Dans ce quatrième épisode, les Dotcom sont sous le choc : tous sont persuadés que la jeune fille de la maison, Web, est enceinte ! Cette nouvelle déclenche une crise familiale sans précédent. La famille est au bord de l'explosion quand tombe une terrible nouvelle : Spam est atteinte d'un cancer du singe. Les Dotcom vont se serrer les coudes, favorisant ainsi sa guérison.
Le grand retour du Chat du rabbin !Le Chat est désespéré : sa maîtresse, Zlabya, est enceinte... Que va-t-il se passer ? S'intéressera-t-elle encore à lui ? Pourra-t-il encore être caressé, pourra-t-il la voir quand il le voudra ? Quelle sera sa place ? Ne devrait-il pas partir et chercher une autre maison ?Joann Sfar retrouve avec un bonheur évident l'univers du Chat du rabbin et livre une éblouissante histoire pleine de tendresse et d'amour.
Le grand retour du Chat du rabbin !Le Chat est désespéré : sa maîtresse, Zlabya, est enceinte... Que va-t-il se passer ? S'intéressera-t-elle encore à lui ? Pourra-t-il encore être caressé, pourra-t-il la voir quand il le voudra ? Quelle sera sa place ? Ne devrait-il pas partir et chercher une autre maison ?Joann Sfar retrouve avec un bonheur évident l'univers du Chat du rabbin et livre une éblouissante histoire pleine de tendresse et d'amour.
Dans les années trente, le Japon occupe la Chine et y installe des colonies. En juin 1945,le mari de Sayo est envoyé sous les drapeaux. Sayo, enceinte de leur deuxième enfant,quitte Tsing Tao pour se réfugier chez sa soeur à Dairen, où vit une importante communautéjaponaise. La guerre perdue, la petite famille se retrouve à la merci des Chinois et du nouvelenvahisseur russe. Elle doit lutter quotidiennement pour sa survie. La tragédie vécue par Sayorévélera la nature profonde des différents protagonistes de ce roman graphique très prenant,à la mise en images juste et sensible.
Dans Guyanacapac, 4e tome des aventures de Long John Silver, Xavier Dorison et Mathieu Lauffray conduisent leurs héros aux portes de la cité perdue...Dans ce 4e épisode de Long John Silver, les membres rescapés du Neptune découvrent enfin la mystérieuse cité de Guyanacapac. C'est ici qu'un trésor serait enfoui ; c'est ici aussi qu'un piège infernal va se refermer sur eux. Chacun va découvrir l'horrible secret de cette cité et la véritable personnalité de l'Indien Moxtechica. Quant à Vivian, enceinte, elle ne peut plus reculer ; elle va devoir surmonter cette ultime épreuve...
Un monastère perdu en haut d'une montagne, sept moines en tous points semblables, obsédés par la fin du monde et aux penchants ivrognes et querelleurs, une Sphynge observant et sachant tout, la Mune omnisciente dans le ciel, et aussi, parfois, des visiteurs, comme ici une prisonnière enceinte, des flics l'escortant, mais aussi l'auteur de cette bande dessinée.Jean-Christophe Menu replonge dans son univers culte du Mont-Vérité avec comme intentions de le dévoiler à ceux qui ne le connaitraient pas encore, de se mettre en danger en improvisant une histoire dont le principe est d'introduire des éléments extérieurs et perturbateurs dans un univers clos. Un auteur trop rare à l'imagination puissante.
Si chacun connaît L'Île au trésor, qui sait réellement ce qu'il est advenu du pirate Long John Silver ? Xavier Dorison et Mathieu Lauffray ont tout simplement entrepris de raconter son histoire, nourris par les récits de grande aventure et de piraterie. Somptueux !Délaissée par son mari parti découvrir le nouveau monde depuis plusieurs années, lady Vivian Hastings est restée à Bristol, en Angleterre. Seule ? Pas tout à fait : Vivian, consciente de son charme, ne manque pas de courtisans. Ceux-ci ne connaissent pas sa situation matérielle inquiétante : ruinée bien que toujours propriétaire du domaine et, surtout, enceinte...Tout bascule le jour où Vivian reçoit enfin des nouvelles de son mari qui lui somme de le rejoindre en Amérique du sud où Lord Hasting aurait découvert le mythique trésor de Guayanacapac ! Acculée, Lady Hastings décide de partir et fait appel, malgré les mises en garde du docteur Livesey, à une bande d'hommes sans foi ni loi dont le chef n'est autre que le redoutable Long John Silver. Vivian conclut un pacte de sang avec ce pirate qui lui propose de l'embarquer jusqu'au nouveau monde en échange d'une partie du trésor. Le voyage s'effectuera jusque dans les pays les plus reculés, le long de l'Amazonie, en pleine forêt.
