DIRTY DEEP : LA RENCONTRE ENTRE FRED MC DOWELL ET UN TRACTO-PELLE. What's Flowin' In My Veins est une relecture du blues, actuelle, non passéiste, qui modernise l'idiome des Muddy Waters ou Son house, en faisant évoluer les 3 accords dans le 21ème siècle. Impossible de résister : l'énergie magnétique de la batterie et la puissance de la basse porte la frénésie de la guitare et l'incroyable rugosité de la voix à leur apogée, nous embarquant dans une jouissive expérience blues rock. Cinglants comme un coup de fouet, crasseux comme le cambouis, brûlants comme le désert, avec cet album, Dirty Deep fait couiner en France ce blues de junk-joint des temps modernes, à la fois fidèle à la tradition et très grungy, fait pour la danse et l'électrochoc.
Les sessions enregistrées par Reinhardt et Grappelli à Rome en janvier et/ou février 1949 avec une rythmique italienne, constituent à la fois l'ultime témoignage sonore de leur rencontre (les deux hommes ne se retrouveront jamais plus ensemble devant un micro), et la toute dernière occasion d'entendre Django à la guitare acoustique dans un contexte orchestral. De sorte que ces faces peuvent apparaître simultanément comme un sommet (au faîte de leur maturité et de leur complicité, les deux artistes se sont rarement exprimés avec un tel brio et un tel abandon), aussi bien qu'un enregistrement de passage, à l'occasion d'un engagement de longue durée en club, en compagnie d'un trio (piano, contrebasse, batterie) qu'ils n'ont pas choisi. En somme, l'accomplissement côtoierait ici l'anecdote, les deux partenaires cultivant avant tout les plaisirs de l'instant - mais n'en est-il pas toujours un peu ainsi en jazz, pour notre plus grand bonheur?
UN DANDY DéJANTé, TALENTUEUX ET DéCALé Europe 1 LA PLUS BELLE VOIX QUE VOUS ENTENDREZ AUJOURD'HUI. Les Inrocks Sur cet album William Z Villain produit un savant mélange entre les musiques urbaines et rurales, ainsi qu'un océan d'influences musicales qui procure à l'écoute une sensation d'entendre, comme sur le premier album éponyme, un artiste à part. Jeune américain signé en France, William Z. Villain camoufle son blues dans un mélange de styles intriguant et passionnant. Voix haut perchée, chansons en montagnes russes et truffées d'histoires à la guitare, on pense très vite à Nosfell. Cette capacité à nous plonger dans un nouveau monde, et à nous fasciner par l'étrangeté de l'expérience qu'on écoute... Ou peut-être est-ce le côté organique et les sons de la nature qui parsèment l'album ? L'univers est en tout cas décalé et pourtant porte la marque brute et intense du blues. [...] C'est complètement amoureux qu'on sort doucement du rêve en espérant déjà le prochain. Rocknfool
MUSIQUES AFRICAINES éLECTRIQUES Né en duo saxophones / batterie à Berlin en 2009, devenu quartet électrique en 2011, Electric Vocuhila mêle des rythmiques inspirées de diverses musiques urbaines africaines comme le sébène congolais et le tsapiky malgache à une conception orchestrale issue du jazz et plus particulièrement de la musique harmolodique d'Ornette Coleman. Sur une base rythmique obstinée mais toujours mouvante, tour à tour hypnotique et frénétique, leur musique se construit librement autour de motifs répétitifs. Recherchant à la fois la concision mélodique et une forme de débordement ou de transe, le quartet développe de longues séquences faites de thèmes fulgurants, de phrasés sinueux, de riffs acérés et explosifs. Un appel joyeux et urgent à la danse. L'étrange et réjouissant groupe Electric Vocuhila. Ces musiciens viennent du jazz, option free, et jouent de la musique africaine comme si c'était du rock. De la musique africaine d'aujourd'hui, avec une prédilection pour le tsapiky malgache : tourneries de guitare électrique et rythmes fous, pour une forme de musique de transe très proche du meilleur rock, en effet. -- LES INROCKS ---
