Laurent Coulondre, la nouvelle sensation du piano hexagonal, rend hommage à l un des musiciens qui a le plus marqué son parcours de musicien et de jazzman : Michel Petrucciani. Pour être à la hauteur du 20ème anniversaire de la disparition de ce géant et de cette sublime harmonie intergénérationnelle voguant entre modernité et tradition que Michel Petrucciani promouvait, Laurent Coulondre s entoure de Jérémy Bruyère (basse et contrebasse) et d André Ceccarelli (batterie) pour faire revivre le répertoire du pianiste de légende, et nous montre s il en était besoin que le jazz est un langage qu il maîtrise de mains de maître. La nouvelle sensation du piano hexagonal --Radio france Au delà de ses qualités de virtuosité et musicalité, c est son sens du groove qui frappe d emblée et son attaque de la note fait mouche à chaque fois --Jazz magazine Laurent Coulondre mêle invention et séduction, brasse couleurs et sonorités avec jubilation et ne se laisse jamais dépasser par sa propre virtuosité --Jazz magazine
Pour fêter les dix ans de la sortie de notre premier album (Gee Whiz But This Is a Lonesome Town, en octobre 2007), nous avons décidé de nous lancer dans ce grand projet d'album live : 24 titres enregistrés sur scène - par le groupe lui-même et ses fidèles ingénieurs du son - au fil des quelques 800 concerts égrenés au cours de cette décennie... une course folle, 514'000 kilomètres parcourus autour du globe, entre la France et le Japon, l'Inde et l'Australie, les USA et l'Europe.. Il y a dix ans - le 15 Octobre 2007 - sortait notre premier album Gee Whiz But This Is A Lonesome Town. Nous ne le savions pas, mais c'était le début d'une tournée sans fin qui allait nous emporter quelques 514'000km autour du monde, à travers 800 concerts et 25 pays... une chevauchée dans le temps et l'espace, une décennie de pérégrinations musicales et de rencontres humaines qui aura laissé nos esprits hagards, éblouis, et (probablement) un peu déphasés. Pour fêter ce dixième anniversaire, nous avons decidé de nous lancer, pour la première fois, dans un grand projet d'album live : Echoes From The Borderline. Une collection de 24 chansons enregistrées sur scène pendant les tournées, par les membres du groupe eux-mêmes et leurs fidèles ingénieurs du son : versions de concer t déchaînées, accompagnées d'invités musicaux, chansons inédites, performances acoustiques primitives, expérimentations électriques... Simultanément, en contrepoint visuel à ces traces musicales, nous publierons un Livre-Photo grand format qui contiendra les photographies argentiques prises par Zim Moriarty tout au long de la tournée, témoignant des lieux traversés, des personnages croisés, des concerts et des publics, du temps de vie dépensé sur la route... et capturé sur la pellicule par l'objectif du Leica.
Pour fêter les dix ans de la sortie de notre premier album (Gee Whiz But This Is a Lonesome Town, en octobre 2007), nous avons décidé de nous lancer dans ce grand projet d'album live : 24 titres enregistrés sur scène - par le groupe lui-même et ses fidèles ingénieurs du son - au fil des quelques 800 concerts égrenés au cours de cette décennie... une course folle, 514'000 kilomètres parcourus autour du globe, entre la France et le Japon, l'Inde et l'Australie, les USA et l'Europe.. Il y a dix ans - le 15 Octobre 2007 - sortait notre premier album Gee Whiz But This Is A Lonesome Town. Nous ne le savions pas, mais c'était le début d'une tournée sans fin qui allait nous emporter quelques 514'000km autour du monde, à travers 800 concerts et 25 pays... une chevauchée dans le temps et l'espace, une décennie de pérégrinations musicales et de rencontres humaines qui aura laissé nos esprits hagards, éblouis, et (probablement) un peu déphasés. Pour fêter ce dixième anniversaire, nous avons decidé de nous lancer, pour la première fois, dans un grand projet d'album live : Echoes From The Borderline. Une collection de 24 chansons enregistrées sur scène pendant les tournées, par les membres du groupe eux-mêmes et leurs fidèles ingénieurs du son : versions de concer t déchaînées, accompagnées d'invités musicaux, chansons inédites, performances acoustiques primitives, expérimentations électriques... Simultanément, en contrepoint visuel à ces traces musicales, nous publierons un Livre-Photo grand format qui contiendra les photographies argentiques prises par Zim Moriarty tout au long de la tournée, témoignant des lieux traversés, des personnages croisés, des concerts et des publics, du temps de vie dépensé sur la route... et capturé sur la pellicule par l'objectif du Leica.
Lorsque l'on pense à Yann Tiersen, des dizaines de mots peuvent venir à l'esprit pour parler de sa musique : touchante, profondément humaine, forcément attachante... Une musique à fort impact émotionnel, où chacun peut y aller de sa propre interprétation. Pourtant, on ne peut s'empêcher de penser qu'il y a autre chose, un petit détail qui fait la différence avec les autres. Et le fait est que dès la sortie de son premier album, La Valse Des Monstres, chaque morceau était déjà porteur d'une signature parfaitement identifiable et il semble que les nombreuses émotions occasionnées par sa musique ne soit finalement que la conséquence de cette forte identité, chose si rare à l'époque, quasi-disparue de nos jours. Quelque soit l'instrument utilisé ou la forme pratiquée, cette aura si particulière était toujours là, à l'instar d'artistes comme Philip Glass ou Erik Satie. Il suffisait souvent d'une seule écoute pour être séduit, comme ce fut le cas pour le label Ici d'Ailleurs (qui s'appelait encore Sine Terra Firma) le jour où il reçut la cassette demo du jeune musicien. Comme ce fut le cas de Jean-Pierre Jeunet lorsqu'il entendit par hasard un morceau dans la voiture de l'un de ses assistants pour donner naissance à la collaboration que l'on connaît (trop ?) bien (Le Fabuleux Destin d'Amélie Poulain). Comme ce fut le cas de millions de personnes à l'époque, et comme se sera probablement le cas pour des millions d'autres à l'avenir. L'intemporalité est sûrement la deuxième grande force de Yann Tiersen et il semble évident que La Valse Des Monstres, Rue Des Cascades ou encore Le Phare ne sont en aucun cas les bandes-son d'une période particulière, encore moins des albums générationnels. Des titres comme « La Dispute », « La Pièce Vide » ou « Comptine d'Été » en sont des preuves évidentes tant l'émotion demeure intacte plus de 15 ans après leur sortie. Et aujourd'hui, peut-être même plus encore qu'une référence, Yann Tiersen semble être avant tout une influence. Son langage a indubitablement laissé des traces chez de nombreux artistes, reconnus ou non, dans leur manière de ressentir, de percevoir et d'écrire de la musique. Cette vision si particulière engendrera de nombreuses collaborations, parmi lesquelles Shannon Wright, Bästard, Noir Désir (« A Ton Étoile »), Dominique A (qui interprète 2 titres sur le Phare), Matt Elliott (Dust Lane) ou encore The Married Monk (Tout est Calme).