Le retour Triumphant du guitariste virtuose ! Le fondateur de Triumph, célèbre groupe canadien de hard rock des 80’s aux 8 disques d’or, nous revient accompagné de son nouveau groupe RESolution9. Les membres de RESolution9 sont des musiciens issus du quartet qui accompagnent Rick live : Dave Dunlop à la guitare, Steve Skingley à la basse, et Paul DeLong à la batterie. Enregistré et mixé en grande partie aux fameux studios MetalWorks de Mississauga, la ville natale de Rick, ce disque plein de vitalité est loin d’être un simple retour aux sources ou un quelconque comeback. On y retrouve même les deux autres membres fondateurs du trio Triumph (Gil Moore et Mike Levine) qui reprennent pour la première fois du service aux côtés de Rick Emmett sur « The Grand Parade » qui résonne comme une suite au « Suitcase blues » de 1979. Enfin, le légendaire guitariste de Rush, Alex Lifeson, joue sur deux morceaux stellaires et James LaBrie de Dream Theater chante sur deux titres magiques. Ce magnifique album s’annonce comme le premier d’une fructueuse collaboration à venir entre Rick Emmett et Mascot !
Pour son treizième album studio, Joe Bonamassa continue de redéfinir les limites du blues rock moderne. A travers 12 compositions de son cru le guitariste américain présente un disque aussi ambitieux que diversifié. Il esquisse même une sorte de renaissance qui fait suite à diverses choses qui viennent de marquer sa vie personnelle : Je passe à travers des moments que je ne m'attendais pas vivre... Je dois les accepter et y faire face avec contrition... C'est douloureux, tout en sachant qu'une résurrection est toujours possible, explique-t-il. Pour ce disque Bonamassa s'est entouré de quelques-uns des meilleurs auteurs / compositeurs de Nashville comme Tom Hambridge, James House, Gary Nicholson, Richard Page, Dion Dimucci et bien évidemment de son producteur de toujours Kevin Shirley. L'enregistrement s'est déroulé dans différents endroits : les Blackbird Studios à Nashville, The Cave Australia à Sydney, le Studio At The Palms à Las Vegas, le Criteria Hit Factory, à Miami et les Addiction Sound Studios de Nashville. Une fois de plus de remarquables musiciens accompagnent Joe : le batteur Anton Fig, le bassiste Michael Rhodes, le clavier Reese Wynans, les trompettistes Lee Thornburg et Paulie Cerra, les choristes Gary Pinto, Mahalia Barnes, Jade McRae, Juanita Tippins et même deux autres guitaristes Kenny Greenberg et Doug Lancio. Si l'album commence par un coup de chapeau à Led Zeppelin avec Evil Mama', il se poursuit ensuite sur les rythmes boogie/rockabilly de King Bee Shakedown' auxquels il est impossible de résister. Après les riffs hard rock de Molly-O', Joe s'inspire clairement de Tom Waits sur Pick Up The Pieces'. Du point de vue du guitariste Self-Inflicted Wounds' est sans doute l'une des meilleures chansons qu'il ait jamais écrites et Deep In The Blues Again' possède un rythme qui pousse à la réécouter à l'infini. Sur The Ghost of Macon Jones' Joe partage le chant avec le chanteur country Jamey Johnson. Ensemble ils nous content l'histoire d'un paysan renégat. Vient alors Just Cos You Can Don t Mean You Should' directement inspiré du blues rock d'Albert King, puis l'on retient son souffle sur Stronger Now In Broken Places' interprété avec rien de plus qu'une guitare acoustique posée sur des sons créés par Jim Moginie de Midnight Oil et le handpan de Kate Ston. Après ce merveilleux voyage musical Joe renoue alors avec le blues rock plus traditionnel sur Love is A Gamble.' Le chemin pavé par ce Redemption avance à travers des nuances allant de la lumière à l'obscurité et vers des profondeurs tendres, chargées d'émotions. Bien sûr la guitare suprême et magistrale de Bonamassa veille sur chacun de ces précieux moments. Mais au-delà de ses prouesses inégalées d'instrumentiste, l'on ressent tout au long de ce disque que Joe Bonamassa est habité par le désir insatiable de pousser les choses plus loin et ce aussi bien au niveau de la musique que des textes.
Pour son treizième album studio, Joe Bonamassa continue de redéfinir les limites du blues rock moderne. A travers 12 compositions de son cru le guitariste américain présente un disque aussi ambitieux que diversifié. Il esquisse même une sorte de renaissance qui fait suite à diverses choses qui viennent de marquer sa vie personnelle : Je passe à travers des moments que je ne m'attendais pas vivre... Je dois les accepter et y faire face avec contrition... C'est douloureux, tout en sachant qu'une résurrection est toujours possible, explique-t-il. Pour ce disque Bonamassa s'est entouré de quelques-uns des meilleurs auteurs / compositeurs de Nashville comme Tom Hambridge, James House, Gary Nicholson, Richard Page, Dion Dimucci et bien évidemment de son producteur de toujours Kevin Shirley. L'enregistrement s'est déroulé dans différents endroits : les Blackbird Studios à Nashville, The Cave Australia à Sydney, le Studio At The Palms à Las Vegas, le Criteria Hit Factory, à Miami et les Addiction Sound Studios de Nashville. Une fois de plus de remarquables musiciens accompagnent Joe : le batteur Anton Fig, le bassiste Michael Rhodes, le clavier Reese Wynans, les trompettistes Lee Thornburg et Paulie Cerra, les choristes Gary Pinto, Mahalia Barnes, Jade McRae, Juanita Tippins et même deux autres guitaristes Kenny Greenberg et Doug Lancio. Si l'album commence par un coup de chapeau à Led Zeppelin avec Evil Mama', il se poursuit ensuite sur les rythmes boogie/rockabilly de King Bee Shakedown' auxquels il est impossible de résister. Après les riffs hard rock de Molly-O', Joe s'inspire clairement de Tom Waits sur Pick Up The Pieces'. Du point de vue du guitariste Self-Inflicted Wounds' est sans doute l'une des meilleures chansons qu'il ait jamais écrites et Deep In The Blues Again' possède un rythme qui pousse à la réécouter à l'infini. Sur The Ghost of Macon Jones' Joe partage le chant avec le chanteur country Jamey Johnson. Ensemble ils nous content l'histoire d'un paysan renégat. Vient alors Just Cos You Can Don t Mean You Should' directement inspiré du blues rock d'Albert King, puis l'on retient son souffle sur Stronger Now In Broken Places' interprété avec rien de plus qu'une guitare acoustique posée sur des sons créés par Jim Moginie de Midnight Oil et le handpan de Kate Ston. Après ce merveilleux voyage musical Joe renoue alors avec le blues rock plus traditionnel sur Love is A Gamble.' Le chemin pavé par ce Redemption avance à travers des nuances allant de la lumière à l'obscurité et vers des profondeurs tendres, chargées d'émotions. Bien sûr la guitare suprême et magistrale de Bonamassa veille sur chacun de ces précieux moments. Mais au-delà de ses prouesses inégalées d'instrumentiste, l'on ressent tout au long de ce disque que Joe Bonamassa est habité par le désir insatiable de pousser les choses plus loin et ce aussi bien au niveau de la musique que des textes.
