L'album est lié au concept d'observation lointaine et distante. Nous observons ainsi le monde moderne, ses obsessions, ses peurs et ses espoirs (Bubble-Gun, The House Is burning, Out Of The Blue), nous observons des souvenirs anciens et lointains pour en peser le sens (Souvenir), nous observons les étoiles du ciel nocturne et la lune, regrettant de n'avoir jamais vécu - jusqu'à présent du moins - une grande aventure comme l'alunissage (Moon Landing). C'est ainsi que l'album a été composé à distance, dans l'isolement de notre maison-studio au fin fond de la campagne toscane, qui a été un observatoire, où nous avons recueilli toutes les informations issues de notre processus d'observation et les avons mises en musique. Le télescope (Teleskop en allemand) est l'objet qui représente par excellence l'aventure et la découverte, les télescopes ont été utilisés pour découvrir des terres d'outre-mer, ainsi que pour observer les galaxies et les étoiles. Et si la mer a été le principal thème d'inspiration de Riva (notre premier album sorti en 2017) et de l'identité d'Aquarama en général, nous nous éloignons maintenant de la mer pour découvrir de nouveaux mondes, des sons frais et des thèmes différents pour notre musique.
Alors, on a longtemps cherché un titre pour cet album, mais aucun de nous 6 n'étais jamais d'accord avec celui que proposé son voisin de droite (ouais on penche plutôt à gauche nous) alors... Six musiciens, six instruments pour un sixième album : c'est sur ces multiples visions de 6 que Sixième Sens est apparu (et non 666, car on ne fait que de la chanson française...). Le sixième sens, c'est le sens du temps qui passe et qui ne s'arrête jamais (à l'image du groupe?). FQCG arrive bientôt chez toi pour remettre les pendules à l'heure (de la musique). Nous proposons modestement dans ce nouvel album des réponses à certaines questions intemporelles qui ont toujours accompagnées l'humanité : Le regretté temps d'avant est-il nécessairement perdu (Le passé)? Avons-nous le temps pour l'amertume que provoque nos trains de vie (Un peu plus loin)? Avons-nous le droit à l'oublie dans l'amour (Beaux garçon, C'est pas ma faute)? Découvrez vite notre point de vue sur ces questions en écoutant les 12 nouvelles chansons du CD et/ou en venant sur la tournée qui débute dès mars 2020.
Alors, on a longtemps cherché un titre pour cet album, mais aucun de nous 6 n'étais jamais d'accord avec celui que proposé son voisin de droite (ouais on penche plutôt à gauche nous) alors... Six musiciens, six instruments pour un sixième album : c'est sur ces multiples visions de 6 que Sixième Sens est apparu (et non 666, car on ne fait que de la chanson française...). Le sixième sens, c'est le sens du temps qui passe et qui ne s'arrête jamais (à l'image du groupe?). FQCG arrive bientôt chez toi pour remettre les pendules à l'heure (de la musique). Nous proposons modestement dans ce nouvel album des réponses à certaines questions intemporelles qui ont toujours accompagnées l'humanité : Le regretté temps d'avant est-il nécessairement perdu (Le passé)? Avons-nous le temps pour l'amertume que provoque nos trains de vie (Un peu plus loin)? Avons-nous le droit à l'oublie dans l'amour (Beaux garçon, C'est pas ma faute)? Découvrez vite notre point de vue sur ces questions en écoutant les 12 nouvelles chansons du CD et/ou en venant sur la tournée qui débute dès mars 2020.
PATBOL fait partie de ces éternels adolescents qui prennent la vie pour une immense cour de récréation. Des rythmes chaloupés et des airs à la gomme qui prêtent à sourire, toujours frais, parfois naïfs, mais en aucun cas déprimants ! Dans L'Amour Propre Et Le Coeur Net, son nouvel opus, les chansons ont gagné en maturité et la production se fait plus acoustique. 13 titres avec pour toile de fond les p'tits tracas amoureux et pittoresques d'un hibou garçon en mâle de chouette fille. Les textes restent un pur plaisir pour ceux qui aiment les mots et leurs sonorités. PATBOL pratique un humour malin et sa plume, tantôt ironique, tantôt désabusée, chatouille là où ça fait rire... jaune bien entendu ! Un DIDIER SUPER gentil en quelque sorte, qui se fait une croisière dans le régressif assumé.
