La rencontre extraordinaire de deux légendes vivantes du Jazz! Pour la première fois au disque/video, « Le violoniste le plus rapide du monde » Roby Lakatos et le « héros endiablé » de la guitare Biréli Lagrène sont réunis pour un hommage unique à Stéphane Grappelli et Django Reinhardt. Les deux musiciens ont joué dans leur jeunesse avec Stéphane Grappelli. Pour cet album, ils se sont entourés du puissant Modern Art Orchestra et de deux Jazzmen de la jeune génération : l’exceptionnel batteur Niek de Bruijn et la nouvelle sensation jazz : le guitariste Andreas Varady. Au total : un hommage explosif au Jazz Manouche comprenant des standards comme Djangology, Nuages, Stella by Starlight et Nuits de Saint-Germain-Des-Prés.
La rencontre extraordinaire de deux légendes vivantes du Jazz! Pour la première fois au disque/video, « Le violoniste le plus rapide du monde » Roby Lakatos et le « héros endiablé » de la guitare Biréli Lagrène sont réunis pour un hommage unique à Stéphane Grappelli et Django Reinhardt. Les deux musiciens ont joué dans leur jeunesse avec Stéphane Grappelli. Pour cet album, ils se sont entourés du puissant Modern Art Orchestra et de deux Jazzmen de la jeune génération : l’exceptionnel batteur Niek de Bruijn et la nouvelle sensation jazz : le guitariste Andreas Varady. Au total : un hommage explosif au Jazz Manouche comprenant des standards comme Djangology, Nuages, Stella by Starlight et Nuits de Saint-Germain-Des-Prés.
Au cas où je ne parviendrais pas à finir ça, quelqu'un aimerait peut-être travailler l'idée, et les dessins que j'ai déjà faits auront plus de sens pour ceux qui les regarderont en ayant lu l'explication. --Charles Ives--- Inspiré par ces mots attrayants, le metteur en scène Christoph Marthaler, le chef Titus Engel ainsi que la costumière Anna Viebrock ont développé leur propre vision du projet inachevé du compositeur américain Charles Ives : 'The Universe Symphony', une des oeuvres les plus utopiques du 20ème siècle. Basée sur un travail musical initialement conçu pour 4250 musiciens, la mise en scène, Universe, Incomplete à la Ruhrtriennale 2018, incorpore des éléments et la musique de l'oeuvre de Charles Ives. La production est complétée par le documentaire 'The Unanswered Ives', qui emmène le spectateur dans la ville natale du compositeur à Danbury, dans le Connecticut, et retrace l'héritage de la Nouvelle Angleterre de Ives. Présenté comme un collage, le film révèle un homme très loin de son époque, un musicien solitaire et un pionnier de l'harmonie polytonale et des rythmes multiples, qui était capable de dessiner depuis la riche tradition de la musique américaine. Durée totale : 183 minutes Performance : 129 : 55 /// Documentaire : 53 : 18 Sous-titres : Français, Allemand, Anglais, Japonais, Coréen. Video : 16 : 9 NTSC PCM STEREO Dolby Digital 5.1 Code région : 0
La quatrième version de Pentatone issue du célèbre cycle des symphonies Beethoven de Rafael Kubelik dans sa série Remastered Classics consiste en sa lecture magistrale de la neuvième symphonie interprétée par le Symphonieorchester des Bayerischen Rundfunks, rejoint par le Chor des Bayerischen Rundfunks et par le quatuor de solistes renommés avec l'hymne à la joie. La neuvième de Beethoven est l'une des meilleures symphonies jamais écrite, une oeuvre d'art autonome qui transcende les frontières et établit de nouvelles normes et qui, dans sa pensée humanitaire et sa conviction du développement progressif de l'humanité vers la liberté, fait puissamment appel au coeur humain. La combinaison de l'expression romantique et de la transparence et de la clarté modernes qui caractérisent les interprétations de Beethoven par Kubelik en général, définit également cette performance. Sa lecture de la neuvième associe une splendeur somptueuse, une énergie volatile et une émotion rayonnante à un jeu orchestral net et une articulation fine. Son interprétation profondément ressentie est pleinement à la hauteur de l'aspiration humaine et de la majesté cosmique de ce travail exceptionnel (Allmusic.com). Rafael Kubelik a enregistré son cycle de symphonies de Beethoven dans les années 1970 pour Deutsche Grammophon, chacun avec un orchestre différent, ce qui lui a valu des éloges. Bien qu'elles soient enregistrées en son multicanal, ces performances incontournables n'étaient auparavant disponibles que dans le format stéréo conventionnel à deux canaux. Faisant appel à une technologie de pointe évitant le ré-mixage, les ingénieurs de Pentatone ont remixé les cassettes de studio originales pour donner vie aux performances prévues à l'origine : un son multicanal captivant et parfait.