Pour son treizième album studio, Joe Bonamassa continue de redéfinir les limites du blues rock moderne. A travers 12 compositions de son cru le guitariste américain présente un disque aussi ambitieux que diversifié. Il esquisse même une sorte de renaissance qui fait suite à diverses choses qui viennent de marquer sa vie personnelle : Je passe à travers des moments que je ne m'attendais pas vivre... Je dois les accepter et y faire face avec contrition... C'est douloureux, tout en sachant qu'une résurrection est toujours possible, explique-t-il. Pour ce disque Bonamassa s'est entouré de quelques-uns des meilleurs auteurs / compositeurs de Nashville comme Tom Hambridge, James House, Gary Nicholson, Richard Page, Dion Dimucci et bien évidemment de son producteur de toujours Kevin Shirley. L'enregistrement s'est déroulé dans différents endroits : les Blackbird Studios à Nashville, The Cave Australia à Sydney, le Studio At The Palms à Las Vegas, le Criteria Hit Factory, à Miami et les Addiction Sound Studios de Nashville. Une fois de plus de remarquables musiciens accompagnent Joe : le batteur Anton Fig, le bassiste Michael Rhodes, le clavier Reese Wynans, les trompettistes Lee Thornburg et Paulie Cerra, les choristes Gary Pinto, Mahalia Barnes, Jade McRae, Juanita Tippins et même deux autres guitaristes Kenny Greenberg et Doug Lancio. Si l'album commence par un coup de chapeau à Led Zeppelin avec Evil Mama', il se poursuit ensuite sur les rythmes boogie/rockabilly de King Bee Shakedown' auxquels il est impossible de résister. Après les riffs hard rock de Molly-O', Joe s'inspire clairement de Tom Waits sur Pick Up The Pieces'. Du point de vue du guitariste Self-Inflicted Wounds' est sans doute l'une des meilleures chansons qu'il ait jamais écrites et Deep In The Blues Again' possède un rythme qui pousse à la réécouter à l'infini. Sur The Ghost of Macon Jones' Joe partage le chant avec le chanteur country Jamey Johnson. Ensemble ils nous content l'histoire d'un paysan renégat. Vient alors Just Cos You Can Don t Mean You Should' directement inspiré du blues rock d'Albert King, puis l'on retient son souffle sur Stronger Now In Broken Places' interprété avec rien de plus qu'une guitare acoustique posée sur des sons créés par Jim Moginie de Midnight Oil et le handpan de Kate Ston. Après ce merveilleux voyage musical Joe renoue alors avec le blues rock plus traditionnel sur Love is A Gamble.' Le chemin pavé par ce Redemption avance à travers des nuances allant de la lumière à l'obscurité et vers des profondeurs tendres, chargées d'émotions. Bien sûr la guitare suprême et magistrale de Bonamassa veille sur chacun de ces précieux moments. Mais au-delà de ses prouesses inégalées d'instrumentiste, l'on ressent tout au long de ce disque que Joe Bonamassa est habité par le désir insatiable de pousser les choses plus loin et ce aussi bien au niveau de la musique que des textes.
Il y a quatre ans, c'est à Paris que leurs vies se croisent, dans un bar, un soir tard. Le soir même, elle au chant, lui à la guitare, ils composent spontanément dans une chambre de post-adolescent, leur première ballade, teintée de folk-blues lumineux et enivrant. En 2009, c'est sur le web que Lilly Wood and the Prick explose. Leur premier tube Down The Drain servi par un clip fantasque et décalé, rassemble par dizaines de milliers. En mai 2010, Lilly Wood and The Prick dévoile son premier album, Invincible Friends. Un album tendrement révolté, dans lequel le groupe explore tous les sons que la curiosité de la jeunesse permet : des mélodies pop mêlées à des arrangements électro, une voix blues transportée par des refrains pop. Les textes se nourrissent de tout ce que la vingtaine traverse : les amours qui passent et les amis qui restent, les idéaux qui s'échappent et les doutes qui s'installent. La voix éraillée de Nili y résonne comme un cri, celui d'une génération qui puise sa force créatrice dans le désenchantement. Deux ans après un succès magique, un disque d'or et une Victoire de la musique, Lilly Wood and The Prick remontent sur le ring avec The Fight, un deuxième album prêt à nous conquérir.
LA NOUVELLE SIGNATURE DE SONGWRITERS US DE MASCOT Ce groupe de Rock n' Roll américain tire son nom du morceau de Bob Dylan intitulé The Ballad of Hollis Brown. Formé par les natifs du Queens Mike Montali (chant/guitare) et Jonathan Bonilla (lead guitar). C'est en parcourant l'Amérique qu'ils ont trouvé leur véritable souffle, en recrutant Andrew Zehnal (batterie) à Cleveland et Adam Bock (claviers) à St. Louis. Depuis leur formation en 2009, la musique d'Hollis Brown a déjà acquis une bonne notoriété et ainsi régulièrement été utilisée pour la TV et le cinéma : pour la bande annonce du film de Michael Keaton The Founder, dans le film avec Willem Dafoe et Matt Dillon, Bad Country, dans des séries comme Kingdom ou Shameless, et pour plusieurs campagnes de pub. Le groupe a énormément tourné aux US et aussi en Europe, seul ou en première partie de groupes de l'envergure des Counting Crows, Citizen Cope, The Zombies, Jackie Greene, Heartless Bastards, Rich Robinson des Black Crowes, ou encore Jesse Malin, ce qui leur a permis de se construire une belle fan base sur les deux continents. En signant chez Mascot, le groupe devrait encore passer un cap.
LA NOUVELLE SIGNATURE DE SONGWRITERS US DE MASCOT Ce groupe de Rock n' Roll américain tire son nom du morceau de Bob Dylan intitulé The Ballad of Hollis Brown. Formé par les natifs du Queens Mike Montali (chant/guitare) et Jonathan Bonilla (lead guitar). C'est en parcourant l'Amérique qu'ils ont trouvé leur véritable souffle, en recrutant Andrew Zehnal (batterie) à Cleveland et Adam Bock (claviers) à St. Louis. Depuis leur formation en 2009, la musique d'Hollis Brown a déjà acquis une bonne notoriété et ainsi régulièrement été utilisée pour la TV et le cinéma : pour la bande annonce du film de Michael Keaton The Founder, dans le film avec Willem Dafoe et Matt Dillon, Bad Country, dans des séries comme Kingdom ou Shameless, et pour plusieurs campagnes de pub. Le groupe a énormément tourné aux US et aussi en Europe, seul ou en première partie de groupes de l'envergure des Counting Crows, Citizen Cope, The Zombies, Jackie Greene, Heartless Bastards, Rich Robinson des Black Crowes, ou encore Jesse Malin, ce qui leur a permis de se construire une belle fan base sur les deux continents. En signant chez Mascot, le groupe devrait encore passer un cap.
