Bienvenue au cabaret ! En associant cinq chansons yiddish populaires de la Pologne d'entre-deux-guerres et des oeuvres de compositeurs comme Schulhoff et Korngold, cet album met en valeur les liens musicaux entre la culture juive et la culture occidentale. L'immersion dans l'ambiance d'un cabaret en accentue la portée émotionnelle et le Jerusalem Quartet, accompagné de la soprano Hila Baggio, nous dévoilent avec talent ce monde disparu.
Emil Gilels dans un programme slave d'avant-garde. Disputant à son ami et compatriote ukrainien Svjatoslav Richter le leadership au sein de l'école soviétique de piano des années 50 en particulier dans Beethoven, Emile Gilels sut également se faire le défenseur de la musique d'avant-garde de son temps qu'elle soit recommandée (Kabalevsky) ou non (Prokofiev) par la nomenklatura. Une trilogie inédite.
APRES 22 ANS D’ABSENCE, LE GROUPE CULTE EST DE RETOUR AVEC UN DES ALBUMS LES PLUS ATTENDUS DE L’ANNEE « un pur condensé de dream-pop et de shoegaze » Les Inrocks Après 22 ans d’absence, Slowdive revient avec l’album ‘Star Roving’ à sortir chez Dead Oceans, sa première production musicale depuis les mythiques Souvlaki et Pygmalion de 1993 et 1995. Pendant leur séparation, les membres du groupe se tournent vers d’autres formations avant d’annoncer leur reformation tant attendue en 2014. Le morceau ‘Star Roving’, interprétée par Neil Halstead (chant, guitare, claviers), Christian Savill (guitare), Nick Chaplin (basse), Rachel Goswell (chant) et Simon Scott (batterie, synthétiseurs) illustre parfaitement la facilité que l’on connaît à Slowdive - plus le morceau avance, plus il s’étend et se rétracte dans un mouvement qui semble infini. Un nouvel album invitant les anciens et nouveaux fans à plonger dans les sonorités chamaniques du groupe anglais entre douce dream-pop et shoegaze Pour les fans de : Ride, My Bloody Valentine, The Jesus and Mary Chain, Spiritualized,Mazzy Star...
Couplage logique, bien qu’inédit, de pièces écrites conjointement en 1876 et destinées au Concours organisé par la Société russe de Musique. «Le jury trouva mon sextuor digne d’une mention honorable, mais ne tint aucun compte de mon Quintette »... A titre de revanche posthume, l’auteur de Shéhérazade pourrait constater qu’aujourd’hui le nom du lauréat, Eduard Nápravník (1838-1916), n’est plus guère connu dans les dictionnaires...qu’en tant qu’excellent chef d’orchestre.
Célèbre pour la singularité et la profondeur de ses interprétations, le claviériste et chef d’orchestre britannique Richard Egarr poursuit son cycle Bach et offre une fascinante relecture de l’intégrale des Suites françaises, BWV812-817. « Intense, puissant, étourdissant... Au milieu des tempêtes, la soudaine et sauvage gravité des moments d’accalmie devient pénétrante. J’ai été emporté par l’énergie ambiante, l’ardeur pressante de l’ornementation, la sensibilité poignante des Allemandes. » (Herald Scotland, compte-rendu de concert)
Le 17 juillet 1717, le roi George Ier d'Angleterre remonta jusqu'à Chelsea par le fleuve et fut régalé d'un excellent concert de musique composée spécialement par le célèbre Haendel. La cinquantaine de musiciens coûta la somme princière de 150 £ mais leurs cors de chasse, trompettes et autres flûtes enchantèrent tellement que le concert fut donné trois fois dans la soirée. Les virtuoses de l'Akademie für Alte Musik Berlin réitèrent l'exploit pour notre plus grand plaisir !
Dernier programme : Chostakovitch sait pratiquer l’humour, même macabre. La filiation est substantifique avec Moussorgski et avec Mahler. Réapparait néanmoins l’inaltérable leitmotiv du Tristan et Isolde de Wagner. Un espoir : l’immortalité réelle obtenue par Michel-Ange dont il dut saluer le 500e anniversaire en 1975, bel exemple d’immortalité auquel il ne croit guère, l’indicatif de synchronisation des réseaux TV de l’ex-URSS étant mieux ancré dans la mémoire humaine que les Kindertotenlieder.