Le Congo Groove sauce française/ La Chanson française sauce congolaise! Pour ce deuxième opus du Paris Kinshasa Express, le musicien Patrick Mundélé et sa complice danseuse Mama Cécilia ont à nouveau réuni plusieurs artistes issus de la scène congolaise : Djudjumusic, Doustin Mopoto, Jimmy Mbonda, Michel Lumana, Ramazani, Mbetengue Domingo et Philippe Odje Avec TOZA AWA - On est là en lingala- Patrick Mundélé réinvente et affirme son style d'écriture : une rythmique ancrée et entrainante (le fameux groove congolais), des voix harmonisées et puissantes, une plume poétique et imagée naviguant entre français et lingala, pour nous parler en douceur de sujets plus graves tels que le rêve de toute puissance de l'Homme (L'Oiseau), l'abondance outrancière (Ici Paris), l'éloignement des familles (Il y a des mots)...Mais aussi pour évoquer la force salvatrice de l'Amour (Que l'Amour soit) ou bien son enfance passée à Kinshasa (Baluka). Au final, une musique qui délie les corps mais qui n'a de cesse de nous émouvoir et d'interroger les esprits. Toujours motivée par ce besoin de créer des ponts artistiques et culturels.
Avant de sortir ce premier album, TWINDAYS passera beaucoup de temps sur scène et en studio pour peaufiner leurs compositions. Aussi bien influencé par LED ZEPPELIN, PEARL JAM, ou JIMI HENDRIX, leur album a été mixé par DAMIEN SCHULLER (ARCHIVE, APOCALYPTICA)
La chanteuse et compositrice Mayomi, originaire de Cuba, dévoile, entre ombre et lumière, ses propres univers artistiques, ouverts à tous les vents des musiques nées entre îles, archipels, continents tous liés au Grand Océan : l’Atlantique. Dans ses mélodies, ses rythmes, ses harmonies s’imbrique la somme des influences qui ont forgé sa personnalité artistique. D’abord ce formidable héritage afro-cubain : les innombrables musiques qui sont nées et se sont agrégées à Cuba, son île natale. Omniprésent dans ses compositions (l’attachement est viscéral), elle le propulse de belle manière dans le champ du présent en n’hésitant pas à le croiser, voire le chahuter, avec des grooves très urbains, le funk, le jazz dans ses variantes les plus modernes, Alors, rumba, boléro, soul, latin son, improvisations déjantées, syncopes, rythmes cadencés, couleurs jazz, s’amalgament non pas en une fusion opportuniste pour coller au goût du jour de la World music mais bien pour exprimer la fibre d’une artiste en plein épanouissement. Mayomi Moreno pose un acte fort. Ce sont ses propres mots que porte son chant. Ils disent l’exil, la souffrance de l’arrachement, les amours enfuies, la mélancolie, les racines. Mais aussi l’appétit de vivre d’une femme, Avec son projet personnel ici en France, (elle y vit depuis plus de 10 ans), Mayomi a pour ainsi dire trouvé sa propre Casa de Trova (nom donné à ce lieu de Santiago de Cuba qui servit de vivier culturel à bien des musiciens). Voyez-la sur scène, en phase avec elle-même, plus encore dans ses créations.Calme, solaire.Son joli brin de voix envoûtant sait se faire sombre pour instiller un soul mélancolique, profond, authentique, une fêlure qui percute. Il sait aussi pétiller d’éclats lumineux bourrés de joie et d’énergie qui invitent à la danse ou à la transe. Musiciens : Mayomi Moreno ( voix, compositions et arrangements ), Michael Geyre ( claviers ), Gaétan Diaz ( batterie) Thomas Labadens ( basse ), Lionel Galletti ( percussions )
Pour fêter les 40 ans de carrière de Jean René, son nouvel album Illustré par Loïc Jouannigot, le célèbre créateur de la famille Passiflore. Ce disque couvre en 14 chansons l'univers à la fois tendre et drôle de l'auteur de Monsieur salade, Des câlins ou Dans ma guitare, titres emblématiques qui sont devenus en quelques décennies des classiques en maternelle.
Cette jeune et talentueuse violoniste a joué, notamment, à la Sorbonne pour le « Festival Berlioz », à Liège lors de deux récitals à l’automne, et, en soliste, le Concerto N°1 en ré majeur de Tchaïkowski avec l’Orchestre de Voronej, prestation qui lui a valu une très bonne critique du critique musicalde « la Lettre du musicien ». Un disque à découvrir.
Pour fêter les 40 ans de carrière de Jean René, son nouvel album Illustré par Loïc Jouannigot, le célèbre créateur de la famille Passiflore. Ce disque couvre en 14 chansons l'univers à la fois tendre et drôle de l'auteur de Monsieur salade, Des câlins ou Dans ma guitare, titres emblématiques qui sont devenus en quelques décennies des classiques en maternelle.