ENTRE LED ZEPPELIN ET PINK FLOYD, LE ROCK MADE IN FINLAND VA CONQUERIR VOTRE PLATINE Les frères finnois Mikko, Kie et Jonne von Hertzen jouaient chacun dans leur propre groupe avec succès avant de se lancer, ensemble en 2000, dans l’aventure Von Herzen Brothers. Avec « Approach » leur 2ème album qui a enflammé les charts nationaux par son mélange unique de guitare progressive et d’harmonies vocales, les frères ont vite démontré que leur association était unique et exceptionnelle. Depuis, le groupe a sorti trois albums qui ont atteint la place de N°1 et un autre N°2 au top en Finlande. Ce succès en fait, aujourd’hui, l’un des groupes les plus influants et les plus importants à émerger dernièrement de Finlande. Côté scène, le groupe s’est bâti une solide réputation et est considéré comme étant une excellente formation live. La preuve c’est qu’ils ont déjà fait les premières parties des Foo Fighters et même de Neil Young, partagé les tournées européennes d’Opeth et joué sur les grandes scènes de prestigieux festivals en Europe ! Il est aujourd’hui temps pour eux de dépasser les frontières de la Finlande et de se faire connaître au niveau international. Leur signature chez Mascot devrait les aider à percer sur la scène international avec ce nouvel album.
ENTRE LED ZEPPELIN ET PINK FLOYD, LE ROCK MADE IN FINLAND VA CONQUERIR VOTRE PLATINE Les frères finnois Mikko, Kie et Jonne von Hertzen jouaient chacun dans leur propre groupe avec succès avant de se lancer, ensemble en 2000, dans l’aventure Von Herzen Brothers. Avec « Approach » leur 2ème album qui a enflammé les charts nationaux par son mélange unique de guitare progressive et d’harmonies vocales, les frères ont vite démontré que leur association était unique et exceptionnelle. Depuis, le groupe a sorti trois albums qui ont atteint la place de N°1 et un autre N°2 au top en Finlande. Ce succès en fait, aujourd’hui, l’un des groupes les plus influants et les plus importants à émerger dernièrement de Finlande. Côté scène, le groupe s’est bâti une solide réputation et est considéré comme étant une excellente formation live. La preuve c’est qu’ils ont déjà fait les premières parties des Foo Fighters et même de Neil Young, partagé les tournées européennes d’Opeth et joué sur les grandes scènes de prestigieux festivals en Europe ! Il est aujourd’hui temps pour eux de dépasser les frontières de la Finlande et de se faire connaître au niveau international. Leur signature chez Mascot devrait les aider à percer sur la scène international avec ce nouvel album.
ADRIAN VANDENBERG IS BACK ! 4 ans après son spectaculaire comeback avec Vandenberg’s Moonkings, Adrian Vandenberg revient avec une nouvelle galette où son quatuor distille à merveille un mix parfait entre hard rock 70s et heavy rock moderne. Le vituose Adrian Vandenberg continue à briller avec sa guitare alors que son groupe délivre la musique derrière avec maestria. Mais sur MK II le combo va bien plus loin que sur le 1er album. Ce disque démontre en effet que le groupe s’est uni et a muri depuis, grâce à ses nombreuses tournées à travers le monde. L’ex guitariste de Whitesnake, explique ainsi qu’à l’époque de l’enregistrement du 1er album, les musiciens se connaissaient à peine. Même si chacun avait déjà répondu à toutes les attentes, ce n’est que sur la route qu’on apprend vraiment à se connaître. Les musiciens ont alors découvert l’abondance d’énergie qu’ils possédaient et ce qu’ils ont voulu retranscrire en studio avec ce disque. Le syndrome du second album n’a heureusement jamais pointé son horrible nez ! Aussi Adrian a même pris le temps de nous composer un morceau vraiment épique où il se lâche comme jamais : « The Fire » qui vous retournera le cerveau en 7 minutes ! D’habitude, la politique ne fait pas partie des thèmes abordés mais avec la folie dans laquelle le monde beigne aujourd’hui, Adrian n’a pu s’empêcher d’aborder le sujet.
ADRIAN VANDENBERG IS BACK ! 4 ans après son spectaculaire comeback avec Vandenberg’s Moonkings, Adrian Vandenberg revient avec une nouvelle galette où son quatuor distille à merveille un mix parfait entre hard rock 70s et heavy rock moderne. Le vituose Adrian Vandenberg continue à briller avec sa guitare alors que son groupe délivre la musique derrière avec maestria. Mais sur MK II le combo va bien plus loin que sur le 1er album. Ce disque démontre en effet que le groupe s’est uni et a muri depuis, grâce à ses nombreuses tournées à travers le monde. L’ex guitariste de Whitesnake, explique ainsi qu’à l’époque de l’enregistrement du 1er album, les musiciens se connaissaient à peine. Même si chacun avait déjà répondu à toutes les attentes, ce n’est que sur la route qu’on apprend vraiment à se connaître. Les musiciens ont alors découvert l’abondance d’énergie qu’ils possédaient et ce qu’ils ont voulu retranscrire en studio avec ce disque. Le syndrome du second album n’a heureusement jamais pointé son horrible nez ! Aussi Adrian a même pris le temps de nous composer un morceau vraiment épique où il se lâche comme jamais : « The Fire » qui vous retournera le cerveau en 7 minutes ! D’habitude, la politique ne fait pas partie des thèmes abordés mais avec la folie dans laquelle le monde beigne aujourd’hui, Adrian n’a pu s’empêcher d’aborder le sujet.
Le 22 novembre 2000, à 20 heures, 2500 personnes attendent impatiemment l'arrivée de Ray Charles devant l'Olympia. Le concert s'annonce exceptionnel. Le roi de la soul, accompagné d'un orchestre de 32 musiciens, célèbre ses 70 ans, l'aube d'un nouveau millénaire, et rend hommage à la salle dans laquelle il fit ses débuts européens, en 1960. Jean-Pierre Grosz, son agent, son producteur et son ami depuis vingt-sept ans, a tout prévu dans les moindres détails : des caméras pour immortaliser l'événement; des techniciens pour enregistrer une heure quarante-cinq de musique en live. Ray Charles - Dernier blues à paris - mais, à 20h30, les portes du music-hall sont encore fermées. L'atmosphère devient tendue. La foule envahit les trottoirs, la police intervient et menace d'annuler le concert. Personne ne sait ce qui se passe. Et puis vient le moment où, sans aucune explication, le public peut, enfin, accéder à la salle. Jean-Pierre Grosz monte sur scène et annonce : « Ray Charles est là, mais, en raison d'un imprévu, il jouera sans son orchestre ». Privé de son ensemble, Ray Charles se produit alors avec un trio - basse, batterie, guitare - et en acoustique, ce qui ne lui était plus arrivé depuis cinquante ans, lorsqu'il jouait dans les clubs. Ce concert, est l'un des témoignages les plus magiques de toute la carrière du chanteur.
LE CONCERT ACOUSTIQUE EXCLUSIF AU CANERGIE HALL Enregistré et filmé en janvier 2016 au Carnegie Hall, l'une des plus célèbres salles de concert de New-York, voire des Etats-Unis, ce nouvel album / DVD live et acoustique présente, sous de nouveaux arrangements, les meilleurs titres de Joe Bonamassa, mais aussi des chansons complètement inédites, jamais entendues jusqu'à présent ! Pour cette tournée 100% acoustique, le guitariste américain s'était entouré d'un groupe de 9 personnes parmi lesquelles figuraient la violoncelliste chinoise Tina Guo, le compositeur / percussionniste égyptien Hossam Ramzy (connu pour avoir travaillé avec Page / Plant sur le No Quarter : Unledded Tour), le pianiste Reese Wynans, le batteur Anton Fig, le multi instrumentiste Eric Bazilian (mandoline, vielle, saxophone, guitare, chant), ainsi que 3 choristes australiennes Mahalia Barnes, Juanita Tippins et Gary Pinto. En se produisant au Carnegie Hall Joe Bonamassa a donc réalisé un autre de ses rêves ! Que de chemin parcouru pour ce gamin fondu de blues devenu depuis l'une des références contemporaines du genre et qui a sorti 22 albums solo sur son propre label J&R Adventures ! Joe vient de donner 3 concerts en France en Formation électrique aux Zénith de Lille et de Dijon mais aussi au Palais des Congrès de Paris.