En 1979 disparaissait l'un des acteurs majeurs de la révolution baroque, assurément le plus célèbre contre-ténor du XXe siècle. Suprême tour de force, Alfred Deller avait même réussi à nous convaincre que, trois siècles auparavant, Purcell avait composé ses songs à son intention ! Le public des années 1960-70 a découvert avec lui non seulement un timbre tout simplement inimitable mais aussi les délices d'un répertoire qui dormait jusque là dans les bibliothèques.
Paul Dombrecht, Marcel Ponseele, Ku Ebbinge, Danny Bond, Chiara Banchini, Richard van der Meer, Robert Kohnen... noms essentiels de la résurgence de la musique ancienne durant les années 1980 qui participèrent à l’un des disques les plus importants (encore des LPs...) du label Accent édités à cette époque. Repris à présent chez Glossa Cabinet, ce disquissime fera certainement les délices de tous ceux qui considèrent (qui considérons !) Zelenka comme l’un des grands compositeurs baroques.
Une référence absolue ! Treize ans après son enregistrement mémorable de la première version du Requiem de Fauré - version intimiste créée par le compositeur en 1892 à l'église Saint-Gervais de Paris - Philippe Herreweghe dirige ici la version de 1901 avec orchestre symphonique commandée par l'éditeur de Fauré à destination des grandes salles de concert. Fauré disait de ce chef-d'oeuvre : Mon Requiem a été composé pour rien.... pour le plaisir, si j'ose dire !
Undress Your Madness est la suite très attendue de l'album à succès international Kingmaker sorti en 2016. Undress Your Madness est la preuve que Pretty Maids reste dans la phase la plus énergique et prolifique de sa carrière depuis le début des années 90. La production est absolument exceptionnelle grâce à Jacob Hansen (Volbeat), qui a donné au groupe un son qui non seulement les revitalise, mais qui incorpore aussi les paysages sonores du passé. Un bijou à la fois moderne et classique.
Arnold Schoenberg a reconnu l’extraordinaire habileté avec laquelle Brahms a ouvert les formes classiques à de nouveaux horizons. Quelque vingt ans séparent la composition des sonates pour violoncelle de ce musicien de la vie intérieure, respectueux de la forme, qui ne fut pas un académiste, mais un continuateur de Beethoven. Elles représentent de parfaits exemples de l’art avec lequel Brahms a résolu les problèmes d’écriture liés à la réunion de deux instruments.
Bien que sa musique soit rarement pratiquée de nos jours, Eugen Suchon était le compositeur slovaque le plus influent et respecté du XXe siècle. Trois de ses plus grandes oeuvres symphoniques sont interprétées ici par l'Orchestre symphonique national d'Estonie et son directeur artistique, Neeme Järvi. Les oeuvres ont été composées dans les années que Suchon passa à Bratislava, où il tourna son intérêt pour les origines de la musique populaire slovaque et la tonalité prolongée.
Troisième volume de la série qu’Andreas Staier consacre au piano de Robert Schumann, cet enregistrement commence avec son premier opus, les Variations Abegg, et s’achève avec les ultimes Variations posthumes sur un thème original. Immense est le chemin parcouru entre ces deux oeuvres, même s’il s’agit ici aussi de montrer cette exigence poétique qui donne à la musique de Schumann une puissance d’évocation à nulle autre pareille.
Nouveau talent chez Mirare : Lukas Geniusas enregistre son nouveau disque ! Pour son premier album chez Mirare, le pianiste russe Lukas Geniusas nous offre un programme dédié à deux monuments de jeunesse de Prokofiev et à la seule sonate qu'il écrivit en Occident. Au fil de ces oeuvres que quatre décennies séparent, une constante demeure : l'attachement du compositeur pour sa chère Russie.
Au coeur d'une écriture respectueuse de la forme en prélude et fugue, les sendas y fugados de Gerardo Jerez Le Cam dialoguent avec des pièces du Clavier bien tempéré de J.S. Bach. Gerardo Jerez Le Cam réussit à instaurer une conversation séduisante entre tango et musique baroque, effaçant les frontières entre ces musiques, l'une dite savante et l'autre dite populaire, pour les fondre en une unité poétique.
Si Dvorák, pour sa 6e Symphonie, s'est clairement inspiré de la Symphonie n°2 de son ami et protecteur Johannes Brahms, il y met en valeur de façon convaincante, dans les mouvements centraux, la tradition slave. La Suite op.98, oeuvre de commande à Dvorák - alors directeur du Conservatoire National de Musique de New York - est un patchwork exotique de musique indienne et afro-américaine... aux accents de Bohême. On lui donnera beaucoup plus tard le surnom de Suite américaine.
