Après une tournée mondiale en 2015, le jeune auteur-compositeur indie-folk-pop de 24 ans Hein Cooper s'apprête à sortir cette année son très attendu premier album, The Art of Escape. Il est la suite de son premier EP éponyme sorti en 2015 sur Indica records/Naïve, tous deux enregistrés et réalisés à Montréal par Marcus Paquin - qui a travaillé notamment avec Local Natives, Arcade Fire et The National. The Art of Escape est un unique mélange de pop et d'indie, avec une voix veloutée, des textes émouvants et une guitare acoustique douce et pleine de style.
L'oiseau rare de la chanson française est de retour avec son 10 ème album : « Les histoires que je raconte à travers les chansons se déroulent dans une ferme, les champs et la forêt qui l'entourent, et la mer car nous sommes en Bretagne. Et pourtant, nous sommes aussi en ville, où la nature s'est installée dans les vies tristes et sauvages, l'aventure, les vices et tous les instincts. Le sujet, c'est donc l'homme, secoué par « un coup de queue de vache ». J'y suis accompagné par un quatuor à cordes dans lequel s'est introduit un trublion, à cordes lui aussi mais issu de l'instrumentarium populaire (saz, guitare, ou banjo) venant encanailler cet ensemble bourgeois, lequel, comme chacun sait, aime ça. Thomas Fersen
Batlik se pose dans un coin et observe. De ces observations naissent des chansons qui prennent tout leur sens dès la première écoute. La mise en bouchedes textes, la voix et le jeu de guitare font de cet artiste indépendant une des figures singulières de la scène française. Juste à côté est son troisième album, toujours produit sur son label à brûle pourpoint.... Aucune concession dans les arrangements, des textes ciselés, à la fois acides, lucides et ou l'humour n'est jamais très loin. Batlik n'est pas à la mode et c'est ce qui le rend intéressant. Sur scène, ses morceaux prennent toute leur envergure, il chante en français mais ne fait pas de la chanson française. Coups de gueule, coups de blues, expression citoyenne et poésie pure, tout y est, vous n'avez pas à écouter, juste à apprécier.
Deux décennies et quelques 2000 concerts après un album sorti en 1999, Debout Sur Le Zinc court toujours. Et ses refrains avec, oscillant docilement entre les bras câlins de la chanson et du rock anglo-saxon. Avec ce 9e album « Eldorado(s) », enregistré au studio Ferber (Paris), Debout Sur Le Zinc a multiplié les révolutions intimes. Idéal pour un nouveau départ. Une nouvelle feuille blanche au livre jamais achevé. Pour preuve : la fin des pochettes dessinées, un nouveau manager ou encore le départ de deux membres (Christophe, guitare rythmique et chant; William, contrebasse) remplacés par Thomas et - première présence féminine - Marie. En studio ? Edith Fambuena (Alain Bashung, Etienne Daho, Miossec) à la réalisation; Antoine Gaillet (Mademoiselle K, Julien Doré, M83) au mixage. Ou comment agir sur la forme pour influer le fond. Le résultat est un album tout en nuances, refusant les partis pris caricaturaux. Textes moins intimes mais plus ouverts / universels; ton plus joyeux mais avec chutes pourtant pessimistes; tempo plus soutenu mais sauvegardant quelques ballades; enregistrement studieux mais concerts festifs; album enregistré live mais réel soin apporté à la post-production; ou encore attelage historique / nouveaux membres mais même unité sonore. Dans toute fête, une réalité sociale. Miroir de la société, DSLZ ne peut renvoyer qu'une image complexe plutôt qu'un avis contrasté. Maintenant, après plus de 3 ans d'attente, c'est la boule au ventre et la foule en tête que le groupe remonte sur le ring !
Deux décennies et quelques 2000 concerts après un album sorti en 1999, Debout Sur Le Zinc court toujours. Et ses refrains avec, oscillant docilement entre les bras câlins de la chanson et du rock anglo-saxon. Avec ce 9e album « Eldorado(s) », enregistré au studio Ferber (Paris), Debout Sur Le Zinc a multiplié les révolutions intimes. Idéal pour un nouveau départ. Une nouvelle feuille blanche au livre jamais achevé. Pour preuve : la fin des pochettes dessinées, un nouveau manager ou encore le départ de deux membres (Christophe, guitare rythmique et chant; William, contrebasse) remplacés par Thomas et - première présence féminine - Marie. En studio ? Edith Fambuena (Alain Bashung, Etienne Daho, Miossec) à la réalisation; Antoine Gaillet (Mademoiselle K, Julien Doré, M83) au mixage. Ou comment agir sur la forme pour influer le fond. Le résultat est un album tout en nuances, refusant les partis pris caricaturaux. Textes moins intimes mais plus ouverts / universels; ton plus joyeux mais avec chutes pourtant pessimistes; tempo plus soutenu mais sauvegardant quelques ballades; enregistrement studieux mais concerts festifs; album enregistré live mais réel soin apporté à la post-production; ou encore attelage historique / nouveaux membres mais même unité sonore. Dans toute fête, une réalité sociale. Miroir de la société, DSLZ ne peut renvoyer qu'une image complexe plutôt qu'un avis contrasté. Maintenant, après plus de 3 ans d'attente, c'est la boule au ventre et la foule en tête que le groupe remonte sur le ring !