LE CONCERT ACOUSTIQUE EXCLUSIF AU CANERGIE HALL Enregistré et filmé en janvier 2016 au Carnegie Hall, l'une des plus célèbres salles de concert de New-York, voire des Etats-Unis, ce nouvel album / DVD live et acoustique présente, sous de nouveaux arrangements, les meilleurs titres de Joe Bonamassa, mais aussi des chansons complètement inédites, jamais entendues jusqu'à présent ! Pour cette tournée 100% acoustique, le guitariste américain s'était entouré d'un groupe de 9 personnes parmi lesquelles figuraient la violoncelliste chinoise Tina Guo, le compositeur / percussionniste égyptien Hossam Ramzy (connu pour avoir travaillé avec Page / Plant sur le No Quarter : Unledded Tour), le pianiste Reese Wynans, le batteur Anton Fig, le multi instrumentiste Eric Bazilian (mandoline, vielle, saxophone, guitare, chant), ainsi que 3 choristes australiennes Mahalia Barnes, Juanita Tippins et Gary Pinto. En se produisant au Carnegie Hall Joe Bonamassa a donc réalisé un autre de ses rêves ! Que de chemin parcouru pour ce gamin fondu de blues devenu depuis l'une des références contemporaines du genre et qui a sorti 22 albums solo sur son propre label J&R Adventures ! Joe vient de donner 3 concerts en France en Formation électrique aux Zénith de Lille et de Dijon mais aussi au Palais des Congrès de Paris.
LE CONCERT ACOUSTIQUE EXCLUSIF AU CANERGIE HALL Enregistré et filmé en janvier 2016 au Carnegie Hall, l'une des plus célèbres salles de concert de New-York, voire des Etats-Unis, ce nouvel album / DVD live et acoustique présente, sous de nouveaux arrangements, les meilleurs titres de Joe Bonamassa, mais aussi des chansons complètement inédites, jamais entendues jusqu'à présent ! Pour cette tournée 100% acoustique, le guitariste américain s'était entouré d'un groupe de 9 personnes parmi lesquelles figuraient la violoncelliste chinoise Tina Guo, le compositeur / percussionniste égyptien Hossam Ramzy (connu pour avoir travaillé avec Page / Plant sur le No Quarter : Unledded Tour), le pianiste Reese Wynans, le batteur Anton Fig, le multi instrumentiste Eric Bazilian (mandoline, vielle, saxophone, guitare, chant), ainsi que 3 choristes australiennes Mahalia Barnes, Juanita Tippins et Gary Pinto. En se produisant au Carnegie Hall Joe Bonamassa a donc réalisé un autre de ses rêves ! Que de chemin parcouru pour ce gamin fondu de blues devenu depuis l'une des références contemporaines du genre et qui a sorti 22 albums solo sur son propre label J&R Adventures ! Joe vient de donner 3 concerts en France en Formation électrique aux Zénith de Lille et de Dijon mais aussi au Palais des Congrès de Paris.
Dylan LeBlanc a grandi entouré de musiciens de session des célèbres Fame Studios, dont son père faisait partie, dans la minuscule agglomération semi-rurale de Muscle Shoals. Cette ville fut, au coeur des années soixante, l'une des grandes capitales musicales de la musique, capable de rivaliser par son impact et son rayonnement avec New York, Londres ou encore Los Angeles, et a donné naissance au Muscle Shoals sound. Paul Simon, Aretha Franklin, Les Rolling Stones, Wilsdon Pickett,pour ne citer qu'eux, ont tous enregistré là bas. On comprendra pourquoi dès l'âge de 7 ans, Dylan maîtrise la technique du finger picking, très répandue dans le blues et la musique country. Il commence ensuite à composer ses propres chansons, et fait ses premiers pas sur scène à l'âge de 15 ans. Loin de ses premières compositions qu'il considère pas si réussies, Dylan Leblanc considère aujourd'hui l'écriture comme un exutoire, une sorte de thérapie vitale pour son bien être. Les chansons plutôt sombres présentes sur cet album sont matures, soignées, et simplement éclairées par quelques cordes, et de l'orgue. Sans oublier la guitare et la voix de Dylan Leblanc, les deux pièces maîtresses de cet album ! Dylan LeBlanc fait ainsi part de son héritage sur son premier album Paupers Field, où les démons et les fantômes du passé émergent au sein de ses compositions.
LE CONCERT ACOUSTIQUE EXCLUSIF AU CANERGIE HALL Enregistré et filmé en janvier 2016 au Carnegie Hall, l'une des plus célèbres salles de concert de New-York, voire des Etats-Unis, ce nouvel album / DVD live et acoustique présente, sous de nouveaux arrangements, les meilleurs titres de Joe Bonamassa, mais aussi des chansons complètement inédites, jamais entendues jusqu'à présent ! Pour cette tournée 100% acoustique, le guitariste américain s'était entouré d'un groupe de 9 personnes parmi lesquelles figuraient la violoncelliste chinoise Tina Guo, le compositeur / percussionniste égyptien Hossam Ramzy (connu pour avoir travaillé avec Page / Plant sur le No Quarter : Unledded Tour), le pianiste Reese Wynans, le batteur Anton Fig, le multi instrumentiste Eric Bazilian (mandoline, vielle, saxophone, guitare, chant), ainsi que 3 choristes australiennes Mahalia Barnes, Juanita Tippins et Gary Pinto. En se produisant au Carnegie Hall Joe Bonamassa a donc réalisé un autre de ses rêves ! Que de chemin parcouru pour ce gamin fondu de blues devenu depuis l'une des références contemporaines du genre et qui a sorti 22 albums solo sur son propre label J&R Adventures ! Joe vient de donner 3 concerts en France en Formation électrique aux Zénith de Lille et de Dijon mais aussi au Palais des Congrès de Paris.
LE CONCERT ACOUSTIQUE EXCLUSIF AU CANERGIE HALL Enregistré et filmé en janvier 2016 au Carnegie Hall, l'une des plus célèbres salles de concert de New-York, voire des Etats-Unis, ce nouvel album / DVD live et acoustique présente, sous de nouveaux arrangements, les meilleurs titres de Joe Bonamassa, mais aussi des chansons complètement inédites, jamais entendues jusqu'à présent ! Pour cette tournée 100% acoustique, le guitariste américain s'était entouré d'un groupe de 9 personnes parmi lesquelles figuraient la violoncelliste chinoise Tina Guo, le compositeur / percussionniste égyptien Hossam Ramzy (connu pour avoir travaillé avec Page / Plant sur le No Quarter : Unledded Tour), le pianiste Reese Wynans, le batteur Anton Fig, le multi instrumentiste Eric Bazilian (mandoline, vielle, saxophone, guitare, chant), ainsi que 3 choristes australiennes Mahalia Barnes, Juanita Tippins et Gary Pinto. En se produisant au Carnegie Hall Joe Bonamassa a donc réalisé un autre de ses rêves ! Que de chemin parcouru pour ce gamin fondu de blues devenu depuis l'une des références contemporaines du genre et qui a sorti 22 albums solo sur son propre label J&R Adventures ! Joe vient de donner 3 concerts en France en Formation électrique aux Zénith de Lille et de Dijon mais aussi au Palais des Congrès de Paris.