Brahms a composé plus de 200 Lieder en 40 ans. Ceux qui nous sont parvenus montrent à quel point le lied était essentiel dans ce processus de composition. Le choix de lieder proposé ici illustre la diversité d'un corpus où on retrouve Heine, comme chez tant d'autres, mais aussi d'autres poètes dont la mise en musique atteint les mêmes sommets que les Quatre Chants Sérieux op. 121, si emblématiques de cette magnifique et singulière création.
La suite tant attendue des 3 premiers disques de Pierre Hantaï consacrés aux sonates de Scarlatti. La sonate de Scarlatti est un réceptacle où tout peut se confronter et se mélanger. Danse, rhétorique, théâtre, exotisme, pratique instrumentale, traditions savantes et populaires s'y articulent et donnent naissance à d'innombrables symbioses et expériences. Sensible au contexte le plus proche, elle reflète non seulement une époque et des lieux, mais aussi un regard aussi subtil et ouvert qu'insatiable et inspiré.
Avec la collection hmHeritage, retrouvez les grandes productions qui ont fait les riches heures du catalogue Harmonia Mundi : opéras, oratorios, grands cycles, toutes les formes de grand corpus sont présentés ici in extenso pour que soit perpétué un précieux patrimoine. Avec Elias,Philippe Herreweghe faisait en 1993 une entrée des plus remarquées dans l'univers de l'oratorio romantique allemand. Ce titre est paru pour la première fois en 1993.
Soundtracks est une compilation de morceaux composés pour le cinéma. Cet album marque le départ du chanteur d’origine Malcolm Mooney, que l’on retrouve sur deux morceaux, et son remplacement par Damo Suzuki. En mars 2005, le magazine Q a placé Mother Sky dans sa liste des 100 meilleurs morceaux de guitare.
Light In The Attic réédite les 2 classique du groupe de PHIL LYNOTT de 1972 et 1973 : Shades Of A Blue Orphanage et Vagabonds Of The Western World. Parmi les titres les plus connus, on retrouve Whiskey in the Jar, Buffalo Gal, ou encore The Rocker. Signés initialement chez Decca, ces deux albums sont les deuxième et troisième que le groupe a sorti mais c'est avec Vagabonds Of The Western World qu'ils connaitront réellement le succès. A réécouter d'urgence.
Avec Marc le flûtiste et Pierre le claveciniste, les Hantaï nous convient à un dialogue serein, au goût sûr, avec J. S. Bach Marc et Pierre Hantaï se retrouvent pour une nouvelle aventure fraternelle autour de la figure tutélaire de J.S. Bach. Ces pièces pour flûte et clavecin dont l'écriture est certainement l'une des plus abouties du répertoire baroque permettent en même temps les possibilités expressives les plus touchantes.
Robert et Clara, deux prénoms dans l'histoire de la musique. Un enregistrement qui leur est consacré sous le nom de Sublime Idylle. Les Intermezzi op. 4 et les Variations posthumes op.13 de Robert, les Romances op.21 de Clara, quelques Lieder op.39 adaptés au piano par cette dernière. Un disque qui raconte une des périodes les plus passionnantes de l'histoire pianistique, conclu par quelques mélodies pour soprano et piano, composées par le pianiste lui-même...
Antoine Tamestit et son complice Masato Suzuki, chef principal du Bach Collegium Japan, se sont immergés dans les trois sonates pour viole de gambe et clavecin de Bach. Point de viole ici mais un alto. Point de transcription non plus, puisque l'alto joue les mêmes notes que la viole. Une lecture nouvelle de ces chefs-d'oeuvre trop rarement joués !
Le groupe irlando-américain de renommée mondiale The Gloaming revient avec son troisième album studio très attendu. Produit par Thomas Bartlett (Sufjan Stevens, St Vincent) et mixé par Patrick Dillett (David Byrne, Laurie Anderson) l'album a été enregistré à New York City aux Reservoir Studios. Comme ses prédécesseurs, il réimagine richement la musique irlandaise de tradition à travers un prisme moderne et des éléments de post-rock, jazz, classique contemporain, de chambre et minimaliste.
