Tapis dans les rizières ou sous le plancher de la maison, les monstres sont partout et de toutes formes. Pour décourager les enfants d'aller voler des bonbons, voilà qu'ils se transforment en bocal remuant et muni de dents redoutables. Pour ramener le mari infidèle à la maison, voici que la séduisante courtisane se change en monstre hideux et prompt à vous couper tout élan. Youkai, c'est le bestiaire du quotidien, le monstre à la portée de tous. Pour ce quatrième volume de la collection Nouvelles images du Japon les auteurs se prêtent à un nouvel exercice de style autour du thème des Youkai, ces monstres et fantômes japonais qui peuvent ressembler aussi bien à un parapluie avec des pieds qu'à un squelette géant, dansant sur un pont.
Il est un royaume où les princesses sont aussi belles que dangereuses. Dès leur plus jeune âge, les belles sont nourries de tous les poisons que comptent la pharmacopée et apprennent l'art de la séduction et de la tromperie. Leur corps devient une arme létale à chaque baiser. Ces princesses poisons deviennent l'élite des services secrets de leur majesté. Un jour, il est décidé de se débarrasser du souverain d'un pays voisin, un peu trop belliqueux. Connaissant son penchant pour les jeunes filles, la meilleure des princesses poison lui est envoyée pour une alliance. mortelle.
Il est un royaume où les princesses sont aussi belles que dangereuses. Dès leur plus jeune âge, les belles sont nourries de tous les poisons que comptent la pharmacopée et apprennent l'art de la séduction et de la tromperie. Leur corps devient une arme, létale à chaque baiser. Ces princesses poisons deviennent l'élite des services secrets de leur majesté. Un jour, il est décidé de se débarrasser du souverain d'un pays voisin, un peu trop belliqueux. Connaissant son penchant pour les jeunes filles, la meilleure des princesses poisons est envoyée pour une alliance mortelle. Doku Hime, la princesse poison est un manga type de la nouvelle génération d'auteurs underground. Beau et sale à la fois, politiquement incorrect, esthétique et gothique, sadomasochiste et romantique, angoissant et nihiliste. Le graphisme de Mitsukazu Mihara a la subtilité nécessaire pour rendre cette histoire très crue et violente encore plus inoubliable. Mais, plus qu'un beau manga c'est une véritable histoire politique et un roman d'espionnage passionnant qui sait tenir le lecteur en haleine.
60 pages de manga et d'illustrations sans blabla inutile. Un portrait d'auteur ou une interview pour humaniser le tout et voilà tout le principe et le concept de Daruma. Jeunes auteurs et artistes confirmés se partagentl'honneur de vous passionner, au moins de vous distraire. Inutile de préciser que le magazine est 100 % création. Plus que la vitrine de Vegetal Shuppan et Vegetal Manga, Daruma est celle de la jeune création japonaise qui bouillonne. Tous styles confondus, artistes débutants et confirmés se prêtent au jeu de la création ou se présentent en quelques pages. Loin des magazines clonés qui parlent du manga, Daruma est un magazine de manga pour ceux qui ont encore envie de découvrir.
La fille d'à côté, la collègue de bureau un peu trop stricte pour être honnête, la nouvelle copine de classe ou la gentille et très sage mère de famille qui se déchaîne avec le livreur, voici quelques-uns des fantasmes qui hantent le commun des mâles de cette terre. En 10 histoires courtes et terriblement efficaces, Arou Rei nous fait faire le tour de ses fantasmes et des notres dans des histoires qui pourraient vous arriver.