Gaston d'Orléans, frère de Louis XIII, vient avec ses amis se fournir en filles dans un sinistre asile de folles. La mère supérieure les leur prête à condition qu'ils ne les abîment pas, car elles resserviront. . .C'est là qu'on retrouve Ariane, l'âme dévastée, mutique, enceinte de Germain depuis bientôt neuf mois. Personne ne sait qui elle est, mais Gaston d'Orléans la reconnaît et l'emmène : il tient à savoir ce qu'est devenu Masquerouge, bizarrement disparu en même temps qu'elle.Entre deux interrogatoires, Ariane accouche d'une petite fille qu'on lui enlève aussitôt pour l'abandonner dans la forêt. Mais un certain Lenclos passe par là, qui, justement, n'a jamais déclaré la mort de sa petite Ninon. . .Ayant échappé à ses bourreaux, Ariane retourne à Paris, où elle apprend que le Condor qui l'a tuée sans le savoir était l'Epervier de son enfance - et son père. Elle retrouve aussi Taillefer, devenu tueur à gages pour le compte de Gaston d'Orléans. Au lieu de la tuer, il la prend sous son aile.Liés par une même obsession, la folle et l'assassin partent ensemble vers les Amériques retrouver l'Epervier : Ariane pour lui pardonner et Taillefer pour se mesurer à lui, enfin.Voilà comment débute cette nouvelle série, où l'on retrouve tout ce qui fit le succès des Sept Vies de l'Epervier.. Cothias, scénariste aussi fou que prolifique, maîtrise parfaitement l'entrelacs hasardeux de l'Histoire et de l'imaginaire, avec une drôlerie bien charnelle et une fibre tragique à vous coller le frisson. Juillard met toute sa sensibilité à restituer, dans une ambiance fascinante de vérité, la palette infinie des vertiges humains : désespoirs, solitudes, sauvageries barbares, sensualités, humour, amour.
Alger, une communauté juive du début du XXe siècle. Au centre de l'action, le chat du rabbin. Tordant, le chat : un squelette à oreilles, une dégaine de poubelle, un goût prononcé pour la discussion - c'est un chat parlant. En l'occurrence, il raconte à Zlabya, sa maîtresse adorée (et fille du rabbin), la vérité sur le Malka des Lions - un cousin qui doit arriver prochainement, tout auréolé et légende. On le dit capable de dompter un lion, même les yeux fermés. La vérité, c'est qu'il a pour ami un vieux lion poussif avec lequel il a monté un numéro : le lion effraie le monde, le Malka arrive et arrange tout. Ce qui lui attire gloire et récompenses variées.En attendant, le rabbin a un problème : le consistoire israélite de France exige de lui qu'il fasse une dictée. En effet, s'il veut être agréé rabbin officiel au lieu de juste rabbin comme ça , il doit écrire en français - pour faire la prière en hébreu à des Juifs qui parlent arabe, note le chat dans sa grande sagesse.Le chat est désolé : Mon maître, qui aime tant les livres,est en train de louper sa dictée. Ce qui le pousse, en désespoir de cause, à invoquer le nom de Dieu alors que c'est interdit. Résultat : il perd la parole, retrouve son statut de chat qui fait miaou, et le voilà incapable de donner son avis quand sa maîtresse adorée projette d'épouser un type qui ne lui plaît pas. Heureusement, pour notre plus grand plaisir, il continue de penser : Il va te prendre ta fille et tu seras vieux et elle sera enceinte et elle sera vieille et elle aura des enfants qui seront vieux et tout le monde mourra. C'est très triste, mais on note deux bonnes nouvelles : contre toute attente, le rabbin a réussi sa dictée - le consistoire français il est très fier de vous - et toute la smala reviendra bientôt dans l'Exode.Après La Bar-Mitsva, premier épisode encensé par la critique, Sfar nous donne encore une fois un chef-d'oeuvre d'intelligence, d'humour et de tendresse - trois vertus qui s'expriment autant dans les dialogues, captivants et savoureux, que dans le dessin, merveilleux de finesse et de drôlerie.La préface de cet album est signée Fellag.