Papillons, Carnaval, Davidsbündlertänze : la réunion de ces trois opus répond à une profonde « nécessité intérieure » de la part du pianiste français. Après de magnifiques incursions chez Debussy et Chopin, il retrouve Schumann, compositeur particulièrement cher à son coeur. Mûri en concert, son programme, sous le signe des doubles et des masques, éclaire avec une rare acuité poétique les liens secrets qui s'établissent entre des partitions aux caractères bien affirmés. Un jalon essentiel de la discographie.
Sélectionnés parmi plusieurs centaines de candidats, les six jeunes chanteurs de l’Académie du Jardin des voix nous offrent un voyage musical à travers les plus belles pages du répertoire italien, du madrigal de Banchieri à l’Orlando paladino de Haydn. Grâce à un encadrement hors normes et aux valeurs de transmission portées par William Christie et Paul Agnew, l’art lyrique peut s’enorgueillir de révéler à la fois ses joyaux et de nouveaux interprètes qui les honorent avec talent, grâce et malice. Un ravissement !
De la vérité de l'expression musicale selon Carl Philipp Emanuel Bach Un musicien ne peut émouvoir sans être lui-même ému; il est indispensable qu'il ressente lui-même les sentiments qu'il veut susciter chez ses auditeurs; il doit leur faire comprendre sa propre sensibilité pour qu'ils soient plus à même de la partager. (III-13) Cette citation est emblématique de Carl Philip Emanuel Bach; on voit d'ailleurs à quel degré son point de vue s'oppose à celui de son contemporain Diderot, qui développe sa théorie dans le paradoxe sur le comédien et selon qui l'acteur doit faire ressentir au public des émotions qu'il n'éprouve pas lui-même, et base donc son art sur la distanciation. Chose impensable pour CPE Bach pour qui la sincérité est essentielle pour convaincre et émouvoir. Alors que la musique baroque est aujourd'hui redevenue quasiment une musique populaire, qu'elle inonde le marché du disque classique et les salles de concert, il est curieux de s'apercevoir qu'elle a malgré tout du mal à s'émanciper de quelques idées reçues; entre le concept de musique de table (que l'on suppose jouée en fond sonore pour un prince peu attentif) et celui de musique publiée à la douzaine (à l'attention des dilettantes), ou encore des opéras seria par milliers que l'on suppose victimes des codes vains de l'époque et des goûts superficiels du public, il reste aujourd'hui difficile de se persuader que les oeuvres du XVIIIème siècle aient pu véritablement rechercher une profondeur d'expression. Vraiment, nul compositeur ne peut mieux bousculer cette vision erronée que Carl Philipp Emanuel Bach.
La guitare électrique est un des instruments phares du Rock'n'roll. Ce coffret rassemble 50 classiques qui permettent de retracer l'histoire des Gibsons, Gretsches ou Fenders en compagnie de Chuck Berry, Hank Marvin, Buddy Holly, Duane Eddy et bien d'autres.
Soundtracks est une compilation de morceaux composés pour le cinéma. Cet album marque le départ du chanteur d’origine Malcolm Mooney, que l’on retrouve sur deux morceaux, et son remplacement par Damo Suzuki. En mars 2005, le magazine Q a placé Mother Sky dans sa liste des 100 meilleurs morceaux de guitare.
Le disque officiel du festival de musique du Mont Saint-Michel ! Le Mont Saint-Michel et sa baie vont résonner pour la seconde fois à travers un festival de musique qui leur est consacré : Via Aeterna. A cette occasion, les deux labels Mirare et Bayard Musique proposent un album présentant l'ensemble des artistes qui vont s'y produire; des solistes instrumentaux et des ensembles vocaux venus de tous horizons.
The Garabato Sessions rassemble des influences de Bristol à Bogota, à travers plusieurs remixes du classique de cumbia de TOTO LA MOMPOSINA, ‘Adios Fulana’. Dj, musicien et à l’origine de remixes en tous genre, Rob Smith (RSD), plus connu pour ses productions et sets de breakbeat, drum & bass et dubstep, et en tant que moitié du duo Smith & Mighty (avec Ray Mighty) établit la connexion avec Bristol à travers ses remixes.