«Walter Trout n'est pas simplement un grand guitariste..Il sort ses tripes et quand il joue il vous emmène avec lui... David Wilson/The ToneQuest Report Walter Trout, n'est surement pas assez connu chez nous. Il n'en demeure pas moins un des tout meilleur guitariste de la planète et un des plus grand représentant de la scène blues moderne. Une technique irréprochable, une mise en place parfaite (le groupe assure énorme), un énorme feeling et une grosse, très grosse dose d'énergie. Guettez sa venue près de chez vous et allez le voir de toute urgence. (En tournée Européenne en été 2009). aAprès avoir accompagné à la guitare John Lee HOOKER, Big Mama THORNTON et Joe TEX pendant de nombreuses années, Walter TROUT remplace en 1981 Bob HITE au sein du groupe Canned Heat. Occupant cette place jusqu'au milieu des années 80, Walter TROUT intègre ensuite le groupe de John MAYALL, les Bluesbreaker, pendant une période d'environ cinq ans. Cet album célèbre les 20 ans de carrière du génial guitariste. 14 Titres pour la plupart inédits dont 3 nouvelles compositions. Les enregistrements couvrent les 20 années du guitariste qui est accompagné par diverses formations. 2 titres enregistrés « Live » au Paradisio d'Amsterdam en 1991, 3 titres enregistrés « Live » au fameux « Perq's niteclub » de Huntington Beach en Californie et deux titres enregistrés en 1991 à la BBC. Un «must» pour les amateurs!!! Merci et Joyeux Anniversaire WALTER !!!!!
George Benson revient aux bases de la musique américaine dans 'Walking to New Orleans'. Le légendaire guitariste de jazz rend, en effet, un poignant hommager au génial pianiste et merveilleux faiseur de hits, Fats Domino et au guitariste, héros du rock et poète, Chuck Berry. Grand admirateur des deux hommes, Benson fait revivre leurs oeuvres avec son chant unique plein de soul et ses solo de guitare pleins de grâce ! Le repertoire de Chuck Berry est, ici, present à travers les chansons : Walking To New Orleans', Nadine (Is It You?),You Can't Catch Me, Havana Moon, Memphis, Tennessee, et How You've Changed. Quant à celui de Fats Domino, on le retrouve avec Rockin' Chair, Ain't That a Shame, I Hear You Knocking, Blue Monday, et le morceau titre de l'album. 'Walking to New Orleans' est le 1er album de Benson depuis 'Inspiration : A Tribute to Nat King Cole.', paru en 2013. Un album dans lequel, Benson redonnait toute leur splendeur aux morceaux de Cole à travers de luxueux arrangements orchestraux. Au contraire, pour ce nouveau disque, Benson s'est replié aux studios Ocean Way à Nashville avec un simple quartet comprenant le batteur Greg Morrow, le guitariste Rob McNelley, le pianiste Kevin McKendree, et le bassiste Alison Prestwood. Derrières les manettes, on retouve le producteur Kevin The Caveman Shirley (Journey, John Hiatt, Iron Maiden, Bonamassa). 'Walking to New Orleans' est le 45ème album de George Benson's et pourtant jamais un de ses disques n'avait sonné aussi détendu et fun !
George Benson revient aux bases de la musique américaine dans 'Walking to New Orleans'. Le légendaire guitariste de jazz rend, en effet, un poignant hommager au génial pianiste et merveilleux faiseur de hits, Fats Domino et au guitariste, héros du rock et poète, Chuck Berry. Grand admirateur des deux hommes, Benson fait revivre leurs oeuvres avec son chant unique plein de soul et ses solo de guitare pleins de grâce ! Le repertoire de Chuck Berry est, ici, present à travers les chansons : Walking To New Orleans', Nadine (Is It You?),You Can't Catch Me, Havana Moon, Memphis, Tennessee, et How You've Changed. Quant à celui de Fats Domino, on le retrouve avec Rockin' Chair, Ain't That a Shame, I Hear You Knocking, Blue Monday, et le morceau titre de l'album. 'Walking to New Orleans' est le 1er album de Benson depuis 'Inspiration : A Tribute to Nat King Cole.', paru en 2013. Un album dans lequel, Benson redonnait toute leur splendeur aux morceaux de Cole à travers de luxueux arrangements orchestraux. Au contraire, pour ce nouveau disque, Benson s'est replié aux studios Ocean Way à Nashville avec un simple quartet comprenant le batteur Greg Morrow, le guitariste Rob McNelley, le pianiste Kevin McKendree, et le bassiste Alison Prestwood. Derrières les manettes, on retouve le producteur Kevin The Caveman Shirley (Journey, John Hiatt, Iron Maiden, Bonamassa). 'Walking to New Orleans' est le 45ème album de George Benson's et pourtant jamais un de ses disques n'avait sonné aussi détendu et fun !
LE NOUVEL ALBUM STUDIO DU BRAS DROIT D'ERIC CLAPTON Cet album du guitariste-chanteur et songwriter, le premier pour le label Mascot, fait suite à son quatrième disque Rich Man, sorti en 2016 et qui avait obtenu un trèsbeau succès critique ! Au cours des années qui ont espacé ses albums solo, Bramhall s'est établi comme l'un des guitaristes les plus recherchés de la planète, jouant avec des artistes du calibre de Roger Waters, Elton John, Gregg Allman, Allen Toussaint, Sheryl Crow, Billy Preston, the Tedeschi Trucks Band, Erykah Badu ou encore Questlove. Mais c'est avant tout comme bras droit du légendaire Eric Clapton, aussi bien en studio que sur scène, que Bramhall s'est imposé au cours des dix dernières années. Enregistré principalement à Brooklyn et à Los Angeles, Shades est un envoûtant mélange de blues grungy, de garage rock rocailleux, de psyché transcendante, et de ballades soul avec lesquelles Bramhall atteint de nouveaux sommets en tant que musicien, producteur, chanteur, arrangeur et compositeur ! A noter que Bramhall joue tour à tour de la guitare, de la basse, de la batterie et même des claviers ! Aux côtés de Bramhall, on retrouve sur Shades, une floppée de musiciens de premier plan qu'il a côtoyés au fil des années : comme le bassiste Chris Bruce, le multi-instrumentiste Adam Minkoff, les batteurs Carla Azar et Abe Rounds. Enfin on notera la présence d'invités prestigieux qui ont tous joué un rôle significatif dans la carrière musicale de Bramhall : Eric Clapton, Norah Jones, the Tedeschi Trucks Band et ses potes d'Austin, the Greyhounds.
