Quand quelqu'un vous rend visite dans vos rêves et vous demande de faire un album sur votre région natale - les Orcades (Orkney islands) - resteriez-vous indifférent ? Particulièrement si cette personne est Betty Corrigal, une orcadienne qui s'est suicidée en 1770 après avoir été bannie de son village pour être tombée enceinte d'un marin de passage ? C'est ce qui est arrivé à ERLAND COOPER (frontman de ERLAND & THE CARNIVAL), et c'est ce qui est à la source de Orkney : Symphony Of The Magnetic North, le premier album de THE MAGNETIC NORTH (HANNAH PEEL, ERLAND COOPER et SIMON TONG). S'immergeant dans le folklore, la poésie et la géographie Orcadienne, le trio s'est rendu tout au Nord de l'Ecosse, avec un guide de voyage des année 1930 intitulé « Orkney : The Magnetic North » pour composer et enregistrer l'album. La chorale locale agrémenté de cordes luxuriantes et des arrangements de cuivres composés par HANNAH PEEL, transforme « Orkney : Symphony Of The Magnetic North » en un album magnifique, considérable et envoûtant, qui évoque les paysages presque surnaturels des îles des Orcades avec lyrisme et finesse.
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À la manière d'un Roméo et Juliette précoce, l'histoire raconte les amours impossibles de deux adolescents : Aucassin, fils du Comte de Beaucaire, et Nicolette, enlevée en bas âge par des Sarrasins et considérée comme serve, bien qu'elle soit en réalité fille du roi de Carthage. Aucassin, contrarié par son père, décide d'enlever Nicolette et de s'enfuir par la mer. Après une tempête et un naufrage ils échouent sur l'Île de Torelore où ils font la rencontre du roi de l'Île. À la manière de Rabelais dans une grande farce cette île est inversée : le roi est enceinte, la reine est partie à la guerre (où l'on se bat à coup de légumes) et les dîners commencent par le dessert et se finissent par l'entrée. Après beaucoup de traverses et de dangers et de longues séparations, Aucassin et Nicolette inissent par se réunir et s'épouser. L'histoire racontée par la troubadouresse, Isabeau de Tournadre et accompagnée par Pétronille, une flûte bavarde et malicieuse, se termine dans une grande soupe de la paix. Aucassin et Nicolette est la seule « chantefable » que nous ait léguée la littérature française du Moyen-Âge. À la façon des lais et cantigas du Moyen Âge, le public entendra la flûte, la chalémie, la vièle, la guiterne, la harpe, les percussions médiévales. Comme le voulait la tradition médiévale, le conte est rythmé par des chants. Les mélodies et les paroles sont écrites sur des musiques d'époque et notamment des danses, telles que l'estampie, la carole, la tarentelle ou la saltarelle, de manière à être accessibles aux petits comme aux grands d'aujourd'hui. Une histoire de chevalier, de Reine, de batailles et... de légumes. Les amours impossibles entre un jeune chevalier et une servante qui vont vivre des aventures extraordinaires sur une île enchantée.