En parallèle de son Beethoven Project, le pianiste François-Frédéric Guy entame en 2016 un Brahms Project conçu avant tout comme un dictionnaire amoureux et non pas comme une intégrale exhaustive. On le retrouve ici impérial dans les trois sonates de Brahms pour un enregistrement qui fera date. François-Frédéric Guy s’est imposé comme l’un des pianistes majeurs de notre époque. (Resmusica)
Une force active irradie dans son ensemble jusqu'au silence même toute la matière sonore de la musique orchestrale de Thierry Pécou. Cette célébration quasiment spirituelle du rythme est peu commune chez les compositeurs contemporains. Mues par cet influx rythmique, Symphonie du Jaguar et Vague de pierre nous plongent dans le mystère des mythologies précolombiennes du Mexique maya et de la Chine ancienne des peintres lettrés
Louis XIV et Napoléon avaient bien compris à quel point la musique était une arme de propagande politique extrêmement efficaces. Il n'est pas étonnant que le XIXe siècle, qui vit se succéder tant de régimes opposés, offre un répertoire presque infini de pièces satiriques ou démagogiques sur le thème des élections et de la souveraineté. Ce récital « Votez pour moi ! » convie l'auditeur au spectacle de l'exercice de rhétorique, de la complainte populaire ou de la manipulation mensongère. Toute ressemblance avec... sera purement fortuite.
Première oeuvre que le jeune Beethoven jugea digne d'inscrire à son catalogue, la triade de l'opus 1 n'était pas sa première composition, loin s'en faut. Mais c'est à travers elle qu'il affirma son ambition et révéla son imagination foisonnante. Près de quinze ans la séparent du célèbre trio dit des esprits, chef-d'oeuvre de la maturité beethovénienne. Les trois interprètes ont fait le choix judicieux d'associer à ces oeuvres un remarquable trio de Hummel, l'un des principaux rivaux du maître de Bonn...
Le pianiste d’origine moldave Alexander Paley nous livre sa vision extrêmement personnelle de l’intégrale des Suites de Jean-Philippe Rameau. Ce deuxième album propose le 2e livre (Suite en mi et Suite en ré) dans une vision très intérieure de l’oeuvre du compositeur français du XVIIIème siècle et dans une approche virtuose et originale : Paley réinvente Rameau en nous ouvrant de nouveaux horizons.
En 1958 le groupe de Miles Davis n'était pas un quintet mais un sextet, avec Julian Cannonball Adderley au saxophone. Enregistré les 4 février et 4 mars 1958, Milestones est le premier album studio réalisé par le sextet. La section rythmique est la même que celle du quintet classique de 1956, avec Red Garland au piano, Paul Chambers à la basse et Philly Joe Jones à la batterie, et Miles Davis, Cannonball et John Coltrane.
Joyau national pour les britanniques, le choeur de King’s College de Cambridge est extrêmement populaire et fait l’objet d’enregistrements audio et vidéo chaque semaine, durant les offices. Evensong Live 2015 est une rétrospective des meilleurs moments captés pendant la saison 2013/2014. Cette sélection, faite par le directeur musical, Stephen Cleobury, propose 80 minutes d’une musique ouverte, jouée en concert tous les jours, et qui rend compte de la diversité des répertoires et de la qualité du choeur.
Teenage Head est le 3ème album du groupe et le dernier avec le chanteur Roy A. Loney. Sa voix plaintive et brute ainsi que la guitare de Cyril Jordan amènent une bonne dose d'énergie comme par exemple sur les morceaux High Flying Baby et Teenage Head.
17 commandes royalement rétribuées par Wittgenstein, un seul chef-d’oeuvre aujourd’hui incontesté, une littérature qui s’impose enfin non seulement aux artistes définitivement ou provisoirement manchots, mais à tous les virtuoses, ascèse bienvenue pour amateurs et professionnels qui veulent maîtriser leur mental autant que leurs doigts. Qui osera encore écrire pour une seule main, même si la gauche a heureusement perdu sa démoniaque maladresse innée !?
Venise, aux frontières du profane et du sacré Entre une musique profane inspirée de transcendance et une musique sacrée théâtralement incarnée, Geoffroy Jourdain nous invite à prendre part aux multiples expressions des passions humaines : autour de plusieurs Crucifixus (dont ceux de Lotti extraordinairement doloristes), cette nouvelle aventure des Cris de Paris nous engage à suivre un audacieux chemin de croix au coeur de la musique baroque vénitienne.
Gwilym Simcock est non seulement un pianiste brillant, original, doué et talentueux, c'est aussi un homme plein de joie de vivre et d'humour. A 30 ans, le musicien veut que sa musique soit faite de partage. Ma musique est là pour fournir des émotions aux gens, les rendre heureux ou tristes, dit-il. C'est vrai qu'à l'écoute de cet album entre jazz et classique, avec une grande formation, on est rapidement emporté par la richesse, la chaleur, la subtilité et le talent d'écriture du talentueux pianiste britannique.