LE NOUVEL ALBUM STUDIO DU BRAS DROIT D'ERIC CLAPTON Cet album du guitariste-chanteur et songwriter, le premier pour le label Mascot, fait suite à son quatrième disque Rich Man, sorti en 2016 et qui avait obtenu un trèsbeau succès critique ! Au cours des années qui ont espacé ses albums solo, Bramhall s'est établi comme l'un des guitaristes les plus recherchés de la planète, jouant avec des artistes du calibre de Roger Waters, Elton John, Gregg Allman, Allen Toussaint, Sheryl Crow, Billy Preston, the Tedeschi Trucks Band, Erykah Badu ou encore Questlove. Mais c'est avant tout comme bras droit du légendaire Eric Clapton, aussi bien en studio que sur scène, que Bramhall s'est imposé au cours des dix dernières années. Enregistré principalement à Brooklyn et à Los Angeles, Shades est un envoûtant mélange de blues grungy, de garage rock rocailleux, de psyché transcendante, et de ballades soul avec lesquelles Bramhall atteint de nouveaux sommets en tant que musicien, producteur, chanteur, arrangeur et compositeur ! A noter que Bramhall joue tour à tour de la guitare, de la basse, de la batterie et même des claviers ! Aux côtés de Bramhall, on retrouve sur Shades, une floppée de musiciens de premier plan qu'il a côtoyés au fil des années : comme le bassiste Chris Bruce, le multi-instrumentiste Adam Minkoff, les batteurs Carla Azar et Abe Rounds. Enfin on notera la présence d'invités prestigieux qui ont tous joué un rôle significatif dans la carrière musicale de Bramhall : Eric Clapton, Norah Jones, the Tedeschi Trucks Band et ses potes d'Austin, the Greyhounds.
La nouvelle livraison de l'un des plus excitants guitaristes blues rock du moment ! Sorti en avril 2010, « Innerrevolution », le dernier album studio en date du guitariste / chanteur Philip Sayce a permis à cet artiste d'exception de prendre son envol en France. Suite aux excellentes critiques reçues par ce disque, Philip a enfin pu jouer dans l'Hexagone en tête d'affiche à Paris, au Réservoir, puis un peu partout en première partie de Deep Purple. Ces nombreux concerts ont prouvé qu'il était non seulement l'un des meilleurs guitaristes « blues rock » du circuit, mais aussi un chanteur irréprochable doublé d'un excellent compositeur. Intitulé « Ruby Electric », ce nouvel opus à l'avantage de présenter les deux faces que public a pu découvrir : 6 magnifiques nouveaux titres studio (dont un duo avec Melissa Etheridge sur « Let The Love In ») suivis de 8 titres « live » chargés d'énergie et de feeling (produits par le légendaire Eddie Kramer). Un disque mi live/mi studio à prendre comme une avant le véritable nouvel album studio déjà prévu pour début 2012. Né en 1976 au pays de Galles, Philip Sayce a grandi à Toronto, au Canada, où il a découvert la guitare en écoutant Eric Clapton, Ry Cooder et Dire Strait. Outre Jimi Hendrix et Stevie Ray Vaughan, il cite aussi B. B. King, Albert King, Albert Collins, Buddy Guy et Robert Cray comme principales influences. Après avoir accompagné Jeff Healey, Uncle Kracker et Melissa Etheridge, Philip Sayce avait sorti un premier album solo « Peace Machine » en 2005.
Le retour du guitariste de Cacophonie avec la participation de Steve Vai, Joe Bonamassa, Marty Friedman, Joe Satriani ! Jason Becker est le guitariste compositeur quiest atteint de SLA depuis 27 ans. La sclérose latérale amyotrophique (SLA), également appelée, dans le monde francophone, maladie de Charcot, est une maladie neurodégénérative des motoneurones qui provoque une paralysie générale. Il a commencé sa carrière de musicien à 17 ans au sein du groupe Cacophonie avec Marty Friedman (Megadeth). Ses albums en solo ont été une grande source d'inspiration pour toute la scène guitare, metal et rock. A 20 ans, il intègre le groupe du déjà très célèbre David Lee Roth, période au cours de laquelle, ils sortent l'album A Little Ain't Enough, le 4ème album de David Lee Roth qui deviendra rapidement Disque d'Or. C'est malheureusement, peu de temps après, que Jason sera diagnostiqué comme étant victime de SLA. En 2012 est sorti le documentaire Jason Becker : Not Dead Yet. Ce doc qui retrace la vie de Jason a été primé dans de nombreux festival. Il a également récemment fait la couverture du magazine GUITAR PLAYER, avec le titre de meilleur shredder de tous les temps ! Aujourd'hui, il continue à composer et à sortir des morceaux grâce à un système de communication inventé par son père qui bénéficie également désormais à d'autres personnes atteintes de cette maladie très rare et terrible. De nombreux invités de marque ont tenu à participer à ce projet hors norme : Steve Vai, Joe Bonamassa, Paul Gilbert, Neal Schon, Marty Friedman, Greg Howe, Richie Kotzen, Matt Bissonette, Gregg Bissonette, Joe Satriani, Trevor Rabin Aussi à l'écoute de cet album, on constate avec bonheur que la maladie n'a en rien entamé les capacités créatives et artistiques de Jason Becker !
Nouvel album sublime et étonnant du groupe culte islandais qui se régénère en ajoutant un son plus aggressif et des compositions plus directes à la beauté éthérée de sa musique ! Le groupe islandais créé à Reykjavík en 1994 fait partie, après 6 albums vendus à plus de 2 millions d’exemplaires et de multiples tournées mondiales, de la cour des grands. Cet incroyable succès est presqu’un heureux accident tant la singularité et l’intransigeance du groupe détonnent dans le milieu du rock. Sa musique, entre post et prog rock est bâtie autours du chant falsetto de Jonsì (dont les paroles sont chantées en un mélange d’islandais et de langage inventé) et d’instrumentations épiques utilisant notamment des guitares électriques jouées à l’archer, des cordes et autres emprunts au classique ou à la musique expérimentale. Après ‘Von’ en 1998, le groupe arrive sur le devant de la scène avec ‘Ágætis Byrjun’ en 1999. Thom Yorke adore le disque qu’il découvre par hasard et invite le groupe à faire la première partie de la tournée mondiale Kid A en 2000. En 2001, le réalisateur Cameron Crowe utilise 3 titres de l’album dans son film Vanilla Sky. Entre temps, l’album devient culte, est distribué en Europe et aux USA et remporte un succès international. Après l’album () en 2002, plus sombre et expérimental et un projet d’art moderne en commun avec Radiohead en 2003, le groupe sort ‘Takk...’ en 2005 qui connaît un succès international retentissant avec plus d’un million de ventes à ce jour. ‘Með suð í eyrum við spilum endalaust’ en 2008 et ‘Valtari’ en 2012 complètent sa discographie. Fin mars 2013, Sigur Rós surprend tout son monde avec l’annonce de la sortie de ’Kveikur’ mais surtout avec la publication de son premier single ‘Brennisteinn’ à l’intro brute de décoffrage, beaucoup plus rock et tranchant que par le passé. Ce nouveau son sied à merveille à l’univers du groupe, toujours épique et cinématographique, et rend cet album tout simplement enthousiasmant. Kveikur est sans conteste le meilleur album du groupe depuis Takk... et chaque titre qui le compose est une merveille de clair-obscur, comme les lumineux et catchy ‘Isjaki’ et ‘Rafstraumur’ ou le ténébreux ‘Kveikur’ qui donne son nom à l’album. Ce savant équilibre confère à cet album une classe incroyable et Sigur Rós semble régénéré à l’aube de ses vingts ans d’existence. Il nous tarde d’entendre la suite ! Kveikur est donc une incroyable réussite. Il ravira les fans tout en surprenant ceux qui pensaient tout connaître du groupe et est certain de rallier à sa cause un public encore plus large !