Gilles Thomas nous présente son 2ème album, Titulo. Un album plus personnel, 100% instrumental où on retrouve ses goûts pour les musiques africaines, le rock et le jazz qu'il sait marier et métisser. Accompagné par de nombreux musiciens, Gilles Thomas nous invite à entrer dans son univers musical original et chaleureux.
Nefeles interprète un répertoire varié de la Grèce, inspiré de la mer Thalassa, se donnant toute latitude pour accoster les îles, se délasser dans une taverne populaire avec du rebetiko, se souvenir de la ville de Smyrne, jusqu'à se laisser porter par un courant plus contemporain avec composition et arrangements créatifs. La voix de la jeune chanteuse Mélina est sublime, avec des mélismes ancrés dans la tradition hellénique.
Auteure, compositrice, interprète, bercée par Barbara, Claude Nougaro autant que par Jobim et Michel Legrand, Aurélie Taguet marie ses amours musicales pour créer un univers tendre, son jazz à elle. Accompagnée par de talentueux musiciens de la scène jazz actuelle, Aurélie Taguet captive par sa voix claire et son timbre cristallin. Dans ce premier album intitulé Plus j’apprends, Aurélie Taguet explore avec sensibilité, le cycle de la vie, la maternité, le deuil, le fait de grandir... un peu d’ombre et beaucoup de lumière. Aurélie Taguet écrit, compose et chante, l’émotion à fleur de peau. Portée par son amour de la poésie mais aussi de la note bleue, elle a créé un univers qui allie avec élégance la musicalité de la langue française et le son d’un jazz moderne acoustique. Plus j'écoute Plus j'apprends et plus j'aime. Aurélie Taguet n'est pas du style provo gratuite et éclats de voix. Non, elle pénètre en toute discrétion dans le coeur et dans l'âme de ceux qui savent écouter et goûter la beauté véritable, celle qui ne se la joue pas, et la sensibilité sans affectation. Elle entre à pas de loup dans l'univers de la musique, mais c'est pour s'y tailler la part du lion. Ecoutez la chanson titre plus j'apprends, et vous serez bouleversés par sa lucidité profonde sur la fragilité humaine. Aurélie nous dit : Viens. J'en connais beaucoup qui vont avoir du mal à résister. Claude Lemesle, auteur et président d’honneur de la Sacem
Après The Call, premier album aux consonances techno progressives, Spitzer revient avec son nouvel album Loose Cannons. L'approche se veut désormais concise, parfois frontale, les deux frères lyonnais puisant cette fois directement dans leurs influences indie-rock et postpunk. Un peu comme un retour à l'essentiel. Délaissant les codes techno, Damien et Matthieu adoptent un schéma plus pop et décident de passer derrière le micro. Dès lors, chanter s'impose comme une nouvelle source d'inspiration et marque un tournant pour Spitzer qui nous livre un album spontané, incisif, aux mélodies entêtantes. Les sonorités acoustiques (guitare, piano) et les beats pénétrants côtoient le chant et les synthétiseurs pour un second album qui voit Spitzer assumer son héritage musical. Premier morceau rapidement composé, Monkey (talkie) est une ode sarcastique à ces hits 80’s qui voyaient cohabiter teintes fluo et mélancolie synthétique. Une sorte de hit naïf à scander sous la douche. Des titres comme When It’s All Over ou It’s Not Your Funeral ont la mélodie vissée au corps et dégagent une énergie new wave décomplexée et captivante, entre gimmick techno et dérapages grandiloquents. Morceau phare, The Sand Rover est un véritable amalgame grunge-électro symbolisant à lui seul ce nouvel album. Un slow electro aux ambiances western. Sur Prom Queen, Spitzer offre à la chanteuse Marine Pellegrini (Erotic Market) une chanson pop typique. Claviers et piano fantomatiques accompagnent la ritournelle du chant, sur une rythmique brumeuse et profonde. Sur The Tide Is Turning, la guitare crunch et la basse ronflante nous engagent sur un lead effréné, avant d'exploser en transe post-techno. Veckman Blues, Black Slab et Off-Shore déploient les basses hypnotiques caractéristiques du duo qui rappellent l'énergie dancefloor du premier album. Les beats cadencés des boites à rythmes soutiennent ces 3 morceaux clairement orientés club. Sorcerer est une intense ballade crépusculaire et intimiste qui puise son ésotérisme dans le film éponyme de William Friedkin. La guitare acoustique dessine une folk poétique sur un arrangement de cordes à la Morricone, et fait de Sorcerer un des titres les plus singuliers de l'album. Enfin, esquissant les traits d’un insaisissable monde onirique, Spitzer s'autorise de nombreux moments de respiration pour déployer des ambiances cinématiques colorées de psychédélisme, comme sur le très aérien 1001 ou le mystérieux The Pulp. Ces instrumentaux sont le contrepoint d'un disque aux ambitions pop. Loose Cannons est l'occasion pour Spitzer de mêler le pouvoir envoûtant des boucles electro à l'énergie électrique du Rock, prétextes à des mélodies accrocheuses. Composé, arrangé et mixé à la maison, ce second album sortira en indépendant sur Veckman, le label familial.