Ce CD vous présente les deux visages de Franz Liszt : la Sonate en si mineur, c'est celui du quadragénaire virtuose à l'enthousiasme débordant - une exubérance qui se traduit bien davantage dans la forme que dans le caractère de l'oeuvre. Trente ans plus tard, un tout autre personnage se livre dans la Lugubre gondola, Unstern et Insomnie : entre-temps, le vieil homme a perdu ses amours, ses amis, et confesse une inextinguible amertume du coeur...
Le Jerusalem Quartet explore ici deux aspects de la musique de chambre de Dvorák, l’un consacré aux premières pages du genre (op. 48) par un compositeur doté d'une réputation déjà bien ancrée en Europe et l’autre à celles du temps de l’exil et de la production américaine (op. 97) grâce à laquelle il acquiert une réputation internationale... Deux lieux, deux époques pour découvrir la profondeur d'expression constante de ce musicien inlassable doté d’une puissance créatrice remarquable.
Premier album du groupe sorti en 1996, The Week Never Starts Round Here est une collection parfaite de chansons noires à la guitare acoustique, de voix grave avec de légers arrangements électroniques. Les fans de JOY DIVISION avaient enfin trouvé leurs successeurs.
Après une poignée de EPs bien sentis, COLLEEN GREEN sort aujourd'hui son premier véritable album « Sock It To Me ». La nouvelle recrue de Hardly Art y décharge un punk rock nerveux, où boites à rythme épurées s'ajoutent à une guitare électrique ravageuse digne des RAMONES pour créer une parfaite alchimie.
Après une poignée de EPs bien sentis, COLLEEN GREEN sort aujourd'hui son premier véritable album « Sock It To Me ». La nouvelle recrue de Hardly Art y décharge un punk rock nerveux, où boites à rythme épurées s'ajoutent à une guitare électrique ravageuse digne des RAMONES pour créer une parfaite alchimie.
Second volume consacré à la musique symphonique du compositeur américain Charles Ives. Au programme quatre pièces originales : Three Places in New England, New England Symphony, Central Park in the Dark, The Unanswered Question. Sir Andrew Davis dirige le Melbourne Symphonic Orchestra pour donner un nouvel éclairage sur l'oeuvre orchestral de l'un des musiciens les plus atypiques de la musique contemporaine américaine, vendeur en assurance dans la vie et compositeur unique ? en amateur !
Light In The Attic réédite les 2 classique du groupe de PHIL LYNOTT de 1972 et 1973 : Shades Of A Blue Orphanage et Vagabonds Of The Western World. Parmi les titres les plus connus, on retrouve Whiskey in the Jar, Buffalo Gal, ou encore The Rocker. Signés initialement chez Decca, ces deux albums sont les deuxième et troisième que le groupe a sorti mais c'est avec Vagabonds Of The Western World qu'ils connaîtront réellement le succès. A réécouter d'urgence.
Le groupe irlando-américain de renommée mondiale The Gloaming revient avec son troisième album studio très attendu. Produit par Thomas Bartlett (Sufjan Stevens, St Vincent) et mixé par Patrick Dillett (David Byrne, Laurie Anderson) l'album a été enregistré à New York City aux Reservoir Studios. Comme ses prédécesseurs, il réimagine richement la musique irlandaise de tradition à travers un prisme moderne et des éléments de post-rock, jazz, classique contemporain, de chambre et minimaliste.
Après un enregistrement acclamé de la Première Sonate pour violon et piano de Brahms (2007), Isabelle Faust et Alexander Melnikov complètent le cycle avec les deux autres sonates de 1886 et 1888 et y joignent une rareté datant de 35 ans plus tôt : la fascinante Sonate F.A.E., effort collaboratif de trois compositeurs en l’honneur du grand violoniste Joachim, censé deviner l’auteur des différents mouvements ! Ce qu’il fit sans peine, tant le Scherzo est brahmsien et l’Intermezzo et le Finale schumanniens...
Purcell et ses contemporains Londres devient, à la fin du 17ème siècle, une ville pleine de promesses, une ville qui fait rêver : les théâtres et les concerts font salle comble tous les soirs et le marché de l'édition musicale est florissant. Cette grande capitale européenne en plein essor économique est on ne peut plus attractive pour les musiciens étrangers qui s'y installent en nombre. C'est dans ce contexte des plus favorables que se développe la musique instrumentale, nourrie des derniers feux de la tradition anglaise et des nouveautés européennes.