Nouvel album sublime et étonnant du groupe culte islandais qui se régénère en ajoutant un son plus aggressif et des compositions plus directes à la beauté éthérée de sa musique ! Le groupe islandais créé à Reykjavík en 1994 fait partie, après 6 albums vendus à plus de 2 millions d’exemplaires et de multiples tournées mondiales, de la cour des grands. Cet incroyable succès est presqu’un heureux accident tant la singularité et l’intransigeance du groupe détonnent dans le milieu du rock. Sa musique, entre post et prog rock est bâtie autours du chant falsetto de Jonsì (dont les paroles sont chantées en un mélange d’islandais et de langage inventé) et d’instrumentations épiques utilisant notamment des guitares électriques jouées à l’archer, des cordes et autres emprunts au classique ou à la musique expérimentale. Après ‘Von’ en 1998, le groupe arrive sur le devant de la scène avec ‘Ágætis Byrjun’ en 1999. Thom Yorke adore le disque qu’il découvre par hasard et invite le groupe à faire la première partie de la tournée mondiale Kid A en 2000. En 2001, le réalisateur Cameron Crowe utilise 3 titres de l’album dans son film Vanilla Sky. Entre temps, l’album devient culte, est distribué en Europe et aux USA et remporte un succès international. Après l’album () en 2002, plus sombre et expérimental et un projet d’art moderne en commun avec Radiohead en 2003, le groupe sort ‘Takk...’ en 2005 qui connaît un succès international retentissant avec plus d’un million de ventes à ce jour. ‘Með suð í eyrum við spilum endalaust’ en 2008 et ‘Valtari’ en 2012 complètent sa discographie. Fin mars 2013, Sigur Rós surprend tout son monde avec l’annonce de la sortie de ’Kveikur’ mais surtout avec la publication de son premier single ‘Brennisteinn’ à l’intro brute de décoffrage, beaucoup plus rock et tranchant que par le passé. Ce nouveau son sied à merveille à l’univers du groupe, toujours épique et cinématographique, et rend cet album tout simplement enthousiasmant. Kveikur est sans conteste le meilleur album du groupe depuis Takk... et chaque titre qui le compose est une merveille de clair-obscur, comme les lumineux et catchy ‘Isjaki’ et ‘Rafstraumur’ ou le ténébreux ‘Kveikur’ qui donne son nom à l’album. Ce savant équilibre confère à cet album une classe incroyable et Sigur Rós semble régénéré à l’aube de ses vingts ans d’existence. Il nous tarde d’entendre la suite ! Kveikur est donc une incroyable réussite. Il ravira les fans tout en surprenant ceux qui pensaient tout connaître du groupe et est certain de rallier à sa cause un public encore plus large !
Le groupe culte new-yorkais signe son grand retour avec ce nouvel album sublime, épuré et aventureux, produit par Van Rivers & The Subliminal Kid (Fever Ray). Penny Sparkle est déjà le huitième album du groupe formé en 1993 par les jumeaux d'origine italienne Simone et Amadeo Pace et la japonaise Kazu Makino. Ils se font vite remarquer à leurs débuts par Steve Shelley de Sonic Youth qui les signe sur son label Smells Like Records pour la sortie de leur premier album éponyme en 1995. On les compare alors à leurs mentors de Sonic Youth. La comparaison est facile sur leurs premiers albums qui font la part belle aux expérimentations noisy mais le son du groupe suit une évolution évidente à chaque album. En 2004 le groupe sort chez 4AD le magnifique Misery Is A Butterfly qui apporte au groupe une légion de nouveaux fans et cette popularité continue son ascension avec l'album 23 paru en 2007. Ces deux albums sont plus pop et accessibles que les précédents mais conservent la richesse musicale des précédents opus. Tout au long de sa carrière, le groupe s'est toujours renouvelé d'un album à l'autre et c'est donc avec les producteurs scandinaves de wmusique électronique Van Rivers & The Subliminal Kid qu'il travaille sur Penny Sparkle. Ces derniers apportent une vraie dimension nouvelle au son de Blonde Redhead avec l'introduction de nombreux synthés, boucles et effets sonores qui s'ajoutent aux guitare, basse et batterie auxquels le groupe nous avait habitué. Le résultat met merveilleusement en valeur les compositions de Blonde Redhead et surtout les mélodies et la voix inimitable de Kazu, notamment sur le titre Penny Sparkle, assurément l'un des plus beaux morceaux du groupe à ce jour. Comme sur les précédents albums, Amadeo chante également sur le clair-obscur Will There Be Stars ainsi que sur le sublime Black Guitar, en duo avec Kazu qui prouve que la complicité fusionnelle et ambiguë du groupe n'est pas près de disparaître de sitôt, pour le plus grand plaisir de ses fans !
2018 sera une année à deux facettes pour Dominique A qui nous propose de suivre les deux fils rouges de sa carrière tel un diptyque. Le premier volet, Toute latitude, enregistré en groupe, fait la part belle au rock, à l'électrique et l’électronique. Il faudra attendre octobre pour découvrir la suite, « La fragilité » et ses mélodies plus acoustiques et intimistes, enregistrée en solo cette fois-ci. Ces deux sensibilités, qui font son ADN depuis 25 ans, Dominique A les exploitera sur la route dès le mois de mars au cours de deux tournées différentes qui devraient trouver un premier écho les 14 et 15 avril à la Philharmonie de Paris, lors d’un week-end exceptionnel consacré à l’artiste. Après 10 albums, dont le dernier en date, « Eleor » (2015) fut superbement accueilli, Dominique A se réinvente une nouvelle fois. « Chaque nouvel album est comme une réponse au précédent : à la douceur et la suavité revendiquées d’« Eléor », répond ainsi l’énergie et le côté up-tempo de « Toute latitude », qui s’aventure sur des terrains plus électro et électriques, avec une production plus dense, davantage tournée vers les détails et les effets. » Mais l’objectif reste le même : proposer des chansons, si possibles marquantes et mélodiques. Avec des textes globalement plus explicites que par le passé, comme en attestent des titres comme « Désert d’hiver », « Lorsque nous vivions ensemble » ou « Se décentrer ». D’autres morceaux, en mode parlé chanté, s’inscrivent dans une veine plus narrative, et privilégient une forme de tension allant crescendo, tels « Les deux côtés d’une ombre » et « Corps de ferme à l’abandon ». En fermeture de ban, le plus apaisé « Reflet », emmené par une guitare acoustique, opère un lien avec l’album qui va suivre « La fragilité ». De plus, l’univers visuel de « Toute latitude » nous accompagne dans un véritable voyage onirique, fruit d’une collaboration avec le réalisateur de films d’animations Sébastien Laudenbach, dont le long-métrage « La jeune fille sans main » a obtenu le prix du jury au festival international du film d'animation d'Annecy 2016 et a été nommé aux Césars en 2017. « Toute latitude » s’impose déjà comme une nouvelle oeuvre lumineuse du répertoire de l’une des figures incontournables de la chanson française.