L'OPéRA AVANT L'OPéRA Le prologue est une caractéristique unique de l'opéra baroque ancien : une scène d'ouverture où une figure allégorique entre en scène pour préparer le public au drame musical à venir. Ainsi Prologue est l'introduction musicale de la soprano italienne Francesca Aspromonte et de son engagement exclusif à long terme avec Pentatone, qui promet une grande joie ainsi que du théâtre dans les années à venir. Prologue est un album très original composé de plusieurs prologues d'opéras du début du baroque de Monteverdi, Caccini, Cavalli, Landi, Rossi, Cesti, Stradella et Scarlatti. Enchevêtrés, ils forment une représentation en un seul acte, un théâtre plein de petits drames complets : l'opéra avant l'opéra. Francesca Aspromonte s'impose rapidement comme une étoile brillante du firmament baroque. Elle a organisé cet album avec le directeur musical Enrico Onofri, qui dirige il pomo d'oro, l'un des ensembles d'époque les plus importants et les plus réussis d'aujourd'hui.
Un parfum de renouveau embaume le Théâtre des Bouffes du Nord avec cette fresque dramatique et musicale de Benjamin Lazar centrée autour de la dévoyée Marie Duplessis, légendaire demi-mondaine parisienne, et de ses alter egos artistiques (au premier rang duquel la Traviata de Giuseppe Verdi) qui trouvent en la comédienne Judith Chemla une interprète incandescente. Sempre libera - toujours libre. C'est selon ce credo, écho du premier acte du célèbre opéra de Verdi, que le metteur en scène Benjamin Lazar et ses acolytes, la comédienne Judith Chemla et le musicien Florent Hubert, ont conçu ce spectacle insolite, qui mêle à loisir la musique immortelle de La Traviata, la pièce et le roman La Dame aux Camélias d'Alexandre Dumas fils, mais aussi tout l'imaginaire du Paris spleenétique de Charles Baudelaire et de Théophile Gautier. Dans ce microcosme où les comédiens se font tour à tour chanteurs, poètes et musiciens, se dessinent éperdues les multiples facettes de cette femme qui fit couler tant d'encre : Alphonsine Plessis dite Marie Duplessis, dite encore Violetta Valéry dans l'opéra de Verdi. Prostituée tuberculeuse élevée par la littérature et la scène au rang d'héroïne sacrificielle, la courtisane refuse, chez Benjamin Lazar, de dévoiler son vrai nom. Autour de ce personnage mystérieux s'élèveront vapeurs d'alcool et volutes d'opium, haleines de fleurs entêtantes et voiles de gaze transparente, troublant les repères pour faire jaillir toute nue cette puissance de vie que cristallise la dévoyée malade, par amour repentie. De la musique de Verdi, Benjamin Lazar a retenu la pulsation fondamentale, ce flux d'énergie qui se décharge frénétiquement et qui parfois nous brûle, mais aussi son inspiration simple, populaire, évidente, qui la rend si malléable. Sur un orchestre réduit au plus simple appareil, ces mélodies que l'on croyait connaître se renouvellent. Et tout au long de cette fête rituelle résonnent les mots amers qui résumeront la vie trop courte de la scandaleuse amoureuse : Traviata, vous méritez un avenir meilleur.
Un parfum de renouveau embaume le Théâtre des Bouffes du Nord avec cette fresque dramatique et musicale de Benjamin Lazar centrée autour de la dévoyée Marie Duplessis, légendaire demi-mondaine parisienne, et de ses alter egos artistiques (au premier rang duquel la Traviata de Giuseppe Verdi) qui trouvent en la comédienne Judith Chemla une interprète incandescente. Sempre libera - toujours libre. C'est selon ce credo, écho du premier acte du célèbre opéra de Verdi, que le metteur en scène Benjamin Lazar et ses acolytes, la comédienne Judith Chemla et le musicien Florent Hubert, ont conçu ce spectacle insolite, qui mêle à loisir la musique immortelle de La Traviata, la pièce et le roman La Dame aux Camélias d'Alexandre Dumas fils, mais aussi tout l'imaginaire du Paris spleenétique de Charles Baudelaire et de Théophile Gautier. Dans ce microcosme où les comédiens se font tour à tour chanteurs, poètes et musiciens, se dessinent éperdues les multiples facettes de cette femme qui fit couler tant d'encre : Alphonsine Plessis dite Marie Duplessis, dite encore Violetta Valéry dans l'opéra de Verdi. Prostituée tuberculeuse élevée par la littérature et la scène au rang d'héroïne sacrificielle, la courtisane refuse, chez Benjamin Lazar, de dévoiler son vrai nom. Autour de ce personnage mystérieux s'élèveront vapeurs d'alcool et volutes d'opium, haleines de fleurs entêtantes et voiles de gaze transparente, troublant les repères pour faire jaillir toute nue cette puissance de vie que cristallise la dévoyée malade, par amour repentie. De la musique de Verdi, Benjamin Lazar a retenu la pulsation fondamentale, ce flux d'énergie qui se décharge frénétiquement et qui parfois nous brûle, mais aussi son inspiration simple, populaire, évidente, qui la rend si malléable. Sur un orchestre réduit au plus simple appareil, ces mélodies que l'on croyait connaître se renouvellent. Et tout au long de cette fête rituelle résonnent les mots amers qui résumeront la vie trop courte de la scandaleuse amoureuse : Traviata, vous méritez un avenir meilleur.