troisième visite d'Al Di Meola dans le Royaume est l'un des sommets du guitariste en concert, ce que laisse entendre les nombreuses ovations du public tout acquis à la cause de la légende vivante et de ses nombreux invités, dont plusieurs sont originaires du Maroc. Après 40 années de carrière marquées par une fusion entre jazz, rock puis influences latines ainsi que la réinvention des genres, la technique sophistiquée d'Al Di Meola et son ébouriffante virtuosité s'expriment ici à travers toutes sortes de guitares, l'artiste y mêle ainsi les sonorités douces et chaudes des cordes nylon à celles envoûtantes de l'accordéon ou de l'oud. Une symphonie éclatante de sons et de couleurs pour un concert vibrant et enthousiasmant. POUR TOUS CEUX QUI AIMENT : Return To Forever, Chick Corea, Stanley Clarke, John McLaughlin Paco Di Lucia, The Guitar Trio, Allan Holdworth, Pat Metheny Jean-Luc Ponty, Mahavishnu Orchestra, Larry Carlton, Billy Cobham Weather Report, Jaco Pastorius, John Scofield, Lee Ritenour, etc.
On le sait, le Portico Quartet est un OVNI musical hybride qui, en s'inspirant de tout, a trouvé un son unique. Lorsque la musique downtempo rencontre le jazz, la musique répétitive dans la lignée de Steve Reich et la pop anglaise éthérée, il naît un mélange ultra-planant et inclassable. Ce double album offre deux regards uniques sur le groupe. Le premier CD est un témoignage en concert capté en 2012, avec des titres de leur dernier album ainsi que de nouveaux arrangements de leurs jeunes classiques « Clipper » ou « Dawn Patrol ». Les titres interprétés ont souvent une dimension plus énergique qu'en studio et l'écoute révèle l'entente télépathique du groupe après des centaines de concerts. « Steepless » laisse intervenir le filet de voix enfantin de la chanteuse Cornelia pour une version épique. Le second CD est une belle plongée dans l'univers sonore de Portico avec une série de remixes par les DJs et producteurs favoris du groupe. Entre influences techno (« Window Seat » de Will Ward), beats UK Garage (« Line » du réputé SBTRKT), rythmiques dancefloor (« Laker Boo » du producteur berlinois Luca Lozano), l'album se conclut avec le propre remix par le groupe du titre « Steepless », dont les synthés de qualité limitée rappellent les meilleures heures de l'électro balbutiante et inventive des années 80. Ce nouvel épisode entre témoignages en concert et remixes de choix confirment pour le Portico l'absolue nécessité des chemins de traverse.