2018 sera une année à deux facettes pour Dominique A qui nous propose de suivre les deux fils rouges de sa carrière tel un diptyque. Le premier volet, Toute latitude, enregistré en groupe, fait la part belle au rock, à l'électrique et l’électronique. Il faudra attendre octobre pour découvrir la suite, « La fragilité » et ses mélodies plus acoustiques et intimistes, enregistrée en solo cette fois-ci. Ces deux sensibilités, qui font son ADN depuis 25 ans, Dominique A les exploitera sur la route dès le mois de mars au cours de deux tournées différentes qui devraient trouver un premier écho les 14 et 15 avril à la Philharmonie de Paris, lors d’un week-end exceptionnel consacré à l’artiste. Après 10 albums, dont le dernier en date, « Eleor » (2015) fut superbement accueilli, Dominique A se réinvente une nouvelle fois. « Chaque nouvel album est comme une réponse au précédent : à la douceur et la suavité revendiquées d’« Eléor », répond ainsi l’énergie et le côté up-tempo de « Toute latitude », qui s’aventure sur des terrains plus électro et électriques, avec une production plus dense, davantage tournée vers les détails et les effets. » Mais l’objectif reste le même : proposer des chansons, si possibles marquantes et mélodiques. Avec des textes globalement plus explicites que par le passé, comme en attestent des titres comme « Désert d’hiver », « Lorsque nous vivions ensemble » ou « Se décentrer ». D’autres morceaux, en mode parlé chanté, s’inscrivent dans une veine plus narrative, et privilégient une forme de tension allant crescendo, tels « Les deux côtés d’une ombre » et « Corps de ferme à l’abandon ». En fermeture de ban, le plus apaisé « Reflet », emmené par une guitare acoustique, opère un lien avec l’album qui va suivre « La fragilité ». De plus, l’univers visuel de « Toute latitude » nous accompagne dans un véritable voyage onirique, fruit d’une collaboration avec le réalisateur de films d’animations Sébastien Laudenbach, dont le long-métrage « La jeune fille sans main » a obtenu le prix du jury au festival international du film d'animation d'Annecy 2016 et a été nommé aux Césars en 2017. « Toute latitude » s’impose déjà comme une nouvelle oeuvre lumineuse du répertoire de l’une des figures incontournables de la chanson française.
2018 sera une année à deux facettes pour Dominique A qui nous propose de suivre les deux fils rouges de sa carrière tel un diptyque. Le premier volet, Toute latitude, enregistré en groupe, fait la part belle au rock, à l'électrique et l’électronique. Il faudra attendre octobre pour découvrir la suite, « La fragilité » et ses mélodies plus acoustiques et intimistes, enregistrée en solo cette fois-ci. Ces deux sensibilités, qui font son ADN depuis 25 ans, Dominique A les exploitera sur la route dès le mois de mars au cours de deux tournées différentes qui devraient trouver un premier écho les 14 et 15 avril à la Philharmonie de Paris, lors d’un week-end exceptionnel consacré à l’artiste. Après 10 albums, dont le dernier en date, « Eleor » (2015) fut superbement accueilli, Dominique A se réinvente une nouvelle fois. « Chaque nouvel album est comme une réponse au précédent : à la douceur et la suavité revendiquées d’« Eléor », répond ainsi l’énergie et le côté up-tempo de « Toute latitude », qui s’aventure sur des terrains plus électro et électriques, avec une production plus dense, davantage tournée vers les détails et les effets. » Mais l’objectif reste le même : proposer des chansons, si possibles marquantes et mélodiques. Avec des textes globalement plus explicites que par le passé, comme en attestent des titres comme « Désert d’hiver », « Lorsque nous vivions ensemble » ou « Se décentrer ». D’autres morceaux, en mode parlé chanté, s’inscrivent dans une veine plus narrative, et privilégient une forme de tension allant crescendo, tels « Les deux côtés d’une ombre » et « Corps de ferme à l’abandon ». En fermeture de ban, le plus apaisé « Reflet », emmené par une guitare acoustique, opère un lien avec l’album qui va suivre « La fragilité ». De plus, l’univers visuel de « Toute latitude » nous accompagne dans un véritable voyage onirique, fruit d’une collaboration avec le réalisateur de films d’animations Sébastien Laudenbach, dont le long-métrage « La jeune fille sans main » a obtenu le prix du jury au festival international du film d'animation d'Annecy 2016 et a été nommé aux Césars en 2017. « Toute latitude » s’impose déjà comme une nouvelle oeuvre lumineuse du répertoire de l’une des figures incontournables de la chanson française.
Disque immense, What Would The Community Think révèle Cat Power : une sauvageonne de 24 ans, à l’écriture grave et belle à pleurer. Chez Cat Power, pas de hiatus ironique entre le fond, calciné, et la forme, brûlante. Rescapée de quelque épouvantable naufrage métaphysique, une fille seule, avec sa guitare et sa guigne, chante un blues terrible (They tell me) interdit aux divas manucurées (Cassandra Wilson) comme aux ribaudes émules de Janis Joplin (Joan Osborne). Un blues immaculé qui ferait presque passer la PJ Harvey de To bring you my love pour une Sarah Bernhardt égarée sur les berges du Mississippi (ou un Jim Morrison féminin). Un blues inouï, teinté de gospel blafard, plainte orpheline (God don’t give a shit about me) pleurée en écho au There is no one what will take care of you de Palace. De la country aussi, d’une luminosité stellaire (Taking people), celle après laquelle les Walkabouts, érudits bosseurs, courent en vain depuis dix ans. Une country pas phraseuse, sourde à la rhétorique de Nashville (pas de violons, tout juste une minuscule flaque d’orgue et une pincée de pedal-steel), déconseillée aux acheteurs de résidence secondaire mais pas affligée pour autant d’un esprit de clocher étriqué, d’un intégrisme amish. Au-delà de l’anecdote Steve Shelley enregistre à Memphis , Cat Power jumelle sans états d’âme Hank Williams I can’t help it (if I’m still in love with you), repris sur Myra Lee et Bill Callahan (l’admirable Batysphere de Smog, dépouillé de son violoncelle baroque et superbement violenté sur What Would The Community Think). Deux immenses songwriters américains fiers d’adouber King Rides By, une de ces chansons déraisonnables qui ouvrent le terme à l’infini, sans même atteindre les quatre minutes réglementaires. Ici, le pavé de Manhattan s’allonge jusqu’au coeur du Tennessee; The Coat Is Always On invite les voix monocordes de Lou Reed et Sterling Morrison récitant The Murder mystery; Nude as the news offre un bol d’air au Sonic Youth de Dirty. C’est au fil de concerts new-yorkais que la rumeur dit exceptionnels que Cat Power s’est forgé sa réputation, mais sur What would the community think, la campagne prend sa revanche sur les orgueilleux gratte-ciels. Immense disque, où les plus beaux cauchemars de l’Amérique rurale (rêvée par Nick Cave, peinte sur pellicule dans La Nuit du chasseur ou L’Enfant miroir) convergent vers Water and air : Mon amour est parti au fil de l’eau Je devrais être au fond de la rivière ténébreuse, enlacée par le diable. Une histoire aussi éternelle qu’effroyable, dont on jurerait ici qu’elle vient d’être inventée par une jeunette de 24 ans. De quoi effectivement donner quelques sueurs froides à la communauté on connaît depuis La Lettre écarlate le peu d’indulgence de la vertueuse Amérique pour les amours cornues.