Pour son deuxième contrat, Dom doit éteindre toutes les lumières de la côte australienne durant l'opération «Une heure pour la planète». Son plan est de s'introduire dans la centrale nucléaire de Diablo Bay et de pirater le système informatique.
Pline a quitte? Rome, craignant autant les miasmes de la ville que la folie grandissante de Ne?ron et les manigances de Pop- pe?e. Si les menaces que font planer la folie des hommes semblent e?carte?es pour un temps, la Nature va se charger de se rappeler au savant dans toute sa puissance aveugle.
Après deux jours de tempête, le voilier de Raul accoste sur une île qui ne figure sur aucune carte, dont le phare est désaffecté et où un mur porte des graffiti dans toutes les langues. Il y fait la connaissance de Sara qui tient le bar avec son fils, d'un marin, et d'Ana qui vient comme lui d'arriver dans l'île.
Alors que Kyôko était fi n prête pour cette audition tant attendue, voilà qu’elle est éliminée de façon arbitraire ! Le producteur est donc à la hauteur de sa réputation de tyran impitoyable...La mort dans l’âme, la jeune actrice se résigne… Jusqu’à ce que Yashiro lui indique que tout n’est peut-être pas perdu.Il reste une carte à jouer, mais le pari est très risqué. Kyôko mettra-t-elle tout en jeu ?
Détenteur d’une carte au trésor prise à un vieux pirate mort, le jeune Jim raconte sa dangereuse aventure jusqu’à une île mystérieuse. Aux côtés de personnages hauts en couleur, dont le fascinant Long John Silver, un pirate qui joue un double jeu, Jim devra rivaliser d’ingéniosité et de courage pour sauver sa vie !Une version abrégée, en un seul tome, fidèle à l’intrigue et au déroulement du livre de Robert Louis Stevenson.Le trait vif et charbonneux de Benjamin Bachelier se prête à merveille à ce récit de pirates sans foi ni loi.
Un Irlandais bercé pendant toute sa jeunesse du rêve américain, se voit pour la énième fois expulsé des USA pour non renouvellement de sa carte de séjour. Il va s'imposer, en guise d'exorcisme, le Pacific Crest Trail, un trail de 4 240 km qui coure de la frontière mexicaine à la frontière canadienne, du désert à la glace en traversant 25 parc nationaux. La manière la plus radicale de se confronter à soi et à l'Amérique loin de tous les fantasmes et les rêves d'enfance.Une sorte d'Into the Wild secure , mais qui n'en égratigne pas moins tous les paradoxes etles zones d'ombre de la société américaine contemporaine avant l'élection de Trump.
Depuis vingt ans, le plus puissant trafiquant de drogue du Royaume-Uni mène ses activités en toute impunité, au nez et à la barbe de la police et de la justice. Décidés à mettre un terme à ses crimes, les services secrets doivent se résoudre à jouer leur dernière carte : CHERUB, un département ultrasecret composé d'agents âgés de dix à dix-sept ans. Des professionnels rompus à toutes les techniques d'infiltration et de renseignement mais des enfants donc... des espions insoupçonnables! À la veille de son treizième anniversaire, l'agent James Adams reçoit l'ordre de pénétrer au cœur du gang, de réunir des preuves et d'envoyer le baron de la drogue derrière les barreaux. Une opération à haut risque... Pour raison d'État, ces enfants n'existent pas.
Après son remarqué Niki de Saint-Phalle, Sandrine Martin s'empare du roman de Pierre Péju.Été 1963, Paul Marleau, un jeune Français, séjourne chez son correspondant, dans la ville allemande de Kehlstein. Derrière la carte postale idyllique et paisible, il pressent d'emblée la résurgence d'un drame effroyable.Sa rencontre avec Clara, fille d'un ancien médecin de la Wehrmacht, va précipiter les révélations.Enfants de la paix, ils comprennent que des «fêlures de guerre» se propagent dans la douceur apparente de leur époque et menacent de gangréner leurs propres vies.Pendant des années leurs destins vont se croiser et se mêler jusqu'à ce que le rire de l'Ogre éclate enfin, que le mal qui ronge soit expurgé.
Une nouvelle édition pour l'un des titres majeurs de Prado.Après avoir essuyé pendant deux jours une tempête, Raul accoste sur un îlot qu'aucune carte ne signale. Un mur couvert de graffitis, un phare désaffecté, une auberge-cantine-buvette tenue par une femme et son étrange fils, des rochers, des goélands et des superstitions, voilà à quoi se résume cette île sans nom... Un autre bateau est à quai. À son bord, Ana, une femme belle et sauvage. Une drôle d'histoire se noue entre Raul et Ana, faite de silences, d'incompréhensions et de rendez-vous manqués... Une oeuvre importante du patrimoine récent de la bande dessinée, récompensée notamment lors de sa première édition par le Prix du Meilleur Album Étranger au Festival d'Angoulême 1994.
Jacques Martin avait très tôt souhaité que les aventures d'Alix connaissent en librairie un prolongement documentaire. Ce sont LES VOYAGES D'ALIX, grâce auxquels les fidèles de Martin peuvent, dans les pas de son héros explorer le monde antique, à la rencontre des peuples, des nations, des villes et des pays de cette époque de l'histoire humaine.Pompéi, la ville romaine martyre totalement ensevelie lors de la célèbre éruption du Vésuve, avait déjà fait l'objet d'un volume des VOYAGES D'ALIX, dessiné par Marc Henniquiau. À l'occasion de la sortie de la 30e aventure d'Alix, La Conjuration de Baal, dont les scènes finales se déroulent à Pompéi, ce volume fait l'objet d'une nouvelle édition, entièrement revue et fortement augmentée. Le format s'agrandit, la maquette est rénovée, l'iconographie s'enrichit d'une douzaine de dessins supplémentaires créés par Marc Henniquiau avant sa disparition et l'album intègre un cahier supplémentaire, entièrement consacré à l'éruption volcanique qui a rayé Pompéi de la carte.
Exilé volontaire dans une île de la mer Adriatique, devenu une légende, Exterminateur 17 reparaît un jour, sur une planète lointaine peuplée de réprouvés : Ellis. Conçu en 1970 par Dionnet et Bilal, Exterminateur 17 poussait la porte de leur inconscient pour renaître. Il a fallu presque trente ans pour qu'apparaisse un successeur, Igor Baranko, né l'année où Exterminateur 17 fut conçu. Ce qui n'est peut-être pas un hasard : il y a plus d'un point commun entre Enki Bilal, yougoslave, exilé à Paris, et Igor Baranko, ukrainien, qui se retrouva soldat en Afghanistan avant de gagner au loto sa carte verte et de partir pour l'Amérique. Si leur manière de dessiner est différente, leur vision du monde converge : ils viennent de pays déchirés par l'histoire. C'est la raison pour laquelle les quatre couvertures sont dûes à Bilal, puisque c'est la même histoire en somme, qui continue et qui s'achève certains points évoqués dans le premier tome, n'étant résolus qu'au quatrième, à la fin : la fin du monde.