MUSIQUES AFRICAINES éLECTRIQUES Né en duo saxophones / batterie à Berlin en 2009, devenu quartet électrique en 2011, Electric Vocuhila mêle des rythmiques inspirées de diverses musiques urbaines africaines comme le sébène congolais et le tsapiky malgache à une conception orchestrale issue du jazz et plus particulièrement de la musique harmolodique d'Ornette Coleman. Sur une base rythmique obstinée mais toujours mouvante, tour à tour hypnotique et frénétique, leur musique se construit librement autour de motifs répétitifs. Recherchant à la fois la concision mélodique et une forme de débordement ou de transe, le quartet développe de longues séquences faites de thèmes fulgurants, de phrasés sinueux, de riffs acérés et explosifs. Un appel joyeux et urgent à la danse. L'étrange et réjouissant groupe Electric Vocuhila. Ces musiciens viennent du jazz, option free, et jouent de la musique africaine comme si c'était du rock. De la musique africaine d'aujourd'hui, avec une prédilection pour le tsapiky malgache : tourneries de guitare électrique et rythmes fous, pour une forme de musique de transe très proche du meilleur rock, en effet. -- LES INROCKS ---
LE QUATUOR MANOUCHE TZIGANE QUI DÉPASSE LES FRONTIÈRES - LA «FOLIE» SAMARABALOUF Bientôt 20 ans que les compositions du guitariste François Petit se promènent à travers le monde, toujours à la frontière des musiques tziganes et manouches. C’est désormais un violon et un violoncelle qui remplacent la fameuse « pompe manouche » de la guitare rythmique, avec toujours la « bonne vieille » contrebasse pour porter le tout. À eux quatre, ça pince, ça frotte, ça percute, ça s’envole avec toujours le même esprit fougueux et la même envie de partager. Musiques de l’Est, du Nord, du Sud, parfois rock, country, parfois lyrique et bien plus encore. Samarabalouf vous « UP » à travers sa « French World Music». 16 morceaux enregistrés au Vintage Studio, avec la crème des micros à lampe... Toujours cette base manouche et tzigane, qui dépasse de plus en plus les frontières...rumba, java, country, irlandais... 16 morceaux et 1 voyage en musique... entre la tradition du quatuor à cordes du 18e et le trio manouche... C'est désormais un violon et un violoncelle qui remplacent la fameuse pompe manouche... Musique à rêver, à danser, à rire, à s’émouvoir... avec ce 4e album studio, Samarabalouf vous propose un de ses plus grands voyages... « SWING IRRÉPROCHABLE ET COMPOSITIONS ACCROCHEUSES POUR CE GROUPE MAJEUR DE CETTE SCÈNE JAZZ SANS FRONTIÈRES. » Les Inrocks « NOUS SOMMES TOUS FOUS DE SAMARABALOUF » Télérama.fr
AU CARREFOUR DU BLUES, DU ROCK ET DE LA FOLK Ce quartet francilien nous offre une musique directe et généreuse, vibrante du passé comme de l'avenir. Les « ventres de coton » c'est pour les champs ou le blues est né dans la douleur et pour les tripes dont il s'échappe parfois. Leurs chansons sont des plaintes empreintes d'espoir ou un harmonica virevolte avec une guitare électrique déchirante, libérant une voix soul soutenue par un basse/batterie au groove solide. Si l'humour, l'espièglerie ou encore la simplicité sont du voyage, les « Cotton Belly's » n'ignorent pas les crises qui secouent le monde. Les textes évoquent notre humanité et les mélodies nous accompagnent longtemps après que les dernières notes aient résonné. Alors, route pluvieuse ou pas, c'est à chaque fois avec le même groove généreux que les « ventres de coton » offrent sans relâche des gigs enlevés dont on ressort l'âme un peu plus légère. Après leur tournée aux Etats-Unis et leur demi finale à l'International blues challenge de Memphis, les Cotton Belly's nous dévoilent leur nouvel album, de nouvelles versions de leurs chansons rafraîchies et affirmées par des années de concerts, on y trouvera également une version revisitée sauce « Cotton » de « Superstition » du grand Stevie Wonder, ainsi qu'une toute nouvelle composition originale « Broken Line » enregistrée à Memphis ! Le tout sublimé par le venue d'invités surprise. « UNE VIVACITÉ ÉMÉRITE ET UNE VOIX APTE À POUSSER LA COMPLAINTE » Rock & Folk « COTTON BELLY ’ S NE CESSE DE CONFIRMER SON TALENT. UN RYTHME MAÎTRISÉ, UN VOCAL MÛR ET UN HARMONICA VIRVOLTANT. » Soul Bag