Le premier allbum de Lenine Mc Donald, il a été enregistré en grande partie en Vendée chez Boogie Matt, dans les anciens studios de Pierre Barouh. Les programmations et loops avaient été réalisés auparavant dans le home studio de Lenine Mc Donald, lors de la pré-production. Cet album est une histoire de mélanges et d'échanges, et d'un soupçon de réussite et de hasard, perpétué au souffle des rencontres. Il a été réalisé en plusieurs lieux. Le mixage provient d'un endroit magique, s'il en est, près de Nantes : Le garage Hermétique où un sorcier du son pratique la magie noire porté par le rock'n'roll : Nikotep aux manettes, qui a vu passer tout le milieu nantais, enregistrant même The libertines lors d'une session pirate… Are you experienced ? Alex Bianchi a également rajouté sa patte sur certains morceaux. Convaincu par le projet, il a apporté son regard et sa rage pour continuer à secouer ce milieu musical souvent amorphe. La musique de cet album est fait d'images et de couleurs, puisant dans le blues et des influences africaines transformé par l'esclavage, comme ces chants brésiliens de capoeira sur Cruelle et belle . Les rythmes sont électroniques pour la plupart, à la recherche d'une trans que l'on peut trouver dans les musiques vaudous de John Lee Hooker ou des rythmes de Fela. La guitare de Boogie Matt dans Petite muse est comme un hommage à ce blues le plus roots et le plus près de ses origines à laquelle vient s'additionner des looks et des samples électro. La guitare de Jack El Tao vient marquer son appartenance au blues, comme un éternel rappel aux sources. Les textes sont trempés dans une poésie urbaine et nostalgique, toujours à la recherche d'un ailleurs possible, à la sonorité aiguisé dont vous pourrez reconnaitre ici et là, les influences volontaires et parfois inconscientes - Alors bienvenue dans ce nouvel univers, on vous invite, montez le son, tendez l'oreille, écoutez nous respirer...
Album enregistré au Studio de l'Hacienda en 2002, « Petit Homme » est le premier véritable album solo de Stéphane Winkler. Album léger et ambiancé, il fait l'effet d'une promenade champêtre. Percussions, harmonica, concertina, tout semble fait pour nous plonger dans une ambiance rurale, sympathique et conviviale. Les textes, mélange d'anecdotes (« Dans la deux ch'vaux »), de pointes humoristiques (« Ball-trap »), et d'hymnes à la simplicité rurale, contribuent également à nous plonger dans cette atmosphère douce et ensoleillée. Avec cet album rustique et de qualité, Stéphane Winkler vous convie à une petite virée à la campagne !
Le Portugal non plus n'échappe pas à la vague folk rock qui déferle avec bonheur sur le paysage musical européen depuis maintenant quelques années. Le groupe Dazkarieh, de Lisbonne, pourrait entrer dans cette catégorie, encore que ses influences soient beaucoup plus larges et variées. Leur cinquième album, Ruído do Silêncio (le bruit du silence) s'inspire indéniablement des courants de la Méditerranée, mais aussi de la Galice traditionnelle et des rythmes celtiques. Cavaquinho, bouzouki, cornemuses, tambourins, square drums, n'ont plus de secret pour ces excellents musiciens et grands voyageurs, reconnus bien au delà des frontières du Portugal, et emmenés par la voix envoutante de la belle Joana Negrão. Le tout immergé dans un climat teinté d'électro, de guitares distordues, de reverb et d'effets en tous genres. 12 titres intenses, une plongée dans un imaginaire unique, des moments intimes de grande contemplation jusqu'à l'explosion sonore inimaginable venant de ces instruments acoustiques d'un autre âge. Les compos originales côtoient des thèmes de la tradition orale portugaise, et on saluera la performance des 3 musiciens invités du groupe Velha Gaiteira, espèce de punk rural, et de leur approche du folk. C'est évident, avec Dazkarieh, on a affaire à des passionnés, qu'il faudra suivre de très très près.